#armes anciennes
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lapoudrenoireparalex · 2 months ago
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💀 Avez-vous dĂ©jĂ  entendu parler de la Bible-pistolet de Francesco Morosini ? Cette arme cachĂ©e dans un livre sacrĂ© est l'un des artefacts les plus fascinants de l'histoire de Venise ! DĂ©couvrez comment Morosini, cĂ©lĂšbre doge et stratĂšge militaire, a utilisĂ© cette invention unique pour protĂ©ger son pouvoir. Dans notre derniĂšre vidĂ©o, nous explorons l'ascension de Morosini, la crĂ©ation de cette Bible-pistolet ingĂ©nieuse, et un incident lĂ©gendaire qui a marquĂ© l'histoire politique de Venise. Ne manquez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur un mĂ©lange intrigant de foi et de stratĂ©gie politique ! 👉 Regardez la vidĂ©o complĂšte sur YouTube et partagez vos rĂ©flexions en commentaire !
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corinneecrivaine · 6 months ago
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Vi, une Guerriùre des Temps Modernes à l'Âme de Xena
Comme j’ai comparĂ© Jinx Ă  Harley, je me suis amusĂ©e Ă  faire une comparaison Vi/Xena.
Vi, c’est Xena version guerriĂšre des temps modernes. Une vĂ©ritable force brute. Son allure dĂ©gage ce mĂ©lange irrĂ©sistible de puissance et de vulnĂ©rabilitĂ©. Mais elle incarne aussi l’hĂ©roĂŻne d’une tragĂ©die grecque.
J’ai choisi une image sombre de Vi pour une raison simple : elle est mon personnage prĂ©fĂ©rĂ©, et tout en elle est splendide. Ses tenues, son physique sculptural, ce regard qui mĂ©lange dĂ©fi et malice, sans oublier son humour bien Ă  elle. Mais ce qui la rend encore plus fascinante, c’est son aura en mode sombre. C’est dans ces moments-lĂ  qu’elle est impressionnante, lorsque ses blessures refont surface. Sa jacket, avec son design d’une Vi sombre. J’adore.
ParallĂšle entre Vi et Xena
Toutes deux sont hantĂ©es par leur passĂ© et leur quĂȘte de rĂ©demption.
Xena, la Princesse GuerriĂšre, porte le poids d’un passĂ© sanglant. Ancienne conquĂ©rante et destructrice, elle cherche Ă  se racheter en protĂ©geant les innocents et en redressant les torts qu’elle a causĂ©s. Cette lutte intĂ©rieure est au cƓur de son personnage : elle est une femme puissante mais brisĂ©e, en quĂȘte de sens et de pardon.
Vi est rongĂ©e par la culpabilitĂ© d’avoir Ă©chouĂ© Ă  protĂ©ger sa sƓur Powder/Jinx. Comme Xena, elle utilise la violence comme moyen de survie et d’expression, et doit trouver son chemin de rĂ©demption.
Xena est redoutable sur le champ de bataille, mais elle a Ă©galement un cĂŽtĂ© profondĂ©ment protecteur et maternel, notamment envers Gabrielle, sa compagne/amie. Leur relation, teintĂ©e d’amour et de complicitĂ©, rĂ©vĂšle une Xena plus vulnĂ©rable, prĂȘte Ă  tout pour protĂ©ger celle qu’elle aime.
Vi incarne cette mĂȘme dualitĂ©. Elle est fĂ©roce au combat, mais montre une douceur dĂ©sarmante envers Jinx (malgrĂ© leur conflit) et Caitlyn. Elle est Ă  la fois une sƓur protectrice, une amante vulnĂ©rable et une guerriĂšre brutale.
Vi, une Xena des bas-fonds
Vi Ă©volue dans un univers oĂč la justice est corrompue, et oĂč l'espoir est un luxe rare. Son combat n’est pas celui d’une hĂ©roĂŻne mythologique contre des monstres fantastiques, mais d’une femme moderne contre des forces bien rĂ©elles : l’injustice sociale, les conflits familiaux, et ses propres Ă©checs.
LĂ  oĂč Xena manie l’épĂ©e et le chakram face Ă  des dieux, des mythes et des lĂ©gendes, Vi brandit ses poings mĂ©caniques dans un univers technologique marquĂ© par l’oppression sociale et les inĂ©galitĂ©s. Elle lutte contre le systĂšme oppressif de Piltover et les dĂ©mons de Zaun, tout en essayant de sauver sa sƓur d’une folie qui semble inĂ©luctable.
Contrairement Ă  Xena, qui s’appuie sur des armes iconiques et des techniques de combat antiques, Vi est un produit de son Ă©poque. Ses gantelets mĂ©caniques symbolisent la fusion entre l’humain et la technologie. Ils sont l’extension de sa rage et de sa force brute. Vi n’a pas seulement des muscles, elle a un sens aigu de la justice et une humanitĂ© profonde. Cela fait d’elle une guerriĂšre moderne dans tous les sens du terme : une femme qui utilise Ă  la fois la force physique, la technologie, et son intelligence Ă©motionnelle pour naviguer dans un monde complexe et inhospitalier, mĂȘme lorsqu’elle ne sait pas toujours gĂ©rer ses propres Ă©motions.
Vi, une héroïne queer et actuelle
LĂ  oĂč Xena Ă©tait une figure fĂ©ministe des annĂ©es 90, Vi incarne un fĂ©minisme contemporain, en Ă©tant Ă  la fois queer et indĂ©pendante. Sa relation avec Caitlyn est un Ă©lĂ©ment clĂ© de son identitĂ©. Elle offre une reprĂ©sentation positive dans un univers sombre.
Des antagonistes façonnées par la tragédie
Dans les deux cas, Jinx et Callisto reprĂ©sentent ce qu’il y a de plus sombre dans le passĂ© de leurs "crĂ©atrices". Elles incarnent la consĂ©quence des erreurs commises et leurs Ă©checs.
Jinx, malgrĂ© sa folie et sa violence, reste une figure tragique. Elle reflĂšte Ă  la fois l’échec de Vi en tant que sƓur, mais aussi la douleur des traumas d’enfance dans un monde brutal comme Zaun. Callisto, quant Ă  elle, est l’image du cycle de la haine. Pour Callisto, Xena est le monstre responsable de ses souffrances, et elle dĂ©cide de devenir ce mĂȘme monstre pour se venger.
Pour Vi comme pour Xena, Jinx et Callisto sont plus que des adversaires : elles sont des Ă©chos de leur propre Ă©chec. Elles forcent les deux hĂ©roĂŻnes Ă  affronter leur passĂ©, Ă  regarder leurs erreurs en face, et Ă  tenter de s’en racheter.
Conclusion : Vi, une guerriùre moderne avec l’ñme d’une Xena
Vi et Xena partagent cette lourde responsabilité : avoir donné naissance, indirectement, à des figures de chaos. Cela les rend profondément humaines, car leurs combats ne sont pas seulement extérieurs, mais aussi intérieurs, contre leur propre culpabilité et leurs erreurs passées.
Vi peut ĂȘtre vue comme une hĂ©ritiĂšre spirituelle de Xena, adaptĂ©e aux sensibilitĂ©s et aux dĂ©fis du XXIe siĂšcle. LĂ  oĂč Xena s’est battue pour racheter un passĂ© sanglant dans un monde de lĂ©gendes, Vi se bat pour protĂ©ger son prĂ©sent et sauver son futur dans un univers technologique et brutal.
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cimhon · 7 days ago
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CHAPITRE 2:
PARS.
Enfant il avait dĂ©sirĂ© longtemps pouvoir parcourir.  Parcourir  un monde au temps arrĂȘtĂ©, aux individus statufiĂ©s, dont  on pourrait aisĂ©ment traverser les frontiĂšres pourtant figĂ©es. Pourquoi? Pour explorer sans risque peut-ĂȘtre, faire de sa solitude au milieu des autres une solitude rĂ©elle, libĂ©rĂ©e des autres. Se libĂ©rer du temps qui tue quand on est seul,  qui n’a de sens que si on est Ă  deux. Pour Ă©tudier l’ĂȘtre sans qu’il ne bouge ni ne se soustraie. Pour Ă©viter de souffrir. Il se tenait donc lĂ  et maintenant, projeté  dans son fantasme d’enfant qui avait remplacĂ© la rĂ©alitĂ©. Pars donc! Maintenant pourquoi rester? Mais oui! Et avant? Pourquoi ĂȘtre restĂ©? L’espoir d’un rĂ©cupĂ©ration? La force de l’habitude? Oui, les deux mon neveu, double aveu de faiblesse et de lĂąchetĂ©. Nique! Et il le savait: l’espoir, l’habitude, l’attente
. EHA. Un virus. PARS, le vaccin? WAR FOR TERRITORY. Sans ennemi, sans armes. 
Il marchait en direction de Saint-Ouen, comme par habitude, c’est rue des rosiers qu’ils Ă©changeaient le chien comme un objet prĂ©cieux. Lorna habitait au bout de la rue. Au bout de la rue mon pote, au bout de le rue. Au bout de la rue. 10 fois au bout de la rue. Ils Ă©taient
 restĂ©s sept ans ensemble. Cela faisait 3 ans qu’ils Ă©taient sĂ©parĂ©s. 10 ans. 11 coups de cloches il n’en entendit que 10. Il avançait il continuait d’avancer. Vers oĂč?
Rue des rosiers. Lorna, son chien. Loin devant tout le reste. Une urgence maintenant. Il Ă©tait sĂ»r d’ĂȘtre seul dans la rue. Peu importait. Mais il fallait que eux soient encore lĂ . Loin de lui, d’accord, peut-ĂȘtre, pourquoi pas. Mais Lorna devait ĂȘtre heureuse. Son chien, devait la rendre heureuse. Et elle devait le rendre heureux. Son petit chien, con comme une branche, ne mĂ©ritait pas d’avoir disparu dans le 10. Il se rendait compte que cette expression validait la rĂ©alitĂ© du moment. Non, le 10, le hasard de la solitude et de la rue dĂ©serte. Non
 Il allait retrouver Blues. L’échange avec Lorna serait toujours aussi couvert de l’ñpretĂ© de la protection qu’il s’imposait Ă  ne plus l’aimer. Oui. 
Il marcha.
Aucune rue ne menait plus à la rue des Rosiers. Les rues n’avaient plus de nom. 
Un soir, peu aprĂšs son dĂ©mĂ©nagement, un soir oĂč il avait bu, mais pas plus que d’habitude, au lieu de rentrer Ă  ChĂąteauRouge, son nouvel appartement, il avait pris machinalement la route de la rue de CrimĂ©e, son ancienne adresse. Il faisait nuit noire. Il avait errĂ©. Il s’était retrouvĂ© porte d’Aubervilliers. Loin de l’ancien appartement. Loin du nouveau. Sans angoisse. Il ne voyait rien. Il avait pris en photo le nom des rues avec son vieux tĂ©lĂ©phone et avait agrandi l’image pour pouvoir lire les noms des rues. Longtemps qu’il n’y voyait rien. Mais les noms des rues ne lui disaient rien. Il marcha cette nuit lĂ  longtemps. Jusqu’à trouver une station de mĂ©tro. Il attendit qu’elle ouvre. Il rentra chez lui. 
C’était lĂ  la mĂȘme impression de relĂąchement nocturne hormis le fait qu’on Ă©tait en journĂ©e, sans avoir bu, qu’il Ă©tait quelque chose comme 11H10 ou 12H10, enfin, une heure quelconque de la journĂ©e du jour plus 10 . Subitement sans avertissement et sĂ»rement sans constance, enfin le ciel lui apparut ouvert et la rue disponible Ă  autre chose qu’à la rencontre. Rien ne marchait, rien ne volait, rien n’était obstacle ni occasion. Il Ă©tait seul.
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claudehenrion · 8 months ago
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Mais pourquoi toujours mentir ?
Un fidĂšle lecteur, sans doute plus excĂ©dĂ© que d'habitude, me fait parvenir le discours exaspĂ©rant que notre prĂ©sident (pour combien de temps encore ? Mon Dieu ! Que c'est long...) s'est cru autorisĂ© Ă  prononcer rĂ©cemment Ă  Rabat, ''en notre nom'' (sic !). En fait, avec seulement 17 % des français qui le jugent capable de diriger le pays, il a renouĂ©, une fois de plus, avec son Ă©tiage rĂ©gulier depuis le premier tour du scandale bananier qu'a Ă©tĂ© la ''prĂ©sidentielle'' de 2022 --que je rappellerai, perinde ac cadaver, dussĂ©-je ĂȘtre le dernier Ă  le faire. On se demande au nom de qui il pourrait encore prĂ©tendre parler ! Au nom d'une toute petite poignĂ©e de français, peut-ĂȘtre ?
Le voilĂ  donc en reprĂ©sentation officielle devant le Parlement marocain, ce magnifique bĂątiment conçu par Lyautey et bĂąti par MM. Laforgue et Planque --architectes de talent que j'ai bien connus-- entourĂ© de sa garde prĂ©torienne de repris de justice et de petites frappes d'origine marocaine dont la seule prĂ©sence, dirait-on, le rassure, annĂ©e aprĂšs annĂ©e. Il aurait pu dire des tas de trucs passionnants, d'actualitĂ© ou d'histoire --mais vrais. Eh ! bien non... Il a fallu qu'une fois de plus il aille farfouiller dans les arriĂšre-cours de la cuisine immonde d'une histoire réécrite en faux, refabriquĂ©e, toute en mensonges et en inventions rĂ©pĂ©tĂ©es, en ressortant cette Ă©normitĂ© que tout le monde avait jetĂ©e dans un cul de basse fosse aprĂšs un premier succĂšs d'estrade dans les annĂ©es '60 (je cite) : ''Les annĂ©es d’El Andalous ont fait de l’Espagne et du sud de la France un terreau d’échange avec votre culture''. Et puis quoi, encore ? Pourquoi pas un ''prototype de son vivre ensemble'', tant qu'il y Ă©tait ?
FidĂšle Ă  notre mĂ©thode, je vous propose un ''retour sur images'' pour voir sur quoi je m'appuie pour dĂ©noncer cet Ă©norme bobard. L'expression, tout d'abord : pour mensongĂšre qu'elle soit, elle n'est mĂȘme pas de lui, mais est tirĂ©e d'une Ă©tude de 2007, ''RedĂ©couvrir la science Arabe'', signĂ©e par un parfait inconnu, Richard Covington et publiĂ© par la Saudi Aramco World Services Company... sans doute en quĂȘte, Ă  l'Ă©poque, de nouveaux contrats juteux Ă  signer... et prĂȘte, pour ce faire, Ă  caresser dans le sens du poil tout ce qui passe...
''El Andalous'', ensuite. Il voulait sans doute parler de ''al-Andalous'' qui dĂ©signait pour les seuls arabes la trĂšs romaine --et bien plus ancienne-- ''Hispania''. Passons, c'est un dĂ©tail : ayant ''fait l'ENA'', il se croit autorisĂ© Ă  faire ou dire n'importe quoi... sans penser que l'immense Michel Audiart avait dĂ©jĂ  caractĂ©risĂ© les tenants de ce genre de posture... Et si on suit les mĂ©andres tordus de sa non-pensĂ©e vide, il y aurait eu, depuis que la Terre tourne, deux types de ''colonialisme'' : l'un, le français, mauvais en tout, dans son Ăąme intrinsĂšquement perverse, tout juste bon Ă  ĂȘtre qualifiĂ© de ''crime contre l'humanitĂ©'' lorsque ''notre'' (?) Macron se traĂźne aux pieds de l'infĂąme Tebboune (petit rappel : Tebboune ne se traduit que par vulve ou vagin ... ceci pouvant expliquer cela !) en lui rĂ©pĂ©tant les Ă©normes mensonges que cet esprit pervers adore entendre...
Et l'autre, le beau, le bon, le magnifique : le colonialisme arabe, qui a traversĂ© les siĂšcles sans une tache sur sa rïżœïżœputation, celui (et lĂ ... les foules enthousiasmĂ©es se lĂšvent, dans une ''standing ovation'' hollywoodienne !) qui a permis la merveille des merveilles, ce pays bĂ©ni oĂč juifs et chrĂ©tiens ont enfin --et seulement-- touchĂ© le bonheur : al-Andalous ! On devrait tous ĂȘtre malades de ne pas avoir connu cet ''Ăąge d'or''... mĂȘme si, ici ou lĂ  (la vĂ©ritĂ© est : ici ET lĂ  !), les vainqueurs ne se gĂȘnaient pas --dans les mƓurs du temps-- pour esclavagiser les vaincus, qui Ă©taient ramenĂ©s au statut peu enviable de ''Dhimmis'' (interdiction de tĂ©moigner devant un tribunal, ou de possĂ©der un cheval ou une arme quelle qu'elle soit, obligation de laisser le passage Ă  tout ''Croyant'' et de ne marcher que sur la chaussĂ©e, pas sur les trottoirs, ou encore interdiction de construire des habitations qui dĂ©passent en hauteur celles des voisins musulmans. Et, bien entendu, l'obligation incontournable de payer une lourde taxe, la Djizyia, assortie de l'interdiction de construire de nouveaux lieux de culte... On reste pantois devant le bonheur qui rĂ©sultait de l'application de ces principes --parmi tant d'autres joies imposĂ©es par un pouvoir caractĂ©risĂ© par sa ''tolĂ©rance''. Je comprends que Macron regrette amĂšrement de n'ĂȘtre pas nĂ© assez tĂŽt pour avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© de ce Paradis terrestre.
Il n'en reste pas moins vrai que le message, clair et indiscutable, qui a été lancé une fois de plus ne peut avoir qu'une seule et unique conséquence : monter encore davantage contre nous --si c'est possible-- les jeunes de ce qui fut ''nos banlieues'', en les confortant dans le culte permanent d'un des plus graves mensonges de l'histoire (pourtant prolifique en la matiÚre)... comme si les dites banlieues, devenues depuis ''terres de non droit'' et déjà tellement hostiles à tout ce qui représente la France, avaient besoin de ça !
Le gag de la situation tient dans la rĂ©action unanime du peuple marocain Ă  ces libertĂ©s prises par notre lamentable prĂ©sident avec la vĂ©ritĂ© : eux, nos chers amis marocains, savent la vĂ©ritĂ© sur les deux extrĂȘmes de ce double mensonge : ils savent de quoi leurs ancĂȘtres Ă©taient capables, et ils savent aussi tout le bien qu'il faut penser de l’Ɠuvre iso-colonisatrice française ... pour l'avoir vĂ©cue ou avoir profitĂ© de ses retombĂ©es Ă  travers le temps, pour les plus jeunes.
Al-Andalous fut certainement une forme de Paradis terrestres (leur ''Fridaouz'')... mais uniquement pour les envahisseurs qui ont tellement pressurĂ© les populations qu'ils ont pu se payer des palais de rĂȘve, des Alhambras (= chĂąteaux rouges), des jardins paradisiaques, des Ă©toffes rares (interdites aux Dhimmis, bien entendu !) et une maniĂšre de vivre qui allait de pair avec le rejet de leur pouvoir par la totalitĂ© de la population. Et si la brutalitĂ© de leur rĂšgne a permis de faire durer cette aberration plusieurs siĂšcles, cela ne saurait constituer la justification d'un des plus gros bobards que l'histoire ait fabriquĂ©s.
Monsieur Macron, non seulement vous avez, une fois de plus, raconté n'importe quoi, mais toute cette laideur voulue s'est, dans la seconde, retournée contre vous. Et ça, voyez-vous, ce sont deux bonnes nouvelles comme vous ne nous avez plus habitués à en avoir... On vous remercierait presque, de mentir si stupidement !
H-Cl.
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le-fugitif · 29 days ago
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L’Ombre du Sabre
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Introduction
Dans les rues trempĂ©es de Noctezar, la justice avance Ă  pas feutrĂ©s. LĂ  oĂč la modernitĂ© Ă©claire les façades, certaines ombres restent ancrĂ©es dans les traditions. Et parfois, ces ombres reviennentïżœïżœ armĂ©es.
Quand les lois Ă©chouent Ă  capturer l’invisible, quand les preuves s’effacent sous la pluie, il ne reste que l’instinct - et le sabre.
Alex Li, commissaire aguerri, croyait avoir tout vu. Jusqu’à ce qu’un tueur invisible surgisse du passĂ©, tranchant le prĂ©sent avec une prĂ©cision ancestrale. Des meurtres rituels, un nom oubliĂ© murmurĂ© dans les ruelles : le Kagemusha.
Entre fantĂŽme et guerrier, justicier ou exĂ©cuteur, il dĂ©fie non seulement la police, mais l’ordre mĂȘme du rĂ©el. Et dans ce duel entre lame et loi, Alex va devoir affronter plus qu’un criminel : un code d'honneur venu d'un autre temps
 et peut-ĂȘtre, un reflet de lui-mĂȘme.
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Chapitre 1 - Pluie sur les Pavés
La nuit Ă©tait lourde, imbibĂ©e de pluie et de tension. Les gyrophares peignaient les murs en rouge et bleu dans un ballet hypnotique. Commissaire Alex Li, le col relevĂ© contre le vent, descendit de sa voiture de service, l’esprit dĂ©jĂ  focalisĂ© sur la scĂšne de crime. Trois corps en cinq jours. Tous Ă©gorgĂ©s d’un seul coup. Pas de traces, pas de tĂ©moins. Rien d’humain, en somme. Ou peut-ĂȘtre
 trop humain.
La victime du jour gisait sous un abri de fortune, Ă  deux pas d’un vieux temple dĂ©saffectĂ©. Un homme d’affaire connu, impliquĂ© dans une sĂ©rie de scandales financiers. La prĂ©cision de la blessure Ă©tait dĂ©routante : artĂšre sectionnĂ©e sans bavure, comme si la lame avait dansĂ© avec le vent. Alex se pencha, scrutant les contours du sol. Une empreinte, partiellement effacĂ©e par la pluie.
Fine. Ancienne. Sandales de paille ?
Il redressa la tĂȘte, le regard plongĂ© dans la nuit.
« Tu veux qu’on passe la zone au scanner thermique, Commissaire ? » proposa un agent.
Alex fit non de la tĂȘte.
« Non. Ça ne sert Ă  rien. Il est dĂ©jĂ  loin. »
Mais au fond, il savait qu’il n'Ă©tait pas loin. Le Kagemusha n’agissait jamais sans raison. Ce tueur n’était pas un psychopathe - c’était un exĂ©cutant. Quelqu’un qui suivait un code. Une logique. Une mission.
Et Alex voulait comprendre cette mission.
Il rentra tard ce soir-là, les murs de son appartement encombrés de dossiers, de cartes, de photos reliées par des fils rouges. Au centre de ce réseau chaotique : un sabre dessiné au fusain, et en dessous, un nom gratté à la main.
KAGEMUSHA
Alex se servit un thĂ© brĂ»lant, s’assit dans le silence. Son regard glissa vers une vieille photo accrochĂ©e au mur. Lui, plus jeune, en tenue dïżœïżœentraĂźnement, au dojo de Sangdelune. Il ferma les yeux.
Le passé revenait. Et avec lui
 les ombres.
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Chapitre 2 - Le Sabre et la Brume
Le lendemain matin, la ville s’éveillait dans une brume lourde, presque surnaturelle. Les gratte-ciels disparaissaient dans le voile blanc comme des gĂ©ants fatiguĂ©s. Alex Li traversait Ă  pied les ruelles du vieux quartier de Zarnak, le cƓur guidĂ© non par les preuves, mais par une intuition forgĂ©e dans le silence des arts martiaux et les trahisons de son passĂ©.
Il s’arrĂȘta devant une ancienne Ă©choppe abandonnĂ©e. Sur la vitre ternie, des idĂ©ogrammes Ă  demi effacĂ©s trahissaient le nom d’un ancien forgeron japonais exilĂ© Ă  Noctezar dans les annĂ©es 1950. Il savait que les sabres lĂ©gendaires ne naissaient pas au hasard. Ils avaient une mĂ©moire. Une volontĂ©. Parfois
 une soif.
Poussant la porte, Alex entra. Le bois craqua sous ses pas. À l’intĂ©rieur, tout Ă©tait figĂ© dans la poussiĂšre : une enclume, un Ă©tabli, et au mur, un vieux katana brisĂ© dans une vitrine fendue. Sur le manche, un emblĂšme : deux corbeaux entrelacĂ©s.
Il le reconnut aussitÎt. Cet emblÚme figurait sur la plaie de la troisiÚme victime - gravé dans la chair.
« Ce n’est pas un tueur que je poursuis
 »
murmura-t-il.
« C’est un hĂ©ritier. »
Un mouvement Ă  la pĂ©riphĂ©rie de son champ de vision. Il se retourna, dĂ©gaina par rĂ©flexe son arme de service - mais il n’y avait rien. Pourtant, un dĂ©tail avait changĂ©. Le sabre brisĂ© n’était plus dans la vitrine. À sa place : un origami noir, en forme de grue.
Alex l’ouvrit dĂ©licatement. À l’intĂ©rieur, une calligraphie fine, nerveuse.
« Tu as retrouvĂ© le premier souvenir. Si tu continues, tu devras choisir : la justice
 ou l’équilibre.»
Il ferma les yeux, et inspira lentement.
Quelqu’un jouait avec lui.
Ou le testait.
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Chapitre 3 - Le Pacte des Lames
La pluie avait cessĂ©, mais l’air restait lourd, comme suspendu dans une attente. Alex Li marchait dans l’ancien quartier de Morvhal, son pas prĂ©cis, son esprit aiguisĂ©. Il tenait l’origami noir dans sa poche intĂ©rieure, comme un talisman ou un piĂšge. L’enquĂȘte s’était transformĂ©e en jeu d’échecs Ă  une seule rĂšgle : ne pas perdre la tĂȘte.
Sur une vieille terrasse dĂ©serte donnant sur la riviĂšre, il retrouva l’homme qu’il avait secrĂštement convoquĂ©. Un maĂźtre d’armes Ă  la retraite, autrefois instructeur dans les forces spĂ©ciales japonaises. Il s’appelait Kaoru, mais Alex l’avait toujours appelĂ© Sensei. Un homme austĂšre, silencieux, capable de trancher une flĂšche en vol. C’était lui qui lui avait parlĂ©, autrefois du :
« Pacte des Lames».
« Kagemusha ? » demanda Kaoru, en versant deux tasses de thĂ©. Alex acquiesça. « Il est revenu. Ou peut-ĂȘtre qu’il n’est jamais parti. »
Le vieux maĂźtre hocha lentement la tĂȘte. « Le Kagemusha n’est pas un homme. C’est une idĂ©e. Un rĂŽle. Quand un pacte est trahi, quelqu’un doit rĂ©tablir l’ordre
 mĂȘme dans le sang. »
Alex se pencha. « Quel pacte ? »
Kaoru désigna le sabre de bois accroché au mur.
« Celui entre le sabre et le porteur. Entre l’honneur et le silence. Tu poursuis un fantĂŽme, Alex. Mais attention
 car il te regarde aussi. Et il connaĂźt ton passĂ©. »
Un long silence suivit.
« Et s’il m’a choisi ? » demanda Alex, presque Ă  voix basse.
Kaoru ne répondit pas. Il glissa simplement une boßte de bois laqué devant lui.
Alex l’ouvrit.
Un katana. Noir. Pur. Connu autrefois sous le nom de Yoru no Kaze, le Vent de la Nuit. Son propre sabre, forgĂ© pour lui, lorsqu’il s’était entraĂźnĂ© Ă  Xenthar-Prime. Il l’avait laissĂ© lĂ , dix ans plus tĂŽt, quand il avait choisi la voie de la loi.
« Tu ne peux pas affronter une lame avec des lois », murmura Kaoru.
Alex referma la boĂźte. Il comprenait dĂ©sormais : le Kagemusha le forçait Ă  redevenir ce qu’il avait fui. Pas un flic. Pas un soldat. Mais un homme entre deux mondes.
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Chapitre 4 - Sous les Cendres de Xenthar-Prime
Xenthar-Prime. Douze heures plus tard, Alex descendait du train Ă  la Gare Centrale, les Ă©paules alourdies par plus que la fatigue du voyage. Son passĂ© l'attendait dans ces rues calmes, bordĂ©es de cerisiers fanĂ©s, lĂ  oĂč le silence avait une densitĂ© particuliĂšre - presque sacrĂ©e.
Il n'était pas revenu depuis dix ans. Pas depuis l'incident.
Le dojo de son ancienne Ă©cole d'arts martiaux Ă©tait encore lĂ , camouflĂ© derriĂšre une façade discrĂšte. La mĂȘme porte coulissante. Le mĂȘme parquet grinçant. Mais les visages avaient changĂ©. À l’intĂ©rieur, un homme l’attendait dĂ©jĂ , assis en seiza, le regard baissĂ©. Il ne dit rien. Il n’avait pas besoin.
C’était l’un des anciens frĂšres d’arme d’Alex, un certain Renji. FidĂšle au poste. FidĂšle au silence.
Alex s’agenouilla Ă  son tour. Il sortit lentement l’origami noir et le posa devant lui. Renji le prit, le retourna, puis le brĂ»la dans un petit bol de cĂ©ramique sans un mot.
Le message Ă©tait clair : la traque du Kagemusha Ă©tait une affaire ancienne, ancrĂ©e dans les cicatrices de leur propre Ă©cole. Le sabre du tueur venait d’ici. Le style, les mouvements, le blessures laissĂ©es sur les corps - tout parlait d’un Ă©lĂšve oubliĂ©, ou reniĂ©.
Renji finit par rompre le silence.
« Il y avait un treiziĂšme. Tu t’en souviens ? »
Alex resta figĂ©. « Le fils de Yamato
 »
Renji hocha la tĂȘte. « Il a disparu aprĂšs le duel interdit. Le jour oĂč toi, tu es parti. Il n’a jamais pardonnĂ©. Il a rĂ©cupĂ©rĂ© le sabre noir, et l’a baptisĂ© Tsukikage. L’Ombre de la Lune. »
Un nom. Une trace. Un lien.
Alex comprit alors que cette affaire n’était pas une enquĂȘte, mais une vendetta. Une guerre ancienne remise au goĂ»t du sang moderne. Le Kagemusha n'exĂ©cutait pas seulement les coupables d’aujourd’hui - il effaçait les tĂ©moins d’un passĂ© que tous avaient voulu oublier.
Il se releva, le poing serrĂ© sur la poignĂ©e de Yoru no Kaze. Le combat n’allait plus tarder.
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Chapitre 5 - Duel dans la Brume
Le matin s’était levĂ© sur Xenthar-Prime dans un silence spectral. La brume recouvrait les toits comme une couverture de soie humide. Alex Li gravit les marches menant au sanctuaire de Fushimi Inari, sabre Ă  la ceinture, l’esprit calme mais acĂ©rĂ©. C’est lĂ  que tout avait commencĂ©. Et c’est lĂ  que tout devait se terminer.
Entre les torii vermillon, une silhouette l’attendait. Droite. Menaçante. Immobile.
Le Kagemusha.
Il portait un kimono noir, sans ornement, et son masque de fer laissait entrevoir des yeux calmes - mais brĂ»lants. Dans son dos, le sabre Tsukikage, dissimulĂ© dans un fourreau d’ébĂšne, pulsait comme un cƓur prĂȘt Ă  frapper.
Alex s’arrĂȘta Ă  dix pas.
« Tu m’as fait venir ici, pour quoi ? Pour un duel ? » « Non. Pour une rĂ©ponse », rĂ©pondit l’homme, sa voix claire malgrĂ© la distance.
« Tu as fui. J’ai Ă©tĂ© abandonnĂ©. Tu as choisi la justice des hommes. J’ai choisi celle du sabre. »
« Et combien devront encore mourir pour ton équilibre ? »
demanda Alex, la main sur la garde de Yoru no Kaze.
Un silence.
Puis le Kagemusha dégaina. Lentement. Solennellement.
Alex fit de mĂȘme.
Leurs deux lames se croisĂšrent dans un Ă©clair muet. Le combat fut d’une beautĂ© effroyable. PrĂ©cis. Silencieux. Deux esprits formĂ©s par le mĂȘme maĂźtre, deux trajectoires opposĂ©es, deux philosophies tranchantes.
Les sabres chantaient. L’un comme une tempĂȘte. L’autre comme une priĂšre.
Mais Ă  mesure que les minutes passaient, Alex comprit : le Kagemusha ne cherchait pas Ă  le tuer. Il testait sa conviction. Sa volontĂ©. Sa fidĂ©litĂ© Ă  la voie qu’il avait choisie.
Le dernier échange fut violent. Les deux hommes reculÚrent, haletants. Le masque du Kagemusha tomba au sol, révélant un visage dur, marqué, mais non dénué de tristesse.
« Tu n’as pas changĂ© », dit-il. « Si. J’ai compris. » Alex abaissa sa lame.
Le Kagemusha rengaina la sienne.
Puis, dans un ultime salut, il disparut parmi les torii, englouti par la brume.
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Chapitre 6 - L’HĂ©ritier du Vide
Une semaine s’était Ă©coulĂ©e depuis le duel dans les bois sacrĂ©s de Fushimi Inari.
Alex Li Ă©tait rentrĂ© Ă  Noctezar, mais tout semblait plus calme, plus lent - comme si le monde avait repris son souffle. Aucun nouveau meurtre. Aucun message. Aucun indice. Le Kagemusha avait disparu, emportant avec lui l’ombre de ses intentions et le poids de leurs passĂ©s entremĂȘlĂ©s.
Au commissariat, les affaires urgentes s’accumulaient, mais Alex n’y prĂȘtait qu’une attention distraite. Il avait rĂ©digĂ© un rapport partiel, parlant de « crime organisĂ© dans un cadre rituel », assez vague pour ĂȘtre acceptĂ©, assez flou pour protĂ©ger la vĂ©ritĂ©.
Dans son bureau, il dĂ©posa Yoru no Kaze dans une boĂźte scellĂ©e, comme on range un souvenir qu’on n’ose ni garder ni jeter.
Puis, un matin, une enveloppe l’attendait sur son bureau. Papier de riz. Sans timbre. Sans signature.
À l’intĂ©rieur : un second origami. Une grue noire, semblable Ă  la premiĂšre, mais marquĂ©e cette fois d’un unique mot en kanji :
ç©ș - le Vide.
Et en dessous, un message manuscrit :
« Il n’y a ni paix, ni vengeance. Il n’y a que l’équilibre. Tu es prĂȘt maintenant. Ce rĂŽle t’appartient.»
Alex ferma les yeux, longtemps.
Le Kagemusha n’était pas mort.
Il l’avait simplement dĂ©signĂ© comme successeur.
Non pas pour tuer. Mais pour garder l’ordre
 lĂ  oĂč la justice humaine ne suffit plus.
Le Commissaire Li replia l’origami et le rangea dans son portefeuille, entre sa plaque de police et une vieille photo de dojo.
Puis il sortit, sous le ciel de Noctezar, en homme libre - et désormais, héritier du vide.
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Conclusion - Le Poids du Silence
Alex Li savait dĂ©sormais que certaines vĂ©ritĂ©s ne s’écrivent pas dans des rapports. Elles se gravent dans la mĂ©moire, dans la chair, et parfois dans le fil d’une lame. L’affaire du Kagemusha ne serait jamais classĂ©e. Aucun tribunal n’entendrait ses plaidoiries, aucun mĂ©dia ne rĂ©vĂ©lerait son nom. Car il ne s’agissait pas d’un simple tueur
 mais d’un Ă©quilibre ancien revenu dĂ©fier le chaos moderne.
DĂ©signĂ© comme hĂ©ritier d’une voie oubliĂ©e, Alex ne devint pas un assassin, ni un juge secret. Il resta Commissaire. Mais ses mĂ©thodes changĂšrent. Sa vigilance s’affina. Car il savait, dĂ©sormais, que la justice n’est pas toujours un combat entre le bien et le mal - mais une danse entre l’ordre et l’ombre.
Et dans cette danse, parfois, il fallait savoir disparaĂźtre pour mieux veiller.
Le Kagemusha avait quitté la scÚne, mais son esprit rÎdait toujours

Dans le souffle du vent, Dans le silence des sabres, et
Dans le regard de celui qui veille.
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selidren · 7 months ago
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
10/20
Tout ce que je te raconte, je n'y ai pas assisté. Il faut dire que la maison étant surpeuplée, il y avait toujours forcément quelqu'un quelque part. Et les murs mitoyens sont parfois un peu fins. SélÚne et Cléo, qui finissaient de se préparer dans mon ancienne chambre de jeune fille, ont pu assister à toute la scÚne. Pour autant qu'elle ont pu, car pour ce que j'en sais, leur propre discussion a été plus qu'animée. Surtout avec la caractÚre tempétueux et excessif de Cléo.
Transcription :
SĂ©lĂšne « Tu n’as pas peur d’avoir froid Ă  l’église ? L’hommage va durer un bon moment. »
Cléopùtre « Moi ? Froid ? Jamais. Et puis, il faut apporter à ces funérailles un peu du glamour parisien. On en manque cruellement ici. »
SĂ©lĂšne « C’est une robe Chanel ? »
ClĂ©opĂątre « Bien sur que non enfin ! Jamais je n’oserais porter une telle robe Ă  des funĂ©railles ! »
SĂ©lĂšne « Tu aurais peur d’y mettre de la boue de province, c’est ça ? La campagne ne lui conviendrait pas ?»
Cléopùtre « On dirait que tu me prend pour une citadine horriblement hautaine. »
SĂ©lĂšne « Et ce n’est pas le cas ? En mĂȘme temps, avec un prĂ©nom comme le tien, c’était un peu prĂ©destinĂ©. »
ClĂ©opĂątre « En fait, je faisais simplement remarquer que je voulais pas confondre la nef d’une Ă©glise avec une salle de rĂ©ception. Venir avec la derniĂšre robe Ă  la mode aurait Ă©té  irrespectueux. Il fallait un peu plus de sobriĂ©tĂ©. »
SélÚne « En effet, il est clair que ton accoutrement est un modÚle de sobriété. Je suis certaine que seulement la moitié des invités se retourneront sur ton passage. »
ClĂ©opĂątre « Oh, tu sais bien comme je suis ! Je n’allais pas venir habillĂ©e comme un sac sous prĂ©texte de ressembler Ă  tout le monde. »
SélÚne « Merci bien... »
ClĂ©opĂątre « De toute façon, quoi que je dise, j’aurais tord. »
SĂ©lĂšne « C’est bon, c’est bon. Ne te vexe pas. La ville t’as rendue si susceptible ! »
Cléopùtre « Et toi, à force de jouer sur un cours de tennis, tu confonds tes matchs avec la réalité ! Depuis quand es-tu adepte des passes verbales ? »
SélÚne « En fait, je me suis entraßnée sur Papa. »
Cléopùtre « Le pauvre... »
SélÚne « Il se défend. Mais il rend vite les armes. Tu es vraiment certaine de devoir remettre du noir autour des yeux ? »
ClĂ©opĂątre « On ne porte jamais assez de khĂŽl. Et puis, cela met en valeur mes yeux, ils ont presque l’air gris plutĂŽt que bleus. »
SélÚne « Mais tu pleures toujours aux enterrements. »
ClĂ©opĂątre « Je le sais bien ! Il faut dire que c’est toujours si triste... »
SĂ©lĂšne « Tu vas t’en mettre partout... »
ClĂ©opĂątre « Mais justement SĂ©lĂšne ! Je porterai mon malheur sur mon visage avec d’épais sillons noirs, ce sera si romanesque ! J’en rĂ©pandrai partout sur mon mouchoir puis j’y laisserai Ă©clater mes larmes. Ainsi, les gens oublieront ma tenue et ils verront Ă  quel point je suis dĂ©vastĂ©e. »
SélÚne « Cléo, ce sont les funérailles de Grand-MÚre, pas les planches de la Comédie-Française. »
ClĂ©opĂątre « Tu prĂ©sages toujours le pire de moi. A t’écouter, on pourrait croire que je suis insensible. »
SĂ©lĂšne « Tu devrais t’écouter parler ClĂ©o. Je sais que tu ne penses pas Ă  mal, mais ces envolĂ©es Ă©gotistes font vraiment ressortir le pire en toi. Tu ferais une superbe tragĂ©dienne, mais ici, tu seras au milieu de gens qui auront dĂ©jĂ  bien assez Ă  faire Ă  pleurer sur leur propre perte pour s’occuper de la tienne. »
ClĂ©opĂątre « Il n’y a pas Ă  dire, tu sais frapper lĂ  oĂč ça fait mal. Tu viens d’infliger Ă  mon Ă©go un coup dont il ne se remettra sans doute jamais. »
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kempreint · 2 months ago
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Noyau
Ascendant,
AncĂȘtres,
Autochtones ,
Autonomes
Premier gardien,
Premier pĂšre
PremiĂšre terre
Vous avez vu cette terre
Immense,
Belle,
Particulier
AncrĂ© au cƓur du globe
Au parfum joyeux et convivial
Vous les premiers des nos ascendant,
PremiÚre ascendant de l'humanité fûtes vous .
Avec bravoure et courage
Vous avez attaquez le géant arbre,
Pour en faire du bois
Allumé, autour du feu
Le froid se dissipe lentement
RĂ©chauffant le cƓur,
Le laissant éveillé,
Lui dotant d'humanisme.
Armés d'armes puissantes
Donné par la nature
Vous avez su vous en servir
Votre savoir-faire,
Faisant de vous de sculpteur
Chasseur de gibier.
PĂȘcheur de poisson
Au filet par la pirogue navigante
Grand PĂšre,
AncĂȘtres,
Ascendant
Grimpa sur le noix de coco
Vous nos aĂŻeux
Pour offrir à nous le piot allié
Des aliments copieux.
Grand PĂšre ,
AncĂȘtres ,
Ascendant
Par l'initiation à l'hospitalité
Nul besoin d'aller Ă  l'hĂŽpital
Par ces pratiques et ces techniques
Traditionnels mis en place par le relationnel
Traduit le partage de connaissances
Ancestrale négrier
Grand PĂšre,
Grand mĂšre
Le noir t'appartient
Bien propre, bien connu de toi
Tu n'as point besoin de lampe pour t'allumer
Ton noyaux s'illumine,
Aux siĂšcles des batailles successive
Houleux et intense
Ton noyaux se maintient
Tes graines sont plantés
Au dure labeur
Pour germer en toute croissance
En toute reconnaissance
En toute quiétude.
Vos descendant que nous sommes,
LaissĂ©s au cƓur du noyau de vie
Nous Germont,
Enfermés par cet étreinte chaleur
Se battent pour y demeurer éternellement
Sur cette terre aux multiples trésors
En chantant
tout en transportant
en conservant
Ses armes humaines
Ces colis de sagesse
En respectant la femme
Sans aucune haine
Aux ennemis.
AĂŻeux,
Enseignant d'enfants
Sans diplĂŽme
Recevez toutes nos acclamations
Ton noyaux ne peut se détériorer
Nous rejetons d'arbre fertile
Enraciné dans le sol au soleil brillant
Transformant la terre, en terre dure
transportons fiĂšrement
Cette d'évolution patrimonial
Par ce testament
Non écrit
Mais dit
Pas inerte
Mais Vivant,
Muet
orale
Morale
Symbolisé par des proverbes
Prouvant une prouesse avéré.
AncĂȘtre,
Ascendant,
Anciens,
Nous assurerons votre Survie
Informons aux contemporain actuel
L'existence de ton noyaux Vital
Dont nous en sommes le fruit.
Ton paysage Ă  la vue remontera
Ces souvenirs gardé par le temps
Pour en ĂȘtre su.
Vos petits enfants ,
Que vous ne verrez pas
Vos petit petit fils ,
Qui écouterons parlé de vous
À l'ñme noir
Armé d'esprit guerrier
Comme vous l'aurez souhaité
Sauront vous rendrez hommage
Par les lois anciennes
Provenant des anciens
Que vous ĂȘtes .
Tel le passage de Jésus sur terre
Vos empreints resteront éternel
Encré par le sable du temps
Vous reflété la beauté du continent lumineux
Chaque bout de terre porte votre cƓur
Le destin par ce dessein s'accomplie
Et s'écrit au jour le jour
Par ce noyaux
Germé à l'aube du siÚcle présent
Et Ă  venir.
AncĂȘtre,
Ascendant,
Anciens,
Observez nous de l'au delĂ 
Recevez nos fleures dĂ» par l'au delĂ 
Ne versé point aucune eau de larmes
Mais riez,
Nous sommes attaché à cette terre
Entaché par la peau
Par des racines éternelles
Dont nos sang arrosés.
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on-cerulean-tides-rpg · 3 months ago
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L'Archipel de Nehenor (sud)
SpĂ©cialitĂ©s : Commerce global – Minerais de pierre – Armurerie – Coquillages – PĂȘche – Production fruitiĂšre – Production de chanvre – Epices – BĂ©tail – Perles prĂ©cieuses – Artisanat magique – Joaillerie –Minerai de sel Capitale :  Nerysia, Scyran ArmĂ©e : LĂ©gion de l’Ecume
L'archipel de Nehenor, premiĂšre vision qu’ont les voyageurs en provenance du sud, est un territoire Ă  la fois hostile et paradisiaque, façonnĂ© par l’ocĂ©an. 
Nepthis, avec son port imposant et sa surveillance militaire omniprĂ©sente, est la porte d’entrĂ©e du royaume, oĂč les échanges se font sous haute surveillance. Crystal Waters, au contraire, sĂ©duit par ses lagons enchantĂ©s et son atmosphĂšre magique, oĂč l’eau elle-mĂȘme semble vivre. Scyran, l’üle la plus mystĂ©rieuse, cache sous ses rĂ©cifs tranchants des trĂ©sors marins inestimables et des secrets de magie ancienne.
Chaque Ăźle de l'archipel, bien que paradisiaque Ă  sa maniĂšre, impose des dĂ©fis uniques, entre courants perfides, crĂ©atures marines redoutables et mystĂšres. Les habitants de Nehenor, qu'ils soient pĂȘcheurs, artisans ou militaires, vivent en harmonie avec cet environnement impitoyable, tissant des liens invisibles avec la mer tout en restant toujours sur leurs gardes.
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Île Nepthis
Forteresse portuaire – Commerce maritime – Guildes Marchandes – Surveillance militaire – ContrĂŽle des Ă©trangers - DĂ©but du Pont des Brisants Ville principale : Varasel
Île volcanique en forme de croissant de lune, Nepthis est le rempart de pierre et d’acier qui garde l’entrĂ©e d’Elyrian. C’est ici et ici seulement que les étrangers sont autorisĂ©s Ă  poser le pied sur les terres du royaume, mais ils ne peuvent aller plus loin. Son immense port, connu sous le nom de Port de Varasel ainsi que le marchĂ© des Brisants sont des points nĂ©vralgiques, oĂč s’échangent vivres, armes et richesses maritimes avec les royaumes voisins. Pourtant, ce lieu n’est pas le plus accueillant : les quais sont bordĂ©s de soldats, les rues sont parcourues de patrouilles, et les eaux alentour sont surveillĂ©es par des flottes de guerre et des sentinelles aux regards perçants. Au cƓur de Nepthis se dresse le Bastion de la Flamme Noire, une citadelle imprenable dont les murs de pierre sont gravĂ©s d’anciennes runes marines, censĂ©es dissuader toute attaque venue des mers. Les commandants militaires y tiennent conseil, tandis que les pavillons des marchands Ă©trangers flottent temporairement avant d’ĂȘtre renvoyĂ©s vers le large. Loin du tumulte du port, les terres de Nepthis sont tantĂŽt arides et rocheuses, battues par les vents salĂ©s, tantĂŽt parsemĂ©es de forĂȘts denses. On y extrait cependant des roches volcaniques noires, utilisĂ©es pour forger les armes des guerriers elyriens. Au nord ouest, le Mont Voeldrak, en Ă©ruption rĂ©guliĂšre mais maĂźtrisĂ©e, symbolise la force indomptable de l’üle, tandis qu’au sud, des paysages plus hospitaliers offrent un contraste apaisant, avec des criques paisibles et des terres fertiles oĂč s’épanouissent les rares cultures de Nepthis.
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Île Crystal Waters
Lagons enchantĂ©s – Villes flottantes – Sanctuaires marins – SpiritualitĂ© trĂšs prĂ©sente – Paradis sur terre Village principal : Borera
Crystal Waters scintille sous le soleil, oĂč l’eau et la terre s’entrelacent dans une harmonie mouvante. Ses lagons translucides reflĂštent le ciel, tandis que les mangroves noueuses s’accrochent aux rivages, leurs racines serpentant dans les eaux peu profondes. Les bancs de sable se dĂ©placent au grĂ© des marĂ©es, dessinant une ßle toujours changeante, presque vivante. Les maisons de bois flottĂ©, perchĂ©es sur pilotis, semblent flotter entre ciel et mer, reliĂ©es par des passerelles tressĂ©es en fibres marines. Ici, tout est conçu pour s’adapter Ă  l’ocĂ©an, car ses habitants en sont les enfants : marins intrĂ©pides, pĂȘcheurs instinctifs et mystiques capables d’entendre les murmures des flots. Les rĂ©cifs coralliens sont sacrĂ©s, abritant des coquillages lumineux, Ă©chos des esprits ocĂ©aniques. Mais sous ces eaux paisibles dorment des secrets plus anciens encore, des vestiges oubliĂ©s qui chuchotent aux courants et attirent les Ăąmes curieuses vers l’inconnu.
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Île Scyran
Joyau maritime – TrĂ©sors marins – Politique secrĂšte – Capitale de l’Archipel – Criques mystĂ©rieuses – Perles rares – Erudition Ville principal : Nerysia
Scyran est une Ăźle oĂč l’ocĂ©an façonne chaque aspect de la vie, un joyau maritime oĂč la culture et la nature se mĂȘlent en une harmonie envoĂ»tante. DominĂ©e par la ville de Nerysia, dont les dĂŽmes turquoise et les canaux scintillantstĂ©moignent d’un raffinement architectural unique, l’üle est un carrefour de commerce et de traditions anciennes. Le Palais d’Écumes, perchĂ© sur les hauteurs, veille sur la citĂ© et abrite les mystĂšres des sages et des dirigeants. Au-delĂ  de Nerysia, Scyran dĂ©voile une multitude de lieux fascinants. Le Hameau des Perliers et ses ateliers nichĂ©s entre les falaises perpĂ©tuent un savoir-faire ancestral, produisant les prĂ©cieuses perles noires et bleutĂ©es qui font la renommĂ©e de l’üle. Plus loin, le RĂ©cif des Lamentes, un labyrinthe de coraux et d’épaves, nourrit les lĂ©gendes de marins sur les ĂȘtres Ă©nigmatiques qui hanteraient ses eaux. L’Anse des Veilleurs, gardĂ©e par d’imposantes statues de pierre, demeure un lieu de recueillement et de prĂ©sages pour ceux qui s’apprĂȘtent Ă  braver les flots. Scyran est une terre oĂč l’histoire et la mer tissent ensemble un rĂ©cit en perpĂ©tuel mouvement.
VoilĂ  tout pour aujourd'hui ! J'espĂšre que cet Archipel vous plaira autant que moi et sachez qu'il ne s'agit-lĂ  que d'un avant-goĂ»t, divers lieux de chaque Ăźles seront bien Ă©videmment dĂ©taillĂ©s sur le forum 😏
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damemebene · 3 months ago
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Chapitre 4
La route vers leur maison fut rapide et tranquille. Ela chevauchait en tĂȘte, impatiente de retrouver leur foyer. Ils firent un arrĂȘt au village de Feoil alors que la pluie commençait Ă  tomber et que le vent se levait. LĂ , ils retrouvĂšrent des visages familiers. Ela descendit de cheval et salua les habitants. Elle voulut passer Ă  la taverne pour discuter avec des connaissances mais Luggh insista pour qu’ils ne s’attardent pas. Il chargĂšrent leurs montures avec de la paille fraĂźche avant de repartir pour les derniers milles de leur voyage. 
Leur cabane Ă©tait dans une clairiĂšre sur une colline surplombant le village. La petite bĂątisse Ă©tait entourĂ©e d’une clĂŽture de bois que Luggh avait installĂ©e quand leur mĂšre et lui avait achetĂ© l’endroit. C’était une habitude Fomori. Leur pĂšre leur avait racontĂ© comment ils entouraient leur campement de poteaux et barriĂšres marquĂ© de runes de protection. Le toit Ă©tait de chaume verdit par la mousse, les murs Ă©taient de torchis, des rondins de bois et des pierres maintenaient la structure  
Ils laissĂšrent Tarann s’occuper de leurs montures et les emmena dans la petite Ă©table derriĂšre la maison. Une fois Ă  l’intĂ©rieur, ils virent d’abord que le toit de chaume fuyait puis que la maison avait Ă©tĂ© habitĂ©e lors de leur absence. Les couchettes avaient Ă©tĂ© dĂ©placĂ©es, la cheminĂ©e avait Ă©tĂ© utilisĂ©e. Cela n’était pas une grande surprise, ce n’était pas la premiĂšre fois que cela arrivait. Mais ils furent plus Ă©tonnĂ©s de retrouver quelques piĂšces sur la table sous un couvercle de casserole. Moins que le prix d’une chambre en auberge, Ă©videmment sinon ils n’auraient pas occupĂ© leur maison vide. L’attention fut apprĂ©ciĂ©e nĂ©anmoins, Luggh alla immĂ©diatement vĂ©rifier leur cache.
D’aprĂšs son pĂšre, dĂšs qu’ils avaient achetĂ© la maison, sa mĂšre, Eliyka, avait insistĂ© Ă  cacher l’argent qu’il leur restait de l’achat et ses quelques possessions. Ils avaient trouvĂ© un trou entre l’empilement de pierre du mur et l’une des poutres dans la petite chambre Ă  droite de la seule autre salle de l'habitation. L’ouverture Ă©tait Ă  peine plus grande que son poing mais c’était bien assez pour mettre tout ce qu'il possĂ©dait en sĂ©curitĂ©.
Il retrouva leurs Ă©conomies et la boĂźte de bijoux d’Elyika intouchĂ©es. L’argent qu’ils avaient gagnĂ© rejoignit leur maigre Ă©conomie. 
Tarann entra avec un ballot de paille sur le dos. Ils se rĂ©partirent rapidement les tĂąches pour la fin de journĂ©e. Au son du goutte Ă  goutte de la fuite, ils nettoyĂšrent la maison, allumĂšrent un feu et remplacĂšrent leurs anciennes paillasses. Puis profitant d’une Ă©claircie, Ela et Tarann essayĂšrent de rĂ©parer le toit pendant que Luggh nettoyait la tombe d’Elyika, envahie par les herbes et la mousse.
Le ciel s’assombrit rapidement et la pluie revint. La famille se retrouva devant le feu, assis sur un tapis Ă  mĂȘme la terre battue Ă  peine sĂšche. Ils discutĂšrent des prĂ©parations pour l’hiver Ă  venir. Leurs armes avaient souffert dans leurs derniers combats et mĂ©ritaient d’ĂȘtre affutĂ©es. Leurs derniĂšres provisions finirent dans leur marmite pour le repas du soir. Dans les jours Ă  venir, il leur faudrait chasser et sĂ©cher de la viande mais aussi couper du bois. Les peaux seraient vendues pour payer des lĂ©gumes et de la farine et s’il leur restait de l’argent, il irait dans leurs Ă©conomies. L’enbarr de Luggh avait plus de trente ans et ils devaient se prĂ©parer Ă  investir dans une nouvelle monture. Tarann indiqua aussi Ă  Ela qu’il faudrait changer les fers de “Noireau”. C’était le nom qu’il avait donnĂ© au cheval de sa sƓur. Luggh n’avait jamais nommĂ© son enbarr et Ela avait fait de mĂȘme quand elle avait eu son hongre, mais Tarann, encore jeune Ă  l’époque, en avait dĂ©cidĂ© autrement. Pour lui, le cheval noir d’Ela Ă©tait donc “Noireau”, l’enbarr de Luggh “Estoc” pour ces coups de cornes et il avait nommĂ© sa jument “Fracas” Ă  cause de son pas lourd. 
Ils discutĂšrent jusqu’à tard dans la nuit, retraçant leurs derniĂšres missions et planifiant leurs futurs voyages. Puis ils se glissĂšrent dans leurs paillasses non sans avoir d’abord placĂ© une pierre chauffĂ©e par le feu prĂšs de leur pied pour Ă©loigner le froid et l’humiditĂ©. AllongĂ©e dans la petite chambre, Ela retrouva les odeurs familiĂšres du foin et de sa couverture. Dans l’obscuritĂ©, elle passa ses doigts sur les pierres et trouva les idĂ©ogrammes qu’elle avait gravĂ©s des annĂ©es plus tĂŽt. Ce n’était qu’une simple liste de noms dans la langue de sa mĂšre. D’abord le sien, puis celui de sa mĂšre dans des symboles complexes et Ă©lĂ©gants puis ceux de Luggh et Tarann Ă©crits en utilisant les signes phonĂ©tiques. Ela soupira d’aise, ils Ă©taient chez eux, enfin.
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Un autre chapitre envoyer dans le vide. Maintenant je peux reprendre mes activités normales du weekend. Profiter du soleil et peindre.
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iwriteasfotini · 7 months ago
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Finding His Orbit
Sirius POV, first year Rating: Teen 671 words
On the last Friday in February, Pandora brought Sirius another gift. She placed two identical boxes on the table in front of him. 
“J’ai travaillĂ© sur un nouveau sort.” I’ve been working on a new spell. 
Sirius looked at the plain wood boxes, and his appreciation for Pandora swelled. He reached for one, but she stopped him. 
“Tu devrais ouvrir celle-ci dans le noir. Une pour toi et une pour Regulus.” You should open this one in the dark. One for you and one for Regulus. 
“Merci, Pandora.”
She smiled. 
“Tu as eu des nouvelles?” Have you heard anything?
“Non, rien. Je ne sais mĂȘme pas comment lui faire parvenir ça,” Sirius said motioning at the box. No, nothing. I’m not even sure how to get this to him. 
“Et votre elfe de maison, son nom est Kreattur, non?” What about your house-elf, his name is Kreacher correct?
Sirius had told Pandora about Kreacher and his kindness towards Regulus. Of course, Sirius still despised the elf. 
“Il rĂ©pond Ă  tes ordres directs?” Will he answer direct orders from you?
“Je ne sais pas. Je peux essayer, ouais, je peux essayer.” I don’t know. I can try, yeah, I can try.
Pandora nodded. “Vous portez tous les deux des noms d’étoiles.” You are both named after stars. 
“C’est une tradition familiale.” It’s a family tradition.
“Je ne sais pas. Parfois, ces choses ont plus de sens qu’on ne le pense.” I don’t know. Sometimes there is more meaning to these things than you realize.
She looked thoughtful then said, “Je t’ai jamais dit mon nom de famille?” Have I ever told you my last name?
“Non.”
“Soleil.” Sunlight.
Sirius’ mouth fell open in shock. If anyone embodied the bright sun, it was Pandora. She seemed to make it her mission to bring light into every life she touched. 
“Ma famille vient de France. Nous sommes les descendants d’une ancienne lignĂ©e. Ce n’est plus une lignĂ©e de sang pur.” My family is originally from France. We are descendent from an ancient lineage. It’s not a pureblood line anymore. 
“Mais j’ai toujours eu l’impression que mon nom avait une plus grande signification. Pandora Soleil, donneuse de lumiùre.” But I’ve always felt like my name had a greater meaning. Pandora Soleil, giver of light.
Sirius was speechless. What was he supposed to say to that?
“Pandora, tu fais exactement ça,” he finally said. Pandora, you do just that.
Pandora squeezed his hand. “Je suis contente que tu sois mon ami Sirius Black. Je pense que nous Ă©tions censĂ©s nous trouver. La lumiĂšre et l’obscuritĂ©.” I’m glad you are my friend Sirius Black. I think we were meant to find each other. The light and the dark.
“HĂ©, je pensais que tu avais dit que j’étais une star. Les Ă©toiles brillent. Et mon Ă©toile est la plus brillante.” Hey, I thought you said I was a star. Stars shine bright. And my star is the brightest. 
Pandora laughed. “Alors nous rĂ©pandrons la lumiĂšre ensemble. Tu brilleras aussi fort que ton Ă©toile Sirius. Et on travaillera pour remplir la vie de Regulus de beaucoup de lumiĂšre.” So we’ll spread the light together. You will shine as bright as your star Sirius. And we’ll work to fill Regulus’ life with plenty of light.
Sirius could not help himself, he scooted close to Pandora and wrapped his skinny arms around her. She hugged him back. 
“C’est une bonne personne Pandora. Son cƓur est si grand. C’est si dur pour moi de le voir tomber.” He is a good person Pandora. His heart is so big. It is so hard for me to watch him fall.
“Il ne tombe pas Sirius. Il trouve son orbite.” He is not falling Sirius. He is finding his orbit. 
She released him and took out her wand. She tapped one of the wood boxes and said, “Verto.” Instead of a plain wooden box, Sirius was now looking at a Grow Your Own Warts Kit. 
“Voilà, ça devrait aider.” There, that should help.
Sirius laughed. 
...
This is from The Heir and The Spare, Chapter XVI - Sun and Moon and Stars
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lapoudrenoireparalex · 2 months ago
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Plongez dans l'histoire fascinante du pistolet Wheellock, la premiĂšre arme Ă  feu vraiment fiable du XVIe siĂšcle ! đŸ”„đŸ”« Cette vidĂ©o captivante explore l'invention rĂ©volutionnaire de l'arme Ă  rouet, ses avantages par rapport aux pistolets Ă  silex et son impact dans la culture populaire. DĂ©couvrez pourquoi il Ă©tait prisĂ© des nobles et des cavaliers, et comment il a changĂ© le cours de l'histoire militaire. Ne manquez pas les scĂšnes mythiques du Wheellock au cinĂ©ma, des films historiques aux aventures Ă©piques ! 🎬✹ 👉 Regardez la vidĂ©o complĂšte sur YouTube et laissez-vous transporter dans le passĂ© avec cette arme emblĂ©matique !
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ladyniniane · 1 year ago
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Voici la liste de tous mes écrits sur Fire Emblem Three Houses !
❧ Quatre guerriĂšres et dĂ©rivĂ©s
-Quatre guerriĂšres (Dimitri/OC, Felix/OC, Dedue/OC, Seteth/OC)
Une réécriture d'AM mettant en scĂšne quatre nouvelles hĂ©roĂŻnes aux cĂŽtĂ©s des personnages du jeu. L’ambitieuse dame Gladys a hĂ©ritĂ© des terres de son pĂšre et mĂšne ses troupes dans la lutte contre l’Empire. Musicienne, Maeve a pris les armes pour accompagner ses amies, quel qu’en soit le prix. Ancienne danseuse, Vigdis a choisi l'Ă©pĂ©e mais fuit les ombres de son passĂ©. Enid s’est jurĂ© de se venger des magiciens qui ont changĂ© sa vie en cauchemar. Il leur faudra se frayer un chemin Ă  travers les flammes de la guerre et trouver le courage de façonner leurs destinĂ©es.
-Le miracle du lac
Et si Fodlan n'avait pas dit son dernier mot aprÚs la victoire d'Edelgard ? Faerghus a su renverser la conquérante mais beaucoup reste à faire. Veuves de Dimitri et Felix, Gladys et Vigdis mÚnent le pays vers un avenir meilleur. La reine du lac et la dame Bouclier rendent visite à Indech qui les a aidées dans leur victoire. L'eau apaisera-t-elle les brûlures de la guerre ?
-Omnia Vincit amor
Des fleurs abandonnées. Un luth muet. La guerre est terminée, restent désormais les remords et le vide laissé par les morts. Dedue et la musicienne Maeve se sont rencontrés dans l'armée du Royaume mais le conflit les a séparés. Il a perdu son suzerain, elle ses amies. Tous deux peinent à trouver leur place. Leurs chemins se croisent de nouveau à Garreg Mach. Saisiront-ils cette chance de guérir et d'apprendre à vivre de nouveau ?
❧ Autres OS
-L'étoile filante
Avant d'ĂȘtre le hĂ©ros de l'indĂ©pendance et le rĂ©gent protecteur, Kyphon Ă©tait un orphelin dans la maison de sa cousine. DĂ©couvrez les liens qui ont façonnĂ© la famille Fraldarius.
-La lionne et le lionceau
Petit Dimitri et sa mÚre rendent visite à la grand-mÚre de ce dernier, la souveraine retirée. Dans la douceur de l'aprÚs-midi, l'ancienne grande reine et le futur roi sauveur partageront un moment de tendresse hors du temps.
-Un jardin enneigé
La neige est tombée sur Garreg Mach. Rodrigue se rapproche de sa camarade Marcia, qui deviendra un jour sa duchesse.
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johnlyngfr · 1 year ago
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Strasbourg and the Bombardment of Plaine des Bouchers, May 27, 1944.
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Note: Bibliography references in bold and italics.
After the fall of France in World War II, northern France was occupied by the Third Reich, and southern regions were self-governed by the Vichy-France puppet regime. However, Strasbourg, with the eastern regions of Alsace and Moselle, were directly annexed and became part of wartime Germany.
This meant that citizens of Alsace, Moselle and cities like Strasbourg, were conscripted to serve with the armed forces of the Third Reich. Existing French factories were converted to arms production, universities changed their focus to weapons development. Some hospital facilities were used for horrific experiments on live persons, others were very secretive locations developing weapon-grade Uranium-235 for the Third Reich. 6 7
The Bombardment of Strasbourg 1943-44
With this, allied bombing raids targeted factories and rail lines in Strasbourg. In 1943-44, there were three very severe bombing raids by U.S. Air-force heavy bombers:
On September 6, 1943 the Strasbourg neighborhood of Neudorf was heavily bombed by 332 B-17 Flying Fortresses and 69 B-24 Liberator bombers from VIII Bomber Command who were trying to destroy a railway yard and rail line that connected to a strategically important bridge crossing the Rhine. In the process, the residential area of Route du Polygone was heavily damaged, including a neighboring orphanage. 183 civilians were killed. 1
On August 11, 1944 the historic centre of Strasbourg was heavily bombed by 65 B-24 Liberators. Damage was very severe, and evidence remains today. The medieval CathĂ©drale Notre Dame de Strasbourg was damaged, as was the Palais de Rohan. L’ Ancienne Douane de Strasbourg was almost completely destroyed, but has since been restored. The reason for this bombardment should be clear, but it is not. Historians suggest that the target was a meeting amongst important industrialists chaired by Martin Bormann. I remain skeptical. Possibly, it was, somehow, about securing weapon-grade Uranium-235 that might be available in Strasbourg. This would shorted the Pacific War for the Americans, and explain the puzzling secrecy. 1
The Bombardment of Plaine des Bouchers - May 27, 1944.
Earlier, on May 27, 1944, the aviation factories in the industrial area of Plaine des Bouchers were attacked by B-17’s from the 100th and 388th Bomber Group. This was part of a massive widespread bombing raid consisting of 1,126 heavy bombers and 710 fighter escorts. Of this strike force, 53 bombers targeted the airplane factories at Plaine des Bouchers. This important industrial area was seriously defended, and 7 B-17’s were lost in the raid.
As the name suggests, “Plaine des Bouchers”, centuries ago, was a location for grazing cattle, but was later developed into an industrial hub in the mid-20th century. Emile Mathis, a French automobile industrialist, built large industrial facilities here. At the outset of the War, he left for the United States.
When Strasbourg and Alsace were annexed to Germany by the Third Reich, they used these modern facilities for building airplanes: Junkers was here, as was Mercedes Benz, both using the modern factories built by Emile Mathis.
However, M. Mathis was now in the United States, and he understood these factories better than anyone. He explained, to the US Air Force, how to focus their bombing in this industrial zone. It worked: on May 27, 1944 the Junkers and Mercedes Benz factories were destroyed by the US 8th Air Force. Bravo M. Emile Mathis, this helped shorten the war. 1 4
Here is a description of the raid on Plaine des Bouchers by 388th Bomber Group: - Captain Raymond G. Pendergast Jr.:
“We left England at 1054 and arrived at the French coast 1114. We made landfall at exactly the same place we made it May 25 when flak knocked hell out of us. Our whole crew sweated out that flak corridor but not a fire was shot at us. A few bursts were sent up but about 5 minutes before we arrived, flak was encountered about 10 miles north of Troyes but was not eïŹ€ective.
On the way to the target, we got a swell view of the Alps and snow was quite noticeable. They really are beautiful and also the surrounding country. At the target, plenty of flak was shot up and rockets too. Most of it was aimed at groups ahead of us who bombed a bit further south. We had comparatively little flak sent up at us. From the target out no flak was encountered and fighter cover was excellent. Red and possibly green flak was seen at the target.” 5
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Bibliography:
1. Objectif Strasbourg, les bombardements AmĂ©ricains de 1943 et 1944, Richard Seiler, Éditions La NuĂ©e Bleue, 2013
2. Archives de la Ville et de l’EuromĂ©tropole de Strasbourg, Archives.Strasbourg.eu.
3. 30 Photos de Strasbourg sous les bombardements (1943-1944), https://www.kuriocity.fr/30-photos-de-strasbourg-sous-les-bombardements-1943-1944/
4. Les arrĂȘts de tram strasbourgeois : Émile Mathis, https://pokaa.fr/2019/03/19/les-arrets-de-tram-strasbourgeois-episode-1-emile-mathis/
5. 388th Bomber Group Database, “Captain Raymond G. Pendergast Jr.”, http://388bg.com
6. “German nuclear program during World War II”, https://en.m.wikipedia.org/wiki/German_nuclear_program_during_World_War_II
7. “Alsos Mission”, https://en.m.wikipedia.org/wiki/Alsos_Mission
8. Medical Research in Strasbourg after annexation to the Third Reich https://www.tumblr.com/johnlyngfr/700149416337784832/medical-research-in-strasbourg-after-annexation-to
9. History of Strasbourg,
https://en.m.wikipedia.org/wiki/History_of_Strasbourg#:~:text=In%20August%201944%2C%20several%20buildings,Armoured%20Division%20under%20General%20Leclerc.
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whencyclopedfr · 1 year ago
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Artillerie dans l'Europe Médiévale
Les armes d'artillerie de l'Europe médiévale comprenaient l'arbalÚte (baliste) et la catapulte à torsion à un seul bras (mangonneau), toutes deux semblables aux anciennes machines romaines. Au fur et à mesure que les armées se battaient plus loin, notamment dans l'Empire byzantin et contre les califats arabes, de nouvelles idées se répandirent de la Chine et de l'Inde à travers l'Eurasie et jusqu'en Europe occidentale. Le trébuchet apparut à la fin du XIIe siÚcle. Il était similaire au mangonneau mais utilisait un contrepoids pour propulser les missiles plus loin et avec une plus grande précision. Utilisées à la fois par les attaquants et les défenseurs pendant les guerres de siÚge, les batteries d'artillerie causaient des ravages sur les populations et les fortifications. Les canons furent utilisés à partir du 13e siÚcle, et bien qu'ils aient été trÚs dangereux à utiliser et largement inefficaces en raison de leur manque de précision, au 15e siÚcle, la technologie s'améliora de maniÚre spectaculaire. Les missiles de toutes tailles projetés par la poudre à canon devinrent la norme, mettant finalement fin à la longue domination des chevaliers et des archers sur le champ de bataille médiéval.
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mariesrbouipochodian · 11 months ago
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Ancienne histoire....
On veut tuer tous les Dr surtout psychiatre, ici, Ă  Marseille....
Cela a commencé je crois avec la guerre d'Irak Koweït...
A Marseille, en 1991, on s'est fait lobotomiser, par les militaires ou non de laveran...
Parce que les arabes ont été vus faire un voyage en hÎpital psychiatrique parce que musulmans et armée à cause de cette guerre...
Ma soeur était jeune, 30 ans en 1990... Elle a eu peur des arabes qui achetaient facilement des armes a l'armurerie dans le magasin carrefour le merlan...
Elle a acheté une arme elle aussi, un one shot... Comme l'arme de oo7...
AprÚs ça, le psychopathe a utilisé cette arme que maman lui permettait de prendre dans notre appartement...
Donc ma soeur ou mon papa ont dĂ» ĂȘtre accusĂ© de tirer en one shot...
Maman et moi, nous sommes handicapées...
Donc, on quitte ma soeur et moi Marseille pour les alentours de Toulon en 1993...
Le psychopathe a tué alors impunément... Maman doit beaucoup aimer ce ''Lilliput putin''.... Parce qu'elle lui a demandé de tuer tous ceux qui la soupçonnaient de voler l'argent de ma banque postale et de ma caisse d'épargne....
Papa est alors allé ou non en psychiatrie puisqu'il était handicapé depuis 1984, aprÚs avoir ete un ami de monsieur jean kemler mort en 1983....
Donc il est restĂ© seulement ma pauvre soeur, rose, pour ĂȘtre accusĂ©e d'ĂȘtre une tueuse comme oo7....
Ma soeur m'a trahie alors, jusqu'Ă  aujourd'hui pour qu'on m'accuse moi d'ĂȘtre 'one shot'...
On a vécu à Rabatau aprÚs 1995, ils ont ouvert un magasin nommé one shot à cÎté de l'auto.ecole, en face de notre immeuble....
Donc ma soeur est devenue trÚs lùche et trÚs psychopathe en devenant l'épouse du psychopathe.... Maman lui a souhaité ça à ma pauvre soeur...
Ils m'ont piĂ©gĂ©e depuis plus de 30 ans... Est ce que cette idiote m'a mĂȘme faite tomber enceinte de ce monstre, le chef cruel et sanguinaire....
Je ne saurai jamais,... elle, ils l'ont tuée en novembre 2022...
Alors si lui il est vivant ou mort, on m'a accuse ou non de tous ses meurtres ...
Normalement, cette arme vous l'avez revue en golden en 2017, chez les crs de l'avenue corot...
En plus, maintenant, ils ont emmenĂ©e Caroline aigle Ă  ĂȘtre ma soeur pour accuser cette salope d'ĂȘtre elle 'one shot'...
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le-fugitif · 2 months ago
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Les deux faces d'Alex Li
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Chapitre 1 – L’ombre sur le quai
Les gyrophares peignaient des reflets bleus sur les eaux du lac d'ambroisie. Commissaire Alex Li, silhouette droite malgrĂ© l’humiditĂ© nocturne, observait le corps allongĂ© sur les pavĂ©s du quai de la Tournelle. Homme, la quarantaine, balle dans la nuque. Professionnel.
Mais ce n’était pas la victime qui glaçait le sang d’Alex. C’était la lettre H, gravĂ©e avec soin dans le bĂ©ton encore frais d’un chantier voisin.
Il recula d’un pas. Ce n’était pas une signature anodine. Ce H, il le connaissait. C’était celle d’Alexia Hoffer, son ancienne partenaire d’infiltration
 et dĂ©sormais une fugitive recherchĂ©e Ă  travers toute l’Europe.
Deux ans qu’il n’avait pas entendu parler d’elle. Deux ans qu’elle avait disparu aprĂšs l’affaire Venko, en emportant des informations sensibles. Deux ans qu’il se demandait si elle Ă©tait coupable
 ou sacrifiĂ©e.
Maintenant, elle Ă©tait revenue. Et elle voulait qu’il le sache.
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Chapitre 2 – La chasse est ouverte
Alex retourna au central, le dossier Hoffer ranimé comme une braise sous le vent. La salle des archives lui semblait soudain plus menaçante, chaque regard trop insistant.
« On a retrouvĂ© ses empreintes. Quai de la Tournelle. Elle est lĂ , Li. » annonça l’inspecteur Brocki.
« Trop visible. C’est pas son style. » murmura Alex.
Il connaissait Alexia. Du temps de leur infiltration dans le rĂ©seau Venko, elle Ă©tait brillante, prĂ©cise, invisible. Ce retour théùtral n’était pas un aveu, c’était un message.
Il consulta la carte de Feralis, repĂ©ra les anciens repaires. Puis il tomba sur un nom: Amphithéùtre du Mirabellus , fermĂ© depuis l’incendie de 2019. Leur planque Ă  l’époque. Son cƓur accĂ©lĂ©ra.
Ce n’était pas une chasse. C’était un jeu. Et elle avait pris le premier coup.
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Chapitre 3 – Messages codĂ©s
Chez lui, Alex dĂ©terra un vieux disque dur chiffrĂ©, relique de leur mission commune. Il y trouva des fichiers audio, vides en apparence. Il tenta un vieux mot de passe: FleurRouge19. Le lecteur s’ouvrit. Une voix. La sienne.
« Si tu Ă©coutes ça, c’est que j’ai perdu ou que je te fais confiance. Alex, ils mentent. Venko n’était qu’un pion. L’un d’eux est au sommet. Ne me cherche pas pour m’arrĂȘter. Cherche la vĂ©ritĂ©. »
Le fichier datait d’avant sa disparition. Alors pourquoi avait-elle laissĂ© un nouveau signe maintenant ? Et pourquoi ce type sur le quai, si elle voulait se faire entendre ?
Quelque chose clochait. Et il n’aimait pas l’idĂ©e d’ĂȘtre manipulĂ© par elle. À nouveau.
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Chapitre 4 – Le piùge
Amphithéùtre du Mirabellus 2h17 du matin.
Alex entra seul. Une odeur de poussiĂšre et de bois brĂ»lĂ© flottait encore dans l’air. Il avançait lentement, lampe torche dans une main, arme dans l’autre.
« Tu as mis du temps. » dit une voix dans le noir.
Elle sortit de l’ombre. Alexia. Cheveux attachĂ©s, regard dur mais marquĂ©. Elle portait un manteau noir, et une aura de fatigue profonde.
« Tu as tué cet homme ? » demanda Alex.
« Non. Mais on voulait que tu penses que je l’ai fait. »
« Qui on ? »
Elle s’approcha, posa une clĂ© USB sur une caisse.
« Tu veux la vĂ©ritĂ© ? C’est lĂ -dessus. Dossiers classĂ©s, Ă©coutes, tĂ©moignages supprimĂ©s. Ce qu’on a trouvĂ© chez Venko, ce qu’on nous a interdit de rĂ©vĂ©ler. Et celui qui a couvert tout ça est maintenant en haut de la chaĂźne. »
Alex hĂ©sita. Tout en lui voulait l’arrĂȘter. Et pourtant, une autre partie voulait croire.
Des pas résonnÚrent au loin. Ils étaient suivis.
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Chapitre 5 – Entre chien et loup
Ils fuirent Ă  travers les coulisses, par un vieux passage souterrain qu’ils connaissaient par cƓur. Comme Ă  l’époque. L’adrĂ©naline, le souffle court, la coordination parfaite. Le lien Ă©tait toujours lĂ .
Ils trouvĂšrent refuge dans un hĂŽtel miteux, Ă  Clichy. Le genre d’endroit oĂč personne ne pose de questions.
Assis sur deux lits séparés, ils parlÚrent enfin.
« Tu n’es jamais partie, n’est-ce pas ? »
« Non. J’ai juste arrĂȘtĂ© de jouer le jeu. Et toi, tu continues. »
« Je voulais y croire. À la justice. À ce qu’on faisait. »
« Alors regarde autour de toi, Alex. Tu crois vraiment qu’on est du bon cĂŽtĂ© ? »
Il la fixa. Les frontiÚres entre le bien et le mal, entre le devoir et la vérité, entre eux deux
 se brouillaient.
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Chapitre 6 – Le choix
Ils s’infiltrĂšrent dans le Palais de Justice au lever du jour. Alexia voulait diffuser les donnĂ©es en direct lors d’une confĂ©rence d’un haut gradĂ© – le prĂ©fet Arnault, l’homme qu’elle accusait.
Alex intercepta Arnault seul.
« Tu ne veux pas faire ça, Li. Pense à ta carriÚre. Pense à ce que tu peux encore accomplir ici. »
 « Ce que je peux encore couvrir, tu veux dire ? »
Il jeta un regard Ă  la salle derriĂšre. Alexia Ă©tait en position, prĂȘte Ă  tout balancer. Un seul geste de sa part
 et tout partait en feu.
Son doigt resta suspendu. Il pensa Ă  tout ce qu’il allait perdre. Mais aussi Ă  ce qu’il pourrait rĂ©parer.
Il hocha la tĂȘte. Alexia appuya sur le bouton.
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Épilogue
Le scandale Ă©clata. Le prĂ©fet chuta. Des tĂȘtes tombĂšrent. Alex fut suspendu, puis rĂ©intĂ©grĂ© dans une unitĂ© spĂ©ciale.
Alexia, quant Ă  elle, disparut Ă  nouveau.
Mais parfois, quand il marchait seul la nuit sur les quais, Alex sentait un regard derriùre lui. Et il souriait. Parce qu’il savait qu’elle veillait encore, quelque part.
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