#tirer la nuit sur les étoiles

[fidjiefidjie]

Bon Soir 🆕️ 🛟⭐️🚨🩵

Etienne Daho 🎶 Le phare

(Tirer la nuit sur les étoiles)

[o-link]

Etienne Daho, Vanessa Paradis - Tirer la nuit sur les étoiles (Clip Officiel)

[edsmusicblog]

etienne daho

etienne daho / vanessa paradis - tirer la nuit sur les étoiles

2023

[etiennedaho]

L’INSTANT D’AVANT

Je viens de retrouver ce cliché. Ce mardi 24 janvier était glacial et nous shootions la séance photo pour l’album au vélodrome Jacques Anquetil . Je vérifiais la position des figurants lorsque Pierre- Ange Carlotti m’a appelé. Je me suis retourné et il a attrapé ce moment de surprise. L’image de la pochette de « Tirer la nuit sur les étoiles » était là, évidente. La qualité et le grain particulier de cette image sont dus au fait que Pierre Ange a shooté cette image en argentique.

[processusmonomaniak]

Une Nuit avec Daho !

Jamais 2 sans 3 ! Après Les Nuits de Fourvière en 2014 et L’Auditorium de Lyon en 2019, c’est donc au Zénith de Dijon que j’ai eu le plaisir de retrouver mon artiste français préféré pour son Etienne Daho Show. Il ne fait nul doute pour moi que Tirer la nuit sur les étoiles est le meilleur album de cette année 2023, toutes catégories confondues. L’artiste a réussi un tour de force en nous…

[christian-dubuis-santini]

À la fin des années 1990, après s’être exclusivement consacrés au bronzage sur les plages, ils commencèrent à penser – ou plus probablement quelqu’un pensa pour eux – qu’il serait bon de diversifier leurs activités, de se rapprocher de la nature et de s’intéresser aux cultures indigènes et ils décidèrent de partir en quête de l’authenticité que nous étions bien sûr tout disposés à leur vendre. Ils se mirent donc à arpenter en masse les chemins de randonnée, troquant avantageusement leurs coups de soleil, piqûres d’oursins et hydrocutions pour des ampoules, des morsures de punaises de lit, des entorses et des chutes mortelles au fond de ravins oubliés.

Ils exigèrent de manger local. D’écouter de la musique locale. Ils tenaient absolument à ce que leurs vacances aient du sens.

Nos avant et arrière-saisons, jusqu’ici épargnées, virent débarquer des troupes de retraités lubriques, de sportifs de l’extrême et de jeunes actifs que ne contraignait pas encore le calendrier scolaire.

J’ai peine à croire que nous nous en soyons réjouis. Eussions-nous été plus perspicaces, nous les aurions soigneusement cantonnés en masse sur le littoral, du 1er juillet au 31 août exclusivement, dans des campings ou des hôtels cinq étoiles selon leurs revenus, en leur interdisant de s’éloigner de la mer et d’entretenir avec nous d’autres relations que commerciales ou sexuelles, ce qui, pour peu qu’ils disposent de supermarchés, de restaurants et de boîtes de nuit à proximité, ne leur serait de toute façon jamais venu à l’esprit. Mais nous ne savions pas alors qu’il n’existe rien de tel qu’un tourisme intelligent ou durable et qu’il ne fallait pas craindre d’en tirer toutes les conséquences.

(Jérôme Ferrari, Nord sentinelle)

Très beau texte aigü et nuancé qui régalera le lecteur curieux d’en apprendre un bout sur ce qu’on appelle, un peu pompeusement, "l’âme Corse", (en y incluant donc les Corses eux-mêmes puisqu’ils sont les premiers concernés…) J’y ai reconnu mon île natale, celle de mon adolescence, rude, sauvage et sophistiquée, sang pour sens pur prisuttu, j’y ai perçu la Corse d’aujourd’hui, enfin ce qu’il en reste… (je ne me remets toujours pas d’avoir vu la majorité de la population bastiaise affublée d’une guenille faciale, je n’aurais jamais cru cela possible…)

Bref, Jerôme Ferrari écrit bien, il écrit juste, il essaie de coller au plus près de la vérité qui, nul ne peut l’ignorer désormais, a la structure d’une fiction…

[les-cris-des-fendues]

REGARDER LA VIE

Hémorragie de mots Hémorragie d'images Temps surmenés Heures répandues

Comment tirer la vie de toutes ses geôles?

La vie :

Essor du risque

Vendanges du hasard.

Andrée Chedid

Christiaen van Couwenbergh Nymphe et satyre

SUR LE PRESSOIR

Sous les étoiles de septembre Notre cour a l’air d’une chambre Et le pressoir d’un lit ancien ; Grisé par l’odeur des vendanges Je suis pris d’un désir Né du souvenir des païens.

Couchons ce soir Tous les deux, sur le pressoir ! Dis, faisons cette folie ?… Couchons ce soir Tous les deux sur le pressoir, Margot, Margot, ma jolie !

Parmi les grappes qui s’étalent Comme une jonchée de pétales, Ô ma bacchante ! roulons-nous. J’aurai l’étreinte rude et franche Et les tressauts de ta chair blanche Écraseront les raisins doux.

Sous les baisers et les morsures, Nos bouches et les grappes mûres Mêleront leur sang généreux ; Et le vin nouveau de l’Automne Ruissellera jusqu’en la tonne, D’autant plus qu’on s’aimera mieux !

Au petit jour, dans la cour close, Nous boirons la part de vin rose Oeuvrée de nuit par notre amour ; Et, dans ce cas, tu peux m’en croire, Nous aurons pleine tonne à boire Lorsque viendra le petit jour.

Gaston Couté

#poésie du vin

[lasaraconor]

Etienne Daho, Vanessa Paradis - Tirer la nuit sur les étoiles 

[chansonsinternationales]

Etienne Daho vous ouvre les coulisses de son album "Tirer la nuit sur les étoiles"

[cassiopeapoetry]

Canicule Étouffante

Le soleil s’abattant comme un tyran,

Enflammant le ciel bleu d’un feu ardent,

Lumière déchirant l’horizon clair,

Un chaudron brûlant sur la terre austère.

L’air est une couverture de plomb,

Chaque souffle est une flamme étouffée,

La peau se colle, lourde et asséchée,

Sous l’étreinte d’un jour brûlant et long.

Champs se transformant en dunes dorées,

Rivières sèches, leur lit dénudé,

Cicatrices sur la terre brûlées,

Souvenirs d’eau, désormais oubliés.

Oasis de fraîcheur au goût du jour,

Les maisons s’ouvrent, offrant doux secours,

Rires éclairant les nuits étoilées,

Des abris contre la chaleur d’été.

La nuit tombe comme un voilage noir,

Étoiles brillantes, éclats d’espoir,

Après la chaleur, le soulagement,

Contraste net dans le soleil couchant.

Sous la chaleur, des leçons à tirer,

Pour l'avenir, un monde à préserver,

Quel est le prix pour notre inaction ?

Un appel imminent à l’action.

#Cassiopeapoetry

[fidjiefidjie]

Bon soir 🆕️ ❤️ 🎆 💙

Etienne Daho et Vanessa Paradis 🎶 Tirer la nuit sur les étoiles

[o-link]

« Beaucoup de chansons, d’œuvres parlent de l’amour ou de son absence. C’est vrai que c’est inspirant. C’est vraiment quelque chose qui vous fait vous découvrir, et puis qui vous donne envie de faire des choses folles...comme tirer la nuit sur les étoiles. » Etienne Daho

[christophe76460]

# Veille sur ce que tu manges et bois pour en tirer que des bénédictions. Que le danger ne vienne pas de ce que tu consomme de jour et de nuit.

La nourriture et le breuvage ont une grande sensibilité spirituelle sur notre être spirituel. C'est l'une des armes des esprits méchants et des personnes maléfiques. Ainsi, manger en rêve donne comme interprétation, l'influence des esprits des eaux ou l'oeuvre des sorciers, soit pour tenter envoûter et tuer, ou d'initier. Dans une générosité déguisée, des personnes maléfiques peuvent changer ou voler une étoile ou des grâces, envoûter, charmer, etc en offrant un simple repas ou un breuvage succulent. Il est important de prier sur les repas vendus pour une clientèle de masse avant consommation ou les éviter, question de se mettre à l'abri des envoûtements de la clientèle pour faire prospérer le business. La Sainte Cène et les Agapés sont en principe des moments de partage de bénédictions, mais si après s'en suit des maladies, il est utile de prendre des précautions idoines très discrètes. Veiller sur ce qu'on consomme lors des festivités publiques et des réceptions est très important pour éviter les empoisonnements. Que tout ce que tu manges et tu bois en rêve et éveillé, ne soit pour toi que des bénédictions et non pour te nuire. Si tu es dans la disette physique ou spirituelle actuellement, que Dieu t'envoie la manne, la caille, l'eau du rocher, le corbeau restaurateur, l'ange de l'Éternel qui nourrit et la connexion de Sarepta. Que ton âme soit restaurée et abreuvée. Reçois une nourriture spirituelle qui te fera du bien. Référence: Genèse 3:12 L`homme répondit: La femme que tu as mise auprès de moi m`a donné de l`arbre, et j`en ai mangé.

# Sentinels Woman

[etiennedaho]

QUOTIDIEN

Etienne et Vanessa Paradis seront les invités musique de Quotidien ce vendredi 15 septembre.

Ils interprèteront pour la première fois « Tirer la nuit sur les étoiles » en live.

Photo: Rudy Waks

Vanessa Paradis

Quotidien avec Yann Barthès

#rudywaks

https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes

[processusmonomaniak]

Après Boyfriend et Le Phare, ce troisième titre qui ouvrira le nouvel album d'Etienne Daho est encore une réussite ! Une orchestration d'une élégance folle habille le chant clair et velouté d'Etienne, accompagné par la voix sensuelle de Vanessa Paradis, le tout servi par un clip malicieux qui fleure bon l'esthétique chic des années 80. Vivement l'album !

[nous-etions-ici]

Couverture #2 - D'une nuit à l'autre

Je réalise en sondant mon esprit pour écrire ces phrases que le premier thème, proposé par Emma parfaitement bourrée sur le retour du Sucre, rappelons-le, est bien plus profond et parlant que ce que je pensais initialement. Tant mieux, c’est exactement l’une des raisons pour lesquelles je voulais essayer ce concept. Sans creuser trop, voilà le constat qui sera mon guide : entre couverture d’hiver et couverture sociale, il n’y a qu’une plume.

C’est cette dualité effrayante entre l’âge enfant et l’âge adulte, que l’on s’entête à dissocier alors qu’elles sont deux phases coexistantes au sein d’une même âme. 

C’est une nuit noire à Régnié, l’air froid de l’hiver qui passe au travers des fenêtres anciennes et grinçante et qui m’oblige à tirer à contre-cœur la vieille couverture rose pâle (délavé serait plus juste) sous mon menton, où la poussière incrustée dans la matière urticante me chatouille les narines. On a tous ces vieilles couvertures qui grattent à la maison, ou nichées confortablement aux creux de nos souvenirs. Et puis quelques nuits plus tard, peut-être deux ou six mille, mon Régnié est devenu une villa 5 étoiles aux fenêtres à triple-vitrage, où les couvertures sont sûrement parfaitement légères et lourdes à la fois, et sentent la lessive fraîche et pourquoi pas la lavande. 

Encore quelques lunes s’enchaînent et me voilà à la capitale, épuisée par une nuit qui n'a jamais vraiment commencé, à regarder les prix des opérations d’urgence de l’Hôpital Saint-Antoine pour essayer de calculer combien mon tendre au bloc devra payer sans couverture sociale. C’est la même sensation dans les tripes que la vieille couverture sur le menton je crois, « ça va passer mais vraiment c’est pas ouf ». 

En effet, ça passe. 

Tout passe, ou presque. Ce qui reste avec certitude, c’est cette sensation inégalable de confort quand, nichée sous la couverture, j’ai l’impression d’avoir atteint l’exacte température du bonheur. Avec supplément tonnerre et pluie sur les fenêtres si le ciel le veut bien, mais là c’est tellement l’extase que c’en est presque interdit. Et que ce soit à 10 ans dans la chambre à trois lits, bercée par le chant bizarrement rassurant d’une chouette tout près des combles, ou à 25 ans dans mon appartement qui pue un peu la clope aux côtés de mon hibou des villes, la sensation est la même. Les refrains chaleureux de l’impermanence.