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#thepredatorfilm
liventenn · 6 years
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In anticipation of the upcoming #thepredator film and with the new trailer coming out I managed to squeeze out this quick redesign of one of my all time favourite movie monsters. This #predator is an enhanced elder who’s having an awful lot of practice in kickassery. They call him the tiger and this ugly mutha’ is definitely not one you want to have a placid hunting trip with. #art #entenn #stanwinston #alien #creaturedesign #films #thepredatorfilm #drawing #draw #tattoo #digitalart #digitalpainting #conceptart #creaturedesign #creature #comics #2dart #darkart #scifi #doodle #sketch #painting #design #concept #artistofinstagram #instagood
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ieatmovies · 6 years
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THE PREDATOR (2018) On y est! L’arlésienne d’un troisième opus de PREDATOR (1987) est officiellement en salles, dirigée par un Shane Black -réal’ de IRON MAN 3 (2013) et acteur dans le film-mastodonte culte de John McTiernan- qu’on sait soumis aux exigences des producteurs -les fameux reshoots, une habitude contemporaine-. Et oui, THE PREDATOR a beau être sacrément généreux entre le fan-service de qualité -le long-métrage est très gore, et la musique du compositeur Henry Jackman assure sa part de cachet nostalgique avec un OST réussi- et son lot de nouveautés -un parti pris quasi-obligatoire pour relancer une franchise-, on est globalement déçus par son visionnage. On savait que THE PREDATOR allait centrer son récit sur une relation père-fils dans laquelle les Yautja allaient mettre leur grain de sel, mais on ne le souhait pas mis en scène ainsi: le héros-soldat et son fiston surdoué croulent sous une intrigue formatée, blindée de stéréotypes loin des sommets atteints par un Arnold Schwarzenegger ou un Danny Glover -et si, si, PREDATOR 2 (1990) est excellent!-. Nouveau film, nouveaux Predators: c’est énervant de comprendre que THE PREDATOR parle non pas du célèbre chasseur intergalactique dont Jean-Claude Van Damme avait autrefois quitté le costume, mais de sa version 2.0 -ou 7.12, ou 48.3 si vous voulez- massive, haute de trois mètres, faisant passer la mascotte de la licence PREDATOR pour un standard basique de son backsground. Autre mauvais point, cette obsession scénaristique à extrapoler sans limites sur l’intérêt des aliens dreadlockés à nous sauver, ou à être destinés à collecter le “chaînon manquant” de la prochaine étape de l’évolution de l’être humain: hé, on s’en BRANLE, les gars; nous, on veut juste du simple et efficace. Hélas, THE PREDATOR enchaîne les faux pas, et ce après chaque effort bourrin fourni pour satisfaire tout fanboy du Yautja -baston, violence, etc.-: s’achevant stupidement avec un reveal tout pourri -une combinaison ultime nommée le Predator Killer diront certains, moi je n’y ai vu qu’un upgrade stylistique de l’armure de War Machine: il a fait quoi déjà comme film avant, Shane Black?-: cet épisode de la saga PREDATOR, n’est donc pas le PREDATOR 3 rêvé, engoncé dans un déséquilibre mi-Disney, mi-fan-service en CGI. Impossible de reconstituer une équipe aussi culte que celle de PREDATOR, et ce malgré les punchlines faussement badass de la bande de THE PREDATOR: alors tant pis si ce long-métrage est forcément meilleur que les moyens ALIEN VS PREDATOR (2004-2007) et plus respectueux qu’un alternatif PREDATORS (2010), le résultat n’est toujours pas là. Dire qu’il y en a encore qui se plaignent de PROMETHEUS (2012) ou ALIEN COVENANT (2017), sérieux... On espère que la suite suggérée par la scène finale de THE PREDATOR ne verra jamais le jour. Pfff... j’suis blasé. ALIEN WINS /20
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popculturespread · 6 years
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Female predator in the new #thepredator what’s your thoughts #predator #thepredatormovie #thepredatorfilm
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