#volksbuhne

[explorationoftheatrestyle]

Erwin Piscator 

Erwin Friedrich Maximillian Piscator was a Prussian-German theater-maker who was born on December 17th 1893 and died on March 30th 1966. Piscator began acting in 1914 and was then soon drafted into World War 1. Once he returned from war, Piscator staged works at various Berlin theaters before the founding of his own theater, the Piscator-Buhne. Much of his work dealt with radical political instruction. He originated Epic Theater which Brecht soon after continued to develop. Identifying as a Communist, Piscator fled Germany during the Nazi era and explored film-making in Russia. In 1951, he finally returned to West Germany as director of West Berlin's Volksbuhne, which was known as Berlin's most iconic theater.

[trueloveriri]

From Rammstein in Paris premiere.

[moments-in-berlin]

“Leben ist tödlich” / Der Spieler @ Volksbühne - RAUSCH und KONTROLLE / LOOMIS FOTOGRAFIERT CASTORF

Just Loomis, photographer from Los Angeles, exposes Frank Castorf's work as director including Dostoyevsky's THE PLAYER and BROTHERS KARAMASOW, Ibsen's THE MASTER BUILDER, Hebbel's JUDITH and Goethe's FAUST. These five major productions - still in repertory at the Volksbühne this season  - are, as Loomis' photography unveils, one thing in particular: a celebration of work; or rather, work and celebration at once.

[nunc2020]

Un pays qui n'en a pas fini avec le sang versé

Par COLETTE GODARD. LE MONDE, Publié le 08 décembre 1977 à 00h00

PENDANT qu'à Villeurbanne puis à Saint-Denis la Volksbuhne de Berlin-Est avec la Bataille (le Monde du 22 novembre) assénait les images de son cauchemar, à Strasbourg, le groupe munichois Rote Rübe avec Terror et son dernier spectacle Amour, Mort, Hystérie : le cirque disait l'angoisse de vivre aujourd'hui en Allemagne fédérale. Et à Londres, le Festival national du film présentait en première mondiale l'intégralité du Hitler de Hans Jürgen Syberberg montré en partie au Festival de Cannes (le Monde du 26 mai), cet Hitler de quatre fois une heure et demie, ce voyage de six heures dans le subconscient d'un peuple. D'Est en Ouest, par le théâtre et le cinéma, une génération sonde les plaies mal fermées du corps qui l'a mise au monde, interroge son vertige, comptabilise l'héritage nazi. " L'Allemagne est un pays qui se noie " dit Syberberg.

Le Hitler de Syberberg comporte des citations documentaires, intégrées dans un jeu littéraire et théâtral. Dans un décor de cirque macabre, des paysages kitsch, des bandes d'actualités muettes projetées sur les murs forment des toiles de fond. Des fragments d'émission, de discours radiodiffusés reproduits sans chronologie soumettent le temps aux mouvances des souvenirs. Les époques se croisent, s'annulent, tandis que se superposent et s'imposent les durées réelles du présent. Des comédiens interchangeables et des marionnettes portent les personnages-clefs de l'histoire : démystification du show-biz équivoque dont ils sont devenus aujourd'hui les vedettes, désacralisation des dieux qui ont fait le destin de l'Allemagne. Hitler raconté par son valet, Himmler sous les mains de son masseur sont des petit bourgeois au ventre mou et pourtant... Quels manques venaient-ils combler, à quels besoins répondaient-ils pour qu'un peuple les suive ?

Que serions-nous sans Hitler ?

" Que serait Hitler sans nous, que serions-nous sans Hitler ? " Le film pose la question, Syberberg explique : " Hitler a apporté au peuple allemand la dimension d'irrationnel dont les intellectuels, en réaction contre le romantisme, le privaient. Dans le bon et le mauvais sens, elle est une composante essentielle de son identité. Après la guerre, tout ce qui touche à ce domaine a été étouffé, mis à la porte comme appartenant au nazisme. Le prix à payer pour cette attitude existentielle malsaine apparaît brusquement dans la violence qui explose là où on ne l'attendait pas. "

Sa propre violence à l'égard des terroristes est sans nuances. Ce sont des intellectuels et ils reculent les limites de ce vice intrinsèque : l'opposition systématique qui dévie leur action. " Je ne comprends pas, dit Syberberg, la compassion des Français, de mes amis, pour cette minorité très consciente dans l'utilisation du crime ". " Ne pas discuter, liquider " est le slogan d'un mouvement étudiant. Alors en France, on pose des bombes dans les banques allemandes, on brûle les Mercedes, ces nouvelles synagogues. Mais il ne s'agit pas de savoir quoi faire avec quelques individus, il faut savoir comment aborder un problème de peur et de réaction à la peur qui a beaucoup à voir avec l'histoire de l'Allemagne.

" En gagnant la bataille économique, l'Allemagne justifie l'étouffement de son imaginaire, le rejet de sa morale, le refus de son idéalisme. Elle est devenue le pays le plus fort de l'Europe occidentale, mais son pouvoir de création s'est appauvri et jusqu'à son langage. Elle ne dispose plus des instruments nécessaires à l'analyse d'une situation complexe. Le pouvoir appartient à un pays malade, où l'irrationnel resurgit sous le masque d'une raison intolérante, terrorisante, symptôme du nazisme. Les terroristes ne représentent pas la conscience de l'Allemagne, ils font partie de sa maladie. " Et il ajoute avec une ironie affreuse " Baader est le type même du sale boche ". Il dit aussi : " Par le seul jeu de l'intelligence, Kant prouve que l'intelligence n'est rien sans quelque chose d'autre qu'il appelle Dieu. "

À la poursuite de ce quelque chose d'autre, Syberberg réfute les voies de la politique, elles ne sont pas, dit-il, de sa compétence : " Tout dépend de l'étage auquel on habite. " Il préfère " habiter en haut ", là où son champ de vision englobe la totalité des problèmes. Il ne veut pas - autre vice des intellectuels - gaspiller son énergie sur des faits ponctuels, se faire en dandy l'avocat du diable, discuter avec élégance des contradictions, au moment où il est urgent d'éclairer des situations confuses, de prendre des positions nettes. Que l'histoire donne tort ou raison n'importe pas. Le " quelque chose d'autre " de Syberberg ne relève pas de l'analyse scientifique, mais d'une éthique, celle des ambiguïtés, des désirs obscurs. " Dans les sciences, il faut être exact, dans l'art il faut être juste. "

La responsabilité des artistes ne serait donc pas engagée dans le domaine politique : " Pour sa chance, Hitler a trouvé en face de lui des intellectuels qui avaient abandonné la recherche du " supplément d'âme ". Il est venu avec sa mystique, il a été écouté. Aujourd'hui, les Allemands reconnaissent leur culpabilité. Ils savent qu'ils se sont épanouis dans le mal, mais quand ils ont voté en masse pour le nazisme, c'est parce que la doctrine répondait à une part de leurs aspirations profondes, cette part symbolisée dans les fêtes grandioses qui se sont poursuivies par la mise en scène apocalyptique de la fin du monde. Hitler metteur en scène de sa folie... Aujourd'hui les Allemands se méprisent. Hitler est un film sur la culpabilité, très allemand, fait par quelqu'un qui avait neuf ans en 1945, pour qui le IIIe Reich c'est la guerre et rien de plus. Plus âgé, j'aurais été enrôlé dans les Jeunesses hitlériennes. Plus jeune, je ne me souviendrais pas. "

Syberberg a vécu une enfance protégée dans la campagne prussienne où ses parents étaient propriétaires terriens. Ils employaient des prisonniers, belges, français, polonais. Son premier contact avec le monde adulte masculin s'est fait par l'intermédiaire de ces étrangers en uniforme (" relativement libres, bien traités ") les hommes allemands étaient au front. Les bombardiers anglais traversaient le ciel, allaient plus loin. Le petit garçon ne mettait pas d'images sur le mot " destruction ". La guerre, c'était les vitres bleuies des trains camouflés, et la radio. Il entendait les échos des batailles dispersées en Afrique, en Normandie, en Ukraine. Il entendait le vaste monde souffrir des soldats de chez lui et les menaces de châtiment. Il écoutait beaucoup la B.B.C. Sans militer, son père a toujours été opposé au nazisme. Et lui, il ne sait pas quand ni comment il en a compris le vertige morbide. Peu à peu sans doute, comme un poison lent.Il y a autour de lui de la tristesse, comme une protection. Avec son élégance nonchalante, son regard nostalgique, il pourrait être un aristocrate sudiste de passage dans un roman de Fitzgerald. Homme vulnérable à qui il serait interdit de " porter le deuil de la morale perdue ". Seulement, à ses grandes mains nerveuses, à sa manière de s'expliquer à découvert, mais en annulant les questions auxquelles il ne veut pas, il ne peut pas, répondre, on voit clairement la force de cet intellectuel inquiet.

Son film est un long monologue polyphonique dans lequel se chevauchent les différents niveaux de son inquiétude. " Le silence n'est plus possible, dit-il, et il est devenu impossible de parler. La situation a beaucoup changé, et très vite. Il y a encore un an, Hitler représentait le crime. Et voilà que la dureté des hommes au pouvoir est égale à celle des hommes qui les combattent. Ce pays qui n'en a pas fini avec le dernier sang versé voit renaître la méthode nazie : tuer. Méthode qui se propage au dehors, en ondes de vengeance et de haine. "

Les attentats et les prises d'otages, le bataillon de choc et la campagne d'appels à la délation ; à l'étranger, les manifestations contre tout ce qui représente l'État allemand, cet engrenage de méfiance et de violence isole ce romantique qui se revendique tel, qui déjà se veut au-dessus de la mêlée et refuse d'être refoulé en marge. Aujourd'hui, adopter des positions non conformes signifie être suspect et dès lors susceptible d'être empêché de " nuire ", de s'exprimer. L'amalgame entre le " maccarthysme " à l'allemande et l'extermination physique organisée des opposants et des " Untermench " (les sous-hommes) paraît rapide. Mais, il faut s'en souvenir, les nazis ont d'abord exilé les intellectuels gênants. Sans doute aussi faut-il comprendre une certaine peur de soi-même, du perfectionnisme " jusqu'auboutiste " de l'Allemagne. On saisit cette peur en écoutant, dans le film, Himmler exposer (citations authentiques) son extravagante logique de destruction et dire : " Tout ceci est abject, qui ne le sait pas ne serait pas digne d'être Allemand. Tout ceci est nécessaire, celui qui ne le fait pas ne serait pas digne d'être Allemand "." Dieu a commandé à Abraham de tuer son fils, dit Syberberg, et Abraham a pris l'ordre au sérieux, il allait l'exécuter quand Dieu a arrêté son bras. Les Allemands ont pris Himmler au sérieux... La tentation de la " raison intolérante ", la négation mystique de soi en faveur d'un héros au-dessus des lois - Parsifal - appartient à la mythologie germanique. " Les nazis ont détourné les dieux du Walhalla, Wagner, Nietzsche, Beethoven, Mozart, et en ont fait leurs emblèmes de guerre. Nous devons leur arracher le masque de mort, les reprendre. "

L'isolement d'un romantique

Syberberg le romantique veut reconquérir sa culture comme une patrie perdue. Il utilise largement Wagner et Beethoven - mais pas Mozart - et aussi le Deutschland, Deutschland über alles (l'Allemagne, l'Allemagne au-dessus de tous les pays), couplet interdit depuis la fin de la guerre. À ce couplet il veut redonner son sens premier, lui aussi détourné : " J'aime mon pays plus que tout, d'un amour indéniable. " De la même manière, les Anglais disent " Right or wrong, my country ".

" Mon film, dit Syberberg, n'est pas un portrait de l'Allemagne apparente. Il est une méditation active sur les courants contradictoires de son âme. Si l'on montre un coureur motocycliste pendant un championnat, peut-être faut-il aussi montrer qu'il rêve d'être couché dans l'herbe. Parce que le nazisme est manichéisme, on ne peut le dénoncer que par ses ambiguïtés. Seul l'art peut en rendre compte. "

Hitler est le dernier volet d'une trilogie dont les deux premiers sont Ludwig, requiem pour un roi vierge et Karl May, complétés par le Cuisinier de Ludwig, journal de ce personnage interprété par un acteur seul, errant dans les palais baroques, et Winnifred, quatre heures d'interview de Winnifred Wagner, " une autre manière de filmer la culpabilité ".

L'une des dernières questions posées dans le film Hitler est : " Qui sera le prochain ? " " J'ai l'impression terrible, dit Syberberg, qu'Hitler est en train de gagner. Le cynisme affairiste gagne et la violence aveugle. C'est la défaite de la morale, le mal. Hitler est le mal en chacun de nous... Même si je suis pessimiste, mon film est positif parce qu'il représente un monde criminel sans pousser à l'agressivité. Si on veut le prendre au sérieux, on peut dire que c'est un portrait de l'âme humaine. Je dis qu'il est une chanson sur l'art du cinéma.

[brabrabratheband]

Friday night: we’ll open for Jolly Goods’ new album release party in Roter Salon!

AmSTARt and Music Board Berlin present: In Roter Salon-Volksbuhne, Berlin, doors 19, first show at 20 Uhr Brabrabra (Kitchen Leg Records) Jolly Goods "Slowlife" Record Releaseshow (Vö.: 17.1.2020. Siluh Records) Jolly Goods are a well-established sisters dream team. On their new album Slowlife, they create an opulent, expansive cosmos of sound created from band and orchestral music. Tanno Pippi and Angy Lord twist the curse out of power structures, traumata, pressure to perform and seemingly endless anger, in order to savour the slow life. http://www.jollygoods.net

[woofranceska]

It's a grey day in Berlin ☁️😞 . All things must come to an end! . . . . . #berlin #volksbuhne #wheel #byeforever #change #greyskies #rainyday #theatre #art #architecture #sculpture #nothinglastsforever #peoplestheatre #symbol #rosaluxemburgplatz #mitte #home (at Volksbühne am Rosa-Luxemburg-Platz)

[inzane-johnny]

WOLF EYEZ + NINA = VOLKSBUHNE ROTER SALON BERLIN 20:00 WARNING INCOMING 2KNIGHT!!

[wazafam]

By BY A.J. GOLDMANN from Theater in the New York Times-https://www.nytimes.com/2021/03/25/theater/volksbuhne-theater-polis-reset.html?partner=IFTTT The drama behind the scenes at the Volksbühne in Berlin has surpassed any onstage. A series of premieres involving vengeful gods, inescapable fates and tragic flaws seems apt. By Zeus! Who Hath Angered the Theatrical Gods? New York Times

[brookesrmitjournal]

Blackletter and it’s place in somewhat modern society.

Blackletter and German history have a strong yet turmoil relationship, due to  it’s large association with Hitler and the Third Reich this font is largely unused in modern Germany. In 2013 the Public theatre of Berlin (Volksbuhne) used black letter in their posters in order to gain notoriety in city graffitied with mainstream adverts and posters. This poster series raised a lot of questions around political correctness and sensitivities related to the font. In saying this one Berlin resident describe the posters as “thought provoking rather than provocative” due to the theatre being far from right wing. 

https://fontsinuse.com/uses/4734/volksbuehne-berlin-poster-campaign

[gigsoupmusic]

MOON DUO share 3rd single from new dance-inspired album

'Stars Are The Light' - out Sept 27 on Sacred Bones. Hear "Eternal Shore". Today Moon Duo share the final pre-release single, “Eternal Shore,” taken from their new album, 'Stars Are The Light', out September 27th on Sacred Bones. It follows the previously released title track and “Lost Heads.” Across “Eternal Shore,” Sanae Yamada’s hazy vocals drift over reverberating synth and flitting guitar licks. She says: “The lyrics are about the search for a sense of belonging and for the truth of one’s inner being, beneath the masks we’re conditioned to wear in order to function in society.” “We were experimenting with a lot of different rhythms for this record, and this one is in 5/8ths time, which is a real departure for us,” continues Ripley Johnson. “It moves us further away from the classic motorik beat. And it’s special because it’s the first song on which Sanae wrote the lyrics and sings lead.” https://youtu.be/AEpR3JQnGWQ The band’s Sanae Yamada comments: “We have changed, the nature of our collaboration has changed, the world has changed, and we wanted the new music to reflect that.” These are songs about embodied human experience — love, change, misunderstanding, internal struggle, joy, misery, alienation, discord, harmony, celebration — rendered as a kind of dance of the self, both in relation to other selves and to the eternal dance of the cosmos. Taking disco as its groove-oriented departure point, ‘Stars Are the Light’ shimmers with elements of ’70s funk and ’90s rave. Johnson’s signature guitar sound is at its most languid and refined, while Yamada’s synths and oneiric vocals are foregrounded to create a spacious percussiveness that invites the body to move with its mesmeric rhythms. With Sonic Boom (Spacemen 3, Spectrum) at the mixing desk in Portugal’s Serra de Sintra, (known to the Romans as “The Mountains of the Moon”) the area’s lush landscape and powerful lunar energies exerted a strong influence on the vibe and sonic texture of the album. On embracing disco as an inspiration, Yamada says, “It’s something we hadn’t referenced in our music before, but its core concepts really align with what we were circling around as we made the album. Disco is dance music, first and foremost, and we were digging our way into the idea of this endless dance of bodies in nature. We were also very inspired by the space and community of a disco – a space of free self-expression through dance, fashion, and mode of being; where everyone was welcome, diversity was celebrated, and identity could be fluid; where the life force that animates each of us differently could flower.” ‘Stars Are The Light’ will be released on September 27th via Sacred Bones. Pre-order here.  Moon Duo live dates (all tickets on sale Fri June 28th): Oct 17 Ghent Videodroom Oct 18 Krakow Małopolski Garden Of The Arts Oct 20 Amsterdam Paradiso Noord Oct 21 Berlin Volksbuhne Oct 23 Zurich Bogen F Oct 24 Vevey Rocking Chair Oct 26 Angers Le Chabada Oct 28 London EartH Oct 29 Manchester Dancehouse Oct 30 Liverpool Invisible Wind Factory Oct 31 Glasgow BAAD Nov 1 Birmingham The Crossing Nov 2 Leeds Brudenell Nov 3 Gateshead The Sage Nov 4 Brighton St Bartholomew's Church Nov 5 Paris Petit Bain Nov 6 Charleroi Rockerill Nov 7 Luxembourg De Gudde Wëllen Nov 9 Utrecht Le Guess Who Nov 12 Brooklyn Music Hall of Williamsburg Nov 13 Philly Underground Arts Nov 14 Washington DC Rock & Roll Hotel Nov 15 Kingston Raven Sings the Blues @ Kingston BSP Nov 16 Montreal SAT Nov 18 Toronto Longboat Hall Nov 19 Detroit MOCAD Nov 20 Chicago Thalia Hall Nov 22 LA Lodge Room Nov 23 San Francisco The New Parish Nov 25 Portland Wonder Ballroom Nov 26 Seattle Neumos Nov 27 Vancouver Venue ‘Stars Are The Light’ track list: 1. Flying 2. Stars Are The Light 3. Fall In Your Love 4. The World And The Sun 5. Lost Heads 6. Eternal Shore 7. Eye 2 Eye 8. Fever Night Read the full article

[michaelgabrill]

René Pollesch, an acclaimed German playwright and director, will take over starting in 2021. His appointment ends a tumultuous few years for the institution.

[moments-in-berlin]

“FÜR IMMER UND DICH“ @ Volksbühne [31.03.2017 | instagram] Change is coming this summer/autumn, when Castorf will leave Volksbühne after 25 years. A friend of mine and I went there to see his new 7 hour long play FAUST. The moment we arrived there and I saw “FOR EVER AND YOU“ pinned at the symbol of this special theatre, it made me a little emotional. All these moments and memories.

[topbeautifulwomens]

#Sophie #Rois #Biography #Photos #Wallpapers #actress #fashionstyle #kawaii #lit #makeupoftheday #nikon #portraitphotography #quotes #shoes #womensfashion

Sophie Rois was an Ottensheim, Austria and studied acting at the Max-Reinhardt-Seminar in Vienna from 1982 to 1985. In the subsequent years, she played at numerous theaters in Berlin, because 1992 she has been ensemble member at the city’s Freie Volksbuhne. Appearing as well on productive TV productions these kinds of as “The Manns – Novel of a Century” (2001), she turned one particular of the most respected actresses in the German speaking region.

Name Sophie Rois Height 5 ft 6 in Naionality Australian Day of Birth 1-June-1961 Place of Birth Ottensheim, Upper Austria, Austria Famous for Acting

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source http://topbeautifulwomen.com/sophie-rois-biography-photos-wallpapers/

[jacquievandegeer]

Volksbühne!

Volksbühne Berlin Rosa Luxemburg Platz.

It has been called Berlin’s most iconic theatre.

The original slogan inscribed on the edifice was "Die Kunst dem Volke" ("Art to the people").

Frank Castorf, a famous East German director, who brought the theatre to international renown with politically charged productions, became director in 1992.

During his 25-year tenure, through mid 2017, the theater's ambitious, experimental productions, got worldwide recognition as a leading European venue.

I remember that lively.

Wunderbares projects.

I remember a documentary at the International Film festival in Rotterdam showing a cast of homeless Germans rehearsing and performing Shakespeare, it was awesome and they were the guests of honor, giving a talk back after the first showing.

From the Goethe institute website about him:

“Frank Castorf’s best theatre evenings are demanding, long, complex, loud, exalted and illogical. They reject a linear narrative and conclusive interpretations. Psychological interpretation of characters is anathema to the manager of the Berliner Volksbühne am Rosa-Luxemburg-Platz and undisturbed acting is right next to the trivialisation of reality by art as an object of hate. For almost fifteen years now, this concentrated “anti” position has resulted in the most important contemporary theatre in Germany. “

and:

“The tremendous energy that characterises Castorf’s productions comes from the confrontation of harmony and violence. When he was a young director in the GDR, bureaucratic socialism provided the first opposition for Castorf’s anger. Banished to Anklam in the provinces, he continued to offend against the tolerated canon of hidden criticism of the system that was established in East German theatre until he was allowed to produce in the West. After Unification his revulsion at false common features, and especially of the “all’s well” politics of victorious capitalism, exploded. Nowhere in the art of the years immediately following the fall of the Berlin Wall was the smile of the state power so fiercely confronted with the depressing reality of the system take-over as in Castorf’s theatre. “

So why was he replaced all of a sudden then?

The Buhne had become an international important platform for German Theatre under his direction. 

But all was playing in German language.

In 2015 the City of Berlin announced that Castorf would be replaced by Chris Dercon.

Click to see what the ending of an era provoked:

https://www.arte.tv/fr/videos/077015-000-A/adieu-castorf/

Belgian curator and museum director Chris Dercon never had been into theater, though he had an impressive cv in the arts.

That a museum curator should take over "the most legendary German-speaking theater" in the country caused quite a stir, to say the least!

The City decided nevertheless he was the one.

What were they thinking?

Dercon was about to make Berlin a more marketable destination for non-German-speaking tourists and the European creatives who have put down roots in trendy neighbourhoods like Neukölln, Friedrichshain and Mitte, the Volksbühne’s home.

Gentrification as excuse for making international art.

Or is it the other way around?

Dercon’s philosophy is that theatre has to cater both for “those who can think in German and those who can’t”.

He explains: “And there are many of those here. If you go to Neukölln and try to order a cappuccino in German, you might not get it.”

Scheisse.

Well, it was not going to be easy for him to make this international transformation of the Volksbuhne.

Critics feared an impending "event machine."

And Dercon forgot how the Buhne had become famous and significant for Berlin.

He forgot about the big group of fans, the Germans and Berlinners, who feared this gentrification and who at least wanted to keep the Volksbuhne more or less as it was.

The big question became:

Should Berlin's legendary Volksbühne theater cater to an international audience?

Its new director Chris Dercon thought so.

But critics worried that Berlin is losing a one-of-a-kind gem in the name of diversity.

Left-wing activists occupied the theater in September 2017.

From the Economist:

“DOCH KUNST”, or “Art after all”, read the blue banner tagged to the façade of the Volksbühne, a theatre in central Berlin. It was put up by a group of left-wing activists who occupied the building in late September. They want the theatre to be managed by a “collective”. The stunt was part of a wider protest against cultural policies which the occupiers believe favour “mass tourism” and gentrification at the expense of local artists and poorer residents.”

The protesters, who formed an artists’ collective called From Dust to Glitter, planned to occupy the building in east Berlin for three months while staging performances free of charge.

They held their first “assembly”, urging theatre lovers to show up in force and bring supplies such as toilet paper, printers and food and drink.

The appeal was so successful that police said no more supporters could be allowed in after the building reached its maximum capacity of 500 people.

With its protest action, the collective said it wanted to “send a message against the current politics” meaning the gentrification of Berlin.

And now April 2018, it is done.

Chris Dercon has stepped down.

What will become of the Volksbuhne now?

[hsiehchiehting]

我們現在最需要的是反策展。https://www.textezurkunst.de/articles/sven-lutticken-volksbuhne-occupation/

[hanshafner]

Volksbühne: Ausgebrüllt! | ZEIT ONLINE

www.zeit.de/kultur/2017-06/volksbuehne-frank-castorf-abschied-robin-detje/komplettansicht from Lifestream – Hans Hafner – Composer http://www.hanshafner.de/blog/2017/06/10/volksbuhne-ausgebrullt-zeit-online/