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#souleye
francesbrumes · 2 years
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Potential for Anything but it’s The Living Daylights by a-ha
(made in jummbox 2.5!)
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pulsewidthmodulator · 9 months
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thetunesclub · 9 months
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Hip-hop artist Souleye has come up with his trailblazing Hip-Hop and Rap single ‘Exit The Maze’
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dukes-cassettetape · 4 months
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double spreads from OBLIVION ROUGE
by Pap Souleye Fall
Only on Saturday PM
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ornoirafrica · 2 months
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La Chambre Africaine de l'Énergie : un catalyseur pour l'industrie pétrolière et gazière sénégalaise
La Chambre africaine de l’énergie (AEC) a récemment effectué une visite de travail au Sénégal, marquant une étape importante dans les efforts visant à renforcer la collaboration et à stimuler les investissements dans le secteur pétrolier et gazier du pays. La rencontre avec Birame Souleye Diop, ministre sénégalais de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, et les principales parties prenantes de…
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necromancyandtendrils · 4 months
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So about the Soul Jelly eye, is that actually her?
Yes. It is also her soul. It works similarly to the soul jams as well tho. She's a bit of an odd case I'll admit.
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She is unable to talk in this form. So yes, The eye is her but also is her soul. The “brain” of her cookie body.
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tinsil · 1 year
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✌️✌️✌️✌️✌️✌️
took a while to make them all but here's captain verdigris & the brave crew of the dss souleye from vvvvvv (please play vvvvvv)! look at these little guys....
i used the free "mini noso" doll base pattern from supergurumi [written instruction with photos 🔗], which is just a really helpful website in general if you want to start learning to make amigurumi!
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So... I played a game called VVVVVV. I wonderful game that I would suggest trying out. Regardless, there's a super minigame called the Super Gravitron in it. At some point I heard about it being free for mobile. So I tried to look for it on Android but for some reason it wasn't on the Google Play Store. That's when I decided to make my own web version. Most of the content in this video was made within a day, also using assets from VVVVVV.
The minigame has two modes: Normal and Dynamic Difficulty. Dynamic Difficulty becomes harder as you survive longer. It also has six songs and able to switch through songs in playlists, going in order or playing randomly. Songs include: Positive Force - SoulEye Potential for Anything - SoulEye Predestined Fate Remix - SoulEye Positive Force Metal - FamilyJules7x & SoulEye Pacing Energy Metal - FamilyJules7x & SoulEye Milky Ways - Bossfight Of course I will randomly add more music and an actual menu... or I'll just make it arcade style.
On the note of my own games, I have decided I am going to switch to working on a new FIREWALL update, putting CyberSouls on the backburner. I will give more information as I work on it. In the meantime, God bless y'all.
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moumantaimf · 1 year
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And the chapter begins~
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Panel 1: A space station that looks like a normal Earth vessel but with bug legs and a panel solar at the “tail”. A narration dialog says “Souleye Station, Galaxy RH66530B48, around 25 million light years away from Avalon”. Someone says “I hope you’re having a good time! Our next song is from our second album and it’s called “Dirty hell”!”
Panel 2: Sher plays the guitar and next to him D is standing with a bass that has a completely different design to the one they use normally, with a romboid shape and the aerogel terminations so common in Avali gear. The bass’s neck is long and the headstock looks like the feathers of the avali logo. The bass also sports 5 strings, not 4. Behind them there’s Rowi’s drumkit but he can’t be seen due to the angle. Sher sings “Yeeaaahh! Your trash! The floor! Stop! You filthy pig! Keep it clean! Your town! Your world”.
Panel 3: Sher keeps singing “Bring destruction to your land tossing shit to the ground!”. The panel shows Rowi playing the drumkit, with his face covered in a face paint that gives him a more “beast” appearance.
Panel 4: We see Sher’s face with an angry expression, while playing the guitar. “Fuck you! Your planet’s worth you lower! Fuck you! Your fucking shit and garbage!”.
Panel 5: It’s a wide panel where we can see they’re playing at a space station. There’s a good amount of audience (at least 45 people, but more hidden behind others), all of them aliens of different kinds except for three humans. Sher says “Take care of your planets! Don’t toss your trash to the floor unless it’s biodegradable! Don’t do what some people at some places we’ve been do! Yeah!”.
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metroactu · 3 months
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Pétroliers et gaziers sont essentiels pour l'économie nationale,
Dans le cadre de la redéfinition de la stratégie partenariale dans les secteurs miniers, pétroliers et gaziers, M. Birame Souleye DIOP, Ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, a récemment tenu une série de séances de travail avec plusieurs chefs de mission diplomatique. Les rencontres ont impliqué les représentants des États-Unis, de l’Union européenne, de l’Allemagne, de l’Inde, du…
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Selon Dr Yaya KANE DIALLO, les Phosphates de Ndenndory sont un enfer terrestre au Sénégal : Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées de Ndendory, de Hammadi Ounare et d’Orkadiere laissées en rade, infectées et appauvries. Plus de détails dans cet article avec Dr Yaya KANE DIALLO, Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men». Phosphates de Ndenndory : Plus de 14 ans d’exploitation Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 La parution du rapport Itie 2022 devrait mettre le feu aux poudres en révélant la boîte de Pandore que constitue l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory (région de Matam), alors que la question des indemnisations et des impasses de l’année 2022 n’est toujours pas réglée. Ce rapport fait mention notamment du chiffre d’affaires de l’année 2022 de la Somiva, société exploitante des phosphates de Ndenndory depuis l’année 2011 et dont le permis d’exploitation se poursuit jusqu’en 2036. En effet, selon ce rapport, la Somiva a fait un chiffre d’affaires de 56 442 979 011 F Cfa avec 549 556 tonnes de phosphates exploitées en 2022. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » →A lire aussi Le Salvador veut coopérer davantage avec le Sénégal, dans le tourisme notamment Un chiffre d’affaires en milliards chaque année, mais les populations impactées n’ont rien vu de ces retombées. Au contraire, les populations impactées souffrent de chômage, de manque de formation professionnelle, de nouvelles maladies pulmonaires, de dé­possession de leurs terres cultivables, de la pollution, d’appauvrissement de l’environnement et la perte de bétails. Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local n’a été mis en place depuis le début de l’exploitation de la mine d’abord par la Serpm-Sa de Cheikh Amar en 2010, suivie par la Somiva. Aucune de ces deux sociétés exploitantes n’a jamais respecté ses obligations, et l’Etat du Sénégal, en les laissant faire, se rend complice de ces manquements. Devant cette situation scandaleuse des laissés-pour-compte, les populations de Ndenndory, constituées en association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory dénommée «Njolten hujjaaji men», par la voix de son président Dr Yaya Kane Diallo, haussent la voix pour dénoncer cette situation et pour demander à ce que toutes les parties prenantes, à savoir les sociétés exploitantes, en l’occurrence la Somiva, et l’Etat du Sénégal, respectent leurs engagements vis-à-vis des populations et des collectivités territoriales im­pactées conformément à la Constitution du Sénégal du 22 janvier 2001. Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées, infectées et appauvries (Dr Yaya KANE DIALLO) Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés L’article 25-1 de la Constitution dispose que «les ressources naturelles appartiennent au Peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables». Toujours selon le rapport Itie 2022, la Société minière de la vallée du fleuve (Somiva) a déclaré s’être acquittée de ses taxes pour l’exercice de l’année 2022 à hauteur d’1 523 964 126 F Cfa. Alors que l’Etat du Sénégal a, quant à lui, déclaré un montant nettement plus élevé d’1 781 756 448 F Cfa, soit une différence nette de 257 792 556 F Cfa. Ce n’est pas du tout transparent ! Ces déclarations ont toutes deux fait l’objet d’un ajustement, passant respectivement
à 1 821 939 682 F Cfa pour la Somiva et à 1 822 148 950 F Cfa pour celle de l’Etat du Sénégal, soit une différence réduite après ajustement de 180 002 F Cfa. Il faut plus de transparence ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 Or, conformément aux dispositions du Code minier, chaque société exploitante doit verser au minimum 0.5% de son chiffre d’affaires au titre de la redevance minière à la collectivité d’accueil. Ainsi, le montant retenu pour chaque année d’exercice devra alimenter : → Un Fonds d’appui au secteur minier à hauteur de 20% de ses recettes ; → Un Fonds d’appui au développement local ; → Un Fonds de péréquation et d’appui aux collectivités territoriales dont la quote-part est fixée également à 20% de ses recettes. En outre, chaque société exploitante doit assumer pleinement sa Responsabilité sociétale et environnementale (Rse), et procéder à la réhabilitation des sites miniers et carrières après exploitation. Mais, pour ce faire, chaque société exploitante devait mettre en place dès le début de son activité d’exploitation, un Plan de développement local (Pdl) et un Plan de gestion environnemental (Pge). Rien de tout ça n’a été fait ni respecté par les sociétés exploitantes. Nous invitons les sociétés exploitantes, notamment la Somiva et la Serpm Sa, à : Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » → Régulariser leurs situations par rapport aux redevances minières dues aux collectivités locales pour chaque année d’exercice depuis l’année 2011 pour la Somiva et de 2010 à 2021 pour la Serpm Sa ; → Procéder à l’indemnisation des terres occupées et exploitées conformément aux dispositions du Code minier ; → Verser une indemnité de trois milliards (3 000 000 000) F Cfa aux trois villages impactés des communes de Ndenndory, d’Ounare et d’Orkadiere. → Si par extraordinaire ces sociétés avaient versé toutes les redevances minières dues à l’Etat du Sénégal, il appartient alors à l’Etat du Sénégal de reverser de manière effective ces redevances minières ac­quit­tées aux collectivités locales. Aussi, nous demandons à l’Etat du Sénégal et aux autorités compétentes de : Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation 1 → Régulariser ses états de reversement des redevances minières dues aux collectivités locales de Ndenndory, Ounare et Orkadiere pour chaque année d’exercice d’exploitation depuis l’année 2010 ; → Construire un hôpital de niveau 2 pour le traitement et le suivi des malades infectés ; → Octroyer une Couverture maladie universelle à toutes les populations impactées ; → Installer une usine de transformation et de production sur place ; → Garantir la formation professionnelle en créant un centre de formation professionnelle et promouvoir l’employabilité des jeunes et des femmes. Dr Yaya KANE DIALLO Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men»
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sports-100-buzz · 5 months
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Selon Dr Yaya KANE DIALLO, les Phosphates de Ndenndory sont un enfer terrestre au Sénégal : Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées de Ndendory, de Hammadi Ounare et d’Orkadiere laissées en rade, infectées et appauvries. Plus de détails dans cet article avec Dr Yaya KANE DIALLO, Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men». Phosphates de Ndenndory : Plus de 14 ans d’exploitation Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 La parution du rapport Itie 2022 devrait mettre le feu aux poudres en révélant la boîte de Pandore que constitue l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory (région de Matam), alors que la question des indemnisations et des impasses de l’année 2022 n’est toujours pas réglée. Ce rapport fait mention notamment du chiffre d’affaires de l’année 2022 de la Somiva, société exploitante des phosphates de Ndenndory depuis l’année 2011 et dont le permis d’exploitation se poursuit jusqu’en 2036. En effet, selon ce rapport, la Somiva a fait un chiffre d’affaires de 56 442 979 011 F Cfa avec 549 556 tonnes de phosphates exploitées en 2022. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » →A lire aussi Le Salvador veut coopérer davantage avec le Sénégal, dans le tourisme notamment Un chiffre d’affaires en milliards chaque année, mais les populations impactées n’ont rien vu de ces retombées. Au contraire, les populations impactées souffrent de chômage, de manque de formation professionnelle, de nouvelles maladies pulmonaires, de dé­possession de leurs terres cultivables, de la pollution, d’appauvrissement de l’environnement et la perte de bétails. Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local n’a été mis en place depuis le début de l’exploitation de la mine d’abord par la Serpm-Sa de Cheikh Amar en 2010, suivie par la Somiva. Aucune de ces deux sociétés exploitantes n’a jamais respecté ses obligations, et l’Etat du Sénégal, en les laissant faire, se rend complice de ces manquements. Devant cette situation scandaleuse des laissés-pour-compte, les populations de Ndenndory, constituées en association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory dénommée «Njolten hujjaaji men», par la voix de son président Dr Yaya Kane Diallo, haussent la voix pour dénoncer cette situation et pour demander à ce que toutes les parties prenantes, à savoir les sociétés exploitantes, en l’occurrence la Somiva, et l’Etat du Sénégal, respectent leurs engagements vis-à-vis des populations et des collectivités territoriales im­pactées conformément à la Constitution du Sénégal du 22 janvier 2001. Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées, infectées et appauvries (Dr Yaya KANE DIALLO) Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés L’article 25-1 de la Constitution dispose que «les ressources naturelles appartiennent au Peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables». Toujours selon le rapport Itie 2022, la Société minière de la vallée du fleuve (Somiva) a déclaré s’être acquittée de ses taxes pour l’exercice de l’année 2022 à hauteur d’1 523 964 126 F Cfa. Alors que l’Etat du Sénégal a, quant à lui, déclaré un montant nettement plus élevé d’1 781 756 448 F Cfa, soit une différence nette de 257 792 556 F Cfa. Ce n’est pas du tout transparent ! Ces déclarations ont toutes deux fait l’objet d’un ajustement, passant respectivement
à 1 821 939 682 F Cfa pour la Somiva et à 1 822 148 950 F Cfa pour celle de l’Etat du Sénégal, soit une différence réduite après ajustement de 180 002 F Cfa. Il faut plus de transparence ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 Or, conformément aux dispositions du Code minier, chaque société exploitante doit verser au minimum 0.5% de son chiffre d’affaires au titre de la redevance minière à la collectivité d’accueil. Ainsi, le montant retenu pour chaque année d’exercice devra alimenter : → Un Fonds d’appui au secteur minier à hauteur de 20% de ses recettes ; → Un Fonds d’appui au développement local ; → Un Fonds de péréquation et d’appui aux collectivités territoriales dont la quote-part est fixée également à 20% de ses recettes. En outre, chaque société exploitante doit assumer pleinement sa Responsabilité sociétale et environnementale (Rse), et procéder à la réhabilitation des sites miniers et carrières après exploitation. Mais, pour ce faire, chaque société exploitante devait mettre en place dès le début de son activité d’exploitation, un Plan de développement local (Pdl) et un Plan de gestion environnemental (Pge). Rien de tout ça n’a été fait ni respecté par les sociétés exploitantes. Nous invitons les sociétés exploitantes, notamment la Somiva et la Serpm Sa, à : Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » → Régulariser leurs situations par rapport aux redevances minières dues aux collectivités locales pour chaque année d’exercice depuis l’année 2011 pour la Somiva et de 2010 à 2021 pour la Serpm Sa ; → Procéder à l’indemnisation des terres occupées et exploitées conformément aux dispositions du Code minier ; → Verser une indemnité de trois milliards (3 000 000 000) F Cfa aux trois villages impactés des communes de Ndenndory, d’Ounare et d’Orkadiere. → Si par extraordinaire ces sociétés avaient versé toutes les redevances minières dues à l’Etat du Sénégal, il appartient alors à l’Etat du Sénégal de reverser de manière effective ces redevances minières ac­quit­tées aux collectivités locales. Aussi, nous demandons à l’Etat du Sénégal et aux autorités compétentes de : Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation 1 → Régulariser ses états de reversement des redevances minières dues aux collectivités locales de Ndenndory, Ounare et Orkadiere pour chaque année d’exercice d’exploitation depuis l’année 2010 ; → Construire un hôpital de niveau 2 pour le traitement et le suivi des malades infectés ; → Octroyer une Couverture maladie universelle à toutes les populations impactées ; → Installer une usine de transformation et de production sur place ; → Garantir la formation professionnelle en créant un centre de formation professionnelle et promouvoir l’employabilité des jeunes et des femmes. Dr Yaya KANE DIALLO Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men»
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reussir-a-tout-prix · 5 months
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Selon Dr Yaya KANE DIALLO, les Phosphates de Ndenndory sont un enfer terrestre au Sénégal : Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées de Ndendory, de Hammadi Ounare et d’Orkadiere laissées en rade, infectées et appauvries. Plus de détails dans cet article avec Dr Yaya KANE DIALLO, Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men». Phosphates de Ndenndory : Plus de 14 ans d’exploitation Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 La parution du rapport Itie 2022 devrait mettre le feu aux poudres en révélant la boîte de Pandore que constitue l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory (région de Matam), alors que la question des indemnisations et des impasses de l’année 2022 n’est toujours pas réglée. Ce rapport fait mention notamment du chiffre d’affaires de l’année 2022 de la Somiva, société exploitante des phosphates de Ndenndory depuis l’année 2011 et dont le permis d’exploitation se poursuit jusqu’en 2036. En effet, selon ce rapport, la Somiva a fait un chiffre d’affaires de 56 442 979 011 F Cfa avec 549 556 tonnes de phosphates exploitées en 2022. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » →A lire aussi Le Salvador veut coopérer davantage avec le Sénégal, dans le tourisme notamment Un chiffre d’affaires en milliards chaque année, mais les populations impactées n’ont rien vu de ces retombées. Au contraire, les populations impactées souffrent de chômage, de manque de formation professionnelle, de nouvelles maladies pulmonaires, de dé­possession de leurs terres cultivables, de la pollution, d’appauvrissement de l’environnement et la perte de bétails. Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local n’a été mis en place depuis le début de l’exploitation de la mine d’abord par la Serpm-Sa de Cheikh Amar en 2010, suivie par la Somiva. Aucune de ces deux sociétés exploitantes n’a jamais respecté ses obligations, et l’Etat du Sénégal, en les laissant faire, se rend complice de ces manquements. Devant cette situation scandaleuse des laissés-pour-compte, les populations de Ndenndory, constituées en association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory dénommée «Njolten hujjaaji men», par la voix de son président Dr Yaya Kane Diallo, haussent la voix pour dénoncer cette situation et pour demander à ce que toutes les parties prenantes, à savoir les sociétés exploitantes, en l’occurrence la Somiva, et l’Etat du Sénégal, respectent leurs engagements vis-à-vis des populations et des collectivités territoriales im­pactées conformément à la Constitution du Sénégal du 22 janvier 2001. Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées, infectées et appauvries (Dr Yaya KANE DIALLO) Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés L’article 25-1 de la Constitution dispose que «les ressources naturelles appartiennent au Peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables». Toujours selon le rapport Itie 2022, la Société minière de la vallée du fleuve (Somiva) a déclaré s’être acquittée de ses taxes pour l’exercice de l’année 2022 à hauteur d’1 523 964 126 F Cfa. Alors que l’Etat du Sénégal a, quant à lui, déclaré un montant nettement plus élevé d’1 781 756 448 F Cfa, soit une différence nette de 257 792 556 F Cfa. Ce n’est pas du tout transparent ! Ces déclarations ont toutes deux fait l’objet d’un ajustement, passant respectivement
à 1 821 939 682 F Cfa pour la Somiva et à 1 822 148 950 F Cfa pour celle de l’Etat du Sénégal, soit une différence réduite après ajustement de 180 002 F Cfa. Il faut plus de transparence ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 Or, conformément aux dispositions du Code minier, chaque société exploitante doit verser au minimum 0.5% de son chiffre d’affaires au titre de la redevance minière à la collectivité d’accueil. Ainsi, le montant retenu pour chaque année d’exercice devra alimenter : → Un Fonds d’appui au secteur minier à hauteur de 20% de ses recettes ; → Un Fonds d’appui au développement local ; → Un Fonds de péréquation et d’appui aux collectivités territoriales dont la quote-part est fixée également à 20% de ses recettes. En outre, chaque société exploitante doit assumer pleinement sa Responsabilité sociétale et environnementale (Rse), et procéder à la réhabilitation des sites miniers et carrières après exploitation. Mais, pour ce faire, chaque société exploitante devait mettre en place dès le début de son activité d’exploitation, un Plan de développement local (Pdl) et un Plan de gestion environnemental (Pge). Rien de tout ça n’a été fait ni respecté par les sociétés exploitantes. Nous invitons les sociétés exploitantes, notamment la Somiva et la Serpm Sa, à : Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » → Régulariser leurs situations par rapport aux redevances minières dues aux collectivités locales pour chaque année d’exercice depuis l’année 2011 pour la Somiva et de 2010 à 2021 pour la Serpm Sa ; → Procéder à l’indemnisation des terres occupées et exploitées conformément aux dispositions du Code minier ; → Verser une indemnité de trois milliards (3 000 000 000) F Cfa aux trois villages impactés des communes de Ndenndory, d’Ounare et d’Orkadiere. → Si par extraordinaire ces sociétés avaient versé toutes les redevances minières dues à l’Etat du Sénégal, il appartient alors à l’Etat du Sénégal de reverser de manière effective ces redevances minières ac­quit­tées aux collectivités locales. Aussi, nous demandons à l’Etat du Sénégal et aux autorités compétentes de : Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation 1 → Régulariser ses états de reversement des redevances minières dues aux collectivités locales de Ndenndory, Ounare et Orkadiere pour chaque année d’exercice d’exploitation depuis l’année 2010 ; → Construire un hôpital de niveau 2 pour le traitement et le suivi des malades infectés ; → Octroyer une Couverture maladie universelle à toutes les populations impactées ; → Installer une usine de transformation et de production sur place ; → Garantir la formation professionnelle en créant un centre de formation professionnelle et promouvoir l’employabilité des jeunes et des femmes. Dr Yaya KANE DIALLO Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men»
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ornoirafrica · 6 months
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Sénégal : Birame Soulèye Diop hérite de "la patate chaude", le ministère de l’Énergie, du pétrole et des Mines
Nommé ministre des Énergies, du Pétrole et des Mines dans le premier gouvernement du Président Bassirou Diomaye, sous la direction d’Ousmane Sonko, Birame Souleye Diop se trouve à la tête d’un secteur aux enjeux multiples et aux attentes élevées. Précédemment Inspecteur des Impôts et des Domaines, il occupait également un siège député à l’Assemblée nationale et présidait le…
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ouyander · 5 months
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Selon Dr Yaya KANE DIALLO, les Phosphates de Ndenndory sont un enfer terrestre au Sénégal : Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées de Ndendory, de Hammadi Ounare et d’Orkadiere laissées en rade, infectées et appauvries. Plus de détails dans cet article avec Dr Yaya KANE DIALLO, Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men». Phosphates de Ndenndory : Plus de 14 ans d’exploitation Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 La parution du rapport Itie 2022 devrait mettre le feu aux poudres en révélant la boîte de Pandore que constitue l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory (région de Matam), alors que la question des indemnisations et des impasses de l’année 2022 n’est toujours pas réglée. Ce rapport fait mention notamment du chiffre d’affaires de l’année 2022 de la Somiva, société exploitante des phosphates de Ndenndory depuis l’année 2011 et dont le permis d’exploitation se poursuit jusqu’en 2036. En effet, selon ce rapport, la Somiva a fait un chiffre d’affaires de 56 442 979 011 F Cfa avec 549 556 tonnes de phosphates exploitées en 2022. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » →A lire aussi Le Salvador veut coopérer davantage avec le Sénégal, dans le tourisme notamment Un chiffre d’affaires en milliards chaque année, mais les populations impactées n’ont rien vu de ces retombées. Au contraire, les populations impactées souffrent de chômage, de manque de formation professionnelle, de nouvelles maladies pulmonaires, de dé­possession de leurs terres cultivables, de la pollution, d’appauvrissement de l’environnement et la perte de bétails. Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local n’a été mis en place depuis le début de l’exploitation de la mine d’abord par la Serpm-Sa de Cheikh Amar en 2010, suivie par la Somiva. Aucune de ces deux sociétés exploitantes n’a jamais respecté ses obligations, et l’Etat du Sénégal, en les laissant faire, se rend complice de ces manquements. Devant cette situation scandaleuse des laissés-pour-compte, les populations de Ndenndory, constituées en association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory dénommée «Njolten hujjaaji men», par la voix de son président Dr Yaya Kane Diallo, haussent la voix pour dénoncer cette situation et pour demander à ce que toutes les parties prenantes, à savoir les sociétés exploitantes, en l’occurrence la Somiva, et l’Etat du Sénégal, respectent leurs engagements vis-à-vis des populations et des collectivités territoriales im­pactées conformément à la Constitution du Sénégal du 22 janvier 2001. Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées, infectées et appauvries (Dr Yaya KANE DIALLO) Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés L’article 25-1 de la Constitution dispose que «les ressources naturelles appartiennent au Peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables». Toujours selon le rapport Itie 2022, la Société minière de la vallée du fleuve (Somiva) a déclaré s’être acquittée de ses taxes pour l’exercice de l’année 2022 à hauteur d’1 523 964 126 F Cfa. Alors que l’Etat du Sénégal a, quant à lui, déclaré un montant nettement plus élevé d’1 781 756 448 F Cfa, soit une différence nette de 257 792 556 F Cfa. Ce n’est pas du tout transparent ! Ces déclarations ont toutes deux fait l’objet d’un ajustement, passant respectivement
à 1 821 939 682 F Cfa pour la Somiva et à 1 822 148 950 F Cfa pour celle de l’Etat du Sénégal, soit une différence réduite après ajustement de 180 002 F Cfa. Il faut plus de transparence ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 Or, conformément aux dispositions du Code minier, chaque société exploitante doit verser au minimum 0.5% de son chiffre d’affaires au titre de la redevance minière à la collectivité d’accueil. Ainsi, le montant retenu pour chaque année d’exercice devra alimenter : → Un Fonds d’appui au secteur minier à hauteur de 20% de ses recettes ; → Un Fonds d’appui au développement local ; → Un Fonds de péréquation et d’appui aux collectivités territoriales dont la quote-part est fixée également à 20% de ses recettes. En outre, chaque société exploitante doit assumer pleinement sa Responsabilité sociétale et environnementale (Rse), et procéder à la réhabilitation des sites miniers et carrières après exploitation. Mais, pour ce faire, chaque société exploitante devait mettre en place dès le début de son activité d’exploitation, un Plan de développement local (Pdl) et un Plan de gestion environnemental (Pge). Rien de tout ça n’a été fait ni respecté par les sociétés exploitantes. Nous invitons les sociétés exploitantes, notamment la Somiva et la Serpm Sa, à : Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » → Régulariser leurs situations par rapport aux redevances minières dues aux collectivités locales pour chaque année d’exercice depuis l’année 2011 pour la Somiva et de 2010 à 2021 pour la Serpm Sa ; → Procéder à l’indemnisation des terres occupées et exploitées conformément aux dispositions du Code minier ; → Verser une indemnité de trois milliards (3 000 000 000) F Cfa aux trois villages impactés des communes de Ndenndory, d’Ounare et d’Orkadiere. → Si par extraordinaire ces sociétés avaient versé toutes les redevances minières dues à l’Etat du Sénégal, il appartient alors à l’Etat du Sénégal de reverser de manière effective ces redevances minières ac­quit­tées aux collectivités locales. Aussi, nous demandons à l’Etat du Sénégal et aux autorités compétentes de : Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation 1 → Régulariser ses états de reversement des redevances minières dues aux collectivités locales de Ndenndory, Ounare et Orkadiere pour chaque année d’exercice d’exploitation depuis l’année 2010 ; → Construire un hôpital de niveau 2 pour le traitement et le suivi des malades infectés ; → Octroyer une Couverture maladie universelle à toutes les populations impactées ; → Installer une usine de transformation et de production sur place ; → Garantir la formation professionnelle en créant un centre de formation professionnelle et promouvoir l’employabilité des jeunes et des femmes. Dr Yaya KANE DIALLO Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men»
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naantokhi · 5 months
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Selon Dr Yaya KANE DIALLO, les Phosphates de Ndenndory sont un enfer terrestre au Sénégal : Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées de Ndendory, de Hammadi Ounare et d’Orkadiere laissées en rade, infectées et appauvries. Plus de détails dans cet article avec Dr Yaya KANE DIALLO, Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men». Phosphates de Ndenndory : Plus de 14 ans d’exploitation Visite du Ministre à Ndendory pour rencontrer les communautés impactées par l’exploitation minière 2 La parution du rapport Itie 2022 devrait mettre le feu aux poudres en révélant la boîte de Pandore que constitue l’exploitation de la mine de phosphates naturels de Ndenndory (région de Matam), alors que la question des indemnisations et des impasses de l’année 2022 n’est toujours pas réglée. Ce rapport fait mention notamment du chiffre d’affaires de l’année 2022 de la Somiva, société exploitante des phosphates de Ndenndory depuis l’année 2011 et dont le permis d’exploitation se poursuit jusqu’en 2036. En effet, selon ce rapport, la Somiva a fait un chiffre d’affaires de 56 442 979 011 F Cfa avec 549 556 tonnes de phosphates exploitées en 2022. Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » →A lire aussi Le Salvador veut coopérer davantage avec le Sénégal, dans le tourisme notamment Un chiffre d’affaires en milliards chaque année, mais les populations impactées n’ont rien vu de ces retombées. Au contraire, les populations impactées souffrent de chômage, de manque de formation professionnelle, de nouvelles maladies pulmonaires, de dé­possession de leurs terres cultivables, de la pollution, d’appauvrissement de l’environnement et la perte de bétails. Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local Demande-de-Liste-Precise-des-Impactes-par-les-Mines-de-Phosphate-a-Matam-par-le-Ministre-Birame-Souleye-Diop Aucune infrastructure, ni aucun plan social et environnemental de développement local n’a été mis en place depuis le début de l’exploitation de la mine d’abord par la Serpm-Sa de Cheikh Amar en 2010, suivie par la Somiva. Aucune de ces deux sociétés exploitantes n’a jamais respecté ses obligations, et l’Etat du Sénégal, en les laissant faire, se rend complice de ces manquements. Devant cette situation scandaleuse des laissés-pour-compte, les populations de Ndenndory, constituées en association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory dénommée «Njolten hujjaaji men», par la voix de son président Dr Yaya Kane Diallo, haussent la voix pour dénoncer cette situation et pour demander à ce que toutes les parties prenantes, à savoir les sociétés exploitantes, en l’occurrence la Somiva, et l’Etat du Sénégal, respectent leurs engagements vis-à-vis des populations et des collectivités territoriales im­pactées conformément à la Constitution du Sénégal du 22 janvier 2001. Plus de 14 ans d’exploitation, les populations impactées, infectées et appauvries (Dr Yaya KANE DIALLO) Birame Soulèye Diop En Visite À La Mine De NDendory Rassure Les Impactés L’article 25-1 de la Constitution dispose que «les ressources naturelles appartiennent au Peuple. Elles sont utilisées pour l’amélioration de ses conditions de vie. L’exploitation et la gestion des ressources doivent se faire dans la transparence et de façon à générer une croissance économique, à promouvoir le bien-être de la population en général et à être écologiquement durables». Toujours selon le rapport Itie 2022, la Société minière de la vallée du fleuve (Somiva) a déclaré s’être acquittée de ses taxes pour l’exercice de l’année 2022 à hauteur d’1 523 964 126 F Cfa. Alors que l’Etat du Sénégal a, quant à lui, déclaré un montant nettement plus élevé d’1 781 756 448 F Cfa, soit une différence nette de 257 792 556 F Cfa. Ce n’est pas du tout transparent ! Ces déclarations ont toutes deux fait l’objet d’un ajustement, passant respectivement
à 1 821 939 682 F Cfa pour la Somiva et à 1 822 148 950 F Cfa pour celle de l’Etat du Sénégal, soit une différence réduite après ajustement de 180 002 F Cfa. Il faut plus de transparence ! Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » 1 Or, conformément aux dispositions du Code minier, chaque société exploitante doit verser au minimum 0.5% de son chiffre d’affaires au titre de la redevance minière à la collectivité d’accueil. Ainsi, le montant retenu pour chaque année d’exercice devra alimenter : → Un Fonds d’appui au secteur minier à hauteur de 20% de ses recettes ; → Un Fonds d’appui au développement local ; → Un Fonds de péréquation et d’appui aux collectivités territoriales dont la quote-part est fixée également à 20% de ses recettes. En outre, chaque société exploitante doit assumer pleinement sa Responsabilité sociétale et environnementale (Rse), et procéder à la réhabilitation des sites miniers et carrières après exploitation. Mais, pour ce faire, chaque société exploitante devait mettre en place dès le début de son activité d’exploitation, un Plan de développement local (Pdl) et un Plan de gestion environnemental (Pge). Rien de tout ça n’a été fait ni respecté par les sociétés exploitantes. Nous invitons les sociétés exploitantes, notamment la Somiva et la Serpm Sa, à : Ndendory, Sénégal Un « enfer terrestre » de de 1 804 personnes « impactées » → Régulariser leurs situations par rapport aux redevances minières dues aux collectivités locales pour chaque année d’exercice depuis l’année 2011 pour la Somiva et de 2010 à 2021 pour la Serpm Sa ; → Procéder à l’indemnisation des terres occupées et exploitées conformément aux dispositions du Code minier ; → Verser une indemnité de trois milliards (3 000 000 000) F Cfa aux trois villages impactés des communes de Ndenndory, d’Ounare et d’Orkadiere. → Si par extraordinaire ces sociétés avaient versé toutes les redevances minières dues à l’Etat du Sénégal, il appartient alors à l’Etat du Sénégal de reverser de manière effective ces redevances minières ac­quit­tées aux collectivités locales. Aussi, nous demandons à l’Etat du Sénégal et aux autorités compétentes de : Phosphates de Ndenndory Plus de 14 ans d’exploitation 1 → Régulariser ses états de reversement des redevances minières dues aux collectivités locales de Ndenndory, Ounare et Orkadiere pour chaque année d’exercice d’exploitation depuis l’année 2010 ; → Construire un hôpital de niveau 2 pour le traitement et le suivi des malades infectés ; → Octroyer une Couverture maladie universelle à toutes les populations impactées ; → Installer une usine de transformation et de production sur place ; → Garantir la formation professionnelle en créant un centre de formation professionnelle et promouvoir l’employabilité des jeunes et des femmes. Dr Yaya KANE DIALLO Président de l’Association des populations impactées de la mine de phosphates de Ndenndory «Njolten hujjaaji men»
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