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thomotagada · 4 years
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I’m so tired..
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I’m falling into another deep depressive episode again. The fact that I am still unemployed since 2018, being trapped with an emotionally abusive mother kills me. She berated and insulted me today about me being lazy and useless when my blood pressure was very low and unable to do anything. I’m tired of struggling financially while everyone I know including my nephews have jobs and I dont as no one wishes to hire me. Meanwhile, my own dysfunctional family assumes I like being this way.
I tried to drown myself in my own bathtub last year and that intense feeling came again while I took a hot bath after feeling awful. Luckily, I fought against the urge and drained the tub, only to shower instead. 
I hate the fact I can’t escape this place and I wished i lived alone and away from my abusive mother and the drama in this household but sadly I need an income for that. I’m just so tired of it.
If anyone wishes to help me feel free to. It’s on my kofi: 
https://ko-fi.com/cosmicfunnies
https://www.patreon.com/creator-home
I have a sale going on too…please take advantage of it. 
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https://www.cosmicfunnies.com
If you can share my store to other people so I can get more customers, I’d greatly appreciate it…I’ll even do freelance work. Anything helps..
Hopefully I can actually start and finish the first comic of the month by wednesday as I don’t see myself having the energy to do anything else tonight..
Portfolio site: https://jackiemoliner.myportfolio.com
Thanks for your time, Going to sleep early.
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thomotagada · 4 years
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La recette du bon gros flan à la merde
Aujourd’hui, nous allons voir comment réaliser un bon gros flan à la merde.
Cette recette, bien connue des cons, est un plat traditionnel qui est extrêmement simple à réaliser.
Ingrédients :
- 1 pâte brisée (comme mes couilles) ;
- 4 œufs (comme mes couilles) ;
- 1l de lait (comme mes couilles) ;
- 150g de sucre en poudre (comme mes couilles) ;
- 90g de maizena (comme mes couilles) ;
- 1 gousse de vanille (comme mes couilles).
Il est important que chaque ingrédient soit comme mes couilles.
Bite.
Ustensiles :
- un tamis (de souris) ;
- 1 cuillère en bois ;
- 1 four vu que c’est pas avec un frigo qu’on va faire cuire le bon gros flan à la merde ;
- 1 moule à tarte dans ta gueule ;
- 1 fourchette ;
- 1 spatule ;
- 1 casserole, si t’en as pas demande à tonton Sarkozy il en a plein au cul.
Préparation :
- faire bouillir le lait avec la gousse fendue comme mes couilles dans le sens de la longueur ;
- pendant ce temps, mélanger la maizena avec le sucre ;
- ajouter les œufs bien battus à mains nus parce que t’es un vrai bonhomme et pas une baltringue avec son petit fouet acheté 2€ chez Casino en plus c’était sympa il y avait une promo 3 fouets achetés une calotte dans tes burnes offerte, on a vraiment passé un super samedi matin avec Christiane et les enfants ;
- mélanger le tout comme mes couilles ;
- et ajouter le lait bouillant mais pas sur les couilles ;
- cuire la préparation à feu doux sans cesser de remuer pendant 1 à deux minutes : ça devrait te rappeler tes soirées de célibattant.e ;
- préchauffer le four à 200°C et foncer un plat rectangulaire ou rond, préalablement beurré comme mes couilles, avec la pâte brisée comme mes couilles ;
- piquer le fond comme mes couilles ;
- y verser la préparation sur mes couilles ;
- lisser la surface comme mes couilles ;
- cuire pendant environs 30 à 40min comme ton cul ;
- laisser refroidir ;
Avant de déguster, il reste une étape espèce de petite crotte.
On vient de faire un flan, mais nous on veut faire un bon gros flan à la merde.
Du coup procure-toi une bonne grosse merde, type Zemmour ou Finkielkraut, et éclate-lui la gueule dans le flan.
Voilà, tu as désormais un bon gros flan à la merde.
Bonne dégustation.
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thomotagada · 4 years
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C O S M O S
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thomotagada · 4 years
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“ Au plus nous avancions, au plus nous perdions pied avec la réalité : les Palais Oubliés avaient de particulier qu'ils ne permettaient d'être explorés qu'à moins de s'oublier. ”
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thomotagada · 4 years
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U N I V E R S E #2
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thomotagada · 4 years
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Ratures et partition
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thomotagada · 4 years
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thomotagada · 4 years
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L U N A I R E
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thomotagada · 4 years
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hey do you have a tumblr
no sorry
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thomotagada · 4 years
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thomotagada · 5 years
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La vibration primaire #1
J'en étais malade, de rester enfermé par ma propre inaction, ma malade impuissance à bouger, à me mouvoir hors du temps, à moins que ce ne fut dans le temps que j'étais incapable d'évoluer, et que mon entière vie, ou du moins sa majeure partie, ne fut contenue dans une sorte de fièvre imaginaire qui m'empêchait de m'ancrer dans un présent qui me semblait alors inatteignable, et dont j'étais l'unique responsable.
Moi qui rêvais, incessant petit perché aux écrins des nuages, pour oublier que j'avais le vertige de n'avoir point les pieds sur terre, et qui m'abandonnais en constante dépression dans le doux creux des drogues numériques, souhaitais pourtant réussir à m'en détacher, à me sortir de cette torpeur dans laquelle je me contorsionnais afin d'en oublier les murs trop contraignants.
J'en devenais fou, hurlant du coeur au bout des côtes, incapable de pouvoir gérer correctement mon espace-temps, hoquetant presque lorsque je prenais conscience de ma vie qui me filait entre les doigts. Chaque seconde devenait perdue et m'apportait un regret mêlé d'une anxiété inimaginable.
J'avais besoin d'aide. J'avais besoin que l'on m'entraîne à briser mon écorce de calcaire.
J'avais besoin, en somme, de retrouver ma vibration primaire.
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thomotagada · 5 years
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Mille-Hommes
C’est des larmes plein les yeux, la morve au nez, limite s’il ne s’écroulait pas sous le poids de sa propre peur, que Gageons, faisant remonter du fond de ses tripes un gargouillement atroce, réussit péniblement à émettre en bulles de mots la supplique suivante : « M… Mmmmm… MiiI I II LL e… Hom m Es ! J… gghhh jjjjJJJJJEEEEEEE…. JE T’EN SUPPLIE, SAUVE-MOI »
Un éclair, une fraction de seconde, l’éclair qui jaillit du fourreau, de son corps entier, et Mille-Hommes qui s’avance, folle qu’elle est, pointe de flèche atroce, hurlante et bouillonnante de rage – qui ose toucher à son amant – vers la succube, vers cette immondice dont les griffes se plantent déjà dans la chair de Gageons, en font sortir du pus, cette abomination qui lui bouffe le cerveau, lui ronge l’esprit, lui fait perdre la tête, et Mille-Hommes ! Mille-Hommes !
Mille-Hommes dont chaque pas est trop rapide pour nous, elle qui couvre, durant les 80ms qu’il nous faut pour traiter notre vision, la distance d’un univers qui la sépare de son doux et tendre.
Mille-Hommes qui refuse catégoriquement de voir Gageons – son Gageons – pris par quelqu’un – ou quelque chose – d’autre. Elle qui impose, en mot sec de sabre, son ordre :  G A G E O N S.   R E S T E .
La furie d’une armée fait trembler la terre, nos os eux-mêmes n’en peuvent plus du séisme que la colère de Mille-Hommes soulève. Nos cœurs se mettent à fibriller, nos âmes soupirent, et la succube, elle, relâche d’un seul coup son emprise sur Gageons, le laisse tomber comme une marionnette au sol, et lâche un hurlement putride à Mille-Hommes.
Fi du tonnerre qui lui apparaît en pleine gueule, Mille-Homme tranche l’onde sonore d’un simple regard et s’engouffre dans le tumulte d’un duel qui n’existe que hors du temps. Son image devient rémanente, nous ne voyons plus que des bouts de combats : un sabre qui fend l’air et vient s’abattre sur le corps répugnant du monstre, une poignée de griffes qui vole vers le visage de Mille-Hommes.
Une seconde plus tard – à moins que ça ne fut un an -, Mille-Hommes a la mâchoire en sang.
Tiens bon, et plante-lui le cœur.
L’une lui arrache de la chair, l’autre lui tranche une main.
Gageons voit tout.
Les yeux écarquillés de terreur et d’admiration pour sa guerrière, il tremble de rage de ne pas pouvoir se joindre à la bataille. Lui qui l’aime tant, lui qui ferait tout pour elle, lui qui jamais, ne cessera de l’aimer, et qui la connaît déjà dans un millions d’années, se rappelle l’incandescence de leurs touchers charnels.
Il se rappelle déjà la passion qui le dévorera.
Il se rappelle, déjà…
C’est un murmure. C’est un murmure qui, doucement, en brise légère, vient s’appuyer sur le rebord des lèvres vivantes de Gageons et dont la langue, pleine du mouvement juvénile et amoureux de Mille-Hommes, vient donner un coup d’envol.
Le murmure s’élève.
Personne ne l’entendra, sauf Mille-Hommes – il ne lui est destiné qu’à elle, et Gageons met un point d’honneur à ce que chaque mot aille à son bon destinataire. Personne, pas même la succube, qui pourtant est aux prises avec Mille-Hommes, au corps à corps, ne pourra l’intercepter.
Dans un millénaire, il sera trop tôt, mais dans une seconde, il sera trop tard : Mille-Hommes attrape le murmure du creux de l’oreille, et lui offre ses tympans.
Immédiatement, alors que le marteau frappe l’enclume, Mille-Homme jette son épée au sol, et empoigne à pleines mains la chair de la succube. Cette dernière écrase un hurlement, alors que Mille-Hommes continue de presser, de presser, de la compresser entre ses mains puissantes, ses mains qui n’ont jamais eu pour seul but que celui de protéger, sa poigne de fonte qui paralyse le démon.
Mille-Hommes la soulève, tandis que Gageons continue son murmure.
Doux et rond, c’est désormais un frai vent d’été qui se met à souffler.
Chargé d’émotions au fur et à mesure que Mille-Hommes soulève la bête, c’est un orage de Juillet.
Explosant d’un ultime cri salvateur, c’est un cyclone.
« Sic itur ad astra »
C’est ainsi que l’on s’élève vers les étoiles.
Mille-Hommes, dans un puissant mouvement de corps, finit d’agripper celui de la succube et, telle Atlas portant le monde sur ses épaules, la charge à son tour contre elle. Le mouvement qui suit nous est presque imperceptible. Une seconde, le temps s’arrête dans cette posture.
La seconde d’après, seule reste Mille-Homme, corps bandé vers le ciel des enfers, tandis que la succube va s’empaler contre la paroi d’une falaise, le crâne fracassé par la puissance de l’impact.
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thomotagada · 6 years
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Cherchez les Palais Oubliés
C’est dans la cømmøde du Général que nøus trøuvâmes enfin l’øbjet de nøtre recherche.
L’øuvrage, fait d’un cuir désørmais vieux et pelé par endrøit, était serti d’un mécanisme à verrøus récursifs qui empêchait de l’øuvrir. À søn døs, gravé à même la chair du livre, un symbøle représentant un cercle barré de deux traits asymétriques nøus indiquait que nøus teniøns entre nøs mains la sølutiøn au prøjet Samael.
Ce fut SpuNt qui, løgiquement, examina le mécanisme de verrøu et essaya de l’øuvrir. Armée de sa mallette et ses milles et unes lentilles, løupes et pinces de serrurière, elle passa un temps føu, uniquement cøncentrée sur la tâche de déjøuer le verrøu, sa respiratiøn réduite à un ruisseau d’air, søn cørps tendu et immøbile, les døigts seuls døtés de møuvement.
Dans sa tête, dans cette cabøche de punk que les gens møquaient øu méprisaient, se jøuait une partie d’échec cøntre le Général, øu du møins cøntre la persønne qu’avait été le Général, bien avant que la følie ne lui rønge le cerveau et ne l’emprisønne dans les tréfønds d’une inexpugnable førteresse : søn esprit.
Le principe du verrøu récursif était simple, et pøurtant terriblement efficace, SpuNt le savait. À la manière d’un prøgramme qui s’appelait lui-même, tøurnant en bøucle sans jamais pøuvøir se finir, le verrøu récursif n’avait pas de fin, et était dønc, en théørie, impøssible à øuvrir une føis qu’il était fermé. Il s’enfermait en lui-même, cachait une sørtie inatteignable, un recøin impøssible a appréhender, de sørte que les cøncepteurs y mettaient généralement une cønditiøn à remplir afin de déverrøuiller l’empilement infini des røuages.
SpuNt, elle avait løngtemps étudié ces types de verrøus - en fait, elle s’était vøuée cørps et âme à l’étude des verrøus récursifs - et avait un jøur tenté de nøus expliquer cømment un øbjet fini pøuvait cøntenir une récursivité.
- ToUt est daNs l'aNomalie, Vokaali !
- L’anømalie ? De quøi tu me parles, SpuNt ? C’est juste un verrøu. Tu prends une clef, et puis basta, pfff.
- Hahaha ! Tu coNNais pas les aNomalies ? PourtaNt y eN a pleiN, partoUt partOUt !
- Bøn allez, explique-nøus. Mais attentiøn, applique-tøi hein ! Nøus øn veut cømprendre cømment ca marche dans ta tête. Et puis garde à l’esprit qu’øn vient pas tøus de tøn truc, là...
- Le FOND ! Je le sais bieN, hahaha. Déjà, le verrOu coNtieNt pas l'aNomalie : il est l'aNomalie. On appElle ceTTe aNomalie là une Récursive.
- Pardon SpuNt, mais c’est quoi une anomalie ?
- C’est quaNd c'est pas Normal, Cifre ! hahAHaHa.
- SpuNt... Applique-tøi.
- Vrai de vrai, je sais pas ! Ça existe, c'est tout. J’ai découvert la Récursive en fouillaNt daNs le greNier de mon grand-père. Y avait son petit jouRNAl aux étOILes, et quaNd j’Ai voULu crocheter lA serrure qUI PROtégeAIT, j’ai pAs pu : mes outils se sont enfoncés jusqu’au bout ! Dingue, que c’étaIt, juRé ! J’aurAIs pu les perdRe dedaNs ! PoUrtaNt, ils AUraieNt dû s’arrêter : ça crocHetait et cliQuetait les goupilles sous mEs doigTs, et ça coNtiNUait à s’eNfoNcer. J’ai faiLli perdrE mes beAUx outIls.
- Et comment t’as su ce que c’était ?
- Je lui Ai demaNdÉ ! Il m’a dIt “Petite Fusée, ça est secret famille. Regarde.”, puis iL m’a moNtré commENt oN ouvrait son petit LiVRe aux étOiles.
- Alørs, cømment øn fait ?
- Ça dépeNd de la Récursive, mAIs souveNt c’est coMbinaisoN particulière, avEc ordrE paRTicUlier : siNoN l’iNstANt d’après, ta goupille crochEtée, elle comPte plus. En plus ça réaGit ! C’est iNfiNi dans le teMps. Plus tu meTs de teMPs, plus ça devieNt compLIqué !
- En attendant, ça nøus dit tøujøurs pas cømment c’est pøssible, tøn truc.
- Hahaha tu verrAs, Vokaali ! Et toi ausSI, Cifre !
Et nøus pøuviøns désørmais vøir.
Trøis heures.
Il lui fallut trøis heures, à nøtre petite fusée, pøur venir à bøut de la récursive. Trøis heures à førcer un labyrinthe infini, à jøuer avec des cømbinaisøns imprøbables, pøur, finalement, dans une atmøsphère tendue, entendre un premier clic. Suivi d’un deuxième, puis d’un trøisième. Ce fut un nømbre incalculable de verrøus qui sautèrent.
SpuNt, quant à elle, ne bøugea pas tant qu’elle ne fut pas certaine de pøuvøir øuvrir l’øuvrage qu’elle avait entre les mains. Et, lørsqu’enfin elle nøus fit signe d’apprøcher, nøs têtes penchées par dessus la page de garde du manuscrit, nøus pûmes lire avec une curiøsité mêlée à de l’impatience, les seuls et uniques møts que le Général eut laissé, dans un dernier murmure de raisøn.
Je l’ai vu dans un palais oublié ; tout tombe en ruine, même les divinités. Sa statue est un désastre, et son palais un immeuble tellement immense que cela en devient grotesque. Il est délabré : sous un ciel d’un gris de plomb, ouvert aux quatre vents, les âmes hurlent dans les méandres d’un dédale de démence. L’immeuble est grand comme un monde.
Pour me trouver, cherchez les Palais Oubliés. La clef se trouve chez SpuNt.
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thomotagada · 6 years
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25 Septembre
En silence Fenêtre ouverte Pas un bruit, pas un son.
  Une rue déserte offre sa nuit   Aux promeneurs en suspens.
Contre l’écorce du soir Nous jouons à chat sur les toits.
  Nos chambres baillent   Nos corps soupirent   En monuments de chair, dansent et respirent.
Dans la fente d’un rideau Vient le bruissement des feuilles.
  Au seuil de nos yeux mi-clos   L’été s’éteint, l’automne s’éveille.
Quietly Window open Not a sound, nor even a noise.
 A silent street offers its night  To the late walkers.
Against the wood of the night We play cats and mice on the roofs.
  Our bedrooms yawn   Our bodies sigh   As flesh monuments, dancing and breathing.
By the slit of a curtain Comes the rustling of leaves.
  At the door of our half-closed eyes   Summer fades off, autumn wakens.
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thomotagada · 6 years
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Novs vogvons svr des mers
La tempête faisait rage. Le train, bringvebalé comme vn vvlgaire flocon d’acier par les flots, s’écrasait svr lvi-même, faisait grincer sa carcasse vsée, novs emmenant malgré tovt av travers de l’ovragan. Les cordes d’eav venaient fovetter les vitres, et l’engin menaçait à tovt moment de se disloqver sovs l’effet dv maelstrom. Fvrevr d’être avtant mis à l’éprevve par les éléments, le métal rvgissait avssi fort qve le vent hvrlait, comme vn cri de covrage, vn éclat de son percvtant av travers dv monde qvi tombait en lambeavx. Tovt avtovr de novs, perçaient par intermittence des éclats de phares lointains, des faisceavx mis à mal par l’épaissevr dv délvge, et qvi s’éclataient dans vne fraction de seconde av fond de nos rétines. Ce fvt povrtant av cœvr de ce cavchemar qve Gageons, enfin, povr la première fois depvis qve je l’avais rencontré, fit mvrmvrer en chavdes et rondes langves d’air le grésillement de nos tympans : “Colère des dievx, fvrevr de Mère Natvre Qv'importent les cievx, novs partons à l'aventvre ! Par-delà les flots, perçons l'étoffe dv vent Défions les eavx, dépassons le Temps ! Voyagevrs ordinaires ov pirates dv qvotidien
Partez dompter les mers : votre cœvr s'en sovvient."
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thomotagada · 6 years
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Hidden behind.
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thomotagada · 6 years
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No. 232
A new geometric design every day
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