Don't wanna be here? Send us removal request.
Quote
Je n'ai rien à cacher, sauf peut-être mes seins et mes fesses pour ne pas offenser Monsieur et Madame tout le monde. Vive les contenances
Bordel de mots
2 notes
·
View notes
Quote
C'est l'âme libérée des vagabonds qui alimente les rêves et les désirs des individus riches en petitesse d'action.
Moi,
Bordel de mots
0 notes
Text
Millénium
À ces futilités qui construisent des façades, Entravent les idées, Maudissent les relations Et détournent le vrai vers la superficialité.
À ces angoisses qui souillent les opportunités, Effacent les rêves, Brûlent les désirs Et camouflent l’âme des désœuvrés en un chaos d’amertume.
0 notes
Text
Non merci
Je termine cette année mes études collégiales au Cégep de l'Outaouais. En septembre, je continuerai mon parcours scolaire à l’université d’Ottawa en Sciences de la santé avec une bourse d’excellence académique. J’ai toujours eu une soif vive d’apprendre et de pousser mes compétences diverses à leur maximum. Croyez-moi, je n’ai pas l’habitude de me vanter de mes réussites académiques, au contraire, j’aime rester discrète sur le sujet. La raison pour laquelle je crois important de partager cette petite tranche de vie, est pour prouver à ceux qui le doute que même des étudiants ayant un dossier scolaire exemplaire et une assiduité académique peuvent exprimer leur mécontentement par rapport à l’arrivée des cours en ligne obligatoires.
Nous subissons tous les effets d’une période remplie d’incertitudes et d’anxiétés. Il suffit de regarder la situation de nos confrères européens ou de nos voisins américains pour comprendre que les Canadiens n’en sont qu’à la pointe de l'iceberg en ce qui concerne la propagation de la pandémie covid-19. J’imagine mal continuer à me concentrer sur mes études en sachant que la situation risque d’empirer, voir, d’exploser. Chacun de nous connait une personne qui ne pourrait pas survivre en étant au prise avec le virus. Pour ma part, je parle de mon père, de mon beau-père, de ma belle-mère, de ma soeur et de ma grand-mère. Je crois plus important de veiller au bien-être et à la santé de ceux-ci, plutôt que de me concentrer sur l’excellence de mon dossier académique. Or, pour plusieurs étudiants, s’engager dans un tel dilemme équivaut à renier certains rêves d’un avenir prochain.
En temps normal, l’école est un lieu d’enrichissement, de rencontres et d’éveil, même si elle présente une source d’anxiété majeure pour plusieurs. Le mécontentement des étudiants face aux cours en ligne imposés n’est pas un appel capricieux ou paresseux, mais plutôt un cri du coeur présenté aux dirigeants du domaine de l’éducation pour ne pas laisser la relève languir de stress dans un système d'apprentissage virtuel mis sur pied trop rapidement et non-désiré. Sans oublier l’absence de ressources essentielles qu'occasionne l’éducation à distance, tel que le logiciel Antidote et les ressources papiers et numériques disponibles dans les bibliothèques des Cégeps et des Universités. De plus, ce n’est pas tous les étudiants qui ont à leur disposition un endroit calme et propice à la concentration.
Je pense aussi aux enseignants qui ne sont pas plus informés que leurs élèves sur les décisions administratives des institutions scolaires. On le sait tous, le travail du personnel enseignant ne s'arrête pas une fois leur cours terminé. La correction, la préparation des cours et la disponibilité qu’ils doivent octroyer à leurs élèves occupent une grande partie de leur horaire. En ce moment, plusieurs doivent s’occuper de leurs enfants restés à la maison due aux fermetures des écoles et des garderies. Les obliger à transmettre leur matière d’une manière imposée constitue un énorme manque de respect face à ces piliers de la société. J’implore le ministre de l’éducation, M.Roberge, et toutes les directions des écoles post-secondaires à ne pas, une fois encore, oublier le bien-être de ces formateurs.
Finalement, j’aimerais terminer cette lettre en vous illustrant mes plans, si la session venait à terminer pour de bon. À la demande du Premier ministre, François Legault, je prévois offrir mon action bénévole à la banque alimentaire de ma région. Je prévois aider mes proches vulnérables à accomplir des tâches qui nécessitent de sortir de la maison. Je prévois continuer à m’éduquer par des lectures ou par le visionnement de documentaires. Je prévois, me préparer à la fin de la pandémie et à toutes les conséquences qu’elle risque d’apporter. Je prévois offrir mes services de gardiennage au personnel du service hospitalier.
Sur ce, prenez soin de vous, profitez du moment présent et, je vous en prie, écoutez les peines et les angoisses de la communauté étudiante. Ce sont vos avocats, enseignants, plombiers, personnel médical, etc, de demain.
Merci,
-Bordel de mots-
0 notes
Text
Les Combustibles
Catégorie: Littérature française
Auteure: Amélie Nothomb
Éditions: Albin Michel
Combustibles comme
Feu
Rage
Ivresse
L’une de mes lectures préférées d’Amélie Nothomb. Cette pièce de théâtre absurde plonge le lecteur au cœur des maux de l’humain. Sans temps ni lieu, seule l’humanité ou l’inhumanité demeure.
0 notes
Quote
Having the time to wait
me
0 notes
Text
Débâcles
Catégorie: Littérature québécoise
Auteure: Marie-Pier Poulin
Édition: Sémaphore

Débâcle est un roman québécois qui témoigne de la crise culturelle rencontrée par les Inuits du nord du Québec dans les années 70. Le/ lecteur/lectrice fait la connaissance de Piari, un jeune Inuit qui quitte sa patrie à l’âge de sept ans suite à la mort de ses parents. Recueilli par un prêtre montréalais amoureux du peuple nordique, le jeune orphelin tente comme il le peut de forger sa place dans la communauté francophone du sud de la belle province. Sa quête identitaire le pousse à franciser son nom autochtone pour “Pierre” et à renier jusqu’à oublier sa nature autochtone. Alors qu’il travaille avec assiduité afin de compléter ses études en médecine, il rencontre Anna, une belle Québécoise blonde aux yeux bleus qui semble être la seule blanche à s’intéresser au timide garçon.
Au cours de ce récit, Pierre tente tant qu’il le peut de trouver sa place dans la société changeante québécoise. Est-il un blanc aux traits inuits ou un Inuit à la culture blanche?
Personnellement, j’ai bien aimé ce récit qui porte à se questionner sur la place de la communauté autochtone au Québec. La violation de leurs droits ancestraux n’est pas un enjeux sociétal qui date d’hier. Le message de l’auteure Marie-Pier Poulin est très clair: même si la communauté blanche du Québec apporte éducation et soin de santé aux communautés du nord, le seul moyen de laisser les peuples autochtones jouir d’une plénitude complète est de leur laisser leur autonomie.
Certains rebondissements inattendus gardent le lecteur esclave du roman. Les personnages sont attachants et les description métaphoriques des paysages m’ont fait voyager vers ces contrées pas si lointaines.
Moins bons coups
Certaines phrases sont syntaxiquement mal construites et j’ai trouvé quelques erreurs d’accords. De plus, le personnage principal entretient des relations un peu trop idéalistes avec certains de ses compères.
En bref, j’ai bien apprécié ma lecture!!
1 note
·
View note