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vteurlayphotography · 7 years ago
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vteurlayphotography · 7 years ago
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vteurlayphotography · 7 years ago
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BLOG | L’ennui et le retour de l’étonnement (enfantin)
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Depuis 2014, je cherche régulièrement des coins nature où je ne veux voir personne (introvert united) et avec un accès très (très, très) limité à Internet. Je vais chercher l’ennui, de manière volontaire. La première fois que j’ai fait cette démarche j’étais loin de me douter qu’en quelques jours j’allais me reconnecter à un trésor précieux : la forme la plus simple d’étonnement. Celle qui s’exprime sans autre raison qu’elle-même. Celle que l’on a tous depuis notre plus tendre enfance enfouie sous des strates de conditionnements.
Depuis 2014, la petite fille à l’intérieur de moi faire a pu faire le cheval fou sur les pistes des sous bois de Fontainebleau (j’avais envie, j’ai lâché prise !), ou de nouveau au Portugal — sans électricité ni eau courante- mais avec un bon lit, une belle rivière et du calme. C’est spécial de lever le nez et la frontale d’une page, au détour d’un point, et d’être enveloppée d’une nuit noire et dense que l’on n’a pas vue tomber. Il ne reste plus alors qu’à éteindre la lampe et pencher la tête en arrière pour contempler les étoiles. Des moments privilégiés qui ne m’ont pas empêchée de lâcher un “mais je me fais chxxx là, c’est terrible” à un moment de la semaine. Chercher l’ennui peut aussi provoquer ce genre de réaction…et c’est aussi un bénéfice de savoir que parfois on tire sur la corde de son envie de solitude et d’ennui !
Femme épuisée cherche petit coin de nature pour ne RIEN faire.
Il y a trois ans je décide donc que pour mes prochaines vacances mon plus grand objectif sera de ne RIEN faire. Me connaissant, c’est loin d’être gagné.Je finis par trouver une yourte au milieu de nulle part, face à un lac. Les repas végétariens sont posés sur la table et une masseuse peut venir sur place pendant le séjour… Sur le papier c’est parfait! (kudos to Airbnb!*)
Quand j’explique à mes amis lisboètes que je pars seule, dans un coin paumé, dans une yourte, sur un site avec des toilettes sèches, je reçois en retour des questionnements sur ma sécurité, sur le manque de confort, et un “mais, euh…, pourquoi ?” entremêlé de curiosité. Et puis arrive cette remarque bien sentie sur “Mais tu vas t’ennuyer à mourir au bout de deux jours, non ?!”
Touchée ! Ce qui m’”inquiète” le plus dans cette histoire, c’est l’ennui ! Et c’est aussi ce que je vais chercher.
Pendant les trois heures de bus pour arriver sur place j’ai le temps de voir passer le paysage. Une forêt envahit les bas-côtés, composée majoritairement de pins et d’eucalyptus. Est-ce cette monotonie, ou les villages de plus en plus sommaires que nous traversons, une boule se fraye un chemin jusqu’à mon estomac : “Mais qu’est-ce qui m’a pris de réserver dans un trou perdu ?!”…Inspire. Expire. Cette phrase s’est de nouveau incrustée au moment où la 4L grinçante du propriétaire des lieux s’est arrêtée aux abords du site. Ma petite poussée d’angoisse devait se lire sur mon visage, ou se sentir, car j’ai droit à une petite phrase rassurante.
Je prends doucement possession des lieux. L’endroit est magnifique et si la yourte est simple, elle est aussi confortable. La seule chose vraiment exotique ce sont les toilettes sèches (et encore, j’ai des souvenirs d’enfance de wc rudimentaires dans la maison grand-maternelle) que je rebaptiserai assez rapidement : “The Loos With a View”.
Téléphone éteint. L’Internet uniquement accessible via la clé 3G de mon hôte (autrement dit pas accessible), il ne me faudra pas beaucoup de temps pour réaliser que j’avais pris une excelente(-issime) décision.
Aller progressivement vers l’ennui
Les deux premiers jours du séjour me donnent l’impression qu’on m’a enlevé les piles. Le matin, je m’assois sur le banc face au lac sur la terrasse de la yourte. Je regarde le soleil passer de gauche, à droite, en notant les changements de lumière. J’observe que le vent se lève toujours à la même heure. Les troncs se mettent à osciller entraînant les feuillent qui bruissent au passage du vent. Hypnotique. A se demander si les arbres sont en train de converser entre eux. La chaleur de l’après-midi, écrasante, ne donne pas envie de bouger. Je fais corps avec le banc. Tandis que, de temps en temps, un bourdonnement fait vibrer l’atmosphère.
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Pour ce séjour où je ne devais RIEN faire j’avais quand même pris une bonne dose de lecture, quelques crayons et un carnet pour gribouiller si le besoin s’en faisait sentir. J’avais aussi prévu deux « animations » proposées sur site. J’allais vers l’ennui, mais …graduellement, certainement pour éviter le traumatisme !
A l’heure des repas je me lève pour passer du banc à la table où les plats sont déposés. Le reste du temps je rêvasse, ou j’absorbe les sensations que me procure ce nouvel environnement.
A la fin de mon deuxième jour en mode plante verte, le regard interloqué de mon hôte m’oblige à placer dans un sourire : “J’ai conscience que cela fait deux jours (ou trois peut-être) que je suis collée à ce banc, mais tout va bien”.
Matinée “bricolage dans la forêt” animée par le propriétaire : il s’agissait de tailler quelques bouts de bois dans des essences plus ou moins tendres. Ça durait deux heures. Juste le temps de voir apparaître de belles ampoules sur mes mains. J’ai aussi été à deux doigts d’allumer du feu avec deux bouts de bois ! Fierté de voir les brindilles sèches commencer à fumer alors que je tourne frénétiquement les deux morceaux de bois.
Une autre matinée est l’occasion d’une balade en canoë.
Tout juste assiste dans le canoë je réalise la qualité du silence qui nous entoure.
C’est tellement précieux que j’attends un peu avant de plonger la pagaie dans l’eau.
Ce silence… c’est comme si le temps était suspendu.
Et le temps existe d’autant moins que j‘avais décidé de ne pas prendre mon appareil photo. Le meilleur moyen de m’assurer que je suis totalement disponible et présente à ce qui se passe. Ne pas couper le temps en tranches avec la prise de photos, ça aide à rester là, ici, et maintenant. Garder des souvenirs sans engorger sa carte SIM/SSD ou engraisser les réseaux “maviederêve.com” est possible. Je vous l’assure.
Mis à part ces deux « animations » je me suis laissée porter par le vent, les changements de lumière, les bourdonnements, les piaillements et l’odeur de cet endroit. J’en ai pris plein la vue, plein les oreilles, plein le nez et plein les papilles. Je pense d’ailleurs que mon “étourdissement” du début de séjour est en rapport avec la stimulation de mes sens engourdis. Après des années d’un rythme citadin effréné, du « out » en 2013, je pense que mon organisme s’est pris un « shoot » de nature !
Avec une mention spéciale pour l’odeur du lieu : Les fragrances d’eucalyptus se mélangeaient à d’autres essences pour créer une sorte de signature olfactive particulière. J’ai eu un moment l’impression que c’était un moyen que cet endroit, en hôte attentionné, avait trouvé pour prendre soin de ses invités.
Et puis l’ennui a pointé le bout de son nez ! (yeah!)
J’avais végété plusieurs jours en mode “adaptation”, j’avais lu tous les livres embarqués, pris des notes. Et puis tout d’un coup il n’y avait plus grand-chose à « faire ». Se baigner, un peu. Se balader, un peu. Les journées devenaient de plus en plus longues. De plus en plus vide. “bon ben ça je l’ai déjà lu. Ca aussi. Le mag, il doit me rester l’ours à lire, ça ne va pas prendre foule de temps…Ah cette abeille, je la reconnais, je l’ai déjà vue passer..”
Et c’est là que ça commence à devenir intéressant !
La peur du vide et la tension de frustration
Notre cerveau a horreur du vide. Et l’époque le lui rend bien tant elle le gave de stimulations et d’informations. Et alors que je lui offrais de l’espace (ce qui, le met en état de stress quand il n’y a pas de pratique méditative — il faut qu’il trouve quelque chose à FAIRE ou à penser), il s’est mis à chercher comment remplir ce nouvel espace.
Comme il ne pouvait pas aller surfer sur Internet, qu’il n’y avait plus rien à lire, que les ateliers étaient passés, l’une des seules choses à laquelle il pouvait revenir c’est son mode « Exploration » - qui est son programme initial.
Alors j’ai commencé à tourner et virer sur le site. A observer. Je me suis mise à regarder et ressentir “différemment”. Et aussi à “laisser venir”.
Et là, miracle !
J’ai retouché du doigt la curiosité de la petite fille. Celle qui s’accroupie, fesses sur les talons, pour regarder une minuscule fourmi traîner péniblement ce butin qu’elle veut rapporter à la maison. Parce que c’est passionnant ! Et non seulement je l’ai observée pendant de longues minutes, mais j’ai eu envie de la filmer. Elle était fascinante de persévérance. Attention 10 secondes de fourmi à l’effort en mauvaise qualité vidéo. Je n’avais pas prévu de publier ces images !
Le changement de regard a aussi “infusé”mon expression artistique.
Partie marcher avec mon appareil photo je ne trouvais rien d’”intéressant” à photographier. Alors que je trouve généralement tout intéressant (voir fourmi ci-dessus). L’ennui m’a mise dans une tension discrète(quoique parfois fiévreuse, le manque de “faire” qui remontait), mais suffisante, pour que je puisse basculer vers de la nouveauté (ou accepter de rentrer sans avoir exposé les pellicules). Le “vide” m’obligeait à faire un pas de côté. Le risque n’était pas absent, mais il n’y avais pas de peur, puisqu’il n’y avait pas de réel enjeux.
Sans jauger de la qualité des photos, c’est un moment où je suis allée vers des prises de vues plus sensibles. Je n’avais pas d’intention, ni vraiment de sujet. J’ai laissé faire en me mettant à la disposition de ce qui pouvait émerger de ma frustration/tension.
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Sortir du moule et retrouver sa base d’Exploration
Contrairement à ce que dit la phrase populaire (et surfaite), je ne suis pas “sortie de ma zone de confort” en faisant ces voyages. Introvertie (à ne pas confondre avec timide), multipote, (très) sensible, et aimant la prise de risque, je navigue depuis toujours — soit plus de 45 ans — en zone d’inconfort (relatif), dans un monde bruyant qui manque cruellement de sens (pour moi), et qui m’épuise du fait de ma sensibilité exacerbée.
Dans ces moments je m’autorise à être qui je veux. Un moyen de rectifier de manière respectueuse les fondements de mon éducation (“sois sociable”, “aime les gens”). De me réapproprier ce qui m’a, le plus souvent, été présenté comme des aspérités à gommer ou à corriger. Je me recrée une zone de confort solide, une base pour renflouer mon estime de moi et aller explorer le monde. A ma manière. En gros, et si je sors du politiquement correct : je vire le BS — bullshit — dont le système éducatif m’a lavé le cerveau pendant toutes ces années.***.
Dans ce monde pressé, le (grand) calme et la lenteur peuvent s’avérer une (très) bonne stratégie face aux “tendances” qui déboulent en mode courants (d’air )sur nos écrans. Et tout ces comportements “décalés” que l’on qualifie encore d’(a)typique — suivez les étiquettes : curiosité, créativité, introversion, multipotientialité, penseée transversale et globale, hyper-sensibilité, intuition, besoin de sens, clarification des problèmes etc.. envie de nature et de calme — sont en train de devenir des avantages pour aborder — dès aujourd’hui — le monde de demain. Et éviter de le réduire en bouillie.
Il serait bien dommage de continuer à les obliger à jouer en sourdine au fond de la cave ou de se priver de les développer.
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Retrouvez les photographies sur le site (mise à jour régulière dans les semaines à venir)
Breathe! (respire) est la première Exploration de The Curious & The Optimist Academy. Elle accompagne pas à pas à sortir de l’urgence en 26 jours. Cette Exploration a été conçue à la suite de mes articles sur l’urgence & la procrastination The Curious & The Optimist Academy propose des Explorations en ligne pour les (a)typiques qui veulent retrouver leur pouvoir d’agir et faire un pas vers l’émancipation.
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NOTES
*Le propriétaire a stoppé son activité dans l’année qui a suivi et la parcelle a été revendue. Je ne peux pas vous donner l’adresse(damned!).
** S’il n’y avait pas eu le moteur de l’envie l’autre option possible aurait pu être la dépression.
*** Ou quand le côté introvertie-zéro-BS reprend le dessus.
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vteurlayphotography · 7 years ago
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WA/O/NDERING* Plus de photos dans la galerie Wa/o/ndering Marcher en conscience Avancer en silence Présence. Absence. Absence de présence. Naviguer entre deux eaux. Surfer sur plusieurs temps. Fuir la notion trop rigide d'espace-temps. Flotter sur un chemin, sans début ni fin. Marcher, respirer Ne pas avoir besoin de rentrer. S'abandonner à l'instant pour ne vivre que le moment. wAndering : se promener wOndering : se demander
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vteurlayphotography · 7 years ago
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BLOC NOTE
Lors d'un de mes breaks au Portugal j'avais choisi une maison sans eau courante ni électricité.
Pour la douche j'utilisais un seau et l'eau glacée d'un réservoir. Je remplissais le seau et je me versais l'eau dessus. // Bon,... en fait l'eau était tellement gelée que les premiers jours que j'y allais par morceau... le bras droit, le bras gauche, le dos p$***n-je vais-mourir.. etc.// Au milieu des arbres, les pieds sur les feuilles, le vent qui ravive au passage la sensation de froid et le paysage devant les yeux. La personne qui gérait le lieu m'a dit qu'elle faisait ça toute l'année. Ça doit demander un peu d'entrainement ! Au bout du 3ème jour, vu que l'eau était vraiment froide, j'ai triché. Un peu. Je remplissais un seau le soir pour que le soleil réchauffe - très modérément - l'eau pour la douche du lendemain.
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Cap Ferret Juin 2016 Minolta X 700
© veronique teurlay. All rights reserved
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Cap Ferret Juin 2016 Agfa Isona (6:6) © veronique teurlay. All rights reserved
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Pedrogao Grande, Portugal, 2014
{Slow Photo} Galerie : Wa/o/dering
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Pedrogao Grande,  Portugal, 2014
{Slow Photo} Wa/o/dering
© veronique teurlay. All rights reserved
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Forêt de Fontainebleau Janviet 2016 {Slow Photo } C’est de la Haute Couture ! Lire 
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Forêt de Fontainebleau Javnvier 2016 {Slow Photo } C’est de la Haute Couture ! Lire
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vteurlayphotography · 9 years ago
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Forêt de Fontainebleau Janvier 2016 {Slow Photo } C’est de la Haute Couture ! Lire
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vteurlayphotography · 9 years ago
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{slow photo} "C'est de la Haute couture" - Forêt de Fontainebleau
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Petite escapade en forêt de Fontainebleau pour reprendre contact avec les odeurs humides de la terre et des feuilles en hiver. Pour retrouver le sol souple et pneumatique des sous-bois après la pluie et approcher la forêt "hors saison", en marge des "il faut que vous reveniez en automne ou au printemps". Sensation bizarre de partir pour un "ailleurs", sans vraiment m'éloigner.
"Vous verrez, la mousse est vert fluo "
Quand j'arrive au gîte, Sandra, la propriétaire, me décrit sa balade à cheval de la veille et les taches de mousse vert fluo qui fleurissent avec l'humidité et la douceur des températures. Il me faudra attendre le surlendemain et un ciel gris plomb pour que le vert m'explose (enfin) à la figure. Et me décroche, comme à chaque fois, une envie gourmande de saisir cette friandise colorée avec mon appareil photo.
"Mais c'est de la Haute Couture !"
Pendant une autre balade, je me retrouve devant une succession de plans de couleurs : ocre sur le sol, violet subtil des fougères posé sur un le fond vert des sapins. Le rappel diffus de quelque chose de connu s'imprime sur ma rétine sans que je parvienne à assembler les sensations. Jusqu'au moment où je m'entends m'exclamer : "Mais, c'est de la Haute Couture !"
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C'est ça ! Je viens de passer trois jours au milieu d'étoffes aux couleurs vibrantes, d'imprimés subtils et évocateurs et de matières naturelles. J'étais accompagnée du grincement des troncs encore trop jeunes pour opposer leur stature au vent et du chant d'oiseaux qui ne viendront jamais se produire à Paris !
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Qu'il est bon de s'offrir ces moments d'étonnements et d'inspirations, de sortir du brouhaha de la technologie et de la ville pour se laisser porter par un autre temps. Galerie photos
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C'est une première fois. J'ai déjà une petite idée du prochain endroit où je vais aller faire un tour. Suspens !
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Crédit photo : véronique teurlay VT - Tous droits réservés Photos sans filtre
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vteurlayphotography · 10 years ago
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Automne Paris 2015
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vteurlayphotography · 10 years ago
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Automne Paris 2015
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vteurlayphotography · 10 years ago
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Automne  Paris 2016
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vteurlayphotography · 10 years ago
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Musée Rodin, Meudon
2013
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