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#sac à couilles
ascle · 1 month
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La lettre S
S’adonner
Bien s’entendre
Sacoche
Sac à main.
« Vieille sacoche » = détestable femme âgée
Schnolle
Testicule, couille
Scraper
Détruire, démolie
Sécheuse
Sèche-linge
Secondaire
Deuxième palier d’enseignement. Après les 6 premières années du primaire, les étudiants passent 5 ans au secondaire, de 12 à 17 ans.
Secousse
Un intervalle de temps assez long. Exemple: Ça fait une secousse qu’on n’a pas eu de photo de Carole!
Senteux
Personne curieuse, indiscrète
Séraphin
Avare, pingre
Serrer
Ranger, mettre de côté, à l’abri, remiser ou entreposer.
Siffleux
Marmotte
Slush
-> granité
-> mélange des neige fondante et d’eau qui se forme sur les routes où les trottoirs l’hiver.
Sparage
Gesticulation, manifestation nerveuse, déplacer de l’air dans le seul but de distraire.
Expressions
S’énerver le poil des jambes
S’exciter exagérément, perdre patience rapidement, céder à la panique.
S’habiller en mou
Porter des vêtements très conformes le, comme un survêtement sportif ou un pyjama.
S’enfarger dans les fleurs du tapis
Se compliquer la vie pour des riens. S’arrêter à des détails insignifiants.
Sans bon sens
À un degré très élevé. Beaucoup.
Exemple: c’est long sans bon sens avant d’avoir une photo de Carole.
Sauter la clôture
Commettre l’adultère
Se faire passer un sapin
Se faire avoir, se faire duper, se faire tromper.
Se peinturer dans le coin
Se placer soi-même dans le pétrin, se faire prendre à son propre jeu, être acculé au pied du mur par sa propre faute.
Sentir la chnoutte
Sentir mauvais. Dégage de mauvaises odeurs (chnoutte = 💩)
Sentir le fond de tonne
Empester l’alcool
Se sécher les dents
Sourire niaisement ou faussement.
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olympic-paris · 26 days
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saga: Soumission & Domination 256
Arrivées de François et de Pablo
Après ses partiels réussis bien sûr, François a été effectivement transféré à l'école d'ingénieur du coin. Ses résultats dans le haut du tableau lui ont assuré une bienveillance de la part du nouveau corps enseignant mais aussi des réserves de la part de ses collègues.
Les réserves en question se sont vite dissipées devant l'assurance nouvellement acquise par François. Ses parents sont venus l'aménager chez Jona. D'après François, ils ont été favorablement impressionnés par ce dernier et rassuré devant son sérieux et son sens des responsabilités et aussi par l'équipement de l'appart. Ils ont juste trouvé bizarre le sac de sable destiné aux exercices de boxe.
Quand je suis passé les voir le lendemain, ils avaient déjà réorganisé l'appart et les deux chambres avaient laissé place à une seule. Celle libérée, était transformée en bureau double. Je leur ai dit que dans l'enceinte de leur appart, ils pouvaient vivre leur liaison comme ils le voulaient mais qu'en dehors du cercle fermé de mes " employés ", ils devraient se conformer aux désidératas de leur correspondant, et aux miens concernant leur taf d'Escort. Ils m'ont dit qu'ils en avaient bien conscience. Je leur laissais la bouteille de champagne que j'avais apporté pour leur emménagement.
La semaine qui suivit, ils nous ont tous invité pour l'arrivée officielle de François.  Tous mes Escorts avaient apporté un cadeau, consistant principalement en bouteilles d'alcools divers. Vers 22h, les choses ont " dérapées " ! Je crois que c'est Simon et Morgan qui ont lancé la touze ! Deux minutes plus tard, nous étions tous nus, bandants et bandés. Cela faisait longtemps qu'on avait fait une telle touze. Les trois heures qui ont suivies, m'ont permis de vérifier l'état des rondelles de tous mes employés ! Et je peux dire qu'ils ont tous bien suivi mes conseils et que leurs sphincters sont bien nerveux, tout en élasticité. J'ai particulièrement apprécié le petit trou de Maxou et je n'étais pas le seul ! Je crois bien que plus de la moitié d'entre nous l'a enfilé. Entre deux culs, j'ai pu voir PH enculer et se faire prendre aussi comme tous les autres d'ailleurs. Sentir sa bite écarter leurs petit trous, les pénétrer jusqu'aux couilles lentement pour bien profiter le leurs résistances, ou bien la sentir dépasser le fond d'un bouche, pousser son gland dans une gorge alors que son étroitesse le comprime, je ne connais rien de meilleur ! D'après les cris des autres participants, c'était pareil pour eux.
Avant de partir, une fois tout le monde rhabillés (ce qui a été source de franches rigolades, à qui est ce slip ?.... etc.), nous les avons aidés à ranger. Le compte de kpotes usagées a été édifiant ! Heureusement que j'avais apporté plusieurs boites de 24 ! Dans la voiture alors qu'on rentrait au blockhaus, PH m'a fait remarquer que François était maintenant accepté par tout mon petit groupe.
Je vous dis pas les petits yeux que j'avais le lendemain matin ! Je me suis fait foutre de moi toute la matinée. Certain ont même suspectés que Morgan devait être de la partie vu qu'il avait la même tête que moi !
Pendant les vacances de février, Jona et François sont partis une semaine en formation. D'après ce qu'ils nous ont rapportés, les autres participants les ont retrouvés avec plaisir, ils ont eu l'impression qu'ils étaient un peu leurs petits frères. Finie les tentatives de brimades et chacun les aide de leur mieux à appréhender les techniques qui leur manquent. Ils ont notamment été aidés par Pierre (l'ancien beauf qui voulait les enculer) en ce qui concernait le tir au pistolet. Ils m'ont dit qu'ils avaient même remis ça (la baise avec lui) discrètement sous les douches, alors que tous les autres dormaient. La seconde semaine, ils ont bossé en duo pour moi. Sur le père de Jean, les parents d'Ed et p'tit Théo et deux de mes nouvelles clientes, ils ont fait merveille. Chaque " prestation " fais l'objet d'un rapport circonstancié dont j'envoi la copie à leur autre patron. En retour, je reçois les instructions les concernant.
Début février, nous avons vu aussi arriver Pablo de Suisse. J'ai été le chercher à l'aéroport en provenance directe de Genève. J'avais pris la 300C pour ses bagages, mais il est arrivé avec juste deux gros sacs de voyage seulement. Il m'a dit qu'en Suisse il vivait dans une chambre dans les étages de la maison de ses employeurs. L'appartement au dessus des garages chez Emma est meublé mais je lui précise qu'il pourra changer tout ce qu'il veut pour en faire son chez lui. Je suis sûr qu'Emma aura prévu un budget déco. Il me dit qu'il se contente de peu. Je me chargerai avec PH de le pousser à personnaliser son intérieur, j'en toucherai deux mots à Ernesto pour qu'il aille dans notre sens.
Quand nous arrivons chez Emma, cette dernière nous attendait. Elle lui souhaite la bienvenue et lui dit qu'il dispose d'une semaine pour prendre ses repères et que son premier service sera de préparer un diner pour 7 le samedi soir prochain.
Elle nous accompagne à l'appart. Il dispose d'une entrée directe sur la rue. Nous y arrivons par l'accès de la maison au travers de la cuisine puis du garage. Nous laissons ses sacs dans l'entrée et la suivons. C'est un grand T3. Une cuisine tout équipée pour quand il ne sera pas de service, un séjour de 60m² environ avec table de salle à manger et coin salon équipé d'un canapé en cuir et d'un écran plat de grande dimension. Il faut ajouter deux grandes chambres avec grands lits doubles et une salle de bain entre les deux avec baignoire et douche. Pour commencer, elle lui dit de prendre ce qu'il aura besoin dans le frigo de la cuisine de la maison. Pablo lui dit que c'est parfait.
Emma nous quitte non sans m'avoir embrassé sur les lèvres.
Dès que la porte est refermée sur elle, je m'approche de Pablo et lui roule un patin de bienvenue. Mes mains attaquent aussitôt sa ceinture et je m'aperçois que notre bataille de langues l'a fait bander. Je glisse contre lui et embouche son gland puis sa bite. Alors que ses mains se posaient sur ma tête pour l'écarter de lui, le passage de son gland dans ma gorge l'a fait changer d'avis. J'ai le plaisir de voir qu'il porte le cockring que nous lui avons offert à noël. Il se laisse faire et je donne le meilleur de moi-même. Faudrait pas qu'il trouve que l'accueil français laisse à désirer ! Je compte bien lui faire la totale.  Quand ma mâchoire commence à crier grâce, je me relève et tout en lui roulant une pelle, je quitte pantalon et boxer. Le temps de kpoter sa bite de 24 x 6 et je me retourne, en appui sur le dossier du canapé pour lui offrir mon cul. Il m'envoi un " salope " affectueux et m'attrape par les hanches pour m'enfiler. Je sniffe vite fait le flacon de poppers qui ne quitte jamais ma poche. Ce n'est pas du luxe quand on connait la taille de la bête qui va me défoncer la rondelle !
Pablo se connait et il fait attention à me pénétrer en fonction de l'évolution de ma dilatation anale. Mais il y participe aussi et il ne lui faut quand même pas longtemps pour que ses couilles tapent les miennes. Une fois bien au fond, il se couche sur mon dos et murmure à mon oreille un " merci pour l'accueil ". Nous passons la demi-heure qui suit à nous rappeler chacun les spécificités du corps de l'autre. Il sait parfaitement me faire sentir tous les cm de sa belle queue et la forme de son gland. Il me fait des sorties complètes et retours profonds dès que mon anneau s'est habitué à son diamètre. Chaque passage écrasant de son gland contre ma prostate provoque en moi comme une décharge électrique. Je contracte mon cul sur son manche. Il approuve l'initiative et à chaque fois que je serre, il pousse plus fort. C'est très bon !  Il continu jusqu'à nous amener aux portes de la jouissance. Un dernier coup de rein et j'éjacule comme il rempli sa kpote.
Nous finissons de nous déshabiller et étrennons sa douche. Elle est suffisamment grande pour que nous puissions la prendre ensemble.
Quand je le quitte, je lui dis que nous l'attendons pour diner au blockhaus vers les 20h. Je lui croque un plan et lui dit de prendre une des voitures d'Emma. Je crois même que c'est pour lui qu'elle a fait rentrer la DS5 que nous avions vu en traversant de garage. Je l'appelle sur la ligne intérieure à son bureau pour en avoir confirmation. Elle me dit que j'avais bien deviné et que les clefs étaient au tableau dans le sas de la cuisine.
Pablo me raccompagne et nous passons prendre les clefs et allons la voir. Il en fait le tour, s'installe au volant et me dit qu'Emma est vraiment trop généreuse. Je lui dis qu'il n'aura qu'à se défoncer en cuisine pour la remercier.
Il arrive au blockhaus avec 20mn de retard. Il m'explique son " détour " involontaire alors que nous montons au 4ème.
Surprise !!
Il ne s'y attendait pas mais nous avons invité Ernesto et Hervé. Ils viennent d'arriver de Barcelone.
Les deux frères se tombent dans les bras, heureux de se retrouver.
Pendant le diner, Pablo explique aux autres ses conditions de logement et la voiture qu'il a à disposition. Cela fait rire Marc qui commence à bien connaitre Emma.
A un moment il va en cuisine pour demander une précision sur le plat que nous servent Samir et Ammed. Il revient content d'avoir quasiment deviné le truc.
Alors que nous lui proposons de rester dormir ici, il refuse voulant prendre ses marques dans son appartement. Du coup Ernesto décide de partir avec lui nous laissant Hervé sur les bras.
Il me dira le lendemain qu'après avoir visité l'appart, il avait laissé Pablo pour aller saluer Emma avec qui il avait finalement passé la nuit. A la vue de ses petits yeux, je lui ai fait la remarque, en riant, qu'ils n'avaient pas du dormir beaucoup ! A PH et moi, il dira qu'il préfère quand même lui faire l'amour avec nous.
Le samedi après midi nous tirons Pablo dans les magasins de déco. Il ne lui reste que la déco à faire mais rien ne lui plait vraiment. Sur notre insistance, il achète quand même une jolie boite laquée pour mettre le " nécessaire " (kpotes, gels, anneaux divers...).
De mon coté, j'ai une idée concernant ses murs. J'ai vu ça je ne sais où mais j'avais trouvé que cela rendait bien. Avec mes deux compères, nous allons imprimer nos corps recouverts de peinture sur de grandes toiles blanches. Je trouve les quatre châssis entoilés (il en faut un au cas où le premier serait loupé) et de la peinture acrylique bleu. PH me regarde interrogatif.
En fin d'après midi j'explique à PH et Ernesto mon idée. Ils la trouvent bonne, merci !
Nous nous installons dans la salle de sport et après avoir étalé un grand plastique, je pose une toile et avec Ernesto, nous enduisons PH du torse aux genoux. Finalement c'est lui qui se couche sur le dos et nous qui appuyons la toile contre lui, légèrement en biais. Retrait, moche ! Nous avons trop appuyé et les détails musculaires ont disparu dans une grosse tâche bleue.
Le deuxième essai est le bon. Les pecs ont bien imprimés, et les abdos font bien tablette. Le sexe est particulièrement bien réussi.
C'est au tour d'Ernesto. Badigeonnage, pose, résultats conforme. Pas de risque de se tromper sur l'empreinte. Sa bite, même au repos reste la plus imposante des trois. A mon tour. La pression est plus légère mais le résultat est sympathique. Mes tétons se distinguent et mes muscles sont bien imprimés.
Nous les laissons sécher et allons nous doucher. A trois c'est évident que ça dégénère. Nous ne quittons pas l'endroit pour nous faire l'amour. J'apprécie la bite d'Ernesto et m'amuse de la façon différente de son frère avec laquelle il l'utilise dans mon cul. PH fait son jaloux et me dit qu'il ira aussi rendre visite à Pablo ! Je le serre dans mes bras et tout en l'enculant, lui dis qu'il a tout à fait raison. Après l'avoir limé un moment, je cède la place à Ernesto qui l'écarte format XXL.
Je me place alors en 69 avec lui et alors qu'Ernesto rempli sa kpote à grands coups de rein fendant PH, nous nous gavons mutuellement de nos jutes respectives.
Retour au 4ème. Marc et Hervé nous demandent où nous étions fourrés. Eclats de rire de PH et moi. Fourrés = enfilés = enculés !!! Ernesto comprend à son tour et leur dit que c'était l'exacte vérité. Cela ne l'empêche pas de se lover dans les bras de son mec et de réclamer un câlin. J'explique à Marc les tableaux que nous venions de réaliser pour Pablo.
Nous nous faisons pardonner le soir même en donnant nos corps à nos hommes dans une mini touze. A ce propos, Hervé est de plus en plus à l'aise avec sa nouvelle sexualité. Avec Marc, ils s'échangent nos bouches et nos cul comme s'ils avaient fait ça depuis leur puberté ! PH, Ernesto et moi en profitons sans se priver.
Jardinier
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Mon premier fist... partie 1
C'est une soirée dont je me rappellerai toute ma vie je crois... tellement elle s'est bien déroulée.
A l'époque je m'appelais Sophie Delane, j'habitais à Nantes et j'avais un blog sur Erog... oui oui c'était avant Facebook😅
Je discutais avec un mec qui s'appelait Florent et qui était très chaud !
On parlait de baise et tout et tout... puis on s'est donné rendez-vous un soir sur le parking d'un supermarché à Ancenis, histoire de faire connaissance et d'éventuellement aller chez lui après.
Comme il y avait un peu de route ce soir là, j'ai évité de m'habiller trop court au cas où et j'ai pris une mini-jupe dans mon sac à mains.
Me voici en train de prendre la route, j'étais Sophie dans ma tête. Jolie brunette. Petit top moulant blanc et leggings couleur jean avec escarpins à talons.
Je me sentais trop bien, avec cette pointe de stress habituelle quand je sors. Un stress très excitant! Et en même temps, je ressentais un sentiment de liberté incroyable.
J'arrive sur le parking, une Clio est déjà garée. Il est 22h environ et il fait nuit. Des lampadaires éclairent un peu la zone. Je me gare un peu plus loin. L'appréhension est à son comble. Mon cœur bât fort. La peur de l'inconnu, l'envie de faire la pute, tout se mélange en moi.
Je remets mes escarpins que j'avais enlevés pour conduire, je prends mon sac à mains je regarde aux alentours avant de sortir. Personne.
Juste sa Clio. Il me l'avait dit sur un message.
Je sors. Je marche tranquillement vers sa voiture. Je respire. Je fais attention à ma démarche tout en me mattant dans la vitrine du supermarché. Je me trouve trop belle.
Il sort de sa voiture. On se salue. Il est plutôt jeune et beau gosse. Par rassuré non plus de ce que j'observe.
Quelques petites phrases de politesse... il me trouve belle. Je kiffe.
On avait pas mal discuté par messages. Il était beaucoup moins chaud en vrai.
Pour casser la glace et détendre l'atmosphère, je lui propose directement d'aller le sucer dans un coin du parking.
Il n'ose pas. J'insiste.
- Non, pas dans la voiture, je préfère en extérieur. T'inquiète il n'y a personne...
Bref il me suit. Je kiffe. Il me matte, toujours pas rassuré.
J'ai trop envie. Je suis très exhib!
Au coin du bâtiment, je me mets face à lui et je m'accroupis. J'adore. Je me sens très pute. Directe. Cash. Les préliminaire ce n'est pas mon truc!
Je défait son pantalon. Je baise son caleçon et je prends sa bite en main.
Elle est déjà bien tendue. Elle est agréable au toucher. De bonne taille.
Je m'approche un peu et la glisse dans ma bouche. Elle est bonne. Oui toutes les bites sont différentes. La sienne est vraiment bonne. Propre. Douce. Elle durcit vite.
Je m'applique. Doucement au début. Des vas-et-vient de plus en plus profonds. Puis je la léche doucement. Sur le gland avec le bout de ma langue. Puis sur toute la longueur, depuis ses couilles lisses jusqu'au bou. C'est bon.
Agréable. Je suis bien. Je me sens tellement chienne, là, dans la pénombre, à le sucer!
Il a l'air d'apprécier. Je prends mon temps.
Je continue à alterner avec ma langue et ma bouche. C'est trop bon.
Je jouis du moment.
Je le carresse un peu. Ses couilles, que je prends d'une main. Que je malaxe délicatement pendant que ma langue s'occupe de son gland.
Puis à nouveau à pleine bouche. A priori il est satisfait. Je le sens. Ça ce sent.
Un petit moment de recul.
Je l'interroge du regard.
Il vient déjà.
Il ne sait pas quoi faire.
- Tu veux que je mette une capote?
- Non t'inquiète. Laisse toi aller.
- Sûre?
- Oui!
Je l'enfourne profondément pour lui montrer qu'il n'y a pas de sujet. Que j'ai envie. Qu'il peut se laisser aller!
Encore quelques caresses. Je sens qu'il se contracte. C'est imperceptible, mais je le sens. En même temps, dans ma bouche, je commence à sentir le goût de son jus. Ça y est, il jute!
C'est bon. Enfin non.
Le sperme c'est dégueu. Ce qui est bon, c'est d'être accroupie devant un mec et de le sentir juter de plaisir dans ma bouche. C'est la situation qui est bonne! Me sentir rabaissée. Avoir la sensation d'être une salope. De savoir vider un mec. De se sentir à la place de la pire des putes, d'être prise pour un vide-couille. Et en même temps, de maîtriser la situation. D'être à l'initiative. De savoir que tous les mecs, après avoir joui, redeviennent des petits garçons polis et gênés...
Je finis par le lécher avec soin. Je fais toujours cela. J'appuie doucement sur sa bite. Du pubis au gland. Plusieurs fois. Pour tout faire sortir jusqu'à la dernière goutte. Puis je lèche très doucement et assez vite parce qu'un gland est très sensible après l'éjaculation.
Une fois propre, je relâche doucement sa bite qui reprend sa taille normale et je me relève.
Je me détourne pour lui laisser le temps de se rhabiller. Je lui parle doucement.
Il a aimé.
Il est dans le sentiment du regret. C'est normal après s'être vidé. Ça dure quelques minutes. Je m'allume une cigarette. J'ai son goût dans ma bouche.
- Tu viens chez moi?
- ok avec plaisir... je te suis.
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ninorobreaugodard · 11 months
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Y’a des gens ils ont dit même Macron il fait pas ça mddrrrrr
Pr contextualiser: dans la nuit de hier à aujourd’hui, du 28 au 29 octobre 2023, le « combat de l’année » avait lieu en Arabie saoudite. D’un côté Tyson Fury, champion du monde de boxe anglaise poids lourd en titre, un FORAIN. De l’autre côté, my personal favorite; Francis « tape les gens pour vivre » Ngannou, qui représente alors le Cameroun, lui tout droit sorti de la MMA, discipline pour laquelle il a été titré champion du monde aussi.
Et faut savoir qu’enft Tyson Fury, il s’en bat les couilles du combat, il le prépare à peine, il vient pour les billets et il repart le sac plein, alors sûr de gagner.
Ngannou lui, avec humilité, respect et une discipline de fer, prépare le combat et s’apprête à envoyer une patate de 500kg ds la tête du forain.
Le combat a lieu, Tyson se fait knock-down au 3eme round, il boxe à l’envers le frero, il debox mdmdlrlr bon.
Le combat fait 10 rounds, et Tyson est désigné vainqueur aux points
Pr tout les gens qui s’intéressent un minimum au sport, c’est une DINGUERIE que ngannou soit pas désigné vainqueur. Pr certains c’est du vol, pour d’autres « même Macron il fait pas ça » hahaha. Mais pour moi, c’est un affrontement arrangé: Tyson et la boxe anglaise en générale auraient été souillés si Ngannou bousillait le champion du monde comme ça. Alors Ngannou est champion du peuple, Fury garde son honneur, les deux ont le Big bag rempli de sous je pense, et puis voilà tt lmonde est content
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gedjub · 11 months
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161023 Le a monstre
171023 Passer entre les balles, bon, mais passer entre les bombes?
191023 Que les mains proches se croisent.
+ rue de l'ancienne poste: "Ah la peau de mes couilles!" (Devant sa porte, il a fait tombé ses clés.)
+ Les Graulen•ne•s, une population problématique.
Je vois pour la première fois depuis le début de mes visites nostalgiques mon école primaire peuplée d'enfants, je savoure le spectacle, l'ambiance, mais les graulennes surveillantes de cour de récré me crient: "Vous voulez quelques chose?" Je les vois qui me fixent, animales belliqueuses, et caquettent sur mon compte. "Vous voulez un renseignement?!" Je fais non de la main, sachant que je ne parle pas leur langue. "Non? Bon!" Elles m'ont gâché le moment.
201023 parler de ma sensation de petit-grand dans la chambre de maman, en rapport avec les visions minuscules de Giacometti.
211023 À la lumière de la mer, les enfants du wagon ont aspiré des h et crié "MARSEILLE!"
221023 Tata: "Je mange tellement de poisson un jour je vais chier une baleine!"
+ Elle aimait beaucoup Nana Mouskouri, à vouloir lui ressembler. Alors à l'orphelinat elle a fait semblant d'y voir mal, si bien que les sœurs l'ont menée chez "l'oculiste" qui s'est fait avoir tant elle a bien joué, et elle a eu ses lunettes, dont elle a pu choisir la monture: grande, épaisse et noire.
+ "C'est Babeth qui m'a fait découvrir le riz basmatique."
251023 Je m'éloigne et les petites montagnes, vieillissant, bleuissent. Je gagne du terrain loin de ma tante, je revois ses yeux qui plissent, ses larmes du matin sur mes mains qui serrent ses mains, j'entends ses je t'aime après la tempête du réveil, ses problèmes de jambes et de sommeil. Je sors, elle ferme sa porte sur mon sourire d'au revoir.
+ Un gros bâtiment avec une grande mezzanine, l'entrée est de verre et donne sur les deux étages, du grand parquet partout par terre, un lieu où l'on va pour dormir.
+ Aix en PVC
+ J'aime que de grandes choses se fassent dans de petits endroits, comme une réunion secrète dans l'école ou le gymnase du village le soir, les lumières, les ombres et les couleurs de loin à travers la vitre, l'heure tardive, indue, j'insiste.
+ des murs inégaux orange et jaune
+ Au petit étage, mouvements brusques de rideaux clairs se faisant fermer au lever par cause de vis-à-vis avec la boulangerie rue Mignet.
+ rencontré dans la ruelle à droite de la boulangerie d'abord l'ombre de ce monsieur à moustache sur la porte de son cagibi ouvert, puis à la boulangerie, peut-être m'a-t-il suivi volontiers mais il y allait de toute façon, je le crois: "un petit pain au chocolat pour commencer la journée", a-t-il choisi (avec un petit croissant aussi) après nos politesses pour se laisser passer en premier, à qui mieux mieux de moi j'ai tout mon temps. "Ah! Voilà, bien installé !" m'a-t-il lancé en passant pour retourner à son atelier. (Je ne sais pas ce qu'il y a dans son repaire, mais c'était fourbi. Un pêcheur? Il y a de l'eau, ici?) Il a dû aller prendre son petit déjeuner sur la place là. Vais-je aller lui laisser un mot, sur sa porte à ombre?...
+ au sortir de la boulangerie :
C'est la fille qui tient le sac en papier et la mère qui réclame sa viennoiserie.
+ Les sportifs d'Aix. Les sportifs du matin d'Aix, d'Aix le matin. Les sportifs du matin à Aix.
+ que sont les chansons? Qu'est-ce qu'on fait là ? Quels mondes?
+ Pour détruire les mondes, en effacer les expressions/les représentations/le langage.
+ Un cercle de maisons ou d'immeubles plus hauts et colorés qui fait village dans la nature à côté d'Aix.
+ penser à mal, agir en conséquence, puis oublier ce qui a motivé l'action.
+ ce peut être que ces notes présentent, un jour, ma science à moi.
+ à propos de l'événement à l'école primaire au Grau du Roi l'autre jour : Manon a éclairé ma colère et en m'expliquant la réaction de ces graulennes à la lumière de la recrudescence actuelle des violences visant les lieux d'éducation, bon.
+ dur de me départir de ma colère mais je trouve de plus en plus vite le temps de la ramollir.
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apisfange · 2 years
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Un dessert de trop
Le lustre pendait lascivement, ses membres s'étirant en nénuphars lumineux faisant chatoyer les cheveux des deux gourmettes, et ces deux là, grasses comme des bougies, flambaient et fondaient intarissablement dans leurs corsages desserrée. Je me languissais de quitter cette étuve et monter digérer la bouffe qui m'avait à ce point assoiffé ; en haut, sous le ciel de lit décrépit et auréolaire, tel une épave sur un estran que la marée aurait délaissé, j'attendrais que se taisent les couverts et les gloussements. Alors, quiétude.
Il restait encore l'épreuve du dessert — mais bordel qu'allais-je devoir encore ingérer qui me meurtrirait davantage la panse, tout autant ou presque prête à exploser comme les énormes couilles qui couvaient entre mes cuisses et mon bide, bide et couilles qu'il m'était si difficile de faire consciemment la différence, tant les deux sacs, quand bien même leur contenu n'était pas destiné à la même porte de sortie (ni à la même porte d'entrée) se mêlaient l'un à l'autre par leur masse et leur état. Plein et pleines. Il restait le dessert... Se vider, avant. Sybarite ! J'aurai dû me lever, ne pas trop faire racler le banc sur le carrelage en terre cuite, peut-être avec la carafe ou le gros cendrier, j'avais aussi un foulard, au cas où, mais ça n'aurai pas suffit pour les deux. Pas encore pleines.
Je voyais de la vapeur épaisse s'échapper en une nappe inconstante d'entre l'interstice qui séparait la porte et le plafond crasseux de la cuisine, former une sorte de brouillard qui accentuait davantage l'aspect caniculaire de la pièce, et j'avais de plus en plus l'impression de me trouver dans une jungle équatoriale humide et brumeuse. Ou plutôt que c'était dans la pièce que telle jungle il y eusse. « Tu as l'âme du prospecteur et l'amour de l'aventure » m'avait-on dit un jour. Et j'ajoute, j'ajoute, un penchant pour les artefacts tribaux. J'appréciais particulièrement les objets les plus représentatifs de traditions primitives, et je me plaisais à imaginer les rites grossiers ainsi que l'usage symbolique et niais que de tels objets devaient avoir, avant de passer de mains en mains, d'être vendus, palpés, et revendus à nouveau pour s'ajouter aux vitrines de collectionneurs.
La vapeur se déformait si bien avec les mouvements. Il n'y a pas de vapeur dans les vitrines. Gourmettes non par connaissances mais gourmettes per se, proposant ce qu'elles avaient de meilleur, c'est à dire elles-mêmes. Maintenant que j'y pense, si c'était à refaire... Fût-il qu'on ne m'imputât d'y avoir planté la cuillère dans ce dessert, que cela ne dût en rien retirer raison à regret. J'avais été complètement con de ne pas avoir compris que c'était ces deux bonasses, le dessert ! Cette putain de crème brûlée, trop blanche comme une mauvaise imitation. Je regardais son couvercle de caramel et cela ressemblait à la marre de derrière dans le jardin du vieux où il y avait toujours tout un tas de porcs, mais l'hiver, quand elle gelait, il y avait comme ça une fine plaque de glace marron et de la chiasse durcie tout autour qui craquait sous les semelles.
Les tropiques verdoyantes me quittèrent définitivement dès lors que la première bouchée atteignit la brèche que mes lèvres, tant pourléchées quelques secondes plus tôt, n'auraient pas dû former. Trop lubrifiées, elles laissèrent la gélatine flasque s'introduire sans l'obstacle de la friction directement sous mon palais, et lorsque la cuillère ressorti, se répandre en se liquéfiant sur ma langue. Ma bouche fût immédiatement souillée par une infecte sensation de froid qui se dispersa partout, fît geindre mes dents, vînt couler lentement le long de ma gorge. Et cela se répétait à chaque cuillerée, comme un fléau inarrêtable, ô combien malicieux et pervers, car j'étais pauvre de moi inscient de l'irréparable qui se produisait. Quelle force m'avait-elle enjoint à engloutir cette abomination, à bourrer mes entrailles d’une farce de la matière ? Je me revois là le coude gauche affalé et la main droite allant et venant de l’assiette à ma bouche, allant et venant mécaniquement, au lieu de les bourrer elles, fillasses grouinantes, et de la crème je leur en aurais foutu des litres, jusqu’à les crever. Alors quoi, c’est moi qui avait crevé au final, que l’on ne m’abroge pas le droit de me venger dans la fiction, à me faire le pasquin de mes propres erreurs ! Oui.
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msieur-jeremy · 4 years
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Scrotum et Testicules : et si on parlait de BALLSTRETCHERS
#Scrotum et #Testicules : et si on parlait de #BALLSTRETCHERS
Les accessoires pour les testicules, sont ceux que j’utilise le plus souvent en sexe solo ou en duo ! J’adore l’esthétique de ces objets et ils permettent d’accroitre le mouvement de balancier lors des rapports …
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Ballstretchers rouge : https://s.click.aliexpress.com/e/_ANVqyg Sac à testicules : https://s.click.aliexpress.com/e/_AXfEG0 (liens affiliés)
J’ai trouvé sur Aliexpress ces deux…
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lecahiet · 7 years
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23/04/17 : Le Scrotum Universel
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pompadourpink · 3 years
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Hi mum <3 do you any tag/post about curse words/expressions/slang? haha i promise to use it wisely! j'ai besoin de scold quelqu'un ;)
Hello dear,
I made those! Here's some more:
This is nonsense: Tu dis n'importe quoi (neutral)/Tu racontes de la merde (rude)
Shut the hell up: Ferme bien ta grande gueule
No one likes you: Personne ne t'aime
Chill: Calme ton cul
Random ways to express frustration without insulting anyone: Merde, Putain, Fait chier, Chier, Nique sa race, Nique sa mère, Chiottes, Ça me fait trop chier, Bordel, Putain de bordel de merde de sa race (as you do)...
Random insults that technically aren't rude (vocabulary) but still savage and efficient; doubting of someone's intelligence or worth: (agender) Face de rat, Banane + Benêt + Abruti + Neuneu (dumb) Cloporte, Andouille, Grosse quiche, Grosse tanche, Sale race; (f) Pouilleuse, Grande dinde; (m) Tête de noeud, Vaurien, Vieux con (older), Sale plouc, Gros porc (perv), Minable, Fils de chien, Pouilleux, Sac à vin (drunk)...
Same but actually rude: (a) Mange-merde, Enflure, Trou du cul, Raclure, Casse-couilles, Connard, Sac à merde, Sac à foutre, Sale merde, Grosse merde, Gros tas de merde, Lèche-cul (asslicker) ; (m) Sale bâtard, Crétin, Crevard (stingy), Couillon, Salopard, Tête de con, Connard, Sale boloss, Branleur (lazy), Ducon, Enculé de ta mère; (f) Grosse chienne, Pétasse, Connasse, Pouf/Poufiasse, Crevarde (stingy), Salope, Grognasse...
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Bisous!
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Rimbaud et Ta gueule !
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Une manie compulsive que la récupération à la française. Tout ne serait question que de points de vue si cette récupération n’était pas l’œuvre d’imbéciles. Un french kiss dans lequel le sujet doit se soumettre et se conformer à la définition que fait de lui le dominant. Arthur Rimbaud est par définition irréductible. Fugueur de par les routes et de par la vie, des crétins forgent une Légende dorée aux minables dimensions de leurs convenances. Un Rimbaud de pacotille dont les idiots font l’économie de la complexité du Voyant. Ils veulent s’offrir au prix de l’oubli, fruit mûr du temps passé, ce poète épris d’une véritable liberté et détracteur de l’ordre établi. Son insolence égratignait les bien-pensants. Maudit jusque dans l’esprit et dans sa chair. Une malédiction qui échappe à ces bien-nés dont le statut se transmet par héritage. Héritage qui trouve ses origines dans la duplicité et le vol de ceux dont le poète, lui-même, témoigne de la condition. Ils se gavent de distinctions, d’honneurs, de diplômes et de médailles en chocolat. Ils sont enfermés dans une vie sans imagination, une routine sécuritaire, les pieds dans le matériel et les mains dans l’argent, la moralité centrée sur leurs intérêts, sur la propriété et les possessions. Une thésaurisation stoppée au stade de la rétention des matières fécales. Aucune transcendance dans cette réduction de l’existence à la mesure de leur échelle des valeurs bien en-deçà de l’Absolu.
Rimbaud navigue dans les tensions de ses contraires. Il n’envisage pas de les corriger pour asseoir les principes de ceux qui ne veulent souffrir d’aucune critique et pour qui la moindre objection est un affront. Accumulation de contradictions chez ces ennemis pris la main dans le sac et qui, en raison de leur sacro-sainte position dominante, veulent que des paradoxes de Rimbaud sorte le moyen de se racheter une conscience. De leurs petits calculs, lâchetés, mesquines abdications, ces sots espèrent une consolation tirée de l’opportune récupération de celui qui leur cracherait au visage et vomirait sur leurs chaussures. Plus qu’une faute de goût, il s’agit d’une trahison, un crime lèse-poète. Chacun y va de sa récupération teintée de l’innovation ou de conformisme mais tous oublieux de la personne et de la poésie. Poésie qui offre l’occasion à ces pédants d’ériger la bêtise en idolatrines. Ils ne vont pas vous faire prendre des vessies pour des lanternes mais des putes, que les conditions bourgeoises ont rejetées à la marge, pour des saintes-nitouches avides de leur vider les couilles. Que ces bourgeois ignorants crèvent. Le poète fait société avec la vermine des cafés, des bistrots, des cabarets et le pullulement de la rue. Rimbaud, le révolté ébranle les certitudes académiques. Il n’appartient qu’à lui-même. Il abandonnera l’écriture par écœurement de ce milieu littéraire sclérosé dans ses codes et ses pratiques. La poésie, une illusion de jeunesse.
Rimbaud a échappé à sa panthéonade. Ultime insulte d’une tentative de récupération nationale en jouant d’ellipses sur les amours de Verlaine et des passages de vie d’un Rimbaud effleurant la fraternisation avec les communards de 1871. Un Rimbaud participant avec férocité et ardeur à l’ensauvagement d’une France invariable. Ne lui faisons pas trop vite endosser un costume d’idiot utile dans la défense d’une cause quelconque. Rimbaud s’en fout. Il n’a pas de cause à investir. Il a même été pensé d’enfermer Rimbaud dans la chapelle du Symbolisme. Il s’en serait torché le cul.
Rimbaud n’était pas dupe des réalités. Irrespirable la respectabilité de façade qui couvre les scandales, imbuvables ces notables de province qui cultivent le goût de l’apparence dans sa forme la plus cruelle, hypocrite et antipathique. Rimbaud prend la fuite vers l’Orient. Rimbaud l’apatride, hors des frontières et des conventions de son époque, effectue des escapades au cœur de cette immense exploitation de ressources qu’est la géographie coloniale. Sa nature de poète l’empêchera de faire fortune. Rimbaud ne peut être réduit à un archétype bourgeois de bad boy. Pourtant comme ils aiment à distribuer les étiquettes : négros, youpin, bougnoules, beaufs, salopes, lesbiennes, pédés, pauvres, migrants, impies, irréligieux, démunis, immigrés, étrangers, terroristes… et ouvrir des débats pour s’excuser de la merde qu’ils produisent. Des débats de repentance publique auxquels les principaux intéressés ne sont que rarement conviés ou pour prendre une position de faire-valoir.
Rimbaud le voyou, l’apache, le sauvage, le beatnik, le poète maudit, le génie incompris… Rimbaud tout simplement et Ta gueule !
Par Fabrice JUERY
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olympic-paris · 1 month
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saga: soumission & Domination 245
Récit de Jona -1
Je suis arrivé au rendez vous prévu. Un véhicule nous attendait. Je dis nous car nous étions 2 sur le quai de cette gare à attendre. Moi et un autre jeune.
Quelques 5 mn plus tard nous entrons dans une caserne et rejoignons un bâtiment un peu à l'écart. Là, nous nous retrouvons avec 6 autres mecs.
A ce que je peux voir, je suis le plus jeune. Les autres semblent avoir entre 25 et 35 ans sauf un qui parait avoir la vingtaine. Au premier regard, ils paraissent tous être en bonne forme physique.
Nous sommes pris en charge et conduits dans le dortoir : 10 lits séparés par une table avec chaise et une petite armoire. Ils sont tous pareils avec drap blanc et couverture pliés au pied du lit. Nous avons 15 mn pour nous installer et descendre dans le hall.
Je prends un des lits au hasard. A ma gauche s'installe l'autre jeune. Il m'aide à faire mon lit, en m'expliquant qu'il a été pensionnaire. Chacun pousse son sac dans l'armoire et ferme le cadenas à n° disponible.
Nous sommes à temps dans l'entrée. Un type nous y attend pour nous emmener récupérer des uniformes. 2 Battle-dress, 2 pulls kaki, 4 T-shirts blancs, autant de slip et de paire de chaussettes plus 1 paire de rangers noires et deux serviettes de toilettes.
Retour au dortoir pour nous y changer. Nos vêtements civils rejoignent nos sacs et nous enfilons les tenues. Pas de fausses pudeurs, nous nous changeons tous de la tête au pied. Je ne peux m'empêcher de mater discrètement mes acolytes. Si je ne suis pas le seul à avoir les couilles rasées, je suis quand même celui qui maitrise le plus son système pileux. Question muscles, les autres me semble bien balancés aussi.
Retour dans le hall. Nous sommes alors emmenés dans une salle pour les tests dits " intellectuels ". Ce sont les premiers que je fais. Ce sont surtout des tests de logique avec des suites de chiffre à compléter ou des figures à choisir pour finir des séries, plus divers tests de connaissances générales et de français. En tout, rien de bien sorcier, même si je vois certains réfléchir sur certains exercices. Quand nous pensons en avoir fini, ils nous distribuent une nouvelle feuille. Cela dure deux heures.
Nous sommes emmenés à une espèce de foyer où nous attendons l'heure du diner. Il y a des militaires de carrière avec nous. Par effet de groupe, nous nous retrouvons tous les 8 à squatter deux tables contigües. Nous nous présentons tous. Le point commun, nous sommes tous des sportifs accomplis et tous en sport de combat entre autre pour certains. Quand aux occupations professionnelles, à part l'autre jeune (François) qui est étudiant comme moi, les autres viennent de la police ou de l'armée. Notre " baby-sitter " nous retrouve pour nous conduire au mess. L'ambiance entre nous est bonne, même si nos collègues nous prennent, l'autre jeune et moi, un peu de haut.
Après le diner, court passage au foyer et on nous envoi nous coucher de bonne heure.
Je me mets à poil et, une des petites serviettes dans la main, je pars aux douches. Au bout de notre dortoir, les sanitaires ressemblent beaucoup à ceux de vestiaires de sport. Les douches, ouvertes et sans rideaux font face à une rangée de lavabos surmontés de glaces. Alors que je fais couler l'eau, les autres me rejoignent. Ça discute fort et les plus vieux essayent de nous faire peur en racontant des histoires de casernes. Ce coup ci, je peux voir les queues sans que cela se remarque, nous sommes tous à poil ! Les mecs sont soit montés normal, soit au dessus. Moi, avec mes 13cm au repos, je suis dans le haut. Par contre ils se foutent de mon piercing sauf François qui me demande sa signification. Comme nous rentrons à notre dortoir, certaines bites sont gonflées sans être totalement bandées, notamment celle de François.
Je charrie les vieux en leur disant que nous étions les plus jeunes mais surement pas les moins bien montés ! Ça les vexe et nous voilà partis dans un concours à qui aura la plus longue.  Prenez 8 mecs bourrés de testostérones, mettez les dans une même pièce et ça dégénère !! En attendant, je ne suis pas le dernier à me branler pour me la mettre en forme.
Ok, je ne suis pas le mieux monté. Un des vieux, Pierre, me dépasse de presque 2cm de long mais pas plus large. François est monté comme moi, un peu plus fin dans les 19 x 5 et tous les autres sont en dessous de nous, CQFD !
Pierre dit en rigolant, que la plus petite bite devrait sucer les autres. J'entends des " bonne idée ". Je préfère calmer le jeu et leur dis que je ne suis pas contre mais que j'ai l'habitude de choisir mes partenaires. François qui était resté à mes cotés, pique un fard et nous nous couchons sans nous être vidé les couilles. Lumières éteintes, des grincements de sommiers métalliques dénotent que certains se soulagent.
Réveil avant l'aube. 5mn pour se laver et descendre devant le bâtiment.
La tête sous l'eau froide et nous sautons dans nos fringues. En bas nous attend l'archétype du sergent instructeur, une bête massive à la tête patibulaire. Il nous entraine dans un footing qui s'éternise. Après 10 tours complets de la caserne, nous nous retrouvons devant un terrain d'exercices, le parcours du combattant dixit nos militaires. Le sergent, frais comme une rose, demande aux militaires de passer les premiers. Ils nous montrent ainsi les façons d'aborder les obstacles. Avec François, je passe en dernier. Plus léger que les autres, nous survolons les exercices sans difficultés. D'après les têtes des autres, je pense qu'ils devaient être sûrs que nous nous étalerions comme des bleus. Petit déjeuner qui arrive à propos. La fin de matinée se passe assis à plancher sur de nouveaux tests.
L'après midi est plus intéressante avec des exercices de tir. Nos militaires et les policiers font mouche à chaque fois. Je me débouille pas mal au pistolet, avec 60% dans le centre et le reste bien groupé autour. François est à la traine et n'arrive qu'à en mettre la moitié dans la cible.
Les vieux sont autour de moi pour savoir comment j'ai réussi alors que l'instructeur se penche sur le cas de François. Nouvelle série, j'améliore mon score et François aussi.
La soirée commence comme la veille. Je profite du temps libre avant le diner pour aller me doucher. François me suit, j'ai beau être plus jeune de deux ans, j'ai l'impression d'être son grand frère. A discuter avec lui, il vient d'une famille bourgeoise où il n'a pas eu beaucoup d'expérience hors de son milieu. A poil tout les deux, il se met à bander et rougir en même temps. Comme il s'écarte, je lui dis qu'il n'a pas à rougir de sa bite et qu'il pourra toujours faire passer ça sous la douche. Ça le décoince un peu. Comme la veille, les autres nous rejoignent et ça repart Ils sont 6 contre nous et doivent s'être mis d'accord avant de nous retrouver car 4 se liguent contre moi alors que seuls, 2, s'occupent de François.
J'ai un peu de mal à m'en sortir et réussi à sortir de la salle d'eau. Mais comme j'entends que François à le dessous, je retourne dans la mêlée et applique sans vergogne mes connaissance en krav maga pour en étaler 2, avant de me retrouver collé à François, nus sur le sol carrelé de la salle d'eau, les membres entravés par les " survivants ".
Pierre prend alors la parole pour admirer nos p'tits culs et dire aux autres qu'il va leur faire le chemin. Je sens alors ses genoux écarter les miens et son gland se poser sur ma rondelle. Alors qu'il donne un coup de rein, je serre l'anus et il ne peut me pénétrer (merci Sasha pour les exercices de musculation sur plug !). Il réessaye deux trois fois avant de me gueuler de le laisser rentrer que cela me fera moins mal que s'il me tape. Je lui réponds que j'avais dit que je choisissais moi-même ceux qui en avaient le droit. Comme je sens qu'un de mes " tortionnaires " relâche un peu son maintient, j'arrive d'un grand coup de rein à me dégager et j'envoi direct mon pied dans les couilles de Pierre. Hurlements, je me dégage complètement et en étale un autre alors que François se dégage à son tour et avec son karaté en ajoute deux de plus au tapis.
C'est alors que le gradé qui nous avait accueillis déboule et gueule suffisamment fort pour figer tout le monde. Il passe entre les mecs étalés et s'arrête devant Pierre enroulé sur lui, ses mains protégeant ses couilles. Il demande des explications et Pierre lui explique qu'ils ont voulu plaisanter un peu et qu'on avait mal pris les choses. François va pour protester. Je le coupe et lui confirme que c'est ça.
Il nous quitte en nous disant de nous calmer et de prendre des forces pour la journée du lendemain.
J'attends que tout le monde dorme et me glisse jusqu'au lit de pierre. J'ai le temps de lui attacher les mains eu montant du lit en fer avant qu'il ne se réveille. Je lui enfonce une chaussette dans la bouche et lui glisse à l'oreille que je vais faire son affaire à son petit cul puisqu'il avait l'air d'aimer ce genre de relation. Il se débat un peu avant que je lui demande s'il voulait être enculé devant ses copains. Je lui baisse son slip et me kpote, pas question de prendre des risques. Il se défend encore quand je le mets en levrette. Un coup sur chaque cuisse sidère ses muscles et le bloque en position. En souvenir de ce qu'il voulait me faire subir, je ne le lubrifie pas et me plante direct dans sa rondelle. Le gémissement étouffé qu'il ne peut s'empêcher d'éructer réveille François. Il ouvre de grands yeux à me voir sodomiser le " mâle " du groupe. Je donne un nouveau coup de rein et enfile mes 20cm dans le boyau du macho. Arrivé au fond, je me penche sur son dos pour le prévenir que nous avions un spectateur. Il tourne la tête à gauche et voit François. Tout bas je demande à ce denier de prendre mon i-phone et de filmer. Avec l'éclairage de la cour, ce sera suffisant pour reconnaitre les protagonistes surtout l'enculé. Pierre qui entend ça se débat et je dois taper un peu ses cotes pour le calmer. Je me place bien entre ses cuisses et l'encule proprement. Lentement pour que cela soit bien visible sur l'enregistrement puis pus rapidement pour prendre mon pied. C'est chose faite 10mn plus tard, pour lui aussi d'ailleurs ! Je le détache et lui dit qu'il n'a pas intérêt à dire quelque chose s'il ne voulait pas que je diffuse la vidéo à ses potes.
La nuit se fini calmement. Au réveil, comme un des cons voulait remettre ça, Pierre, le premier leur a dit de nous foutre la paix.
Les jours se suivent et se ressemblent. Quelques tests intellectuels et exercices physiques. On nous donne des maillots de bains basics et ils nous testent en piscine. Ce n'est pas ma tasse de thé mais j'ai pris goût chez Sasha avec la nage à contre courant. Je me défends même si François est meilleur que moi. Il est très sexy dans ce maillot moche. Quand je sors de l'eau, il s'en aperçoit et je vois son maillot gonfler aussi. Je me fais fort de finir par baiser avec lui avant la fin de la semaine.
Nous sommes même initiés à la plongée (toujours en piscine). C'est assez stressant la première fois mais trop génial après quelques minutes. Aux séances de tir, François comme moi, nous nous améliorons. Ils nous testent au fusil à lunette où François fait des merveilles avec son calme et au FM plus généraliste.
Les autres passent aussi les épreuves sportives sans problème. Depuis la " mise au point ", nous ne sommes plus ennuyés. Le jeudi je passe à l'attaque après une séance de combat entre nous. Je me suis défoulé sur les machos et je n'ai pas retenu mes coups. Si j'en ressors avec quelques bleus, les autres sont plus colorés encore !
Sous les douches, je vais vers François. Les autres ne l'ont pas épargné et les cotes présentent les traces de coups. Nous nous aidons mutuellement à nous savonner le dos. Je fais attention mais il laisse échapper deux/trois gémissements. Je lui dis que j'ai le baume qu'il lui faut dans mes affaires.
Arrivés au dortoir, je le fais se coucher sur le ventre et commence le massage. Ses muscles se détendent sous la pression de mes doigts et y vais délicatement sur les taches de couleur. Quand il se tourne pour que je m'occupe de ses cotes, je vois qu'il bande ferme. Nous sommes encore seuls. J'écarte la serviette et plonge sur sa bite. Il essaye de me retenir mais j'ai déjà son gland dans ma gorge. Ses mains qu'il avait posées sur ma tête pour me relever, finalement appuies plutôt.
Il me demande ma queue et je me couche en 69. Il suce divinement bien. Sa gorge est douce et elle enserre parfaitement mon gland, surtout quand il dégluti, c'est trop bon ! Je m'efforce de lui rendre la pareille. Il arrive rapidement à me faire monter. Je lui rends le même service. Nous ne nous apercevons que les autres sont arrivés que quand nous nous jutons dessus. Ils font comme s'ils n'avaient rien vu. Nous partons nous doucher rapidement, ensemble. A notre retour, nous enfilons une tenue propre et les rejoignons au foyer. Ce coup ci ils y vont plus doucement. Un des flics nous demande si nous avions pris notre pied. Je réponds, François restant plus " timide ". Je leur dis qu'effectivement nous avions pris un plaisir autrement plus intense que leurs branlettes du début de semaine. Ils finissent par rigoler. L'ambiance se détend autour des bières. Nous finissons par parler de sexe. Certains avouent avoir eu ce genre d'expérience ado mais ils sont tous maintenant de bons hétéros. C'est à mon tour de rire. Ils me demandent pourquoi. Je leur dis que moi aussi j'ai été pur hétéro mais que maintenant je prends le meilleur des deux sexes. Ils peuvent demander à François s'ils ne croient pas que c'est bon.
Ce dernier se décoince et leur confirme que les deux sexes apportent chacun un coté de ce qui est bon en matière de sexe.
Nous finissons la soirée comme des potes
Jardinier
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Humeur du dimanche soir en temps de pandémie à l’appareil bonjour !
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C’est comme si, j’étais au bloc opératoire et que je subissais une anesthésie…qui durerait depuis bientôt huit mois. Comme si les membres de mon corps entier étaient paralysés à mon insu, que seulement mon cerveau fonctionnait. Un peu comme dans un film que j’ai visionné il y a plusieurs années maintenant, où le mec est sur la table froide de métal à se faire ouvrir la cage thoracique, mais que son subconscient n’a pas ingéré la dose de morphine, donc il vit toute la douleur, mais ‘’en dedans’’ vu que son corps est inerte… je feel ça ouais depuis le début de cette putain de pandémie de merde. J’en suis à avoir la nostalgie de ma campagne française perdue du Centre, les champs de colza et de tournesol me manquent. Quand cela fait huit mois que tu veux rentrer, par pur égoïsme, parce que tu veux aller te faire cocooner chez tes parents, en espérant secrètement qu’ils vont te raconter un gros mytho à ton premier réveil en te disant que c’était juste un cauchemar et que tout va bien aller, qu’il ne faut pas que tu t’inquiètes, mais qu’en faîtes, tu ne peux pas parce que … 2e vague… pis certainement une 3e…jusqu’à la fin des temps ? Peut-être…peut-être pas.
Pendant ce temps-là, tu bouillonnes et tu hurles de l’intérieur quand tu vois sur les réseaux que certains vivent leur best life : influenceurs, vedettes de bas étages qui se font la main grasse en te refilant des codes promo de drop shipping, et qui eux se font des restos, BBQ au bord de leur piscine javellisée à foison, qui vont ‘’quad-der’’ dans le désert de Dubaï avec du gros son et qui s’en battent les corones du réchauffement climatique. Pas leur fucking problème… Au contraire, ils nous revendront des échangeurs d’air portables de poches avec boites en or strassée et mousqueton de ceinture pour le transporter ‘’facilement et sans soucis’’ lors de nos marches limitées autour de nos blocs de béton bientôt dans leur storys instagram et leur snapchat de shit.
Je bouillonne et je hurle parce que même si j’ai choisi ma vie d’expatriée, et que je suis frustrée de faire ce que je fais depuis 8 mois, et bien je me cantonne encore à ce que l’on nous insuffle : restez chez vous, pas de réunion, pas de rassemblement, pas de restos, pas de bars, pas de cinéma, pas de concert, pas de danse, pas de câlins, pas de ceci pas de cela : je me cantonne du mieux que je peux même si je suis rendue au point que je vais finir par parler à mes plantes dans pas longtemps parce que je suis plus capable de me parler à moi-même : je me supporte plus, je me radote les mêmes affaires, je casse trop les couilles : range ci, mange pas ça, oh...on pourrait redécorer la chambre hein ? pourquoi t’as pas mis tes chaussettes direct au sale là ?! T’as encore commandé des chaussures ? t’en a pas assez de paires dans l’armoire qui prennent la poussière ?? arf mais quelle plaie sérieux...et de deux : je voudrais bien, après un an et demi… VOIR MA PUTAIN DE FAMILLE !!! JE VEUX ÊTRE CAPABLE DE PRENDRE L’AVION ET DE RENTRER AUPRÈS DE MA FAMILLE C’EST TROP DEMANDÉ ???
 Et quand je vois que, malgré tous mes efforts et mon self-control dont je fais preuve et de la difficulté à ne pas sombrer dans une espèce de sale dépression dégueulasse qui frappe à ma porte chaque putain de matin que Dieu fait, je ne vais certainement pas pouvoir encore une fois rentrer voir mes proches : j’ai vraiment le bouillonnement qui devient sanguin et mes hurlements qui sont dignes de celui d’un démon de l’Enfer. Qu’est-ce qu’il m’avait expliqué l’autre déjà, qui se prenait pour la réincarnation de Gandhi là ? ah oui… Il faut arriver à faire le vide et trouver la paix en son soi intérieur. (des fois Tinder, ça a du bon).
Alors je ferme les yeux, je prends une grande respiration…je me concentre sur ma main qui tapote ma cage thoracique : toudoum, toudoum, toudoum… Je transporte mon inconscient et BIM !
J’atterris dans mon champ de tournesols…j’aperçois au loin une rivière…je me mets pieds nus et je marche dans l’eau froide. Le ruissellement fait des clapotis. Il est midi, le soleil chauffe, il est à son zénith. Je ferme les yeux et apprécie la chaleur sur mon visage. Au loin, j’entends les enfants qui rient et qui s’amusent.
J’atterris tout en haut du Mont-Eden. Je vois la Sky Tower émergente dans la brume de la ville. Le vent souffle fort, il assourdit tous les bruits autour. Le ciel est tellement bleu et sans nuage, qu’il se mélange au bleu de l’océan pour ne faire qu’un comme une infinité azure. Je prends une gorgée de mon Flat White double shot…et je souris.
J’atterris dans l’avion au-dessus de Cairns, avec le moniteur qui me pousse vers la porte et qui m’hurle : Come on Girl, it’s our turn to jump ! Ni une, ni deux le vide infini sous mes pieds, l’air qui me fait un lifting de la face et je plonge en position crabe, hurlant à pleins poumons, en kiffant cette adrénaline de liberté extrême qui te fais te sentir VIVANT.
J’atterris au milieu de la Médina…je respire les effluves d’épices et de thé à la menthe. On m’attrape les mains à chaque recoin des zouks : Madimoizelle…beau sac Channel !! Jus d’orange d’orange ? Viens voir mes belles babouches ! Cornes de gazelles bien poudrées de sucre dans la bouche et douceur de miel dans la main.
J’atterris dans le sable chaud corse, où les bateaux de pêcheurs sont ancrés et virevoltent au rythme des vagues. Bruccio sur mes papilles et chants de cristal dans mes oreilles. Marche dans le haut pays, calme et paix dans l’église du village et limoncello en fin de journée.
J’atterris à Paname, dans une voiture, ADO.FM à fond, dans les embouteillages du périph`, avec les remontées de gasoil dans le pif qui brûlent, à gueuler après tous ces cons qui ne savent pas conduire !
J’atterris en haut de la piste, poudreuse fraiche du matin…mes skis chaussés, mon masque sur le nez, descente à toute vitesse qui te met un coup de fouet.
J’atterris en haut du Stromboli. J’ai passé la nuit ici, à dormir dans le vent poussiéreux du volcan endormi, à la lumière des étoiles d’été.
J’atterris dans le fond de mon cœur : il y a une échelle qu’il faut grimper. À chaque niveau, je revis la passion à l’algérienne, la lasciveté à la brésilienne, la jalousie à la mexicaine, la dévotion à la portugaise, la galanterie à la française, et le bonheur doux à l’anglaise. Je décide de sauter de l’échelle avant le niveau du foutage de gueule à l’international. (J’ai le droit…c’est mon évasion psychologique de bien-être personnel…)
Cette putain d’échelle était haute…toi-même tu sais…mais j’atterris enfin dans une grande baignoire de nostalgie d’un monde que peut-être les moins de vingt ans ne pourront pas connaître, le temps où le monde accrochait ses lilas jusque sous nos fenêtres…oui je plagie Aznavour et alors quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? vous allez me dénoncer…pfff…comme je l’ai dit : C’EST MON ÉVASION PERSO…je suis libre ici, je peux faire ce que je veux c’est pourquoi : Merci d’être passé, mais la porte est derrière vous :  CIAO BYE ET BON COURAGE !!
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vaste-monde · 5 years
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"J'arrive jamais à trouver mes mots, à trouver les bons exemples pour parler de ça en direct avec les gens. Alors j'ai décidé d'écrire ça ici. Alors ça sera pas bien passionnant, ça sera peut être long mais j'ai besoin d'écrire, de vider mon sac. Tout à commencer avec le divorce. Tu t'es mis à faire des différences entre mon frère et moi, j'ai vu comment tu agissais... alors oui pour les gens ce ne sera sûrement rien mais je les laisse vivre comme ça 1 ans et après je les laisserais imaginer vivre comme ça 8 ans. Les différences entre mon frère et moi sont à la fois discrètes et flagrantes : ça va du petit commentaire où tu prends la défense de mon frère a la différence d'argent énorme que tu nous offre. Pour que les gens ai une idée on précisera que depuis qu'il a commencé le foot c'est à dire 4 ans tu n'as raté aucun match, entraînement Sauf quand tu travailles. Je vous laisse imaginer mes samedis après midi... toujours réglé par le foot, donc soit je le regardais soir j'attendais patiemment à la maison, mon frère a le droit de tout et moi surtout de me taire. Ensuite parlons de ton comportement. Là encore rien de bien grave, juste un ado attardé manipulateur. Un ado attardé parce que connecté à la PlayStation, au téléphone, aux filles (pas très habillées ). Parlons de la fois où tu as fait un massage du dos à une de tes amis qui étaient donc en sous vêtements rouge dentelle pendant que mon frère d'à peine 10 ans était dans la pièce, ou encore de la fois où on était tous les 3 au restaurant, que tu as vu une belle fille et que tu as pas pu t'empêcher de la prendre en photo sauf qu'il y avait le flash et tout le monde nous a regardé car tout le monde t'a vu. Tu imagines ce que ça fait à des enfants de vivre ça. Sans oublier toutes tes histoires, au moins une par jour, où tu es un héro, tu fais mieux que tout le monde, tu es le meilleur. Ensuite pour la manipulation il y a tellement d'exemples, dans la globalité on dira que tu retournes la situation à ton avantage devant les gens. La fois où maman à du me prendre alors que je devais être chez toi parce que j'avais l'anniversaire d'une de mes meilleures amies dont tu étais au courant depuis 3 mois et que tu as préfère partir voir ta soeur, mes cousins sans moi sur un coup de tête plutôt que de rester passer un weekend avec moi. Mais c'était de ma faute j'aurais dû dire non à ma copine 1 semaine à l'avance .... la fois où tu n'as pas voulu venir me chercher chez mon copain pour quon passe la journée ensemble parce que ça faisait trop d'essence juste pour une journée ensemble (50km aller/retour que maman fait tout le temps ). La fois où tu mas dit que ce serait mieux si je dormais chez mon copain parce que tu avais invité des amis et il ny avait plus de place pour que je dorme chez toi.... le pire dans tout ça c'est que je te hais pour tout ça mais après tu me dis que c'est de ma faute, que c'est moi le problème et que tu fais tout du mieux que tu peux . J'arrive jamais à ton vouloir parce que je culpabilise toujours. Sauf que cette fois je t'ai répondu,je t'ai dit tout ce que je te reprochait et tu mas dit : "dégage de chez moi ! Tu me casses les couilles j'en peux plus de toi " et là j'étais prête, j'allais partir chez maman et ne plus revenir mais je ne t'ai rien dit tu m'as déposé chez maman pour qu'elle m'emmène à mon rdv comme prévu. Je me suis effondrée dans ses bras une nouvelle fois et je suis revenue chez toi après. Tu as pleuré, tes excusé. Nous revoilà au point de départ et aujourd'hui je suis plus désarmé que jamais je ne sais plus quoi faire, quoi penser. J'ai tellement besoin d'aide. Maman a raison je ne sais pas si je vais tenir comme ça bien longtemps mais je ne sais pas si j'arriverai à te faire ça un jour parce que je suis comme ça. Tu me consumes à petits feux depuis 8 ans et je n'ai jamais osé te faire le coup de ne plus venir alors que ça serait la clé de mon bonheur..... si quelqu'un peut m'aider avant que le feu ne s'éteigne à jamais
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skizzmalo · 5 years
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L’Alchimie
À bloc, rap tendu, rock lourd, électro bizarre, l’autoradio gueulait ma playlist à s’en faire péter les enceintes… Le périph’, puis les quais, à la brune, dans les veines un cocktail tout sauf mondain, weed, valium, margarita… Me faire serrer ? Quand je passe à côté de la volaille en goguette à Bastille, ces messieurs-dames pratiquent l’aquarium dans leur voiture de service, donc tu penses bien ! Il est trois heures du mat’ au compte tour… Y’a de la vadrouille sur le bitume, des clandés qui déambulent, des couples qui titubent, des dealers pressés, des skaters, des têtes brûlés, des gueules saoules, en veux tu en voilà… J’ai de nouveau soif, mais plus les thunes pour aut’chose qu’un kawa. Je me serais bien agglutiné au comptoir pourtant, j’ai envie de nouvelle rencontre, c’est pas souvent… d’ordinaire ma ménagerie perso me satisfait nickel question emmerdement… D’ailleurs, certains d’entre eux s’impatientent sec… Ils bourrent de merde ma messagerie ! “Et où qu’c’est qu’t’es ?”, “ La weed elle arrive ou bien ?”, “putain qu’est-ce tu fous”… Dring-dring,dring-dring,dring-dring, la sonnerie qui rend fou, je vais le mettre sur vibreur tiens ! Et me le coller au bas du dos, ça va me détendre bien… Pas autant que ne le ferait l’aérodynamie que je percute soudain sortir d’une ruelle ! Des courbes pareilles pour si peu de tissus ! Que ne donnerais-je pas pour une tonic-vodka en sa compagnie… Je prie pour qu’elle s’tourne, histoire de mettre le holà au boa qui défigure mon futal… à ces courbes, il y a forcément un point d’orgue… Je suis difficile en faciès, ça sauve mon couple plus que souvent. Mais pour le coup je saurais jamais, la belle de dos s’engouffre dans le troquet où qu’j’aurais bien traîner ma dégaine douteuse de grungy d’origine, en cet été 2003 c’était has-been on ne peut mieux, qu’importe le look tant qu’t’as de l’aplomb…
 C’est pas tout ça, faut que je calte, deux-trois marlous en survet’ ont repéré que je m’endormais au volant… je démarre en trombe, remonte le boul’ Richard Lenoir… je m’vais faire paname en transversale, violer des feux rouges, le spliff au bec, faire couiner sec ma boîte et mes essieux… ça remonte le moral grave, d’être en mode portnawak, v’là que ma playlist s’y mets aussi, du Prong, du Guns, du Thin lizzy… Je prends les virages au cordeau, fait crisser la ferraille des tas de boue mal garés, quelques clampins m’agonisent de mots doux, je le prends pas mal, je leur fais coucou…  J’arrive à Pigalle, y’a foule de keufs, je me calme un peu, je roule tranquillos pour le coup, ça tombe bien, j’arrive en descente de compil’, c’est y pas Marie Laforêt qui cause d’amitié ? Ho et un bluesman, Bo Diddley, carrément… Me v’là déjà avenue de Clichy. Ça se tabasse saignant devant le Mcdo, y’a trois condés qui font le gros dos, en fin de service, bientôt la sieste... ils ramasseront les morceaux après, s’il en reste ! Deux-trois renois sortent d’une épicerie de nuit, chargés comme des mulets de pack de bières danoises, ils invectivent le boss de la place, un reubeu tout en nerfs, le pépère a sorti la machette ! Ça va, ça va qu’ils disent… Ils laisse un pack derrière eux. L’épicier le ramène vers lui sous l’oeil des passants qui presse le pas… J’entends le remugle finissant d’un concert de trip-hop au coin d’une rue annexe… Je tourne pour entendre mieux… Le bar est déjà vidé, y’a juste deux trois pelés qui s’agitent comme ils peuvent devant le DJ et la chanteuse à dreadloks… ça aurait pu faire une sortie sympas, mais bon y’a bien trop de basses, rien que de dehors ça me cartonne chaud la calebasse… Je redémarre sec, ça fera zizir à l’enculé qui me colle aux basques… y pourra p’t’êt’e même faire mouiller sa pétasse, en lui faisant croire que ses appels de phares, ont suffit à démontrer qui qu’c’était qu’avait les couilles dans la place !
 Enfin j’arrive rue de la Jonquière, ma turne et sa faune délètere… J’espère tout haut qui reste encore de la vodka au frigo, ou à défaut un fond de téquila… Je trouve une place de suite, les bobos du quartier ont calté en vacance, ça fait place net aux alentours des trottoirs. Si seulement les clébards pouvaient faire de même.. Je slalome sévère entre les étrons de nuit, je vois même une mamie au coin de ma rue qui participe de complexifié encore le parcours, au bout de sa laisse un gros boxer ! J’ai bien envie de lui dire ma façon de penser, mais j’ai pas le coeur à l’insulte. Les courbes de la belle de dos, moult spectacles du chaos, mon stock-car plein pot, hou.. Comme c’était beau, comme c’était bon… il manquait juste un coin de bistrot… okay, 100 dollar les 25g de white widow, j’allais pas non plus demander à la lune de tourner à l’envers… Je doigte le digicode, tamponne la porte de mon bloc… J’entends que ça chuinte et que ça murmure, j’allume la lumière quand même… Un travelot la prend profond dans le carbu’, par son micheton tout en sueur… Ils tressaillissent, je leur leur dis: “pas de pé”, et les esquive d’un pas de deux, je vois au premier les ombres qui s’excitent à ma fenêtre d’où sort  un filet de dub… J’arrive, j’arrive… calmos !
 Tout le monde m’accueille en disant queud… alors que je m’étais fais chier à remonter quatre à quatre les escaliers ! Eh ben, ça donne envie ! Faire quarante bornes de nuit, la tête dans le sac, pour être ainsi snobé chez soi ! Whoua !!! Tellement j’étais scié, j’avais l’impression d’être l’Amazonie ! J’en fis part à Carl, Jéjé, Mimi et Djida ma promise… Dans ma chambrée, ils étaient tous hypnotisés par la téloche, Jéjé avait ramené sa PS2 et  les persos Capcom se fritaient à toute berzingue contre ceux de Marvel. Jéjé était en train de coller une raclée à Carl qui le prenait pas bien du tout… Mimi et ma femme l’encourageaient et tenaient en vain de déstabiliser mon bâtard de batteur !
__ Eh ben ! c’est du propre ! Même pas bonsoir, ni mes pantoufles… Tous là à squatter mon plumard, la musique allumée dans le salon, pour qui ? Pour les murs qu’en ont rien à branler ! Ha ben elle est belle la jeunesse de France !
__ Vas-y cocotte, t’as pas eu ta dose de câlins ? C’est ça ? Laisse moi finir ton voisin après direct je t’exécute ! Me vanna Jéjé, qui part son Hulk savatait grave un pauvre avorton à tête de lego.
__ Mais vas-y Carl, le tança Djida, active ton super-pouvoir !
__ Y peut pas je le maintiens par terre bien comme il faut !
__ Bon, y reste de la vodka ou de la tek ? quémandais-je au bout d’un soupir.
__ Ben… Il reste du thé et de la bière… indiqua Mimi.
__ Bah vous auriez pu teaser la bière et me laisser un fond de vodka, bande de rapace ! Et qu’est-ce ça sent là ? C’est de..
__ C’est de l’afghan, Slimane est passé, on lui a prit deux barrettes…
__ Super… Et donc t’as plus de thunes pour la weed ?
__ Fallait répondre au téléphone ! Me signifia Jéjé en exultant de sa victoire sur Carl qui se redressa en maugréant diverses imprécations à l’endroit de son adversaire.    
__ Ouais, c’est quoi ces manières d’abord ? Tu t’es pris pour une star ou quoi à nous snober comme ça ! renchéri ma chère et tendre.  
__ Pff… C’est n’imp ! Pour la peine je vais me rouler un oinj’ rien que pour ma gueule…
__ Rien de neuf quoi ! se moqua Mimi.  
__ En plus ta bave et tes pétards biscornus, tu peux te les garder et te les foutre où je pense… Mais en attendant, viens voir papa qu’il te colle une bonne rouste des familles !
__ Ouais vas-y Boulo, fais voir ce que tu vaux au lieu de pigner ! m’encouragea Djida.
__ Au boulôt, Boulo ! Ricanèrent les trois autres.
__ Tss… Vous comprenez rien à l’amour tendre, y’a que moi et Boula qui savons c’qu’c’est d’façon !
__ Allez viens t’installer, j’ai trop hâte de casser tes miches, joli coeur !
    Evidemment, l’enflure qui me servait de meilleur pote, mis ses menaces à exécution, malgré que je parvins tout de même à lui voler un round, bien aider par les attaques verbales et d’autres natures qu’il essuya tout au long de notre partie…
 Quelle était belle cette alchimie, de ma jeunesse dissolue.
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Mise au point.
Nous sommes tous, ici, utilisateurs d’un service appelé « TUMBLR ».
Contrairement à ce que pensent certains, Internet est un outil d’échange et de communication qui est régis par certaines lois nationales et internationales dont celles relatives à la protection de la propriété intellectuelle, artistique, personnelle; la protection des mineurs, etc….. et que l’on s’est tous engagé à respecter en validant les CGU.
  Ceci étant dit, je m’adresse plus particulièrement à @mustaphakawtar par rapport à sa seule publication personnelle qui est injurieuse et d’un niveau tellement bas qu’on risque de marcher dessus.
Si vous avez bloqué colibrinoir dans les minutes qui ont suivi son « coup de gueule », c’est bien la preuve que c’était visé juste.
Sa publication était claire, sans agressivité ni vulgarité, on ne peut pas en dire autant de la vôtre : vulgaire, approximative et mensongère.
Vous nous connaissez, malgré ce que vous écrivez, vous êtes ou étiez de nos abonnés. Mais désolé si nous ne venons pas vous suivre vu la faible qualité de vos publications ; quand à vos copies, nous en connaissons les originaux chez leurs primo-publicateurs.
Je ne m’attarderai pas sur la qualité de votre écriture qui n’est même pas du niveau primaire, plutôt niveau primate.
Quant au monde virtuel de bisounours dont vous parlez, vous en êtes le parfait exemple. Faites ce que je dis, pas ce que je suis. Il ne suffit pas de publier des textes d’amour et de paix pour être le Dalai LAMA, ni d’enfiler un costume pour être un gentleman ; c’est un état d’âme, une manière d’être, une distinction que les autres vous octroient et qui ne se vole pas.
Je suis étonné que vos connaissances anatomiques vous aient permis de savoir que nous avons des doigts et que vous sachiez aussi compter jusqu’à dix ; à moins que là aussi vous ayez recopiez sans en comprendre le sens ?
Au vu de vos publications et de votre première phrase, je comprends votre détresse avec votre entrejambe et vos deux amies, Main droite et Main gauche. Je vous plains si vous croyez que c’est un os, mais cela n’excuse en rien votre attitude et vos propos qui plus que virils sont puérils et niveau bac à Sable.
Au cas où vous ne m’auriez pas compris, je vous traduis dans votre propre langage :
« Sac à Merde, tu fermes ta p’tite gueule. Tu prends ton os et tu te le care dans le cul. Fais pas chier Mémé. Tire-toi ou je te fais bouffer tes couilles. »
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rollingstonemag · 5 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-steve-earle/
INTERVIEW - Steve Earle : "On aurait pu enregistrer un triple-album"
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Ravivant la flamme de son mentor, la légende de la country US Guy Clark, l’outlaw sort en compagnie de The Dukes, un brillant album hommage à Guy Clark
En plus d’une vingtaine de disques au compteur, son rock country teinté de blues n’a jamais déçus. Depuis plus de quarante ans, sa révolte ne s’est jamais apaisée, sa musique bouillonne, gronde sur des albums ombrageux comme Copperhead Road ou Exit O. Songwriter américain engagé, résistant bravement à la « Trumpisation » des esprits, Steve Earle répondait avec humour et franchise aux questions de Rolling Stone…
A l’instar de Townes Van Zandt, Guy Clark fait partie de vos mentors. Dans quelles conditions l’avez-vous-vous rencontré pour la première fois ?
Townes Van Zandt et Guy Clark, c’est un peu comme Jack Kerouac et Allen Ginsberg. J’ai grandis en écoutant les chansons de ces gars-là. Si Townes Van Zandt était pour moi une icône et un conteur hors-pair, Guy Clark lui, représentait tout simplement le symbole de ce qui se faisait de mieux dans la country-music. Ses chansons comme « L.A Freeway » ou « Heartbroke » me faisaient voyager, rêver. Du coup, à 19 ans, j’ai décidé d’aller voir si l’herbe était plus verte à Nashville et  rencontrer enfin mon idole. Je suis parti en stop de San Antonio à Nashville avec juste un sac de voyage, quelques dollars en poche  et ma guitare. Aussitôt arrivé, je suis allé chez lui, sur place. Il m’a tout de suite bien accueilli.
Comment vous a-t-il proposé de devenir son bassiste ?
Guy avait 33 ans à l’époque et il était un peu, comme un grand frère. Depuis déjà quelques semaines, j’habitais à Nashville à quelques pas de son domicile. Un soir, il est venu frapper à ma  porte et m’a dit : « Steve, il faut savoir qu’une chanson n’est jamais terminée tant qu’elle n’a pas été jouée en concert. Donc, demain, tu viens me rejoindre sur scène. Tu prendras la basse, Rodney Crowell est parti, je n’ai plus de bassiste.» Il était comme ça Guy : généreux et imprévisible. Enfin, je dois reconnaitre que ma prestation en tant que bassiste ce soir-là n’est pas restée dans les annales. (Rires.)
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C’est également grâce à lui que vous avez écrit votre premier roman. Quels conseils vous a- t-il donné ?
A chaque fois, que je venais lui rendre visite, il m’encourageait à écrire. On parlait ensemble de Tennessee Williams et Flannery O’Connor. C’est grâce à son soutien sans faille que j’ai pu écrire des romans comme I’ll Never get Out of This World Alive  ou mes personnages sont souvent à la marge, un peu cabossés, avec un faible espoir de rédemption.
En tant que songwriter, quelle est  la chanson dans son répertoire que vous auriez rêvez d’écrire ?
Après son décès en Mai 2016, à 74 ans, il a laissé derrière lui un répertoire considérable. A vrai dire, j’ai toujours profondément regretté de ne pas avoir écrit une chanson avec lui. Alors, me demander de choisir une seule chanson dans toutes ses compositions, c’est quasi impossible. Enfin, comment ne pas rêver d’écrire un jour, un morceau magnifique comme « Desesperados Waiting For A Train » par exemple…
Comment avez-vous sélectionné les 16 titres qui figurent sur ce disque ?
On aurait pu enregistrer un triple-album, tellement on avait sélectionné de chansons. A l’arrivée, ça m’a arraché le cœur mais les seize compositions qui figurent  sur ce disque sont la quintessence du songwriting de Guy Clark.
Dans votre carrière, quel est l’album dont vous êtes le plus fier ?
Sans vraiment faire un choix précis, mes préférences s’orienteraient vers, certainement Copperhead Road  et Guy, le petit dernier.
Sur la chanson « The Devil’s Right Hand », extrait justement de votre album Copperhead Road, vous évoquez la culture des armes à feu aux USA. Comment jugez-vous la situation aujourd’hui ?
Le bilan est catastrophique. La NRA tient par les couilles tout l’Establishment de Washington et les sénateurs américains ne bougent pas le petit doigt. Ils s’attristent sur les fusillades et passent aussitôt à autre chose. J’ai toujours pensé que le vote pour Donald Trump n’était pas une chose saine et productive. On en a la preuve aujourd’hui.
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Quelle est la pensée qui vous vient à l’esprit quand on évoque Donald Trump ?
Il est capable de dire tout et son contraire du jour au lendemain. A la Maison Blanche, il fait la pluie et le beau temps. Comme personne ne s’oppose frontalement à Trump, la voie est libre pour lui jusqu’en 2020.
L’an dernier, vous avez participé à la LSD Tour, aux côtés de Lucinda Williams et Dwight Yoakam.  Comment était l’ambiance sur scène ?
C’était très agréable. L’idée de monter une tournée de plusieurs dates avec les initiales de nos prénoms, j’ai trouvé ça plutôt original et drôle. Lucinda Williams est une reine de l’Americana. Quant à Dwight et moi, on se connait depuis 30 ans. Au milieu des années 80, on était peu nombreux à évoluer dans l’Alt-country et le Cowpunk. Il y avait Randy Travis, Lyle Lovett, Dwight Yoakam et moi. Avec Dwight, on est restés très complices. Question couvre-chef, personne ne peut se tromper. Lui, c’est plutôt Stetson scotché sur la tête. Moi, c’est plus  sobre, genre bandana. (Rires.)
Quel regard portez-vous sur la scène country de Nashville en 2019 ?
Aujourd’hui, Nashville c’est loin derrière moi. Voilà plus de 14 ans que j’ai quitté cette ville pour New-York ou je vis désormais. J’avais besoin de changer d’air, de me lancer de nouveaux défis, comme  écrire une pièce de théâtre sur un sujet sensible qui me tenait à cœur. C’est dans cet état d’esprit que j’ai rédigé en 2005  le texte de ma première dramaturgie, intitulée Karla, qui a été rapidement mise en scène sur Broadway. C’est une pièce qui parle de la première femme exécutée au Texas, Karla Faye Tucker. Ayant fréquenté physiquement les prisons américaines suite à un problème d’addiction à l’héroïne, j’ai toujours été sensibilisé par la cause des détenus qui attendent leur sort dans le couloir de la mort.
Vous préparez déjà un nouvel album ?
Oui, je bosse déjà sur mon prochain disque. J’en ai  déjà une petite dizaine sous le coude. J’aime bien l’idée de laisser macérer les chansons dans leur jus, de les entretenir comme un jardinier attentif regarde poussé ses plantes. Et puis, un jour, arrive  le moment de la cueillette, c’est qu’il est temps de rentrer en studio. Je pense que l’album sera prêt, juste avant les élections américaines de 2020.
Philippe Langlest
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