#21 mots magiques pour avoir de la chance

[grandmediumamourrichesse]

Formules mystique pour gagner au loto - Mot magique de chance au loto

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[madeyesaes]

༄ ONCE UPON A TIME IN RPGEMBER ༉

... But I do nearly everything in one go.

Parce qu’être régulier n’est pas mon fort. Afficher davantage si par chance vous avez envie d’en savoir plus ! Challenge de @andthereisawoman​​ & @wiisemary​​ ♥ Déso, je fais un seul post, je veux pas trop spam.

J’ai dû refaire masse de fois parce que Tumblr aime courir sur mes nerfs avec ses bugs foireux.

#1 Quel est votre type de sujet rp favori ?

Hum... J’aime bien les gros rps dégoulinant de drama, à la limite du soap opera mais j’avoue que j’ai un faible pour les confrontations avec des paroles mielleuses et les gone wrong. Ces derniers englobent pleins de choses : d’une soirée banale qui tourne au cauchemar, d’un mec qui trébuche et enclenche une série de désastreuses aventures, d’une parole malheureuse, etc.

En vrai, ça dépend beaucoup du pitch de base et du partenaire. J’ai eu des partenaires qui m’ont fait aimer des styles de rp dans lesquels j’étais pas à l’aise et d’autres qui m’ont fait comprendre que c’est dur d’être sur la même page.

#2 Le métier, les études ou autre info d’un personnage qui vous a demandé le plus de recherches HRP

Dur de dire de tête, mais je pense la divination et la culture mongole. Pour cette dernière, je suis pas trop familier avec la Mongolie en général, je connais des bribes d’histoire mais j’avais jamais eu l’occasion de me pencher dessus. Comme dans tous les pays, il y a masse de facettes différentes et c’est difficile de tout bien saisir sur le sujet, mais mon personnage découvrait un peu en même temps que moi -donc je pouvais corriger les nuances que je saisissais pas à 100% au fur et à mesure.

Pour la divination, mon personnage était professeur et j’avais pas trop envie d’avoir l’air bête en donnant cours mdrr. J’improvisais un peu des fois, mais j’ai appris pas mal sur les différentes techniques et rituels partout dans le monde, même sans y croire.

Maintenant je pense aussi à la théologie, les dragons (oui), la médecine, etc.

#3. Lors du choix d'un nouvel avatar pour votre profil (la création hein, pas le faceclaim), comment le choisissez-vous ?

Je suis pas sûr de comprendre à 100% la question mais du coup, c’est assez classique : coller au design (comme j’ai pas des masses de ressources, le n&b est toujours apprécié) puis aller vers ce qui va le mieux au personnage. J’aime bien quand l’avatar est un peu travaillé, soit avec de belles typos ou une composition sympa. J’essaie d’accorder avec la signature et le reste du profil. Je change moins souvent qu’avant donc je fais plus gaffe.

#4. Votre meilleur souvenir en rpg ?

Alors, c’est assez dur de se souvenir et/ou de choisir. J’ai fait beaucoup de superbes rencontres, certains qui ont laissé un goût sacrément amer après d’autres qui sont présents encore aujourd’hui au quotidien. Je pense pas aller dans les détails, mais un qui me vient en tête est, ironiquement, quand j’ai quitté le staff d’Hungcalf. Zéro drama sur mon départ, juste besoin de lâcher prise et j’ai reçu tellement de soutiens et amour que j’ai, je l’avoue, un peu chialé.

#5. Votre mise en page préférée pour un rp ?

J’aime bien avoir une mise en page, un code assez simple avec une ou deux icons, ou un gif. Je suis plutôt dans les moodboard en ce moment d’ailleurs même si je passe trop de temps à en choisir un sdjfskdjf. Sinon, pour les rps de groupe, je suis plus blockquote tout simple. Trop de codes différents fait fouillis je pense, même dans les rps classique à deux ou trois je préfère quand tout le monde a le même code ou le même style.

#6. La (les) musique(s) qui vous inspire(nt) le plus pour écrire ?

J’ai des playlists par personnage, donc un peu long à montrer mdrr. J’alterne parfois et j’ai jamais un style fixe. Sinon j’ai au moins toujours un bruit de fond : vidéo youtube style podcast, les conversations des gens autour de moi ou un film au pif.

#7. Votre moment favori lors de la découverte d’un nouveau rpg ?  

Trouver LA ligne dans les annexes qui te lance dans la conception du personnage. Souvent j’ai un style de perso en tête avant de lire le contexte, mais parfois je change du tout au tout en lisant les détails de l’univers et/ou des modalités de jeu. En revanche si je sens pas la communauté, c’est un très gros stop.

#8. Plutôt...création de personnage au fil de l’eau ou création quasi complète lors de la fiche ?

Ca dépend de l’univers et de pleins de chose haha. Mes fiches sont souvent longues et détaillées, mais mon personnage a toujours une très grande évolution malgré ça. Oui j’essaie, en tout cas la fiche est là pour lancer des pistes -j’essaie de plus les enfermer dans un boite comme je pouvais le faire avant.

#9. Votre réaction en un gif et quelques mots lors d’un rp plein de feels ?

(C’est pas vraiment ça mais je voulais caser ce gif quelque part) (Izuku best boy je veux rien entendre) 

#10. Votre heure/moment d’écriture favori, là où l’inspiration vient sans se faire attendre ?

Au PIRE moment. Peu importe l’heure ou le lieu. 

#11. Si votre personnage actuel était un moodboard ?

Argh, euh... Bon celui-ci correspond bien à un type de perso que j’aime beaucoup jouer : https://madeyesaes.tumblr.com/post/189061826436/icons-200200-madeyes-like-or-reblog-if

Oui c’est émo, lâchez moi avec ça.

#12. Comment relancez-vous la machine à inspiration lorsqu’elle n’est pas là ?

Attention les mots magiques : ça dépend. Parfois je rajoute une couche de dramas, des fois je pose l’affaire et fait autre chose, des fois je me force même si c’est une réponse bateau (ofc je préviens la personne avec qui je joue), etc. J’ai pas de recette miracle.

#13. Team campeur sur un seul forum à la fois ou réparti sur plusieurs ? Un personnage par forum ou plusieurs à un seul endroit ?

En ce moment campeur, pas le temps de m’intégrer autre part et j’suis pas à l’aise dans la commu rp. Avant je variais plus, mais ça va surement revenir.

#14. Si là demain, vous deviez créer un forum, ça serait sur quel thème ou quel contexte ?

TIENS C’EST MARRANT J’AI UN PROJET OU J’AI BESOIN D’AIDE : https://madeyesaes.tumblr.com/tagged/les-chants-de-l%27atlantide

(Sinon un forum my hero academia ce serait grave cool mais flemme d’être encore solo).

#15. Quelques uns de vos plus beaux titres de rp ? (Et par beaux, ça peut vouloir aussi dire loufoques ;))

Je sais plus, mais à peu près sur d’avoir eu “hein” ou “aie pas l’seum” dans le lot.

#16. Votre/vos derniers faceclaim(s) coup(s) de coeur ?

Vous avez cinq heures ? Mdrr. Il y en a que j’ai envie de jouer depuis masse de temps, d’autres qui vont et viennent... En vrai c’est souvent les graphs qui me font choisir ksdqjfkqf.

#17. Votre signature favorite / que vous avez le plus utilisé ? (Que ce soit code ou citation)

Une très simple avec une ou deux icons avec une citation de base et quelques lignes éventuellement ! J’ai bien quand il y a un dégradé dans le lot.

#18. L’envie / idée de personnage qui te traverse l’esprit en ce moment ?

Too much and they live in my head rent free. On a un prof blasé mais super protecteur, un p’tit con chasseur de fantôme, un moussaillon qui a le mal de mer mais une barbe de viking...

#19. Plutôt RPs longs ou courts ?

Quand c’est de l’action, commun ou un rp de “transition”, court, sinon je suis autour des +700 mots à +1000 mots quand on est dans du gros drama.

#20. Ton petit rituel quand tu te mets en tête de te majer ?

Zéro rituel, je vis dans l’instant. J’aime bien avoir une boisson chaude et être posé dans être emmerdé. Mais au bout de cinq minutes je suis distrait donc...

#21. Un de tes avatars favoris (création pas faceclaim) que tu as “porté” 75 ans ou simplement qui t’a tapé dans l’oeil et qui te donne envie de créer un personnage là tout de suite

ARGH. Me faite pas choisir.

#22. Comment fermez-vous un rp ? Team départ ou team cliffhanger qui laissent vos fans en attente ?

Team on va pas ramer cent sept ans. Donc ça dépend.

#23. Votre lien le plus wtf trouvé avec un·e corpgiste.

Un stalker qui est lui-même stalker par la personne qu’il stalk.

Sinon j’en ai eu d’autres mais je les ai pas en tête.

[retouraffectifrapide]

Les mots magiques pour attirer une femme : Rendre une fille amoureuse-Marabout professionnel

Les mots magiques pour attirer une femme : Rendre une fille amoureuse-Marabout professionnel 

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[manieresdedire]

Un écho singulier

Pendant mes années de lycée, j'aimais, le jeudi et le samedi, errer dans Paris. Plus tard également, mais dans le prolongement de ce qui se mettait alors en place. L'université, n'y a rien changé, sauf un surcroît de liberté. À un âge plus avancé, après la formation d'une famille et l'adoption du statut de salarié, restaient les échappées belles, seul ou en compagnie des enfants. Souvent Beaubourg et ses spectacles de rue. Le Louvre, bien sûr. Le "Luxembourg" et les libraires...

À Nanterre, station SNCF "La Folie", jeune adolescent, je prenais le train qui desservait la grande gare parisienne Saint-Lazare. Sa verrière géante, le monde qui y déambulait, les informations délivrées par les haut-parleurs et qui saillaient dans le vacarme, les arrivées,  les départs des trains, les dernières machines à vapeur aux panaches de fumée blancs à quai, tout m'incitait à confondre cette entrée dans Paris et la sorte de rêve qu'elle m'inspirait, de film fantastique qu'elle projetait sur mon imaginaire.

J'arrivais dans le quartier de l'Europe, avec ou sans ma mère, pour réaliser quelques achats vestimentaires. Parfois, nous poussions jusqu'au boulevard Haussmann et ses grands magasins par curiosité et pour doper notre inspiration acheteuse. Mais là, tout était plus cher, nous n'en sortions qu'avec de nouvelles idées et des frustrations.

Les commerces, la foule des consommateurs, la révélation et la confirmation de notre faible pouvoir d'achat, la fatigue qui finissait par gagner ma mère et entamer sa vaillance, il n'y avait rien qui pût m'enchanter sauf ma nouvelle "élégance". Consciencieuse, ma mère remplissait ses obligations domestiques, ni plus, ni moins joyeuse que moi dans cette activité contrainte. Pour finir nous nous repliions sur notre vilain immeuble de la mortifère périphérie parisienne où la famille avait "échoué" après ses "dérives" étrangères et provinciales. Un invraisemblable "Koblenz - Casablanca - Dijon - Nanterre".

Seul ou en compagnie d'amis, j'ai osé le large, prendre le métro, direction le centre de la capitale. J'y ai découvert les cinquième et sixième arrondissements. Ils sont devenus mes espaces de prédilection.

Dire qu'ils m’enchantaient ne rend pas tout à fait compte de ce que les innombrables répétitions de nos retrouvailles déclenchaient en moi. Ils m'ont littéralement transporté dans un autre voyage qui n'avait plus rien de ferroviaire : une remontée vers les siècles antérieurs et ses lumières. Un professeur de français et mes lectures, n'ont pas compté pour rien dans ces représentations

Ce cœur là de Paris devint mon Graal, lui et ses indissociables fantômes d'intellectuels illustres, d'artistes fauchés qui voulaient bien quitter quelques heures durant, le Montparnasse voisin. Aussi le quartier latin, le jardin du Luxembourg, moins le palais éponyme, la Sorbonne, le Collège de France, les ruines de Cluny, l’École de Médecine, les prestigieux lycées, Henry IV et Louis-le-Grand, le Panthéon où je n'osais pas entrer. Les librairies, les bouquinistes des quais de Seine où je dépensais mon argent de poche. Les Presses Universitaire de France, Gallimard et plus tard, Maspéro, et les libraires pro-révolution culturelle chinoise dont j'ai oublié les enseignes. Les manifestations d'étudiants, l'occupation du théâtre de l'Odéon...

Mon Lycée de banlieue avait l'incroyable chance d’accueillir un professeur de français-latin-grec, agrégé de lettres classiques et moi, l'invraisemblable luxe de l'avoir comme enseignant en français, Charles Oriou. Il nous aimait, plus ou moins, et nous traitait en adultes. Il nous bousculait, se moquait parfois, nous tançait, mais nous progressions dans l'art de la dissertation et simultanément, grandissait notre intérêt pour la littérature. Il arrivait qu'il nous racontât des plaisanteries salaces qui nous faisaient rire et croire que nous étions des grandes personnes.

Il nous parlait de son Paris des années de manifestations violentes d'avant la seconde guerre, de livres et de philosophie. Il avait souvent à la bouche, un mot d'Alain - son professeur à Henri IV - à nous transmettre. Je me souviens de son "cherchez l'épingle !". Il nous parlait de la rue d'Ulm, de l'ENS, des jurys d'agrégation, des parti-pris politiques de la jeunesse d'alors.

J'adorais André Gide. Monsieur Oriou n'exprimait pas clairement qu'il n'était pas dans la même dévotion que moi. Je le devinais quand il disait lui trouver un grand mérite : écrire plus court que Proust. Je pense qu'il préférait la littérature des siècles précédents. Il abhorrait Jean-Paul Sarte que j'aimais bien et les existentialistes. Là, il n'hésitait pas à l'accabler et à me reprocher ma complaisance aux thèses de cet auteur. Il m'a personnellement administré une petite leçon en même temps qu'une grande vexation à propos de son credo,"l'essence de l’homme précède son existence", à l'opposé de celui de Sarte. Il était réactionnaire mais acceptait qu'on lui démontrât les aspects positifs du combat des Palestiniennes et des Palestiniens. Il se disait "anarchiste de droite, protestant" et en rajoutait avec une fleur de lys épinglée à sa cravate. Vaste ambition, au diable les paradoxes ! Nous en riions. A seize ans. Lui aussi, à près de soixante et pour la énième fois sans doute.

Il nous a donné le goût du débat et même des joutes, il était réac, mais humaniste, nous sommes devenus des humanistes mais de gauche... Pas tous. Moi au moins... Pas le futur général au nom allemand, trop "russe blanc" un peu le futur avocat, au nom de poète communiste, pas assez "neuilléen".

Et puis, j'ai eu des engagements dévoreurs, je me suis tenu éloigné de mes bases, j'ai cru possible qu'il y en eût de meilleures. Mais sous la cendre, la braise ne renonçait pas. Je ressentais confusément que je trahissais un peu mes rêves de très jeune homme.

J'ai vieilli.

Julia est née. Elle a mené de brillantes études scientifiques, à l’Université. Mais passé une seule année à Paris. Jussieu, où parfois, quand j'avais pu quitter tôt le bureau, je l’accompagnais à un cours tardif. Pour parler un peu, seulement entre nous. Pour le reste, ses études se sont déroulées à Orléans, à Angers et à Montpellier - troisième plus ancienne université française, née moins d'un siècle après celle de Paris-Sorbonne, la "tienne" -. J'étais présent en Languedoc, lors de la soutenance de sa thèse. Elle y fut brillante, combative, belle... J'ai juste eu un peu peur que ses réponses ironiques et rudes aux questions d'un professeur qu'elle méprisait lui coûtassent son doctorat. Elle fut reçu avec la mention "très honorable", puis des articles et des images tirés de sont travail furent publiés dans des revues prestigieuses.

Toi, l'Orléanais qui aurait bien voulu rester à Orléans si l'Université t'avait proposé les meilleures filières sur place, tu as fini par quitter ta Province, t'installer dans un petit appartement situé à proximité du Panthéon et étudier à la Sorbonne.

Peux-tu imaginer mon chamboulement mental qui en résulta alors, qu'en même temps, j'avais fait le choix de me retirer en Occitanie ? Tu mettais, involontairement, un peu d'acide sur mes choix et donnais une nouvelle actualité à mes rêves.

À 21 ans, tu as fait les découvertes que j'y avais faites bien avant et de différentes que j'ignore. Avec des considérations, des songes qui n’appartenaient qu'à toi. Ce n’était pas la même aventure. Ou plutôt, c'était la même, à mes yeux, et tu devenais, non pas un autre que mon fils, mais, en plus, un personnage de roman, un acteur moderne de mes histoires tissées au temps de mon adolescence et qui m'accompagnent encore.

Math'sup, la physique, les mathématiques théoriques, c’était bien, mais tu t'y sentais assigné à devenir ingénieur alors que ta passion c'était la philosophie, la poésie et le roman. Je n'oublie pas tes goûts pour la musique, le Rock et le Jazz. Philosophie, ta matière passion qui te permettait d'embrasser le monde et sa culture par "le haut". Il t'a fallu bifurquer sévèrement. À nouveau "prépa", mais Khâgne.

Tu es passé "tout à côté" de l'ENS. Tu n'as pas voulu réessayer. Et bien t'en a pris. Le temps n'est pas une quantité négligeable. Je m’en rends compte tous les jours. Même si j'ai pu te dire le contraire.

Ton cap, c’était l'Agrégation de Philosophie. Une haute distinction française que j'aime vénérer. Pour son encrage et le mien - abus considérable de simultanéité - dans l'histoire et la culture françaises, pour son incrustation indélébile dans mes rêves et dans le Paris latin de mes déambulations.

Tu as suivi des cours et des conférences, vu des expositions dans tous les endroits où des générations d'intellectuels, d'écrivains, d'essayistes, d'artistes français et étrangers sont passés, ont été formés, ont enseigné ou ont mal vécu de leurs œuvres qui ne se vendaient pas. Tu as parcouru toutes les rues où pullulaient les cafés dans les salles enfumées desquels ils se sont enivrés, ont fait la fête, rencontré les compagnes et les compagnons d'une nuit, d'une vie, ont refait mille fois le monde. Pour découvrir le lendemain matin, tard, qu'il n'avait pas changé, qu'eux mêmes avaient mal à la tête et estimer qu'ils seraient bien avisés de procéder à un sérieux décrassage dans les allées du grand jardin face à la rue Soufflot, arrimé au boulevard Saint-Michel.

Je t'imagine avoir mis quelques-uns de tes pas dans les leurs.

Lorsque tu m'as dit que tu suivais quelques conférence au Collège de France, ma lanterne magique s'est remise à tourner et des figures héroïques de la pensée ont resurgi de mes souvenirs littéraires. Un regain qui me fit revenir quelques années en arrière et imaginer, mal informé que j'étais, que "Nuit Debout" réinventait la démocratie, Place de la République. Je ne suis plus à une erreur près.

Hier, tu m'informais de ta réussite au concours de l'Agrégation de Philosophie. Une délivrance en même temps qu'un grand bonheur pour toi. Pour moi une explosion d'émotions, un immense plaisir.

Tout le monde peut comprendre cela.

Être parent dit-on, c'est "aider un enfant à grandir". Je me méfie des revendications parentales d'une part de co-réalisation des succès de leurs enfants. Je les trouve suspectes. Et pour tout dire stupides. C'est l'inverse qui est authentique. Être parent, c'est donner une chance à soi-même de grandir.

On ne peut pas s'empêcher de percevoir dans la réussite de son enfant, en même temps que l'assurance qu'on a et qui se renforce qu'il sait résoudre les difficultés inhérentes à la vie, une parcelle de soi qui nous élève. On partage, subrepticement, du seul fait de la filiation, par contagion, diffusion spontanée des sentiments, par amour, son succès. En ressentant de la joie, du bonheur et incidemment, de la fierté. Cela seulement, me parait légitime, naturel.

Et parce que j'associe Julia dans cette célébration de deux arrondissements parisiens, de l'intelligence, de la romance et de ton succès, merci à tous les deux.

[norellenilia]

Eldarya épisode 20

Originellement publié ici le 25 mai 2018.

Bon, bon, bon. On peut pas dire que cet épisode aura laissé indifférent-e :’) Moi la première, bien sûr. On va voir tout ça tranquillement.

J’ai dépensé environ 2800 maanas. Je sais pas si on nous fait payer la tenue si on est pas serviable ou si elle nous passe juste sous le nez ? Je tiens également à préciser que ces temps-ci, je suis d’humeur légèrement maussade, voire même comme qui dirait énervée. Il est donc possible qu’une partie de mon fiel provienne de là, soyez prévenu-e-s. Parce qu’il semblerait que cet épisode ait fait des émules pour deux raisons principales – éventuellement trois, si je compte la partie culturelle sur les fenghuangs. Mon souci, c’est qu’une seule de ces raisons a suscité de l’intérêt chez moi (je vous laisse deviner laquelle si ça vous amuse, si vous trouvez vous gagnez un cupcake virtuel). Assez parlé, rentrons dans le vif du sujet !

Je choisis comme d’habitude de voir le résumé. Honnêtement, je préférais encore quand il y avait des flashbacks, ça résumait mieux que des pseudo-petits poèmes en prose tellement vagues que des fois je suis même pas sûre de savoir à quoi on fait référence, désolée. On en revient à la scène de fin de l’épisode 19. Moi on avait pas fricoté parce que j’ai pas assez de L’o’M, mais j’imagine que les ébats sont interrompus de toute manière par le CDC, tout perturbé qu’il est encore par les larmes d’Erika. C’était particulièrement rigolo à vivre quand on est avec Leiftan, puisqu’on peut alors mesurer à quel point il est hypocrite et menteur. Il nous conseille d’aller parler de nos cauchemars à Hua. C’est là que j’ai commencé à m’énerver, parce que je trouvais pas la chambre. Bien évidemment, comme on peut pas perdre inutilement de maanas à la cité d’Eel et ses environs, alors on a rajouté plein de pièces à visiter dans le Temple dans lesquelles il faudra chercher des personnages qui n’apparaîtront pas, surtout qu’on est là pour un certain temps. Parce que pourquoi faire des scènes intéressantes quand on peut faire des objectifs bouffe-maana, hein (encore que les possibilités d’errance sont réduites par rapport à Eel, c’est déjà ça). Je trouve enfin la bonne chambre. Bien évidemment, Hua se fout de notre tronche quand on parle de daemons, mais Leiftan prend notre défense, en bon gros mytho qu’il est. Et alors qu’Erika parle de son malaise, c’est Eweleïn qui se met à chouiner parce que « ouin j’aurais dû me dire que t’allais faire un malaise plus important que les autres en tant qu’humaine j’suis trop nulle bouh lynchez-moi »

C’est la mode à Eel de tomber dans le pathos pour espérer s’attirer la sympathie ou bien ?

J’veux dire c’est bon, elle a pas fait une grave erreur médicale ou refusé de prendre Erika en charge parce qu’elle est terrienne, entraînant par là sa mort, elle savait pas bon ben voilà maintenant elle sait, pas besoin d’en faire des caisses. Surtout qu’elle avait pas l’air trop perturbée en soignant Erika à l’épisode 19, je vois pas pourquoi elle décide soudain d’en faire tout un plat. Enfin bon vu les grosses approximations médicales qu’on a déjà pu lire dans ses dialogues je comprends qu’on s’inquiète un peu, cela dit. On continue notre récit, tout en casant une référence à la tour de Babel. Des fois j’ai l’impression d’être dans Once Upon A Time x) Après Hua décide de réfléchir, c’est donc l’heure de la visite des lieux. Guidée, cette fois, parce que la visite je l’avais déjà faite en cherchant la chambre de Hua mdr. C’est à cette occasion qu’on rencontre la première occurrence du fil rouge de l’épisode : un petit vieux demande notre aide. Bien évidemment, je refuse parce que j’ai pas envie de dépenser des maanas inutilement, mais oh ça alors, j’ai pas le choix de toute façon, COMME PAR HASARD. J’ai rapidement compris qu’il y avait baleine sous gravillon quand on a croisé plus tard dans l’épisode d’autres gens à aider ; je pensais que ça jouerait sur l’illu ou j’sais pas quoi, du coup j’ai accepté directement à chaque fois, car je me doutais qu’on me forcerait à le faire de toute façon. Mais on peut pas vraiment dire que je l’ai fait de « bonne volonté » comme le suggère le nom de la tenue gagnée si on joue les mères Theresa, puisque je me suis sentie forcée à aider les PNJ. Bref, Cif nous fait la visite et nous apprend un peu du lore local, c’est plutôt cool et j’ai pas grand-chose à dire dessus, puis il nous fait son papa-poule en parlant de sa chère Hua, qu’il aime comme sa fille. Puis après une brève séance d’introspection, Erika décide de passer du temps avec Kero et de servir à son tour de guide touristique pour lui parler des lieux dont on vient de nous parler y’a deux minutes.

Trop hâte de faire le tour du temple une quinzième fois !

Comme dit par d’autres, je l’ai choisi comme compagnon de voyage pour en apprendre plus sur lui, pas pour lui faire faire une visite d’un lieu que je découvre en même temps que lui.

Kero nous propose de partir à la recherche d’une dame qui fait du thé hors du temple pour mieux communier avec la nature. Si mon pseudo vous parle, peut-être que vous aussi ça vous aura rappelé une réplique de l’Elfe quand elle fait « C’est bon d’offrir son corps à la nature ! » x) Bien sûr, cette brave dame est planquée derrière un buisson, et le temps qu’on la cherche, Kero fait un malaise à cause de sa faible constitution. On doit donc l’emmener à Ewe, puis on peut reprendre nos recherches. Maiiiis on croise PNJ-à-aider-n°2 pour aller chercher des gousses de je sais pas quoi et… Du lait d’âme ????? C’est… Conceptuel, on va dire ??? Après on reeeepart chercher Da-Xia, et on tombe sur Chrome. Par réflexe je clique sur « non » quand il demande notre aide pour les couleurs de son talisman, et bien sûr on a pas le choix faut l’aider quand même. Et en plus il se barre je sais pas où. J’vous jure j’ai failli tuer quelqu’un. Et on cherche sa prêtresse, et on la cherche, et on la cherche, et je hais la personne qui trouve malin de se ficher de nous dans les objectifs, et je hais encore plus la personne qui a trouvé ça drôle de nous faire courir partout dans ce temple de malheur juste pour trouver une meuf sans visage pour une scène sans utilité et surtout avec cet imbécile de Chrome !!! Est-ce que j’ai besoin de vous dire qu’à ce moment de l’épisode j’étais au bout de ma vie, ou c’est bon ? La meuf commence à faire son talisman en nous parlant du pouvoir spirituel des pierres, et là je vous avoue, il m’a fallu toute la maîtrise de moi-même que je pouvais rassembler pour pas m’énerver (et je vous raconte pas pour la scientifique qui me sert de chérie), parce que les attrape-nigauds style l’astrologie et les soi-disant pouvoirs des pierres ça me sort par les trous de nez, mais j’ai décidé de passer outre car nous sommes dans un univers fantasy, dans ce cadre-là on peut éventuellement considérer le fait que les cailloux et les bulles de gaz qui brûlent à des billions de kilomètres de nous pourraient avoir une influence sur notre destinée, nos caractères, nos émotions etc. Et après tout ça on se casse. Mais… Mais je l’ai suivi pour l’aider à choisir des couleurs et des tissus et là je lui ai juste dit de sortir une pierre de sa poche et c’est tout ???

Sinon je fais manger des cailloux magiques à Chrome jusqu’à ce qu’il s’étouffe avec

Et bien sûr, comble du comble, on aura pas vu cette mystérieuse Da-Xia qu’on nous fait miroiter depuis tout à l’heure. AAAAAAAAAAAAAAAARGH !!!

Bon, après on bouffe, du coup c’est bien. Après faut parler à Leiftan. Mais il pionce. Alors on a un moment malaisant avec Valkyon. Puis on va se coucher. Puis on se réveille. Et là il se passe enfin quelque chose : nous entendons une conversation secrète entre Ewe et Hua, qui ne veulent pas qu’Erika l’entende, du coup elles en parlent devant elle, sachant qu’elle peut se réveiller à tout moment, car elles ont oublié de réfléchir. Erika aussi, d’ailleurs : elle a déjà entendu une conversation similaire en ayant déduit qu’on parlait d’elle, quand soudain, après un certain temps et un temps certain, elle finit par comprendre qu’on parle d’elle alors que c’était clair comme de l’eau de roche depuis le début de la scène. Je vous jure que je fais des efforts surhumains pour pas l’appeler Erikonne dans mes critiques car c’est vraiment pas poli mais là franchement vous m’aidez pas. Et du coup ça cause du mal qui ronge Erika, mais pour pas la malmener, on décide de pas lui en parler. Mais genre si quelqu’un est déprimé vous croyez que ça va l’aider de pas lui annoncer qu’il va peut-être falloir lui couper sa jambe gangrénée parce que quand même « faut le/la ménager » ? J’sais pas faudrait pas plutôt lui en parler pour lui proposer les solutions sinon y’a aucune chance de guérir ?? Erika se dit que le mal qui ronge le cristal est peut-être en train de la ronger elle. A bientôt dans l’épisode 21 où Erika découvrira le fil à couper le beurre. Elle décide d’ailleurs d’aller en toucher deux mots à Hua. Voilà enfin une bonne décision ! Sauf qu’elle tombe sur Hua en train de pleurnicher parce qu’elle sait pas si elle a bien fait de ne pas parler à Erika du fait qu’elle est très potentiellement en danger de mort lol. Erika a la bonne idée de lui dire que dans une relation saine, la clé c’est la communication. Tout en décidant bien sûr de ne pas lui dire qu’elle avait entendu la conversation. Evidemment, hein. Aussi pourquoi Hua a-t-elle une expression aussi béate alors que deux secondes avant elle pleurait toutes les larmes de son corps ?! Hua ne se sent pas encore assez forte pour dire ce qu’elle a à dire à Erika. Mdr. Ça me rappelle ce projet de loi ou cette loi je sais plus, qui prévoyait d’augmenter les honoraires de médecins qui doivent annoncer des cancers ou des trucs comme ça parce que « c super difficile :( » lol ok et la personne qui reçoit la nouvelle à ton avis on s’en fout ou c’est comment ? Du coup pour éviter de faire du mal à Hua, Erika décide de taire son mal qui continue à la tuer, selon ses propres mots. J’ai besoin de m’étaler sur le fait que je trouve ça inutilement pathétique et particulièrement stupide ? Du coup on repart une cinquantième fois « prendre l’air » dans les jardins pour ensuite aller aider Valkyon à déblayer les rochers et en profiter pour le mettre à moitié à pwal. Et après, on croise Leiftan qui fait une crise de jalousie ? Et qui nous reproche d’avoir embrassé un gars ?? Et qu’après tout p’t’être que ça nous donnerait envie d’en embrasser un autre ???

Et si tu te mêlais de tes fesses ????

Heureusement qu’il s’excuse après mais sérieux c’est hyper cringe comme réplique… Après on va à la bibliothèque. La bibliothécaire parvient à trouver un livre qui conviendrait à la Terrienne, et Erika est contente parce que c’est dans un alphabet qu’elle connaît. Alors ok mais bon perso le slovène c’est aussi écrit dans un alphabet que je connais c’est pas pour autant que je le comprends lol. Ensuite y’a PNJ-à-aider-n°3 qui nous pose l’énigme de la chèvre, du loup et de j’sais plus quoi. C’est dommage qu’on n’ait pas eu d’interaction. Vous auriez pu proposer genre trois choix pour la première partie de l’énigme, et si on répond mal la nana nous dit « oui mais c’est pas possible parce qu’après… » Jusqu’à ce qu’on ait la bonne réponse, et ainsi de suite jusqu’à la fin de l’énigme, ça aurait permis un peu de jeu, et honnêtement y’en aurait eu besoin dans cette première partie d’épisode. Après on va lire le livre dans notre chambre et honnêtement j’ai rien suivi. C’était juste un amoncellement d’infos mais genre les grandes familles j’ai rien retenu puisque ça renvoie à rien, y’a que sur les Ren-fenghuangs que j’ai retenu des trucs. C’est peut-être parce que j’ai une mémoire visuelle mais si y’avait eu des images ou autre… Là c’est juste des infos en vrac qu’on pourra même pas réétudier plus tard pour mieux les appréhender. Alors que si on avait une bibliothèque fonctionnelle qui serait mise à jour régulièrement comme dans tout jeu qui propose un lore un minimum complexe on en serait pas là. Je reviens souvent à la charge avec la bibliothèque mais sérieusement, c’est scandaleux qu’on ait déjà dû attendre trois ans pour avoir ne serait-ce que la description des familiers, vous vous rendez compte un peu ou pas ? Et là vous nous balancez des infos dans les épisodes, c’est très bien, mais à quoi ça sert si on est obligé de les répertorier sur des sites externes pour y revenir ? A quoi ça vous sert de créer un monde fantasy complexe si vous n’en prenez même pas soin ? Après une soixantième injonction à prendre l’air le lendemain, nous retrouvons Hua qui nous dit que le Phénix a donné sa bénédiction pour qu’on puisse emporter la flûte, qui n’est plus dans la famille royale des Terres de Jade du Nord, on sait toujours pas où on est sur la carte, on sait pas où est le temple, les Terres de Jade, Eel, l’intelligence d’Erika et la cohérence, tout ça aussi c’est parti prendre l’air. En rentrant dans la chambre, c’est là que je reçois la tenue parce que j’ai été « de bonne volonté » en aidant les gens haha mdr. J’aime juste pas trop le haut et les gants mais sinon la tenue est jolie, j’aime bien les voiles de la robe. Cif nous dit qu’on a été tellement gentille, on pourrait presque croire qu’on est une fenghuang hahahahahaha ! On y reviendra sûrement. Après y’a le dîner, puis Leiftan nous invite à parler dehors pour ensuite nous emmener dans sa piaule, mais il est toujours pas prêt à nous arracher nos sous-vêtements patchwork. Damned !

Quand soudain, il se passe quelque chose !! Erika est interrompue dans son sommeil par un gros bruit, signifiant une attaque, ce que Cif lui confirme rapidement. Une fois sur la grande place, nous retrouvons notre bien aimé Ashouminet qui, accompagné de la non-menaçante Naytili, sème le chaos dans le temple.

Enfin un peu de fight !

Ladite Naytili nous isole du reste du groupe, souhaitant sûrement prendre une cartoonesque revanche sur le cartoonesque coup de poing que nous lui avions asséné à l’épisode 17, mais nul coup de poing cette fois-ci, car Erika est vite dépassée par les événements ; Naytili prend le dessus, la poignarde, Leiftan est tout colère, brise le bouclier de Naytili ainsi que sa nuque, et tout le monde pleure parce que l’héroïne est blessée. Honnêtement bon, cette scène ne m’a fait ni chaud ni froid, d’une part parce que je ne m’inquiète pas des blessures reçues par Erika ou les CDC, car ce serait tuer le jeu que de les tuer. D’autre part parce que je ne me suis pas sentie investie dans la bataille. J’ai lu les descriptions, c’est bien, mais là on n’est pas dans un simple roman visuel comme l’est Le Secret d’Henri, le but du jeu est d’interagir avec les autres personnages, et rien qu’un petit QTE aurait permis de se sentir plus intégré-e à la bataille. Nous finissons par apprendre d’Eweleïn et de Hua que nous avons comaté plusieurs jours, que notre horrible blessure est complètement refermée grâce à un peu de magie, de baumes et, comme par hasard, du sang de Leiftan. Mais attention, c’est pas parce que nos sangs sont compatibles qu’on est de la même race, attention, hein ! On est pas de la même race ! Nouveau plottwist à rajouter à la liste des trucs envisageables : Erika a du sang de daemon en elle (autre que celui de Leiftan) On apprend aussi qu’ils ont dû utiliser les pouvoirs de la flûte de Hamelin pour gagner la bataille, du coup faut prier pour restaurer ses pouvoirs, et cela retarde un peu plus notre départ. De plus, nous devons assister aux tristes funérailles de PNJs-non-importants n°4, 5 et 6 et pleurer très fort. C’est trop dur à supporter et Erika s’éloigne, et nous avons droit à un Cif… Paternel envers elle ? Pourquoi pas, mais ça semble quand même un peu sorti de nulle part. Et enfin, on s’approche de… De vous-savez-quoi…

J’sais pas trop pour quoi je passe en vrai mdr

Avant ça on a quand même Leiftan qui vient nous faire son petit numéro de mec perturbé parce que « oh là là j’ai tué quelqu’un je suis si monstrueux :’( » Du coup bon comme d’hab perso ça me fait plus marrer qu’autre chose étant donné que moi je sais que c’est du flan. Ça fait tellement forcé, en plus. Bon, on va pas s’attarder sur la suite, hein, mais du coup c’est bien qu’il y ait le choix d’avoir le rapport sexuel ou pas. Perso j’ai dit oui parce que j’avais envie que ma gardienne ait envie parce que le sekse c rigolo et que j’envoie valser les injonctions à avoir des sentiments pour coucher, on peut avoir des rapports sans être amoureuse et ça serait bien que ça se ressente au lieu de perpétrer des clichés, c'est pas parce qu'une femme a envie de coucher rapidement qu'elle est une « nympho » ou quoi. Du coup oui moi ça me dérange pas du tout qu’il y ait des coucheries aussi « tôt » dans l’histoire, c’est pas parce qu’on couche avec un des gus à l’épisode 20 qu’on va se le coltiner jusqu’à la fin (du moins je l’espère). Par contre, autant je souffle un peu du nez quand je lis des gens comparer la scène de fin de l’épisode 19 à de la pornographie (sérieusement ?), autant je peux parfaitement entendre que des gens auraient été rassuré-e-s par la présence d’un avertissement en début de cet épisode sur la possibilité de contenu sexuel. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi vous en avez mis un à l’épisode 40 d’Amour Sucré et pas ici, alors que la scène est bien plus explicite, d’autant plus si on obtient l’illu (ce qui n’a pas été mon cas, je dois avoir un L’o’M trop bas). Tant qu’on est dans le sujet, j’ai été contente de voir l’encadré à la fin, mais y’a plusieurs petits détails qui m’ont chiffonnée : d’une, ça sert à rien de dire « MST et IST, » IST c’est juste le terme qui a remplacé MST parce que ça couvre plus de trucs ; ensuite, le « comme ta gardienne, pense au préservatif ! » C’est une très bonne initiative mais le souci c’est qu’on a pas vu Erika et le gars utiliser un préservatif :’) Je viendrai pas parler de réalisme ou quoi parce que pourquoi on n’aurait pas de capotes dans un monde fantasy ? Du coup voilà ça aurait pu être l’occasion de dédramatiser le truc, vu que ça n’a pas été fait sur AS. Et enfin, je voudrais parler du site que vous avez donné. J’ai été voir par curiosité, et déjà je suis dubitative quant au choix d’un site dont le but premier est d’informer les étudiant-e-s sur leurs résultats d’examen ? Oo’ D’autant plus que la page consacrée à la contraception, si elle offre bien sûr les informations de base nécessaires, contient aussi des approximations… Déjà elle parle de MST au lieu d’IST, ce qui indiquerait éventuellement que le site ne s’est pas complètement mis à la page de ce point de vue-là, ensuite on nous dit que la pilule est le contraceptif le plus efficace, ce qui n’est pas exact, elle arrive après d'autres contraceptifs. J’ai aussi vu qu’on nous dit que le stérilet est « généralement conseillé aux femmes qui ont déjà eu un enfant. » Il aurait été judicieux de leur part de préciser qu’une femme nullipare (qui n’a jamais accouché) peut quand même très bien utiliser le stérilet comme contraceptif. Alors bon c’est pas non plus un drame, mais y’avait de meilleurs choix possibles, quoi. Pour moi, tant qu’à mettre un lien, il aurait été bien mieux de mettre un lien vers le site du Planning Familial, par exemple, bien plus complet et explicatif que cette page internet qui semble avoir été trouvée un peu au hasard. Je sais que votre rôle n’est pas de faire de la prévention, mais ça ne vous empêche pas de mettre des liens appropriés, et le Planning Familial c’est quand même pas inconnu du grand public, je pense que vous en avez au moins entendu parler. Je me permets donc un lien : https://www.planning-familial.org/articles/se-proteger-00376 (j’ai mis le lien vers la page « Se protéger, » mais vous verrez immédiatement en regardant sur le côté de la page que beaucoup d’autres informations sur la contraception et autres sujets liés à la sexualité sont disponibles). Et si vous préférez un site moins politisé : http://www.choisirsacontraception.fr/ Revenons-en à nos moutons. Nous incarnons à présent Leiftan qui retrouve Ashouminet dehors, et ils se disputent. Honnêtement, je comprends pas trop le revirement qu’a fini par subir Ashkore, genre au début de l’histoire il est de notre côté, il veut nous aider et tout, et là aujourd’hui, il est prêt à nous buter, je comprends pas trop ce qui s’est passé. Quant à Leiftan, le « Elle est à moi » sérieux ? J’ai lu quelqu’un théoriser que le CDC pour « Personne » renverrait en fait à Ashkore. J’vais peut-être finir par faire ça, m’voyez. La possessivité c’est pas trop mon délire, on est à personne en fait, et un type qui dit de sa meuf « elle est à moi » c’est pas mignon, c’est pas romantique, c’est malsain. Du coup j’vais peut-être changer, même si les révélations de fin m’ont un peu mis le doute. Car oui, nous voici au point d’orgue de l’épisode : alors que les deux méchants se chamaillent, nous apprenons deux informations de taille… La première… Est qu’Ashkore est en fait un DRAGON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Et attendez, c’est pas fini ! On apprend en plus… Qu’Ashkore est en fait LANCE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Scène élue « Révélation de l’Année » par ScenarioPrevisible.Com

J’me moque, j’me moque, mais en vrai c’est hyper décevant parce qu’hyper prévisible. Vous avez tellement forcé avec la « mort » de Lance en mode « mais non mais non il peut pas s’en être sorti c’est pas possible okay ?! » et les Dragons sacrifiés machin j’te jure y’en a plus qu’on savait pertinemment qu’il restait des Dragons et que Lance n’était pas mort. Zéro surprise. Et du coup je suis déçue qu’Ashkore ne soit pas un personnage à part entière, d’où mon hésitation. Il est important que vous travailliez sur votre façon de gérer le suspense, et surtout à ne pas tomber dans les gros clichés. On en est à parier avec une pote (tu te reconnaîtras si tu me lis hinhin) sur les possibles dénouements de l’histoire en enchaînant les trucs les plus prévisibles possibles, genre que c’est le Pouvoir de l’Amour qui sauvera les méchants, ou bien qu’Erika est de la troisième race du Sacrifice Bleu (théorie qui peut être introduite avec la réplique de Cif que j’ai relevée plus tôt), ou encore qu’elle est daemon (le coup du don de sang) et que l’obsession de Leiftan c’est qu’il veut repeupler la race des daemons avec elle, Erika doit se sacrifier pour un truc mais quelqu'un ou le cristal se sacrifie pour elle, etc. Du coup bon voilà, perso c’est pas vraiment le suspense qui me fait continuer l’histoire, quoi. Et épisode fini !

J’ai arrêté de relever après un moment, mais voici ce que j’ai repéré : - « Vous êtes dans une salle de classe, mais à la fois dans une bibliothèque » -> vous êtes à la fois dans une salle de classe et une bibliothèque, par exemple. C’est plus correct. - « Au plus jeunes » -> aux - « J’y reviendrais peut etre un peu plus tard » -> j’y reviendrai peut-être - « Comme si dire ses mots était impardonnable » -> ces mots - « Cette solitude m’a amené » (Erika) -> amenée - « Où alors » -> ou - « Il en fait souvent toujours trop » -> alors soit souvent, soit toujours, mais pas les deux à la fois :’) - « Je n’aurais pas eu le temps de voir Da-Xia » -> n’aurai - « Au dessus » -> au-dessus - « Daccord » -> d’accord L’utilisation du verbe « ramener » pour des objets, on l’utilise plutôt pour des personnes. Pour les objets c’est « rapporter » qui est plus correct. Le langage ultra soutenu d’Erika face à un « je rigole » de Hua ?

Je passe vite fait sur les bonus de passage de niveau : je suis agréablement surprise de voir trois nouveaux lieux d’explo (même si erf, 40 PE, quoi), ainsi que l’apparition du Maülix après autant de temps d’attente (bientôt l’Alcopafel ?), mais du coup je m’interroge sur la pertinence de laisser l’éventail en boutique (rappelons qu’à l’instar de la bougie, son prix a été augmenté en douce il y a un certain temps ), si on peut l’avoir en explo de façon permanente. Je sais que les chances d’attraper un familier avec un appât en PO sont augmentées, mais quand même, je vois pas pourquoi on dépenserait de l’argent réel pour possiblement du vent alors qu’on peut l’avoir en explo et au marché (encore que pour ce dernier point il semble y avoir un bug de ce que j’ai lu ?) tout au long de l’année ? Sinon, c’est un peu dommage qu’on remplisse tous les recoins de la Terre de Jade alors qu’on se traîne les deux mêmes maps depuis près de trois ans maintenant. Un peu de changement ? J’aime beaucoup l’ambiance des quatre illus kokines, même si on m’a fait remarquer qu’effectivement sur certaines on peut se demander ce qui se passe en bas lol Quant à l’épisode en lui-même, je ne suis pas du tout emballée. La première partie était ennuyeuse à souhait, à tourner en rond dans le temple, à aider des gens qu’on ne voit même pas (ou qu’on aime pas, coucou Chrome), à apprendre des trucs que perso j’ai pas retenus parce que c’est pas pratique, l’action n’arrive vraiment que dans le dernier quart de l’épisode, avec pour moi un suspense complètement absent. Surtout avec les révélations de fin, que je peine franchement à qualifier de révélation tant c’était attendu. Bon, bah on verra bien ce que ça donne à l’épisode 21. Allez, à plus !

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Ça se passe en octobre 2018

AUTRES MONDES : MONSTRES ET CRÉATURES MOIS DE L'IMAGINAIRE JUSQU’AU 7 OCTOBRE

Mercredi 3 et samedi 6 octobre à 16h Médiathèque Ateliers manuels de sorcellerie

Au programme : confection d'accessoires et de déguisements de jeune sorcier (baguette magique, etc.) et customisation de matériel scolaire (trousse, cahier…). À partir de 8 ans, sur inscription.

Dimanche 7 octobre à partir de 15h Médiathèque Monstrueux goûter du sorcier : Venez déguisés !

Le plus célèbre des sorciers a 20 ans ! Petit ou grand, fan ou pas, venez le fêter autour d’un goûter. N’oubliez pas vos baguettes magiques, vos costumes ou vos balais volants ! Vous pourrez découvrir des créations d’autres apprentis sorciers, et pourquoi pas, présenter les vôtres.

Dimanche 7 octobre de 14h à 18h Médiathèque Fantastiques jeux !

Retrouvez le Corsaire Ludique dans le hub pour un après-midi de jeux en lien avec le monde de la magie et des créatures.

Prochains rendez-vous avec Le Corsaire Ludique : Dimanches 28 octobre, 2 décembre et 23 décembre.

La Pépite du mois

Découvrez dans le hub un livre rare et précieux consacré aux monstres marins, spécialement sorti du fonds de conservation de la médiathèque.

EXPOSITION « LES AVENTURES FANTASTIQUES DE SACRE-CŒUR » DU 2 AU 14 OCTOBRE 4e LIEU

Exposition programmée dans le cadre du festival Quai des bulles.

Pour patienter jusqu’au festival des 12, 13 et 14 octobre, profitez de cette exposition ludique et interactive, tirée de la série d’albums jeunesse "Les aventures fantastiques de Sacré-Cœur" (éditions Petit Lézard) et découvrez les coulisses de sa création.

A PARTIR DU 3 OCTOBRE ET JUSQU’AU 21 DECEMBRE CHAMPIONNAT LEAGUE OF LEGENDS MEDIATHEQUE

League of legends est de retour à la médiathèque le mercredi 3 octobre et jusqu'au 21 décembre. Créez votre équipe, intégrez le championnat et luttez pour avoir une chance de participer au championnat interbibliothèques !

Inscriptions jusqu'au 25/10 En 5 Vs 5 - Niveau 30 minimum Infos à l'espace Jeux vidéo de la Médiathèque ou au 02 99 40 78 00

VENDREDI 5 ET SAMEDI 6 OCTOBRE 4e RENCONTRES ART & SCIENCE DE SAINT-MALO LA PUISSANCE DU MOUVEMENT L’ÉTONNANT DIALOGUE DU CERVEAU ET DU CORPS

Les Rencontres Art & Science, organisées par la Ville de Saint-Malo sont proposées et coordonnées par Françoise Pétry, conseillère scientifique.

Quand nous observons un danseur, un sportif ou un pianiste, nous n’imaginons pas l’incroyable dialogue qui s’établit entre leur corps et leur cerveau. Comment le sens du mouvement se met-il en place chez le tout-petit ? Comment le peintre ou le sculpteur donnent-ils à voir le mouvement dans leurs œuvres ? La danse d’un robot sera-t-elle un jour aussi aérienne que celle d’une danseuse étoile ? Autant de questions abordées par les intervenants, pour qui le mouvement est un art… que nous pratiquons sans le savoir !

Programme complet : http://www.ville-saint-malo.fr/agenda/art-et-science-letonnant-dialogue-du-cerveau-et-du-corps/

VENDREDI 5 OCTOBRE A 20H15 VAUBAN 2 PROJECTION DU SPECTACLE "JAMES THIERREE / HOFESH SHECHTER / IVAN PEREZ / CRYSTAL PITE"

Proposée dans le cadre des 4e Rencontres Art & Science

Les quatre chorégraphes internationaux, James Thierrée, Hofesh Shechter, Iván Pérez et Crystal Pite, se sont produits à l’Opéra de Paris en mai et juin 2018. Ils mettent en scène tant les mouvements des corps individuels que ceux d’ensembles de corps qui deviennent des "supercorps" majestueux. Ils expliquent à Cédric Klapisch, le réalisateur, leur façon de travailler et les enjeux de leurs créations.

Tarif spécial : 7€

SAMEDI 6 OCTOBRE A 10H30 MEDIATHEQUE LES PETITES OREILLES DE LA PASSERELLE

Le rendez-vous des tout-petits et des adultes les accompagnant : parents, grands-parents… Un bain de lecture et de partage en quelques mots, quelques notes et une petite pause tout en douceur dans le monde de l'imaginaire…

Prochain rendez-vous Les Petites oreilles de la Passerelle : Samedi 1er décembre à 10h30

De 0 à 3 ans accompagnés d'un adulte. Sur inscription (places limitées)

DU 10 AU 16 OCTOBRE VAUBAN 2 PROJECTIONS “SOURIRES D’UNE NUIT D’ETE” DE INGMAR BERGMAN

Proposées dans le cadre du cycle Film du répertoire.

DU 13 OCTOBRE AU 9 DECEMBRE MEDIATHEQUE EXPOSITION « SOUS-VITRINES / COLLECTION AUTOMNE »

Les trois vitrines des espaces Patrimoine/Mer Marine présenteront des documents anciens en lien avec la Route du Rhum, autour de trois thématiques : La "Route du Rhum à la Une", "Dans la tempête" et "Transatlantique".

Et toujours la Pépite du mois !

Le secteur patrimoine continue de dévoiler régulièrement les trésors du fonds des Récollets, collection la plus ancienne (du XVe au XVIIIe siècle) conservée à la médiathèque.

JEUDI 11 OCTOBRE A 18H30 AU VAUBAN 2 LES CONFERENCES HISTOIRE DE L’ART DE L’ACADÉMIE MALOUINE D’ARTS PLASTIQUES : MARC CHAGALL ET LA COULEUR SYMBOLIQUE

Conférence animée par Maryse Lavocat, diplômée de l’École du Louvre et agrégée d’arts plastiques.

Prochains rendez-vous avec l’AMAP : Jeudi 22 novembre à 18h30 : Moore et David Smith, des pleins et des vides. Jeudi 6 décembre à 18h30 : Laideur et beauté, quel corps pour quel temps ? Jeudi 24 janvier à 18h30 : Groupe et collectifs contemporains : révolutions !

VENDREDI 12, SAMEDI 13 ET DIMANCHE 14 OCTOBRE FESTIVAL QUAI DES BULLES

Le célèbre festival de la bande dessinée et de l’image projetée prendra place comme chaque année au Palais du Grand Large, au Quai Saint-Malo mais aussi partout en ville. Profitez d’une programmation riche en expositions, ateliers, rencontres et projections à La Grande Passerelle :

EXPOSITION “LES AVENTURES FANTASTIQUES DE SACRE-COEUR” TOUS LES JOURS DE 9H A 18H (19H LE VENDREDI) AU 4E LIEU Laurent Audouin - Amélie Sarn Accès libre.

RÉALISATION D’UNE FRESQUE EN DIRECT, PAR ALIX GARIN TOUS LES JOURS DE 10H A 18H DANS LE FOYER Lauréate du concours jeunes talents 2017 Accès libre.

RENCONTRE AVEC EMMANUEL LEPAGE VENDREDI 12 A 16H A LA MEDIATHEQUE Accès libre.

PROJECTION DU FILM D’ANIMATION “PHANTOM BOY” SAMEDI 13 A 11H AU VAUBAN 2 Film de Claude Gagnol et Jean-Loup Felicioli Accessible avec le Pass Quai des Bulles

ATELIER BOOKTUBE SAMEDI 13 DE 14H A 16H A LA MEDIATHEQUE avec Audrey, booktubeuse Elle chronique ses coups de cœur littéraires en vidéo et les partage sur Youtube sur sa chaîne Le souffle des mots qui compte environ 52 000 abonnés. Accessible aux enfants âgés de plus de 10 ans, sur inscription (02 99 40 78 00).

RENCONTRE AVEC LAURENT AUDOUIN SAMEDI 13 A 16H A LA MEDIATHEQUE Accès libre.

PROJECTION DU FILM D’ANIMATION “MA VIE DE COURGETTE” DIMANCHE 14 A 11H AU VAUBAN 2 Film de Claude Barras Accessible avec le Pass Quai des Bulles

Programme complet du festival sur saint-malo.fr

JEU-CONCOURS VIRTUAL REGATTA MEDIATHEQUE Inscription à partir du 16 octobre

La médiathèque et Virtual Regatta s'associent pour organiser un jeu-concours spécial Route du Rhum. Pour participer, utilisez notre code partenaire RHUM2018 ou tentez de gagner des packs toutes options lors de notre quizz surprise à la médiathèque ou sur Facebook. Le premier bateau arrivé à Pointe-à-Pitre remportera le trophée "Grande Passerelle Virtual Regatta Route du Rhum 2018". Les deux suivants seront aussi récompensés lors de la remise des prix le samedi 17 novembre à la Médiathèque.

Nous sommes à votre disposition pour vous aider à créer votre bateau.

Tout public-Gratuit

Et ne manquez pas, la rencontre avec Philippe Guigné, fondateur et directeur du jeu Virtual Regatta !

VENDREDI 2 NOVEMBRE A 17H30 MEDIATHEQUE RENCONTRE/MÉTIER : PHILIPPE GUIGNE

Philippe Guigné est le fondateur et directeur du jeu virtuel de régate et de course au large Virtual Regatta. Venez découvrir son métier et toutes les anecdotes liées à la création du célèbre jeu en ligne né lors de la Route Du Rhum 2006.

Tout public à partir de 7 ans-Gratuit

MARDI 16 OCTOBRE A 19H 4E LIEU ATELIER FANZINE DEADALUS

Né “Daedalus” à l’automne 2014, le fanzine rock malouin créé par Samuel Etienne joue les espiègles et se rebaptise Deadalus. Pour le reste, rien ne change : on y parle d’abord de musique et de musiciens, mais aussi de toutes les formes d’expression artistique.

Fabriqué par les fans pour les fans, la participation des lecteurs à la réalisation de ce fanzine, qui s’intéresse à la vie culturelle malouine, est plus que bienvenue.

Ces ateliers sont pour celles et ceux qui voudraient, ponctuellement ou plus durablement, jouer de la plume, du crayon ou de l’appareil photo et intégrer les coulisses de la réalisation du magazine.

Rencontrez l’équipe Deadalus chaque mois à La Grande Passerelle !

MERCREDI 17 OCTOBRE A 15H30 MEDIATHEQUE QUI LIT REVE A LA PASSERELLE

Qui lit rêve à la Passerelle vous promet une plongée dans des histoires à rire, à rêver, mais aussi à frissonner ! Une garantie de menus surprise à partager sans modération, entre petits et grands !

Prochains rendez-vous Qui lit Rêve à la Passerelle : Mercredi 14 novembre à 15h30 Mercredi 12 décembre à 15h30 Mercredi 9 janvier à 15h30

À partir de 3 ans, accompagnés d’un adulte.

JEUDI 18 OCTOBRE A 18H VAUBAN 2 CINE-DEBAT : ENDOMETRIOSE : PARLONS-EN !

Les associations Femmes solidaires de Saint Malo-Côte d'Emeraude et Endomind France s'associent pour organiser un ciné-débat visant à mieux connaître l'endométriose, maladie hormono-dépendante qui touche 1 femme sur 10 en France. Soirée animée par le docteur Estelle Bauville, médecin gynécologue au CHU de Rennes, et Dominique Hily, bénévole à Endomind.

VENDREDI 19 OCTOBRE A 18H VAUBAN 2 LES RENCONTRES LITTÉRAIRES DE L’ENCRE MALOUINE : ARLETTE JOUANNA

« Parce que c'était lui, parce que c'était moi » disait Michel de Montaigne à propos de son ami La Boétie.

Parce que c'est elle, Arlette Jouanna, professeur émérite de l'Université de Montpellier et historienne remarquable, qui va faire revivre cet homme extraordinaire, nous enseignant comment puiser la grandeur dans la médiocrité de la vie ordinaire, parce que c'est elle qui vous parlera de cet homme d'exception au destin singulier, vous serez séduits, enthousiasmés, comblés, pantois...

SAMEDI 20 OCTOBRE DE 14H A 17H MEDIATHEQUE VIVRE UNE RÉPÉTITION DE DANSE EN 3D

Rendez-vous proposé dans le cadre du Festival des sciences 2018

Le laboratoire d'études théâtrales de l'université Rennes 2 s'est associé à Lagencevoid, la start-up Une jolie idée, Au bout du plongeoir et l'université Rennes 1 pour observer et enregistrer à 360° une répétition de danse de Katja Fleig, dans le cadre de sa création Engelsam : en jeu. Nous vous invitons à embarquer dans l'univers des artistes au travail, cherchant les corps, la musique et les poèmes des anges de Paul Klee. Vous serez munis d'un casque immersif et vous pourrez éprouver leurs mouvements dansés en circulant au milieu d'eux comme si vous étiez sur le plateau. Une belle invitation à comprendre le travail des artistes et de quoi vous donner envie de danser, peut-être, ou d'aller voir le spectacle, c'est sûr !

ATELIER MAKER, BATEAUX POP POP SAMEDI 20 OCTOBRE DE 14H A 17H ESPACE JEUX VIDEO - MEDIATHEQUE A l'aide d'un kit préfabriqué, la médiathèque vous propose de venir créer votre bateau à propulsion « pop pop ». Les participants prendront part à une course dans la médiathèque. A vos marques, prêts, pop popez ! A gagner : un pack toutes options pour la Route du Rhum virtuelle sur Virtual Regatta

Tout Public à partir de 8 ans / En famille Gratuit sur inscription : nombre de places limité (5 places)

SAMEDI 20 OCTOBRE A 15H 4E LIEU CONFERENCE "LA RÉVOLTE DU PAPIER TIMBRE OU RÉVOLTE DES BONNETS ROUGES (1675)"

Conférence proposée par le Centre Culturel Breton et animée par Aubert Gauthier, professeur des universités à Rennes 2 et auteur de l’ouvrage Les révoltes du papier timbré, 1675 (essai d’histoire événementielle, Rennes, PUR, 2014).

DIMANCHE 21 OCTOBRE DE 14H A 17H45 4e LIEU REPAIR CAFE, REPARONS NOS OBJETS !

Au Repair Café, on y répare de tout : vêtements usagés, meubles cassés, appareils électroménagers abîmés... Ici, vous luttez contre le gaspillage et l'obsolescence programmée. Des aides-réparateurs vous aident à réparer vos objets. Vous y échangez vos savoirs et apprenez à faire par vous-même au maximum, pour un moment de partage et de convivialité. Nouveauté cette année, un stand recyclage est accessible aux plus jeunes !

Prochains rendez-vous Repair café : dimanches 25 novembre et 16 décembre.

DU 20 OCTOBRE AU 11 NOVEMBRE ROUTE DU RHUM

La Grande Passerelle s'associe à l'effervescence de la Route du Rhum pour vous proposer de nombreuses animations avant et après le départ, en partenariat avec le journal Le Télégramme et OC Sport, organisateur de la course.

Des expositions, des conférences, des sélections de documents et aussi des ateliers et des émissions de TV en direct seront au programme de cette quinzaine !

Plus d'informations à venir prochainement.

MERCREDI 24 OCTOBRE DE 14H A 16H 4e LIEU ATELIER BREAK-DANCE AVEC BBOY JUNIOR

L'équipe du Battle Corsaire vous présente LA ROUTE DU HIP-HOP !

Tout au long de la saison 2018-2019, l'association "Même Pas mal" partagera avec vous les valeurs de la culture hip hop (échange, diversité, respect…) à l’occasion de 5 événements à ne pas manquer.

1er rendez-vous, le mercredi 24 octobre au pôle culturel La Grande Passerelle :

Participez à un atelier gratuit et ouvert à tous (dès 8 ans) d'initiation ou de perfectionnement au Break-Dance, animé par Bboy Junior.

Inscrivez-vous vite au Guichet culture de La Grande Passerelle (02 99 40 78 04), les places sont limitées !

Retrouvez toute l’actualité de LA ROUTE DU HIP HOP sur les réseaux sociaux (compte "Battle Corsaire") et prenez part à cette nouvelle aventure !

LES MERCREDIS 24 ET 31 OCTOBRE DE 14H30 A 16H30 MEDIATHEQUE ATELIERS "INITIATION AUX COLLAGES PAPIER", SUR LA THEMATIQUE DE LA ROUTE DU RHUM.

Les ateliers seront encadrés par Elizabeth et Casimir Kurzac, animateurs de l’Atelier collage papier de l’association AVF Accueil.

À partir de 8 ans. Sur inscription.

SAMEDI 27 OCTOBRE DE 10H A 12H ET DE 14H A 17H ET SAMEDI 24 NOVEMBRE DE 14H A 17H MEDIATHEQUE ATELIERS OODAAQ : SENSIBILISATION AUX IMAGES

Cette année, l’équipe de L’Oeil d’Oodaaq vous propose une série d’ateliers et de rencontres consacrés à l’invention de l’image.

Ce cycle inaugural traitera des premières représentations du monde et de la création de l'image. Depuis la représentation préhistorique jusqu'aux icônes actuelles, quelle est la force et la magie attribuées aux images ? Quels en sont les codes, les manifestations ?

Par la pratique du cyanotype puis de la photographie, et au travers de la thématique de l'animal fétiche, vous explorerez des techniques de reproduction, d'empreintes et de surimpression.

27 OCTOBRE (STAGE 5H) : CYANOTYPE ET ANIMAL TOTEM

Le cyanotype est un procédé d'impression par contact. Il produit des images bleues et peut être appliqué sur différents supports. Après une rapide initiation à la technique, vous partirez à la recherche de votre animal totem. À partir d'un fond d'ouvrages de la bibliothèque, vous choisirez les images d'un animal et d'un autre élément (décor, objets, symbole...) et les travaillerez sur ordinateur avant de les imprimer sur rhodoïd et sur un objet de votre choix (galets, plaque de verre, tissus) par la technique du cyanotype.

24 NOVEMBRE (ATELIER 3H) : PORTRAIT A L'ANIMAL

Cet atelier poursuivra la thématique animal et vous proposera de réaliser des portraits en surimpression bricolée avec sténopé et rétroprojecteur. L'occasion de travailler les mises en scène et le labo de développement argentique.

Sur inscription (places limitées). Atelier accessible aux adultes et enfants à partir de 8 ans.

DIMANCHE 28 OCTOBRE DE 14H30 A 17H30 APRES-MIDI JEUX

L'univers des nouveaux jeux de société est beaucoup plus vaste, riche et varié que vous ne pouvez l'imaginer. Partant du principe que l'on n'arrête pas de jouer parce qu'on vieillit, mais qu'on vieillit parce qu'on arrête de jouer, les animateurs du Corsaire Ludique proposent de vous le confirmer !

Prochains rendez-vous avec Le Corsaire Ludique : Dimanches 2 et 23 décembre

BILLETTERIE GUICHET CULTURE

- Saison culturelle des théâtres de la Ville : Théâtre de L’Hermine et Théâtre Chateaubriand

- Saison musicale de La Nouvelle Vague

- Festival Quai des Bulles, 12, 13 et 14 octobre 2018

- Exposition "Chapeau bas Spirou !”, accessible jusqu’au 3 novembre à la Chapelle Saint-Sauveur

- Concert jazz programmé par La Fabrique à concert : Baptiste Herbin quartet, Samedi 24 novembre 2018 à 21h au Théâtre Chateaubriand

- Revue d’expression littéraire L'Hermine & la Plume (N°0 et 1)

- Revue littéraire N°2 de l’association L'Encre Malouine

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Les 40 meilleures citations de Dexter

Dexter est une série télévisée comprenant huit saisons avec 96 épisodes durant 45 à 52 minutes. Ce film a été écrit par James Manos Jr qui s’est inspiré du roman « ce cher Dexter » rédigé par Jeff Lindsay. C’est un film diffusé dans de nombreux pays. Les citations Dexter sont très appréciées par les fans. La série Dexter parle d’une personne nommée Dexter Morgan qui effectue ses services à la police de Miami où il travaille en tant qu’expert en médecine légale chargé de faire les analyses des traces de sang.

Cependant, Dexter a une autre facette cachée : celle d’un tueur en série qui n’a pas la moindre émotion ni compassion pour ses victimes. La raison de cette insensibilité est simple, Dexter a été traumatisé lors de son enfance par son père adoptif qui lui a appris à maitriser ses sentiments et à n’avoir aucune pitié. C’est ainsi que Dexter assassine tous les criminels qui ont échappé à la justice. Une façon de rendre justice selon lui. Une vie de meurtrier qui ne lui empêche pas de mener une vie normale en parallèle avec son entourage. Ainsi on remarque plusieurs citations de Dexter durant les nombreux épisodes et saisons de cette série. Voici les 40 meilleures citations de Dexter.

1. « Je suis un monstre très soigné. ~Dexter Morgan » – Jeff Lindsay

2. « C’est comme si, tout est vraiment de deux façons, la façon dont nous prétendons tous que c’est et la façon dont c’est vraiment » – Jeff Lindsay

3. « Ça m’a pris un moment. J’ai cligné des yeux, et tout à coup, j’ai nagé et j’ai dû froncer les sourcils très fort pour m’empêcher de rire à haute voix comme l’écolière que Deb m’avait accusée d’être. Parce qu’il avait arrangé les bras et les jambes en lettres, et les lettres épelaient un seul petit mot : BOO.Les trois torses ont été soigneusement disposés sous le BOO dans un quart de cercle, faisant un joli petit sourire d’Halloween. » – Jeff Lindsay

4. « Et comme nous devrions tous le savoir, chaque fois que vous prédisez un échec, vous avez d’excellentes chances d’avoir raison. » – Jeff Lindsay

5. « J’ai salué tout le monde. Certains d’entre eux a même fait un signe de la main. Ils me connaissaient, m’avaient déjà vu passer, toujours joyeux, un grand bonjour pour tout le monde. C’était un homme si gentil. Très amical. Je n’arrive pas à croire qu’il ait fait ces horribles choses… » – Jeff Lindsay

6. « Elle a levé les yeux vers moi,lentement, tandis que je me demandais pourquoi. Avait-elle oublié à quoi je ressemblais ? Mais elle a fini avec un grand sourire. Elle m’aimait vraiment, l’idiot. » – Jeff Lindsay

7. « Plus je l’entendais dans mes pensées, plus je l’entendais. c’était plus logique. Et au-delà du sens, c’est devenu une sorte de mantra séduisant. » – Jeff Lindsay

8. « Il restait soit des pouvoirs magiques, soit une coïncidence, et bien que je n’aie rien contre Harry Potter, la coïncidence a obtenu mon vote. » – Jeff Lindsay

9. « Il y a des millions d’années, le premier lézard est sorti de l’eau et a frappé le deuxième lézard sur la tête avec une pierre. Ainsi, le premier tueur en série est né. » – Jeff Lindsay

10. « J’en ai rien à foutre de qui tu baises, mais ne fous pas en l’air mon enquête. » – Debra Morgan

11. « Putain de sac à merde, espèce de putain de pépite ! » – Debra Morgan

12. « Merde sur mon visage si tu me refais la même putain de phrase. » – Debra Morgan

13. « Dexter est ce putain de Dexter. » – Debra Morgan

14. « Je suis une baise de trophée Fuckwad » – Debra Morgan

15. « Peachy fucking keen. » – Debra Morgan

16. « Toujours un monstre, bien sûr, mais j’ai bien nettoyé par la suite, et j’étais NOTRE monstre, vêtu de rouge, blanc et bleu 100% vertu synthétique. » – Jeff Lindsay

17. « Je me sentais presque étourdie, comme une lycéenne regardant le capitaine de l’équipe de football travailler ses nerfs pour demander un rendez-vous. Tu veux dire moi ? Le petit vieux moi ? Oh mon étoile, vraiment ? Pardonnez-moi pendant que je fais vibrer mes cils. » – Jeff Lindsay

18. « Je trouve d’autres, ceux qui s’attaquent aux innocents et ne respectent pas les règles, et je les fais partir en petits morceaux soigneusement emballés. » – Jeff Lindsay

19. « Et quand j’ai additionné tout cela, j’ai réalisé ce que j’avais : un très fort peut-être quelque chose de possible ou non, qui pourrait ou non être une menace réelle ou non. Ou quelque chose comme ça. » – Jeff Lindsay

20. « J’avais tué notre relation en enfonçant ma langue dans son cœur et en la poussant d’une falaise. » – Jeff Lindsay

21. « C’était presque assez pour que je ressente de l’émotion. » – Jeff Lindsay

22. « Ça arrive ; l’incompétence est récompensée plus souvent qu’autrement. » – Jeff Lindsay

23. « A sa façon, le baiser avait été un acte de meurtre. » – Jeff Lindsay

24. « La folie était-elle vraiment plus facile à accepter que l’inconscience ? » – Jeff Lindsay

25. « Moi, le sentiment. Quel concept. » – Jeff Lindsay

26. « Tu n’aimes pas beaucoup Quinn. » – Debra Morgan

27. « Si ça marche, qui suis-je pour faire caca sur ton défilé ? » – Debra Morgan

28. « Baise-moi dans les airs » – Debra Morgan

29. « Et merci pour ce putain de donut. » – Debra Morgan

30. « Un bébé ?! Une putain de machine à merde à joues potelée, tu te fous de moi ?. » – Debra Morgan

31. « Je ne vais pas faire de putain de scrapbooking ! » – Debra Morgan

32. « Bordel de merde, serpents ! » – Debra Morgan

33. « J’ai regardé toutes les photos de toutes les scènes de crime. » – Debra Morgan

34. « Chaque fois que tu as un putain de secret, tu devrais le dire à ta putain de soeur ! » – Debra Morgan

35. « Il y a beaucoup de méchants dehors. Je ne peux pas tous les attraper. Pour être honnête, elle ne pouvait en attraper aucun d’entre eux à moins qu’ils ne se jettent d’un immeuble et ne se jettent dans le siège avant de sa voiture. » – Jeff Lindsay

36. « Dexter, dit Debs, en se secouant la tête contre moi. Obtenez des sels odorants ou quelque chose comme ça. Deke et toi, aidez-la à se relever. (….) Deke m’a regardé avec anxiété, me rappelant beaucoup un grand et beau chien qui a besoin d’un bâton pour aller chercher. Hé, tu as un peu de ces trucs qui sentent mauvais, a-t-il dit. Apparemment, il était devenu universellement accepté que Dexter était le gardien éternel des sels odorants. Je n’avais aucune idée d’où venait ce canard déconcertant, mais en vérité, j’en étais complètement dépourvu. Heureusement, Mme Aldovar n’était apparemment pas intéressée à renifler quoi que ce soit. » – Jeff Lindsay

37. « C’est pour ça que tu pleures ? (….) Ce ne sont que des hormones, dit-elle. Je ne voulais pas qu’on me voie. J’ai sauté sur l’image de quiconque voyait ses hormones et j’ai essayé de me concentrer sur le cœur de la question. » – Jeff Lindsay

38. « Vince et moi avions atteint le point où il n’y avait plus rien d’autre à faire avec l’emballage des tacos, et comme il refusait de tirer à la courte paille pour avoir le privilège de le dire à Deborah, j’avais été forcé de l’appeler pour lui annoncer que nous n’avions rien trouvé. Et trois minutes plus tard, elle était là, marchant dans notre labo comme une furie vengeante.Bon sang, dit-elle avant même d’être dans la pièce, J’ai besoin de quelque chose de toi ! Peut-être un sédatif ? Vince a suggéré, et pour une fois j’ai pensé qu’il avait raison sur l’argent. » – Jeff Lindsay

39. « Mais c’est différent pour une fille, et Astor a l’âge… Ce n’est pas trop sec, n’est-ce pas ? Elle a dit, fronçant les sourcils à mon assiette. C’est parfait, j’ai dit. C’est sec, je suis désolé. J’ai donc pensé que si vous lui parliez, Rita a terminé. J’espérais vraiment qu’elle parlait à Astor et non à la côtelette de porc. » – Jeff Lindsay

40. « Je n’avais jamais été aussi seul que dans mon admiration pour le travail du vrai tueur. Les parties du corps semblaient chanter pour moi, une rhapsodie d’émerveillement sans effusion de sang qui illuminait mon cœur et remplissait mes veines d’un sentiment de crainte enivrante. » – Dexter Morgan

Source: https://www.chillcity.fr/citations-dexter/