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Située à environ 40 minutes de Vancouver (dont 20 minutes de traversée en ferry), Bowen Island en Colombie-Britannique (Canada) est une visite à ne pas manquer ! Parfait pour journée ou un week-end, cette petite île regorge de plages et de chemins de randonnée pour prendre l'air et se ressourcer. Le petit centre-ville rassemble de nombreux restaurants, cafés, lieux d'art et boutiques. En quelque sorte, Bowen Island offre un échantillon de ce que peut offrir Colombie-Britannique.
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Dans le port de Vancouver
Du Canada, les Français connaissent particulièrement la côte Est avec Montréal et la province du Québec où les Francophones sont en majorité. Cet immense pays d’Amérique du Nord regorge de trésors en son centre mais aussi sur sa côte Ouest. Aujourd’hui, cap sur le Pacifique avec la Colombie-Britannique et Vancouver, la ville la plus peuplée.

C’est la nature qui marque le plus ceux qui visitent pour la première fois Vancouver et sa région. Une nature omniprésente tant en ville qu’à l’extérieur. Stanley Park, emblème phare de cette nature reine se situe en plein cœur de Vancouver. Avec ses 404,9 hectares, il est le troisième plus grands parcs urbains d’Amérique du Nord. Proche du centre-ville et de ses gratte-ciels mais aussi de l’océan Pacifique avec le seawall et tourné vers les montagnes notamment Grousse Mountain, Stanley Park résume à lui-même la richesse de l’ouest canadien. A pied, à vélo ou en kayak, l’immensité de ce parc et sa beauté peuvent s’apprécier par de nombreux moyens de locomotion ! Ce poumon vert regroupe également l’Aquarium de Vancouver ainsi qu’une série majestueuse de totems amérindiens, ces derniers dont l’histoire est liée de façon organique à la ville et à la province. En traversant le magnifique Lions Gate Bridge qui relie Vancouver aux villes de North et de West Vancouver et en prenant la direction de la ville de Squamish, Whytecliff Park abrite une jolie plage à l’abri de la foule, ainsi qu’un parc donnant sur une falaise avec une vue à couper le souffle et doté d’une nature qui peut faire penser à la Corse.
Découvrir l’histoire des peuples amérindiens
Pour les amateurs d’art et d’histoire, le Musée d’Anthropologie installé au cœur du gigantesque campus de l’université UBC (University of British Columbia) permet de découvrir l’histoire mais aussi la vie contemporaine des Amérindiens du Canada. Doté d’un passé riche, souvent dramatique, les différentes communautés indigènes sont à découvrir impérativement lors d’un voyage dans cette région d’Amérique du Nord. Totems, canoës, arcades, sculptures contant les traditions des « Premières Nations » suscitent l’admiration et la curiosité du voyageur mais aussi de nombreux locaux.
Divisée en quartiers bien distinctes, la ville de Vancouver peut être arpentée facilement à pieds, à vélo ou en transports en commun (bus, seabus et métro). Parmi les quartiers les plus en vogue, Kitsilano rassemble une population jeune et décontractée très West Coast, de nombreux restaurants, boutiques et supermarchés bio autour de la quatrième rue ouest (W 4th Avenue). Vanier Park et Kits Beach sont incontournables, sans oublier son immense piscine découverte : parfait pour faire un plongeon dans l’eau salée tout en admirant l’océan et English Bay…
Déambuler au centre-ville permet également de découvrir l’architecture urbaine et colorée de la ville, influencée par différentes communautés (Asiatique, Indienne...). Parmi les symboles de la ville, l’immeuble Woodward avec un énorme « W » à ses pieds, allie métal couleur ambre et des formes forales. Plus loin, le quartier chinois, l’un des plus anciens d’Amérique du Nord, dont l’entrée est marquée par une porte aux couleurs de la Chine, vaut également le détour pour ses marchés animés mais aussi pour le magnifique jardin classique Dr Sun Yat-sen. De quoi s’évader en seulement quelques pas…
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Surfers & Co à Tofino
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Madame rêve
Première expédition à l’opéra Bastille pour assister à l’un des chefs-d’œuvre de l’opéra : Madame Butterfly. Passion, trahison, quête du bonheur, exotisme : Puccini y décrit avec exaltation les sentiments humains et notamment ceux d’une femme fragile et forte tel un papillon.

Trois ans se sont écoulés. Pinkerton est partis mais a promis de revenir au Japon. Butterfly se morfond. Elle attend son époux et décline plusieurs propositions de remariage. Désormais mère, elle souhaite plus que tout retrouver Pinkerton et lui présenter leur fils. Malheureusement, le retour de l’officier américain ne se déroulera pas comme Butterfly l’aurait souhaité… Ce dernier est accompagné de se nouvelle épouse, une américaine. Folle de chagrin, Butterfly décide de leur laisser son enfant et se donne la mort. Femme entière et fragile, la jeune femme aura vécu sa courte vie avec intensité et préfère mourir plutôt que de vivre séparé de son amour.r
Le décor est minimaliste et japonisant. L’action se déroule en effet à Nagasaki au début du XXème siècle. FB Pinkerton, officier américain incarné par le tenor James Valenti, s’apprête à épouser Cio-Cio-San (littéralement Madame Papillon en japonais), une geisha âgée de 15 ans. L’image de cet insecte, symbole de légèreté, de fragilité mais également symbole du printemps, convient à merveille à la jeune fille. Fleur bleu, elle prend très au sérieux cette union avec le bel étranger. Au contraire, Pinkerton considère ce mariage comme un amusement exotique.
Fin du premier acte. Entracte. J’entends à proximité une conversation entre une jeune femme et ce qui semble être une amatrice d’opéra. Cette dernière souligne que la cantatrice doit effectivement avoir un problème de santé car la spectatrice éclairée « n’a pas supporté le son émis par la chanteuse lorsque celle-ci tenter d’atteindre les plus hautes ». Subtilité qu’en tant que novice, je n’ai pu détecter… Mes frêles oreilles ayant pour le moment apprécié la prestation de l’interprète principale… Trois ans se sont écoulés. Pinkerton est partis mais a promis de revenir au Japon. Butterfly se morfond. Elle attend son époux et décline plusieurs propositions de remariage. Désormais mère, elle souhaite plus que tout retrouver Pinkerton et lui présenter leur fils. Malheureusement, le retour de l’officier américain ne se déroulera pas comme Butterfly l’aurait souhaité… Ce dernier est accompagné de se nouvelle épouse, une américaine. Folle de chagrin, Butterfly décide de leur laisser son enfant et se donne la mort. Femme entière et fragile, la jeune femme aura vécu sa courte vie avec intensité et préfère mourir plutôt que de vivre séparé de son amour.
Crédit photo: Magazin Sursystem/FlickR
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Une femme face à son passé
Philomena est une femme du peuple. Une Irlandaise simple ayant travaillé toute sa vie en tant qu’infirmière. Mais un lourd secret la ronge depuis son adolescence. Grâce à un journaliste sur le retour, cette soixantenaire courageuse retournera sur les traces d’un passé douloureux.

Création du réalisateur anglais Stephen Frears, Philomina interprétée par Judi Dench trace le portrait d’une femme face à une institution catholique. Au début des années 1950, Philomina tombe enceinte. Rejetée par sa famille, la jeune fille est envoyée dans un couvent pour accoucher. Elle y restera quelques années avec son fils Anthony qu’elle ne pourra voir qu’une heure par jour. A l’âge de trois ans, et sans l’autorisation de Philomina, l’enfant est donné à l’adoption à une famille américaine. Cinquante ans plus tard, Philomina rencontre Martin Sixsmith, journaliste désenchanté, avec qui elle partira sur les traces de son fils disparus.
Simplicité et sincérité Avec tact et humour, Stephen Frears aborde un sujet lourd, celui du rôle qu’a joué l’Eglise Catholique en Irlande : un rôle d’instigateur durant lequel des jeunes femmes périssaient en couche ou étaient dépossédées de leurs enfants. Corvéable à merci et humiliée, Philomena interprétée par la merveilleuse Judi Dench, prouve avec simplicité et sincérité qu’elle a su pardonner à ceux qui lui ont enlevé une partie d’elle-même, son fils. Dans ce film, Frears relate une histoire très intime avec subtilité et sensibilité en évitant tout effet larmoyant. Les acteurs, dont Steve Coogan (Martin Sixsmith), apportent sobriété et candeur à un sujet douloureux.
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Habibi, Habibi…
A quoi reconnaît-on des âmes-sœurs ? C’est la question à laquelle Craig Thompson tente de répondre avec HABIBI, une bande dessinée sublime servi par l’histoire poignante de Dodola et Zam, deux enfants du désert et de la misère.

Dodola n’est encore qu’une enfant lorsqu’elle est mariée de force à un scribe. Malgré la violence induite par cette relation, cette nouvelle vie fera naître chez la jeune fille l’amour de la lecture et de l’écriture, mais surtout celui du Coran, des grands poètes et des contes des 1001 Nuits. Avec sa soif de liberté, Dodola s’échappe. Sur son chemin, elle croise un petit garçon noir, Zam. Leurs destins seront liés à vie. Afin de se protéger des raquetteurs et autres bandits, ils se réfugient dans le désert où un navire laissé à l’abandon deviendra leur foyer. Dodola enseignera son savoir à Zam. Elle le protégera afin qu’il vive une enfance qu’elle n’a pas connu. Grâce à ses charmes, Dodola permettra à ce couple fusionnel de survivre.
Ames-sœurs séparées Après plusieurs années de cohabitation, le destin va séparer Dodola et Zam alors que la jeune femme est emmenée de force dans un harem. Après une longue errance, entre sécheresse, violence et quête d’identité, ces deux âmes-sœurs séparées se retrouveront pour mieux s’éloigner d’une société qui n’est pas la leur et sauver dans leur fuite une troisième âme…
Craig Thompson offre avec HABIBI une œuvre superbe, servie par de superbes dessins en noir et blanc mêlant calligraphies, récit et histoires issus du Coran. Une histoire d’amour féérique.
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Lisbonne : une certaine douceur de vivre
Baignée de soleil, bercée au son du Fado et au rythme du Tage, la capitale du Portugal, véritable joyau tourné vers l’Atlantique, attire les visiteurs du monde entier en quête de chaleur, de culture et de douceur de vivre. Quadrillée de quartiers aux milles ruelles, de parcs et de places de charme, Lisbonne permet de s’évader quelques jours. Em marcha !

S’il n’y avait qu’un quartier à visiter, Belém est à ne pas manquer car il rassemble histoire et charme pittoresque lisboète. Situé à l’embouchure du Tage, Belém accueille en son centre le monastère des Hiéronymites témoignage des immenses richesses du temps des découvertes portugaises. En longeant le Tage, la Tour de Belém tournée vers l’océan Atlantique, marque la fin de ce quartier historique, évoquant le passé et rendant hommage aux grands navigateurs portugais tel que Vasco de Gama. Bâtiments aux milles couleurs et rues étroites ombragées par de magnifiques lauriers roses donnent aux visiteurs la douce impression de vivre au même rythme que les Lisboètes.
Un tramway nommé... Marcher au fil des rues reste la meilleure façon de découvrir la ville, mais pour bénéficier d’une visite insolite au milieu des autochtones, le tram est un moyen de transport abordable et qui permet de découvrir la ville autrement. Le tram 28 est particulièrement apprécié car il traverse la ville de part en part, fenêtres ouvertes. Petit conseil : mieux vaux s’installer à l’un des terminus pour bénéficier d’une place assise car ce moyen de transport est très prisé par les locaux et les touristes !
Art typique portugais, les « Azulejos » sont les carreaux de faillance qui décorent de très nombreux bâtiments à Lisbonne. Un musée leur est consacré, le « Museu Nacional Do Azulejo » se situe dans un magnifique petit monastère avec une très jolie cour et une superbe chapelle. On y apprend par exemple que l’art des carreaux de faillance s’est répandu après le terrible tremblement de terre de 1755 qui ravagea la capitale portugaise. Les pavés qui ornent les rues de la ville doivent d’ailleurs leur existence aux bâtiments détruits par cette catastrophe naturelle. Après la visite du musée, un restaurant situé dans la cour ombragée dotée d’une fontaine, permet de se désaltérer et de se sustenter de petits plats typiquement portugais…
Succulents et savoureux, les pasteis de nata sont de petites gourmandises délicieuses typiques de la région de Lisbonne. Ces petits flans peuvent être dégustés saupoudrés d’un peu cannelle et accompagnés d’un expresso. Le tout à la terrasse d’un café : on se rapproche du paradis…
Pour conclure un après-midi de promenade, le Noobai Café est à ne pas manquer car il est doté d’une terrasse avec un point de vue incroyable sur la ville et sur le Tage ! Quelques tapas locales accompagnées d’une bière Sagres et voilà un apéritif aux accents lisboètes ! Délicieux en tout point de vue !
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Les vies rêvées de Romain Gary
La vie devant soi à peine fini, le regret se fait déjà sentir. Celui d’avoir déjà terminé. Ne pas savoir ce qu’il adviendra du petit Momo. Mais un autre espoir se fait sentir, celui de continuer à profiter de l’œuvre immense, sincère et profonde de Romain Gary.

Romain Gary/Emile Ajar, c’est sous cette seconde identité que le romancier français d’origine polonaise publia La vie devant soi en 1975. Ce qui fait de Gary le seul romancier à avoir remporté le prix Goncourt à deux reprises. La première fois en 1956 pour les Racine du ciel, 19 ans plus tard pour La vie devant soi. Et il le mérite, 1000 fois. Car dans ce roman Gary dresse le portrait d’un couple très peu conventionnel. Celui d’une vieille femme juive, Madame Rosa et de Momo, le petit garçon dont elle s’occupe. Ou plus exactement, l’un des gamins dont elle prend soin. Car Madame Rosa récupère les enfants des prostitués qui lui laissent en pension. Le seul qui reste, qui ne trouve pas de famille de substitution où que ses parents ne reviennent pas hercher, c’est Momo. Les années passent Madame Rosa vieillit, Momo grandit et un lien particulier uni ces deux êtres qui n’ont qu’eux deux au monde. L’état de santé de la vieille femme se dégrade fortement.
Des visages, des figures L’enfant qui s’occupe d’elle désormais peut compter sur la solidarité d’un immeuble et de tout un quartier, celui de Belleville à Paris. Madame Lola, le Dr. Katz, M. Waloumba, M. Hamil… des portraits de personnes qui pourraient composer le quotidien de tout un chacun. Ces vies que l’on croise chaque jour, parfois simplement de passage, parfois en CDI. Une promesse a été faite : celle de ne pas laisser Madame Rosa croupir dans un hôpital. Momo la tiendra, quitte à risquer à une solitude certaine…
Quand vie et romans se confondent Ce n’est que le troisième livre de Romain Gary que je lis. La promesse de l’aube et Chien Blanc étaient fortement inspirés de la vie d l’auteur. Une vie passionnante, douloureuse, vibrante, romanesque. Né à Vilnius en 1914, il émigre avec sa mère à l’âge de 14 ans avec sa mère à Nice. C’est d’ailleurs ses années niçoises que décrit Gary dans La Promesse de l’Aube. Celle d’un élève brillant et d’une mère excessive, qui pousse son fils vers un avenir qu’elle souhaite grandiose. Diplomate pour l’Etat français, il vivra une vie de nomade. Il se mariera par deux fois dont l’une avec l’actrice Jean Seberg, héroïne du mythique A bout de souffle de Jean-Luc Godard. Dans Chien Blanc, il expliquera sa période californienne en compagnie de l’actrice, très engagée dans la lutte pour les Droits Civiques des Noirs-Américains. L’histoire commence avec un chien qu’il récupère et qui a été dressé pour attaquer les personnes de couleur. Il le confiera à un soigneur, le meilleur de l’état, qui s’avérera être noir.
Romain Gary/Emile Ajar : c’est bien une vie double que nous a légué cet homme aux multiples visages, aux multiples vies. Romans, biographie ou biographie romancé, qu’importe, grâce à Dieu l’œuvre de Romain Gary traversera les siècles pour un homme qui fut peu reconnu de son vivant et dont la vie se termina en suicide.
Crédit photo: Ashok Saravanan-FlickR
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Tropical landscape #sunshinecoast #park #marinepark #bc #travel #turquoise #water (at Smuggler Cove Marine Park)
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#beach #shingle #seaweed #gibson #sunchinecoast #bc #travel #runningshoes (at Gibsons, British Columbia)
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Reflets #clouds #sky #rain #puddle #mappleridge #bc #canada (at Maple Ridge, British Columbia)
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The red seaplane #plane #seaplane #harbor #sunshinecoast #Sechelt #bc #travel (at Sechelt, British Columbia)
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L’écume du jour #ferryboat #bc #travel #ocean (at BC Ferries Langdale Terminal)
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By the window #lionsbay #bc #summer #sunshine (at Lions Bay)
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Sitting on the dock of the bay #sunshinecoast #francispointprovincialpark #park #labourdayweekend #bc
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Little red corvette #prince #sunshinecoast #sechelt #bc #sportscar #corvette #labourdayweekend (at Sechelt, British Columbia - Canada)
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