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#saint-bonnet du gard
philoursmars · 10 months
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La semaine dernière, j'ai retrouvé mes amis Julien et Katie à Remoulins dans le Gard (Languedoc).
Le petit village de Saint-Bonnet, dans le Gard, mais on sent l'ambiance provençale : platanes, fontaine, vieux sur leur banc...
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alsa49 · 11 months
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MARIO TOZZI (Fossombrone 1895 - Saint-Jean-du-Gard 1979) - Le bonnet basque (Lo specchio o Le miroir o La glace o Il pittore e la modella), (1928) olio su tela, cm 81×65 Siena, Collezione Banca Monte dei Paschi di Siena
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isamarasdiary · 28 days
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Jour 3
On décide de commencer à mener noter enquête. Il semblerait que nous ayons complètement oublié notre objectif principal qui était de ramener de l'aide au navire...
Heureusement lorsque nous arrivons à la capitainerie, on nous dit que le commandant est parti à la rescousse de l'équipage du navire. Nous discutons avec l'un des gardes, qui nous donne difficilement les informations. Nous apprenons néanmoins que des créatures essaient de faire leur loi sur la mer et qu'elles attaquent souvent les nuits sans lune. Cela concorde avec les informations du barman.
On décide ensuite de nous diriger vers le phare, c'est une marche douloureuse, les escaliers de l'Académie sont moins ardus à gravir. Un autre garde se trouve devant le phare. C'est étrange que le phare soit gardé. La conversation est ardue mais il nous révèle qu'il arrive parfois que le phare soit perçu comme éteint ou comme ayant changé de place. Il y a d'ailleurs eu un gros naufrage il y a quelques mois et que les sirènes - les naufrageurs - en sont à l'origine. Il nous indique également qu'il y a des ruines sur la falaise et des inscriptions.
Mais nous ignorons allègrement ses directives et retournons en ville, à la rencontre des assureurs et des avocats. Le vieux, très très très vieux, Maître Tordu nous reçoit. Il nous explique qu'il monte un dossier avec les victimes des naufrages et propose de nous intégrer au dossier pour la modique somme de 100 pièces d'or. Je me retiens de rire.
Nous allons ensuite à la forteresse dans laquelle se trouve le bureau de Ravelor. Nous avons trois étages à monter, au premier étage se trouve un ogre. Evidemment, mes compagnons s'approchent pour le harceler alors que le pauvre ogre n'avait rien demandé à personne.
On arrive (enfin) dans le bureau de Ravelor qui nous explique qu'il cherche des aventuriers pour enquêter sur un site archéologique et y récupérer tous les objets magiques. En échange il nous propose 25 pièces d'or par personne. (il va sans dire que le nain tente de négocier, je ne comprendrai jamais les coutumes des nains)
On découvre que l'ogre s'appelle Saint-Gris. Il mérite amplement son nom.
On va alors vers l'extérieur de la ville et on s'enfonce dans la forêt. Nous trouvons rapidement l'illusion et la traversons pour nous retrouver au milieu d'une clairière. Après quelques investigations, nous rassemblons des vases et des tablettes. Un peu plus, se trouve un cercle de champignon et lorsque nous nous approchons, un gnome ��trange apparait! Mais ce n'est pas un cousin de Kimchi, bien qu'ils se ressemblent beaucoup, c'est un bonnet-rouge! Nous parvenons à le vaincre et Téthys s'empare de la dent qu'il a laissé. (pourquoi ?)
Nous réalisons que les bonnets rouges apparaissent toujours en nombre impair sur les lieux d'un crime.
Nous faisons une pause bienvenue et Kimchi découvre une amulette. Elle semble être magique. Sans plus réfléchir, Kimchi la met autour de son cou. (pourquoi ?) Et il est à présent capable de lire les tablettes :
En l'an XX, la délégation du roi XX se réunit en vue de l'élection du Haut-Roi
Téthys remarque alors un cerf blanc. Kimchi dégaine sa cornemuse (pourquoi ?), sans succès, mais il arrive à charmer le cerf qui nous montre quelque chose dans l'étang. Il s'agit d'une dague! Que Téthys choisit de garder. (pourquoi ?)
Nous retournons enfin à Bon-Thon. Il est tard et, comme promis, nous avons une chambre qui nous attend. Nous remarquons un miroir sans teint. Le nain se déshabille et se met à danser devant le miroir qui se brise. Je comprends.
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christophe76460 · 2 months
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*Ⓜ️ANNE QUOTIDIENNE* 🥐☕🌭
_Un guide de dévotion journalière_
*MARDI 0️⃣2️⃣ AVRIL 2️⃣0️⃣2️⃣4️⃣*
*📡NE RETENEZ PAS LES SALAIRES*
*📖TEXTE: LÉVITIQUE 19:1-13*
*🔑VERSET CLÉ*
*_«Tu n'opprimeras point ton prochain, et tu ne raviras rien par violence. Tu ne retiendras point jusqu'au lendemain le salaire du mercenaire»_(Lévitique 19:13).*
*✍🏼On raconte l'histoire d'un magnat des affaires qui avait l'habitude d'engager des entrepreneurs pour travailler pour lui. Au départ, il payait 80% du montant du contrat, avec la promesse de payer le solde à la fin des travaux. La marge bénéficiaire étant toujours inférieure à 20%, l'entrepreneur devait généralement emprunter des fonds supplémentaires pour achever les travaux. Une fois les travaux achevés, le paiement du solde devenait problématique. Pour soulager l'entrepreneur, on lui confiait de plus en plus de travaux. Ainsi, les 20% s'accumulaient pour former des millions de dettes impayées. Les tentatives pour récupérer l'argent étaient généralement repoussées avec la menace que l'affaire soit réglée devant les tribunaux. Et comme la procédure judiciaire est généralement lente dans ce pays et que le «gros bonnet» a de bonnes relations, les entrepreneurs désemparés laissaient l'argent avec d'énormes dettes sur les bras.*
*Le Seigneur a ordonné à Israël d'être saint parce qu'Il est saint. Et comment cette sainteté doit-elle se manifester ? En honorant ses parents, qui sont les représentants de Dieu sur terre, en observant fidèlement le sabbat, en n'adorant pas les idoles, en apportant à Dieu des sacrifices d'actions de grâces et de communion, en survenant aux besoins des pauvres, en respectant la vérité et en payant rapidement le salaire des ouvriers embauchés.*
*Dans un monde où «la force fait la loi», les droits des moins privilégiés sont souvent bafoués par les riches qui s'enrichissent de plus en plus aux dépens des pauvres. C'est pourquoi l'apôtre Jacques, inspiré par l'Esprit de Dieu, a mis en garde les riches avides: «Vos richesses sont pourries… Votre or et votre argent sont rouillés… Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie, et les cris… sont parvenus jusqu'aux oreilles du Seigneur des armées…» (Jacques 5:2-4). Dieu déteste que le pauvre soit maltraité. Il a horreur de l'injustice. Que tous ceux que Dieu a bénis utilisent leurs richesses avec sagesse.*
*🧠PENSÉE DU JOUR*
*Ne punissez pas le pauvre. Payez-lui son dû.*
*🗃️La Bible en UN AN*
*PSAUME 11-18.*
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franckdoutrery · 5 months
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L’homme de la Saint-Sylvestre
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Au jour de l’An, les habitants de la Nouvelle Zélande ont le privilège (dont ils jouissent d’ailleurs tous les autres jours) de voir le soleil se lever bien avant nous. L’astre surgit à l’est et inonde la mer d’une « aurore aux doigts rosés », selon l’expression du vieil Homère. Aussi sont-ils les premiers à entrer dans le Nouvel An, sans avoir jamais fait quoi que ce soit pour mériter cette faveur. C’est l’heure à laquelle ils sortent dans les rues pour faire un charivari avec tous les ustensiles de cuisine qui leur tombent sous la main : casseroles, bassines, marmites, qu’ils cognent comme des grosses caisses de fanfares, afin de chasser les mauvais esprits. Ceux-ci s’enfuient la queue entre les jambes (des queues et des jambes d’esprits, j’entends) et sans demander leur reste. 
Pendant ce temps, la Terre continue de tourner autour de son axe incliné, permettant aux océans et continents d’accéder au Nouvel An au gré des longitudes. Les derniers à tourner la page du 31 décembre sont les habitants de l’archipel d’Hawaï, perdu depuis toujours dans l’Océan Pacifique. Or le monde étant rond comme une pastèque, il eût suffi que le méridien de Greenwich se déplaçât de quelques degrés vers l’est – disons d’une tranche verticale du fruit –, pour que les Hawaïens soient les premiers à amorcer le Nouvel An. Mais comme l’évangile leur fut jadis prêché par le Père Damien à Molokai, ils se consolent à l’idée que « les derniers seront les premiers ». 
Entre ces deux extrémités du globe et les décalages horaires qui s’ensuivent, l’homme réveillonne de la façon la plus diverse. Les anciens Aztèques (du moins ceux de Jacques Soustelle) croyaient que le Soleil, qu’ils appelaient Quetzalcóatl, menaçait de disparaître tous les quatre ans à minuit, si on ne lui sacrifiait quelques milliers d’hommes. Ce qui ne se fait plus. Du moins pas au Nouvel An. Désormais l’homme boit du champagne et embrasse ses semblables sous le gui. Parfois il met le masque de Fernandel ou de Poutine, sort cotillons et serpentins et danse une folle farandole. D’autres fois, pour une raison connue du seul Danois, il se déchausse, monte sur une chaise et attend le douzième coup de minuit pour en descendre. (Où l’on voit qu’au Danemark, l’homme ne monte jamais sur une chaise sans ôter ses souliers ; suivons cet exemple édifiant !) Ailleurs encore, comme en Russie, il ouvre portes et fenêtres pour laisser entrer le Nouvel An. Si le premier passant franchit le seuil en avançant le pied droit, l’année sera faste. Sinon, gare au mauvais sort ! 
Et que l’homme ne mange-t-il pas à la Saint-Sylvestre ! Une cuillerée de lentilles au Portugal, une carpe farcie dont il garde les écailles porte-bonheur en Pologne, un raisin sec à chaque coup de minuit en Espagne, un gâteau de riz au lait truffé d’une amande en Norvège, des fruits ronds qui favorisent la prospérité en Italie, des lamelles de thon blanc à Hawaï. Et que ne boit-il pas ! Outre du Roederer ou du Veuve Clicquot, il sort de derrière les fagots des Pétrus millésimés, des Châteaux Margaux, voire des alcools forts, des eaux-de-vie titrant 60%, des chartreuses, des fines ... 
Et puis il y a les étrennes ! Depuis au moins quinze jours, l’homme se soucie de son prochain. A preuve, il s’interroge sur le cadeau à offrir à son grand-père, qui n’en a plus pour longtemps et dont il espère hériter la montre à gousset et la veste en velours côtelé. L’ancêtre pourrait recevoir une cravate italienne en soie, mais c’était déjà la surprise de l’année dernière et il s’en est servi comme ceinture de pyjama. Un passe-montagne, voilà ce qu’il lui faut, vu le peu de cheveux qui lui reste ! Un bonnet crocheté avec toutes les couleurs de l’arc en ciel. Mais chut, c’est un secret ! Et que recevront les enfants ? Un bilboquet par ci, un cheval bascule par-là. Un meccano peut-être, ou un Nain jaune ? Car l’homme se souvient du sage soufi disant : « Ce que tu donnes est à toi pour toujours, ce que tu gardes est perdu à jamais ».
Sitôt les cadeaux déballés, on passe aux résolutions. Car il en faut à chaque réveillon. Dans une nuit où les spiritueux déteignent volontiers sur le spirituel, l’homme en formule qui ressemblent tantôt à des vœux de confessionnal, tantôt à des serments d’ivrogne. Pour perdre du poids, il promet de faire du sport. C’est ainsi que dès demain, installé confortablement dans son canapé en cuir caramel, il regardera la finale de rugby à la télévision. Et pour pouvoir serrer sa ceinture d’un cran, il ne touchera plus aux friandises. Ni aux mignardises. Il se couchera sans dessert mais avec une pastille contre les reflux gastriques ou une tisane d’une haute valeur dormitive. Et dans son rêve, il entrera dans l’année nouvelle par une porte dérobée, qu’il franchira du pied droit. 
Et c’est ainsi qu’Allah est grand.
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gwada2022 · 1 year
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Troisième volcan et je ne le vois toujours pas
Après la pluie a l’Arenal au Costa Rica et le guide sicilien qui ne voulait pas nous montrer l’Etna, je crois que je peux dire que j’ai la malédiction des volcans.
Réveil de bonne heure et bonne humeur, tenue du randonneur, petit dej en un quart d’heure et direction la station des bains jaune pour le début de l’ascension. Les premiers signaux de la pluie fine et des nuages bas ne sont pas rassurant. Petite escale à notre dame de Guadeloupe (on aurait du poser un brevet de celle qui nous garde) et je peux attaquer la montée sans presque pas me perdre (et oui la visibilité ça se complique) qui est agréable avec un vent à faire rougir le mistral tout en haut quand même.
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On croise toujours un phénomène qui n’est pas du tout habillé pour faire de la rando … on la reconnaît facilement avec ses baskets, sa jupe et son bonnet de mère Noël 🤦🏻‍♂️
Au sommet des 1467m de la soufrière, on ne voit rien à 2 mètres devant mais comme dit orelsan l’important c’est pas l’arrivé c’est la quête. Le retour se fait facilement et je croise beaucoup de monde, en fonction s’ils sont gentils on rigole et je fais des blagues. S’ils sont pas trop sympa, c’est à dire qu’ils ne laissent pas passer ou disent pas merci ou maillot du PSG je leurs mets un peu le stress 🤣. Je finis part un moment de relaxation dans des bains chauds parfait pour les courbatures avant de reprendre la route.
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J’enfile un maillot de bain, un teeshirt et direction le sud de basse terre avec un premier stop à vieux fort un superbe petit village de pêcheur et un phare magnifique en face des saintes pour me détendre et me laisser divaguer quelques minutes.
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En route 3 rivières avec une escale à la pointe de la grande anse pour manger un bout (elle me dit que le poisson c’est de la dorade la serveuse 🤔) et me prendre un bain sur une superbe plage de sable noir avec des vagues de batard, où j’ai plongé comme un gamin la tête la première pendant 20 minutes.
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Une meuf tinder me recommande fortement une ballade magnifique à proximité elle dure 2h30. C’est la que je me dis que j’ai bien fait le moment relaxation courbature au bain jaune! Mais franchement ça en valait la peine. C’est en mode sentier du littoral avec la possibilité de faire une balade culturel bon sans guide mais de croiser des canons, un moulin, des dessins sur des pierres, une cascade à la fin… franchement j’ai adoré ! Super dépaysant, j’ai croisé presque personne (d’ailleurs un peu flippant avec la tombée de la nuit quand même), la vue superbe je l’ai adoré.
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Pour la remercier le soir nous avons mangé ensemble dans un resto dans la marina a goûter des spécialités comme les accras, frite de patates douce et flan coco ! Une soirée agréable car pas mal de conseils pour la suite du séjour, mais rien de plus car entre ses photos et elle il y avait quelques litres de rhum !
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hexaconto · 2 years
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Choisir son expert-comptable à Saint-Bonnet-du-Gard - 6 critères incontournables
Choisir son expert-comptable à Saint-Bonnet-du-Gard – 6 critères incontournables
La région de Saint-Bonnet-du-Gard compte moins de 10 experts-comptables. En tant qu’entrepreneur, dirigeant ou créateur, cela vous fait donc autant de possibilités pour choisir l’expert-comptable adéquat qui vous
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hogbu · 2 years
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Saint-Bonnet-du-Gard par Ph. Nauher
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Slow Burn, BatB fic, StanFou, chap 14
Stanley étendit le tissu sur la grande table, le lissa à grands gestes efficaces, puis épingla dessus le patron qu’il avait passé une journée à modifier pour le faire correspondre aux mesures de la cliente. Il ne se sentait pas très sûr de lui, c’était une robe d’une mode nouvelle, avec une jupe supplémentaire par-dessus la première, et une espèce de petite capuche au col. Il vérifia dix fois que tout correspondait, qu’il n’avait pas oublié les espaces pour faire les ourlets, qu’il n’avait pas emporté par erreur les morceaux de patron où il s’était trompé, puis commença à découper. Le tissu était une soie somptueuse, d’une magnifique qualité. La cliente avait payé d’avance pour les fournitures, que le père de Stanley avait commandé en priorité et reçues la veille. Comme pour tout ouvrage avec un tissu aussi cher, Stanley avait des sueurs froides à l’idée de se tromper. Il avait pourtant pris la peine de faire un modèle d’essai avec le tissu de quelques vieux draps, mais l’angoisse était toujours présente.
Ses sœurs étaient déjà en train d’assembler et de presser des volants plissés pour lui faire gagner du temps. L’ouvrage était de taille, les délais serrés.
La découpe se déroula sans accroc, et Stanley profita du fait qu’Éloïse avait pris sur elle les ouvrages de retouches pour entamer l’assemblage sans attendre. Il alla s’installer dans son fauteuil habituel, profitant de la lumière pâle du soleil de début d’hiver pour y voir clair. Le temps d’enfiler plusieurs aiguilles d’avance pour gagner un peu de temps et Stanley commença par le corsage. Il était concentré sur sa tâche, le visage totalement inexpressif, l’attitude recroquevillée sur son ouvrage. Il fallait que cette robe soit parfaite, et elle le serait. L’ambiance feutrée de la boutique, qui lui arrivait par la porte ouverte, le berçait dans cette transe où il se mettait d’ordinaire, qui le faisait travailler vite et bien.
Il entendit la clochette de l’entrée de la boutique grelotter et des pas pointus frapper le plancher.
La voix aigre de Clothilde retentit.
- Bonjour Clothilde, salua madame Laurent.
- Bonjour madame. Mon bonnet est-il prêt ?
- Un instant, je vais voir.
Madame Laurent chercha dans la boutique, demanda à ses filles qui lui dirent que l’ouvrage était dans l’arrière-boutique.
- Stanley ! Tu peux m’apporter le bonnet de Clothilde, s’il te plaît ?
Clothilde toussota.
- Ne pouvez-vous pas venir le chercher vous-même, madame ?
- Voyons, Stanley est juste à côté en train de travailler à une commande, ça ne lui prendra que quelques…
- Je préfère que Stanley ne touche pas mon bonnet, asséna Clothilde.
Stanley s’était réveillé de sa transe à l’appel de sa mère, s’était levé, avait repéré le bonnet qui trônait sur un buste de bois léger et s’apprêtait à l’apporter, mais s’arrêta net.
Madame Laurent regarda Clothilde avec étonnement.
- Pour quelle raison voulez-vous que Stanley ne touche pas votre bonnet ?
Clothilde se redressa sur toute sa hauteur.
- Je ne veux pas qu’il le salisse.
Madame Laurent fronça les sourcils. Les triplées interrompirent leur travail et regardèrent alternativement leur mère, leur cliente, et Eliana distingua Stanley, qui avait posé l’ouvrage près de la porte et qui craignait de comprendre ce dégoût soudain.
- Mon fils a les mains impeccables, madame, annonça Madame Laurent de ce ton paisible qu’elle prenait quand elle commençait à se mettre en colère. Il n’a jamais entamé un ouvrage sans s’être lavé les mains. C’est une règle de base chez les ouvriers du textile.
- Y compris lors des leçons qu’il donnait à LeFou ?
Stanley sortit de l’arrière-boutique. Il jeta un regard à Eliana qui s’occupa du bonnet.
- Bonjour Clothilde. Si vous avez quelque chose à me dire, faites-le en face.
Clothilde rougit de voir Stanley face à elle, mais elle continua sur sa lancée.
- Je… Je ne remets pas en doute tes capacités professionnelles, mais…
- Je ne suis pas modiste. Je ne me suis pas occupé de votre ouvrage, je ne fais que les vêtements. En revanche, il semble que les ragots nous visant, LeFou et moi, sont bien à la mode ces temps-ci.
- Ce que vous faites est contre-nature ! Cracha la femme.
Madame Laurent s’interposa immédiatement entre la mégère et son petit, mais Stanley s’avança, écarta doucement sa mère.
- Va m’attendre dans l’arrière-boutique, maman. Dis à Eliana d’apporter la commande de Clothilde.
- Mais mon chéri…
Stanley embrassa sa mère sur le front.
- Tout va bien se passer, maman. Je m’en occupe.
Madame Laurent eut un regard pour la femme qui agressait son fils, puis pour Stanley.
- Fais attention, mon cœur.
Puis elle emmena ses filles, laissant Stanley et Clothilde seuls.
- Alors, comme ça vous vous intéressez à LeFou et moi ? Comme c’est étonnant.
- Le Seigneur condamne à l’enfer les gens comme vous, fit Clothilde avec un air de dame patronnesse.
- Et comme vous êtes une sainte femme, débordant d’inquiétude pour son prochain, vous vous êtes noblement chargée de venir importuner ma mère et mes sœurs pour venir me dire ça ici, ironisa Stanley.
- Vous faites des choses monstrueuses !
- Tiens donc ! Alors, cela voudrait-il dire qu’en plus d’épier les allées et venues devant la maison de LeFou, vous écoutez aussi aux portes ? Ce n’est pas une attitude très charitable !
- Je n’écoute pas aux portes ! Cracha Clothilde.
- Et quelles choses monstrueuses pensez-vous que nous fassions ? Demanda Stanley, qui s’amusait de la gêne de la mégère.
Ladite mégère se signa en levant les yeux au ciel.
- Je n’ose me salir les lèvres en les énonçant !
- Autant dire que vous ne savez absolument rien, mais que votre imagination de vieille perverse en mal de médisances a bien dû fonctionner à plein régime pour venir à de telles conclusions.
Clothilde rougit.
- Comment oses-tu me traiter de perverse !
- Et de menteuse, tant que j’y suis, ajouta Stanley avec un sourire cruel. Vous n’avez pas la moindre idée de ce dont vous parlez, mais vous allez broder des histoires immondes uniquement pour flatter votre goût du scandale. Je vous plaindrais presque de voir que vous n’avez que ça pour vous sentir l’impression d’exister, si je ne vous savais pas aussi mauvaise. LeFou est une personne admirable, à laquelle la somme bien maigre de vos qualités ne vous fait pas atteindre sa cheville. Vous êtes toujours la première à courir à l’office pour réprimander ceux qui ne sont pas arrivés aussi tôt que vous, mais peu vous chaut ce que vous entendez pendant les sermons. Vous êtes totalement dénuée d’esprit chrétien. Bon ! Je vous libère, fit Stanley en laissant le passage à Eliana, qui s’avançait timidement avec l’ouvrage dans une boîte. Ma mère a mis tout son talent à réparer votre bonnet, faites-y honneur. Après tout, ce n’est pas tous les jours que vous pourrez en arracher un pareil à la tête d’une morte !
Eliana et Clothilde sursautèrent violemment.
Clothilde avait servi de garde-malade à une veuve, quelques années en arrière. On savait que cette femme était relativement aisée, mais lorsque le père Robert arriva pour l’extrême-onction, on se rendit compte que la malheureuse avait passé ses derniers jours dans un quasi-dénuement. Curieusement, Clothilde, quelques mois après le décès, arborait des coiffes et des robes que son état ne lui aurait pas permis de s’offrir, en sus de literies fines aux initiales brodées ne correspondant pas aux siennes, au lavoir. Les héritiers de la veuve avaient reçu le partage des biens, où aucun vêtement n’avait été réclamé. Naturellement, nombre de villageois soupçonnèrent Clothilde d’avoir vidé les placards de la mourante pour augmenter sa part. Cette histoire avait été soigneusement étouffée, mais Stanley avait jeté un énorme pavé dans la mare en la rappelant.
Eliana annonça la somme due, que Clothilde chercha rageusement dans sa bourse avant de jeter les pièces sur le comptoir, dont certaines tombèrent et roulèrent à terre. Elle empoigna la boîte contenant son bonnet et se prépara à quitter en trombe la boutique.
- Je vous remercie bien, chère madame, lança Stanley, qui se retenait de rire. Au plaisir de vous servir à nouveau !
Clothilde repartit d’un pas irrité vers sa maison, où elle croisa Samuel qui brouettait des fournitures pour ses poules.
- Bonjour Clothilde ! Quelque chose ne va pas ?
- Ce… Ce coquin de Stanley ! Feula la vieille femme en serrant son carton contre elle.
- Stanley ?…
- Vous savez qu’il commet des atrocités ? Dit-elle, espérant gagner une oreille à sa cause.
- Hein ??
- Il se livre à des actes contre-nature avec le laquais de Gaston, le chasseur !
Samuel écarquilla les yeux, puis secoua doucement la tête. Il posa sa brouette et accompagna Clothilde vers un banc, où il la pria de s’asseoir.
- Pauvre Clothilde, murmura-t-il. Vous aurez sans doute glissé et vous vous serez cognée sur la tête ce matin…
- Mais non !!
- Vous divaguez, ma pauvre dame, dit le fermier d’un air compatissant. Voulez-vous que j’appelle quelqu’un ?
Clothilde allait refuser, mais c’était l’occasion rêvée de répandre ses horreurs devant un auditoire choisi.
- Heu… Oui ! Je… Je vois que la forge est ouverte, pouvez-vous demander à madame Déroulède de venir ?
- J’y cours !
Samuel revint bientôt avec la femme de Tom, une dame charmante, rousse aux yeux intensément bleus, qui arriva avec une boîte de premiers soins.
- Samuel m’a dit que vous vous sentiez mal, madame, que vous arrive-t-il ?
- Oh, je suis atrocement choquée ! J’ai, heu, appris une nouvelle scandaleuse qui m’a retournée ! Une nouvelle choquante, mais choquante !!
Marianne Déroulède allait sortir un flacon de sels de sa boîte, puis s’interrompit.
- Un choc ?
- Oui ! Comment ne pas être horriblement secouée quand on apprend que Stanley Laurent et LeFou se livrent à des actes démoniaques !
Marianne ouvrit des yeux comme des écoutilles.
- Ils tracent des pentacles ??
- Heu, non…
- Vous les avez vus égorger des poulets !
- Non !
- Ils se revêtent de robes noires et psalmodient entourés de cierges, en récitant la messe à l’envers ?
- Ça ne m’étonnerait pas ! Lança Clothilde, enchantée de voir de l’eau à son moulin.
- Vraiment… Ces garçons devraient trouver d’autres façons d’occuper leurs soirées, fit Marianne d’un ton définitif en refermant sa boîte, faisant comprendre qu’elle était totalement incrédule. Vous n’avez pas l’air blessée, je suppose que vous devriez pouvoir rentrer chez vous après quelques minutes de repos.
- Vous… Vous ne me croyez pas ?
- Madame ! Lança Marianne en riant. Stanley et LeFou sont deux garçons absolument charmants. Je pense bien que jamais nul n’a eu à se plaindre de leur conduite. Celui qui vous a relayé ces accusations n’a pas le sens commun ! Allez, je dois vous laisser, les enfants rentrent bientôt de l’école. Au revoir !
Clothilde enrageait d’autant plus qu’elle n’osait reprendre sa route, de peur de perdre les miettes de compassion des quelques passants qui avaient assisté à la scène. Lorsqu’elle compta quelques minutes, elle se rua sur l’échoppe du boulanger.
- Maître Louis !
Le gros boulanger passa sa tête chauve, moustachue et réjouie dans l’encadrement de sa porte.
- Oh, bonjour Clothilde ! Quel vent vous amène ?
- Celui de la tempête, Maître Louis ! Le démon rôde dans le village, et ses serviteurs se livrent à des actes contre-nature ici même !
Louis eut une expression choquée.
- Mais de quoi parlez-vous ?
- Le cadet des Laurent et LeFou !
- Eh bien ?
- Ils… Ils commettent des actes scandaleux ! Immondes !
- Vous avez dit contre-nature, tout à l’heure.
- Exactement ! Des pratiques horribles, inversées, propres à provoquer la colère du Seigneur sur notre pauvre village !
- Le cas est grave.
- De quels actes contre-nature vous parlez ? Demanda Benjamin, l’apprenti boulanger et neveu de Maître Louis.
- Je n’ose les dire ! Je pourrais choquer tes jeunes oreilles ! Cria Clothilde en se tordant les mains.
- Oohhh ! Je vois ! Fit Benjamin. Ils ont créé des chevaux qui mangent de la viande !
- Ou des lièvres qui respirent sous l’eau, proposa Maître Louis.
- Heu, non, ce n’est pas de ça qu’il s’agit…
- De l’eau qui ne mouille pas ?
- Du feu froid !
- Mais quelle utilité aurait du feu froid ?
- Alors là mon garçon, tu me poses une colle…
- Maître Louis ! Cria Clothilde.
- Oui ?
- Ce n’est pas de ces actes que je parlais !
- Lesquels alors ?
- Et ils les ont fait quand ? Demanda Benjamin. Parce que pour avoir des accusations solides, il faut des preuves !
- Alors qu’un lièvre qui respire sous l’eau, c’est facile à prouver…
- De l’alchimie ! Mon oncle, tu penses que LeFou a réussi à créer de l’or ??
- S’il y est parvenu, je voudrais bien qu’il m’en donne un brin !
Clothilde voyait qu’elle ne tirerait rien du boulanger et de son apprenti, qui, elle l’ignorait, étaient totalement ralliés à la cause de LeFou. Maître Louis avait été, enfant, amoureux de la fillette qui allait devenir la mère de LeFou, et avait transposé sur son fils l’affection qu’il lui vouait autrefois, aidant le jeune garçon lorsqu’il se fut retrouvé orphelin. Il se doutait évidemment de ce dont la vieille mégère voulait parler, mais entendait protéger le jeune homme.
Clothilde poussa un rugissement exaspéré et sortit de la boutique. Elle vit Gaston qui s’en retournait chez lui. Voilà quelqu’un qu’il fallait convaincre ! Elle était sûre que le chasseur et vedette de la ville allait faire le nécessaire pour remettre de l’ordre dans cette situation.
Gaston, lui, était d’humeur massacrante. Frustré au dernier degré par une chasse infructueuse et une belle qui avait résisté à ses charmes, il vit à peine la vieille femme courir vers lui de toute la force de ses jambes.
- Ah ! Gaston, une nouvelle terrible, LeFou et Stan…
- FICHE-MOI LA PAIX, VIEILLE BIQUE !!! meugla Gaston d’une voix qui retentit dans tout le village, avant de reprendre sa route. Déjà que sa journée était gâchée, qu’on ne vienne pas lui parler de Stanley !
Clothilde resta un peu stupidement au milieu de la place, son carton sous le bras, incapable d’avoir pu convaincre les villageois de ses accusations. Elle maugréa dans sa barbe et rentra chez elle, où son chat fit les frais de son humeur.
OoO
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fanfeline · 5 years
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notes de Camille Desmoulins sur le rapport de Saint-Just
Si je pouvais imprimer à mon tour; si on ne m’avait pas mis au secret; si on avait levé mes scellés et que j’eusse le papier nécessaire pour établir ma défens; si on me laissait seulement deux jours pour faire un numéro sept, comme je confondrais M. le chevalier Saint-Just! comme je le convaincrais de la plus atroce calomnie! Mais Saint-Just écrit à loisir dans son bain, dans son boudoir; il médite pendant quinze jours mon assassinat: et moi je n’ai point où poser mon écritoire, je n’ai que quelques heures pour défendre ma vie. Qu’est-ce autre chose que le duel de l’empereur Commode, qui, armé d’une excellente lame, forçait son ennemi à se battre avec un simple fleuret garni de liège? Mais il y a une Providence, une Providence pour les patriotes, et déjà je mourrais content; la république est sauvée. Une affaire étrangère, mais qu’on avait liée à la nôtre pour nous perdre, par un événement imprévu, incroyable, a jeté des flots de lumière sur notre prétendue conspiration; et il demeure prouvé, par plusieurs faits décisifs, que ceux qui nous accusent sont eux-mêmes les conspirateurs.
Premier fait prouvé. Cette conspiration d’Hébert, qui a éclaté il y a huit jours, eh bien! Chabot l’avait dénoncée au comité il y a cinq mois. Il avait déposé 100,000 livres à l’appui de sa dénonciation. Pour la justifier complètement, il offrit aux membres du comité qu’ils le fissent arrêter, lui, Chabot et Bazire, à huit heures du soir, avec le baron de Batz et Benoit d’Angers, deux principaux agents de la conspiration, qui se trouveraient alors chez lui. Le comité, au lieu de faire arrêter les dénoncés et le dénonciateur à huit heures du soir, fait arrêter le dénonciateur à huit heures du matin; et Batz, Benoit et Julien de Toulouse s’évadent. Première présomption de complicité extrêmement violente.
Deuxième fait. Ce sont précisément les mêmes membres du comité qui ont reçu la déclaration de Chabot et la somme probante de 100,000 livres, qui, le lendemain, signent l’ordre à Ozane d’arrêter Chabot et Bazire à huit heures du matin. Seconde présomption non moins violente.
Troisième fait. Le comité qui avait dans les mains la déclaration de Chabot, déclaration si bien justifiée de point en point par le procès-verbal d’Hébert, garde pendant cinq mois le plus profond silence sur cette conspiration. Trois fois, il vient dire à la convention qu’il n’y a aucun fait contre Vincent et Ronsin. Que le peuple ait été si longtemps à ouvrir les yeux sur Hébert, Vincent et Ronsin, rien d’étonnant; mais le comité de sûreté générale, qui avait les preuves en main! la prévarication de Vadier, Vouland, peut-elle être plus manifeste?
Je viens à ce qui me concerne dans ce rapport. De mémoire d’homme, il n’y a pas d’exemple d’une aussi atroce calomnie que cette pièce. Et d’abord il n’y a personne dans la convention qui ne sache que monsieur le ci devant chevalier Saint-Just m’a juré une haine implacable pour une légère plaisanterie que je me suis permise il y a cinq mois dans un de mes numéros. Bourdaloue disait: Molière me met dans sa comédie, je le mettrai dans mon sermon. J’ai mis Saint-Just dans un numéro rieur et il me met dans un rapport guillotineur où il n’y a pas un mot de vrai à mon égard.
Lorsque Saint-Just m’accuse d’être complice de d’Orléans et de Dumouriez, il montre bien qu’il est un patriote d’hier. Qui a dénoncé Dumouriez le premier, et avant Marat et plus vigoureusement que personne? certes on ne peut pas nier que ce soit moi. Ma Tribune des Patriotes existe; que Saint-Juste lise le portrait de Dumouriez que je faisais six mois avant ses trahisons de la Belgique ; il verra qu’on n’a rien ajouté depuis à ce portrait.
Et d’Orléans dont il me fait encore le complice, qui ignore que c’est moi qui l’ai dénoncé le premier? que les seuls écrits sur cette faction que les Jacobins ont fait imprimer, distribuer, c’est moi qui les ai faits? Saint-Just ne se souvient-il plus de mon histoire des Brissotins? la vengeance peut-elle être plus aveugle ? Je suis complice de Dumouriez, de d’Orléans ; et personne n’a dénoncé plus que moi ces deux hommes! quelle scélératesse! quelle impudeur! C’est Barrère, tuteur de Paméla, qui m’accuse d’être de la faction d’Orléans!
Il y eut une faction, M. Saint-Just, pour mettre d’Orléans sur le trône; il y en eut une autre pour les Bourbons; il y en eut une autre pour la maison d’Hanovre. A vrai dire, la seule faction qu’il y a maintenant, c’est celle des Feuillans, des Hébertistes, tous rangés sous la même bannière de Pitt, pour recommencer en bonnets rouges l’ancienne guerre de Pitt, des Feuillans, des Brissotins, contre les républicains, les vieux Cordeliers et la Montagne. Ils se croyent déjà sûrs de leurs victimes. Hier n’avons-nous pas vu sous le tribunal cinq membres du côté droit rire ici à notre enterrement! Mais avant que de périr il faut que je serve encore une fois la république et tout ce que je vais dire seront des faits incontestables; j’ai de bons témoins.
Qui sont ceux qui nous persécutent aujourd’hui?
Ce Vadier, président du comité de sûreté générale, est le même Vadier que Marat dénonce dans son numéro du 17 juillet 1791, comme le traître et le renégat le plus infâme: ce sont ses expressions.
C’est le même Vadier qui, le 10 juillet, la veille, appuyait la motion de d’André, de mander les six tribunaux de Paris pour nous poursuivre, Danton et moi, nommément pour la pétition du champ de Mars. (Voyez Marat, numéro du 17 juillet, voyez le Moniteur du temps.)
C’est ce Vadier qui vous prend aujourd’hui, citoyens jurés, pour suppléants du tribunal du sixième arrondissement, et n’ayant pu nous faire guillotiner alors, vous prie de ne pas lui faire manquer son coup aujourd’hui.
C’est le même Vadier qui disait aussi en parlant de Danton: nous videront bientôt ce Turbot farci. Que ce propos est fraternel !
Ce Vouland, secrétaire du comité, est le même Vouland qui était secrétaire des Feuillans, sous la présidence de Barrère. (Voyez son nom et sa demeure sur la liste du club des Feuillans conquise à leur secrétariat le 10 août et publiée par Marat.)
Cet Amar, rapporteur du comité, est le même Amar, trésorier de France, Brissotin enragé, dont tout le monde se rappelle le calembourg fameux à une certaine nomination du bureau dans les premiers mois de la convention: Laloi, Chasset, Danton.
Ce David, membre du comité, est le même David brissotin enragé, ami de Robespierre il y a deux jours, et qui, aujourd’hui, s’en va disant: je vois bien que nous ne resterons pas 20 montagnards à la convention.
J’affirme que deux patriotes vénérables par leurs services et leurs cicatrices pour la révolution, Panis et Boucher Saint-Sauveur, m’ont dit qu’ils avoient donné leur démission de ce comité de sûreté générale et en étaient sortis en secouant la poussière de leurs pieds, ne pouvant tenir aux iniquités qui s’y commettaient. Ce sont des témoins nécessaires, je demande qu’on les fasse entendre.
J’affirme que Guffroy m’a dit: que s’il restait au comité, c’était pour corriger beaucoup de mal par un peu de bien: qu’il avait preuve qu’Héron, l’égout universel du comité, avait été suborner de faux témoins dans les prisons pour le mener à la guillotine. Je demande qu’on le fasse entendre.
J’affirme que Reverchon m’a dit: que Collot d’Herbois, en mission avec son cher Ronsin à Lyon, avait fait tout au monde pour rendre la république hideuse et faire la contrerévolution à Lyon. Qu’on fasse entendre Reverchon. Ne se souvient-on plus des propos de Collot d’Herbois: Il faut mettre des barils de poudre sous les prisons et à côté une mèche allumée.
Il y a des témoins que Collot d’Herbois a dit au sujet de d’Eglantine qui avait relevé ce propos: il veut me perdre, je le conduirai à la guillotine par tous les moyens possibles.
Il est des témoins que le grand républicain Saint-Just a dit au commencement de la convention, avec humeur: oh! ils veulent la république, elle leur coûtera cher.
Il y a des témoins que l’ambitieux Saint-Just a dit: je sais où je vais.
Faudra-t-il des témoins pour prouver que le tartuffe, que le scélérat Barrère était président des Feuillans, tuteur de Pamela; qu’il a proposé la commission des 12; que Sempronius Gracchus Vilate, ici juré, est bien connu pour l’espion de Barrère; que Barrère loge dans le pavillon de Flore; qu’il venait chez moi me caresser, me flagorner, et disait en sortant à Rousselin: il faut que nous ayons sous 8 jours les têtes de Danton, Camille Desmoulins, Philippeaux.
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Je dis cela afin de réveiller les consciences de nos dirigeants d’assemblés de croyants sur le fait que Jésus le dirigeant parfait est allé à la croix et a souffert 3 jours en enfer pour chacun de nous. Être responsable est surtout une question de souffrir personnellement pour que les autres eux avancent. On n’a cessé de critiquer le Seigneur Jésus-Christ durant tout son ministère mais il n’a rejeté personne et il nous à aimer de façon inconditionnelle jusqu'au bout. Être pasteur ou guide spirituel sont les responsabilités qui seront jugés les plus sévèrement par Dieu. Car on ne peut aider les gens à s’approcher de Dieu sans avoir réellement un vrai cœur de serviteur. Mais je parle ici d’être vraiment là pour aider et donner tout de nous personnellement pour le bien-être des gens sans jamais penser à nous. Car Dieu lui prend grand soin de nous. Et je tiens à nous rappeler que l’orgueil est la raison première de toutes chutes, mes chers amis. Et que ma prière est que Dieu nous garde ou nous fasse grâce de revenir chacun de nous sur le chemin qui s’appelle Christ, moi le premier. 🙏
Matthieu 23:1-12 TPT
Jésus s'adressa alors à la foule et à ses disciples et dit : "Les savants religieux et les pharisiens sont assis à la place de Moïse, en tant qu'interprètes autorisés de la Loi. Écoutez donc et suivez ce qu'ils enseignent, mais ne faites pas ce qu'ils font, car ils vous disent une chose et en font une autre. Ils vous attachent sur le dos un fardeau oppressant d'obligations religieuses et insistent pour que vous les portiez, mais ne lèveront jamais le petit doigt pour vous soulager. Tout ce qu'ils font est fait pour le spectacle et pour être remarqué par les autres. Ils veulent être considérés comme saints, c'est pourquoi ils portent des boîtes à prières surdimensionnées au bras et sur le front, avec les Écritures à l'intérieur, et des glands extra-longs sur leurs vêtements de dessus. Ils convoitent les sièges les plus honorables lors des banquets et dans leurs lieux de rencontre. Et comme ils aiment être admirés par les hommes avec leurs titres de respect, aspirant à être reconnus en public et à ce que les autres les appellent "Révérend". "Mais vous devez être différents de cela. On ne doit pas vous appeler 'maître', car vous n'avez qu'un seul Maître, et vous êtes tous frères et sœurs. On ne doit pas non plus vous appeler "père", car vous n'avez qu'un seul Père, celui qui est dans les cieux. On ne vous appellera pas non plus "maître", car vous avez un seul maître, l'Oint. Le plus grand d'entre vous sera celui qui sert toujours les autres. Rappelez-vous ceci : Si vous avez une haute opinion de vous-même et cherchez à être honoré, vous serez humilié. Mais si tu as une opinion modeste de toi-même et que tu choisis de t'humilier, tu seras honoré."
Luc 22:24-27 TPT
Les disciples se chamaillaient pour savoir lequel d'entre eux serait considéré comme le plus grand dans le royaume. Jésus interrompit leur dispute en disant : "Les rois et les hommes d'autorité de ce monde exercent un pouvoir oppressif sur leurs sujets, en prétendant qu'ils le font pour le bien du peuple. Ils sont obsédés par la façon dont les autres les perçoivent. Mais ce n'est pas ta vocation. Vous dirigerez selon un modèle différent. Le plus grand d'entre vous vivra comme quelqu'un appelé à servir les autres sans honneur. Le plus grand honneur et la plus grande autorité sont réservés à celui qui a un cœur de serviteur. Les dirigeants qui sont servis sont les plus importants à vos yeux, mais dans le royaume, ce sont les serviteurs qui dirigent. Ne suis-je pas ici avec vous comme celui qui sert ?
L'objectif de la vie n'est pas le sans faute mais de vivre en son âme et conscience.
Bon courage à chacun dans sa vie personnelle. 👍
- The spiritual philosopher Gabriel Bonnet 🙂
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philoursmars · 10 months
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La semaine dernière, j'ai retrouvé mes amis Julien et Katie à Remoulins dans le Gard (Languedoc).
Ici, on est entre trois régions, Ardèche, Provence et Languedoc...
Ici, le charmant petit village de Saint-Bonnet du Gard, aux allures provençales. Un buste de Napoléon (?), un vieux moulin en pierres sèches, un clocher avec son campanile, une vieille église romane en retrait et un panneau montrant que les mites n'ont guère de droits sur ce territoire...
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jo-shaneparis19 · 2 years
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Vincent and le cimetière du Père-Lachaise
20/09/2019: It was our last full day in Paris and an early start this morning saw us catching the Metro from Saint Michel to Réaumur - Sébastopol on the pink No.4 line and from there the olive green No.3 line ending at Gallieni, but getting off at Père Lachaise. We found ourselves resurfacing within the asphalted, tree lined pedestrian refuge on the corner of Boulevard de Ménilmontant, which ran parallel to Cimetière du Père-Lachaise. The large and busy intersection also accommodated Avenue Gambetta, and Avenue de la République, which led to Rue Saint-Maur, the street we were looking for to get to Atelier des Lumières. We chose to head down the hill along Rue du Chemin Vert and arrive from the other direction.
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Making sure we didn't get lost.
We first come across the Lumières thing in 2015 when we done the French thing with the kids, randomly stopping for a night in a B&B in Saint-Bonnet-du-Gard on our way to see the nearby Roman aqueduct, Pont du Gard. The next day we were on our way to Antibes via the aqueduct and asked our host for some sight seeing tips. He had heard some good reports on Carrières de Lumières and mentioned that it might be worth a look. We took his advice and didn't regret it. When Jo found Atelier des Lumières had opened in Paris we didn't hesitate to book in. The fact that it was near le cimetière du Père-Lachaise was a bonus, not
arriving that early but early enough to make time for a cuppa at a little café across from the theatre, L'atelier Gusto which, when we went inside was quite busy. It was small though. We grabbed a coffee and a tea bag and froth and sat on the footpath. Not long after we were queuing to enter the Lumières. host for some sight seeing tips. He had heard some good reports on Carrières de Lumières and mentioned that it might be worth a look. We took his advice and didn't regret it. When Jo found Atelier des Lumières had opened in Paris we didn't hesitate to book in. The fact that it was near le cimetière du Père-Lachaise was a bonus, not arriving that early but early enough to make time for a cuppa at a little café across from the theatre, L'atelier Gusto which, when we went inside was quite busy. It was small though. We grabbed a coffee and a tea bag and froth and sat on the footpath. Not long after we were queuing to enter the Lumières.
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Culturespaces boss, Bruno Monnier came across the building in 2013 and after creating the Carrières de Lumières art centre in Les Baux-de-Provence had the idea of creating a Digital Art Centre in Paris. Hence Atelier des Lumières.
Similar to our last experience, the exhibition immersed us into the paintings of Vincent van Gogh by projecting images of the artist across the entire surface of the foundry. It retraced the intense life of the artist, although some interpretation was needed, particularly the last ten years of his life.
The exhibition evoked Vincent's highly emotional, chaotic and poetic character, a constant interaction of light and shade, the warm hues succumbing to the sombre.
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After we had had enough we walked back up Rue du Chemin Vert where after a short break we sussed out Cimetière du Père-Lachaise. Upon entering the cemetery via Porte des Amandiers, the entrance adjacent to the Metro stop, we bought a map and climbed the stairs to the grave sites. The first thing was to head up Avenue de l'Ouest, to sit down and formulate some sort of plan. There were plenty of graves to look at but none so far of note. Many family sepulchres and individual tombs lined the streets and one could see the money that someone, at some point of time dedicated to the family memorial and afterlife. Many, even the good ones, had a lean due to subsidence over the years but others, tilted due to trees being planted way too close. The trees had been cut down to stop the lean from getting worse but that was it.
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The forty three hectare cemetery is the largest in Paris and takes its name from Louis XIV's confessor, Père François de la Chaise. The Jesuits acquired the land during the sixteenth century and built a hospice and cemetery on it during the late sixteen eighties, to where la Chaise regularly retired until his death. It was then called Mont Louis. Things changed after Robert-François Damiens tried to assassinate Louis XV with a pen knife but failed miserably. He went on to be the last man in France to be drawn and quartered, a demise that you would think was not top of the list of most Parisiennes. After the attempt, and the inference that the Jesuits were somehow involved, they were expelled from the property. It was subsequently reacquired by Napoleon and renamed it from le cimetière de l'Est, since renamed and still Père Lachaise.
The map gave us an idea of where to go, but no matter which direction, the narrow, cobbled streets were lined with many trees and headstones or phone box sized constructions containing many remains of families of note within the area. Many of the tombs were of people that we had heard of but were not sure why. We plotted a path to the left, along Avenue Circulaire before heading to the right, up Avenue Cail to Rond-Point des Travailleurs Municipaux where we came across our first two long deceased persons of interest, the French Romantic artist and leader, Eugène Delacroix as well as the nearby French novelist and playwright Honoré de Balzac. Both of these characters dropped off of the perch over a hundred and fifty years ago. Long enough to be called a local?
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As we were walking around, Jo was listening to Rick Steves' podcast for some info so she probably was more informed than her ignoramus husband. After a rest at the crematorium, they headed through a couple of back streets until they arrived at the first one they knew, and one of the ones that they had come for, Oscar Wilde. Although, like the others, also a playwright, novelist, poet, editor, critic, he was not French. The Irishman's luck changed after he tried to sue his boyfriend's father and during the case his homosexuality was revealed. He was himself arrested and tried for gross indecency and sentenced to a couple years of hard labour for sodomy. His missus left him and took the kids, his health was poor and his reputation ruined. The rest of his days were spent bludging off of friends and living in cheap Parisienne hotels.
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Alas, I am dying beyond my means. Tomb of Oscar Wilde. He too dropped off the perch prematurely, in one of the very hotels he called home
Turning into Avenue Circulaire, we found the graves on our right and memorials on our left (in Jardin du Souvenir). This changed to memorials both sides soon after. Two memorials of note in this area were the Charm El Cheikh et Venezuela, a memorial to the victims of West Caribbean Airways Flight 708 was taking holiday makers home from Panamato the French Caribbean island of Martinique killing all one hundred and sixty on board. The other was Victimes de l'attentat du DC10, a memorial to the victims of UTA Flight 772 which was blown up mid-flight on route from Brazzaville in the Congo to eventually Charles de Gaulle. The one hundred and seventy on board perished when the plane crashed into the Ténéré desert in Niger.
Across from the memorials was the rather unassuming grave of Gertrude Stein with the headstone covered in pebbles.
As a young writer, she travelled around Europe until dropping out of medical school and settling in Paris until her death in Neuilly-sur-Seine in 1946, over forty years later. Paris was the centre of the literary world during the twenties and thirties and Gertrude was part of it, helping to shape the artistic movement that demanded a novel form of expression and a conscious break from the past. Every Saturday night the city's brightest artistic lights, the New Moderns, would flock to her salon at 27 rue de Fleurus where they would eat, drink and share ideas.
She was an advocate for the avant garde, and her soirees would attract the likes of Henri Matisse, Pablo Picasso, F. Scott Fitzgerald and Ernest Hemingway.
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The final resting place of Ginny "A rose is a rose is a rose" Stein, matron of the bohemian set known as the Lost Generation. Her lifelong partner, Alice B. Toklas, is also buried here, her epitaph on the back of the headstone. The pebbles represent Jewish prayers
Not much further on was a significant memorial. Just past Avenue Pacthod, past emaciated statues representing holocaust victims and resistance fighters that were marched off to the concentration camps by the Nazis, and a few steps off of Avenue Circulaire was a sign, Aux Morts de la Commune. 21-28 Mai, 1871. It was on stone wall partially covered in vegetation. Mur des Fédérés or the so called Communards' Wall marks the spot where the quixotic Paris Commune came to a violent and chaotic end.
Following the invasion of France by the Prussians in 1870, the country fell quickly. All, that is except Paris who staunchly resisted the German siege of the city for six months over a bitter Parisienne winter. Unfortunately the French politicians were collaborating with the Prussians and the following year the French Army invaded Paris. In the meantime several patriots formed an opposition group and called themselves the Paris Commune. It was both revolutionary and socialist and pitted French citizens against French soldiers. The resultant street fighting ended in a reported ten thousand deaths with the final resisters making their last stand at the wall but were finally overcome and the ring leaders arrested. The last of the Paris Commune were executed and buried at the base of the wall.
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On May 28 the last 147 communards were lined up against the wall and shot. Buried in a mass grave where they fell, at the base of the wall.
The map then led us up a few side streets and to the plot of Edith Piaf and Charlie Hebdo cartoonist, Bernard Verlhac, murdered by Muslim brothers Saïd and Chérif Kouachi at the magazine's slaughter of 2015. This then led us, eventually along Chemin Molière et la Fontaine, not stopping at either grave, past old mate Léon Noël and eventually to Statue de Casimir Perier, a type of pedestrian roundabout just above our targeted dead one, Jim Morrison. An interesting grave on the way caught our attention due to the number of train tickets on his grave. It was the grave of Gilbert Morard, technician, senior official with the SNCF and known for his work on the French fast train, the TGV.
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That was just about it. Back to the statue in the roundabout and then a shortcut through the graves to Chemin Denon led us to Chopin and then onto Avenue Principale for a quick look at Haussmann and Rossini before exiting just down from where we entered. A brief walk up Boulevard de Ménilmontant to where we started and we settled on a refreshment on the corner, if you could call it that, at Au Rond-Point where a couple of drinks and a small cheese platter gave us the energy to catch the Gilbert's Metro back to the apartment. We decided to finish our time in Paris by eating at the restaurant that served us a great lunch a few days ago but not before a detour on the way to a Scottish pub. We had had a beer at plenty of Irish pubs in the past but never a Scottish one and noticed this one tucked away in a side street earlier. This was our chance so we took it. Off to the Highlander before dinner.
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Tomorrow we travel to Denderleeuw.
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ohwhenthesaints21 · 3 years
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Dimanche 24 Octobre
Saint Florentin de Bonnet
Histoire courte et ma foi assez cocasse que celle de notre Florentin du jour !
Il naquit futur roi d'écosse ! D'autres en auraient été très contents mais apparemment pas lui. Il se barre donc avant de se faire massacrer pour cet affront. Et comme il croit en Dieu et qu'il doit prendre la mer, paraît il qu'il aurait voyager sur une croix. Y a mieux comme embarcation mais apparemment ça lui a suffit !
Il atterri à Bonnet en Lorraine où il garde des porcs, futur roi d'écosse ou pas faut bien gagner sa vie hein. Il y meurt. Rien d'étrange à tout ça.
Le plus cocasse c'est qu'après sa mort on a dit qu'il avait guéri des fous qui venaientsursa tombe. Et c'est vrai que vu son parcours il en connaissait un rayon sur la folie le Florentin !^^ on a donc construit une grosse église pour accueillir tous ceux qui venait guérir leur folie. C'est pourquoi Bonnet, petit village, en a une si grosse. D'église j'entends.
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Ajoutée le 18 mai 2013MODIFIER LA VIDÉO7-4-2018 musique de stewie wonder refusait par youtube changer music 22-1-2018 Etre aveugle, c'est d 'abord ne pas voir, mais aussi, c'est l'impossibilité de pouvoir partager nos images de la vie; J'ai eus un ami aveugle ,et il semblais si réadapté que très souvent je lui disais tu vois, et il riait CHAPEAU A TOUS CES ETRES SI FORTS  que j'admire toute notre amitié THOMAS André & MARTINE ANCIAUX MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture www.anciaux-photos.fr A participer à l'exposition de l'association des chiens guides D'aveugle du midi, présidé par Madame Marie Claude BONNETE [email protected] AU CENTRE LA FARE ALLAIS A SAINT MARTIN DE VALGUALGUES DANS LE GARD. Cette manifestation a pour but d'apporter une aide technique qui permet aux personnes déficientes visuelles de bénéficier d'une autonomie et d'un confort  de déplacement, ainsi que d'un compagnon fidèle Confié gratuitement Si ce sujet vous touche, prenez contact avec la présidente: Madame Marie Claude BONNETE [email protected] Cette exposition à lieu chaque année, si vous êtes dans le Gard Venez la voir l'entrée est libre et la qualité De l'exposition est toujours très belle. Il arrive aussi que lors de cette manifestation La présidente fasse une remise d'un chien guide à un aveugle. ©AVEUGLE Poème THOMAS André© C'est tout d'abord vivre dans le noir C'est palper et s'aider de ses mains pour percevoir C'est multiplier les efforts au quotidien pour savoir, C'est la quête de l'endroit de chaque objet, Pour enfin pouvoir, Se déplacer chez soi, sans buter, Ni heurter les choses, Pour aller à sa guise, sans avoir des psychoses. C'est fixer en mémoire un parcours idéal, Pour sembler faire corps avec l'espace, c'est vital. Etre aveugle, c'est en connaître plus pour exister, C'est à chaque seconde  se surpasser Et toi l'homme qui ne voit pas, Tu forces mon admiration Car avec ténacité et courage, Tu sais ce que veut dire l'action. Ton jugement sur les êtres est plus juste que le mien, Et tu donnes et reçois énormément de ton Chien. Vous qui vous aimez, et sembler ne faire Que face, au mauvais sort, Grâce à ton ami, tu peux enfin te diriger dehors. google translation © BLIND Poem © André THOMAS It is first to live in the dark It's feel and help of his hands to collect It's more effort every day to learn, It is the quest of the location of each object,  To finally, Move home, without stumbling, Or hit things, To go at will without psychosis. It is set in memory an ideal course, Seem to be one with the space, it's vital. Being blind, it is known more for its existence It's every second excel You and the man who does not see, You force my admiration For with tenacity and courage You know what it means to share. Your judgment on creatures is fairer than mine, And you give and get a lot of your dog. You who love you, and do not seem  Face, the evil spell, Thanks to your friend, you can finally you head out.
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lignes2frappe · 6 years
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LES PIRES LOOKS DE TOUS LES TEMPS DES RAPPEURS US
Si le ridicule ne tue pas, il y a parfois de quoi être mort de rire...
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« Bordel, mais comment ai-je pu penser un seul instant avoir l’air cool sapé comme ça ? »
On ne va pas se mentir, des fashion faux pas tout le monde en fait un jour. En revanche, contrairement aux rappeurs, tout le monde n’a pas le malheur de voir ses dérapages immortalisés sur pellicule. Certes, aucune mode ne résiste aux affres du temps, mais là où certaines conservent un place à part dans nos cœurs (les bandanas, les Jhery curls, les jerseys...), quand d’autres ont depuis été canonisées (l’horloge de Flavor Flav, les bonnets Kangol de LL Cool J, les Adidas sans lacet des Run DMC...), les 20 cas présentés ci-dessous ne méritent aucune forme de mansuétude ou de compassion.
Retour dans la haine et la bonne humeur sur les fails les plus retentissants de cette course au plus frais et ses trop nombreux braves tombés au combat.
 La vague disco-électro
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N’en déplaise au révisionnistes du mouvement, le hashipéhashopé des débuts puise ses inspirations dans un melting pot d’influences toutes plus festives les unes que les autres. Influences musicales donc, mais aussi pour son plus grand malheur vestimentaires : franges qui n’en finissent pas de tomber, bottes de sept lieux, couvre-chefs improbables...
Un malaise résumé à lui seul par cette photo des Village People Furious Five qui ont passé la sobriété et le bon goût par-dessus bord avant de... mais d'ailleurs qu'allaient-ils faire déguisés comme ça ?!?
  Les T-shirts FREE + nom d’un rappeur en prison
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Si l’intention est louable (« J’ai un poto à l’ombre, je ne l’oublie pas, on-reste-vrais-t’as-vu »), il existe quand même une légère différence entre un prisonnier politique et un type qui s’est fait coffrer neuf fois sur dix pour un truc débile – du genre s'être pointé dans un aéroport avec un gun ou avoir fumé de l’herbe dans le bus de tournée.
Tout ça sans compter que jamais personne n’est sorti de cellule grâce à ça.
  Les pimp cups
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Ou des dangers de boire trop de jus de maquereau.
Aux hurluberlus qui en 2017 seraient tentés de se pointer en club tout autre jour de l’année que le mardi-gras avec un verre XXL sur lequel est plaqué leur nom en faux diamants (ou pire en vrais), le risque est grand, non pas de finir la soirée entouré de bitches en train de twerker, mais plutôt d’être la risée des réseaux sociaux en moins de temps qu’il n’en faut à un hater pour dégainer son smartphone.
 Lancer sa marque de textile
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Mais nom d’un petit bonhomme en mousse pourquoi sitôt la notoriété au rendez-vous les rappeurs se sentent-ils obligés de lancer leur ligne de vêtements ? Par quelle étrange opération du Saint Esprit se sentent-ils d’un coup d’un seul en mesure de créer une collection digne de ce nom ?
À quelques exceptions notables (Sean John, Pelle Pelle, Roca Wear...), ces dernières failent d’ailleurs misérablement après quelques saisons – un laps de temps qui au vu de la qualité proposée relèvent déjà de l’exploit.
Du Shago de Lil Bow Wow au Vampire Lifes (?) de Jim Jones en passant par le Akoo de T.I., les seules personnes qui ont jamais porté ces frusques sont celles qui se les sont faites offrir.
  Les pantalons en cuir
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Depuis le « all-leather-everything » des chanteurs de r&b 90’s aux gilets SM de 2Pac sur la pochette de All Eyez On Me, nul n’ignore les dégâts que peuvent engendrer le port du cuir.
Dommage que personne n’en ait pipé mot à Kanye West, 2 Chainz, Rick Ross & Co le jour où ces messieurs se sont mis en tête de faire du falzar en peau de vache l’accessoire favori de leur garde-robe.
Presque de quoi virer vegan sur ce coup...
 Les débardeurs à bretelles G-Unit
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Du temps de sa splendeur, la crédibilité de rue de Fiddy était d’ailleurs telle que le rappeur pouvait se permettre de se balader à la ville comme sur scène en soutien-gorge bariolé LGBT.
Reste qu’exception faite de deux trois freluquets plus blancs que Walter (lire plus bas), le fait que jamais personne d’autre que lui n’ait osé se montrer en public accoutré de la sorte (à commencer par ses comparses de label) aurait pourtant dû lui mettre la puce à l'oreille.
Ce moment où le doute s'installe quant à la signification du « G » de G-Unit...
 Porter ses fringues à l’envers
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Difficile de nier la force culturelle du hip hop quand il est capable de rendre cool une mode aussi aberrante.
Raz de marée commercial oblige (des fringues Kriss Kross « backwards » avaient même été commercialisés), bon nombre de collégiens de l’époque se sont ainsi retrouvés dans le bureau du principal après s’être pointés en cours fagotés de la sorte.
  Ces rappeuses qui abusent des subterfuges
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Si gloire doit être rendue au rap de promotionner des corps de femmes aux mensurations plus proches de ceux d’un circuit de F1 que d’un portemanteau, pourquoi diable faire ensuite sombrer ces dernières dans une parodie de féminité ?
Faux cils, faux ongles, faux cheveux... à superposer sans retenue les artifices (et les couches de plastique), il devient parfois difficile de distinguer les Nicki, Kimmy, Foxy et autres Iggy des travelos qui travaillent tard le soir sur les boulevards parisiens.
 La joaillerie qui respire le faux
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Autant personne n’a jamais rien eu contre le fait de briller un peu plus que son prochain dans les clips et soirées, autant se trimballer avec une chaine qui pèse le poids d’un scooter autour du cou déclenche une irrépressible envie de se rouler par terre, et ce d’autant plus quand son propriétaire voudrait nous faire croire que sa quincaillerie coûte le prix des bijoux de la reine d’Angleterre.
Tout ça sans compter que personne n’a jamais vu un Bill Gates ou un Marck Zuckerberg s’afficher avec des montres customisées « en diamants » ou des boucles d’oreilles en vulgaire plaqué.
  Les sarouels
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Parmi les multiples raisons qui justifieraient de noyer dans le ciment sans procès MC Hammer, figure en tête sa mise au goût du jour de ces futals de fête foraine. À l’exception de Fary, ceux qui les portent ressemblent à d’ex obèses qui s’habilleraient encore avec leurs anciens collants.
Peu importe qu’ils aient l’air très confortables, peu importe que du temps où il était ado ton rappeur préféré en avait très certainement un exemplaire dans son placard, si l’on commence à justifier ce genre de comportement, autant renoncer à l’idée même de civilisation.
 Les tatouages sur le visage
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En attendant qu'une loi soit votée pour interdire de se faire gribouiller sur la tronche un cône glacé ou un AK-47 (cf. Rick Ross), voici un petit conseil de bon aloi à tous les apprentis rappeurs qui misent plus sur leur souag que sur leur flow pour percer dans le game : assurez-vous de décrocher l’Euromillion avant de franchir les portes du salon de tatouage.
Le retour à la vie active pourrait s’annoncer douloureux, et pas seulement parce que c’est la crise.
  Les wiggers
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Si par le plus grand des hasards dans quelques siècles les historiens se penchent sur ce phénomène de société à mi-chemin entre l’appropriation culturelle et le cosplay à un degré 1, les grattements de menton (et les fous rires) seront nombreux.
Amis cousins pas si éloignés des rastas blancs : non « white n’est pas le new black », et non Brooklyn/ Limoges ce n’est pas le même combat. Okiedokie Froggie ?
  La mode du « all black everything »
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À moins de vous appeler A$AP Rocky ou Bruce Wayne, associer des vêtements qui n’ont de commun que leur couleur donne vite une impression de cheap – genre un jean qui coûte une moitié de smic avec des pompes bon marché en nubuck déjà trop usées par la vie.
Sans filtre Instagram, le smoking de James Bond se confond en effet malheureusement assez vite avec l’uniforme d‘un vigile de supermarché.
Et puis la vie est trop courte pour ressembler à un seigneur Sith qui passe ses journées à dormir dans un cercueil.
  Les lunettes persiennes
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Le bon côté de la mode, c’est qu’avec le temps les pires tendances finissent toutes un jour ou l’autre par sombrer dans l’oubli.
Malheureusement, il arrive que Kanye West passe par là et décide de remettre au goût du jour une obscure paire de binocles designée par Alain Mikli dans les années 80. Alors que jusque-là porter des lunettes de soleil en soirées était considéré comme un pic indépassable d’absurdité, les shutter shades franchissent un nouveau palier : en plus de ne rien y voir et de passer pour un péquenaud, vous avez l’air d’un Lego.
[Un article sur les fails ne pouvant pas être considéré comme exhaustif sans mentionner Soulja Boy, petit hommage aux lunettes blanches de ses débuts, celles où il écrivait lui-même son nom au Tipex sur les verres.]
 Les tétines dans la bouche
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Qui a dit que le septième art n’influençait pas les mœurs ? Croyez-le ou non, mais au début des années 90 il n’était pas rare de croiser sur la Côte Ouest de jeunes adultes en train de mâchouiller une tétine – la faute au personnage de Dookie dans le film Boyz N the Hood.
Question ridicule la Côte Est n’est pas en reste et réplique promptement grâce à Method Man qui dans le clip de C.R.E.A.M. lance la mode de la brosse à dents dans la bouche !
Le sud finira enfin par s’aligner quand les fanatiques de Nelly décident eux-aussi de consterner le monde en se collant un faux pansement sur la joue.
 S’habiller au rayon femme
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Celle-là on ne l’avait pas forcément vu venir. Certes auparavant il y a eu les turbans d’Andre 3000, les kilts de Kanye et Diddy, les allures de lesbienne de Wiz Khalifa... mais de là imaginer que les emcees se fassent une fierté de porter des leggings, du vernis à ongle ou des robes, il y avait un fossé. Fossé qu’ont allégrement franchi Lil Wayne, Lil B, A$AP Rocky et bien évidemment leur chef de file, Young Thug.
Ce dernier étant devenu l’égérie femme de Calvin Klein, cette tendance n’en est peut-être qu’à ses débuts.
(Soupir)
 Exhiber son boulard
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Okay rien de mal laisser dépasser un peu la marque de son caleçon (enfin tant qu’il n’est pas d’une autre couleur que noir ou blanc), mais de là à afficher sciemment sa lune à la vue du monde entier, et en premier lieu à ceux qui n’ont rien demandé, il y a une limite que la police du look (et la police des mœurs) interdit de franchir.
Et puis entre nous, cette manie de baisser son froc jusqu’au pôle sud c’est pas un peu suspect non ?
 Se lisser les cheveux
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Sous genre ultra-codifié, le rap de pimp répond à tout une batterie de critères quasi-impossibles à expliquer à toute personne ne partageant pas une fascination troublante pour le milieu interlope des trafiquants de chair.
Si l’idée est de capturer le mood de ces films de blaxploitation, tout Snoop, Ice T ou DJ Quik qu’ils soient, ceux qui arborent la « pimp perm » et ses bouclettes de triste réputation ressemblent plus à des speakerines de jeu télévisées échappées des 70’s qu’à des hustlers funky.
Et encore, on ne vous parle pas de leur manie de se faire des french manucures...
  Le collier de barbe r&b
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Nos excuses à ceux qui passent leur samedi dans la salle de bains en vue d’impressionner les demoiselles le soir venu, mais dans le meilleur des cas vous ressemblez au cinquième membre d’un boys band (celui qui danse dans le fond et dont personne ne connaît le nom) et au pire à ces vieux profs de math avec leurs pulls plein de craie et leur éternelles sacoches usées autour du bras.
Sérieux, si même Craig David a fini par raser le sien, il y a peut-être une raison non ?
  Prendre la pose en slip
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C’est l’un des mystères les plus tenaces de l’histoire du rap : à échéances régulières, une tête d’affiche, persuadée que son sex-appeal ne connaît aucune limite, décide de se déguiser face caméra en maître-nageur.
Outre Wyclef ci-dessus, le mur de la honte compte également Big Daddy Kane, Mc Hammer ou encore 2Pac.
  Posté le 08 Mai 2017.
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