tinynemodekaren · 2 years ago
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Un bureau de travail
Maintenant, je vais vous parler de mon bureau principal parce que ce n'est pas rien pour moi et j'ai tout à conceptualiser pour que ce soit pratique.
Mon bureau de création a pour vocation que je puisse le laisser en vrac, ne pas avoir à le ranger du tout sauf quand j'en ai envie. C'est mon laboratoire et le seul endroit qui puisse rester comme une chambre d'adolescent - dans son jus.
Je dois pouvoir afficher au mur facilement dessins, écrits, croquis. J'ai aussi des équipements techniques basiques mais de graphiste.
Ce qui suppose d'avoir la place pour mettre une grande tablette graphique à côté de mon ordinateur portable mais aussi de pouvoir projeter un grand écran sur le mur avec un picoprojecteur pour me faire un deuxième écran pour monter mes films, ou tout simplement avoir un deuxième écran tout court.
Et j'ai mon clavier de musique pour couronner le tout.
Pour les affichages, c'est simple, je vais mettre un parement en liège qui permet d'épingler tous les documents sur la surface du mur devant moi. J'ai une surface de 90 sur 120 utilisable. Je me suis arrangée pour ne pas avoir de fenêtre pour éviter de me déconcentrer (oui oui) ce qui laisse l'espace pour le liège.
Pour la vidéoprojection, je dois prévoir un support sur le mur de la cuisine en hauteur qui passe par dessus ma silhouette d'une part, mais aussi un boitier suffisamment étanche pour que l'humidité inhérente à l'usage des plaques de cuisson et autre ne viennent pas abimer le matériel. Mon picoprojecteur peut projeter à une distance qui va de 1 mètre à 3. Il va falloir que je fasse un test pour que ça entre dans l'écran qui pourra être tiré par dessus le liège.
Cela peut paraitre des détails, mais en réalité, une fois la tiny finie, c'est difficile de retravailler dessus - parce qu'on a déjà bien donné. Et tout simplement aussi parce qu'il y a toujours de menues réparations sur un bateau. Alors autant bien penser les choses en amont. Sachant que ce pico projecteur devra pouvoir être déplacé facilement dans 2 autres lieux : le salon - et la mezzanine.
Le bureau doit pouvoir être diminué sur la profondeur si j'en ai envie. Et il doit avoir des tiroirs de rangement faciles à ouvrir.
Alors pour ce dernier détail, c'est simple. Je vais aller en ressourcerie acheter des tiroirs. Parce que les faire soi-même, je vois bien que c'est une perte de temps. Il vaut donc mieux que j'achète les tiroirs et que je réadapte mes plans de bureau en fonction de ce que j'aurai trouvé.
Je vous en dirai plus quand je le commencerai (c'est à dire, pas tout de suite !)
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fannypssr · 3 years ago
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SEMAINE N° 13 ET N°14
Je fais le choix d'écrire mes derniers commentaires plus tard sur ces deux dernières de stage, en ayant espoir que je saurai être plus détachée.
Lors de ma 13e semaine de stage, nous avons accueillis une stagiaire, le rythme à été moins soutenu que pour la semaine 14. En s13 j'ai bossé pour 15 clients différents et en s14 pour 25 clients différents. Sur l'intégralité j'ai rencontré 112 clients différents.
Je remarque que c'est un nombre important. Nous avons eu la possibilité de traité plusieurs commandes par clients car j'ai enchaîné les supports et les déclinaisons afin de gagner le plus de temps possible. En faisant cela, j'ai commis beaucoup d'erreur.
Mes capacités d'exécution ont été bonnes, mais j'ai parfois trouvé trop rapide et peu "personnalisé" (Merci Adobe Stock) les rendus finaux. Cependant le client était toujours content.
Je suis contente d'avoir pu toucher, manipuler et travailler de nombreux supports. J'ai pu décliner de nombreuses identités et donc comprendre plus facilement les détails de celles-ci.
J'ai apprécié faire ces tâches, même si il est vrai que j'ai relativement passé plus de temps à préparer mes fichiers d'impression et mes BAT que à faire de la créa pure et dure sans utiliser Adobe Stock.
J'ai apprécié être reconnue comme graphiste car je suis formée pour. Cependant je prefererai être désigner graphique afin d'être impliquer sincèrement dans mes projets et pour les clients. Je remarque aussi que ce stage a été beaucoup d'exécutif afin d'offrir des supports lisibles, clairs, qui respirent sans avoir de 2e lecture comme le design d'auteur apporte. Je me suis néanmoins amusée, j'ai appris à être plus autonome, rigoureuse, efficace et force de proposition. Avec moins de temps pour réfléchir, j'exécutais sans trop hésité afin de faire au mieux. Mon curseur d'exigence a été baissé en partie sur la création mais augmenter dur ma fa on de travailler et c'est ce dont j'avais besoin pour continuer de m'améliorer.
J'ai pu travaillé de plusieurs façons. Parfois les dossiers m'étaient confiés et je faisais mes choix pour le client sans le regard de Béatrice. Parfois je n'ai pas eu le choix de faire ce qu'elle voyait être fait et parfois nous avons collaboré. J'ai préféré la liberté d'avoir le client sans intermédiaire mais j'ai aussi apprécié la collaboration qui pourrait peut-être être développer au sein de l'équipe.
Régulièrement j'ai aussi pu remarquer qu'on travaillait chacun de nos cotés sans assez fournir de détails aux autres. Peut-être qu'il faudrait changer le mode papier pour les dossiers, ou du moins que le suivis soit plus rigoureux, c'est un gain de temps. Je proposerais aussi que le logiciel de facturation et devis soit accessible à Soufyane (sur une tablette par exemple) ce qui pourrait permettre de délégué à Béatrice pour les taches administratives, comme elle a pu déléguer avec moi pour les tâches graphiques.
La précipitation nous a fait commettre des erreurs et perdre de la matière, mais aussi du temps. Cela a créé des tensions dans l'équipe, ce qui peut être intense sur le long terme.
J'ai fortement aimé devoir me déplacer sur mon lieu de travail, d'avoir mon espace de travail et ses qualités. Chacun de nous avions un confort pour travailler que ce soit dans les logiciels que dans les outils. Cependant les machines ont pu sauté plusieurs fois ce qui crée de l'énervement un peu partout.
Avoir eu une femme de caractère en maître de stage à été très enrichissant, elle a été à notre écoute. Comme elle nous l'a dit "auprès de moi, vous n'avez pas à vous prostituer pour aller à un rendez-vous sur les heures de travail" (sans en abusé biensûr). J'ai partagé des moments agréable avec une équipe curieuse de savoir qui je suis et où je vais. Mais ses façons de faire très speed m'ont perdue plusieurs fois, ou bien en tant que patronne "elle a toujours raison, même quand elle tord". J'ai trouvé cela très inspirant de travailler à ses côtés et de la suivre au quotidien, cela m'a fortement donné envie de m'affirmer, ce que j'ai commencer à faire à travers mes propositions graphiques.
En retour, l'équipe a apprécié travailler avec moi, j'ai été forcé de proposition appréciables et appréciées, à ma grande surprise. Je manque cruellement de relecture et de rigueur, mais je suis plus apte à travailler en temps que graphiste et mains d'atelier que j'aurai pu l'espérer. Mon énergie, mon aide et mon intérêt ont été fortement apprécier et remercier. J'ai aimé cette proximité avec le client, l'ordinateur mais aussi l'atelier, tout en pouvant partir le soir en mettant le travail de côté et raconter mes anecdotes sur ma journée. J'ai appris pleins d'expression que je ne connaissais pas, une certaine relation de travail de confiance s'est créé. Cela m'a permis d'exprimer des frustrations (envers des loupés et des clients) que je n'aurai pas exprimés si je n'avais pas été dans cette entreprise chaleureuse. Des missions de "salarié" m'ont été confiées aloès que ce n'était pas prévue au départ. J'ai su faire mes preuves et cela a été apprécié.
J'aimerai pouvoir poursuivre le travail en entreprise autant que celui de l'école afin d'avoir de meilleures bagages à la sortie du diplôme. Cependant l'idée de réfléchir mon graphisme et m'engager m'a manqué et a pu renforcer mon envie de poursuivre après le DNMADe afin de devenir plus à l'aise dans mes engagements mais aussi mes savoirs.
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elinajournee · 3 years ago
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Questionnaire
Histoire :
Quelle est l’histoire de l’entreprise ?
Rosemarie et Audrey étaient, avant, dans une agence qui se nommait Le Studio Deffontaines (nom de famille de la chef d’entreprise). Elles ont été embauchées la même année, en 2005 pour être graphiste. Rosemarie connaissait déjà l’entreprise car elle avait effectué son stage là-bas. En 2013, la chef, Mme Deffontaines a décidé de vendre son entreprise et c’est alors que Rosemarie et Audrey décident, ensemble, de racheter toutes les parts de l’entreprise et les fonds de commerce. C’est qu’en 2014 que le nom : Le Studio à vue le jour. En effet, les anciens clients disaient que “le studio” pour parler du Studio Deffontaines était plus direct et moins complexe à retenir. Elles ont donc décidé de garder ce nom et qui, de plus est, n’est pas rattaché à une personne. Les anciens réseaux de l’ancienne entreprise ont permis de commencer à travailler sans besoin de faire du porte à porte. De plus, lors de l’achat de l’entreprise, elles ont aussi repris les locaux et les ont réaménagés pour les rendre plus modernes.
La situation actuelle de l’entreprise :
Quelles sont les principales activités de l’entreprise ?
Les principales activités de l’entreprise sont réparties dans 2 catégories: la création graphique (mise en page et illustration) et la création web (webdesign et développement).
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La situation géographique a-t-elle des avantages ou des inconvénients ?
La zone géographique est avantageuse pour eux car ils sont placés en zone industrielle, et sont donc proches des entreprises. Le seul petit défaut,pour eux, c’est qu’ils ne sont pas assez repérables de l’extérieur. Ils auraient voulu mettre une pancarte à l’extérieur mais ne peuvent pas car les locaux appartiennent à ltc et leur règlement interdit cela.
Quels sont les moyens matériels ? et humains ? Conditions de travail
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Concernant le matériel, ils ont tous un mac attitré et un autre “de secours” (donc 8 mac au total) et ils ont accès à la suite adobe et à une bande d’image libre de droit (nom cité dans un autre rapport précédent). Les salariés ont aussi à leurs dispositions une tablette graphique, un ipad, une imprimante laser A3, un scanner et appareil photo numérique.
Fonctionnement des services proposé :
Et pour la vente de service ?
Le Studio ne propose que des services. Pour la vente de leurs services, leurs devis est répertorié en 3 catégorie :
- la recherches et de créations
- la partie commerciale (tout ce qui est échangé, contact avec les imprimeurs…)
- l’imprimeur (où il ne récupère aucun bénéfice)
Qui s'occupe de la production ? Quel est le fonctionnement ?
L’entreprise se propose d' être le médiateur entre le client et l’imprimeur. Cela dit, le client peut décider de choisir lui-même de faire les démarche auprès des imprimeurs. Mais, avec l’agence, il permet d’être mieux orienté selon son besoin. En effet, l’agence connaît les imprimeurs locaux et peut donc savoir lequel est le plus qualifié pour la demande. De plus, le Studio gèrent l'administration (devis, reçus,...) et mettent en concurrence les imprimeurs. Vu que l’agence a de bons rapport avec les imprimeurs locaux, le projet du client peut être accepté par l’imprimeur si le délai est court, par exemple. Leurs bons rapport permettent donc de faire des compromis. Ils privilégient les imprimeurs locaux (comme Publi Trégor) cependant, tout peut dépendre de la demande. En effet, cela leur arrive de prendre un imprimeur qui n’est pas situé près de chez eux (exemple : Vistaprint) pour diverses raisons (prix qui ne convient pas, deadline courte,...).
Y-a-t'il des difficultés budgétaires ?
Le rachat de l'ancienne entreprise a donné des charges à Rosemarie et à Audrey qu’elles doivent rembourser. C’est pour cela qu'elles ne peuvent pas baisser leurs prix, surtout qu’elles ont des salariés. Ces charges peuvent les freiner pour l’aménagement des lieux ou l’augmentation de salaire (actuellement : 69€ l’heure). Mais pour autant, l’agence fonctionne très bien et ne souhaite pas s’agrandir pour l’instant.
Les relations :
Quelle est l’ambiance de travail ? Quelles sont les conditions d’embauche ?
L’ambiance de travail est vraiment agréable et professionnelle. On sent une bonne connexion entre chacun et on sait qu’ils peuvent compter les uns sur les autres.
Pour les conditions d’embaucher, Rosemarie et Audrey font un tri dans les CV qu’elles reçoivent et regardent avec attention les books. Puis elles les contactent pour un entretien d’embauche et à cet entretien, elles leur donnent un ou deux tests (si le premier test n’a pas été concluant) à faire chez eux, à durée déterminée. Elles peuvent donc voir la rapidité et l'efficacité de la personne, valeurs importantes au sein de l’entreprise. En effet, une personne peut faire un visuel impactant et qui fonctionne mais si c’est sur plusieurs mois, cela ne fonctionnera pas avec l’allure de l’entreprise car il gère plusieurs dossiers à la fois.
Quelle est la concurrence ? Et les relations ?
Leurs deux plus grosses concurrences, concernant les agences, sont la Raffinerie et Coqueliko. On pourrait penser que leurs relations sont mauvaises mais ce n’est pas le cas. La concurrence qui les met plus en tors sont les freelances. En effet, leurs prix sont plus bas que le Studio car ils ont des charges différentes à payer qu'eux (par exemple : les employés, les locaux,..). Le client ne se rend pas forcément compte de cela et de la valeur du travail de graphiste et recherche donc un contrat pas cher.
Qui sont les clients ? Quelle est la place de la publicité dans l’entreprise ?
Les clients se séparent en deux catégories :
- domaine institutionnel (mairies, ltc,...)
- domaine professionnel (entreprises)
Elles ont pour règle de ne pas accepter les contrats pour les particuliers (par exemple: pour des faire part de mariage,...). Ce choix est dû car elles ne veulent pas travailler sur leurs projets et elles ne veulent pas être rattachées à une image “non professionnelle". Cela ne les empêchent pas de manquer de travail, au contraire elles ont eu la chance de commencer avec l’ancien réseau. Puis au fil des années, elles ont créé le leur (professionnels, associations, entreprise, mairies, banque,...). Leurs communications sont principalement dues au bouche à oreille.
Moment clé :
Période de covid ?
Pendant la période de confinement, ils ont tous principalement fait du télétravail. Les salariés ont juste eu deux semaines de chômage partiel pour permettre aux deux dirigeantes d’avoir des revenus. Ils ont eu beaucoup de travail, surtout dans le domaine du web. En effet, ils ont gardé le contact avec leurs clients en cette période particulière en faisant des newsletter pendant toute la période de confinement. Les client était ravi de cefaçon originale et humoristique de voir Cela a plus aux clients car c’était des petits visuels humoristiques.
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erwannleon1 · 4 years ago
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Mon projet d’études
Depuis toujours, je suis passionné par l’art et la musique. Curieux, j’adore visiter les musées d’art et les expositions. J’aime aussi dessiner sur ma tablette graphique et faire de la photographie. En classe de 3ème, souhaitant découvrir une profession liée à ma passion, j’ai effectué mon stage chez une graphiste, Anaïs MAYET - OZ’IDEA, qui m’a beaucoup plu. Actuellement en STD2A, je m’épanouis et j’apprécie de découvrir divers domaines du design et de l’art. Je souhaite vivement intégrer la formation DNMADE Graphisme pour acquérir des techniques de communication graphique et orale et ainsi me développer en tant que designer. Intégrer votre établissement me permettra d’apprendre et de pratiquer diverses techniques et logiciels dans une ambiance conviviale avec une équipe pédagogique de qualité.
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wingsofheru · 7 years ago
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Pourquoi un logo est-il important pour une entreprise ?
La création d’une entreprise nécessite de faire des choix pour garantir son succès (couleurs du site internet, prix des produits ou services…). Au début, un des choix les plus importants à faire est celui de créer un logo (il est au cœur de l’image de votre marque).
Le logo est une représentation graphique utilisé pour représenter et valoriser l’image d’une marque ou d’une entreprise par une agence web.
Les caractéristiques d’un logo:
Le choix de ses couleurs
Le choix d’une typographie…
Le logo est important pour l’identité visuelle de votre société. Le logo permet d’établir un lien entre les produits et les services proposés par une marque ou une entreprise, il faut qu’il permette d’identifier votre entreprise du premier coup d’œil.
Le logo doit être:
Cohérent
Puisqu’il est au centre de votre image de marque, les couleurs utilisées doivent être similaires à celles sur votre site web,…
Simple
Il doit être simple à se souvenir, les gens devraient vous reconnaître rapidement lorsqu’ils voient votre logo.
Flexible
Un logo doit s’adapter facilement à différents types d’écrans, aux téléphones mobiles ainsi qu’aux tablettes.
Il y a plusieurs outils de création de logos à faire en ligne. Certains préfèrent utiliser le talent d’expert graphiste pour la création de leur logo, il y a aussi des outils en ligne tout à fait gratuits qui ne demandent pas des connaissances techniques mais seulement votre imagination.
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thib1984 · 5 years ago
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Retrouvez moi en dédicace à la fin du mois au festival @geek.unchained Avec @johannazaireofficiel #Repost @geek.unchained (@get_repost) ・・・ [Exposants]⠀ ⠀ C’est en 2006 que @johannazaireofficiel publie son premier recueil de poème avant de se consacrer à la musique comme parolière et chanteuse. Puis elle revient vers l’auto-édition pour publier ses romans suivants, du thriller au fantastique. Actuellement en train de préparer son premier album musical solo, elle rédige également son autobiographie, “Rebirth”, qui sortira début Septembre 2019.⠀ ⠀ Thibault Colon de Franciosi est un artiste autodidacte et polyvalent. C’est à l’âge de 17ans que se déclenche en lui une vraie passion pour l’univers du dessin. Graphiste et Illustrateur Thib maitrise de nombreuses techniques (traditionnelles et numériques) qui lui permettent de satisfaire toutes les demandes. Il a travaillé entre autres pour des jeux de rôles, jeux de cartes, sites internet, jeux vidéo mais son univers n’a pas de limites alors qu’il participe à des conventions et expose dans toute la France.⠀ ⠀ ⠀ Illustratrice, Chane travaille aux encres ou à la tablette graphique afin de créer des univers colorés, oniriques et fantastiques. Elle a publié en autoédition un bestiaire de dragons, “Draconis”, et vend des reproductions de ses illustrations en tableaux. Elle sera également sur place pour dédicacer son ouvrage.⠀ ⠀ ⠀ ⠀ Graphiste, storyboarder et illustrateur gravitant dans les sphères du cinéma et de la BD, Kevin 'Kapalsky' vous invite à découvrir son univers, où bandes dessinées originales croisent parodies et hommages à la pop-culture !⠀ @virgule_art⠀ @kevkapalsky⠀ ⠀ ⠀ Kudnalla, artiste peintre otaku, vous propose principalement des tableaux peints à la main. Il fonctionne en traditionnel pour le moment, aimant toutes les techniques qui existent, du crayon de couleur à la peinture acrylique. Venez découvrir son univers fait de ciels étoilés !⠀ ⠀ ➡ Retrouvez toutes les informations sur la convention sur notre site, le lien est dans notre bio.⠀ ⠀ #GeekUnchained4 #Mulhouse #sortiramulhouse #mulhousebouge #convention #geek https://www.instagram.com/p/Byf_0Aai-RA/?igshid=143tgjh8bwpts
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lisebraise · 5 years ago
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Retour dans le passé Partie 3: D comme Design graphique
Nous voilà désormais dans une réalité qui se rapproche beaucoup de celle que vous connaissez. Bienvenue au tristement célèbre XXe siècle ! Notre histoire débute après la 1ere guerre mondiale, bien que la toute première agence de design graphique à proprement parler, la Wiener Werkstätte. C’est un atelier autrichien s’inspirant principalement dans son style du cubisme (le fameux style innové par Picasso pour les intimes).
Il a la particularité de réunir de nombreux domaines en un seul comme des peintres, des architectes ainsi que les fameux graphistes (et d’ailleurs beaucoup d’autres domaines qu’il serait trop long de citer). Créateurs de logos, ces derniers ont permis à d’autres mouvements comme le Bauhaus (1919) en Allemagne et le Style Art déco (1910-1930) de prendre la relève et d’instaurer leur propre style.
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Quelques-unes de leurs œuvres.
Mais au fond,qu’est ce qu’un graphiste ? Et pourquoi pourquoi parle t on de design « graphique » ? Comme vous avez pu le remarquer dans mes posts précédents,on ne pouvait pas à proprement parler évoquer le terme de « designer graphique ». En effet,les graphistes étaient à ces époques inexistants ou très peu valorisés. Il faut attendre le 29 aout 1922 pour que le métier de graphiste puisse enfin connaitre un véritable essor. En effet,c’est à ce moment là que William Addison Dwiggins,graphiste américain écrit l’article « New Kind of Printing Calls for New Design » (pour ceux qui ont un peu mal avec l’anglais « une nouvelle technique d’impression appelle un nouveau type de design ») dans le Boston Higgs.
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On remercie de tout cœur cet homme sans qui rien n’aurait été possible.
Il lève ainsi le voile sur ce métier si complexe en expliquant son rôle dans la structuration et la gestion visuelle de livres. Mais pas seulement. En effet,il est le premier à mentionner le terme de « design graphique ». Malheureusement,celui ci ne sera plus évoqué et tombera dans l’oubli jusqu’à la fin de la 2ndeguerre mondiale.
C’est à cette période que ce domaine connait un nouvel essor. Le monde est dans un état chaotique suite à cet événement tragique. Mais la guerre a permis d’un certain cote de continuer sur la lancée de l’industrialisation de la société démarrée avec La 2ndeRévolution industrielle de la fin du XIXe siècle. En effet, la guerre a totalement épuisé l’Europe. C’est dans ce contexte que les Etats-Unis, seul pays encore plus ou moins en Etat,intervient : ils contribuent  à la reconstruction du pays avec le plan Marshall et introduisent leur mode de vie aux Européens (plus communément appelé American Way of Life) C’est ainsi que naît un nouveau système : la société de consommation. Et qui dit société de consommation dit marketing et donc publicité. Les entreprises font alors appel à des graphistes pour se valoriser auprès de leurs futurs clients, et ainsi les pousser à acheter plus qu’ils n’en ont réellement besoin. Tel est leur but.
Mais pour y parvenir,ils doivent générer un message percutant,compris par tous. Du plus jeune enfant au plus vieux des vieillards.
Ces graphistes,longtemps oubliés par cette société ingrate,vont alors jouer un role primordial et devenir des professionnels à part entier.
Graphisme,bande dessinée,design,vidéo. Tout les moyens sont bons pour des entreprises dont le nombre d’offres sont de plus en plus élevées.
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Tout est bon dans le co…euh le cassoulet ! Un exemple de marque qui a encore un véritable succès de nos jours.
Nous pouvons désormais entrer dans une ère de prospérité : les Trente Glorieuses. Les graphistes permettent à de nombreuses marques,grands noms de la société que nous connaissons (Philips,William Saurin,Maggi,Coca cola,Pepsi…) de se développer et de connaitre un véritable essor. Un essor qui ne s’ârrete d’ailleurs pas à la société de consommation. En effet cette ère du milieu à la fin du XXème siècle cache une part bien sombre : La Guerre Froide entre les Etats Unis et l’URSS,les deux seuls géants restants. Ainsi,les graphistes contribuent à faire des affiches de propagande pour soutenir leur pays. Elles sont d’ailleurs aussi utilisées pour les campagnes d’élection.
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Ces techniques, véritable révolution de l’époque sont toujours en application de nos jours et constituent la 3eRévolution industrielle avec l’émergence de nouveaux logiciels comme Photoshop (années 1990) et de nouvelles technologies comme l’ordinateur dans les années 60 par Alan Turing puis plus récemment le smartphone et la tablette dans les années 2000.(Une célèbre entreprise spécialisée dans le domaine a d’ailleurs rendu hommage au jeune inventeur en faisant de son suicide un logo : il s’agit bien évidemment d’Apple).
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Le tristement célèbre inventeur à la pomme en images
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journaljunkpage · 6 years ago
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NOUVEAUX MÉDIAS & COMMUNICATION DIGITALE
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© SUPimage
Il est partout, irriguant tous les champs de la société : à la croisée de la création et de l’innovation technologique, le numérique déploie ses filières – infographie, communication, événementiel, images 2D ou 3D, réalité augmentée, texte, vidéo… – et élargit chaque année sa palette de métiers. De l’animation aux stratégies de marques en passant par la création de contenus, le virtuel offre des perspectives bien réelles !
LES MÉTIERS
ATTACHÉ DE PRESSE
On parle aussi de chargé des relations publiques (RP). C’est la voix d’une entreprise, d’une institution, d’un événement ou d’une personnalité… Outre une grande aisance relationnelle et rédactionnelle, ce métier intégrant pleinement les évolutions du digital exige une compréhension approfondie des médias et peut aller jusqu’à la production de contenus.
CHARGÉ DE PROJET ÉVÉNEMENTIEL
Organiser un festival artistique, un trophée sportif, un salon professionnel, un séminaire d’entreprise, de la conception à la mise en oeuvre : cela réclame créativité, rigueur, endurance, et surtout une grande polyvalence. Si beaucoup de postes concernant les foires et les salons sont concentrés en Île-de-France, les entreprises du spectacle vivant et de l’événementiel sont souvent implantées en province.
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© Sup de Pub
CHARGÉ DE VEILLE STRATÉGIQUE
Généralement spécialiste d’un secteur d’activité précis, le chargé de veille stratégique est constamment à l’affût des évolutions de celui-ci. Alliant les compétences d’un webmaster et d’un documentaliste, il est à la fois chargé de protéger le capital immatériel de son employeur (image, savoir-faire) et d’être force de proposition stratégique.
CHEF DE PROJET WEB
Véritable chef d’orchestre, il conçoit des sites internet pour des clients publics et privés, de l’élaboration du cahier des charges à leur animation. Il est l’interface entre son équipe (webdesigner, développeur, rédacteur, community manager…) et le client, dont il doit savoir précisément identifier les besoins.
COMMUNITY MANAGER
Site, blogs, réseaux sociaux, le community manager est chargé de la production de contenus digitaux et plus spécifiquement de l’animation d’une communauté en ligne. Sa compétence intègre la veille et le partage de ressources (posts, liens internet…), la réalisation de productions originales (articles, photos, vidéos…) et la modération des échanges, en lien avec des auteurs de contenus (rédacteurs web). À lui d’être créatif et de susciter l’intérêt selon l’entreprise ou l’institution qu’il représente.
CONCEPT ARTIST
Interface entre le directeur artistique et le game designer, le concept artist utilise le cahier de tendances et les autres éléments graphiques conçus par le premier pour imaginer l’aspect des différents éléments (personnages, objets) d’un jeu vidéo. Cela demande à la fois créativité, dextérité et surtout une grande adaptabilité.
D��VELOPPEUR-INTÉGRATEUR WEB
Spécialiste du code et du web, il crée l’architecture de sites sur mesure afin d’aller vers les configurations les plus universelles et les plus adaptables dans le temps. On parle aujourd’hui de supports « responsive » : autrement dit des sites à l’affichage optimisé pour tous les appareils (smartphone, tablette, ordinateur…). L’intégrateur web est aussi généralement chargé d’intégrer les contenus : textes, photos, vidéos…
GRAPHISTE MULTIMÉDIA / WEBDESIGNER
Responsable de l’identité visuelle d’un site Internet, le graphiste-webdesigner conçoit aussi bien la charte graphique que les éléments d’illustration (textes, couleurs…). Créatif, il maîtrise également des notions de code informatique. Son intervention peut aller jusqu’à la direction artistique, coordonnant avec un chef de projet les différents intervenants : rédacteur, community manager, photographe, vidéaste, designer UX (« User Experience »)…
INFOGRAPHISTE 2D/3D / GAME DESIGNER
L’infographiste 2D réalise des images pour de multiples domaines (architecture, design, immobilier, industrie…) : il doit maîtriser la structure mais aussi les textures, les lumières, pour donner vie à un projet, L’infographiste 3D ajoute l’animation des personnages dans un univers global. Son intervention peut être très spécialisée ou plus généraliste selon qu’il travaille dans un studio ou en freelance. Le jeu vidéo, en particulier, implique de nombreux métiers en synergie (concept artist, artiste layout ou background...).
RÉDACTEUR WEB
Également appelé « content manager », c’est celui qui gère et produit des contenus, rédactionnels – dans une approche journalistique, documentée et synthétique, en ajoutant les capacités du concepteur-rédacteur publicitaire, ou l’esprit « lifestyle » du blogueur – ou multimédia (liens, photos, vidéos…). Ceux-ci sont souvent optimisés par des mots-clés ou des hashtags pour améliorer le référencement naturel. Il peut produire en autonomie sur la base de briefs ou être impliqué dans la réflexion sur le positionnement global d’un site.
LES ÉTABLISSEMENTS
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Gironde • Bordeaux EFAP / École ISEFAC Bachelor / École Tunon
CHARGÉ DE PROJET ÉVÉNEMENTIEL
Gironde • Bordeaux EFAP / FORMASUP / ISEFAC Bachelor / École Tunon
CHARGÉ DE VEILLE STRATÉGIQUE
Gironde • Bordeaux Digital Campus / FORMASUP-SUPCommunication
CHEF DE PROJET WEB
Gironde • Bordeaux Digital Campus / École N/ËW / École de Condé
COMMUNICATION ET MARKETING DIGITAL (CHEF DE PROJET / COMMUNITY MANAGER / RÉDACTEUR WEB / MARKETING DIGITAL)
Charente-Maritime • La Rochelle La Rochelle Digital School
Gironde • Bordeaux Digital Campus / EFAP / FORMASUP-SUPCommunication / École N/ËW / École ISEFAC Bachelor / ESARC Évolution / Sup de Pub - INSEEC Digital Institute / IUT Bordeaux Montaigne /École de Condé / Lycée des métiers Saint-Vincent-de-Paul / SUPimage
Pyrénées-Atlantiques • Bayonne École N/ËW
Vienne • Chatellerault Lycée professionnel Édouard-Branly
DÉVELOPPEUR-INTÉGRATEUR WEB
Gironde • Bordeaux Digital Campus / École N/ËW
GRAPHISTE MULTIMÉDIA / WEBDESIGNER
Charente-Maritime • La Rochelle La Rochelle Digital School
Creuse • La Souterraine Lycée des métiers du design et des arts appliqués
Gironde • Bordeaux Digital Campus / École e-artsup / École N/ËW / ECV - École de communication visuelle / ESMI - École supérieure des métiers de l’image / Sup de Pub / SUPimage / Lycée Le Mirail - Immaconcept / Ynov • Gradignan ESAA - École supérieure d’arts appliqués d’Aquitaine
Vienne • Chatellerault Lycée professionnel Édouard-Branly • Poitiers École de design de Nouvelle-Aquitaine
INFOGRAPHISTE 2D/3D, GAME DESIGNER
Charente-Maritime • La Rochelle La Rochelle Digital School
Creuse • La Souterraine Lycée des métiers du design et des arts appliqués
Charente • Angoulême EMCA - École des Métiers du cinéma d’animation / ENJMIN-CNAM - École nationale du jeu et des médias interactifs numériques
Gironde • Bègles 3iS • Bordeaux École e-artsup / École N/ËW / ECV - École de communication visuelle / École de Condé / ESMI - École supérieure des métiers de l’image / SUPimage / Ynov • Gradignan ESAA - École supérieure d’arts appliqués d’Aquitaine
Vienne • Chatellerault Lycée professionnel Édouard-Branly
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revuedepresse30 · 6 years ago
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Un magnifique roman graphique retrace la jeunesse mystérieuse de JD Salinger
Quarante années durant, il refusera toute interview et opposera au monde une attitude pratiquement mutique : à ce prix l’œuvre de Salinger (deux romans, et c’est tout) s’avère plus grande que son créateur. Mais Valentina Grande, professeure de lettres et créatrice d’une série radiophonique sur l’écrivain, et la graphiste Eva Rossetti, décident ici d’un postulat de base qui relève de la gageure : la vie du romancier fut aussi un roman, pour preuve ce qu’il advint dans sa vie avant L’Attrape-cœurs (l’un des plus fameux romans de la littérature américaine, publié en France en 1951, et contant la dérive new-yorkaise, trois jours durant, d’un adolescent de 17 ans).
En ce qui concerne Jerome David Salinger, le parcours s’avère tout aussi touffu qu’enténébré. Supposé, par recoupement de témoignages, avoir participé au débarquement de Normandie, à la bataille des Ardennes et à la libération des camps d’extermination, et avoir frayé avec un correspondant de guerre du nom d’Ernest Hemingway, l’Américain considérait le conflit mondial comme une épopée romantique propre à enflammer son imaginaire, ce qui ne l’empêchera pas de souffrir de stress post-traumatique.
La traversée d'un brouillard d’événements invérifiables
C’est à partir de cette époque troublée, dans une Europe meurtrie, que Grande adopte un mode poétique, se nourrissant des biographies autorisées ou de nouvelles inédites, et met ses pas dans ceux de Sylvia Welter, ophtalmologue allemande au passé trouble, et qui fut, huit mois durant, la première épouse de Salinger, même si par la suite totalement effacée des tablettes par ce dernier.
Le titre original de l’album (Il mio Salinger) en dit sans nul doute assez sur le point de vue adopté par les auteures, d’autant que l’écrivain, dans le brouillard d’événements invérifiables, mais apparemment simplement préoccupé par son parcours d’artiste, ne sort pas forcément grandi de cette romance.
Une épopée littéraire au sein d'un conflit épouvantable
L’histoire d’amour (impossible ?) entre l’enfant d’un père juif, spécialiste du contre-espionnage, et une jeune femme informatrice de la police, aux très avérées sympathies nazies, voire aux accointances avec la Gestapo, oscillant entre rigueur historique et parti-pris romantique, est magnifiquement rendue par des tonalités sépia toutes de nostalgie.
Car s’il s’agit ici d’une histoire d’amour nourrie de communication non verbale, et d’avant la reconnaissance universelle, elle est médiée par l’écho d’un conflit épouvantable, et un continent en ruines. Et l’agencement des planches, en apparence trop sage, incarne en fait les grilles d’une cellule, et les affres d’une tragédie antique, vers laquelle se précipitent les deux héros.
D’autant que les phylactères prennent leurs aises avec l’espace de ce roman graphique, ou film hivernal c’est selon, baguenaudant tout autour des dessins, ce qui est le moins pour une épopée littéraire.
Salinger - Avant L'Attrape-cœurs (Editions Steinkis) 144 pages, 18€
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ululafr · 7 years ago
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noirelemag-blog · 7 years ago
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Raphaelle M.
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Page de l’artiste : https://www.facebook.com/RaphaelleM.creations/
"Bonjour Raphaëlle et merci de répondre à ces quelques questions. Est-ce que vous pourriez vous présenter en quelques mots ?
>> Tout d'abord, merci à vous pour cette interview ! J'ai 23 ans et je vis en région parisienne où je travaille en tant que graphiste webdesigner dans une agence web. En paralèlle de ce métier de création qui me passionne, ma route est parsemée de projets artistiques. Je pratique la photographie depuis un peu plus d'un an maintenant et cette activité prend une place grandissante dans ma vie, entre études personnelles et collaborations diverses. Je pratique également le digital art, nom qui cache entre autre le digital painting (peinture numérique réalisée à l'aide d'une tablette graphique), le photomontage ou matte painting. Dans un autre registre créatif, je suis claviériste dans un groupe de folk métal du nom de NightCreepers, pour lequel je réalise également les supports visuels (artworks, site web, photos promotionnelles, etc). Autrement dit, l'art et la création composent ma vie.
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Pouvez-vous nous expliquer votre parcours ? Qu'est-ce qui vous a attirée dans les domaines artistiques que vous pratiquez actuellement ?
>> La création et les arts ont toujours eu une place importante dans ma vie, et tout a commencé par l'illustration. Enfant, je partais des heures en forêt avec mon petit carnet de feuilles blanches, mes pinceaux et ma peinture pour donner vie aux fruits de mon imagination. Plus tard et avec l'acquisition d'un ordinateur, je tatônnais sur Photoshop et je m'essayais très vite aux photomontages, puis à la création de logos, notamment pour des groupes de musique. Jusqu'au jour où je découvrais l'existance d'une formation qui me permettrait de me professionnaliser en graphisme et multimédia, alors que j'errais dans un parcours scolaire scientifique, entre médecine et biologie. Le déclic fut intense et immédiat, et ces études m'ont menées au métier que j'exerce et que j'aime aujourd'hui. Pour autant, si le graphisme offre un aspect créatif évident, il est aussi semé de contraintes, entre les attentes d'un client, les timings serrés et les besoins des utilisateurs à privilégier. Il m'est vite devenu vital de pouvoir me défaire de ces contraintes en mettant en place des projets en parallèle. Et ils sont nombreux ! Les différents domaines artistiques dans lesquels je m'épanouis m'offrent chacun une expérience unique. Ils se complètent, rythment mon quotidien, et occupent mon esprit la plupart du temps.
Quant à la photographie, que j'exerçais en premier lieu à l'occasion de voyages, elle s'est révélée un jour à moi comme une évidence, une pratique je devais dompter. Mon appareil photo m'accompagne très souvent au quotidien et même lorsque je ne l'ai pas, mon oeil analyse ce qui m'entoure et j'imagine alors comment composer avec ce que je vois. Le digital art m'offre une grande liberté de création : partir de rien et créer trait par trait des ambiances et univers qui germent dans mon imagination. La musique, quant à elle, m'est chère car elle me permet d'entremêler différents domaines. Entre la pratique de l'instrument et l'élaboration d'artworks, de photos, de graphismes divers, ce sont autant de moyens pour créer un monde unique au travers de plusieurs créations qui se complètent.
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J'ai l'impression qu'aujourd'hui, de plus en plus de jeunes se lancent dans la photographie. Que pensez-vous de tout cet engouement pour cet art ?
>> Il est vrai que l'on voit surgir beaucoup de nouveaux photographes ces derniers temps, dont je fais parti d'ailleurs ! La photographie est un art qui prend vie grâce à des sujets réels, à l'existant, et de ce fait, il permet d'obtenir un rendu artistique plus rapidement qu'un peintre face à une toile vierge. Elle peut être traitée, conçue, réalisée de bien des façons et cette diversité est très séduisante et donne envie de s'y essayer. Cet engouement a aussi une facette économique : l'accès aux réflex numériques s'est banalisé, les prix des boitiers entrée de gamme ont chuté et ont permi à beaucoup de s'équiper peu à peu. Pour autant, le matériel ne fait pas le photographe, et le lien "avoir un reflex" et "être photographe" est parfois un peu trop vite tissé.
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Quelles sont vos sources d'inspiration ? Que ce soit au quotidien, ou des artistes fétiches...
>> La nature m'inspire très intensément. Depuis toute petite, j'ai une fascination croissante pour les grands espaces, le monde sauvage, cette vie qui se développe loin de la main destructrice de l'Homme, grandiose, immense et forte. L'hiver est une saison que j'affectionne particulièrement car elle donne à la nature une intimité et une timidité dans lesquelles je me retrouve. Je suis d'ailleurs née le 21 décembre, jour de l'hiver, et j'aime à croire que ce n'est pas un hasard. J'essaye au possible de transmettre cette admiration pour la nature au travers de mes créations, pour lui rendre comme un hommage. Quelques voyages m'ont permi de m'imprégner de lieux de nature uniques, notamment au Yosemite en Californie.
Quelques artistes dont j'admire le travail sont également une source d'inspiration et ils m'invitent sans le savoir à me surpasser dans les projets que j'entreprends. Parmi eux, il y a Alexandre Deschaumes, photographe dont l'approche et la vision de la nature me sont comme familières ; Mathieu Le Lay, vidéaste et réalisateur qui porte sur la nature un regard si intense et intime à la fois ; Kekai Kotaki, illustrateur de mondes fantastiques et créatures imaginaires. Je suis également très sensible à la peinture préraphaélite (une coïncidence avec mon prénom peut-être ? *sourire*), au réalisme et surréalisme, aux légendes et mythologies diverses. Aussi, je travaille toujours en musique et certains compositeurs rythment mes élans créatifs, comme Jari Maënpää (Wintersun), Bill Brown ou encore Hans Zimmer, sans parler des compositions de Vincent Moretto pour NightCreepers et de ses projets solo.
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Vos créations sont toujours très marquées par une certaine douceur, et je pense d'ailleurs que c'est un de vos atouts pour qu'elles soient si réussies. Est-ce volontaire ?
>> De manière générale, j'aime en effet qu'il se dégage quelque chose de doux au travers de mes créations, comme si elles se révélaient être un arrêt sur image dans un rêve. De plus, j'aime travailler avec les tons chauds, entre les rouges et les ocres, ce qui doit indéniablement contribuer à renforcer cette atmosphère. Cela pourrait aussi s'expliquer par le fait que j'aime mettre en scène des femmes au travers de mes photos, et ainsi mettre en valeur grace et féminité. Ma démarche serait sûrement différente si je venais à photographier un homme, chose qui est pour l'instant assez rare. Aussi, lorsqu'il s'agit de photographier un paysage, j'aime retranscrire la force des éléments au travers de l'intensité d'un ciel ombrageux et menaçant par exemple. En finalité, tout dépendra du sujet et du message que je souhaite transmettre et j'essaye de ne pas m'enfermer dans une ambiance qui pourrait devenir trop monotone.
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Entre la musique et les arts visuels divers que vous pratiquez, on dirait que vous êtes une artiste assez diversifiée et motivée par la création. Si vous deviez tout laisser tomber pour ne vous investir plus que dans un seul domaine jusqu'à la fin de votre de vie, lequel choisiriez-vous ?
>> Comme évoqué précédemment, chaque domaine artistique dans lequel j'évolue m'apporte une expérience unique. De ce fait, il me serait terriblement difficile de devoir en laisser un de côté ! Mais s'il me fallait vraiment choisir, je pense que je continuerais dans ma lancée en digital painting. La liberté qu'offre cette pratique est sans limite si ce n'est celle de l'imagination (et celle d'avoir un ordinateur sous la main !).
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Avez-vous des projets spécifiques pour le futur ?"
>> Le premier serait de donner vie à mon futur site web, afin qu'il puisse présenter dignement mes travaux et réflexions. J'aimerai également étoffer l'univers fantastique que nous créons avec NightCreepers en illustrant des scènes évoquées notamment dans les paroles et concevoir peut être une sorte d'artbook qui conterait nos musiques en image. L'alliance de la photographie et du photomontage est une perspective qui m'attire également : pouvoir apporter une dimension surréaliste, fantastique et irréelle au travers de mes photos, pour aller au delà des conventions. Il ya bien d'autres projets qui se percutent dans mon esprit, le plus compliqué reste en finalité de trouver le temps de tout concilier !
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weepinggalaxynightmare · 8 years ago
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