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ForcĂ©ment, juste aprĂšs avoir vu ça, je vais encore rĂ©installer Doom. Câest malin.
TrÚs chouette vidéo en tout cas, la chaßne est encore jeune mais ça promet !
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La Dispute - Somewhere at the Bottom of the River Between Vega and Altair (2008)
Difficile Ă croire, mais le premier LP de La Dispute (groupe amĂ©ricain de, on va dire, post-hardcore, mĂȘme si câest un sacrĂ© mĂ©lange dâinfluences) a dĂ©jĂ 10 ans. Inutile de revenir sur lâimpact quâil a eu (et quâil a toujours), que ce soit sur moi que sur bon nombre dâautres personnes. Je peux juste me rappeler Ă quel point cet album me fascine toujours autant et quâĂ chaque nouvelle Ă©coute je dĂ©couvre des nouvelles choses.
Gros coup de cĆur.
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ZaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ (2015)

Un auteur de bande dessinĂ©e fait ses courses au supermarchĂ©. ArrivĂ© Ă la caisse, on lui demande sa carte de fidĂ©litĂ©. Il se rend compte quâil ne lâa pas sur lui. La vendeuse appelle alors la sĂ©curitĂ©. MalgrĂ© lâintervention du vigile, lâauteur parvient Ă sâenfuir. Sâen suit une chasse Ă lâhomme aux moult pĂ©ripĂ©ties...
Oui. Câest bien le point de dĂ©part de la BD ZaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ de Fabcaro.
Oui, ça a lâair complĂštement dĂ©bile.
Ăa lâest.

Le point de dĂ©part de ZaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ est surtout un prĂ©texte pour son auteur Ă un enchaĂźnement de scĂ©nettes, toutes plus improbables les unes que les autres. Chaque page est lâoccasion de dĂ©couvrir une scĂšne, un Ă©vĂ©nement, un dialogue, qui sont tous plus ou moins absurdes, burlesques, mais toujours drĂŽles. TrĂšs sincĂšrement : câest probablement une des BD les plus drĂŽles que jâai lu ces derniĂšres annĂ©es. Le rythme est constant, chaque page est un vrai plaisir Ă dĂ©couvrir. Le style des dessins y est pour beaucoup : une grande partie de lâhumour passe par le texte trĂšs souvent en dĂ©calage avec lâaspect rĂ©aliste du dessins. Je vous laisse la surprise de la dĂ©couverte, promis ça vaut le coup !
ZaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ zaĂŻ est une BD Ă lire. A relire. Et foncez sur les autres Ćuvres de lâauteur. Je les dĂ©couvre encore tout juste mais jâai encore beaucoup de bien Ă dire pour de prochains articles.
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Dead Cells (2018)

Vous en avez forcĂ©ment entendu parler. AprĂšs un peu plus dâun an dâune early access exemplaire, Dead Cells est enfin disponible en version finale. Volontairement je nây avais pas trop trop jouĂ© (maximum 3h, autant dire rien du tout) pendant cette pĂ©riode dâaccĂšs anticipĂ© pour vraiment le dĂ©couvrir dans sa version dĂ©finitive.
Et jâavais bien fait, tant ça dĂ©fonce. Oh que oui.
Dead Cells se joue tel un jeu dâaction plateforme typique des 90âČs (la sĂ©rie Castlevania en tĂȘte) oĂč lâon dĂ©place un personnage agile, capable du double-saut, qui tape du monstre Ă lâaide dâune arme principale, dâune arme secondaire et de gadgets (piĂšges, grenades...). On avance dans des niveaux gĂ©nĂ©rĂ©s alĂ©atoirement Ă chaque parties, que lâon peut prendre le temps dâexplorer pour trouver de nouvelles armes, des parchemins pour augmenter les stats de son perso, des schĂ©mas pour de nouvelles armes... rogue-lite oblige, chaque partie est unique et Ă la fin, dĂšs que le personnage meurt, on recommence tout depuis le dĂ©but. On pourra quand mĂȘme entre chaque niveaux dĂ©penser des orbes que lâon aura rĂ©cupĂ©rĂ© sur certains ennemis pour dĂ©bloquer du stuff supplĂ©mentaire (une potion de soin, des nouvelles armes, gadgets...). La seule condition est de ne pas mourir avant la fin dâun niveau, sinon on perd toutes les orbes, sans possibilitĂ© de les rĂ©cupĂ©rer, ce qui est ballot vous lâadmettrez.
Tout cela est Ă©videmment trĂšs classique si lâon regarde les trouzemilliards de rogue-lite sortis depuis quelques annĂ©es maintenant. Mais Dead Cells possĂšde un tel feeling, un tel sentiment de progression que lâon ne peut sâempĂȘcher dâenchaĂźner les parties. Câest tout bĂȘte, mais cela change tout.
On tient lĂ un trĂšs probable jeu de lâannĂ©e (mĂȘme si Into The Breach est toujours trÚÚÚÚÚs trÚÚÚÚs haut dans mon classement). BlindĂ© de contenu, Ă la fois frĂ©nĂ©tique et posĂ© dans le dĂ©roulĂ© de ses parties (lâexploration est fortement recommandĂ©e entre deux combats bien nerveux), jouable au possible, artistiquement trĂšs travaillĂ©... les français de Motion-Twin (qui ont rĂ©alisĂ© pas mal de jeux sur navigateur que vous avez probablement connus, comme La Brute, Hordes...) ont bichonnĂ© leur bĂ©bĂ© et le rĂ©sultat est Ă la hauteur des attentes que lâon pouvait placer en lui.
Le seul vrai bĂ©mol que je lui trouve est propre Ă sa structure de rogue-lite : on refait forcĂ©ment en boucle les premiers niveaux, qui Ă force dâexpĂ©rience, deviennent une vraie formalitĂ©. Câest bĂȘte, je sais, mais la lassitude peut venir beaucoup plus vite que prĂ©vue si vous nâĂȘtes pas fan de ce type de structure de jeu. Persoâ je suis un peu entre les deux : jâadore le sentiment dâavancer petit Ă petit, devenir meilleur au fil des parties et faire progresser le personnage, mais je ne peux mâempĂȘcher de me lasser plus vite quâun(e) joueur(se) qui va y consacrer un temps monstre.
Mais vu tout ce que propose le jeu, et vu le plaisir quâil procure (ces combats... ces boss... toutes ces possibilitĂ©s dâĂ©quipements...), difficile de ne pas vous conseiller de sauter dessus. En plus il sort sur Ă peu prĂšs tout, que ce soit consoles et ordis, donc on se fait plaisir.
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Les Indestructibles 2 (2018)

Sans surprise, le nouveau Pixar Ă©clate assez facilement la concurrence en proposant une comĂ©die dâaction sur le thĂšme des super-hĂ©ros ultra efficace. Le film est encore une fois une claque technique, notamment grĂące Ă des scĂšnes dâactions trĂšs spectaculaires (qui restent nĂ©anmoins lisibles et comprĂ©hensibles, gros point fort) et cette profusion de petits dĂ©tails qui fait tout. Et je ne parle pas du rythme toujours effrĂ©nĂ© (mĂȘme si le film sait prendre son temps par moments) ni de lâhumour qui marche toujours aussi bien... Tout fonctionne parfaitement, du dĂ©but Ă la fin.
Du trÚs bon film grand spectacle, pour tout le monde. Pas une surprise, mais ça fait toujours plaisir.
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CETTE INTRO !!! CE SET !!!
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Stories Untold (2017)

Grosse claque.
Stories Untold, sous son aspect de âsimpleâ hommage aux jeux dâaventures textuels des annĂ©es 80 et Ă la culture des 90âČs, est un monstre. Un jeu foutrement malin, qui arrive Ă nous mettre mal Ă lâaise Ă chaque instant et Ă nous tenir en haleine jusquâĂ sa conclusion. Je laisse volontairement planer le mystĂšre autour du jeu, tant il vaut Ă ĂȘtre dĂ©couvert.
Un jeu qui ne laissera pas indifférent.
Note : Ă rĂ©server Ă un public averti (et Ă Ă©viter si vous ĂȘtes sujet Ă des crises dâĂ©pilepsies).
Si vous aimez, vous pouvez aussi jouer à : Her Story, un bon paquet de fictions interactives (la série des Zork par exemple)...
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Du coup je mets ça lĂ pour moi, pour penser Ă le regarder, mais nâhĂ©sitez pas Ă voir les autres documentaires de la chaine Noclip. On y dĂ©couvre un tas de choses passionnantes sur la crĂ©ation de jeu vidĂ©o. Et comme il fait beaucoup trop chaud pour sortir...
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Just Cause 3 (2015)

De façon totalement improbable et imprĂ©vue, jâai pas mal bloquĂ© sur Just Cause 3. On rappelle rapidement le jeu : câest un jeu de tir Ă la troisiĂšme personne oĂč lâon fait tout pĂ©ter sur une immense map en monde ouvert, en sâaidant dâun arsenal fou et dâun Ă©quipement Ă toute Ă©preuve (des grappins, un parachute illimitĂ©, une wingsuit...), tout ça dans le but de faire tomber le dictateur dâun pays imaginaire.
MĂȘme si ce troisiĂšme Ă©pisode est dans la continuitĂ© de ses grands frĂšres, il assume cette fois pleinement son cĂŽtĂ© con et dĂ©bile, en rendant le personnage principal Rico quasiment invincible (avec un temps de rĂ©gĂ©nĂ©ration de sa vie quasi immĂ©diat) et un univers oĂč la moindre explosion prend les 3/4 de lâĂ©cran. On enchaĂźne ainsi les libĂ©rations des villages et villes locales en causant probablement plus de dĂ©gĂąts quâautre chose, mais avec un sentiment de puissance assez inĂ©galĂ©. Le jeu nous autorise toute sorte dâexpĂ©rimentation et pas mal de folies. Oui, on peut toujours sâaccrocher Ă un hĂ©licoptĂšre avec son grappin pour prendre la place du pilote. Oui, on peut accrocher les ennemis Ă des bidons explosifs (ou voir mĂȘme entre eux) et les faire sâenvoler.Tout ça fait que lâon a trĂšs souvent lâimpression de jouer Ă un cartoon.
MalgrĂ© tout, il y a toujours des cinĂ©matiques trĂšs dispensables (avec une histoire quâon oublie trĂšs vite) des idĂ©es de gameplay qui tombent Ă lâeau (dĂ©bloquer des amĂ©liorations en faisant les mĂȘmes Ă©preuves rĂ©pĂ©titives, au secours), un moteur physique qui pĂšte souvent les plombs... mais câest un jeu au fun immĂ©diat. Et ça mine de rien, dans le monde des jeux Ă gros budgets, ça devient de plus en plus rare.
Pas un grand jeu, mais un bon dĂ©fouloir qui sâassume. Et câest dĂ©jĂ trĂšs bien.
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Youth Avoiders - Relentless (2018)
Gros prĂ©tendant au titre dâalbum de lâalbum.
Si vous aimez, vous pouvez aussi écouter : Jodie Faster, Short Days...
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The Disaster Artist (2013)

Ăa faisait pas mal d'annĂ©es maintenant que je connaissais, sans l'avoir vu malheureusement, lâhallucinant film The Room, grĂące au fabuleux site Nanarland et Ă quelques extraits subis ici et lĂ . Si le film en lui-mĂȘme est dĂ©jĂ un objet plutĂŽt⊠Intrigant nous dirons, son histoire dĂ©passe totalement l'imaginable. Et c'est donc un gros bisous que l'on fait Ă Greg Sestero (aidĂ© par Tom Bissel), acteur dans le film et accessoirement meilleur ami de Tommy Wiseau (Ă la fois acteur/rĂ©alisateur/producteur/scĂ©nariste et personnage ĂŽ combien fascinant, cet homme EST The Room) dâavoir Ă©crit ce livre qui nous raconte comment ce projet fou quâest The Room a pu exister (spoiler : ça dĂ©passe tout ce que vous pouvez imaginer), ainsi que sa rencontre avec Tommy et tout ce que cela a pu chambouler dans sa vie (autre spoil : pareil, vous ne pouvez pas imaginer).
Câest dâailleurs la grande force de ce livre : parvenir par moments Ă nous faire oublier quâil sâagit dâun rĂ©cit totalement authentique. Tout est tellement dĂ©mesurĂ© dans les ambitions et la personnalitĂ© de Tommy Wiseau que chaque chapitre se lit telle une aventure. Au fur et Ă mesure quâon le dĂ©couvre, en mĂȘme temps que Greg, notre ressentit Ă©volue et passe par de (trĂšs) nombreuses phases, alterne entre le rire, la peur, la joie...
Câest tout simplement passionnant Ă lire.
The Disaster Artist se dĂ©vore. Le rythme du livre est trĂšs bon et les nombreuses anecdotes se lisent avec toujours un grand sourire et cette envie de sortir des âWhat the...â Ă quasiment chaque intervention ou idĂ©e de Tommy Wiseau. Je vous laisse toute la surprise de la dĂ©couverte, car promis, ça vaut totalement le coup.
Des gros bisous Ă lâĂ©quipe qui a traduit ce livre au passage.
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Swiss Army Man (2016)

Un homme sur une Ăźle veut mettre fin Ă ses jours. Au moment de passer Ă lâacte, il dĂ©couvre un mystĂ©rieux cadavre. Un cadavre qui Ă©met des drĂŽles de sons. Un cadavre qui Ă©met des Ă©normes caisses. Des pets ultra bruyants et violents. Le choc. GrĂące Ă ce corps aux pouvoirs stupĂ©fiants, le jeune homme, Hank, retrouve goĂ»t Ă la vie et va tout faire pour rentrer chez lui.
Je nâai mĂȘme pas exagĂ©rĂ© ni forcĂ© le trait. Swiss Army Man est bien lâhistoire de deux hommes, dont un qui est un cadavre capable de pouvoirs aussi... hmm, utiles on va dire, que se transformer en boussole, en gourde dâeau gĂ©ante, voir mĂȘme en fusil de chasse (je vous laisse dĂ©couvrir, ça vaut le coup promis). Le pire est que le tout se tient. Câest tellement surrĂ©aliste et improbable que si lâon adhĂšre au postulat de base, on part pour 1h30 de gros nâimporte quoi qui se regarde avec beaucoup de plaisir et de curiositĂ©, mĂȘme sâil faut admettre que le rythme faiblit quand mĂȘme un peu passer la moitiĂ© du film.
Clairement une curiosité à voir.
Oh, au cas oĂč vous doutiez encore de voir ce film : câest Harry Potter (Daniel Radcliffe) qui joue le cadavre coussin pĂ©teur. Oui.
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Prey (2017)

Tout Ă©tait fait pour que Prey soit dans mon top 3 des jeux que jâallais aimer avant dây avoir jouĂ© :
câest un immersive-sim (pour faire simple, un FPS avec des composantes RPG et la volontĂ© de laisser le joueur jouer selon son style, ses choix et ses envies, le jeu sâadaptant en consĂ©quence)
câest un hommage Ă peine cachĂ© Ă la sĂ©rie des System Shock
câest dĂ©veloppĂ© par Arkane Studios (Dishonored 1 & 2, Arx Fatalis...)
on peut avoir une arbalĂšte avec des flĂšches en mousse comme arme, et ce nâest mĂȘme pas un gadget inutile
Pourtant, comme je suis quelquâun de blasĂ© par nature, je suis totalement passĂ© Ă cĂŽtĂ©.
Grave erreur. Oh que oui câĂ©tait trĂšs bĂȘte de ma part, pan sur la main, vilain Babar.
Prey est probablement la plus grosse claque que jâai eu devant un jeu depuis trĂšs longtemps. VĂ©ritable leçon de level-design, de rythme et de narration environnementale, le jeu dâArkane enfonce la concurrence et propose une aventure longue, prenante et blindĂ©e de moments marquants (votre premiĂšre rencontre avec un fantĂŽme, les passages en gravitĂ© zĂ©ro...). A noter que vous allez trĂšs vite dĂ©velopper une certaine paranoĂŻa avec les ennemis du jeu, les mimics, qui peuvent prendre lâaspect de nâimporte quel objet et ainsi vous sauter Ă la gueule sans prĂ©venir. Joie.
Jouez y. Rejouez y. Prey est clairement une pépite qui vous marquera.
Si vous avez aimé, vous pouvez aussi jouer à : la série des Deus Ex et des System Shock (bah ouais, forcément), les Dishonored, la série des S.T.A.L.K.E.R. ...
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Hop, mĂȘme pas une dizaine dâarticles que câest dĂ©jĂ le moment de lâauto-promo. Câest un scandale, je sais, mais que voulez-vous.
Beside Games, câest Ă la base un chouette site oĂč trois personnes, YĂ©ti (grand chef qui a créé le site entre deux victoire sur Guilty Gear), Sushi (qui connaĂźt la chronologie des Tales Of, respect) et Babar (moi, le pâtit gars jamais content) Ă©crivent Ă propos des Ă -cĂŽtĂ©s du mĂ©dia jeu vidĂ©o (musique, livres, festivals, podcasts...). Mais comme on est un peu des foufous, on sâest dit que ce serait bien de faire Ă©galement un chouette podcast. Au point que câest devenu la principale activitĂ© de Beside Games.
Depuis un an maintenant on enregistre rĂ©guliĂšrement, au rythme dâun Ă©pisode par mois et avec des thĂ©matiques variĂ©es (les jeux de combats, le handicap et la pratique du jeu vidĂ©o, rĂ©trospective d'un studio de dĂ©veloppement ou dâune console...).
Pour nous Ă©couter, vous pouvez passer directement par notre chouette site, ou nous retrouver sur itunes. Et si ça vous plaĂźt, nâhĂ©sitez pas Ă partager !
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Kid Dynamite - Shorter, Faster, Louder (2000)
Si vous avez un peu moins de 25 minutes devant vous, vous savez ce quâil vous reste Ă faire.
Si vous aimez, vous pouvez aussi écouter : Lifetime (forcément), The Steal, Wank For Peace, Gorilla Biscuits...
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Seasons After Fall
(2016 par Swing Swing Submarine)
Jeu de plate-forme/exploration, on y joue un petit renard cro meugnon qui part Ă la recherche des gardiens de la forĂȘt. GrĂące Ă ses pouvoirs, le trĂšs beau canidĂ© peut invoquer les 4 saisons et ainsi modifier totalement le dĂ©cor, interagir avec et rĂ©soudre des Ă©nigmes pour faire avancer lâhistoire. Le jeu se veut plutĂŽt contemplatif, vous nâaurez pas Ă affronter dâennemis.
Il sâagit probablement du jeu le plus charmant auquel jâai pu jouĂ© ces derniers temps. Artistiquement câest un sans faute : que ce soit les dĂ©cors, lâanimation, la bande-son... le jeu est tout simplement sublime. Au passage, la VF est excellente.
MalgrĂ© quelques dĂ©fauts (le saut manque parfois de prĂ©cision, les Ă©nigmes de difficultĂ©s inĂ©gales, monde finalement peu vaste...) et mĂȘme si Seasons After Fall est un poil rĂ©pĂ©titif vers la fin, on passe quand mĂȘme un trĂšs bon moment, surtout grĂące Ă son ambiance.
A noter : jouez à Tetrobot and Co. , précédent jeu du studio. Probablement un des meilleurs puzzle-game, injustement méconnu.
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