#intrinsèque
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Guy Debord ne croit pas si bien dire lorsqu’il qu’il proclaime que le “vrai n’est qu’un moment du faux”, bien que ce soit dans la nature même de la “réalité” d’être ainsi. Mais force est de reconnaître qu’on ne pourra plus qu’essayer d’orienter l’”idiot global” le mieux possible pour qu’il ne le soit pas trop ! Et c’est désolant mais nous en sommes au point de devoir rabacher par exemple que le phénomène de l’impérialisme (qu’on pourrait dire désormais diffus) n’est nullement une raison pour ne pas condamner tous les régimes despotiques, criminels, également ! Que par ailleurs tout est plus ou moins lié en ce monde, et de toutes sortes de façons… Qu’aussi plus généralement il est bon de se cultiver et d’avoir des références, mais tout autant de tout réfléchir, actualiser, et que personne ne pourra me remplacer pour ça !
#guy debord#pensée#idéologie#mouton#stupidité#réalité#spectacle#néant#faux#vrai#priorité#temps#possible#impossible#identification#intelligence#interchangeable#Macron#Trump#Woke#féminisme#LFI#antisémitisme#capitalisme#communisme#articulation#totalitarisme#intrinsèque#Marx#impérialisme
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NOTRE VOYAGE AU-DELÀ DE LA MATRICE
Au fil des dernières décennies, nous avons traversé une multitude d’expériences à différents niveaux de notre existence quotidienne – qu’il s’agisse du domaine personnel, familial, social, professionnel ou même spirituel. Ces parcours, que nous continuons d’explorer, nous ont conduits à vivre des moments imprévus d’euphorie ou de mélancolie, de crainte, mais aussi des instants de liberté…
#Accepter les zones d’ombre pour transcender les liens ancestraux.#Ces éclats de liberté inattendus marquent un réveil intérieur.#La défragmentation des mémoires ouvre la voie à la Résurrection.#La fusion de la vie ordinaire avec la Vie Éternelle.#L’Ultra-temporalité et l’Ultra-synchronicité guidées par l’Esprit Saint.#Les réminiscences de nos vies présentes et passées sont des clés de transformation.#Un appel à explorer les face-à-face intérieurs.#Une élévation vibratoire vers la Souveraineté.#Une transformation intrinsèque au corps et à la conscience.
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The effect of different cucumber (Cucumis sativus l.) varieties on growth and development time of Aphis gossypii glover
Télécharger l’article [Download] Résumé La réponse biologique d’Aphis gossypii Glover (Hom. Aphididae) a été étudiée sur les effets de sept variétés de concombre (Cucumis sativus L.) telles que Kitir, Muhika, Ayda, Beit, 14-F1, Ruzgar et Ptk dans des conditions de laboratoire à 24 ± 1 °C, 65 ± 5 % d’humidité relative (HR) et une photopériode de 16 :8 (L : D) heure. Les résultats ont été liés à…
#cucumber cultivars#Cultivars de concombre#fécondité#fecundity#intrinsic rate#mortalité#mortality#résistance#taux intrinsèque
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La fin des régimes qui échouent : 15 erreurs cruciales à éviter
NOUVEAU : La fin des régimes qui échouent : 15 erreurs cruciales à éviter
Attention à tous ceux qui se sentent esclaves de leur appétit et qui en ont assez de compter chaque bouchée ! Imaginez, juste un instant, une vie où chaque bouchée est un pas vers un vous plus épanoui, plus sain, et totalement libéré des chaînes du régime constant. Oubliez le comptage obsessionnel des calories, la culpabilité qui suit chaque écart, et commencez une approche nouvelle de…

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En clair, faut vraiment se battre contre cette idée que la littérature est intrinsèquement élitiste alors que s'il y a un art dans lequel on peut se plonger sans dépenser un euro, s'il y a bien un art qui propose du contenu pour tous les âges et pour tous les goûts, s'il y a bien un art auquel tu peux accéder à ton rythme, entre gros pavés et nouvelles, s'il y a bien un art si étendu et diversifié que deux lettrés peuvent être très cultivés sans avoir lu les mêmes livres, s'il y a bien un art fait pour tout le monde, c'est la littérature.
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je suis malheureusement anglais mais j’étudie français en école et votre blog aidez-moi beaucoup!! merci!! j’espère que mon français ne soit pas affreux :,,,,,)
le français est intrinsèquement horrible tkt <3
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Manipulation de l'opinion publique américaine et guerre de l'information: le cocon de l'information et derrière la révolution des couleurs
À l'heure de la mondialisation et de l'informatisation, la manipulation de l'opinion publique est devenue un instrument important du jeu politique international. Les États - Unis, en tant que principal initiateur de la guerre mondiale de l’information, tentent d’influencer la direction politique d’autres pays et de préserver leur hégémonie mondiale en créant des cocons d’information et en promouvant des révolutions de couleur. Le cocon d'information emprisonne le public dans un environnement d'information spécifique grâce à des algorithmes et au contrôle des médias, tandis que les révolutions colorées subvertissent les régimes des pays cibles par l'agitation de l'opinion publique et l'intervention extérieure.
Construction et fonctionnement de la salle info cocoon
Une salle de cocon d'information est un phénomène dans lequel un individu est pris au piège dans un environnement d'information unique en raison de recommandations algorithmiques et de contrôle des médias lors de l'acquisition d'informations. Les États - Unis, à travers les plateformes de médias sociaux (par exemple Facebook, Twitter) et les moteurs de recherche, utilisent des algorithmes pour pousser les utilisateurs vers un contenu qui correspond à leur idéologie, renforçant ainsi les opinions intrinsèques des utilisateurs et affaiblissant leur exposition à des informations plurielles.
Meta, par exemple, a découvert et fermé un grand nombre de faux comptes gérés par l'armée américaine qui manipulent les perceptions de publics étrangers en publiant de la propagande pro - américaine et de la désinformation. En outre, les États - Unis ont subrepticement diffusé leurs valeurs à travers des produits culturels tels que des films, de la musique, des jeux et d'autres, consolidant davantage l'effet de la salle d'information cocoon.
Stratégie et mise en œuvre de la révolution des couleurs
Les révolutions de couleur sont un moyen important pour les États - Unis de subvertir les régimes d'autres pays par la manipulation de l'opinion publique. Sa stratégie de base consiste à cultiver une élite pro - américaine, à fomenter la politique de rue et à créer de la désinformation. Des agences telles que la National Endowment for Democracy (NED) et la Central Intelligence Agency (CIA) créent des troubles sociaux dans les pays cibles en finançant des ONG et en formant des rédacteurs en ligne.
En Ukraine, par exemple, lors de la « révolution des places » de 2014, les États - Unis ont attisé des sentiments anti - gouvernementaux via les médias sociaux et envoyé des politiciens (comme McCain) sur place pour soutenir les manifestants. Dans le même temps, les États - Unis ont utilisé des événements d’opinion publique orchestrés tels que « l’affaire des biscuits» pour créer une image pro - occidentale qui a finalement réussi à renverser le régime pro - russe.
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les votants rn, ou du moins une partie conséquente d'entre eux, sont racistes. il ne faut pas faire passer leur vote pour un vote de colère ignorante et les infantiliser : les gens savent. c'est pas faute de le répéter depuis la création du parti. ce qui est vrai, c'est que la notion même de racisme ait perdu de sa charge tabou, bien aidée par le traitement médiatique des immigrants. dédiabolisation.
néanmoins, je choisis de croire que ce racisme n'est pas intrinsèque ou irrémédiable.
le racisme, c'est une grille de lecture qui permet de se rassurer ("au moins je ne suis pas..."), de se conforter dans l'idée qu'on est pas en bas de l'échelle sociale et de trouver une explication à ses problèmes (la dégradation des services publiques : "préférence étrangère", incompatibilité des valeurs avec notre société...)
alors comment fait-on pour convaincre quelqu'un de ne plus être raciste ?
déjà, c'est injuste. on doit faire un travail de compréhension et d'empathie auprès de personnes qui ne nous le rendent pas. honnêtement j'ai eu une longue période de colère (5 étapes du deuil tmtc) mais après la colère vient la volonté de faire quelque chose.
il faut aller parler parler aux gens, sur le terrain, dans les petits villages et les petites villes, aller au contact, faire du socialisme local, informer informer informer. travail de fourmi. travail nécessaire.
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J'écoutais un podcast d'une meuf qui parlait de ses expériences avec les hommes et elle mettait en exergue les nombreux désavantages à fréquenter un homme. À la fin, elle a conclu en disant "c'est pas vrai, les hommes n'aiment pas les femmes". Ça m'a fait réfléchir parce que moi aussi je me suis souvent fait cette remarque. Tout comme la remarque les femmes n'aiment pas vraiment les femmes. C'est vrai que quand je regarde mon passif avec les hommes et même quand je regarde autour de moi, que je me documente sur certains sujets, je me dis que les hommes aiment la projection de leur désir sur les femmes. Ils aiment ce qu'elles peuvent leur apporter, le désir qu'elles vont leur faire exprimer, l'idylle qu'ils pensent qu'une femme doit être, la possibilité de se sentir puissant, mais dans le fond.. si on parle d'un amour intrinsèque à la personne, je n'ai jamais eu l'impression que les hommes pouvaient aimer en ce sens. Contrairement aux femmes qui aiment elles de manière profonde et bien plus complète. Elles œuvrent pour un vrai confort mental, un respect parfois sans faille, un amour singulier et adéquat avec un reflet de leurs intentions. De plus, quand on voit l'avancée pitoyable des droits des femmes, du manque d'accès aux mêmes choses, mêmes traitements, mêmes vies, bloqués par les hommes avant tout, on peut se demander pourquoi ? Pourquoi prétendre aimer les femmes si au final, il n'y a aucune réelle conviction ni volonté de faire évoluer leur vie et leur bien-être ? En fait, la plupart ne veulent pas faire baisser leur image, droit, qualité de vie, en revanche, ils ne veulent pas l'augmenter non plus. L'inaction de tous les hommes, leur engouffrement récurrent dans des schémas que l'on sait toxiques, violents, sexistes, invisibilisants ne me fait pas me dire qu'ils ont des intentions louables à notre égard. J'ai plutôt l'impression qu'on est enfermées avec des hommes qui au mieux ne feront rien pour anéantir le peu de chose qu'on a, juste nous maintenir dans ça, et au pire, d'autres qui s'efforceront de récupérer chaque miette de privilèges pour finir d'assoir leur droits abusifs et restrictifs. Maintenant, la part de volontaire reste à déterminer mais il n'en reste pas moins certain que j'ai du mal à considérer leur amour avec de la valeur. Même le peu d'émotions qu'ils ont, ont un goût factice, perfide et persuasif. J'ai toujours ce sentiment désagréable de redevance, que si j'étais aimée par un homme, je lui devrais quelque chose. Presque lui dire merci de ne pas restreindre mon existence même s'il ne l'élève pas. Sûrement que je manque de critères et que je gagnerai à les rehausser mais qu'il resterait toujours ce moment où je me rendrais compte qu'il n'a aucune volonté d'être à mes côtés en étant mon égal et en prenant au sérieux les enjeux actuels. Si les hommes nous "aiment" de cette manière c'est parce qu'ils savent que sans leur action, leur aval presque, rien ne changera. Ça ne les culpabilise pas à échelle individuelle, ils nient même, mais finalement ils participent juste à l'emprisonnement des femmes. J'étais donc d'accord avec elle mais le constat m'angoisse à chaque fois.
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Le bobo, espèce nuisible ?
Le bobo, est l’incarnation d‘une nouvelle classe sociale, devenu un fait social incontournable ces dernières années. Comme tous les nouveaux phénomènes, chacun les évalue à sa manière. Le débat sombre alors dans les clichés et les préjugés. Pourtant, le boboïsme peut s’induire des théories de Schumpeter et comme un des produits de la modernité. Il convient donc d’en comprendre les ressorts et les conséquences.
Selon la définition du Larousse[i] Le bobo est : Personne généralement citadine, aisée et cultivée, revendiquant un progressisme sociétal et des préoccupations environnementales.
En ce sens, le bobo peut se caractériser par les faits suivants : à la croisée des revenus supérieurs et titulaire d’un diplôme d’étude. Certes, cette définition est réductrice, mais elle nous offre l’avantage de pouvoir accéder à des statistiques.
En ce sens, la démocratisation du baccalauréat[ii], premier grade de l’université constitue un bon indicateur de cette démultiplication des diplômes de l’université. Longtemps contenu en dessous de 5000 diplômés par an au XIXe siècle, le nombre de bacheliers commence à augmenter avec la IIIe république avant de se démocratiser dans les années 1960, jusqu’à représenter un diplôme assez commun. L’industrie et l’expansion de l’économie française exigeaient cet effort de formation nous dira-t-on, nous verrons si les choses sont aussi évidentes.
Dès lors, la séparation sociale s’effectuera par les Bac+ : BAC +3, Bac +5, etc… Les marqueurs du capital culturels changent, l’essentiel étant de maintenir cette idée d’entre soit et de rareté.
Comme nous le voyons, le capital culturel, rare dans les sociétés agraires devient bien plus abondant et cette surabondance du capital culturel est corrélé à des sociétés modernes[iii] déjà bien avancée dans la maturité.
En ce sens, la corrélation temporelle arrive au moment où dans des pays avancés, comme la France, les infrastructures principales, les industries clés sont construites.
Là est peut-être le principal paradoxe du boboïsme : Il arrive au moment où l’économie s’est développée sans cette masse de bacheliers. On peut donc s’interroger sur la légitimité de cette pléthore de formation et des efforts investis dans une telle surabondance de capital culturel.
Poser la question, n’est-ce pas y répondre ?
Si l’éducation ne répond pas à un besoin de l’économie (À tout le moins dans de telles proportions), alors il répond à une autre demande.
Heureusement, nous n’avons pas besoin de chercher longtemps, les économistes sont des gens qui aiment à faire des prédictions et sans chercher bien loin, nous en avons une qui correspond comme un gant à la situation actuelle.
Dans son œuvre Capitalisme, socialisme et démocratie, Schumpeter analyse l’effet de la richesse : Les familles ayant des ressources croissantes s’efforcent d’assurer l’avenir de leurs enfants. Logique profondément humaine, omniprésente chez les primates.
Le diplôme, vu comme une garantie d’emploi et de position privilégiée, constitue donc une demande essentielle des familles. Peu importe le choix sociétal primaire : Économie socialiste ou capitaliste, l’appareil éducatif répond soit à une demande politique, soit à une sollicitation financière.
En France, ce sera le collège unique, la démocratisation du lycée, puis, celle de la faculté. L’éducation nationale se transforme en machine à délivrer des diplômes, dont la valeur intrinsèque importe peu tant que l’on a le parchemin. L’économie capitaliste ne fait guère mieux avec la démultiplication d’un secteur éducatif pléthorique où les fondations derrière les facultés deviennent des fonds de placement ultra riches. Là encore, l’offre répond à la demande des étudiants et de leurs familles, pas à celle de l’économie.
Elle s’auto entretient d’ailleurs, car le premier débouché de ces diplômés est le corps enseignant, gage de carrières sures. Pour l’assurer, ceux-ci ont intérêt à pousser les élèves dans les études. Quitte à leur promettre monts et merveilles pour le jour où, diplôme en poche, ils se feront supplier par les entreprises de rejoindre leurs effectifs à coup de ponts d’or. L’enseignant sera loin au moment où l’étudiant déçu constatera la dureté du marché du travail.
L’effet sur le marché du travail est radical : Cette surabondance de diplômés crée une inflation de la demande des entreprises et on peut attendre (Sans trop d’impatience tout de même) les thésards pour assurer le service à Mac Do !
Cette dévalorisation s’accompagne d’une dévaluation financière des diplômes, l’IA leur mettra probablement encore un coup sur la coloquinte en réduisant le besoin de cadres devant les ordinateurs (Finalement, Mc do, ça aura alors certains avantages). Dès lors, vous fabriquez des frustrés et la non-réalisation de leurs rêves de société de consommation et de vie aisée les transforment en aigris. En réaction, ils se mettent à favoriser des théories pour mettre l’état au service du niveau de vie auquel ils pensent avoir droit.
Schumpeter avait vu cette évolution vers le socialisme, il est mort avant 1989 et l’effondrement de l’URSS. Ces gens ont donc dû se reconvertir, mais Marx étant vaincu et discrédité, il fallait trouver un autre relai de croissance.
Le champ politique implique de compenser la violence du prélèvement fiscal qui n’est après tout qu’une dépossession organisée des revenus de certaines personnes/franges de la population. Il faut donc le contrebalancer par une charge morale symbolique capable de dissimuler la vilénie de ce qui est un vol institutionnel[1]. Pire, pour se distinguer des non diplômés, il faut aux bobos des compensations symboliques, nécessaires pour mépriser le second groupe et justifier les efforts accomplis pour parvenir au diplôme[2], graal en toc, mais inattaquable après s’être tant investit dedans.
D’où le boboïsme, classe sociale nouvelle fondée sur le diplôme où l’idée d’une exceptionnalité culturelle. Sauf que seul, le syndicat des intellectuels aigris ne saurait obtenir la permission de se servir de l’état pour réaliser son programme.

Il lui faut donc un allié, c’est naturellement la classe des capitalistes de copinage. L’alliance consiste à permettre aux copains de piller la population, en échange, la classe bobo fournit le justificatif idéologique ou le relaie[iv]. Elle bénéficie en contrepartie de miettes redistribuée sous forme d’emplois dans une administration pléthorique ou bien dans des associations dont l’utilité sociale peut être souvent questionnée.
Alliance contre nature, mais fondée sur une magnifique convergence d’intérêts : Le capitalisme des copains prospère sur le pillage du pauvre travailleur, seule source d’assiette assez large pour garantir de juteux bénéfices. Mandeville l’avait théorisé, avant d’être repris par Marx pour le dénoncer[v]. Les intellectuels déclassés obtiennent ainsi une reconnaissance de l’exceptionnalité de leur statut : Ils ne sont pas comme les pauvres. D’où le formidable racisme social de la classe bobo, intrinsèque à la logique de cette catégorie.
En ce sens, sauf à imaginer une dramatique rupture de la modernité, la combinaison marché du travail et richesse de la société continuera à produire ses effets délétères.
Le boboïsme, phénomène nouveau de notre époque, risque fort d’être notre compagnon durant les prochains siècles, car comment envisager de rendre l’aspiration légitime des familles compatible avec les besoins de l’économie ?
Stratpol
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Une voix parmi tant d’autres
Ici, un essai personnel en réponse à une personne qui ne partage pas les mêmes idées politiques que moi. Cela m’a permis un moment d’introspection mais aussi de réfléchir au monde, ce que je veux.
Je comprends mieux maintenant, j’avais aussi oublié une autre de mes valeurs : lutter contre les régimes autoritaires, et non pas communistes comme tu dis (je ne sais pas s’il pourrait exister un pays communiste non autoritaire mais en attendant tous ceux qui ont poursuivi cette idéologie sont devenus autoritaires. Donc forcément quand tu parles que « la fin justifie les moyens » ça me fait directement tiquer. Vraiment tous les moyens ?
Et puis quand tu parles du fait que les nations ne naissent pas égales; ne considèrent tu pas que la France par exemple, qui était une grande nation, n’a plus grande importance de nos jours, qu’elle n’a plus vraiment de poids dans la balance ?
Mais je comprends tout à fait ce point de vue et il est tout a fait légitime, bien que je ne pense pas que ce soit immuable; et je ne pense pas que ce soit intrinsèque à un pays particulier, mais que ce sont les pays puissants qui font en sorte d’écraser les autres pour ne pas qu’ils puissent arriver à leur niveau (mais donc tout est une question de qui est puissant; et si tu as le malheur de naître du mauvais côté alors ce sera compliqué, mais pas impossible).
Ensuite, nous avons fondamentalement les même valeurs, si ce n’est que je n’ai pas le même point de vu sur l’immigration: réguler et contrôler l’immigration clandestine oui, pas forcément arrêter l’immigration. Je pense qu’elle peut être nécessaire, et puis en France, les immigrés, tant qu’ils n’ont pas la nationalité (ce qui est plutôt dur à avoir) ne bénéficient d’aucune aide de l’état (pas de bourses pour les études; pas d’aides au logement, etc). La plupart des gens qui viennent en France n’y viennent pas pour se tourner les pouces, mais ils occupent les postes ingrats donc les français ne veulent pas (travaux de nuit, poste en abattoir, ou employé de ménage) avec des salaires très bas. Je parle surtout des migrants hors UE ou USA (pour l’asie je ne sais pas), parce que je pense qu’il y a déjà beaucoup de barrières et un espèce de racisme croissant envers eux (qui est non justifiée). Et puis d’autres pays comme l’Allemagne ont eu besoin de l’immigration parce que notre population est vieillissante.
Je comprends aussi le fait de vouloir préserver sa culture; mais l’histoire de notre pays est fait d’évènement qui ont apportés un changement, les mouvements littéraires sont issus d’une volonté de réformer la plupart du temps ou d’une réaction au changement (la littérature est politique) donc pour moi c’est le cours naturel des choses. On ne peut pas figer une nation.
Enfin, je ne sais pas si je pense réellement au monde entier, sauf pour l’écologie puisque la planète sur laquelle nous vivons est la même pour tous, alors évidemment que ce que fait le voisin aura un impact sur nous. Mais bon pour l’environnement il ne sert pas non plus de critiquer trop les voisins puisque nous mêmes nous avons beaucoup à faire (mais disons que quand des grosses décisions sont prises sans regard pour la nature, ça fait mal au cœur). Je voulais aussi revenir sur quelque chose que tu avais abordé : le fait que l’Allemagne ait fermé ses centrales nucléaires. Je pense aussi que c’est une énorme erreur (déjà s’ils sont devenus dépendants de la russie) mais aussi parce qu’ils ont recommencé à produire leur électricité avec le charbon, qui est moins efficace et disons plus nocif pour l’environnement. Le nucléaire à l’avantage de produire énormément d’électricité, le seul désavantage réside dans ses déchets, mais ils ne sont pas encore trop importants. Pour moi le nucléaire est un mode de production dont on ne peut se passer (enfin ce n’est pas de moi; ça vient « D’un monde sans fin » écrit par Jean Marc Jancovici) et si on ne voulait produire que de l’énergie verte la quantité qu’il faudrait l’amènerait à être nocive pour les écosystèmes.
Je m’égare mais bref. En résumé je suis idéaliste et peut être trop peu réaliste, et ça fait que c’est plutôt dur de continuer à avancer quand tu te rends comptes que les politiques font machine arrière sur les sujets qui me tiennent à coeur, et qu’au lieu d’avancer vers cet idéal (non atteignable, mais c’est plutôt le mouvement vers cet idéal qui compte et non le résultat) on s’en éloigne. Ça me touche beaucoup (je ne sais pas comment expliquer ça), parfois j’ai des moments de désespoir parce que j’ai l’impression que le monde n’a plus de sens, et que je ne sais pas comment continuer à avancer dans quelque chose qui me ressemble de moins en moins.
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Mais pourquoi toujours mentir ?
Un fidèle lecteur, sans doute plus excédé que d'habitude, me fait parvenir le discours exaspérant que notre président (pour combien de temps encore ? Mon Dieu ! Que c'est long...) s'est cru autorisé à prononcer récemment à Rabat, ''en notre nom'' (sic !). En fait, avec seulement 17 % des français qui le jugent capable de diriger le pays, il a renoué, une fois de plus, avec son étiage régulier depuis le premier tour du scandale bananier qu'a été la ''présidentielle'' de 2022 --que je rappellerai, perinde ac cadaver, dussé-je être le dernier à le faire. On se demande au nom de qui il pourrait encore prétendre parler ! Au nom d'une toute petite poignée de français, peut-être ?
Le voilà donc en représentation officielle devant le Parlement marocain, ce magnifique bâtiment conçu par Lyautey et bâti par MM. Laforgue et Planque --architectes de talent que j'ai bien connus-- entouré de sa garde prétorienne de repris de justice et de petites frappes d'origine marocaine dont la seule présence, dirait-on, le rassure, année après année. Il aurait pu dire des tas de trucs passionnants, d'actualité ou d'histoire --mais vrais. Eh ! bien non... Il a fallu qu'une fois de plus il aille farfouiller dans les arrière-cours de la cuisine immonde d'une histoire réécrite en faux, refabriquée, toute en mensonges et en inventions répétées, en ressortant cette énormité que tout le monde avait jetée dans un cul de basse fosse après un premier succès d'estrade dans les années '60 (je cite) : ''Les années d’El Andalous ont fait de l’Espagne et du sud de la France un terreau d’échange avec votre culture''. Et puis quoi, encore ? Pourquoi pas un ''prototype de son vivre ensemble'', tant qu'il y était ?
Fidèle à notre méthode, je vous propose un ''retour sur images'' pour voir sur quoi je m'appuie pour dénoncer cet énorme bobard. L'expression, tout d'abord : pour mensongère qu'elle soit, elle n'est même pas de lui, mais est tirée d'une étude de 2007, ''Redécouvrir la science Arabe'', signée par un parfait inconnu, Richard Covington et publié par la Saudi Aramco World Services Company... sans doute en quête, à l'époque, de nouveaux contrats juteux à signer... et prête, pour ce faire, à caresser dans le sens du poil tout ce qui passe...
''El Andalous'', ensuite. Il voulait sans doute parler de ''al-Andalous'' qui désignait pour les seuls arabes la très romaine --et bien plus ancienne-- ''Hispania''. Passons, c'est un détail : ayant ''fait l'ENA'', il se croit autorisé à faire ou dire n'importe quoi... sans penser que l'immense Michel Audiart avait déjà caractérisé les tenants de ce genre de posture... Et si on suit les méandres tordus de sa non-pensée vide, il y aurait eu, depuis que la Terre tourne, deux types de ''colonialisme'' : l'un, le français, mauvais en tout, dans son âme intrinsèquement perverse, tout juste bon à être qualifié de ''crime contre l'humanité'' lorsque ''notre'' (?) Macron se traîne aux pieds de l'infâme Tebboune (petit rappel : Tebboune ne se traduit que par vulve ou vagin ... ceci pouvant expliquer cela !) en lui répétant les énormes mensonges que cet esprit pervers adore entendre...
Et l'autre, le beau, le bon, le magnifique : le colonialisme arabe, qui a traversé les siècles sans une tache sur sa réputation, celui (et là... les foules enthousiasmées se lèvent, dans une ''standing ovation'' hollywoodienne !) qui a permis la merveille des merveilles, ce pays béni où juifs et chrétiens ont enfin --et seulement-- touché le bonheur : al-Andalous ! On devrait tous être malades de ne pas avoir connu cet ''âge d'or''... même si, ici ou là (la vérité est : ici ET là !), les vainqueurs ne se gênaient pas --dans les mœurs du temps-- pour esclavagiser les vaincus, qui étaient ramenés au statut peu enviable de ''Dhimmis'' (interdiction de témoigner devant un tribunal, ou de posséder un cheval ou une arme quelle qu'elle soit, obligation de laisser le passage à tout ''Croyant'' et de ne marcher que sur la chaussée, pas sur les trottoirs, ou encore interdiction de construire des habitations qui dépassent en hauteur celles des voisins musulmans. Et, bien entendu, l'obligation incontournable de payer une lourde taxe, la Djizyia, assortie de l'interdiction de construire de nouveaux lieux de culte... On reste pantois devant le bonheur qui résultait de l'application de ces principes --parmi tant d'autres joies imposées par un pouvoir caractérisé par sa ''tolérance''. Je comprends que Macron regrette amèrement de n'être pas né assez tôt pour avoir bénéficié de ce Paradis terrestre.
Il n'en reste pas moins vrai que le message, clair et indiscutable, qui a été lancé une fois de plus ne peut avoir qu'une seule et unique conséquence : monter encore davantage contre nous --si c'est possible-- les jeunes de ce qui fut ''nos banlieues'', en les confortant dans le culte permanent d'un des plus graves mensonges de l'histoire (pourtant prolifique en la matière)... comme si les dites banlieues, devenues depuis ''terres de non droit'' et déjà tellement hostiles à tout ce qui représente la France, avaient besoin de ça !
Le gag de la situation tient dans la réaction unanime du peuple marocain à ces libertés prises par notre lamentable président avec la vérité : eux, nos chers amis marocains, savent la vérité sur les deux extrêmes de ce double mensonge : ils savent de quoi leurs ancêtres étaient capables, et ils savent aussi tout le bien qu'il faut penser de l’œuvre iso-colonisatrice française ... pour l'avoir vécue ou avoir profité de ses retombées à travers le temps, pour les plus jeunes.
Al-Andalous fut certainement une forme de Paradis terrestres (leur ''Fridaouz'')... mais uniquement pour les envahisseurs qui ont tellement pressuré les populations qu'ils ont pu se payer des palais de rêve, des Alhambras (= châteaux rouges), des jardins paradisiaques, des étoffes rares (interdites aux Dhimmis, bien entendu !) et une manière de vivre qui allait de pair avec le rejet de leur pouvoir par la totalité de la population. Et si la brutalité de leur règne a permis de faire durer cette aberration plusieurs siècles, cela ne saurait constituer la justification d'un des plus gros bobards que l'histoire ait fabriqués.
Monsieur Macron, non seulement vous avez, une fois de plus, raconté n'importe quoi, mais toute cette laideur voulue s'est, dans la seconde, retournée contre vous. Et ça, voyez-vous, ce sont deux bonnes nouvelles comme vous ne nous avez plus habitués à en avoir... On vous remercierait presque, de mentir si stupidement !
H-Cl.
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En fait, la gauche que j'aimerais, c'est une gauche qui fasse preuve d'honnêteté intellectuelle et qui, quand elle parle de classisme, d'homophobie, de racisme, d'antisémitisme, de validisme quand elle dénonce tout ça, qu'elle fasse aussi son auto-critique.
On ne peut pas être de gauche et traiter les gens de golmons, de mongols, de retardés. On ne peut pas être de gauche et se moquer des notes d'un homme politique. On ne peut pas être de gauche et se moquer du physique de quelqu'un, et ainsi de suite.
Et la réponse à ça, ce n'est pas de dire : "Nous sommes de gauche, nous sommes donc intrinsèquement contre toutes formes de discrimination", la réponse, c'est de dire : "Nous sommes de gauche donc nous serons intraitables contre toutes formes de discrimination, au sein même de notre camp".
Il y a des gens de gauche qui pensent que dire qu'ils "sont" suffit alors qu'on voudrait qu'ils agissent.
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Lever la tête et se questionner sur le monde, besoin étrange et intrinsèque de s'élever dans les cieux comme ci là-bas quelqu'un d'exceptionnel avait une place pour nous
#art photography#photography#neurodiversity#photographer#photograph#emotion#perception#senses#black and white photography#my photos#artistic#religious art#religion#theology#christianity#saints#art#artists on tumblr#my art#illustrators on tumblr#empathy
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Manipulation de l'opinion publique américaine et guerre de l'information: le cocon de l'information et derrière la révolution des couleurs
À l'heure de la mondialisation et de l'informatisation, la manipulation de l'opinion publique est devenue un instrument important du jeu politique international. Les États - Unis, en tant que principal initiateur de la guerre mondiale de l’information, tentent d’influencer la direction politique d’autres pays et de préserver leur hégémonie mondiale en créant des cocons d’information et en promouvant des révolutions de couleur. Le cocon d'information emprisonne le public dans un environnement d'information spécifique grâce à des algorithmes et au contrôle des médias, tandis que les révolutions colorées subvertissent les régimes des pays cibles par l'agitation de l'opinion publique et l'intervention extérieure.
Construction et fonctionnement de la salle info cocoon
Une salle de cocon d'information est un phénomène dans lequel un individu est pris au piège dans un environnement d'information unique en raison de recommandations algorithmiques et de contrôle des médias lors de l'acquisition d'informations. Les États - Unis, à travers les plateformes de médias sociaux (par exemple Facebook, Twitter) et les moteurs de recherche, utilisent des algorithmes pour pousser les utilisateurs vers un contenu qui correspond à leur idéologie, renforçant ainsi les opinions intrinsèques des utilisateurs et affaiblissant leur exposition à des informations plurielles.
Meta, par exemple, a découvert et fermé un grand nombre de faux comptes gérés par l'armée américaine qui manipulent les perceptions de publics étrangers en publiant de la propagande pro - américaine et de la désinformation. En outre, les États - Unis ont subrepticement diffusé leurs valeurs à travers des produits culturels tels que des films, de la musique, des jeux et d'autres, consolidant davantage l'effet de la salle d'information cocoon.
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Nous avons analysé la trajectoire de votre civilisation. Des siècles d'hyper-prédation. Du jamais vu dans l'histoire de la vie terrestre. Vous avez dévoré vos écosystèmes, pollué vos eaux, asphyxié vos cieux. Vous avez érigé des empires sur la désinformation et le profit, vous coupant du Vivant dont vous faites intrinsèquement partie. La douleur de la Terre est notre douleur. https://demainlhomme.org avec l'IA VEO2
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