#synesthésie

[marothro]

[mon-correspondant-blog]

THÉÂTRE DE PAPIER

versus

SYNESTHÉSIE

Il se prépare une folle fusion : expérimentation et petites formes théâtrale.

[maluron]

ah merdouille !! il y a plusieurs mois, peut-être même un an ou deux (le temps file je ne sais plus) j'avais répondu à un sondage tâtant le terrain d'audience pour un possible film/série sur la genèse de Milady de Winter - je n'étais pas censé en parler à l'époque, blablabla clause de confidentialité et depuis j'ai oublié pas mal de détails mais ça faisait envie quand même

là j'avais des places de cinéma à utiliser avant qu'elles se périment et du temps à tuer et j'ai été voir Les Trois Mousquetaires : Milady en aveugle, en pensant que c'était ça

ben non c'est la suite d'un autre film que je n'ai pas vu et qui ne me faisait pas envie en soi

d'après wikipedia malgré le stinger/sequel hook ça n'était pas la moitié d'une trilogie mais la fin d'un diptyque (enfin pour l'instant ?) et le truc que j'attendais sera une série qui s'appellerait Milady Origins (quel nom à con, mais bon) et n'a pas encore de date officielle

meh je ne vais pas dire que j'ai gaspillé un ticket et perdu deux heures de temps mais j'aurais dû mieux me renseigner d'abord quand même

[30jourspourecrire]

Surpriiiise !

🌷 Voici 30 sujets d'écriture sur le thème des Couleurs pour le mois de Juin ! 🌷

J'avais très envie de dédier un mois entier aux Couleurs. Ce sera une manière de faire advenir le printemps dans l'écriture à défaut de l'avoir dans le ciel, et de célébrer le mois des visibilités qui a lieu en juin 🌈

Toutes ces couleurs sont une invitation à l'observation du monde qui vous entoure, aux métaphores, aux sensations qui vous habitent, aux synesthésies, à la poésie du banal.

Je vous souhaite une belle pratique d'écriture 🎈

Note : Je ne rebloguerai plus vos textes sur ma page car je n'ai plus le temps de le faire quotidiennement, mais vous pouvez continuer à utiliser le tag #30jourspourécrire, je vous lirai toujours.

[elodieamet]

L'art a une utilité : créer des émotions, stimuler les sens et allumer des zones inexplorées du mental. L'installation doit être utilisée pour mettre en scène cette synesthésie sensitive, émotionnelle et mentale. Là, la fonction de l'Art sera révélée en tant que générateur de vie interne.

[esep-artsvisuels]

Exposition de portraits en synesthésie en collaboration avec la musique

[kananarchiste]

French folks and everyone listen. There is something fun a want to share. I don't think it's the same in english because it's not my native langue, so i litteraly don't care about how you guys gendering me. But in french i use masc and neopronouns (il, al and iel) and it's make me feel like this :

This is what i mean when i say "mes pronoms sont il, al et iel"

And i think it's beautiful

(I think it's called "synesthésie")

Have you ever experienced something like that ??

[stupendouscollectionwinnerfan]

En sons, on peut opposer les voyelles et les consonnes... En images, on peut opposer graphique et pictural... Conceptuellement sur des plans binaires, et une de mes synesthésies et de faire le parallèle dans ce sens : les voyelles sont picturales, les consonnes sont graphiques.

Le feu, du coup, est pour moi un paradoxe tel que en son, il est plutôt uniquement consonnes, ça crépite, ça croustille, crrrrpfffcrrt, mais en image au contraire, il est plutôt pictural, de la couleur, de la lumière, mais aucun contour, pas de forme précise ou fixe...

Cette petite idée comme une pseudo poésie qui m'est apparue alors que je remontais dans le temps avant la philo officielle à propos des acquis intellos humains... Il n'y a je crois, cher Schopenhauer, pas que la vérité qui suit ces trois stades de la considération socioconsciente, le déni, la moquerie, et enfin l'évidence acceptée... J'imagine fictivement comment il y a du y en avoir quelques uns, des guss qui se sont fait jeter gentiment en tentant de ramener du feu auprès des bien-pensants, avant qu'on trouve ça normal de maîtriser le truc... Lol la scène, imagine, tout un sketch non ?

Rip à eux ces vrais 'éclaireurs' de l'humanité.

[2t2r]

Synesthésie: Melissa McCracken peint la musique

Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/synesthesie-melissa-mccracken-peint-la-musique/

Synesthésie: Melissa McCracken peint la musique

[fmfrancoise]

Synesthésie : la signification des mots passe par les couleurs - Sciences et Avenir

[paradisclairvoyance]

Qui suis-je ? 

Clairvoyante et clairaudiente

Depuis mon enfance, j'ai toujours eu des intuitions et une sensibilité particulière. 

Ces ressentis pouvaient se révéler sur des événements joyeux comme dans d'autres qui l'étaient beaucoup moins. 

Bien loin de le vivre comme un "don", je l'ai vécu comme une esp��ce de handicap invisible qui m'empêchait de vivre pleinement le moment present. Me limitant dans mon lien avec les autres, j'étais trop accaparee par la multitude d'informations que je captais à leur contact. 

J'ai tenté durant des années de mettre cette intuition de côté en me l'expliquant par une sensibilité trop prégnante et me suis concentrée à être ce que la société semblait attendre de moi. Je me suis concentrée sur ma scolarité, mes études puis à tenter bonnant malant de rentrer dans la vie active. Mais, on ne peut échapper à son destin et à ses particularités, c'est pourquoi je confiais parfois à des personnes ce que je pressentais pour eux. Leurs retours m'ont amené à prendre confiance et à ne plus me vivre comme inadaptée au monde. 

J'accepte être entre deux mondes et que cet entre deux mondes soit mis au profit des autres. 

Des expériences de vie m'ont permis de transcender les intuitions et de vivre de véritables synesthésie en ce sens où je "vois" et j'"entends" des messages. 

Enfant et au début de l'âge adulte, j'utilisais prioritairement la cartomancie. 

Les cartes constituent aujourd'hui un simple outil venant confirmer les informations véhiculées par la clairvoyance et par la clairaudience. 

Il y a deux ans, suite à des décès successifs et à une rupture, j'ai eu la nécessité profonde de revenir à mes fondamentaux et de me former à une technique de soin énergétique, la bio énergie et au magnétisme. Cette formation m'a permis de compléter mes outils d'accompagnement et de filtrer ce qui me semble être le plus optimal pour guider les consultant(e)s. 

[coulisses-tv]

"Synesthésie : quand les sens s'emmêlent" sur ARTE samedi 20 mai 2023

http://dlvr.it/SpKwrQ

[roccioletti]

Sinestesia.

Immagine proiettata su gelatina commestibile,

videocamera, proiettore, corpo.

Performance, 2023.

Synaesthesia.

Image projected on edible jelly,

camera, projector, body.

Performance, 2023.

Synesthésie.

Image projetée sur gélatine comestible,

caméra, projecteur, corps.

Performance, 2023.

#contemporaryart #performance #art

www.roccioletti.com

[lemuseedesmiroirs]

Synesthésie

Dédiée à Louis-Jean Cormier

Le lever du Soleil vint illuminer son ridicule appartement de Long Island. L’artiste ouvrit les yeux. Après s’être plus ou moins étirée, elle passa aux toilettes puis se rendit directement à son chevalet sans même déjeuner, déterminée à entamer un tout nouveau paysage. Elle y avait préalablement installé un canevas vierge. De son tiroir, elle attrapa sa palette de couleur et y prépara ses mélanges de peinture acrylique. La femme s’occupa ensuite de nettoyer ses pinceaux et de les préparer pour sa session du matin. Enfin, elle se lança dans son art. Elle amorça un ciel d’un bleu agréable, voire angélique, tel qu’elle aimait les nouveaux départs.

La Lune tentait désespérément de se frayer un passage au travers des nuages de Vancouver. Une jeune étudiante de l’UBC avait passé la nuit à étudier dans ce tout petit café à l’ouest de la ville. Elle était d’un calme pétrifiant. De temps en temps, elle taillait un crayon. De temps en temps, elle allait surligner un mot ou deux pour y voir plus clair. Puis elle tournait une autre page. Et une autre. Soudainement, un profond chagrin la prit de front. Elle se mit à pleurer. Chacune des larmes de son corps semblait s’exsuder dans un bruyant torrent. Elle pleurait comme s’il n’y avait pas de lendemain. Elle pleurait comme si sa vie en dépendait. Pourquoi? Même elle se le demandait. Tout de même, elle paraissait incapable de s’arrêter de pleurer. De douloureux souvenirs lui montaient à la tête, la noyant de pleurs.

Une fois son ciel délicatement appliqué, la peintre décida d’y ajouter un éblouissant soleil doré. Elle trempa le pinceau, puis y alla de larges traits ronds. Une fois la masse jaune pissenlit ajoutée au canevas, la femme parsema certains détails d'ombre et de lumière à l’aide d’un pinceau tout fin. L’artiste prenait goût à cette œuvre. Elle en était déjà plutôt fière. La première couche de son ciel le plus réaliste était maintenant entièrement posée.

Avant même que l’homme assis tout près n'ait eu le temps de se rendre à l’étudiante pour lui offrir soutien, elle fut frappée par une euphorie acharnée. L’homme, sévèrement ébloui par le sourire lui scindant à présent le visage, fit un pas à l’arrière. Puis un autre. Puis un autre, jusqu’à finalement revenir discrètement à sa table, confus. La jeune femme riait jusqu’à s’en sortir les poumons. Elle souriait jusqu’à s’en déchirer les joues. C'en était presque malsain.  Ce qui est certain, c’est qu’elle a attiré les regards. Malgré son hystérie, bien au fond d’elle, elle était emplie de peur… une seule question lui trottait dans la tête: que lui arrivait-il donc?

Le ciel complété, il était bien temps pour la peintre de revenir sur terre. Elle mélangea un brun. Elle sortit un vert. Par la suite, elle enracina d’un grand trait un tronc dénudé. Elle lui ajouta ensuite des branches, par compassion. Finalement, l’artiste se décida à faire des feuilles vibrantes et ovales en balançant son pinceau tout au long du branchage. Elle fit bien attention de varier les teintes et les tons de vert, question d’ajouter un peu de profondeur. Une fois terminé, elle en était… satisfaite, mais pas plus.

L’instant suivant, l’étudiante se lança vers la salle de bain pour y vider ses tripes. La nausée l’avait vivement prise d'assaut et le prochain rejet était déjà tout près. Elle vomit une seconde fois pendant qu’un mal de tête se projeta au plus loin de son crâne. Cela lui faisait si mal que ses yeux avaient l’envie soudaine de sortir de leurs orbites. C’est comme s’ils étaient poussés par la cruelle force s’étant installé entre ses deux oreilles. Ensuite, ce fut le tour de son abdomen: un violent, ardent et blessant incendie s’y installa. L’acide de son estomac devait s’être changé en poison, car elle se retenait pour ne pas crier du plus fort qu’elle ne le pouvait. Jamais n’avait-elle eu aussi mal, se dit-elle en régurgitant pour une troisième fois.

Pour remplir la toile, l’artiste décida d’y peindre une maison. Elle en traça les contours, les angles et l’épaisseur. Elle empila ensuite briques puis briques jusqu’à en élever un premier mur. La peintre prit un rouge plus sombre pour le mur opposé, question de faire croire à un ombrage. Quelques dizaines de minutes plus tard, une chaleureuse demeure se tenait en plein centre de la vue. Chaleureuse, car celle-ci détonnait d’un rouge éclatant parmi le bleu et le vert plutôt froids. C’est comme si, à elle seule, la maison venait aider le soleil à réchauffer l’endroit.

Ses symptômes s’estompèrent aussitôt. Cependant, le calme ne revint pas immédiatement, tandis que la rage pris les devants. En sortant des toilettes, elle se dirigea vers son voisin, l’homme de plus tôt, les poings fermés. Elle se laissa à l’emprise de ses dents sur sa lèvre inférieure. Elle ne la quitta que pour frapper l’étudiant d’une fureur déchaînée. Elle ne le connaissait pas. Elle ne lui avait jamais adressé la parole auparavant. Pourtant, ici même, elle l’insultait comme elle n’avait jamais insulté. La fumée lui sortait des oreilles. Elle lui hurlait des épines de titane droit au cœur

Néanmoins, l’artiste sentait qu’elle avait gâché la toile d’une certaine manière. Elle n’arrivait pas à mettre son doigt sur le souci, mais elle n’était plus autant satisfaite. Elle n’était plus autant fière. Elle ne l'aimait plus. D’un mouvement impulsif, elle réduit son monde à néant en le recouvrant de noir.

L’étudiante courut jusqu’à prendre la porte puis se jeta violemment entre les voitures de la rue passante. © Alexis Tremblay 2022

[lacephale]

" Pour me faire briller, il vous faudra être bien plus véloce, avoir les sens capables de percevoir l’imperceptible sans qu’on ne le décrive. A la première et plus petite fraction de temps, à la fin de l’aurore, au commencement même de la pénombre, juste après le jour, avant la nuit, à la lueur d’un rayon vert et concentré, je brille, ni sélène ni vermeil, à l'instant dés plus important dans le cycle solaire. Si difficile à saisir, que beaucoup doute même de son existence, ou bien ne la connaisse que par figuration et substitution. Au risque d’aveugler, non pas que l’intensité de ce réfléchissement soit trop éclatante, au contraire, de la particularité photonique qui impressionne peu de spécimens vivants et pensants, les autres n’ayant pas de vision expérimentée, savamment adaptée pour ne serait-ce qu’entrapercevoir les contours de ma silhouette au spectre électromagnétique insaisissable bien qu’efficient. Comme ces ondes, ces rayonnements, ces systèmes optiques à la sensibilité optimale quant à révéler l’occulte et l’invisible évoqués. Il ne s’agit pas de magie, ni de synesthésie. Ce n’est pas de lumière noire dont je parle, ni de rayons infrarouges, ou encore de rayonnement violet à l’a fréquence stabilisée au nanomètre prêt. Mais plus d’une clairvoyance nécessitant d’avoir déjà vu cette réflexion, par soi-même soit parce que l’on émet la lumière suffisante pour alimenter la mystérieuse constitution et celles de mes frères d’éclats, soit parce que l’on a soit même une constitution de fréquence merveilleuse, à la spécificité unique, rare et fragile.

Ainsi peu ou personne ne m’a jamais vu avec la définition et le détail qui leur permettrait de savoir et comprendre mes connections, mon portrait neuro-affectif, mon esprit avec un visage, ma voix qui émet en harmonie, mon ouïe qui résonne avec une réverbération insondable ; mes sens, avec mes forces primales complexes de concert avec mes peurs centrales éternelles.

Peu sont ceux qui ont décroché, ont aperçu ou vu de trop près cette sombre lumière luisante. Une fois suffit pour ne plus jamais douter de toutes ces ressources irrésistibles qui me traverse sans alternance, comme l’énergie électrique de tout un corps astral, un système entier constitué de milliards de connecteurs ou chaque neurone, chaque atome est une idée, un arôme, une pulsion, une raison, un vecteur de possibilités, de ressources infinies. "

- HENRY MILLER, hand written extract from The Waters Reglitterized, 1949

[stephscanvic]

Ce week-end je suis partie au Chili… Mon ami Moineau m’a prise par la main & m’a guidée à l’autre bout du monde… J’ai ouvert son enveloppe avec fébrilité dans la Poste même pour me plonger illico dans son écriture & ses photos : je ne marchais plus dans Bagnolet, j’étais propulsée sur les hauteurs de Valparaiso… Je voyais la mer, pas loin, là, derrière l’église… Santiago, des Punta & des Puerto à gogo, la Patagonie, les montagnes, les grottes, les lacs, les glaciers, les nuits étoilées, les ravins traîtres & les phares salvateurs, la mer… Et puis les rencontres, les féministes flamboyantes et les pinochetistes déconcertants, les tags, les mariscos, les piscos, les rires, les larmes, la nostalgie, la vie… L’aventure, la vraie. Cher Mr Oiseau, ton recommandé attendu toute cette semaine est tombé comme une recommandation au sens propre, un encouragement à reprendre la route, à trouver mon lieu, enfin. Avant que personne ne puisse plus, j’aimerais repartir loin, au moins une dernière fois, comme une dernière chance, un dernier moment à respirer, à humer, à savourer, à écouter, à frôler, à embrasser des yeux, à contempler… à s’extasier, à synesthésier ! Les dernières fois c’est mieux de pouvoir en décider, plutôt que de s’en souvenir comme d’une peau ou d’un paysage qu’on ne caressera plus des doigts ou du regard… "Je vais à Bang-Bang Sécher au vent Mon coeur humide De ses rêves qui fondent M'échouer à Bang-Bang Trouver le temps D'attendre un guide Qui n'est pas de ce monde Qui sait ?" https://m.youtube.com/watch?v=1ZypA0FyRHk #ailleurs #repartir #aventure #undernierpourlaroute #chili #lesinnocents #jevaisàbangbang https://www.instagram.com/p/Cko27PwqlPq/?igshid=NGJjMDIxMWI=