#sudpresse

[defke]

Anderlecht-Standard krijgt triest staartje: 17 gewonden

Photo: © PhotoNews RSC Anderlecht en Standard speelden afgelopen zondag 2-2-gelijk na een vermakelijke wedstrijd in een sfeervol Lotto Park. Jammer genoeg liep het wederom fout door wangedrag van een aantal supporters. Volgens SudPresse raakte zelfs een zeventiental personen gewond. Bij aanvang van de topper leek er nochtans weinig aan de hand. De supporters aan beide zijden zorgden voor de…

[netcomsn]

💰 Comment Carglass a perdu 830.848 euros à cause d’un simple courrier

💰 Comment Carglass a perdu 830.848 euros à cause d’un simple courrier

Mauvaise surprise pour “Carglass”. Un simple courrier a causé la disparition d’une somme colossale des comptes de la société, selon Sudpresse. La société D’Ieteren était mentionnée sur l’en-tête de cette lettre. Un changement de numéro de compte bancaire était indiqué pour les transactions commerciales à venir entre les deux sociétés. En 2016, Carglass a donc payé douze factures sur ce nouveau…

[sudinfo]

A peine libre, il tente de voler des voitures sur le parking de la prison https://ift.tt/2FOqBfi

[payetonjournal]

[TW violences, viols] Depuis hier, cette horreur circule sur les réseaux sociaux. Publié par La Meuse (Sudpresse), vous pouvez aussi le lire ici : http://liege.lameuse.be/51129/article/2017-02-28/violences-sexuelles-les-femmes-pas-si-innocentes-que-cela

Au-delà du titre et de l’inter-titre qui sont à vomir, certains pourraient penser que c’est seulement racoleur mais qu’il y a quelque chose derrière, un vrai sujet. Si déjà je pense qu’il n’est pas nécessaire de s’abaisser à ça pour vendre un papier, le contenu de cet article est lui aussi très flippant et véhicule de nombreuses informations très limite en formulant les choses de manière bien étrange… Plusieurs points m’ont interpellé.

- Donc l’information de base, c’est que les femmes ne sont “pas si innocentes que ça”. “Sur les 2.385 suspects qui ont été fichés dans la BNG en 2015 pour violence sexuelle, 407 étaient des femmes et 1.978 des hommes. Ce qui correspond à une proportion 83 %-17 %.” Ah oui en effet, c’est bien les 17% qui interpellent et pas le fait que les hommes soient majoritairement les agresseurs. Tout ça sans préciser nulle part que 91% des personnes violées sont des femmes (INSEE 2015). Un détail sûrement.

- Il n’y a pas que dans le titre que le vocabulaire est à vomir. Chaque journaliste sait que le choix des mots est très important et peut vite faire basculer son papier dans un sens comme dans un autre. Ici c’est extrêmement révélateur. “En matière de viols, ils sont indétrônables” (c’est un concours ou bien ?) ; “Les infractions où les femmes sont le mieux représentées” (ouf on est toujours dans la course ?), la "pornographie enfantine" devient un "passe-temps pervers" (un crime ? bof on va pas utiliser des termes extrêmes non plus).

- L’inter-titre indique donc que “L’incitation à la débauche est une spécialité féminine”. Mais qu’est-ce donc que l’incitation à la débauche ? On l’apprend un peu plus loin… Cela peut donc être “une femme qui ferme les yeux sur son mari qui abuse de son enfant”, donc déjà c’est un crime qu’elle ne fait pas seule, mais passons… Car “l’incitation à la débauche, c’est aussi faire du racolage sur la voie publique”. Ça alors, nous parlons donc de femmes généralement précaires et faisant souvent partie de réseaux, qui se prostituent dans la rue et se mettent très souvent en danger. Donc, ça alors, les femmes sont plus majoritairement dans cette situation plutôt que les hommes ? Situation qui est résumée comme étant “une spécialité féminine” donc. Alors qu’on nous dit même quelques lignes plus loin : “On tombe là sur des prostituées ou sur des toxicomanes qui proposent du sexe à 5 ou 10 € pour se payer leur came” donc des personnes qui ne semblent pas vivre la plus belles des vies n’est-ce pas.

- Et là je crois qu’on arrive au must du must en fin d’article. “Pour le sexologue et thérapeute Guillaume Van Der Meersch, si l’homme reste le principal agresseur sexuel, « c’est probablement dû à des facteurs hormonaux et biologiques (testostérone…). Et quand l’homme passe à l’acte, c’est parce que, vu sa fragilité narcissique, il n’a pas intégré les interdits fondamentaux.” Bon et bien voilà une nouvelle défense de qualité pour les violeurs “c’est pas moi c’est mes hormones”. Sérieusement, WTF là ? On nous explique dans le plus grand des calmes, que si les hommes sont plus souvent des agresseurs, c’est dû à la testostérone. Culture du viol ? Éducation genrée dès la naissance ? Nope, testostérone qui fait qu’on intègre pas trop “les interdits fondamentaux”, comme si les hommes étaient des êtres dépourvus de cerveau ou de libre arbitre.

EDIT : voici la réponse de Guillaume Van Der Meersch sous la publication Facebook : https://www.facebook.com/…/a.18217872047…/1847941555483661/… Connaissant certaines pratiques journalistiques douteuses et voyant le rendu final du papier, j'ai plutôt tendance à croire les propos avancés en ce qui concernent les raccourcis et modifications des citations suite à l'entretien.

Photo @flolepoivre sur Twitter

[markoferko]

Prince Laurent, brother of King Philippe, told the Sudpresse agency that abuses had occurred in the Congo Free State, Leopold’s personal fiefdom and source of wealth, but that Leopold was not to blame.

“He never himself went to Congo,” he said. So I do not see how he could have made people there suffer.”

ja, Hitler se járt Auschwitzban

[soldan56]

Il prefetto di Siracusa Pizzi vieta le “manifestazioni di protesta connesse a vertenze di lavoro”. (Forse la portata repressiva dei decreti sicurezza #Minnitiboia e #Salvinimmerda uno non è stata afferrata)

[hcagla]

“Your only limit is you!” Film önerim eskilerden 👉🏽 “Scent of a Woman” 📌#caglaylahergünbirfilm . . . . . #starwarsthelastjedi #cinematic #cinephile #instafollower #instafollowme #instafollowers #instagram #instamovie #sudpresse #belgium #action #thriller #actors

[arch-angelraphael]

From @behr_productions - Welp lol that’s one way to use a #gimbal Stabilizer rig 😂 Tag a filmmaker that would try this lol PC: @filmografico . . . . . . . . #starwarsthelastjedi #cinematic #cinephile #instafollower #instafollowme #instafollowers #instagram #instamovie #sudpresse #belgium #thriller #actors #production #holywood #article #presse #media #lfl #bestofthedayalways #filmphoto #photography #photographer #columbus #columbusgaphotographer #filmisnotdead #ishootfilm #filmcamera #filmlover #mamiya

[heartbreakerrouge-blog]

Journaliste, un métier avant tout “passionné”

Ce dimanche 17 décembre 2017, nous avons eu l’opportunité de rencontrer et d’interviewer Nicolas Rooze, journaliste s’occupant de la rubrique des faits divers de l’entité mouscronnoise dans le journal régional Nord Eclair (Sudpresse).

Biographie

Mouscronnois de source, il a toujours habité la ville et y est très attaché. Dès son plus jeune âge, il s’est découvert une certaine passion pour l’écriture et a su développé ses talents rédactionnels en écrivant des petites histoires sur ses camarades de classe. Il fit partie de la toute première promotion de la HELHO (aujourd’hui HELHa), à l’époque située à Leuze. Le monde du journalisme lui a ouvert ses portes lors de premiers stages et c’est à ce moment-là qu’il a réalisé que c’était ce qu’il voulait faire de sa vie. Dès la fin de son stage de deuxième année, le Nord Eclair l’a engagé en tant que correspondant le weekend. Il venait donc, comme il le dit lui-même, « donné un coup de main de temps en temps » tout en continuant ses études. En 2002, après avoir été diplômé, il fut engagé en tant que journaliste indépendant, travaillant six jours par semaine, 24 heures sur 24. Ne voyant aucune évolution possible dans cette voie et ayant du mal à gérer les horaires, il a ensuite travaillé en tant que collaborateur parlementaire de l’ancienne députée Annick Saudoyer. Cinq ans plus tard, madame Saudoyer n’ayant pas été réélue, Nicolas Rooze perdit son travail. Il y a trois ans et « par la force des choses », comme il dit, il est retourné à ses premiers amours en retrouvant le chemin du Nord Eclair, qui manquait à l’époque de personnel. En effet, il avait gardé contact avec le quotidien grâce à sa fonction d’attaché de presse mais également en ayant eu la chance de pouvoir continuer à gérer sa page internet sur les jeux vidéo, qu’il possède depuis de nombreuses années maintenant, dans les bureaux du journal.

Qu’est-ce qu’un fait d’actualité selon lui ?

Nous avons obtenu de sa part une réponse très claire, je cite « il s’agit d’un fait, d’un événement qui se passe à l’instant, au moment présent et qui est susceptible d’intéresser d’autres personnes, le plus grand nombre ». Il met également en avant le fait que l’actualité peut être constituée de faits positifs, comme les actions d’associations par exemple, mais il peut s’agir de mauvaises nouvelles comme des accidents, des incendies…

Où trouver des sources d’informations pertinentes ?

En tant que journaliste, il dit disposer d’énormément de sources d’informations. Ces sources peuvent être officielles (communiqués de presse, appels téléphoniques,…), mais elles sont aussi susceptibles de provenir de leurs « concurrents », ainsi que des réseaux sociaux. Il qualifie ces dernières de sources importantes même s’il insiste sur le fait qu’il est impératif de se méfier et de vérifier ce qui est rapporté sur internet avant de considérer ça comme fiable. Cependant, il considère que depuis quelques années, les réseaux sociaux font partie intégrante de nos vies et que nous avons la chance de nous renseigner très rapidement. Mais en tant que « non-journalistes », où devrions-nous nous informer ? D’après ce dernier, il serait préférable de s’informer à l’aide de la presse écrite plutôt que la presse télévisuelle ou les informations dont on dispose sur internet, car normalement « si un journaliste a bien fait son travail, il ne devrait y avoir aucune erreur ».

A quelle fréquence devrions-nous nous informer ?

Pour les professionnels du métier, notre interviewé considère qu’il est préférable de le faire au quotidien. Nicolas Rooze qualifie cela de « formation professionnelle » et précise que le faire devient systématique. Effectivement, il nous confie que même lorsque vient le temps des congés, il lui arrive de vouloir étancher sa soif de curiosité au moment où il croise une voiture de police, par exemple, ou encore quand il se balade dans les rues mouscronnoises et qu’un détail attire son attention. Être journaliste, c’est avant tout être curieux et cela de manière naturelle. Il faut « observer » au quotidien. En ce qui concerne les personnes à part entière, il met en lumière le fait que chacun est différent et qu’on peut s’intéresser à des domaines bien particuliers mais qu’il est toutefois important de savoir s’intéresser à tout.

Mais alors, combien de médias devrions-nous consulter ?

Là-dessus, son point de vue est également très clair, il estime qu’à moins qu’on en ait un fétiche, il est préférable de s’intéresser à tous les médias et tous les types de médias, comme la radio, la télévision, l’Internet et la presse écrite. Malgré cela, il souligne le fait que chacun ait son point de vue et son propre avis sur les médias à consulter. Monsieur Rooze reprend notamment l’exemple de la presse locale et du fait que celle-ci puisse s’inspirer d’autres médias afin de compléter leurs informations. Egalement, le fait de s’informer grâce à la presse locale ou plutôt internationale dépend du secteur dans lequel les journalistes travaillent. Fatalement, un journal local s’informera au niveau national pour que cela reste ciblé, même s’il ne faut pas se restreindre pour autant. Pour les lecteurs, cela dépendra à nouveau de leurs envies, de leurs préférences, même s’il insiste légèrement sur le fait que l’actualité « du coin » nous touchera plus personnellement.

Quels moyens utilisent-ils afin de retenir et d’obtenir le maximum d’informations ?

Ce journaliste de la presse locale veille à prendre un maximum de notes. Dès qu’il a une idée, elle est immédiatement retranscrite dans un agenda, car il a peur de l’oublier. Il relève encore le cas particulier des réseaux sociaux et de leur manque « d’ordre », c’est pour cela qu’il préfère écrire de manière concise. Aussi, il possède un grand carnet d’adresses qu’il s’est mis à disposition sur son ordinateur, il conseille d’ailleurs à tous ses collègues et aux futurs journalistes de faire la même chose. Il peut ainsi compter sur ces contacts pour faciliter ses recherches et ses rédactions.

Compte-t-il un jour changer de profession/ voie ?

A ce sujet, monsieur Rooze fut catégorique : il adore la presse locale et soutient le fait qu’il est entouré de gens qu’il connaît, qu’il croise au quotidien, bien que cela reste un métier difficile, surtout au niveau des horaires. En conséquence à cela, il nous avoue même « se demander comment ses enfants font pour le reconnaître parfois ». Ce n’est pas toujours facile à gérer mais il adore ce qu’il fait, il nous dira que « chaque jour amène son lot de nouveautés et de découvertes ». Il affectionne particulièrement le fait d’être prêt de chez lui et s’il pouvait poursuivre indéfiniment son parcours au Nord Eclair, il le ferait. Toutefois, il avoue avoir été parfois en désaccord avec certaines décisions prises par le journal, ou encore ne pas pouvoir traiter certains sujets qui lui tiennent plus à cœur que d’autres.

Quel est le plus grand défi auquel il doit faire face dans ce métier ?  

La réponse est simple, selon lui, il n’y a pas de « grand défi » à proprement parler, mais chaque matin, un nouveau défi commence : remplir les pages blanches. Il n’a jamais la même journée, c’est un renouvellement quotidien, agrémenté de découvertes plus surprenantes les unes que les autres. Il se corrige cependant en disant qu’il y a toutefois un challenge à relever en presse locale : trouver le sujet qui fera la différence, qui apportera ce petit « truc » en plus. C’est grâce à cela qu’il trouve la motivation d’écrire différemment, de laisser échapper sa créativité et son originalité et c’est cela qui, selon lui, attire le lecteur. En bref, il se considère comme quelqu’un qui écrit des histoires, de faits réels évidement, dont le but est d’intéresser les lecteurs un maximum. On ajoutera qu’il insiste sur le côté polyvalent et le temps conséquent dont les journalistes doivent disposer, surtout depuis la mise à disposition de la presse sur Internet.  

            Cette rencontre fut riche en apprentissage et en partage. Ce fut intéressant de pouvoir écouter un professionnel aussi passionné par le travail qu’il a toujours rêvé d’exercer. En s’exprimant, il nous donne envie de trouver, nous aussi, notre voie et de nous épanouir dans la future profession que nous aurons choisi.  

[defke]

Albert ziet lichtpunt bij Standard: "Enige op niveau"

Albert ziet lichtpunt bij Standard: “Enige op niveau”

Foto: © PhotoNews Standard zag vrijdag zijn opmars in de Jupiler Pro League gestuit door RFC Seraing. De Rouches verloren op eigen veld met 0-2 van hun provinciegenoten, die zichzelf zo wat meer ademruimte geven onderin. Eleven Sports-commentator Philippe Albert zag bij Sudpresse één lichtpunt in de ploeg van Ronny Deila. Standard wilde een vervolg breien aan de 12 op 12 die het geboekt had in…

[defke]

Van Damme geniet van Standard: "Ik had graag met hem gewerkt"

Van Damme geniet van Standard: “Ik had graag met hem gewerkt”

Standard doet het lang niet slecht in de Jupiler Pro League. Na de zege tegen Club Brugge is het gestegen naar de vijfde plaats. Ex-speler Jelle Van Damme ziet het graag gebeuren en geeft een pluim aan coach Ronny Deila.  “Ik ken hem van zijn periode in de MLS en hij is een coach die heel dicht bij zijn groep staat”, aldus Van Damme bij Sudpresse. “Hij vindt altijd de juiste woorden om je jezelf…

[defke]

'Standard dicht bij dubbelslag'

‘Standard dicht bij dubbelslag’

Foto: © PhotoNews Bij Standard zullen het nog drukke dagen worden. De mercato van de Rouches kwam bijzonder traag op gang en de teller staat nog steeds op maar drie aanwinsten met Ohio, Barrett Laursen en Davida. Voor het verstrijken van de deadline moeten er echter nog meer verse krachten neerstrijken op Sclessin. Standard hoopt in ieder geval snel een dubbelslag te slaan. Sudpresse meldt dat…

[sudinfo]

Une incroyable course-poursuite : cette femme est tellement ivre qu’elle est incapable de souffler dans l’éthylotest (vidéo) https://ift.tt/2CToHep

[sudinfo]

Elle se coupe une phalange et s’en fait un pendentif gore http://ift.tt/2Ey4xXI

[sudinfo]

Marisa Papen, le mannequin belge qui pose toute nue en toutes circonstances, défend la cause animale (Photos) http://ift.tt/2zIP3Ns