hopilouve - Tumblr blog

[hopilouve]

«Mes désirs sont désordre

Tes soupirs sont des ordres.»

Hopilouve

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Je voudrais que tu me consumes,

Comme la cigarette qui embrasse tes lèvres.

Pour m'abreuver de ton âme,

Comme de cette liqueur qui enflamme nos joues.

Hopilouve

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“J'ai le cœur nostalgique, l'âme brutalisée de souvenirs.»

Hopilouve

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“Elle guidera mes pas, pas à pas jusqu'au trépas.»

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Vous voulez que je vous dise pourquoi on aime être pris dans les bras quand on ne va pas bien ?

Je pense que c'est parce que on impose ainsi un périmètre à la douleur, on empêche qu'elle se propage. J'ai besoin de tes bras quand il fait noir.

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L'avenir appartient à ceux qui se relèvent, tôt ou tard cela n'as pas d'importance.

Hopilouve

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Je te souffre.

Je te souffre.

Tombeau d’un amour enterré vif .

Cris étouffés dans les abysse

De ce bain trop plein.

Je ne vois plus de demain .

L’espoir remplacé par le désespoir .

Cacher mes larmes devient un art .

Ton souvenir hante mon bonheur

De cette comédie j’en deviens acteur .

Sur ce sépulcre je celle mon éternel désir

De mes yeux pour ton sourire

De ma peau pour ta chaleur

Pour mon cœur un accélérateur

De mes lèvres pour ton cou

De ce parfum si doux

De mon âme pour la tienne

À présent tant de peine

Comment tourner la page

D’un livre qui porte ton nom?

N’est t’es ce qu’un mirage ?

Car à présent je ne vois qu’un monochrome.

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Je vis dans une forteresse de glace

Dans la fourrure du loup je me suis fait un place

Vaine tentative primitive de trouver un peu de chaleur

Mes yeux rivés vers le ciel contemplant la douce lueur

La lune est mon seul sillon entre la vie et le trépas

Elle contrôle mon corps me guidant pas à pas

Mon âme refroidie joue un rôle de passager noir

Mais jamais je ne leur montrerai mon désespoir

Car seul l'homme meurtri connaît ce sentiment

De ne cesser de tomber et de devoir se relever constamment

Car le combat n'est pas fini

Ce n’est que l’épiphanie.

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" - Je commence à trouver mes marques, je sens que ma place est avec toi.

- Je sais que ta place est ici avec moi, depuis le premier jour que j'ai posé les yeux sur toi.

-Viens mon amour vivons pleinement, aimons nous sans tourments.

- Laissons parler les baisers langoureux, qui s'attardent sur nos lèvres, mil et cent fois repris, cent et mil fois encore."

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Il ni a de plus belle danse que celle qui nous guide dans la nuit, deux corps ensevelis par l'émoi, qui nous fait perdre tout contrôle et nous soumet corps et âme au plaisir de l'autre reflet de nous mêmes.

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«Brûler ton corps, consumer tes mots, petit pyromane sentimental. »

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Washington Irving Disait : « Il y a du sacré dans les larmes, ce ne sont pas des signes des faiblesse mais de force, ce sont les messagers de l'incommensurable chagrin et de l'indicible amour.»

Washington Irving

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