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A Â C Â T Â U Â A Â L Â I Â T Â Ă Â S
Vous ĂȘtes une institution, une fondation, un particulier, entre autres. Vous souhaitez initier un projet (activitĂ©s, ateliersâŠ), en collaboration avec le Centre de recherche internationale de poĂ©sie (CRIP). Vous avez envie de doter un prix international de poĂ©sie : [email protected]
Récital de poésie : jeudi 20 mars 2025
Lieu : BibliothĂšque Saint-Simon (7e arrondissement, Paris)
JournĂ©e dâĂ©tudes internationales : samedi 16 novembre 2024
Lieu : Institut national de lâhistoire de lâart (INHA, Paris) Sujet : Ce que la guerre fait Ă la poĂ©sie
Récital international de poésie : jeudi 30 mai 2024
Lieu : Mairie du 5e arrondissement (Paris), place du Panthéon
JournĂ©es dâĂ©tudes internationales : vendredi 19 et samedi 20 avril 2024
Lieu : UniversitĂ© de Londres, Birkbeck (Royaume-Uni) Sujet : Les pratiques poĂ©tiques novatrices de langue française au XXIe siĂšcleÂ
JournĂ©e dâĂ©tudes internationales : mercredi 21 juin 2023
Lieu : Unesco (Paris) Sujet : Le haïku, dans tous ses états ?
Récital international de poésie : lundi 5 juin 2023
Lieu : Mairie du 5e arrondissement (Paris), place du Panthéon
JournĂ©e dâĂ©tudes internationales : samedi 19 fĂ©vrier 2022
Lieu : Ăcole normale supĂ©rieure (ENS-Ulm, Paris) Sujet : Une poĂ©sie pour le troisiĂšme millĂ©naire ?
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Always remember Bob Lind
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Lâacteur aveugle - Chapitre 2, Nuit 1 - Martha Foly
Ils marchent le long du boulevard oĂč toutes les boutiques sont fermĂ©es.
Quelques éclairages demeurent.
Il remontent une petites rue⊠sous les nĂ©ons rouges, une porte sâouvre, un client sort. Je regarde en arriĂšre ZoĂ© et Jack ; elle balaye lâair de sa main de droite Ă gauche. Nous nous engouffrons dans le battement de porte.
Ă lâintĂ©rieur, la lumiĂšre semble plus sombre que celle de la rue. Le bar est presque vide, les murs sont chauds. Le long dâun zinc rutilant se trouve deux clients, de lâautre cĂŽtĂ© une barman souriante.
ZoĂ© et Jack commandent deux verres dâeau, je ne commande rien.
Personne ne parle.
Je ne parle pas.
Pendant quâelle sert des verres aux deux autres individus, je croise deux fois son regard. La troisiĂšme fois elle sourit.
Je dis simplement :
- Comment allez-vous?
- Bien et vous?
- Bien, je crois.
Un silence. La barman demande :
- En quoi croyez-vous?
- Dans le fait que je vais bien.
- Je vous ai connu moins sûr de vous.
Un silence.
- On se connaĂźt?
- Un peu, il y a longtemps.
- Comment vous appelez vous?
- Martha, Martha Foly.
Un nouveau silence.
- Ah, je vois le problĂšme.
Un temps de pause.
- Apparemment
- Ce sont vos amis?
- Tout Ă fait.
- Ils ne boivent que de lâeau.
- Un autre problĂšme.
- Savez-vous ce quâils aiment?
Ils se retournent vers moi.
- La terre entiĂšre. Et, le Broully.
Je reprends la conversation avec la serveuse Martha Foly. Je lui demande simplement :
- Et votre réalité?
- Oui?
- Est-elle réelle?
- Quâest ce qui est rĂ©el?
- Je ne sais pas.
- Il faudrait un exemple.
- Lâaddition soustraite au compte en banque.
- Et pour le reste?
- Je suis ouvert dâesprit, je ne juge pas.
- Vous vous en ĂȘtes sorti en vie?
- Pour le tiers.
- Et le reste?
- Il me suit.
Un verre est posé sur le bar.
Chacun le regarde.
Une onde continuelle sâĂ©tend des bords au centre ; pourtant personne nây a touchĂ©. Je me prends Ă penser Ă la force de gravitĂ© et me lance dans un calcul pĂ©rilleux de lâintensitĂ© faible du tremblement de terre qui devait frapper Ă cet instant prĂ©cis.
La barman, Martha Foly me regarde.
- Tout va bien?
- Oui, je crois.
- TrĂšs bien.
DerriĂšre eux ZoĂ© et son partenaire sâesclaffent un livre Ă la main.
- Comme entrer en ville Ă bord dâun char !
- Ă bord dâun char, te rends-tu comptes !
- Je me rends compte, Ă peu prĂȘt.
- Il a des travers.
- Lesquels?
- Des travers purement poétiques.
Je reste lĂ et marmonne un :
- Je vous remercie.
Je me tourne vers Martha Foly, la barman et glisse :
- Il restera toujours le problĂšme de lâaltĂ©ritĂ©.
Martha esquisse un sourire triste.
Elle répond :
- Il suffit dâaimer, pas trop fort.
- Et le sentiment?
- On peut aimer le sentiment de lâautre.
- Une altérité en circonvolution.
- Oui, elle réside dans le silence.
DerriĂšre, ZoĂ© et son compagnon sâĂ©crient :
- Et le drame sâinvite.
- Et le drame sâinvite.
Ils me regardent :
- Pourquoi inviter le drame?
- Il vient avec la mort.
- Oui, mais pourquoi?
- Il nây aurait plus dâhistoire.
- Et, alors !?
- Ce serait⊠un autre drame ; etâŠ
- Mais, câest de ta faute alors?
- Comment ça?
- Ceux qui croient au drame. Tu y as participé.
- Oui, jây ai participĂ©.
- Et le jour du tribunal?
- Je plaiderai coupable⊠jâai des alibis.
- Et nous?
- Vous⊠votre réalité.
- Exactement, notre réalité.
- Est-ce quâelle compte plus quâune autre?
Un temps de pause se marque.
Zoe, jette un Ćil vide, son compagnon lui demande :
- Pourquoi es-tu silencieuse?
- Ăa hurle en moi.
Martha Foly, de lâautre cĂŽtĂ© du bar, se penche et annonce :
- Je ferme le rideau, mais vous pouvez rester.
Le rideau se ferme, les convives allument machinalement une cigarette. Martha Foly, la barman lance une musique que lui avait faite Ă©coutĂ©e Henri, quand ils sâĂ©taient rencontrĂ©s ; il y a des annĂ©es.
Martha, qui nâest plus barman, lui lance :
- Maintenant quâon peut parler. Je voulais te demander. Comment ça va ; rĂ©ellement ?
- Réellement, 3 hivers et un printemps.
- Et toi?
- Jâai appris Ă avoir chaud.
Ils se taisent, il y aurait certainement bien plus Ă dire ; mais, les mots sont parfois pauvres. Sur leurs tabourets, ZoĂ© et son homme nâont pas bougĂ© et observent la scĂšne dâune regard dĂ©sapprobateur.
- Il faudra que ce rideau se lĂšve.
- Oui, il faudra quâil se lĂšve.
Zoé tape du pied alors que Jack observe attentivement le mouvement de sa chaussure.
Il lui demande :
- Quâest ce quâil y a ?
- Rien.
- Non.
- Il a réouvert une porte.
- Câest Ă dire?
- Sur le passé.
- Et, elle mĂšne?
- Vers un autre avenir.
- Pourquoi changer?
- Câest son truc.
- Il devient étranger.
- Il mue.
- VersâŠ
- Un étranger dans sa propre peau. Il faut attendre.
- Attendre quoi?
- La mise Ă jour logiciel.
Martha, qui nâest plus barman, reprend :
- Et lâapocalypse?
- Elle nâaura pas lieu.
- Comment le sais-tu ?
- Jây Ă©tais.
Zoé, qui a ce moment précis ne pensais plus à rien, notamment à un quelconque lien de troisiÚme branche exulte un :
- Ca suffit !
Je la regarde et dit simplement :
- Allons-nous coucher.
Une fois arrivĂ©s Ă lâhĂŽtel, ZoĂ© et Jack, son compagnon, partagent finalement la mĂȘme chambre. Je les suis dans les escaliers et les entends indĂ©finiment commenter chaque dĂ©tail de la soirĂ©e.
Ils ouvrent la porte de leur chambre. La mienne se trouve Ă lâĂ©tage dâen-dessous.
Jâentre et me retrouve seul pour la premiĂšre fois depuis un moment. Je passe en revue cette journĂ©e et passe des instants difficiles pour amĂ©nager ma mĂ©moire.
Sur la table de chevet se trouve un crayon et du papier ; je dĂ©cide de dessiner puis dâĂ©crire.
Je nâĂ©cris pas sur ce qui sâest passĂ© ; mais sur ce qui aurait dĂ» se passer. Une journĂ©e faite dâaccolades et de bon sentiments. Je regarde en arriĂšre les heures qui ont prĂ©cĂ©dĂ© notre arrivĂ©e en ville et ne peut mâempĂȘcher dâen garder un sentiment amer.
Il faudrait tout reprendre, une image pour commencer.
Je ne pense pas que Zoé, que je ne connais finalement pas, ne comprenne qui je suis ; ni Martha.
On donne des adjectifs si complexes aux ĂȘtres simples.
On dira dâeux :
Celui-la, il est bien comme ça.
Comme si
Cela était un problÚme
Quand câest de ne pas ĂȘtre
Comme ceci ou cela
Qui serait un problĂšme
Car nous ne serions plus
Je regarde ma montre, les derniĂšres minutes ont Ă©tĂ© particuliĂšrement courtes. Je sais que jâai encore une page Ă noircir.
De toute façon, il est trop tard.
Je ne rattraperai pas ce qui allait ĂȘtre rattrapĂ©, ce qui a Ă©tĂ© rattrapĂ© ; il y a des boucles qui cassent les noeuds auxquels on sâĂ©tait attachĂ©.
Sur la rive.
Des lames de fonds.
Un rescapé.
Pas tout Ă fait.
Plus personne ne connaĂźt les vieilles expressions, Ă la question
- Comment ça va.
- Ăa va.
Quand la réponse exacte est :
- Je fais aller.
Ă ces quelques mots Ă©crits, je pose mon crayon, collecte les feuilles de la chambre dâhĂŽtel. Je les roule en un cercle parfait et les tiens attachĂ©es avec un Ă©lastique.
Je mâendors.
Je rĂȘve.
Tout est organisé.
Sur les Ă©tagĂšres on retrouvait un vase en Ă©tain noirci par le temps, dĂ©corĂ© dâun bulbe unique, une statuette souriante en bois peint, et la collection rouge et bleues de livres anciens.
Au mur, des formes géométriques et colorées, une grande photographie laissait voir une cavaliÚre, et des bougeoirs.
Au centre de la piÚce, la table ronde rabattue laissait un espace parfait pour un quelconque activité.
Des deux portes fenĂȘtres, on pouvait apercevoir le ciel.
Seul vision dâhorreur, le silence et les bruits soudains qui peuplaient cet espace. A aucun moment la tranquillitĂ© nâĂ©tait possible.
Les lieux portaient une musique qui nâĂ©tait pas respectĂ©e.
Il aurait fallu y installer un lustre ancien et que le tapis au sol soit plus vaste et sombre.
Tout était organisé.
Mais
rien nâallait.
Cette piĂšce Ă©tait ma chambre dâhĂŽtel. Les bruits, les gesticulations des occupants jouxtant la chambre. Je ne me rĂ©veillais pas jusquâĂ ce que mon imagination se porte sur le petit-dĂ©jeuner.
Je nây croisais ni ZoĂ©, ni son compagnon.
Je me retrouvais seul.
Je me retrouvais seul.
Comme cette ligne.
Je nâavais rien Ă faire.
Je le sous-ligne, car, jâai toujours quelque chose Ă faire. Mais Ă cet instant prĂ©cis je sentais le rien et cela mâallait parfaitement.
Je nâaurais pas pu dire combien de temps cela allait durer.
Mais, cela allait durer.
Dans le fond, jâavais eu le temps de repenser Ă la journĂ©e dâhier. Et⊠je la trouvais Ă lâimage de lâannĂ©e passĂ©e.
Tout Ă©tait sens, mĂȘme le non-sens. Bien sĂ»r, ce chemin de pensĂ©e mâĂ©tais interdit. Cependant, ce nâest rien de plus quâune promenade.
Je dĂ©cidais que je ne dĂ©ciderai rien. Au lieu de dĂ©cider, je mâasseyais dans un fauteuil en osier oval et tombait nez-Ă -nez avec une tortue.
La tortue me dévisage.
Je dévisage la tortue.
Nous restons nez Ă bec.
AprĂšs un instant, un instant seulement ; la tortue me tire la langue.
Je lui tire la langue.
Nous nous tirĂąmes la langue longuement.
à cet instant, cet instant seulement, Zoé et son compagnon Jack font irruption :
- Il tire la langue.
- Il lui tire la langue.
- Ils tirent la langue !
- Je ne suis pas sûr de te suivre.
- Je te suis.
- Non mais pas physiquement.
- Je le sais bien, mĂȘme siâŠ
- Oui, mĂȘme siâŠ
Ă cet instant, je rentre ma langue dans ma bouche, et la roule au fond de ma gorge. La tortue, elle, reste la langue pendue nâayant aucune intention de changer face aux exclamations de ZoĂ© et son compagnon Jack.
Jâaime les tortues.
Mais pas toutes les tortues, notamment une tortue qui reste lĂ langue pendue alors quâune cousine de la troisiĂšme branche me tire la langue.
Il va des moments de lâexistence comme dâune averse alors quâon sâapprĂȘte Ă sortir ; lâimportance revient au ciel. Jack sort un carnet de sa poche et se tourne vers ZoĂ©, qui le tient par le bras :
- Sujet 12 912, lâAmour.
- Il lâa connu.
- EtâŠ
- Elle embrassait mal.
- Je vois.
- Câest dommage.
- Tout Ă fait dommage.
- Et puis?
- Finalement, ça allait.
- Et alors?
- Il a clignĂ© dâun Ćil.
- Et?
- Elle était partie.
Ă ce moment, la tortue cligne dâun oeil, rentre sa langue et tourne lentement la tĂȘte vers ZoĂ© et Jack, son compagnon. Ils Ă©changent un regard.
La tortue semble dire un :
âOui, je sais.â
Quand il nây avait en rĂ©alitĂ© rien nâa savoir. Aucun amour ne meurt parce quâon a clignĂ© de lâĆil. Ni parce quâon a tirĂ© la langue. Aucun amour ne meurt tout Ă fait. On meurt avec, tout simplement.
Je regardais la tortue se dĂ©tourner de moi, sans sentiment particulier. Si ce nâest de lâabandon.
Je nâavais pas faim.
Pas envie de parler.
JâĂ©tais simplement lĂ .
Et, câĂ©tait bien ça le problĂšme.
JâĂ©tais simplement lĂ .
Avec du temps.
Et quelques sous en poche.
Jâavais Ă©crit un livre.
Et alors?
RĂȘve de gosse.
La souffrance serait terminée.
Je pourrais retrouver une vie normale.
Plus de vue en tunnel.
Jâavais simplement implosĂ©.
De lâextĂ©rieur, pas de changement particulier.
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Pablo Picasso, Bird on a Tree (L'Oiseau) 1928
Pablo Picasso, Cat Catching a Bird, 1939
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Artist Research: Henri Matisse

In his later life, Matisse was restricted to a wheelchair and began creating art with paper, gouache paint, scissors and the help of his assistant. He cut and painted sheets of paper in different shapes and sizes and arranged them in lively and vibrant compositions.


What relates to my project on the theme of birds, is his couple of paper cut outs of birds flying. He created fun and flamboyant cut outs of birds in bright colours. They are not a realistic portrayal of birds but they capture the birds' energy and liveliness as the fly in the sky.
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Le Vertige, 1903
Oil on canvas, 55.2 cm x 40.2 cm
Hubert-Denis Etcheverry (1867-1950)
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The kiss (étude) - H.S

Two birds (étude) - H.S

Labyrinth of the mind (en cours) - H.S
1.1 meter
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âI had drawn you as Paris in dainty armour, and as Adonis with huntsman's cloak and polished boar-spear. Crowned with heavy lotus-blossoms you had sat on the prow of Adrian's barge, gazing across the green turbid Nile. You had leaned over the still pool of some Greek woodland and seen in the water's silent silver the marvel of your own face. And it had all been what art should beâunconscious, ideal, and remote. One day, a fatal day I sometimes think, I determined to paint a wonderful portrait of you as you actually are, not in the costume of dead ages, but in your own dress and in your own time.â Oscar Wilde, The Picture of Dorian Gray
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