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Je n’ai pas perdu ma flamme.
Elle est toujours là, vivante. Mais elle ne brûle plus comme avant — dans l’urgence, dans le chaos, dans le besoin d’être vue. Elle brille autrement maintenant : en silence, avec douceur, avec foi.
Elle est devenue une lumière intérieure, stable, sacrée.
Une lumière qui éclaire mon chemin sans l’enflammer.
J’ai appris à préserver ma paix comme on protège un secret précieux. À choisir ce qui me nourrit, ce qui m’élève, ce qui m’apaise. Je ne cours plus après des éclats passagers. Je cherche le vrai. L’essentiel.
Et aujourd’hui, ce vrai, je veux le vivre avec lui.
Je ne veux pas d’un amour qui me consume.
Je veux un amour qui m’enlace sans m’étouffer. Un amour sincère, solide, construit sur le respect, la tendresse, l’écoute.
Je veux qu’il sache que je l’ai choisi non pas pour combler un vide, mais pour partager une lumière.
La mienne.
Je veux que nous soyons deux âmes paisibles, deux cœurs entiers, qui avancent ensemble. Qu’on ressente les silences, qu’on se comprenne d’un regard. Qu’il soit mon refuge, mon roc, et moi le sien.
Je veux bâtir un foyer où l’on grandit, même quand c’est dur. Où la tempête ne détruit pas, mais renforce. Où l’amour ne fait pas mal, mais guérit.
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“I am physically, mentally and emotionally ready to enter a new phase in my life. I’m ready to grow and get better.”
— Unknown
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“Pour vaincre la détresse quand elle vous assiège il faut de la volonté, quand on pense que chaque seconde écoulée abrège la vie, on doit profiter intensément de cette seconde, c'est la somme de toutes les secondes perdues ou cueillies qui fait les vies râtées ou réussies”
— Mariama Bâ, Une si longue lettre
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« À demain, mon amie. […] Je t’avertis déjà, je ne renonce pas à refaire ma vie. Malgré tout - déceptions et humiliations -, l’espérance m’habite. Le mot bonheur recouvre bien quelque chose, n’est ce pas? J’irai à sa recherche. Tant pis pour moi si j’ai encore à t’écrire une si longue lettre »
Une si longue lettre, Mariama Bâ (1979)
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Nous sommes préoccupés par les choses que nous n’apprécions pas. Nous pensons à ce que nous ne souhaitons pas, et nous ne souhaitons pas ce à quoi nous pensons .
Transfuring- Les pommes tombes dans le ciel
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À mesure que l’âme se guérit, l’ambition se métamorphose.
Elle n’est plus flamme vorace, mais lueur intérieure, tranquille.
Ce n’est plus le tumulte du « devenir » qui te pousse,
mais la paix d’« être », simplement.
Ce feu d’avant, celui qui hurlait ton nom dans l’obscurité,
qui cherchait la lumière des regards pour exister
ce feu s’éteint doucement,
non dans la cendre, mais dans la clarté.
Tu n’éprouves plus ce besoin de validation,
ni cette peur sourde d’être effacé du monde.
Tu ne construis plus pour prouver,
mais pour célébrer.
Tout se fait offrande :
ton silence, ton pas, ton œuvre,
non plus comme un cri, mais comme une prière.
La guérison ne t’enlève rien,
elle te rend à l’essentiel.
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une décision qui brise le cœur n'est pas forcément une mauvaise décision.
Parfois, c'est l'acte le plus puissant que l'on puisse s'accorder, pour enfin cesser d'endurer ce qui nous est insupportable.
Loi de l’attraction
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Et malgré toutes les émotions qui en découlent, tôt ou tard l’on fini toujours par se choisir.
~Demer~
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“Croyez ce qui vous aide à mieux dormir la nuit”
G.A
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“Si ça te rend heureux, ça n’a pas besoin d’avoir du sens pour les autres…”
~Demer Dagno~
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Entre des vas viens
Des remises en question
Des humains indécis
Tu comptes aujourd’hui demain t’es qu’une option
Je déambule
La vie suit son cours
Le temps file
Et tu te vois stagner
Je sais pas où je vais
Je cherche encore ma place dans ce monde
Dans la vie de ceux que j’aime
De celui qui est sensé m’aimer pour toujours
En réalité…
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Quand c’est la vie qui se brise
Quand c’est nous qui nous effondrons
La science est impuissante
Il n’y a pas de règle pas de loi
On est obligé de se fier à ce qu’on ressent
C’est notre seul solution
Grey’s Anatomy
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Nuit blanche
Pensés noirs
Solitude pesante
Un nouveau chapitre de ma destinée voyait le jour
Soucieuse d’un avenir incertain, j’aurais voulu que ma vie soit le reflet de mes rêves et de mes aspirations
Ayant oublier le monde dans lequel l’humanité s’englouti
Le silence face aux injustices est pesante et les événements qui dicte notre existence s’accumulent comme l’écume de la mer
Les difficultés quotidiennes ne cessent de nous consumer à petit feu , des parents bornés par leurs désires de nous façonner à leur guise, des envies et des rêves qui s’évaporent au fil de l’âge
J’aurais voulu que ma vie soit comme je l’avais imaginé
Nuit blanche
Insomnie éternel
Le courage perd sa place lorsque l’espoir ne tient plus qu’à un fil…
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𝑼𝒏 𝒋𝒐𝒖𝒓, 𝒋𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒅𝒓𝒂𝒊𝒔 qu’on se rappelle de nos 𝒔𝒐𝒖𝒓𝒊𝒓𝒆𝒔, nos fous rires 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒏 𝒑𝒂𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒐𝒖𝒍𝒆𝒖𝒓𝒔, 𝒍𝒆𝒔 𝒔𝒐𝒖𝒇𝒇𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆𝒔 que la vie nous aura infligés ou les multiples désaccords qu’on aura vécu. Ma 𝒎𝒆́𝒎𝒐𝒊𝒓𝒆 𝒔𝒆𝒓𝒂 remplie des merveilleux moments qu’on aura traversées. Et Si il arrive que tu te demandes pourquoi pourquoi on est si proche dit toi « Parce que c’était toi ; parce que c’était moi. »
Extrait de Mariama Ba « une si longue lettre »
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