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Dragon Ball #1

Vers mes 14 ans, comme a peu prêt tout les garçon de mon âge autour de moi,  j'ai commencé à être fan de Dragon Ball, et plus précisément de Dragon Ball Z. J'adorais aussi Saint Seiya et Sailor Moon, mais Dragon Ball était plus fédérateur dans la cour de recréation.

J'ai collectionné les figurines, des cartes en tout genre et les auto-collants Panini. A une époque ça animait vraiment mon quotidien. J'avais aussi des figurines Sailor Moon et j'ai même écris une fanfic crossover entre Sailor Moon et Dragon Ball Z. Cette période est passée petit à petit, mais j'ai gardé une affection particulière pour ce manga, et même si je n'ai pas repris lors de la parution de Dragon Ball Super, j'ai toujours gardé un œil dessus, via les résumés ou les différents médias qui en parlait.

Il y a eu beaucoup de jeu lié à cette série qui sont sorti, mais beaucoup sont resté au Japon et parmi ceux qui nous sont arrivé entre nos mains, beaucoup était des jeux de combats. Je me souviens qu'en 1996 est sorti sur Super Nintendo "Dragon Ball Z: Hyper Dimension". C'est un des jeux auquel j'ai le plus jouer à l'époque. Les graphisme était vraiment beau et le jeu lui-même était plutôt réussit.

Cette couverture qui sent bon la nostalgie.

J'aime bien les jeux de combats, mais ce n'est pas mon style de jeu préféré. Quand il y a un, je fais le mode histoire, mais rarement  je vais jouer contre un autre joueur car je ne vais pas atteindre un niveau de maîtrise suffisant pour être compétitif. Une exception peut-être pour les brawlers, comme Super Smash Bros, qui sont pour moi une catégorie à part.

En 2004 est sorti Dragon Ball Z: Budokai 3. C'est comme vous l'aurez deviné le 3e jeu de la série, mais je n'ai pas ou très peu joué au deux précédent. C'était encore un jeu de combat, mais avec un mode histoire très bien fait. Aussi, dans ce jeu, vous pouviez équiper des capsules afin de modifier les techniques ou les transformation de vos personnages. Même si cela restait un jeu de combat, la composante personnalisation ajouté à un très bon mode histoire rendait ce jeu très agréable à joué. De plus cette amour pour ce jeu, je le partageait avec ma sœur, ce qui est assez rare pour le souligner, et donc ça à fortement grandi sa durée de vie à mes yeux.  Ce n'est qu'en 2020 que je suis vraiment retombé dans Dragon Ball, vidéo-ludiquement parlant. Comme je vous le disais plus haut, j'ai toujours gardé un œil sur la série. Que ça soit GT ou Super, même si je ne regardais pas, je savais ce qui s'y passait dans les grandes lignes. De plus je lis depuis plus de 10 ans le fan manga Dragon Ball Multiverse que j'apprécie vraiment et que je vous conseille ardemment si vous êtes fan de l'univers. En 2020 donc, est sorti Dragon Ball Z: Kakarot, un jeu retraçant l'histoire de la série, en partant du tout début.

On en reparle prochainement, promis Ce n'est pas de lui que je vais parlé maintenant, mais je tenais déjà à le mentionner car c'est en jouant à ce jeu que j'ai commencé à m'intéresser à ce qui avait était fait ces dernières années sous la licence Dragon Ball.

Dans mes recherches, j'ai donc découvert Dragon Ball: Xenoverse 2 qui encore une fois est une suite, et comme de bien entendu, je n'ai pas joué au première Opus (et je n'ai, actuellement pas, l'intention de le faire).

Ce jeu est sorti en 2016 (un an après le premier). Vous y incarnez un.e policier.ère du temps qui va régler des problèmes dans dans la timeline quand celle-ci est modifiée. Vous incarné donc un personnage inédit dans l'univers de Dragon Ball. Au départ vous créer votre héros en lui choisissant une race parmis terrien.ne, les namek,  saiyan.ne , majin (la "race" de Buu) et la race de Freezer (littéralement écrite comme ça). À part pour les nameks et les membres de la race de Freezer, il a un choix de genre qui influe sur la morphologie de votre personnage et sur ces habits.

Pour cette fois, j'ai choisis d'incarné une majin du nom de Lady Bells. Bien qu'il en a des airs, le jeux n'est pas pas un jeu de combat à proprement parlé, c'est plus un mix entre un brawler et un jeu de rôle. Vous allez faire évoluer votre personnage en lui attribuant des points de caractéristique et en lui choisissant des techniques, ce qui influencera ses capacités de combat.

Dans ce jeu, vous allez évoluer dans la ville de Coton City qui est plus une sorte de parc contenant tout les environnements que l'on rencontre dans l'animé. Vous allez donc passez de montagnes de la zone "planète Namek" au Lycée Orange Star (le lycée où Gohan au début de la saga de Buu).

Petite vue de Coton City C'est dans cette ville que le siège de la police du temps se trouve, police dirigé par Trunks (la version du future (logique^^)) et la Kaioshin du Temps, personnage apparu dans Dragonball Xenoverse. Votre héros doit corriger les divergences temporelle qui sont créé par Towa et Mira, deux personnages qui l'ont peut voir pour la première fois dans le MMORPG Dragon Ball Online et qui continue à apparaître dans d'autres jeux vidéo, comme celui-ci. C'est deux antagonistes vont recruté Thalès et Slug pour les aider dans leur projets de destruction de l'histoire. Si vous ne connaissez pas ces derniers, ce sont deux personnages qui apparaissent dans des OAV de Dragon Ball Z. Thalès est un saiyan qui ressemble fortement à Goku et pour cause, il est censé être son frère (même si ce n'est jamais confirmé dans l'animé), il est l'antagoniste du 3e OAV. Slug lui est un Namek mauvais qui apparait dans le 4e OAV. 

L'histoire principale de ce jeu va donc retracer les aventures de votre personnage tentant de régler les problèmes créer par ces antagonistes. Vous allez va suivre les différentes saga de Dragon Ball Z, mais contrairement à Kakarot, Xenoverse 2 ne fait que montrer des morceaux de celle-ci en se concentrant sur les moments clé de l'histoire. Ce qui est chouette c'est que l'on a droit à des divergences de l'histoire originale et donc même si on connaît bien l'histoire, on a tout de même des surprises. Je pense par exemple à l'épisode avec Ginyu où ce n'est pas avec Goku que ce dernier change de corps avec un autre personnage.

Les combats donne bien la vibe de Dragon Ball Z sans demander un niveau technique extrême.

En dehors de l'histoire principale, il y a plein d'autre choses à faire. Vous avez l'occasion d'affronter les personnages emblématiques de la série, chacun d'entre eux pouvant vous entraîner pour vous apprendre de nouvelles techniques. Vous avez même la possibilité de leur demander de devenir votre maître pour qu'il vous accompagne dans certaines missions.

En plus, c'est un jeu multijoueur. Ce n'est pas obligé, mais vous pouvez jouer connecté à un serveur. Ceci vous permet de voir les autres joueurs se balader en villes, mais aussi participer à des quêtes commune où de faire des matchs en opposition. Ce n'est pas MMORPG, mais ce jeu en a clairement emprunter certain aspect. Et il a beau être sorti il y a 4 ans, il y a encore des mises à jours et de nouveau event. Une autre choses que j'aime beaucoup, c'est que votre héros est personnalisable. Vous pouvez lui choisir des habits et un accessoire afin de changer son apparence (en plus de changer vos attributs) et ça, j'adore.

Ce qui est cool dans ce jeu c'est d'évoluer dans le monde de Dragon Ball Z, dans la peau d'un personnage extérieur. On revit l'histoire d'un point de vu nouveau. Alors, je ne vais pas vous mentir, si vous ne connaissez pas Dragon Ball, vous allez être perdu, car il y a très peu de mise en contexte. Parfois même vous menez des combats parallèles qui se passe passe loin de l'histoire principale. Ce jeu n'est pas fait pour les non-initiés. Aussi le faite de pouvoir choisir ces techniques parmi les différentes personnages en suivant des entraînement est vraiment sympa. Et enfin, il y a une full de quête annexes et de mini-jeu qui peuvent occuper un certain temps. Le site Howlongtobeat.com dit qu'il faut 75h pour complété tout ce que le jeu à offrir mais moins 20h pour l'histoire principale, ça vous donne une idée de ce que le jeu propose comme contenu extra.

Exemple de quête annexe: récupérer les boules de cristal sur Namek aunez et à la barbe des hommes de Freezer. Les combats ne sont jamais long et si vous faites des quêtes secondaires régulièrement, vous aller passer à travers l'histoire principale facilement. C'est un peu répétitif, mais comme les combats sont entre-coupés de scène cinématique, on ne le sent pas trop. L'intrigue est pas non plus folle, on reste sur du plot de base de Dragon Ball Z: un ou des méchants menace de tout détruire et on intervient. On doit sauver l'univers ou plutôt les univers et le Temps lui-même. Et pour ça on va utilisé nos poings nos pieds et des kikohas. Donc si je dois résumé, je dirais que c'est un bon jeu pour les fans. C'est très gaie d'y jouer quand on aime l'univers et les personnages. C'est agréable de revoir tout ce petit monde, mais c'est clair que ce n'est pas l'intrigue qui va vous porter ni même le système de combat qui n'a rien de révolutionnaire. En gros j'aime bien ,amis je ne le conseillerai qu'au fan de la série.

Jeux Video Cités:

Dragon Ball Z: Hyperdimension

Dragon Ball Z: Budokai 3

Dragon Ball Z: Kakarot

Dragon Ball Online

Dragon Ball Z: Xenoverse

Dragon Ball Z: Xenoverse 2

Super Smash Bros

Source:

DB-Z.com

jeuxvideo.com

dragonball.fandom.com

howlongtobeat.com

[mokosempai]

Retro Gaming: Doom #1

Avant-Propos

Doom est un First Person Shooter ou FPS créé par id Software. Le premier est sorti en 1993 et le suivant en 1994.

J'ai déjà traité d'un jeu d'id Software dans un article précédent et à ce moment je savais déjà que je voulais écrire aussi sur Doom. La lecture du livre de David Kushner, Masters of Doom y est évidemment pour quelque chose. Le sujet est un vaste et il y a de la matière pour plusieurs article. Voici donc le premier d'entre-eux, consacré à deux premier jeux de la séries.

Présentation

Je ne peux pas commencer cette article sans parler de Wolfenstein 3D. Sorti en 1992, il est le précurseur de Doom, non seulement dans le style, mais aussi vis à vis du moteur de jeu. C'est en perfectionnant ce moteur que John Carmack, l'un des pillier d'id Software, est arriver à faire de Doom le jeu qu'on connait. Wolfstein 3D est donc aussi un FPS, vous y incarnez un espion américain qui doit s'échapper du Chateau de Wolfstein en tuant des nazis sur son passage. Ce jeu a été un succès, malgré son extrême violence et le faite qu'il affiche des swastikas et autres symboles du même style à l'écran.

On peut déjà voir les prémices de Doom dans Wolfenstein 3D (Source Steam)

Il y a quelques jeux qui m'ont marqué à très fort, comme Life is Strange, la série des Mass Effect ou bien Diablo. Doom est l'un d'eux.

J'avais 15 ans lorsque que j'ai joué la première fois à un Doom, c'était Doom II. C'était l'été 1997, donc prêt de 3 ans après la sortie de celui-ci. J'étais chez un ami, Cet ami devait aller aider à préparer le repas et il m'a proposer, pour patienter, de jouer à Doom II.

C’était mon premier FPS. Je me suis retrouvé seul devant cette écran, un joystick à la main (oui, pas une souris et clavier) et j'ai joué. C'était super, j'étais comme propulsé dans un univers virtuel en 3D où j'avais l'impression d'être libre. Tout y étais possible du moins c'est ce dont le jeu me donnait l'impression. J'ai adoré y joué, passer de long moment à explorer la map, chercher dans les moindre recoins du jeux des objets ou des bonus, tout éliminant les monstres sur mon passage. Tout le temps restant que j'ai passé chez lui, on l'a passé à jouer à Doom. De retour chez moi, j'avais mon vieux 4.86 sur lequel j'ai assez vite installé Doom. Je n'avais que l'épisode "Knee-Deep in the Dead" le premier épisode du shareware, mais je l'ai fait, fait et refait: je le connaissais par cœur. J'ai depuis acheté la version complète et terminer chacun des épisodes de celle-ci.

Moi jouant au premier niveau de Doom: E1M1

J'ai aussi beaucoup joué à Duke Nukem 3D (un autre FPS sorti lui en 1996), j'ai toujours eu une préférence pour Doom. Les deux jeux sont assez similaires. Vous devez allez d'un point A à un point B en tuant des ennemis sur votre chemin. Le contenu de Duke Nukem 3D est néanmoins satyrique et parodique ce qui en générale ne me déplaît pas, mais il a aussi toute une dimension vulgaire et beauf' qui, même à l'époque où je ne saisissais pas tout, me semblait grossière et inappropriée. Et je pense que je n'assumait pas tout à fait ça.

Un alien sur des toilettes, un des nombreux exemples de l'image beauf/vulgaire de Duke Nukem.

J'aime le style graphique de Doom, surtout le coté monde en 3D avec les monstres, les objets et les éléments de décors en 2D ((appeler aussi sprites). Même si à l'époque c'était pour des questions de rendu graphique et non de style, j'aime toujours ça . Je ne sais pas pourquoi, c'est sans doute une madeleine de Proust ou quelque chose du genre.

Bien qu'il n'y en ait pas des masses, je suis toujours intrigué quand un jeu utilise ce style. Je l'ai déjà dit dans un post précédent mais, je suis vraiment curieux à propos de Boltgun qui doit sortir l'année prochaine. Ce jeu sera dans le style de Doom et dans l'univers de Warhammer 40K que demandé de plus.

Donc pour moi les deux premiers Doom, c'est une histoire d'amour qui a commencé tôt.

Lore?

Je suis quelqu'un de curieux à propos du lore du jeu et j'adore cherché tout ce que je peux trouvé sur l'histoire d'un jeu et de son univers. Il y a des jeux qui te serve ça sur un plateau d'argent comme Mass Effect et il y a des jeux où il faut vraiment gratter loin. C'est le cas de Doom. J'ai donc fait des recherches sur l'histoire du jeu. Mais je n'ai malheureusement pas trouvé grand chose. En effet à l'époque John Carmack et son acolyte John Romero (aussi fondateur d'id Software) n'était pas intéressé par l'histoire. Carmack voulait travailler sur le moteur du jeu et Romero sur les niveaux proprement dit, mais le développement du lore lui-même ne les intéressait pas. Tom Hall, un autre des fondateurs du studio, avait travaillé sur l'histoire de Commander Keen et Wolfenstein 3D, naturellement il s'attaqua à celle de Doom. Il avait commencé un document nommer Doom Bible où il a détaillait l'histoire et des éléments de Lore. Ce document est disponible en téléchargement, si vous êtes intéressé, je l'ai mis en lien à la fin de cette article. John Carmack pensait que Doom pouvait se passer d'une histoire élaborer pour être réduite au minimum. Cela donne lieu à des frictions entre Hall et Carmack, puis avec tout l'équipe qui était plus ou moins de l'avis de John Carmack. Cet avis divergeant sur la question du lore et le faite que Tom Hall passait que Doom était trop violent (déjà dans Wolfenstein ça avait atteint un niveau critique pour lui) fît qu'il quitta id Software pendant le développement de Doom.

Ce qui est un peu ironique, c'est que Tom Hall ira ensuite chez 3D Realms, et participa donc au développement de Duke Nukem.

Contrairement à Wolfstein 3D où le héros à un nom: B. J. Blazkowicz, dans Doom le personnage que vous incarnez n'a pas réellement de nom et est est surnommé le Doomguy. Cela montre encore le peu d'intérêt qu'il y avait pour l'histoire. A l'époque si vous vouliez de l'histoire, elle ne se trouvait pas toujours entièrement dans le jeu, mais dans le manuel. Le manuel d'un jeu faisait parti de celui-ci, contenant une partie de l'histoire, mais aussi les commandes et ce qu'il y avait à savoir sur le gameplay (cette partie étant généralement remplie par le tutorial de nos jour). J'adorais lire le manuel, cette partie me manque un peu je dois avouer.

Un exemple de page du manuel de Doom

Dans ce manuel, on apprends qu'on est un space marine, il y a 3 ans vous avez attaqué un supérieur qui vous a ordonné de tirer sur des civils. Vous avez donc été transféré sur Mars à dans les bâtiments de L'UAC (Union Aerospace Corporation). Cette compagnie conduit des expériences secrètes. Une de ces expériences consiste a tenté le voyage interdimensionnelle. Les expériences ont mal-tourné et quelque chose de maléfiques est sorti du portail qu'ils s'ont ouvert tuant tout le monde  et faisant de vous le dernières espoir de la station.

Il y a aussi des textes à la fin de chaque épisodes. Il n'apporte pas grand choses à l'histoire.

Exemple de texte que l'on peut trouver dans Doom

Il y a une phrase à la fin du dernier épisode: "Someone was gonna pay for what happened to Daisy, your pet rabbit"  nous apprend tout de même que le Doomguy avait un lapin nommé Daisy et qu'elle a été tuée.

On voit d'ailleurs la tête de ce lapin dans la main du Doomguy dans l'écran de fin du dernier épisodes de Doom.

Pour Doom II l'histoire est assez similaire: vous revenez sur terre après votre victoire sur Mars et vous ne mettez pas beaucoup de temps à vous rendre compte que les démons ont envahit la terre. Si vous voulez les détails, j'ai mis un lien pour télécharger les manuels des deux premier Doom en PDF en fin d'article.

Pour ces deux jeux, c'est tout ce que vous trouverez au niveau du lore. Rien de plus. Dans le jeu lui même la seule chose qui vous relie à l'histoire c'est le logo de l'UAC que vous pouvez trouver ça été là dans les deux  jeux.

Ce manque d'histoire n'est pas pour moi un défaut, je ne pense pas qu'il y ait un manque dans le jeu. C'est juste que j'aime vraiment fouiller pour trouver lees morceaux de lore et que de ce coté là j'ai été un peu déçu. Il faut savoir que lorsque j'écris ces lignes je n'ai pas encore jouer à Doom 3 et qu'il y a un dans ce jeu, me semble t'il plus de lore.

Une des fameuses portes UAC

Pourquoi j'aime ce jeu

Déjà, la musique. Difficile pour moi de parler de Doom sans parler de la musique de ce jeu. Bobby Prince avait déjà travailler avec le studio sur Commander Keen et Wolfenstein 3D, mais pour moi c'est dans Doom qu'il a livré le meilleur de lui même. Je suis vraiment fan de la musique de ces jeux et je les écoute régulièrement quand j'ai besoin de me concentrer sur mon travail. Ce qui est amusant, c'est que Bobby Prince a aussi fait les musiques de Duke Nukem 3D, ce qui rajoute encore à la similitude des deux jeux. La musique rythme énormément le jeu, c'est en partie elle qui fait des deux premiers Doom des jeux si nerveux.

A l’époque de mon 4.86, je n'avais pas de carte son, j'avais un PC Buzzer une sorte de haut parleur relié à la carte mère qui faisait un bruit horrible. Avec ça pas question de musique, autant vous dire que je sentais bien qu'il me manquait quelque chose. En plus les effets sonores était horrible. Ce n'est que lorsque j'ai eu l'occasion d'installer Doom sur le PC de mon père (un Pentium 166 mégahertz) que j'ai put pleinement profiter du son du jeu et de ses sons.

Les décors de Doom ont quelque chose de fascinant, le faite d'être dans un univers de science-fiction avec des démons me plaît énormément. Je prends toujours autant de plaisir à exploré les niveaux de Doom et Doom II. D'ailleurs adolescent, malgré que d'autre "Doom-Like" tel que Half-Life était sorti, je revenais tout de même assez régulièrement vers Doom. Petite note amusante: Lors du développement de Doom II, comme John Romero avait moins de temps pour créer des niveaux, id Software a engagé d'autre gens dont un certain American Mc Gee (connu par la suite pour son jeu American Mc Gee Alice, un détournement du conte de Lewis Caroll)

Donc pour moi Doom a été plus que marquant. Même si je l'ai découvert un peu plus tard que sa sortie, il a tout de même eu un impact très fort sur ma vision des jeux vidéos. Il y a quelques années, j'ai fait une game jam. J'ai voulu faire un shooter nerveux avec de la Drum and Bass comme musique (c'était littéralement la description du jeu). Dans ce jeu de jam, j'ai mis un petit clin d'oeil à Doom, l'état santé du héros est affiché dans le bas de l'écran sous la forme de la tête du héros de plus en plus blessée au fur et à mesure qu'il perd des points de vie.

Le nom du jeu est Nightmare on Cube street, une référence à un film d'horreur bien connu.

Conclusion

Bien que Doom et Wolfenstein 3D on définit ce qu'étais un FPS, de nos jours ce genre de jeu est rarement sépar" en niveau avec un écran de score à la fin de ceux-ci. Il y évidemment des exceptions (comme Doom 2016), mais de manière générale, même si il reste clairement une notion de "stage", celle-ci est moins marquée que dans Doom ou même Duke Nukem.

Évidemment, je reconnais que ces jeux ont fort vieillit, je n'oserai pas dire le contraire. Maintenant si on fait un jeu dans ce style c'est pour ce donné un coté retro. Mais qu'on le veuille ou non, Doom a marqué à jamais la culture vidéoludique. Et avec leurs jeux, id Software ont défini la grammaire de ce qu'était un FPS à tel point qu'à l'époque on appelait pas ça des FPS mais des Doom-like. Alors évidemment la grammaire ça évolue, mais même à travers les évolutions, on peut voir la trace que Doom à laisser. Par fois ce n'est même pas le coté FPS qui est une inspiration, regarder Jupiter Hell. C'est un rogue-like (qui se joue au clavier). Vous incarner un space marine qui se retrouve dans sur sa base entouré de zombie et de créature démoniaque. Est-ce que ça ne vous dit pas quelque chose? Même le style de musique rappelle le jeu de id Software. (Correction après que @gamedevlunch m'est rappelé qu'est faite Jupiter Hell était le successeur spirituel de DoomRL qui était entre develloppé par Kornel Kisielewicz, le créateur de Jupiter Hell)

Un rogue-like à l'ancienne avec une atmosphère à la Doom.

Tout ça pour dire, qu'on peut aimé ou ne pas aimé Doom, mais une chose est certaine, il a eu un impact très net sur le game design de beaucoup de jeu du genre, genre qu'il a défini.

Sources

Masters of Doom par David Kushner

Wikipédia - Tom Hall

Doom manual

Doom II - manual

Doom Bible

Doom-Wiki

Jeux cités

American Mc Gee Alice

Boltgun

Commander Keen

Doom

Doom II

Doom 3

Doom 2016

Duke Nukem 3D

Half-Life

Jupiter Hell

Wolfenstein

[mokosempai]

Thomas joue à Xenoblade Chronicles #3

Comme à chaque poste sur ce sujet, je vous prévient: ce qui suit contient des spoilers. Donc, si vous ne voulez pas y être exposé, revenez quand vous aurez fini le jeu.

Le titre de ce post pourrait être:

Thomas avait raison

Je reviens la dessus dans quelques lignes. La dernière fois je vous avait dit que j’étais presque arrivé au point où j'en étais sur 3DS. Et bien cette fois-ci je vous annonce que je l'ai dépassé. Ce fût plus long que prévu. Je pensais gentiment faire une où deux quêtes dans la ville et puis hop hop hop, à l'Île Prison. "Une ou deux quêtes", que j'étais naïf, il y avait au moins 20 quêtes à faire dans la ville et ses environ. Et, je n'ai fait que les quête qui avait un temps de péremption.

Certaines quêtes dans le jeu arrête d'être disponible après un certain temps. On ne peut pas savoir après combien de temps elles ne seront plus valide, mais elles sont identifiables par la petite horloge à coté du symbole habituel dédié aux quêtes, donc dès qu'on voit une quête de ce type, il vaut mieux la faire avant d'avancer dans l'histoire. Donc une fois que j'ai eu fini de faire toutes ces quêtes, mon groupe était un peu sur-levelé. Dans ce jeu, l'avantage quand vous êtes quelques niveaux au-dessus de vos ennemis c'est qu'ils ont tendances à vous laissez en paix, ce qui parfois donne lieu à des scènes amusantes

Les ennemis me calculent même pas, d'une certaine manière c'est un peu rude.

Revenons à l'Île Prison. Enfin j'ai pu y pénétrer, marquant ainsi le début de nouveau contenu et de nouvelles parties d'histoire pour moi. L'une de ces parties d'histoire m'a donné la confirmation sur une de mes suppositions

Il faut savoir que pour moi, il est très dur de regarder un film ou de jouer à un jeu vidéo sans réfléchir au scénario et de ne pas extrapoler.

Lors de la première fois où j'ai joué à ce jeu, quand j'ai décourver le Mekon blanc (dans les visions de Shulk et dans les cinématique de début de chapitre), jai eu une théorie sur ce personnage et il s'est avéré que j'avais raison. J'avais aussi une théorie sur le Facia Noir, qui était du même acabit, et qui donc était vraie aussi.

Dans les chapitre précédent, à la fin du cinquiéme je crois, juste après avoir combattus les héros dans la mine, Xord, le Facia Rouge révèle à Shulk que sa forme actuelle n'est pas sa première.

Ce big indices m'a mis sur la voie pour  comprendre que le Mekon Blanc (dont je n'ai pas encore retenu le nom) est en faite Fiona. Et donc par extension, le Facia Noir est Mumkhar, le couard qui faisait parti de l'équipe de Dunban et Dickson. Lors de la cinématique début de jeu, on voit que celui-ci est fasse à une escouade  de mékons prêt à le tuer. Ils pointent leurs lasers sur lui, mais la cinématique s'arrête avant qu'il ne le tue. Au cinéma, ce genre d’éclipse est souvent synonyme de "le monsieur est pas vraiment mort...".

"Fiona" à bord de son mékon. Après je n'ai pas encore toutes les clés. Le Mekon Blanc ne reconnait pas Shulk et Dunban, il semblerait qu'une entité habite maintenant le corps de Fiona. Celle-ci n'a pas accès au souvenir du corps qu'elle habite, alors que le Facia noir lui à accès à ceux de Mumkhar. Il est donc possible que le corps de Fiona ne soit que trop fraichement devenu un mékon (ou en partie du moins) et que l'entitée l'habitant n'est pas encore accès au souvenir de celle-ci. Je ne sais pas, ce ne sont que des suppositions, mais j'ai hâte de le découvrir la suite. Ce que je n'avais pas anticiper, c'est le faite que les Mekons avec visage, "les facias" en français, était des sortes de mécha qui était diriger par des corps humains tel que Fiona et Mumkhar. Je me souviens dire à un amis, il y a un moment, "C'est dommage que dans ce Xeno, il n'y est pas de mécha" et je me rappelle de sa tête qui semblait dire qu'en faite si, mais pas comme je l'imaginais. Perso, je pensais que les Mekons avait utilisé des corps pour faire les Facias un peu en mode cybernétisation et non pas en mode pilote de Gundam. Là où je me suis arrêté actuellement, je suis face à Mumkhar, sorti de son méca "Facia Noir". Je l'ai affronté une première fois, mais j'ai perdu. Je pense que j'étais trop pressé de connaitre la suite et j'ai un peu rusher afin d'atteindre la suite de l'histoire. Mais donc là, je pense que je vais devoir grinder un peu pour battre ce boss.

Nouvelle environnement: un peu plus frais que le précédent ^^

[mokosempai]

Les aventures d'Adenophora Morpho #5

Progression?

Je ne sais pas dire si beaucoup de chose ont évoluée depuis la dernière fois que j'ai écris un poste sur ce jeu, mais j'ai l'impression d'avoir accompli pas mal de choses.

Dans ce jeu, comme on peut partir un peu dans tout les sens, c'est un peu difficile de définir l'avancement.

Hier, je regardais où j'en étais au niveau temps de jeu (si vous ne saviez pas, il faut taper "/playtime" dans la boite de discutions pour avoir cette info) et j'ai déjà totalisé 50h. Pour vous donnez une idée, c'est plus que le temps que j'ai déjà passé sur Xenoblade Chronicles. Ce qui est bizarre, c'est que j'ai la sensation d'avoir jouer plus à Xenoblade qu'à Final Fantasy 14 ^^

J'en ai déjà parlé dans l'article précédent, mais ce qui fait que c'est si chronophage c'est la diversité de possibilités que vous offre ce jeu.

Rien qu'au niveau des classes, il y a de quoi s'occuper.

Je suis Mage Blanche, Botaniste, Mineuse, Menuisière, Forgeronne. Tout les 5 niveaux ces classes génèrent une quête.

Adenophora en quel chiffres

Les classes de "craft" ont tendance à s’entraîner l'une l'autre. Exemple: Si on me demande de forger une arme. Cette arme, va sans doute me demander d'acquérir du minerai, c'est donc la partie Mineuse qui intervient. Cette arme a aussi besoin d'un manche en bois, c'est donc la partie Botaniste qui ira chercher le bois et puis la partie Menuisière qui découpe un mandrier dans ce même bois. Et finalement la partie Forgeronne s'occupera du reste. Donc, en une arme, j'ai fait travailler 4 classes et donc gagné de l'expérience pour toute celle-ci.

De plus, après avoir avancé suffisamment dans l'histoire, vous avez l'occasion de rejoindre une des 3 "Grandes Compagnies". Il y a Le Maelstorm de Limsa Lominsa, Les Immortels de Ul’dah et L’Ordre Des Deux Vipères de Gridania. C'est cette dernière que j'ai décidé de rejoindre, car mon personnage a commencé à Gridania et que j'ai de la sympathie pour la chef de cette ordre Kan-E-Senna. Elle est aussi une des trois Oracles de Gridania. Sans entrer trop dans les détails, le faite d'être Mage Blanche fait qu'Adénophora côtoie aussi les deux autres Oracles. Donc L'Ordre Des Deux Vipères était un choix logiques.

Et en plus ils sont ravis de mon voir :D

Évidemment votre Grande Compagnie est une source de quêtes, sinon c'est pas drôle. Par exemple, tout les jours vous avez l'opportunité de remplir des "quête de ravitaillements" deux en tant que "récolteur" où l'ont vous demande des matériaux brutes et deux en tant que "crafteur" où l'ont vous demande des produits finis. Ce qui est cool avec ces quête c'est que les objets de hautes qualités sont récompensés double.

Encore une autre manière de progresser dans les classes d’artisans. 

Hier, je n'ai fait que ça, faire les quêtes de ravitaillement, puis exécuter toutes les quêtes liées à mes classes d'artisanats, puis à nouveau refaire les quête des ravitaillement (elles se renouvelles à 22h donc j'ai put faire deux rounds ^^).

J'ai aussi rencontré Biggs et Wedges, c'est toujours marrant de retrouver leur incarnation quelques part dans les Final Fantasy (comme Cid d'ailleurs).

Ma petite entreprise ne connaît pas la crise

Je dois avouer que mon petit business est plutôt florissant. Évidemment, les objets "Haute Qualité" que je mets en vente partent correctement, mais j'ai aussi découvert que les matérias se revendaient très bien.

Alors, l'argent coule à flot déjà via les quêtes. La vie d'aventurière ramène assez d'argent de manière générales. Mais si vous voulez avancer en artisanat et que vous ne voulez pas avancer dans toutes les classes d’artisan, car ça serait pour le coup vraiment chronophage, il faut acheter certaines matières premières. Celle-ci ne sont en générales pas en ventes chez les PNJ, mais à l’hôtel des ventes.

De plus les joueurs qui les mettent en ventes ne le font pas à l'unité et donc pour peu que vous ayez besoin d'une étoffe de coton, vous risquez de devoir acheter la dizaine. Ces matériaux coûtant un certain prix, vous allez devoir y aller de votre bourse.

Mais vu mes ventes actuelles, je suis à l’abri du besoin pour un moment.

Chocobo!

Une des choses que vous offre votre Grande Compagnie, c'est votre licence de chocobo. Vous recevez donc votre première monture avec tout les avantages qui viennent avec.

Comme vous pouvez nommé votre animal, j'ai nommé ma fidèle monture "Slepice".

En plus de vous permettre un déplacement rapide, votre chocobo peut combattre à vos coté (30 minutes par légumes de Gysahl que vous utilisé) et il peut aussi porté des objets pour vous, ce qui n'est pas de refus car mon inventaire commence à être bien rempli. En gros ce brave animal fait à peu prêt tout ce que vous avez besoin, à part le café.

Mon chocobo est plus haut niveau que moi!

Le mot de la fin

Je ne peux que renouveler mon admiration pour ce jeu. La sensation de faire vraiment partie de l'univers du jeu est vraiment présente. L'écriture des quêtes et monde en générale fait que même si vous avez plusieurs vies dans ce jeu, cela semble être un tout cohérent.

Vous croisez et recroisez certains personnages dans des circonstances différentes, vous rencontrez de PNJ qui ont une vrai personnalité, et qui ne sont pas de simple dealer de quête.

En plus, il y a toujours quelque choses à faire, parfois trop de choses, mais au moins, on ne s'ennuie jamais.

[mokosempai]

Battle Sister #1

Je l'ai déjà dit, je suis dans une période (qui semble durer) Warhammer 40K. Il y a quelques temps j'avais entendu parler du jeu Battle Sister.

Battle Sister est un jeu VR où l'on incarne une Soeur de Bataille (au cas où le nom était pas évocateur ^^). Comme j'aime beaucoup les Soeurs de Bataille (je suis en train de peindre une Kill Team de Novice de l'Adpeta Sororitas) et j'étais vraiment curieux de voir ce que peux donner un jeu VR dans l'univers de Warhammer 40K, j'ai donc acheter ce jeu.

J'ouvre ici une parenthése sur la VR. Mon métier m'a amené dans le domaine de la VR et pourtant, je n'ai pas tant joué à des jeux de ce type. Je suis très "picky" dans mes choix de jeu VR, préférant ceux qui ont été créé pour ce média, comme Space Pirate Trainer ou Beat Saber, que ceux qui sont des portages de jeux existant.

Je suis moins fan des licenses qui sont porté sur VR, car j'ai toujours la sensation que le gameplay manque d'adpatation pour la réalité virtuel. Après, pour moi l'un des meilleurs jeu VR, est justement une adaptation: Super Hot VR. Mais là, on sent que tout a été repenser pour la VR jusqu'à l'interface de jeu qui complètement diégétique. Voilà, je ferme ici la parenthèse. Donc en attendant Boltgun, pourquoi pas se retrouver dans le monde joyeux de Warhammer 40K à travers les yeux d'une Soeur de Bataille. La première scène s'ouvre sur une bataille. Vous êtes sur le front, et devant vous, deux Chevaliers s'affrontent, un pour le compte de l'Empereur, l'autre pour celui du Chaos. Après s'ensuit quelques dialogues ainsi qu'un petit tutoriel intégré dans le jeu et vous voilà avec un Bolter à tirer sur des hérétiques.

Le bolter, l'un de vos meilleurs amis dans ce monde.

Vous incarnez Ophélia. Et quand je dit "incarnez", c'est assez littérale, car son corps entier a été modélisé. Contrairement à beaucoup de jeu VR où vous n'avez que vos mains de représentées, ici vous pouvez voir tout le corps de la Soeur de Bataille comme si c'était le votre. Même si parfois cela donne des torsions peu naturelles, le faite de se voir entier renforce énormément l'impression d'être dans l'univers de ce jeu vidéo. Dans le jeu, les déplacements peuvent être de deux types, soit la téléportation courtes, soit à l'aide du joystick. Ce dernier ayant le désavantage de provoquer chez certaine personne un malaise, allant de l'étourdissement léger au vomissement. Je ne vais pas entamé ici le sujet de la VR et de ce type de malaise, pour faire cours, ce genre de sensation est similaire à ce qu'on appelle le "mal de voiture" ou "le mal de mer". N'étant pas très sensible à ce genre de sensation, je joue au joystick. 

Le premier chapitre est une mise en bouche expliquant les principes de bases du jeux: Vous avez un Bolter et vous tirez sur tout ce qui est Chaotique et qui viens sur vous. Le jeu est violent, comme on peut s'en douter, sans pour autant être gore. Quand les ennemis meurent, ils se dissolvent, ce qui fait que vous n'aurez pas une pile de cadavres à vos pieds (et aussi que la mémoire de votre appareils sera épargnée ^^). Mais vous aurez tout de même droit à la satisfaction de les démembrer ou de les décapiter, selon la précision de vos tirs.

Une fois le premier chapitre passé, à travers un réve, vous allez comprendre que Ophélia a une soeur jumelle, qu'elle la croyait morte et qui semblerait, malgré tout, être en vie. Cette soeur semble être le fil rouge qui va conduire le scénario.

Le deuxième chapitre se déroule dans une cathédrale. Si j'en crois ce que j'ai compris dans le chapitre suivant, la cathédrales est un aussi un vaisseau ou une partie d'un vaisseau.

Ambiance un peu mortuaire, très Warhammer 40K. Le décor est magnifique, je veux dire, si vous aimé l'univers de Warhammer 40K, ce jeu est un peu du bonbon pour vos yeux. Vous êtes littéralement projeté dans le lore. Les éléments du jeux font parfaitement honneur à cette univers. C'est dans le chapitre 2 que vous allez aussi recevoir votre épée énergétique. Cette dernière est très jouissive à utilisée, elle a deux fonctions: trancher (est-il besoin de le préciser) et vous protéger. En effet, vous pouvez utiliser cette dernière pour dévier les balles, pas comme un Jedi, mais pas loin. C'est très jouissifs de traverser une pièce remplie d'hérétiques et de créatures du chaos et de les trancher équipé de deux épées énergétiques.

Regardez moi comme elle est belle

En parlant de Jedi, vous recevez aussi un rosaire qui vous permet de poussez des objets à l'aide d'une force télékinétique. L'énergie de cette objet étant alimenté par les morts que vous causé autour de vous. Une sort de pouvoir de la Force, mais à la manière de Warhammer 40K. Quand vous passez d'un chapitre à un autre, vous perdez votre équipement, parfois pour de bonne raison, comme entre le chaiptre 1 et le 2 qui sont espacé de 3 jours, parfois sans raison, comme entre le 2 et le 3 où vous fuyez de la cathédrale en escape pod et visiblement Ophélia, qui est entré lourdement armée dans celui-ci, en ressort avec juste un bolter et sans munitions. ...Pourquoi?

J'ai testé le jeu sur deux support, un Oculus Rift S (qui est un casque relié à un PC) et un Meta Quest 2 (qui lui est un casque qui se suffit à lui-même). Évidemment, j'ai remarqué de petites différences. Comme le Rift S à accès à la puissance du PC, il est plus rapide lors des chargements et ne lags jamais (si vous avez un PC assez puissant bien évidemment)

Avec le Quest 2, on sent bien que la machine à l'intérieur n'est pas aussi puissante (surtout lors des chargements) et on a parfois droit à un petit lag ça et là, mais c'est sincèrement anecdotique et le faite de joué dans son salon sans être relié à votre PC par un câble rend l'expérience vraiment agréable.

Ce genre de décor me fait vraiment me sentir dans Warhammer 40K

Si je dois résumé mon expérience actuellement, je dirais que ce jeu offre une immersion dans le monde de Warhammer 40k comme j'en est rarement vue. On est vraiment plongé dedans et ça s'est cool. Même si ça reste hyper basique, il y une histoire et elle est intrigante (j'ai hâte de voir si ça va plus loin, même si je sens que je vais être déçu). La difficulté du jeu est correct. Elle laisse place aux erreurs, mais n'est pas non-plus trop facile. Donc, si on me demande, je dirais que si vous aimez le monde de Warhammer 40K, que vous n'avez rien contre les Soeurs de bataille: allez-y, ce jeu ne vous décevra pas. Je ferais un autre poste une fois que j'aurais fini ce jeu, afin d'infirmer ou de confirmer tout ça.

[mokosempai]

Thomas joue à Xenoblade: Chronicles #2

Comme je l'ai dit dans mon précédent poste, cette article contient des spoilers. J'ai enfin repris!

Comme je ne peux jouer à Xenoblade Chronicles que si j'ai le temps pour une longue session, j'ai mis un peu de temps avant de trouver un créneau pour ce jeu. Je sais que si je joue de courte période, je vais être frustré. Ce jeu vraiment prenant et on veut toujours connaître la suite, donc il est important de réserver de grande période de temps pour être sûr d'avoir le temps de faire un chapitre. En plus de l'histoire, au risque de me répéter, les décors sont vraiment magnifique et donne envie de s'y perdre, en faisant des quête secondaire par exemple. Autre fait important, je suis presque arriver là où j'en était avec ma partie sur 3DS. C'est un grand moment, je vais arriver à une partie de l'histoire que je ne connais pas. J'ai hâte.

Regardez comme c'est magnifique

Vision du futur

Shulk, le héros du jeu, est capable de voir dans le futur. Dans beaucoup de RPG, si un personnage a des visions, ça se caractérise par des cinématiques. Xenoblade ne fait pas exception, mais ce n'est pas que lors de ces cinématiques que vous allez avoir droit à des visions, mais aussi dans les système de jeu.

Il y a deux systèmes qui sont lié à la prédiction que j'apprécie particulièrement.

Le première est lors des combat. Lorsqu'un personnage va être menacé, on a droit à une vision de l'événement et on a donc un certain temps pour contrer le futur par une action de Shulk ou de l'un des ses camarades. Ce mécanisme rend le pouvoir de Shulk plus concret, car il est intégré dans le jeu directement.

L'autre système est lié aux quêtes, simplement, si un objet que vous ramassé est lié à une quête que vous n'avez pas encore, Shulk reçoit une vision et vous savez donc que vous devez le réservé pour plus tard.

Les visions sont troubles et très désaturés, mais laisse eu de place au doute.

Je ne le dirais jamais assez, mais ses décors sont vraiment magnifique dans ce jeu. Je suis arriver à la Mer d'Eryth. L'environnement est magnifique, de jour, comme de nuit.

C'est aussi l'un des endroits qui fait le plus "space opéra" que j'ai rencontré jusqu'à présent. La capitale des Hayenthes me fait un peu pensé à la Citadel de Mass Effect sous certain de ses aspects.

Des faux air de Citadel.

Une sorte de MMORPG hors-ligne

Je joue beaucoup à Final Fantasy 14 ces derniers temps. Je suis un peu tombé dedans et si vous me lisez vous avez dût vu en rendre compte. Mais donc, même si je le savais déjà, c'est encore plus flagrant maintenant: Xenoblade Chronicles utilise certain des codes des MMORPG.

Que ça soit les principes de l'auto-attaque dans les combats, ou bien les zones ouvertes avec des groupes de monstres parfois hostiles parfois calme, ou encore les centaines de quêtes ça et là sur la map, on a parfois l'impression d'être dans un MMORPG solo et hors-ligne.

Alors, est-ce que c'est dérangeant: pas du tout. L'emprunt est habile et ne se pas ressentir, et je dirais même que ça rajoute quelque chose. Les combats sont très dynamique grâce à çà. Les quêtes même si elles sont quasi toutes optionnelles, rajoute de la profondeur à l'histoire. Et la gestion des monstres rend le monde crédible avec un écosystème qui tient la route.

Le palais aussi est très joli

Pour conclure ce poste, je dirais...

... que j'ai hâte d'y rejouer. Le dernier chapitre que j'ai fait a été haletant, et j'ai vraiment envie de connaître la suite de cette histoire, surtout que la cinématique de fin de chapitre révélait un Mékon énigmatique et il me tarde d'en savoir plus.

La sensation d'immersion est vraiment incroyable quand vous jouer à ce jeu. Les décors, personnages, le monde est tellement bien fait qu'on est transporté. Je ne suis pas à la fin, mais j'ai déjà plus de 33 heures de jeu, et je place déjà ce jeu haut dans la liste de mes jeux préféré.

le mystérieux Mékon

[mokosempai]

Les Aventures d'Adenophora Morpho #4

14h de Final Fantasy 14.

C'est plus ou moins ce que j'ai fait ce jeudi avec 5 amis. On s'est retrouvé dans une même pièce et on a tout simplement joué du matin au soir.

J'ai très peu interagit avec eux dans le jeu (on a juste fait des donjons ensemble), mais malgré ça, rien que le faite de jouer au même jeu, au même endroit, rendait l'expérience encore plus agréable.

J'ai reçu ce bulbe de morbol d'un de mes amis

Pendant tout ces 14 heures, j'ai fait plein de choses, mais je ne peux pas dire que j'ai été très focus sur l'histoire. J'ai tout de même avancé de quelques quêtes et fait 3 missions, mais j'ai surtout avancé dans des activités annexes.

Botaniste, Menuisière et matérias.

Lors d'une quête d'épopée, j'ai découvert les matérias. Vous voyez, comme celle de Final Fantasy VII. Dans cette version vous devez sacrifiez un item, pour utiliser son "âme" qui imprégnée des souvenirs de sont porteur, sera convertie en matéria. Celle-ci pourra être sertie sur un équipement. Il y a juste un soucis. Il faut être artisan niveau 20. J'ai donc décider d'embrasser la carrière de menuisière afin de pouvoir dans le futur sertir des materias sur mes objets. Évidemment après deux heures à construire des objets en bois (bois que je coupe moi-même bien évidemment), j'ai pensé à chanson de Naheulband: À l'Aventure Compagon.

...A l'aventure nom d'un chien J'irai plus faire le malin J'aurais mieux fait de rester chez moi A faire des chaises en bois

Tant de choses possibles

J'ai aussi visité le Gold Saucer (oui comme dans Final Fantasy VII aussi). Je n'ai fait qu'un rapide tour, car mon but était de récupérer un deck de carte de Triple Triad (cette fois-ci, c'est emprunté à Final Fantasy VIII). Mais j'ai vu tout ce que l'on peut y faire et... Ô my god! il y a moins de faire des cessions entière dans cette endroit.

Le Gold Saucer vu de l'exterieur

Je suis intriguer cependant par le petit jeu tactique que l'on peut faire avec les mascottes telle que le bulbe de morbol que j'ai récupéré.

Je me dis que ce jeu est tellement vaste et tellement plein de possibilité qu'il faut presque dédier une cession de jeu à une activité bien précise et se donner un objectif avant de commencer à jouer, tant il y a moyen de dévié pour faire des activités annexes.

Un business local

Quand vous faites un métier comme menuisière, dans les niveaux les plus avancer, vous commencer à avoir besoin de matériaux que vous ne trouvez pas chez les marchands PNJ, il vous faudra donc aller les acheter à l'hôtel des ventes. Or, ça coûte un bras ce genre d'objets.

J'ai commencer à vendre des objets et je n'ai pas encore vraiment percé, donc je ne peux pas me permettre d'acheter mes matières premières. Je vais donc devoir les fabriqués. Dans les jours qui viennent je vais commencer une carrière de mineuse et une autre en parallèle de forgeronne. Je pense que c'est le seul moyen que mon business de vente d'objet soit rentable.

Ma seul peur avec ça, c'est de trop m'éloigner de la quête principale. Et en même temps, il est nécessaire que je progresse dans ces jobs pour pouvoir utilisé des matérias.

On ne peut sertir des objets du niveau de son plus haut niveau d'artisanat. Actuellement je suis élémentaliste 31 et Menuisière 21, donc je ne peux pas sertir l'équipement que je porte. Donc je dois monter menuisier, Mais pour monter menuisier il me faut du matériel. Donc je doit devenir Forgeronne et Mineuse. CQFD.

Rien à voir, mais j'adore le look de ce personnage (et puis elle est si charmante).

Je me suis encore enfoncer un cran plus loin dans ce jeu. Mais il n'y a rien à faire, c'est un très bon jeu, quitte à me répéter.

[mokosempai]

Les aventures d'Adenophora Morpho #3

Botaniste et business

J'ai décidé que j'allais apprendre un autre job, cette fois-ci lié à la récolte. J'ai donc été vers le job de botaniste. Une fois que j'ai pris un peu de bouteille dans ce métier, je me suis dis que j'allais revendre mes acquisitions. Je ne voulais pas les revendre à un PNJ, mais aux autres PJ, via l’hôtel des ventes.

Il faut savoir une chose, j'adore les système économiques des MMORPG. Je trouve ça fascinant qu'un jeu développe sa propre économie. J'adore aussi y participé, et amasser de l'argent via ce système.

Adenophora dans ses habits de botaniste (aka un équipement de niveau 5 ^^)

À l'époque où je jouais à Fly For Fun, C'était ce que je préférais, acheter et revendre en effectuant un bénéfice. Dans ce jeu, tu peux ouvrir une boutique un peu où tu veux et appliquer les prix que tu veux. Le nom de ta boutique apparaît au dessus de ta tête (entourer de trèfles à 4 feuille) et les gens peuvent la visiter et acheter les objets que tu as mis à la vente. Je passais des heures à parcourir les boutiques des gens pour trouver les objets les moins chers et les revendre plus chers sans pour autant être trop au-dessus des prix du marché. J'avais un carnet dans lequel je notais les prix d'achat et de ventes et dans lequel j'analysais les tendances pour certains type d'objets. J'avais même, avec un autre joueur, créer une guilde dans ce sens qu'on avait appeler "Les Pièceurs Furieux". Soit, tout ça pour dire que j'aime bien jouer avec l'économie dans les MMORPG.

les "boutiques" de FlyFF (source: https://flyff-fly-for-fun.waxoo.com)

Ceci étant, j'ai donc cherché comment faire pour accéder à cette hôtel des ventes (en tant que vendeur) et j'ai découvert que c'était débloqué par la quête d'Épopée de niveau 17. Là j'étais en train de faire la 14. Donc j'ai continuer la dites Épopée.

Plein de cinématique

Et bien j'ai pas été déçu, les quêtes suivantes que j'ai effectuez ont donné lieu à tellement d'histoire et tellement de cinématique. C'était vraiment bien. À ce stade, je sens vraiment l'histoire se construire. C'est vraiment cool. L'histoire est vraiment bien. On sent vraiment qu'il y a quelque chose d'énorme, et les éléments sont révélés petit à petit avec juste la bonne dose pour vous émerveillé et vous intrigué. Je suis vraiment conquis par ce coté là du jeu.

Ces armures, cette dégaine, sûrement des défenseurs du Bien.

Bon ben , autant pour moi.

Donjon

J'ai aussi débloqué deux autres villes, Ul'Dah et Limsa Lominsa. Ce qui me fait beaucoup de zones à explorer. De plus, les voyages en "Hautvent" me sont accessibles. Et ils sont moins chers que la téléportion (celle-ci ne coûtant pas de mana, mais bien des gils). Et enfin, j'ai fait mon premier donjon. Je sais que j'avais dit que j'attendrais de le faire avec des amis, mais comme c'était un passage obligé dans l'histoire, j'y suis tout de même entré. Il y a deux possibilités, soit on fait le donjon solo (avec des PNJ) soit ont le fait avec des autres joueurs (les joueurs étant mis ensemble en fonction de leur rôle). J'ai choisis cette dernière option.

Comme c'était mon premier donjon, j'ai eu 4 tutos qui ont popé tour à tour. Dans une donjon, avec d'autre PJ tu n'as pas vraiment le temps de lire, j'ai dut skipper ces tutoriels et les lire en sortant. Tout c'est passé très vite, en faite j'ai à peine eu le temps de me rendre compte de ce qui se passait, j'ai juste suivi la personne qui semblait leader le groupe et je l'ai soigné en boucle (c'est la seul qui prenait des dégâts aussi). Je pense que j'aurais dût faire le donjon en solo pour la première fois, mais je voulais avoir la full expérience.

Moi à coté de la personne que j'ai soigné tout le long du donjon

Donc en résumé, je n'ai toujours pas fini la quête qui m'amène à débloqué l'hôtel des ventes, mais je suis en bonne voie et j'ai eu droit à un max d'histoire pendant ma dernière session. Si aujourd'hui on me demande ce que je pense de ce jeu, je dirais que c'est de loin le meilleurs MMORPG auquel j'ai joué et qu'en tant que fan de Final Fantasy, on est absolument pas déçu.

[mokosempai]

Thomas joue à Warhammer 40K: Mechanicus #6

Spoiler alert: je me plaint beaucoup dans ce post.

Quinzième mission

Un truc qu'il me manque dans ce jeu, c'est la possibilité d'annuler le mouvement. Je parle pas d'annuler l'action, mais juste le mouvement. Parfois je fais des erreurs de placement et j'aimerai pouvoir les corriger.

Un autre point désagréable: C'est le temps que prend un tour complet de jeu quand on il ne reste qu'une unité ennemie sur la carte et que tout vos prêtes sont déployés. Vos tours prennent alors une éternité à jouer alors que vous n'avez qu'une ou deux unités vraiment utiles.

Je m'explique, le système est fait pour que si vous ne voulez qu'un prête agisse plus tard, vous finissez son tour sans rien faire et il agira en fin après toute les autres unité. C'est très bien quand on est effectivement intéressé par agir plus tard, mais dans le cas où vous ne voulez vraiment rien faire, ça prend deux fois plus de temps, car il faut terminer les tours deux fois. Et quand c'est 6 sur vos sept unités qui doivent ne rien faire, les tours prennent un certain temps.

Après je ne devrait pas me plaindre, je préfères quand c'est comme ça que quand c'est le contraire ^^.

Videx, fidèle à ses principes

Seizième mission

Je pensais faire la mission du boss, mais après avoir monter le niveau de mes prêtes, je me suis retrouvé avec trop peu de pierres noires pour pouvoir déployer des troupes correctes. En effet, les troupes coûtent des points de connaissances à déployer pendant la mission, mais elles coûtent aussi des pierres noires si on veut les prendre en mission. J'ai donc fait une mission pour accumuler un peu de ressources afin de ne pas allez tout nu voir le boss.

Vous allez dire que je ne cesse de me plaindre, mais j'avais prévenu. J'aimerai, donc, parler d'un dernier point que je trouve désagréable: l'affichage lors du placement des troupes. Je trouve la carte très peu lisible dans ce mode là et ça m'est arrivé plusieurs fois de faire des erreurs tactiques par manque de lisibilité. Je trouve ça dommage qu'on ne puisse pas switcher pour une vue plus standard.

La vue en question. Je la trouve vraiment illisible.

Dix-Septième mission

J'ai finalement décidé de faire une mission de l'extension Heretek plutôt que d'aller voir le boss. Ces missions n'augmentant pas le taux de réveil des nécrons (logique c'est de prêtes rénégats dont il s'agit).

La mission est indiquée comme facile et cette fois ça a vraiment été le cas, j'ai roulé sur les ennemis de manière violentes. A la fin j'ai eu droit à discuter avec le boss des rénégats. Son nom m'échappe là tout de suite, mais j'adore son design.

Regardez moi cette tête de vilain charismatique (un peu arachnoïde)

Bon là je crois que je suis prêt pour affronter le nouveau boss. Je suis à 47% de taux de réveils donc quasi à la moitié, il serait temps que je me réveille aussi et que je me fasse quelque boss en chaîne (si c'est possible), car là j'ai peur d'être un peu cours. Notez je sais pas combien il en reste à vaincre...

[mokosempai]

Les Aventures d'Adenophora Morpho #2

Un peu d'histoire

J'ai donc rejouer à FFXIV, même deux jours de suite. Je suis maintenant Elementaliste niveau 16 (GG moi ^^).

Adenophora dans son costume actuel

Je prend vraiment beaucoup de plaisir à jouer, même si la plupart des combat se résume à lancer Terre en boucle (parfois Vent aussi ^^) et que la plupart des quêtes restes très FedEx.

Ce que j'aime c'est que malgré tout on sent que le monde est bien écrit et que SquareEnix a pris le temps de rendre ça vraiment cohérent.

J'ai été cueillit par une des quêtes que j'ai réalisée. C'était quête toute simple: Une fille reçoit des lettres avec des cadeaux d'un inconnu. Elle sait que les cadeaux sont des présents volés. Le voleur lui a demandé de la rencontré et la fille m'a demandé d'aller au rendez-vous à sa place. Je vous passe les détails mais il se trouve que le voleur est son frère que ses parents avait chassé et qu'elle avait oublié. Ce que j'ai aimé, même si c'est resté assez simple et court, mais que la conclusion a été plus intéressante que prévue. De plus, on apprend un peu plus sur Gridania et sur les us, coutumes des habitants.

Aussi j'ai aussi eu droit à mes deux première instance. C'était chouette d'avoir droit à des gros morceaux d'histoire, avec des cinématiques qui plus est.

Une cinématique avec des vrais morceaux d'histoires dedans.

Pour le moment l'histoire principale est intrigante (je n'en suis qu'au début). J'ai hâte d'avoir la suite. J'ai aussi débloqué de l'histoire via ma quête de classe. C'est marrant car c'est deux histoires complètement différentes (enfin, je crois). C'est un peu comme lire plusieurs livres à la fois (ce qui m'arrive tout le temps). Chaque fois que je continue une quête c'est comme lire une page d'un des livres. Et j'imagine que ça ne va pas se limiter à deux "livres".

Je sens que je vais revoir cette petite dans un avenir proche.

Beaucoup de systèmes

Je viens de passé un cap: j'ai débloqué les "mandats de guilde" et les "opérations de guildes". Si j'ai bien compris, les premiers sont des quêtes timés alors que les seconds sont des missions à faire en groupes. Je pense que je vais mettre ça de côté pour la longue session prévue avec des amis. Il y a pas mal de systèmes déjà maintenant, et je vois qu'il y a encore des entrées dans des menus que je dois débloquer. J'espère sincèrement que je vais ne pas être submergé par la quantité de choses à faire. Quoi qu'il arrive, je pense que je vais me concentrer sur l'histoire. C'est un peu pour ça que je joue à ce jeu (Et aussi pour jouer des amis de temps à autre ^^)

Tout ce monde.

[mokosempai]

Les aventures d'Adenophora Morpho #1

1ére Session

J'ai donc commencé à jouer à Final Fantasy XIV. Ce jeu est sorti initialement en 2013, et a fait l'objet de 4 extensions dont la dernière "Endwalker" est sortie l'année passée. C'est donc plus ou moins 9 ans après sa sortie que je découvre ce jeu.

Je suis très fan de la série en générale, mais c'est la première fois que je met les pieds dans une version MMORPG. Un ami me l'a chaudement recommandée.

J'avais jusqu'à présent résisté, mais cet ami semblait vraiment beaucoup aimé le jeu et m'a promis que l'histoire en valait la peine. J'ai décidé de lui faire confiance et me voici donc en train de jouer à ce jeu.

Le début de l'aventure

J'avais déjà joué à des MMORPG, comme Fly For Fun (FlyFF) or Star Wars the Old Republic (SWoR) et une chose que j'aime, c'est de voir la vie autour de moi. Aller dans un endroit et se rendre compte qu'il y a plein de gens, je trouve ça fun. Je n'aime pas forcément interagir avec les gens, mais voir qu'il y a du monde autour de soi rend le jeu "vivant". Par exemple, dans Dark Soul, voir les fantômes des gens me fait me sentir moins seul dans le jeu.

Des gens autour de moi.

Mon personnage se nomme Adenophora Morpho, c'est une Lalafel Élémentaliste. J'ai choisis cette race car j'aimais bien l'idée de jouer une personne de petite taille.

Les gens la regarde de haut, littéralement.

Pour le moment, les quêtes que j'ai faite ne sont principalement que des quêtes "FedEx" (aller quelque part pour porter un objet ou en récupérer quelque chose ou bien tuer des monstres).

Après, je ne m'attendais pas à autre chose, ça permet de se familiariser avec l'univers et les systèmes. Dans MMORPG, il y a vraiment beaucoup de choses de choses à apprendre. Parfois c'est même un peu trop, si on me demande.

Exemple typique de quête FedEx

Si je dois comparer à mes autres expériences, dans SWoR j'étais un perdu dans les systèmes, je n'ai jamais vraiment senti que je maîtrisais 100% de ce que je faisais (90% tout au plus). Ici, jusqu'à présent, je comprends tout. Il faut dire que je trouve le système de tutorials assez bien fait. Les textes vont à l'essentiel et explique bien ce qu'il en retourne. Aussi, Il est fort probable que le faite que joue seul pour le moment m'aide. Je peux prendre le temps de lire sans avoir peur de faire attendre quelqu'un. L'ami en question est venu me rendre visite mais c'est plus ou moins la seul interaction que j'ai eu avec un autre joueur durant le jeu Détails important, je joue à la manette. J'ai le faite de dirigé mon personnage avec un contrôleur et non au clavier, surtout dans ce genre de jeu. Je dois avouer que les contrôles sont plutôt bien fait et ne m'ont pris au dépourvu. Si besoin est, je peux toujours utiliser la souris et le clavier. Il est ceci qui normal que les contrôles à la manette soit bon, le jeu a été publié aussi sur console. Je ne sais pas comment ça va se passer pour la suite, mais actuellement, lors de la montée de niveau aucun choix n'est donné, vous montez simplement de niveau, vos stats sont adaptées en conséquence et vous recevez vos nouvelles compétences. C'est aussi ce que je trouvais dommage avec SWoR. Après je sais que je vais pouvoir choisir de jouer toute les classes que je désire et aussi pouvoir choisir différentes voies. J'ai d'ailleurs décidé que je me dirigerais vers la classe de mage blanc dés que le choix me sera donné.

La montée de niveau, c'est toujours un petit événement tout de même.

Si je dois résumer mon premier périple dans le monde de Ætherys, je dirais que je ne suis pas déçu. J'ai aimé joué au jeu, découvrir la ville de Gridania et ses environs, réaliser des quêtes et suivre les prémices de l'histoire. J'aime bien que même derrière les quêtes FedEx tu sens qu'il y a de l'écriture. J'ai vu plein de choses autour de moi que je ne comprenais pas, j'ai vu un cube bizarre flotter dans le vide, j'ai vu une sorte de faille se refermer. J'imagine que ce sont des effets de compétences ou bien même des effets cosmétiques, mais en tout cas j'aime vraiment le faites de les découvrir avec des yeux innocents. À l'inverse d'un jeu vidéo classique, tout ce qui se passe dans le jeu ne concerne pas forcément le joueur, et tu peux donc être simple spectateur.

Une chose qui ne change pas d'un RPG classique c'est qu'au début vous affronté des monstres qui inspirent pas trop le danger.

En gros, je suis un peu impatient d'y retourner. Avec quelque amis on a prévu de se faire une grosse session de jeu dans un avenir proches, j'ai hâte.

[mokosempai]

Retro gaming: Commander Keen

Préambule

En ce moment je lis Masters of Doom de David Kushner, un livre qui raconte l'histoire de John Romero et John Carmack, les créateurs de Doom. Je ne peux que vous conseiller de lire ce livre, surtout si le domaine du jeu vidéo vous intéresse.

Avant de dévelloper Doom, avant même Wolfenstein, ils ont sorti un jeu nommé "Commander Keen in Invasion of Verticons".

Regardez moi ce bel écran titre 16 couleurs.

Celui-ci était divisé en trois épisodes, le premier gratuit et les deux autres pouvant être acheté pour la somme de 30$. Ce principe de ventes , populaire dans les années 90, est nommé shareware. En lisant le chapitre 5 de "Masters of Doom", ma curiosité a été piquée et j'ai donc voulu tester Commander Keen. À la base, John Romero et John Carmack, accompagné de Tom Hall et Adrian Carmack (aucun lien de parenté avec John), avaient conçu un clone pour PC de Mario 3. En effet, les PC étant moins puissant que les consoles tel NES de chez Nintendo, effectuer un jeu en side scrolling semblait impossible. Le problème étant que ce genre d'effet est très gourmand, car l'écran doit être raffraichi à chaque frame. Mais, John Carmack, lui, y est arrivé.

En un week-end, donc, à quatre, ils développèrent un clone de Mario 3 composé de reproduction fidèle des niveaux du jeu original. Il envoyèrent ce clone à Nintendo sous le nom de "Idea From The Deep". Leur but étant de proposer de porter Mario 3 sur PC. Cependant, Nintendo a refusé leur offre, préférant resté uniquement dans l'univers des consoles. Face à ce rejet, l'équipe décida de créer leur propre jeu, Et donc, aidé par Scott Miller, fondateur de Apogee, ils créèrent Commander Keen sous le nom de ID Software.

Finalement "Idea from The Deep" est devenu "id Software" for "In Demand Software"

Je vais parler ici de deux des huits épisodes de la séries.

Commander Keen in Marooned on Mars

Sorti dans la période de Noël 1990, il est le premier la série de trois épisodes de "Invasion of Verticons". C'est donc l'épisode shareware gratuit .

Six des huit épisodes sont disponible sur Steam pour un prix largement en dessous de 30$. C'est donc la version fourni par Steam que j'ai joué. L'histoire est simple: Commander Keen est sur Mars, les aliens de Verticons IV ont volé 4 éléments de votre vaisseau, vous devez les retrouver. Pour se faire vous vous déplacer sur une carte vu de dessus pour chercher des lieux. Chacun de ces lieux est un stage de jeu de plateformes. Même si la carte du mondes semble plus libre et et que les niveaux ne sont pas de simple numéro (ou châteaux), on sent tout de même que l'influence de Mario 3 est présente.

Début du jeu: le premier niveau ce trouvant sur la droite

C'est très chouette d'avoir l'occasion de jouer à ce jeu après avoir lu plusieurs pages sur les conditions dans lesquelles il a été développé. Ce jeu, ils l'ont créé alors qu'il travaillait pour Softdisk, une entreprise qui vendait des logicielles et des jeux vidéos.

Toute l'équipe de id Software travaillait là-bas et développait Commander Keen durant les soirées, les nuits et les week-end. Ce ne leur à pris que quelques-mois pour sortir ce jeu. Autant vous dire qu'il y a eu pas mal de pizzas ingurgitées et que les sodas qui ont coulé à flot.

On peut reconnaître des cannettes de Pepsi, hommage à la boisson qu'il buvait pendant le développement (il y a aussi un bonus en forme de part de pizza ^^).

La partie plateforme du jeu donne vraiment bien. Les niveaux sont court et exploite bien la verticalité. Il y a beaucoup d'items à récupérer mais la plus part ne sont que des bonus sous formes de points. Seuls les keys cards (comme dans Doom ^^), le pogo-stick et les pistolets laser ont une utilité dans le gameplay, le reste ne fera que grandir votre high score.

Concernant le saut, l'animation cause un petit délai entre le moment où vous appuyer sur la touche et le moment où le saut à lieu. C'est super dérangeant, mais sans être à ce point, ça m'a rappeler un peu Prince of Persia.

Quand on tire sur un alien, il y a une brève animation avec un "ZAP" et il est mort et son cadavre reste là. C'est en opposition avec ce qui se faisait à l'époque, mais Tom Hall voulait mettre l'accent sur les conséquences des actes violent.

J'ai tenu à jouer avec les commandes par défaut pour retrouver l'expérience prévue par les développeurs. Le saut sur la touche "ctrl" et le tir sur "alt gr" m'ont un peu décontenancer, j'ai plus l'habitude que le saut soit sur "space" et le tir sur "ctrl". C'est une petit gymnastique mentale.

Une chose pour laquel Commander Keen est célèbre, c'est pour le SGA (Standard Galactic Alphabet). On le retrouve partout dans le jeu et si on le comprend, il se peut que certains panneau révèle des secrets du jeu.

Les texte dit " This is neat." et "Die" (charmant).

Ce célèbre alphabet est utilisé dans Minecraft. Les tables d'enchantements utilisent le SGA pour leur interface.

Il y a deux types de niveaux. Les niveaux classiques qui sont des passages obligatoires, soit pour passer à la suite, soit pour récupérer un élément du vaisseau. Et les niveaux nommé shrine qui ressemble à de petit cônes sur la cartes et qui se terminent par une antenne qui diffuse un message télépathique. Ces messages sont là pour aider Commander Keen. Ces niveaux sont optionnelles mais fort utile. L'un d'eux par exemple vous procure le pogo-stick, qui est essentielle pour parvenir à finir le jeu.

L'un des nombreux conseils que vous pouvez trouver.

Ce jeu est vraiment fun à jouer. Une fois les contrôle assimilé, j'ai vraiment pris du plaisir à y jouer. Après, il est bourré de défaut qui aujourd'hui seraient impardonnables, mais si on prend assez de recule, on comprend assez bien pourquoi ce jeu a été un succès à l'époque.

De plus, on voit clairement le ton et les idées un décalée qui ont été la marque de fabrique de id Software.

Commander Keen in Keen dreams

La version que j'ai jouée est la version Nintendo Switch, il y a des différences entre cette version et l’originale, entre autres, les musiques et certains son.

Ce jeu a été créé entre Keen 3 et Keen 4. Ce jeu est souvent référencé comme "The Lost Episode", sans doute car Il a été developpé par l'équipe d'id Software lorsque qu'il était en contrat avec SoftDisk ce et donc qu'il n'est pas édité par Apogee.

L'histoire est encore une fois très simple, Billy Blaze alias Commander Keen, refuse de manger ses légumes, argumentant que puisque qu'il a sauvé la Terre des Verticons, il pouvait bien ne pas mangé des légumes si il voulait. Après avoir été dormir, il se réveille sur une montagne dans un univers où les légumes règnent et est dirigé par le roi des pommes de terre, Boobus Tuber.

Commander Keen se réveille cans son lit qui a été transporté sur une montagne.

J'ai joué à ce jeu en premier, me disant que j'aurais une expérience complète de Commander Keen avec celui-là. Mais, ce que je ne savais pas, à ce moment là, c'est que ce jeu est à part dans la série. Pas de pogo stick, pas de pistolet laser et pas de SGA. On a comme seul arme que des balles de "flower power" qui transforme temporairement les ennemis en fleur.

Le principe reste le même, parcourir une carte du monde pour trouver des niveaux qui sont des jeux de plateformes

Comparé à Keen 1, le saut réagit directement, mais par contre vous ne pouvez pas le doser, Il sera toujours le même, peu importe le temps que vous appuierez sur le bouton. En plus Commander Keen saute assez haut, plus haut que ce à ce qu'on peut s'attendre.

Certains des ennemis lâchent des projectiles. La direction des projectiles est un peu aléatoire ce qui rend très difficiles l'anticipation et en plus certains des projectiles sont vraiment petits. Les deux mis ensemble, ça donne des envies de meurtres (oui, c'est à toi que je pense "Frenchy").

Ce ... panais? m'a rendu fou.

Globalement j'ai été déçu par ce jeu, ce n'est vraiment pas l'ambiance que j'attendais d'un Commander Keen. C'est dommage que ça soit le seul jeu de la série qui a été porté sur Switch. J'imagine que c'est une question de droit. Celui-ci ayant été édité par SoftDisk, qui n'existe plus à l'heure actuels. Les droits sur le jeu on été abandonné ce qui l'a rendu plus accessible au portage que l'un des autres épisodes.

Le saut étant difficile à gérer, le faite que la trajectoire de certains ennemi ou projectile est imprévisible rende le jeu assez peu agréable à jouer. J'ai pris largement pris plus de plaisir à jouer au première épisode de Commander Keen.

Les moustiques que vous voyez là font partie du décor, au début je pensais que c'était aussi des ennemis. Personnellement je trouve que c'est un mauvaise idée de mettre quelque choses d'aussi notable comme faisant parti du décor, ça rend le jeu un peu confus à lire.

Si vous voulez l'essayer, je vous conseil de télécharger la version PC. Cette version est ce qu'on appelle un abandonware, un jeu sur lequel les droits ont été abandonné.

Vous pouvez le télécharger sur des sites comme Abandonware France et y jouer en toute légalité.

En conclusion

C'est vraiment du retro gaming pur et dur, j'entend par là qu'il n'y a pas d'intérêt d'y jouer actuellement si ce n'est par nostalgie ou curiosité. J'étais personnellement passé à coté dans les années 90. Comme je l'ai dit plus haut, je suis content d'y avoir joué en connaissant le contexte de sa création. J'adore connaître plein de factoids sur les jeux vidéos auxquels je joue. En générale je fais l'exercice dans l'autre sens: je joue au jeu et puis je me renseigne. Là c'était vraiment cool de faire l'expérience inverse et de pouvoir détecter directement ce sur qui j'avais lu.

Sources

Masters of Doom: How Two Guys Created an Empire and Transformed Pop Culture, David Kushner.

Keenwiki

Commander Keen Fans

Abandonware France

[mokosempai]

Thomas joue à Warhammer 40K: Mechanicus #5

Préambule

J'ai accès à une mission de boss. J'ai décidé d'attendre un peu avant d'y aller. Elle est estampillée difficile. Je vais donc être prudent et prendre encore un peu de bouteille avant d'y aller

Douzième mission

C'était une mission de l'extension Heretek.

Dans cette extension, en plus d'ajouter la disciplines Xénérite, il y a des missions supplémentaires. Ces missions ne sont pas liées au Nécrons, mais à des prêtres hérétiques de l'Adeptus Mechanicus.

J'adore le décor.

J'avais déjà fait une mission de ce type qui était censée être facile. Tout mes prêtres ou presque avait été one-shooter, ça avait été une hécatombe.

Là fort de mon expérience et de ma connaissance plus approfondie du jeu et des équipements. Je me suis dit: "Cette fois, la mission facile, sera vraiment facile".

Et bien pas tant. Seul mon prête soigneur, Oriocus de son petit nom, a survécu. Le faite qu'il joue aussi le rôle de tank l'a sauvé.

Oriocus, seul contre tous.

Treizième mission

Première mission avec des combats optionnelles sur la carte (hors tutorial). Est-ce que j'ai essayé de tous les faire, évidemment.

Ai-je réussi?

...

...

Et bien oui!

Bon le Magos Jeremiah n'a pas survécu à la première bataille, mais sinon tout c'est bien passé. Je dois aussi remercier l'infiltrator, ma nouvelle troupe qui est invisible jusqu'à sa première attaque. Ça m'a beaucoup aidé.

L'infiltrator a vraiment l'aspect d'un robot pour le coup.

Quatorzième mission

Je suis finalement allez vers le boss: L'Amiral du Vide. Vu que je venais d'atteindre 36% de l'éveil des Nécrons, je me suis dit que c'était peut-être le moment d'y aller.

Regardez comme il est beau.

La mission, bien que labellisée difficile, a été extrêmement facile. Le boss à 40 points de vie (pour référence, mes prêtres ont entre 12 et 18 points de vie). Mais la configuration de la carte et le faite que ce boss se bat au corps à corps m'a permis que de le coincé entre toutes mes unités qui ont concassé ce Nécron comme si il était fait de papier mâché.

Suite à cette mission, un autre boss est disponible. Je pense que je vais encore faire une mission et puis me refaire un bosse. Je suis à 41%, faut plus que je traîne de trop.

[mokosempai]

Thomas joue à Warhammer 40K: Mechanicus #4

Neuvième mission

J'ai débloqué une nouvelle aire du jeu, un nouveau secteur, c'est le troisième que débloque. Celui-ci se caractérise par son coté gore et son grand nombre d'écorcheurs. Il y a du sang sur les murs, des tissus (de la peau?) déchirées pendue ça et là.

C'est un peu gore et j'adore (ça rime). Malheureusement je n'ai pas fait de capture d'écran, mais promis, la prochaine fois que j'y passe je vous montre.

La mission s'est passée sans aucun soucis, les écorcheurs présent ici n'ont eu aucune chance face à mes trois prêtes sur-armés.

Dixième mission

J'ai encore débloqué une zone, le Secteur Mhelob.

Les descriptions mettent vraiment bien dans l'ambiance.

Pour cette mission je devais détruire la statue d'Agrolek. Encore une fois je trouve dommage que l'on n'a l'occasion de voir la statue elle-même. Après cette fois-ci l'objectif final n'était pas de tuer tout les Nécrons mais de fuir. C'est un changement notable.

C'est encore une mission de Khepra. J'aime bien le faite que chacun à ses préoccupations et qu'en fonction de la personne que l'on choisit on sait le type de mission que ça va être. Les missions de Khepra sont toujours en rapport avec les Skitariis. Que ça soit pour les sauver, les protéger ou même le remonter le moral, comme cette fois.

Je me demande si ça à un impacte de faire plus de mission d'un prêtre plus que d'un autre 🤔

Suite à la mission, j'ai récupéré un nouveau prête, celui-ci va être un healer/tank.

Pour l'occasion j'ai changé les couleurs de ma cohorte.

Onzième mission

J'ai atteint mon record d'indice de menace, la mission comptait deux combat, j'ai donc pris plus de temps, et par extension le niveau de menace est monté plus haut.

Les Nécrons, au niveau 5, se réanime en 1 tour. Ça devient un peu challenge pour les tuer. Mais encore une fois, j'ai des super tech-priest et les combats ne leur ont posé aucun problème.

J'ai aussi découvert un nouveau type d’unités, les Cryptek, qui sont en gros des healers nécrons. C'est cool de voir que le jeu se diversifie en unités ennemies avec le temps et qu'on est donc forcé à revoir sa stratégie pour être efficace.

Les commentaires de Scaevola sont toujours parfait.

En parlant de diversification d'unités, j'ai oublié de vous dire qu'au fur et à mesure des missions, j'ai débloqué des troupes, autre que les serviteurs. J'ai donc des Rangers, des Vanguards et des Vanguard alpha. Chacune de ses unités coûtent un nombre de pierres noires pour pris en mission et, à l'instar des serviteurs, elles coûtent des points de connaissance pour être déployer.

Personnellement, j'aime beaucoup les Vangards Alpha et leur taser et les ranger et leur attaque à distance assez efficace.

Ce qui est vraiment cool avec ce jeu, c'est qu'après chaque mission, on a de nouvelle possibilité qui se débloque. Le jeu évolue en permanence, et donc il y a toujours quelque chose à découvrir. Et ça c'est cool.

Il reste un slot de libre pour un autre type de troupe.

[mokosempai]

Thomas joue à Xenoblade Chronicles #1

Préambule

Même si j'ai commencé ce jeu avant de commencer ce journal (à l'heure actuel, je suis à 29h de jeu), je pense que je lui dois au moins une entrée.

Par contre, ce post va contenir des spoilers, dans les images et dans le texte. Si vous voulez les éviter, passez votre chemin (et revenez quand vous avez fini le jeu bien évidemment^^).

Je suis un grand fan de space opéra. Un des jeux que j'ai le plus aimé, est Mass Effect. J'ai adoré l'histoire de ce jeu même si la fin était vraiment décevante, le voyage en a vraiment valu la peine.

J'adore aussi Star Wars et pour moi les jeux de cette license sont souvent très bon jeux, j'ai évidemment beaucoup aimé le premier Knight of the Old Republic.

Si je parle de tout ces jeux en préambule, c'est que Xenoblade Chronicles me renvoie au même genre de sensation que celle que j'ai en jouant à Mass Effect ou même au jeu Star Wars. Quand j'y joue j'ai vraiment l'impression de faire partie de l'univers du jeu.

Attention si vous vous attendez à faire de choix dans le jeu qui vont avoir une répercussion sur les deux prochains volumes de la saga, vous n'y êtes pas du tout. Quand je fais le rapprochement c'est uniquement pour l'ambiance du jeu, pas pour les différents embranchement scénaristique.

Ce jeu est d'abord sorti sur Wii et ensuite sur new 3DS. À l'époque je l'avais pris sur cette dernière. J'avais jouer une trentaine d'heure et puis je l'avais mis de coté, non pas que je n'aimais plus y jouer, mais plutôt qu'un autre jeu avais pris sa place.

C'était souvent comme ça avant, si je ne finissais pas un jeu avant de commencer un autre, le dernier chassait le premier et à de rare exception je ne le finissais pas.

Je parle au passé car j'essaie de me soigné de ça.

Comparaison entre les consoles (source nintendo-master.com)

Quand la "définitive éditions" a été annoncée, je me suis dit "parfait, je vais le recommencer", ce que j'ai fais, mais pour l'abandonner encore une fois.

Le pire c'est que j'avais vraiment envie de le finir. J'ai donc repris ce jeu et pris la décision de ne pas commencer d'autre "gros jeu" avant de finir celui-ci. Le faite de l'écrire ici est un autre preuve d'engagement à cette décision.

Le monde

Je n'ai malheureusement pas d'image du début du jeu, je n'ai commencé à capturer des images que très tard.

Dès le début du jeu, grâce, entre autre, à la scène d'intro, on comprend que le monde dans lequel on va évoluer est immense et que l'histoire va se passer dans des décors grandiose. Même après l'introduction, alors que l'on commence à jouer Shulk, et qu'on est limité à se déplacer dans une seule zone, la colonie 9, on comprends que les environnements vont être une partie importante du gameplay.

Cette sensation de voyager dans un décor immense est vraiment une des features qui rend le jeu impressionnant et très immersif.

Dans un de ses anciens post de blog, un ami y fait référence comme un point de sa GameDev Bucket List. Il a même été jusqu'à intitulé ce point "The Holy Grail".

... et je suis sincèrement d'accord avec lui.

"Monolith Soft as managed to craft a huge, open, and almost seamless world like nothing I have been able to experience in a game."

("Monolith Soft a réussi à créer un monde immense, ouvert et presque sans faille, comme je n'en ai jamais connu dans un jeu.")

Petit aperçu de la "Jambe de Bionis"

Un peu d'histoire

L'histoire prend place sur le corps de deux titans, Bionis et Mekonis. qui se sont entre-tué.

Après leur mort, leur corps a alors été colonisé par des formes de vies. Parmis celle-ci on trouve les Homz vivant de Bionis et les Mékons provenant de Mékonis. On comprend assez vite que ceux-ci s'affronte comme si cela était la prolongation du combat des deux titans.

Les Homz sont clairement en infériorité, mais ils possèdent une arme, la Monado. Cette épée est elle capable de blessé les Mékons qui sans ça semble invulnérable. L'arme est portée par un homme du nom de Dunban, celui-ci est semble être le seul à pouvoir porté la Monado, même si l'on découvre très vite que manipuler l'arme semble le blesser.

L'histoire du jeu commence un an après la victoire des Homz aidé de Dunban et de la Monado, on incarne Shulk un ami de Dunban et de Fiora, la soeur de ce dernier.

Ce qui j'ai vraiment aimé c'est que le jeu commence par du slice of life de la vie de Shulk. On se balade dans la colonie 9, une ville d'Homz, et dans ses alentours. On va rencontrer, on y rencontre Reyn, Dickson et donc aussi Fiora. Le début vraiment très doux.

Vraiment le début, vous permet d'apprendre à connaître les personnages et leur caractère.

Une fois qu'on est bien attaché aux personnages, le jeu balance dans un autre mood, une attaque de Mékons.

L'attaque des Mékons de la colonie 9, la rencontre avec le Facia Noir (Black face en anglais) et surtout la mort de Fiora mets très fort l'accent la tournure que va prendre l'histoire du jeu.

Cette scène...

Mais très sincèrement, du haut de mes 29 heures. Ce jeu est vraiment géniale et donne des frissons que ça soit par l'histoire ou par l'immensité et la beauté des décors.

Ce que j'aime dans l'histoire de ce jeu, c'est que à chaque fin de chapitre on a droit à une cinématique et que plus le jeu avance, plus on est plus sûr de ce qu'on croyait avoir compris. Que sont les Mékons qu'était le Facia Noir? (À cette question, je pense avoir une réponse).

Plus j'écris sur ce jeu, plus je me rends compte que je vais jamais pouvoir résumer tout ce que je veux dire dessus en un poste. C'est trop long. Je voudrais parler de la manière dont les visions dans l'avenir sont incluses dans le gameplay, du système de quête qui sont vraiment bien pensée. De la relation que l'on crée avec les gens que l'on rencontre et ceux de l'équipe de héros.

Je vais donc m'arrêter ici, pour aborder tout ça dans de futurs postes.

un exemple de biome parmi tant d'autre

[mokosempai]

Thomas joue à Warhammer 40K: Mechanicus #3

Sixième mission.

Encore un échec: J'ai survécu au premier combat, mais le suivant était trop difficile, mes unités ayant trop souffert durant le précédent affrontement.

Ceci dit, malgré l'échec, j'ai gagné un petit paquet de pierres noires. J'ai donc pût upgrader Leonardus au rang 6. Je pense que la prochaine mission se passera mieux.

Il y a toujours une petite phrase réconfortante et chargée d'espoir lors de l'échec d'une mission.

Une petite explication sur les disciplines dans le jeu s'impose: À chaque montée de rang, vous pouvez augmenter une des disciplines disponibles. Ces disciplines représentent une voie possible dans l'Adeptus Mechanicus. Un niveau impair dans l'une d'elles donne un accès à une compétence et un niveau pair, donne accès à un équipement propre à la discipline. Pour le moment je ne monte qu'une discipline par prêtre, même si il est possible qu'ils soient pluri-disciplinaires. J'ai aussi mis 6 missions à comprendre de l'équipement spécifique devait aussi être équipé une fois acquis. Cela explique sans doute mes échecs récents 😅

Septième mission.

Le but de la mission est d'aller récupérer une unité et un Oculus Topographica. Je suis déçu: le jeu en parle, sans jamais le montrer. C'est souvent le cas, dans chaque mission il y a un but (sauver une unité, récupérer un objet, ...) et souvent l'objectif final se transforme en détruire tout les nécrons et cela sans jamais voir ce pourquoi vous êtes venu. Les dialogues vont en parler, mais jamais on ne les voit.

Ceci dit les textes sont un peu plus recherché que "vous avez sauvez l'unité!" Pour cette mission j'ai refais l'équipement de mes prêtes comme il faut. Cette fois-ci j'ai fini la mission sans difficultés. À croire qu'être correctement équipé peut aider.

En parlant de mes prêtes, voici la composition de mon équipe:

Magos Jeremiah, spécialisé en corps à corps. Discipline Tech-Auxilum.

Magos Leonardus, qui est plus dans le tir à distance, Discipline Dominus.

Magos Manarius, c'est un touche à tout. Discpline Xenarite.

En lisant un peu sur le sujet, j'ai cru comprendre que la Discipline Xenarite faisait parti d'un DLC nommé "Heretek", mais la version que j'ai acquise sur Switch le contenait déjà (et je ne l'avais pas remarqué).

Le Magos Jeremiah a bien changé depuis la dernière fois que vous l'avez vu.

Huitième mission

Je reste très fan des voix métalliques simulant les dialectes de l'Adeptus Mechanus. Les voix sont toutes différente et s'accorde bien avec la personnalité (ou ce qu'il en reste) des personnages.

Une autre mécanique dont je n'ai pas encore parlé, ce sont les cantiques. Ce sont des "pouvoirs" que vous pouvez une fois par missions. Il est possible d'en prendre 3 avec soi.

Chaque cantique se débloque en accomplissant remplissant des tâches comme utilisé des points de connaissance, tuer des ennemis ou un certains type d'ennemi. À chaque fin de mission ils se débloquent si la condition est remplie.

Utilisation d'un cantique plutôt efficace. Chaque mission vient avec ses récompenses, que l'on connaît à l'avance. J'aime vraiment bien la manière dont on choisi les missions. On sait que le nombre de déploiement est fini même si on ne sait pas exactement combien, donc choisir les récompenses de missions est aussi très important et fait partie de la stratégie de priorisation.

Sans doute ma prochaine mission.

Je suis à ma 8e mission et et je suis à 22% du protocole d'éveil. Un petit calcul rapide me dit que si cela continue de cette manière, il me reste 24 missions.

[mokosempai]

Thomas joue à Warhammer 40K: Mechanicus #2

Deuxième mission.

À l'heure où j'écris ces mots le protocole de réveil des Necrons est à 6%.

Je viens de finir ma deuxième mission. Si cela continue à ce rythme, je n'ai plus que 30 missions et encore, je ne suis pas sûr ça ne va pas encore accélérer.

Le choix est donné au joueur: je peux choisir d'explorer le strict nécessaire ou bien d'aller d'aller plus loin. Chaque nouvelle pièce explorée fait avancé le niveau de menace qui est converti en pourcentage à la fin de la mission.

Le niveau 1, c'est mignon, je suis déjà aller jusque 4. J'ai survécu sans difficulté, mais je ne suis pas sûr que ça va durer.

Ma première mission j'avais été conservateur et n'avais avancé que de 2% mais pour la deuxième mission j'ai été un peu plus curieux et j'ai donc été jusqu'à 4%. Espérons que je ne double pas là progression à chaque fois.

Troisième missions.

Je suis à 10%, j'ai encore une fois été un peu gourmand. Il y a tant de pièce à voir et de choix possible à faire que j'ai dur de me restreindre.

Dans une mission, quand vous entrez dans une salle avec un point d'exclamation vous déclenchez un event. Je suis vraiment fan de ce genre de mécanisme. C'est simple, vous avez 3 options et chacune de ses options a une conséquence. Déjà la manière dont les options sont formulées donne envie.

J'ai bien évidemment choisis "Purger"

Mais en plus le petit commentaire que fait parfois le donneur de mission est aussi très jouissif.

Aussi, j'adore voir comment les prêtes évoluent au fur et à mesure que je leur ajoute des augmentations sur tout leur corps. Plus le jeu avance plus il y a de possibilités, et donc moins ils seront humains plus ils se rapprocheront de la perfection.

Magos Jeremiah, un de mes deux tech-priests

Quatrième Mission.

14%, je garde le rythme...

J'ai bien failli ne pas finir la mission.

A la fin, il me restait qu'un seul prête, mais celui-ci a exécuté un critique salvateur sur une attaque d'opportunité juste avant de recevoir un coup fatal. L'esprit machine devait être avec lui.

En prime, un petit morceau de gameplay.

J'ai maintenant un nouveau prête. Leornadus. Il sort de l’œuf, mais j'ai dépensé assez de pierres noires pour le monter au rang 2.

Les pierres noires sont en quelque sortes les points d'expérience que l'on reçoit lors des missions. Elles servent à augmenter les prêtre de votre cohorte.

C'est une réserve commune pour tous les prêtes, ce qui veut dire que la montée de niveau d'un de vos tech-priest se fait au dépend des autres.

Cinquième mission.

Cette fois-ci j'ai échoué. La mission était censée être facile., le but était de matter une rébellion.

Deux de mes prêtes se sont fait one-shooter. Le troisième a réussi à se faufiler vers l'objectif. Le soucis est qu'une fois arrivé à celui-ci atteint, il fallait tenir 3 tours.

Il a tenu approximativement 0 tour.

Heureusement, la mort des tech-priests n'est pas definitive.

Petit point négatif: quand il y a beaucoup d'ennemis et pas beaucoup de vos personnages, les tours sont très longs et un peu ennuyeux. Dans le cas présent, quand il ne me restait qu'un prête, je devais attendre 1 minute avant de jouer mon tour qui, lui, prenait 20 secondes. Ce problème existait aussi dans Chaos Game (1999) ceci dit. Une options pour accélérer le temps aurait été appréciable

La mission est un échec, mais j'ai décidé de continuer (de ne pas recharger la sauvegarde). On verra bien ce que ça donnera.

La musique et les "voix"

Les musiques du jeu sont vraiment cool (vous pouvez en avoir un mini aperçu dans la vidéo au-dessus). Elles donnent parfaitement le ton. C'est épique comme ça doit l'être. J'adore. Si vous avez l'occasion de l'écouter l'OST du jeu, je vous la conseil. On peut facilement la trouver en streaming (sur Youtube par exemple)

Autre point que j'aime beaucoup, c'est les "voix" des membres de l'Adeptus Mechanicus. Si j'ai bien compris ils parlent des dialectes qui mélange les langues humaines et machines, pour simuler ça, leurs voix est une sorte de yaourt métallique qui rend vraiment bien.