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#roman ian manook
angelitam · 5 months
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Ravage de Ian Manook – Editions Paulsen Ravage de Ian Manook, présentation 1er janvier 1932, blizzard, Canada, il a confiance en son chien de tête car il y a urgence. Il a avec lui un blessé, William West, dit Billy. Mais il doit faire face tout de même à quelques instants d’inattention. Au bout de 20 heures de course effrénée, il arrive à l’hôpital. Il veut juste prendre soin de ses chiens. Avis…
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La Trilogie Mongole de Ian Manook, ou comment découvrir la culture Mongole aux travers des enquêtes du truculent Yeruldelgger... . Plonger dans la culture Mongole, les grands espaces de la steppe, le dédale grouillant des rues d'Oulan-Bator, la chaleur des yourtes et les croyances ancestrales ont été un réel plaisir tout au long de ces 3 tomes! . Le héro, l'inspecteur Yeruldelgger, ne recule devant aucune intimidation et mène jusqu'aux dernières pages son combat pour le bien et la survie de son pays. . La culture ancestrale, les croyances et le respect des traditions nomades ont une place centrale dans l'intrigue, tellement ce pays en mutation est écartelé entre le modernisme à tout prix et les traditions... . Ian Manook réussi, par ses dialogues très réalistes, à nous tenir en haleine grâce à des rebondissements toujours surprenants ! De bons polars des steppes à dévorer sous la couette ! . Avez-vous lu les autres romans de Ian Manook ? . #polar #livre #lecture #fandepolar #yeruldelgger #lamortnomade #lestempssauvages #policier #ianmanook #mongolie #steppe #livredepoche #litterature #livres #bibliotheque #bibliothequerevee #lire #jaimelire #bibliophile #bookaddict #bookclub #bookcommunity #bookgram #booklover #booksbooksbooks #goodreads #readingismagic #booksta #bookstagram https://www.instagram.com/p/CQIyCZwHEmv/?utm_medium=tumblr
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lesmadj · 5 years
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« De bonnes raisons de mourir » de Morgan Audic - La chronique qui n’est pas pressée d’en trouver une ! Roman de l’ét�� !
« De bonnes raisons de mourir » est un thriller haletant au rythme trépidant, un page-turner éblouissant dans une ambiance délétère de fin du monde. Morgan Audic est une voix atypique aux relents toxiques et radioactifs qui vient de s’élever dans le paysage du thriller français. « De bonnes raisons de mourir » de Morgan Audic - La chronique qui n’est pas pressée d’en trouver une ! Roman de l’été !
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De bonnes raisons de mourir de Morgan Audic
C’est une voix atypique qui s’élève dans le paysage du thriller français. Une voix aux relents toxiques et radioactifs qui va contaminer quiconque pose les doigts sur ce roman. Car vous l’avez deviné, ce bouquin est hautement contagieux !
On y retrouve la même excitation qu’à la lecture du premier « Yeruldelgger » de Ian Manook, cette sensation de…
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ambremc13 · 7 years
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Yeruldelgger
          Bonjour à tous ! Aujourd’hui, on parle de Yeruldelgger de Ian Manook aux éditions Albin Michel. J’ai longtemps entendu parler de ce roman policier se déroulant dans les vastes steppes de Mongolie, et toujours en bien. Cette « lecture » a été un peu différente pour moi parce que je n’ai pas vraiment lu ce livre, je l’ai écouté, en livre audio donc. Comme je l’ai « lu » en voiture sur mes trajets vers le travail, je n’ai pu « lire » que par tranches de vingt minutes ce qui n’est pas toujours un format qui se prête à une telle lecture avec ses moments riches en suspense.
           Lorsque l’irascible commissaire Yeruldelgger déterre le cadavre d’une petite fille d’à peine cinq ans, cela fait revenir des souvenirs dont il ne cesse d’essayer de se détacher à la surface. Et si cette affaire été liée aux cadavres de Chinois retrouvés émasculés le jour même à Oulan-Bator ? Le commissaire, brisé par la mort de sa fille six ans plus tôt va tenter de tirer au clair ces deux affaires, même si cela risque de l’emmener plus loin qu’il ne l’aurait imaginé, le laissant changé à jamais. Des steppes immenses de Mongolie aux bas-fonds d’Oulan Bator, l’enquête risque de réveiller des démons que Yeruldelgger croyait enfouis depuis longtemps.
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          Je suis toujours frileuse à l’idée d’écouter des livres audio, notamment parce que j’ai peur que la voix qui raconte ne s’approprie trop l’histoire et que celle-ci en soit du coup influencée. Au final, je ne saurais dire si c’était vraiment le cas ici mais la voix de Martin Spinhayer a très bien réussi à me plonger dans l’histoire très rapidement. L’acteur modifiait le ton de sa voix selon les personnages pendant les dialogues et je dois dire que cela rendait très bien ! Le récit est bien écrit et très bien mené, il aurait été dommage que la narration altère cela, mais ça n’a pas été le cas, au contraire.
          Ian Manook nous sert ici une histoire d’une grande richesse. L’intrigue découle sur plusieurs niveaux avec à chaque fois des tenants et aboutissants différents selon les personnages concernés, même si au final tout se rejoint. On a ici une intrigue policière « classique », dont découle une seconde intrigue, qui nous mène à l’histoire personnelle de Yeruldelgger qui est peut-être liée aux deux premières. Loin de me perdre, cet imbroglio bien construit m’a donné le sentiment d’une vraie profondeur dans l’histoire.
          La richesse de Yeruldelgger se manifeste aussi à travers l’aspect quasiment ethnologique du roman. Au-delà du dépaysement qu’apporte un roman dont l’histoire se déroule dans un pays dont la culture est assez méconnu (ici, la Mongolie, donc), j’ai été très agréablement surprise par la foule de détails culturels fournis par l’auteur. Il était très intéressant de découvrir finalement une part de leur histoire assez peu connue des occidentaux. J’ai d’ailleurs trouvé que l’auteur a très bien mis cela en perspective, notamment lorsque Yeruldelgger parle d’après la Seconde Guerre Mondiale à Solongo qui découvre avec effarement que des milliers de femmes furent tondues lorsqu’elles étaient suspectées d’avoir collaboré ou de s’être liées à des nazis. Elle s’étonne de ne pas être au courant mais comprend qu’en France, nous ne savons pas spécialement non plus qu’au début du XXe siècle  un homme surnommé le Baron Sanglant a tué des milliers de personnes dont certaines furent ébouillantées ou jetées dans la chaudière de locomotives en marche.
          Au-delà de ça, l’aspect sociologique général est très présent et très intéressant au niveau du contexte. Les Mongols sont un peuple qui a été beaucoup malmené en fonction des différents gouvernements qui ont tenu le pays. C’est un peuple à qui, lorsqu’il était sous la « protection » de l’URSS, on a supprimé et interdit une grosse partie d’une culture pourtant omniprésente dans leur mode de vie. Aujourd’hui, alors que ces interdictions sont levées, ce peuple se cherche une identité, entre traditions et modernité. Finalement cette histoire et l’ethnologie développée dans le roman sont aussi importantes que l’histoire principale. Le roman tourne presque plus autour de la Mongolie que du héros. Je tiens toutefois à nuancer mon propos : je n’ai aucune connaissances sur la Mongolie et son histoire, aussi si ce que je raconte ici n’est pas exact, c’est ce que j’ai appris et ressenti en lisant le roman, je ne m’autoproclame pas spécialiste de la Mongolie !
          Pour revenir à l’histoire en elle-même, comme je l’ai déjà dit je l’ai trouvé vraiment passionnante. Un léger bémol pourtant ; j’ai trouvé dommage que certaines scènes soient trop violentes, sans que cela n’apporte grand-chose à l’histoire. Je sais que c’est un roman policier et que c’est souvent le cas mais je n’ai pas trouvé ça nécessaire. Je pense tout particulièrement à une scène de viol qui n’apporte décidemment rien de plus au récit. Je ne comprends toujours pas pourquoi certains auteurs se sentent obligés de faire violer leurs personnages féminins pour exprimer la violence. J’aurais compris que leurs ennemis étaient d’immondes salauds quand même de toute manière ! Il faut stopper cette banalisation des violences sexuelles.
          Enfin, le second point qui m’a dérangée concerne les personnages. Il y en a foison, des très bons comme de moins bon… Yeruldelgger est un commissaire de police dans la force de l’âge, irascible et torturé par un passé douloureux… plutôt cliché finalement. Sa fille Saraa a mal tourné à la mort de sa sœur au point d’en haïr profondément son père. Bon, pourquoi pas, mais pourquoi la faire aller aussi loin ? La scène de l’interrogatoire entre le père et la fille est de fait particulièrement pénible, notamment parce que Saraa semble plus folle qu’en colère. Les personnages féminins en général manquent aussi d’originalité avec notamment Oyun son adjointe éperdue d’admiration pour lui. D’ailleurs elle parait forte et badass au début mais se transforme comme de juste en jeune femme que l’on doit sauver. De la même manière, Solongo est douce et aimante et attends patiemment que son bien aimé vienne vers elle (alors que sa profession de médecin légiste pouvait en faire un personnage intéressant aussi…) Enfin, au comble du cliché, Erdenbat est juste… méchant. Parce que. Vraiment, ça ne va pas plus loin que ça et je ne peux pas en dire plus sans en révéler trop ! Le seul personnage qui m’a vraiment enthousiasmé est Gantulga, le jeune garçon de la rue, qui apporte enfin un peu de fraicheur et de changement avec son humour et ses airs de gros durs contrebalancé par son jeune âge.
           Une chronique un peu longue pour ce roman passionnant et très dense. Une très bonne découverte que je ne regrette pas malgré quelques bémols qui ne m’empêcheront pas pour autant de lire la suite, pour voir ou tout cela nous mène.
 La citation qui en dit long :
Il y eut pourtant un instant de grâce, au crépuscule, quand une ombre mauve coula sur la région de Sanzai. Les collines érodées et douces ondulèrent dans le couchant, plantées de pins et de mélèzes bleus espacés, et parsemées de vastes prairies argentées immobiles. Le ciel, au-dessus du camp, s'enflamma de rose et de pourpre, courut en longues traînées obliques de petits nuages violets. Le feu de bois embrasait le centre de la clairière et chacun écoutait descendre le soir dans le crépitement des flammes et le sifflement des braises. (...) Il entonna les yeux fermés un chant diphonique traditionnel, dont la mélopée magique toucha le coeur de chacun dans le crépuscule. Deux mélodies dans la même voix, l'une de gorge, rauque et basse, longue, sourde, solide, comme les steppes immenses et millénaires, et l'autre de tête, sinueuse, ondulée, changeante, comme le galop des chevaux libres dans l'herbe affolée par les vents.
 L’anecdote en plus : Ian Mannok, que je croyais être un auteur américain s’avère être en fait un auteur français du nom de Patrick Manoukian. Il est l’auteur de deux récits de voyage sous son nom et d’un roman d’aventure publié sous le pseudonyme de Paul Eyghar en plus de ses romans policiers.
 Le bonnet du lutin : Très content
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 Lecture en cours : La trilogie du magicien noir, Trudi Canavan chez Bragelonne.
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wilwywaylan · 4 years
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- flo-nelja a réagi à votre billet : Book ask: 1, 3, 5, 25
Tu peux me faire de la pub pour les bons livres en question ?
Alors.....
- De Pierre et d’os : l’histoire d’une femme inuit qui est séparée du reste de son clan quand la banquise se fragmente. Elle va devoir apprendre à survivre seule, retrouver un nouveau clan, une nouvelle famille. L’auteure a étudié en détail la culture inuit afin d’écrire un roman le plus fidèle et le plus respectueux possible. C’est une très belle histoire, presque un roman d’apprentissage.
- Les étoiles s’éteignent à l’aube : un jeune homme natif américain apprend que son père, qu’il connaît à peine, va mourir, et son dernier souhait est que son fils l’accompagne dans les montagnes. Au cours du voyage, le père va raconter son histoire, et raconter à ce jeune homme qui est vraiment son père. C’est très beau, bien écrit et prenant, par un auteur natif américain qui retrace dans ce livre le chemin des hommes de sa culture dans la société.
- No Pasaran : Endgame : je vais juste te résumer No Pasaran 1 pour ne pas te spoiler : lors d’un voyage à Londres, trois jeunes, Thierry, Eric et Andreas s’échappent de leur groupe scolaire pour se rendre dans un magasin de jeux vidéo. En voyant un insigne nazi sur le blouson d’Andreas, le vendeur leur donne une disquette et leur ordonne de jouer à ce jeu. Un jeu qui va les projeter dans les plus grandes batailles du XXe siècle et leur faire vivre ces horreurs au sens propre. C’est un roman ado, mais écrit avec beaucoup de maturité, lisible par les adultes, et qui traite de sujets vraiment délicats sans fard.
- Défaillances : un soir en rentrant chez elle par la forêt, Cass voit une voiture arrêtée sur le bord de la route, et ne s’arrête pas. Le lendemain matin, elle apprend que la conductrice a été assassinée. Depuis, elle se sent observée, elle reçoit de drôles d’appels où personne ne répond, et personne ne la croit. La dépression lui fait-elle imaginer des choses.... ou quelqu’un l’a-t-elle vue ? C’est un très bon polar, très psychologique, avec une excellente résolution.
- Heimaey : sur l’île islandaise d’Heimaey, Jacques a vécu l’été de sa vie. Des années plus tard, il décide d’y retourner avec sa fille Rebecca. Mais dès le début de la visite, il a l’impression d’être suivi. Des messages laissés sur sa voiture, des regards en coin... Jacques n’a peut-être pas laissé que des bons souvenirs à Heimaey. Un bon polar mené de bout en bout par Ian Manook, très imbibé de l’atmosphère d’une petite île presque au bout du monde.
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songedunenuitdete · 6 years
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Mato Grosso de Ian Manook
[Chronique de Littlepadfoot] Mon avis sur Mato Grosso de Ian Manook : Un roman qui fait voyager jusqu'au Brésil, mais qui ne m'a pas vraiment dépaysé malheureusement...
Mato Grosso de Ian Manook Nombre de pages :  320 pages Editeur :  Albin Michel Date de sortie :  4 octobre 2017 Collection :  A.M.THRIL.POLAR Langue :  Français ISBN-10:  2226400257 ISBN-13:  978-2226400253 Prix Editeur :  20,90€ Disponible sur Liseuse : Oui, à 14,99€De quoi ça parle ? Mato Grosso. Une odeur sauvage de terre trop riche et d’humus brun. La beauté vénéneuse de la jungle dans…
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osezleslivres · 7 years
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Ian Manook remporte le prix SNCF du Polar 2014 Ian Manook récompensé une fois de plus pour son roman "Yeruldelgger". cette fois il remporte le prix SNCF du polar 2014…
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angelitam · 24 days
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Partageons mon rendez-vous lectures #14-2024 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. L’Inuite de Mo Malo L’inuite de Mo Malo – Editions La Martinière Krummavisur de Ian Manook Krummavisur de Ian Manook – Editions Flammarion Carolyn et John de Stéphanie des Horts Carolyn et John de Stephanie des Horts – Editions Albin Michel En lecture, L’eau qui dort de Fiona Barton L’eau qui dort de Fiona Barton – Editions Fleuve…
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angelitam · 1 month
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Krummavisur de Ian Manook
Krummavisur de Ian Manook – Editions Flammarion Krummavisur de Ian Manook, présentation 1995, en Islande, un avion, une grosse tempête. Ils doivent se poser en urgence. Un passager s’accroche à sa valise. En 2002, un guide et un professeur s’aventurent sur le volcan. Ils découvrent un cadavre dans une faille. De nos jours, un père et un fils sont dans une barque. Avis Krummavisur de Ian…
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angelitam · 5 months
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Partageons mon rendez-vous lectures #35-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Sur tes traces d’Harlan Coben Sur tes traces d’Harlan Coben – Editions Belfond Aysuun de Ian Manook Aysuun de Ian Manook – Editions Albin Michel En lecture, La ronde des mensonges d’Elizabeth George La ronde des mensonges d’Elizabeth George – Editions Pocket Présentation de l’éditeur : Ian Cresswell, neveu et héritier du richissime Lord…
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angelitam · 5 months
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Aysuun de Ian Manook
Aysuun de Ian Manook – Editions Albin Michel Aysuun de Ian Manook, présentation A 106 ans, elle va raconter son histoire et tout ce qu’il y a autour. Checheh gardait les chèvres lorsque les Soviétiques sont arrivés. Toute la famille a été tuée, sauf Tsuyann et Aysunnn qui ont été violées et laissées pour mortes. Avis Aysuun de Ian Manook Retour dans les steppes de Mongolie pour les lecteurs de…
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angelitam · 1 year
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Le chant d'Haïganouch de Ian Manook
Le chant d’Haïganouch de Ian Manook
Le chant d’Haïganouch de Ian Manook – Editions Albin Michel Le chant d’Haïganouch de Ian Manook, présentation 1947, à Meudon, Agop a décidé de rejoindre l’URSS où il est dit que les Arméniens sont les bienvenus. Il laisse Haïganouch et ses deux enfants. En France, c’est la fin de la guerre. Il y a eu des déportations. Plus aucune naturalisation n’a lieu. Avis Le chant d’Haïganouch de Ian…
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angelitam · 1 year
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Partageons mon rendez-vous lecture #40-2022 & critique
Partageons mon rendez-vous lecture #40-2022 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion, Le chant d’Haïganouch de Ian Manook Le chant d’Haïganouch de Ian Manook – Editions Albin Michel En lecture, La petite fille qui aimait Tom Gordon de Stephen King La petite fille qui aimait Tom Gordon de Stephen KIng – Editions Le Livre de Poche Présentation de l’éditeur : C’est exprès que Trisha s’est laissée distancer par sa mère et son…
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angelitam · 1 year
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Bilan de lectures en novembre 2022
Bilan de lectures en novembre 2022
Qu’ai-je lu en ce mois de novembre 2022 ? Une Masse critique Babelio. Un gain concours. Le 10ème sur 21 d’Elizabeth George. Une sélection Bepolar. Le dernier Ian Manook. Un roman de Stephen King. Cela fait 6 livres. Je suis assez contente de moi.  Je vous les rappelle : Spirale du mal de Marc FouquetLe spleen du pop corn qui voulait exploser de joie.Une patience d'ange d'Elizabeth GeorgeDans les…
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angelitam · 3 years
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Partageons mon rendez-vous lecture #35-2021 & critiques
Partageons mon rendez-vous lecture #35-2021 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion, Cédric Sire, La Saignée La saignée de Cédric Sire – Editions Fayard Les terres interdites de Véronique Delamarre et Pascale Perrier Les Terres interdites de Pascale PERRIER et Véronique DELAMARRE – Editions Actes Sud Junior A Islande de Ian Manook A Islande de Ian Mannok – Editions Paulsen En lecture, le dernier Giacometti et Ravenne avec…
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angelitam · 3 years
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A Islande de Ian Manook
A Islande de Ian Manook
A Islande de Ian Mannok – Editions Paulsen A Islande de Ian Manook, présentation Sur un bateau, Lequéré, 25 ans, pêche la morue dans les mers d’Islande. Rivalité à bord pour pêcher le plus. Le Père Auboin aide les naufragés. Marie est Bretonne. Elle travaille comme  infirmière à Paris. Avis A Islande de Ian Manook En 2021, j’ai été, par deux fois, surprise par Ian Manook et ses deux histoires…
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