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#objet qui porte
mizaryrottmnt · 2 months
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"My Dear Puppet"
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FR: Un bon début
(you can use thé internet translation, I simplified my language)
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Unity laisse échapper un soupire long alors qu'elle est seule dans une petite pièce qui ressemble a une chambre a coucher. Un matelas au sol plutôt propre avec des draps couleur saumon aussi propre. une petite boite en bois qui fait office de table de lit avec une vieille petite lampe de chevet. Étonnant quand on sait où elle se trouve. Dans le repaire de la famille Hamato, les égouts plus précisément.
On lui a préparé spécialement cette petite couche pour qu'elle puisse dormir correctement et cela se voit. C'est plus propre que ce qu'elle avait pu imaginer avant d'y être. La jeune femme fait quelques pas en avant, regarde autour d'elle. Il y a des tags aux murs, mais pas ceux grossiers trouvés dans les rues que les tagueurs utilisés pour marquer leur présence contre un mur, mais des dessins vraiment artistiques. De beaux motifs qui semblent exprimer plus qu'une simple signature. Ça change encore de l'idée qu'elle se faisait d'un mur d'égouts. Puis l'odeur, il n'y en a pas. Pas d'odeur de fosse septique qui remonte a ses narines, pas d'odeur de putréfaction quelconque ou d'eau croupie là depuis des mois. L'air est bon.
- C'est propre.
Surprenant.
Alors qu'elle zone, sa mémoire retrace la journée qu'elle vient de vivre.
Se faire remarquer par le fils au bandeau bleu Hamato était facile, elle avait le panel parfait pour attirer son attention. Une Yokai licorne. Il était donc simple d'amorcer un premier contact. Mais elle n'avait pas pensé qu'il n'allait pas juste aller lui parler mais complètement la kidnapper en lui laissant a peine le temps de dire "bonjour". Et peu importe si elle avait des protestations, la tortue avait déjà décider de la ramener a peine avait-elle posé les yeux sur lui. En y repensant, si elle n'avait pas accepté de rester pour que la famille fasse pardonner le geste de leur frère, on aurait pu croire a une prise d'otage. Mais même si elle était devenue une otage, le but était d'arriver ici, et elle avait réussi. Il faut juste qu'elle retienne ce nom d'emprunt qu'elle s'est donné : "Unity". Étonnant qu'ils n'aient pas réagi à un nom aussi singulier.
Drrrring drrrring!
Dans sa pose, son téléphone sonne. Un petit appareil à clapet violet lavande avec un porte-clé en forme d'atome. Vieux, usé et quelque peu rayé.
-Oui... Oui je suis bien arrivée. Bien sûr.
-Je suis impressionnée de te voir réussir aussi facilement alors que mes autres petits laqués n'avaient même pas pu suivre l'un d'eux.
-Que voulez-vous Madame, je... suis juste meilleure qu'eux. Répond Unity avec un ton sans joie ni même fierté.
-Ah ah ah! Bien sûr! C'est certain maintenant que je te vois en action. je ne regrette plus du tout mon choix. Peut être l'un des plus judicieux depuis longtemps. Je compte beaucoup sur toi à présent~
Malgré les mots doux et mielleux, la Yokai a une petite grimace devant cette fausse confiance que lui donne la personne à l'autre bout du fil.
-Bien sur. Je vous les amènerais sur un plateau d'argent, soyez en sûr. Juste le temps de gagner leur confiance et de les sédater.
-Efficace. Mais, il semblerait que je n'ai pas pu suivre ton signal une fois passée une certaine zone, large. As-tu une explication ?
Unity fait silence, se remémore la journée, les détails. Les quelques objets qu'il l'entouraient sur sa route avant de passer par ce portail bleu.
-Je pense, que le traceur a été brouillé par un boîte noire.
-Oh! Ce doit être le fait de cette jeune tortue violette.
-Donatello Hamato?
-Oui c'est bien lui. Gagne sa confiance et trouve le moyen de désactiver son brouilleur. C'est ta mission première.
Gagner la confiance de quelqu'un. Quelque chose qui la fait déglutir d'anticipation. Est-ce qu'elle va y arriver? Est-ce possible ? Même s'ils ont l'air ouverts dans cette famille et... Généreux, celui au bandeau violet lui semble bien plus fermé. Son rythme cardiaque s'intensifie alors qu'elle réfléchit a comment faire alors qu'elle est toujours au téléphone avec sa commanditaire.
-.... Me suis-je bien faite comprendre ?
-O-Oui Madame.
-D'ici là, je te permet un budget illimité, carte blanche pour que la mission réussi et si tu as besoin de quoi que ce soit. Mais j'attendrai des résultats. Je les veux tous face à moi, y compris Lou jitsu, et complètement a ma merci, annonce froidement la voix de l'interlocutrice à travers le téléphone. Faisant grincer des dents la Yokai licorne.
...
-Je ne le ferai pas, Big Mama.
Unity déglutit, et raccroche une fois la discussion close par sa patronne. Elle fixe son téléphone, puis regarde le matelas et jette d'un geste ample son appareil sur le lit avant de retirer son poncho et de se poser sur le lit a son tour. Un long soupire quitte ses lèvres, une pression disparaît avec, mais une autre persiste. Une grosse tension sur ses épaules, une épée de Damoclès.
Je ne veux pas y retourner, je ne veux pas y retourner. Je dois y arriver. Si ça marche, alors je pourrai enfin...
Soupire. Elle s'affale sur le lit, les bras tendu et regarde le plafond. Le sommeil ne devrait pas tarder à la prendre, pourtant quelque chose la dérange. Le manque de bruit. Elle a l'habitude a d'un brouhaha constant autour d'elle, des gens qui parlent, qui crient, qui se battent. C'est trop calme pour elle.
....
Demain, je commencerai par celui au bandeau orange. Il semble plus simplet que les autres. Je dois en profiter.
C'est demain que tout commence.
"TBC"
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am0rt · 8 months
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J'ai trop la flemme de traduire, et j'adore les HC, donc nsm les anglais vous entendez. Btw si y'a quelques contre-sens avec le jeu dites le moi, je reregarde petit à petit le jeu (car nsm les p.a).
HSL CDC HEADCANONS:
Armin:
Laupok c'est son youtubeur fav assuré je suis dsl. Minimum il essaie toujours qu'on choisisse son niveau Mario Maker.
Les cernes. C'est le genre de personne à 3h du matin il est en ranked dans un jeu en ligne ou alors il essaie de battre un boss depuis 21h.
Ses cheveux graissent facilement, c'est souvent Alexy qui lui rappelle de les laver.
Révise jamais mais à 16 de moyenne.
Tu veux le stalker ? Bonne chance car honnêtement il a 12 abonnés sur Instagram.
Lysandre:
Tâche de rousseur dans le dos.
Il a une écriture hyper soignée.
Il kiff faire les friperies, les vides greniers ect, c'est l'endroit parfait pour lui pour trouver les objets à son goût.
Il adore les films/séries d'animation.
Bien qu'il soit tête en l'air, JAMAIS il n'oubliera l'anniversaire de ceux qu'il aime. Il trouve toujours quelques choses pour faire plaisir à la personne.
Kentin:
Une haine profonde envers le film Barbie à cause de la musique "I'm Just Ken".
Il a des lunettes pour quand il est chez lui, des lunettes de daron rectangulaire y'a que Sucrette qui sait ça.
C'est le genre de personne qui garde les cadeaux qu'on lui offre.
On lui empêche encore de sortir à son big âge.
Il a peur des profondeurs marines et il est claustrophobe + bonus anxiété après ses années d'harcelement et l'armée.
Discipline de fou furieux.
Nathaniel:
"Le livre est bien meilleur, je sais pas pourquoi les gens regardent QUE le film."
Il a déjà tenu un wattpad pendant un an, ses parents ont découvert l'application et l'ont forcé à supprimer.
Il trouve du réconfort dans le contact physique mais il est toujours un peu mal à l'aise face au contact physique.
Ce n'est pas le genre de personne à écouter de la musique très souvent.
Minimum il a une pharmacie entière dans son sac pour ses allergies, quand il a des migraines ect.
Castiel:
Collection de t-shirt de rock.
Ses paires de chaussures sont bien usées bien défoncées. Soit il porte des docs soit des converse.
Skater à ses heures perdus, il a déjà rejoint Iris et Armin au skate parc (cmt caler un HC dans un HC)
Crooked nose bien grrr
Hormis les chiens, il n'aime pas les animaux.
Monsieur hyper aigri est en secret hyper chatouilleux et il a probablement un rire contagieux bien magnifique.
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C...comme caresse !
Ceci est une caresse. Pourquoi est-ce si bon de parcourir la peau des gens qu'on aime ? De caresser les joues de son bébé ? De se blottir dans le cou d'un ami ? De sentir une main sur la nôtre, puissante et chaude ? De pleurer dans les bras d'un inconnu ? De masser les pieds de quelqu'un de malade ?
Le point commun de cela, c'est bien le toucher et sa force infinie. L'étymologie indique que le terme vient de "toccare", qui signifie frapper à la porte. C'est une aventure particulière de toucher l'autre, cela suppose de trouver le juste milieu entre la spontanéité et l'autorisation, cela impose d'être pleinement attentif à celui qu'on touche, d'avoir la délicatesse de la demande. L'autre jour, je lisais ceci : "toucher, c'est investir le seuil de l'autre et lui signifier sa présence". C'est parler sans dire, c'est raconter. C'est faire de cette communication muette une fusion, une absolue concentration, qui ne demande qu'à se poursuivre, qu'à s'étirer vers ce qu'il nous reste d'infini. Toucher, n'est pas posséder. Toucher, c'est aussi être touché. C'est faire de cette réciprocité le plus grand des enjeux relationnels, la double expérience simultanée d'un être objet et sujet. Car l'acte de toucher n'est pas neutre, il implique la personne dans sa globalité physique, dans ses capacités sensorielles et perceptives et dans sa présence humaine. Ainsi, l'expérience de toucher est une expérience de l'humain ; le toucher est un toucher de l'autre, la rencontre avec une personne, mais aussi la rencontre avec l'humain, l'humain de soi et l'humain de l'autre. Le toucher renvoie à l'haptique, qui désigne la dimension tactile du monde, mais qui contrairement à l'optique ou l'acoustique, ce mot n'est presque jamais utilisé. Claire Richard, dans un livre, ivre de sensibilité, écrit ces mots : "on se touche de moins en moins dans la civilisation des écrans. Au point qu'au Japon, des bars à caresses ont ouvert où l'on peut commander un câlin en même temps qu'un moka".
#philosophie de vie
J'aimerais qu'en cet instant, le flux du monde s'arrête et qu'on puisse se donner la main.
Je vous souhaite toute la douceur du monde pour aujourd'hui comme pour demain !
#au-jardin-de-mon-coeur
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soitamespieds · 1 year
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La gardienne de la clé de votre cage possède votre plus grand secret
Au cœur des dynamiques les plus profondes de l'âme humaine se cachent des désirs et des secrets qui défient souvent les conventions établies. La cage de chasteté, loin d'être un simple accessoire, devient une extension de cette dynamique, un symbole puissant de soumission et de contrôle. Mais plus que la cage elle-même, c'est la gardienne de sa clé qui joue un rôle central. Elle détient le secret le plus insaisissable, celui qui est tu même dans les murmures les plus discrets.
La cage est bien plus qu'un objet. Elle est une déclaration, un engagement, un choix délibéré d'entraver une partie de soi. Pour celui ou celle qui la porte, elle devient un rappel constant, une épreuve continuelle de dévotion, de confiance et d'abandon. Elle représente une promesse faite non seulement à soi-même mais surtout à la gardienne.
La gardienne, avec cette clé entre ses mains, se voit confier un pouvoir immense. C'est une responsabilité qui va bien au-delà de la simple possession d'un objet. Elle détient un secret, un pacte silencieux scellé entre elle et le porteur de la cage. Chaque interaction, chaque regard échangé, est empreint d'une signification profonde, d'une tension palpable.
Cette relation, teintée d'une dynamique unique de pouvoir, est complexe et multifacette. Pour le porteur de la cage, confier la clé à la gardienne c'est se rendre vulnérable, c'est une soumission totale à une autre personne. Pour la gardienne, c'est assumer une position dominante avec toutes les responsabilités que cela comporte. Elle doit être à la fois stricte et bienveillante, toujours à l'écoute et consciente des limites.
Il faut aussi reconnaître le courage que cela implique pour les deux parties. Dans une société souvent prompte à juger, choisir de porter une cage de chasteté ou d'en être la gardienne est audacieux. C'est un acte de rébellion contre les normes, une déclaration d'indépendance face aux jugements.
En définitive, la gardienne de la clé et la cage de chasteté incarnent une relation profonde et complexe, une danse éternelle entre pouvoir et soumission. Derrière cette dynamique se cache un monde d'émotions, de désirs inavoués, et surtout, un secret insaisissable qui, bien que caché, donne une essence unique à leur relation.
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fashionbooksmilano · 5 months
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Luxe de poche
Petits Objets Précieux au Siècle des Lumières
Musée Cognacq-Jay Paris-Musées
Paris-Musées, Paris 2024, 96 pages, 22x28cm, ISBN 978-2-7596-0579-8
euro 28,00
email if you want to buy [email protected]
L’exposition Luxe de poche au musée Cognacq-Jay présente une collection exceptionnelle de petits objets précieux et sophistiqués, en or, enrichis de pierres dures ou de pierres précieuses, couverts de nacre, de porcelaine ou d’émaux translucides, parfois ornés de miniatures. Les usages de ces objets varient, mais ils ressortent tous des us et coutumes d’un quotidien raffiné, signe de richesse, souvenir intime. Au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitent un véritable engouement en France d’abord puis dans toute l’Europe. 
Luxe de poche a pour ambition de renouveler le regard que l’on porte sur ces objets, en adoptant une approche plurielle, qui convoque à la fois l’histoire de l’art et l’histoire de la mode, l’histoire des techniques, l’histoire culturelle et l’anthropologie en faisant résonner ces objets avec d’autres œuvres : des accessoires de mode, mais aussi les vêtements qu’ils viennent compléter, le mobilier où ils sont rangés ou présentés et enfin des tableaux, dessins et gravures où ces objets sont mis en scène. Ce dialogue permet d’envisager ces objets dans le contexte plus large du luxe et de la mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle.
Point de départ de cette nouvelle exposition, la remarquable collection d’Ernest Cognacq est enrichie de prêts importants – d’institutions prestigieuses comme le musée du Louvre, le musée des Arts décoratifs de Paris, le Château de Versailles, le Palais Galliera, les Collections royales anglaises ou le Victoria and Albert Museum à Londres - afin d’offrir une nouvelle lecture de ces accessoires indispensables du luxe.
03/05/24
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recapqsmp · 1 year
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Vendredi 15/09 - L'examen final des 12 petits œufs
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Fit s'est rendu compte que la moustache de Ramon a disparu de son lit. Il s'est entretenu avec Tubbo (rejoint en même temps par Philza) qui leur a expliqué tout ce qui s'est passé la veille : le rendez-vous avec Fred, la roulette, les objets des œufs.. Tubbo leur a aussi expliqué l'existence d'un 8eme œuf : A1. Le groupe est allé voir Forever pour essayer de le réveiller de son coma, sans succès. Fit a expliqué à Philza que le code l'avait averti de quelque chose en lui donnant une horloge, et les deux ont théorisé sur le fait que le code voudrait peut-être protéger les œufs, ou les habitants des œufs, qui seraient le danger de l'île. Fit et Philza ont conclus que même si les œufs étaient des robots ou des IA, ils essaieraient tout de même de les protéger.
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https://clips.twitch.tv/ModernSquareGnatBrainSlug-3dOCS990XNNhqlys
Le serveur a fêté l'indépendance du mexique ! Les joueurs ont pu se rendre dans une reproduction de "la cathédrale métropolitaine de l'Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie au Ciel de Mexico", se sont (pour la plupart) habillé spécialement pour cette fête, ont dansé et appris des traditions mexicaines. Pour l'occasion, les capybaras et Firusflais (le corgi de Roier) étaient présents à la soirée. Foolish en a profité pour montrer le village des capybaras à Mouse, Jaiden et Lenay. Les joueurs se sont ensuite rendu au QG de l'Ordo pour faire le point sur tous les évènements passés. Foolish a gagné au pile ou face le droit de voler les médicaments s'il arrive a s'introduire dans le coffre-fort de l'Ordo. Certains joueurs ont ensuite organisé une after à la "hot girls beach" de Mouse en attendant la fin du compte à rebours du labyrinthe.
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https://clips.twitch.tv/GracefulKawaiiSpindleEagleEye-2gHAA1pyEgK95DYP
Lorsque le compte à rebours touchait à sa fin, les joueurs se sont rendus au labyrinthe pour découvrir ce qui les attendaient. Un mur s'est ouvert et les joueurs se sont frayés un chemin à travers une horde de monstres en suivant des cafards pour atteindre une salle en quartz avec un coffre au milieu. Ce coffre contenait 3 dessins d'œufs perdus dans un labyrinthe, et un livre racontant la tâche finale des 12 oeufs entrainés à être exceptionnels. Dans ce livre, la plupart des oeufs étaient mort dévorés par des monstres, et seul 2 survivaient, mais étaient encore piégés dans le labyrinthe.
Les joueurs ont aussi trouvé un ascenseur caché dans cette salle, menant à un gros bouton rouge, et un livre. En appuyant sur le bouton, une conversation s'est déroulée sous les yeux des joueurs, parlant de la fuite des œufs, du lien avec des anomalies expliquant pourquoi ils ne reviennent pas, et qu'ils se tiendront à jour sur le canal principal. Le livre expliquait que ce canal principal n'est accessible qu'à des employés de longue date, via leur mots de passe personnels. En continuant a explorer le labyrinthe, les joueurs sont retombés sur la salle avec la roulette, mais cette fois-ci, il n'y avait plus qu'une chose au centre de la pièce : la bouée de Chayanne. Les joueurs ne trouvant plus rien dans le labyrinthe, on conclu qu'ils auraient des réponses à leurs questions pendant l'évènement d'arrivée de Bagi demain.
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https://clips.twitch.tv/OutstandingNiceDeerPermaSmug-_HsX5B5o_S-N3WiR
Philza a trouvé un livre chez lui décrivant l'histoire d'un corbeau ayant raté l'opportunité de voir ses enfants avant qu'ils ne partent. Ce livre contenait des coordonnées, Philza a donc décidé de s'y rendre, pensant que ses oeufs l'attendaient peut-être là bas. Au point de rendez-vous, Philza a trouvé un genre de perchoir géant, avec beaucoup de colibris et de fleurs. Dans le bâtiment se trouvait un coffre, avec la bouée de Chayanne et le bonnet de Tallulah posés à côté. Philza a ouvert le coffre et trouvé un livre contenant un message : Une cage pour une cage. Paniqué, il s'est retourné, Cucurucho l'attendait derrière lui. Il lui a ri au visage, a vérouillé la porte depuis l'extérieur et a enfermé le bâtiment dans de la cobblestone, piégeant Philza à l'intérieur.
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https://clips.twitch.tv/BumblingCrepuscularRadishThunBeast-eTmgpSi7bgwyUsfa
Foolish et Jaiden se sont mis en tête de voler les médicaments dans le coffre-fort de l'Ordo. Ils ont eu l'idée d'utiliser un des monstres des 7 pêchés capitaux capable de casser des blocs, et après une bonne heure de travail, ont réussi a s'introduire dans le coffre-fort, volé les malettes de médicaments, pris des photos de Foolish tenant les malettes dans les mains, et ont refermé le coffre-fort comme si rien ne s'était passé. Foolish et Jaiden souhaitent dissimuler des indices pour indiquer à Cellbit que le coffre-fort a été volé.
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https://www.twitch.tv/foolish_gamers/clip/MuddyDoubtfulPancakeChefFrank-bxgClz1DmHyZXLXa
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abridurif · 5 days
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Dos aux images (fragment)
J’écris en tournant le dos aux images. Si je les avais tout le temps sous les yeux, je ne pourrais pas écrire. Et puis, si elles constituent mon environnement immédiat, elles n’entrent pas pour autant directement dans le processus d’écriture. Concrètement, dans la pièce où j’écris, j’ai disposé deux portes sur tréteaux qui m’offrent ainsi un vaste bureau, sur lequel se déposent assez vite livres, cahiers, papiers imprimés, feuilles volantes, phrases recopiées à la main, images découpées, cartons d’invitation, crayons, feutres, stylos… tout un petit bazar dont j’ai besoin pour me sentir chez moi – mon lieu de vie devenant lieu de travail. Cette grande table trônant en plein milieu de la pièce, on peut en faire le tour, elle est décollée du mur où j’ai aimanté une constellation d’images découpées dans la presse, d’images photocopiées – couleur et noir et blanc – d’œuvres d’art qui m’accompagnent depuis longtemps. Un grand nombre représentent des espaces conçus par des artistes : des vues d’installations in situ se mêlent à d’autres, prélevées dans le livre de Bernard Rudofsky – Architecture sans architectes – que j’avais dégoté chez un bouquiniste lorsque j’étais étudiant, en même temps que celui de Georges Perec – Espèces d’espaces. À la question posée par Breton « Qu’est-ce que ton atelier ? », Giacometti répondait : « Ce sont deux petits pieds qui marchent. » Ainsi, je ne cesse d’aller et de venir entre le plan horizontal de la table et le pan de mur sur lequel je déploie mon atlas d’images en mouvement. Mais au moment de commencer un texte, je me saisis plutôt d’une bribe de phrase qui me turlupine que d’une image qui me fait signe. En revanche, par le travail d’écriture, je cherche à construire un espace d’images, en ayant toujours présent à l’esprit l’abri sous roche d’époque magdalénienne qui était dans le fond de la grange de ma grand-mère, à Enval, où des fouilles avaient eu lieu à la fin des années soixante, où ont été prélevés des outils en silex, des objets de parure, des plaquettes gravées, le fragment d’une vénus miniature. Le livre en cours renvoie à cet espace matriciel : terrier, grotte ornée, cavité que l’on creuse dans son propre sous-sol. Reste à savoir si le livre achevé correspond à la chambre excavée, déblayée, mise au jour, ou bien alors au monticule de déblais apparu à la surface, quelques pas plus loin, trié, réagencé, matériau pour un nouvel édifice.
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«Je n'ai jamais écrit, croyant le faire, je n'ai jamais aimé, croyant aimer, je n'ai jamais rien fait qu'attendre devant la porte fermée.»
(Marguerite Duras, L’Amant)
La vérité de cette phrase de Duras fait écho
-d’une part au piège inhérent au fonctionnement de l’ordre symbolique où se prend le sujet, à savoir dans son fantasme, où le croire qui possède son moment de réflexivité propre lui permet de croire qu’il croit, et lui fait donc percevoir ce qu’il appelle "la réalité" seulement à travers la fenêtre de son fantasme
-et d’autre part au mur du langage, ce que Kafka décrit sous les auspices de "la porte de la Loi", où K découvre que derrière le masque des apparences, il n'y a rien ...si ce n'est une répugnante substance visqueuse de jouissance palpitant dans toute la monstruosité de son hors-sens ; loin de la visée traditionnelle où la Loi est présentée dans une pure perspective d'universelle neutralité, chez Kafka la Loi doit assumer son statut de bricolage inconsistant, pénétré de bout en bout par la jouissance.
Nous sommes dans l’attente de quelque chose qui n’arrivera pas pour la bonne raison que c’est toujours déjà arrivé, nous aurons été libres d’apprendre (à lire) qu’il n’y a pas d’autre objet que notre fantasme.
Rien d’autre au monde qu’un objet petit a.
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corinneecrivaine · 16 days
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Wonder Woman : Symbole Éternel de la Force et de l'Émancipation Féminine
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Wonder Woman : Symbole Éternel de la Force et de l'Émancipation Féminine
Wonder Woman n'est pas qu'un personnage de fiction. Elle est bien plus que cela. Depuis sa création, elle incarne la puissance, la liberté et l'indépendance que chaque femme porte en elle, parfois même à son insu. Diana, Princesse des Amazones, n'est pas seulement une héroïne sur grand écran, elle est un symbole intemporel de résilience et de justice dans la lutte des femmes pour leurs droits, leur sexualité et leur place dans un monde souvent gouverné par des forces patriarcales.
Créée à une époque où les représentations des femmes dans les médias étaient souvent réduites à des stéréotypes de douceur et de soumission, Wonder Woman a été, dès le départ, une révolution. Elle brise les normes et inspire. Forte, intrépide, elle se dresse contre l'oppression, non seulement pour sauver le monde, mais pour rappeler à chaque femme qu'elle possède cette même force intérieure. Elle est une guerrière, mais aussi un modèle de compassion, prouvant qu'être puissante ne signifie pas renoncer à la douceur ou à l'empathie.
Sur le plan de la liberté et de l'indépendance, Wonder Woman est un symbole puissant. Issue d'une société d'Amazones où les femmes règnent en maître, elle ne connaît pas la soumission. Elle fait ses choix en toute indépendance, s'éloignant d'une île isolée pour entrer dans le monde des hommes, non pas en quête d'approbation, mais pour imposer sa propre vision de la justice et de l'égalité. Elle n'a jamais eu besoin d'un homme pour la définir. Au contraire, elle remet constamment en question les attentes sociétales et montre que la véritable force réside dans l'authenticité et la conviction.
Quant à la sexualité, Wonder Woman incarne une révolution subtile. Sa force, son pouvoir et son charisme ne sont jamais utilisés pour séduire ou attirer l'attention des hommes. Sa sexualité n'est ni objet de contrôle ni de répression. Elle l’arbore avec une confiance silencieuse, mais inébranlable. Elle est maîtresse de son corps, de ses désirs, et son apparence, tout en étant glamour et séduisante, ne sert jamais à valider son pouvoir. Elle nous rappelle que l'émancipation sexuelle, c'est aussi pouvoir dire non aux normes imposées, et oui à ce que nous choisissons de vivre.
Wonder Woman est donc bien plus qu’une simple super-héroïne, elle est un modèle, un étendard pour toutes celles qui luttent pour l'égalité, pour la reconnaissance de leur valeur et de leur liberté. Chaque combat qu'elle mène est une métaphore des combats réels : celui contre l'injustice, le sexisme, l'oppression et la violence faite aux femmes. Elle nous enseigne que, pour être véritablement libre, il faut savoir se battre avec courage, croire en ses convictions et marcher avec fierté.
En tant que femmes, nous portons en nous un peu de cette Wonder Woman. Son histoire nous inspire à continuer de lutter, à ne jamais plier face aux adversités et à revendiquer ce qui nous revient de droit. Liberté, indépendance, force, sexualité, tout cela nous appartient. Wonder Woman, par son exemple, nous le rappelle constamment.
"Dans chaque femme, réside une guerrière."
Et Wonder Woman est la flamme qui ravive cette vérité en nous toutes.
Image : ma création AI
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romainmeynier · 7 months
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À seize ans, j’empruntais chaque samedi le RER E jusqu’à Magenta, puis la ligne 5 jusqu’à Breguet-Sabin, où je tentais en skateboard de sauter par dessus quelques volées de marches, ce que nous évitions de faire dans notre banlieue pavillonnaire, à cause du bruit des roues sur le bitume qui gênait les voisins. Plus jeune, vers mes dix ans, ma mère m’apprit à déchiffrer la signalétique du métro parisien pour que, plus âgé, je puisse m’y guider seul. J’ai embrassé une fille sur un quai aux abords de Notre-Dame, puis une autre sur le quai d’en face, bien des années plus tard ; des deux se dégageait la même odeur corporelle légèrement âcre et traînante que je gardai ensuite dans le nez plusieurs heures. Paris ne me manque pas lorsque j’en suis loin, mais je n’ai jamais envie d’en partir. Le matin, dans la ligne 2 en direction de Porte-Dauphine, s’il y a de la place, on peut s’asseoir dans le sens de la marche pour ne pas se sentir nauséeux, ou dans le sens inverse pour admirer le soleil se lever entre Jaurès et Barbès-Rochechouart. Quand j’étais en colonie de vacances, je disais aux autres enfants : Je viens du quatre-vingt-treize, du neuf-trois, pour les effrayer, ce qui généralement n’avait aucun effet sur eux. Plus tard, pour séduire une fille, j’avais simplement dit : de Paris, sans résultat, avant d’apprendre qu’elle venait de Marseille. La nuit, fenêtre ouverte, j’entends des coups de feu qui ne sont que des pétards qui explosent ou des objets qui tombent. Le 13 novembre 2015, je sortai du restaurant cinq minutes avant l’attaque, non loin, puis j’ai regardé à l’abri le nombre des victimes augmenter sur un écran d’ordinateur ; je suis ressorti vers cinq heures du matin dans une ville morte ; le 15 novembre, j’ai reçu un SMS qui disait : Le père de B. est mort au Bataclan ; le lundi 16 novembre, dans le métro, une fille pleurait à chaudes larmes, sans discontinuer, je me souviens avoir pensé, sans trop y croire, mais pour me rassurer, qu’elle avait peut-être été licenciée, ou trompée ; je me souviens aussi d’une femme qui lisait, l’air de rien, ou se forçait à lire. Je n’ai pas pu lire dans les transports pendant environ un mois. Je suis habitué à trois librairies, dans mon arrondissement ; par loyauté, quand je me rends dans l’une, j’entre aussi dans les deux autres, si bien que mon budget librairie est bien trop important ; l’intérieur de mon appartement est saturé de livres. J’ai passé une dizaine de nuits dans différents hôtels avec une fille que je n’aimais pas et qui m’a demandé en fiançailles. Quand je regarde les traces de calcaire déposées sur les verres nettoyés à l’eau courante, je pense que ces mêmes traces doivent être présentes à l’intérieur de mon corps, sur mes organes, aussi je décide d’acheter des packs d’Evian, puis me ravise en repensant aux cinq étages de mon immeuble et à l’écologie. Dans la rue, je songe parfois au milieu de la foule que la vie de chaque passant est contenue dans leurs têtes, qu’ils avancent en superposant les images de la ville à celles de leurs existences, de leurs histoires, que Paris les contient toutes et que je n’en suis qu’un fragment.
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satinea · 7 months
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On mène une vie difficile à vivre. On n'arrive pas toujours à ajuster ses actes à la vision qu'on a des choses. (Et la couleur de mon destin, alors que je crois l'entrevoir, la voici qui fuit devant mon regard.) On peine et lutte pour reconquérir sa solitude. Mais un jour la terre a son sourire primitif et naïf. Alors c'est comme si luttes et vie en nous sont d'un seul coup gommées. Des millions d'yeux ont contemplé ce paysage, et pour moi il est comme le premier sourire du monde . Il me met hors de moi au sens profond du mot. Il m'assure que hors de mon amour tout est inutile et que mon amour même, s'il n'est pas innocent est sans objet, n'a pas de valeur pour moi. Il me refuse une personnalité et rend mes souffrances sans écho. Le monde est beau et tout est là. Sa grande vérité que patiemment il enseigne, c'est que l'esprit n'est rien ni le cœur même. Et que la pierre que le soleil chauffe, ou le cyprès que le ciel découvert agrandit, limitent le seul monde où « avoir raison » prend un sens : la nature sans hommes. Ce monde m'annihile. Il me porte jusqu'au bout. Il me nie sans colère. Et moi, consentant et vaincu, je m'achemine vers une sagesse où tout est déjà conquis - si des larmes ne me montaient aux yeux et si ce gros sanglot de poésie qui me gonfle le cœur ne me faisait oublier la vérité du monde.
Albert CAMUS
&
📷 Nicolas Merot ~ La Cluse et Mijoux
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jamie-007 · 2 months
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Hier, pressée comme chaque matin, en retard surtout comme chaque matin … Au moment où je devrais déjà avoir les pieds entre l’embrayage et l’accélérateur de la Volvo, me voilà planté comme une cruche dans le hall d’entrée de la maison
Et là, le mot … Vous me connaissez un peu, inhabituel dans ma bouche … P*****
- « Mais sont donc encore disparues ces foutues clefs » ?
Ricanements de Michel :
- - « Et tu les as perdues où » ?
Mes yeux ? 2 mitraillettes, mais - il y a toujours ce fameux mais - j’ai la nette impression qu’il est de connivence avec les objets du délit de fuite, le crime attendra …
Alors,... Vague tentative pour me remémorer mes actions d’hier soir, mission impossible. Me voilà devenue poisson rouge réfléchissant au nombre de tours de bocal il a effectué ces dernières heures…
Jamie, réfléchis …. (3 secondes, ... poisson rouge, je viens de vous le dire).
Débute alors de minutieuses fouilles dignes d’un chantier archéologique, …
Je rembobine le fil de mes activités jusqu’à ce fichu matin …
Deux Cafés, la douche, le (foutu) réveil, nuit, …, lecture, douche, souper, … Rien d’extraordinaire (hormis les … Mais ça, c'est une autre histoire 🤣)
Bon, Revenons-en à hier soir,... Je suis rentrée avec, sous un bras une tonne de papiers du boulot, sous l’autre – aidé de mon menton - une autre tonne de courses qui tentaient de s’échapper du sac papier totalement éventré ; …
Et je m’entends encore hurler :
- Micheeeeeel, viens m’aider, ….
- Micheeeeeel ….Mais t’es oùùùùùù ?
Il est là pourtant, la porte est ouverte !
Bla bla bla, allez, encore au téléphone, et en flamand en plus, je comprends rien … pour faire ça il n’a qu’à rester au bureau,…
Puisque c’est comme ça je boude, pas de bisous …
Je m’égare … Les clés … Donc, hier, pas dû avoir le «réflexe » de les déposer à l’endroit habituel...
n
Nouveaux ricanements de Zhom …
- T’as jamais eu d’endroit habituel …
Je préfère ignorer ce sarcastique malotru et reprendre mes fouilles …
Commence alors la visite d’endroits plus improbables les uns que les autres …Dans et sous le canapé, les WC, le réfrigérateur, derrière la tv...Toutes les poches de toutes les vestes mêmes celles que je n’ai plus mises depuis plusieurs mois y sont passées ,… Stupide je sais mais feriez quoi vous ?
Toutes les pièces de la maison aussi …
Ouiii. Trouvées enfin peut-être.... elles sont probablement tombées de mon sac quand je suis descendue de l'auto.. Tour de la Volvo ? Ben non, …. Introuvables !
Avec tout ça, les patients … patientent ou pas … Trois messages déjà,
- Madame l’infirmière, vous avez - encore - eu un accident ?
- Grrrr, non mais…
Seule solution … L’appel à un ami … Heuuu non, un remplaçant ; professionnelle ici.
Allez, dites-le moi.
Vous aussi vos clés ont une vie autonome ?
Vous aussi elles jouent avec vos nerfs ?
Elles se vengent, … Si si je vous assure, des improbables et inappropriés lieux où on les abandonne, lâchement …
Elles sont malignes, démoniaques même, elles se cachent volontairement pour que je comprenne la leçon une fois pour toute…
Le pire, c’est qu’elles vont gagner ; j’abandonne la bataille... Mais pas la guerre,…
Je vais leurs montrer à quel point l’intelligence humaine, féminine si besoin est de le préciser, est supérieure à l’intelligence artificielle sûrement masculine 😉
Vous connaissez l’adage : «il n’y a pas de problème, il n’y a que des solutions»
La mienne ? Le double des clefs pardi ;-)
Voilà, voilà, voilà …. Simple comme bonjour, ….
Le double des clés ouiiii …
Purée, où elles sont déjà ?
Hooo ça va hein, vous aussi vous perdez plein de trucs hein !
Cette fois, ce ne sont plus des railleries que j’entends dans mon dos, ce sont carrément des éclats de rires moqueurs,…
Méchant Michel,…
Je me retourne pour une remarque cinglante et là … Je les vois … entre ses doigts… MES clés,…
- Tu sais où je les ai trouvées ?
Je fais mine de rien..
- Là où elles étaient ?
En une fraction de seconde (poisson rouge), l’image me revient de moi, encombrée, descendant de l’auto, … Les clés toujours sur le contact … Comme une fois sur deux …
Refusant de rendre les armes, je m’explique, les yeux en l’air …
- Tu sais, mon chéri (je l'appelle toujours "mon chéri" dans des moments cruciaux), le contact est quand même l’endroit le plus sûr pour ne pas les perdre non ?
Plus, j'enchéris,
- Avoue aussi qu’en cas de vol, pas besoin de briser la vitre, … On (« on » stratégique également) épargne donc des frais inutiles, non ?
Ce n’est pas gagné,…
Faisant tinter le trousseau pour capter mon attention, il me rappelle, hilare, mon dernier coup de fil affolé à la gendarmerie le jour où j’étais persuadée que ma voiture avait été volée …
Pas fière de vous avouer ça,... En vrai, elle n’avait pas bougé d'un pouce, jusque que je n’avais pas reconnu l’endroit, les voitures garées de part et d’autres ayant changé,… Pourquoi mais pourquoi m’ont-ils fait ça ?
Michel...
- Et cette autre fois as claqué la porte après avoir verrouillé l’auto, les clés à l’intérieur, dû prendre un taxi jusque la maison, casser une vitre du garage pour te faufiler, prendre les doubles (ouf, trouvées rapidement) et taxi à nouveau …
Bon, suis pas fière...
Hooo ça va, arrêter de rire, ça arrive à tout le monde,…
Réjouissez-vous plutôt, demain, je reprends la route 😀
Et si vous êtes sages, je vous raconterez le jour où j'ai passé mon permis 😱😱😱
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lepartidelamort · 20 hours
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L’État instaure la taxe de 500 euros sur le port du couteau de poche.
J'ai l'impression que seuls les Blancs vont devoir payer.
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Face aux attaques au couteau commises par les arabes, il y a deux options :
Interdire les arabes
Interdire les couteaux
Le choix des autorités françaises va vous surprendre.
Contrepoints :
Face à l’islamisme et aux attaques terroristes, l’État français a pris une mesure courageuse : interdire les Laguiole et les Opinel. Finis les pique-niques entre amis, fini le saucisson coupé sur les bords de Seine : le Laguiole est le danger. Les couteaux de poche sont classés comme des armes de catégorie D dont le port est prohibé. Jusqu’à présent, une tolérance était appliquée. Mais face à l’ampleur des attaques « au couteau », l’État, qui veut votre bien, a décidé d’agir en renforçant les contrôles et les peines. Désormais, vous encourez 500 euros d’amende et une inscription au casier judiciaire. Voici ce que nous apprend Le Figaro : « Ainsi, depuis le 17 avril 2024 dans les zones dépendant des parquets de Bobigny, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Pontoise, Rennes, Saint-Étienne, Toulouse et depuis le 2 mai pour celles sous tutelle du tribunal judiciaire de Paris, les autorités expérimentent la mise en place d’une amende forfaitaire délictuelle (AFD) de 500 euros en cas de port ou transport « sans motif légitime » d’une arme de catégorie D. » « Sans motif légitime », c’est-à-dire la toute-puissance de l’État qui pourra faire peser son arbitraire.
C’est sûr, les arabes vont arrêter de se promener avec une lame.
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Plus de laguiole pour les Blancs
S’agissant d’une amende forfaitaire de cinquième classe, son paiement est automatiquement inscrit au casier judiciaire de la personne sanctionnée et entraîne mécaniquement son inscription au Fichier national des personnes interdites d’acquisition et de détention d’armes. Cela menace directement les chasseurs ainsi que les tireurs sportifs.
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Les écologistes considèrent non ironiquement les chasseurs comme une menace plus grave que les djihadistes
Encore une fois, l’État lutte contre le port d’arme, pourtant acte légitime et principe de base d’un État libre. Cette fois-ci il va encore plus loin en s’en prenant aux couteaux de poche, objet de tradition et objet utile. Cela ne fera pas reculer les actes terroristes, mais plutôt que de s’en prendre à la racine du problème, l’État réduit les libertés publiques.
Mais la France n’est pas un état libre.
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Encore une loi qui prétend régler un problème posé par les bogmoules qui va servir à désarmer et racketter un peu plus les Blancs pour renflouer la CAF. Ça s’appelle joindre l’utile à l’agréable.
Démocratie Participative
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De Magnus à Alec
Mon cher délicieux muffin d’amour,
J’espère que tu te portes à merveille au moment de recevoir cette lettre parfumée, et que toi et R et M passez un très bon moment pendant votre voyage en… euh, je crois que le mot que tu as utilisé est « Nord ». J’ai entendu des légendes sur ce Nord[1], mais jamais n’aurais-je pensé que ma famille verrait de ses propres yeux ses montagnes, ses marchés fermiers kitchs, son Onde de l’Hudson.
Mais plus sérieusement, j’espère que les enfants apprécient leur séjour chez Grand-mère, et j’espère bien que tu appelles Maryse « Grand-mère » aussi souvent que possible parce que j’adore la tête qu’elle fait quand elle nous entend dire ça. Sur un sujet moins plaisant mais plus pressant, j’espère que tu as eu l’occasion de discuter avec Luke de ce qu’il se passe avec la Cohorte et Idris.
Mais ne fatigue pas tes magnifiques mains à m’écrire une réponse. Je viendrai moi-même te rejoindre dans le « Nord » plus tard dans l’après-midi, puisque, je te l’annonce avec joie, l’affaire de la maison maudite des petits Blackthorn est plus ou moins résolue. Bien que ce fût une rude épreuve, crois-moi.
Je ne crois pas t’avoir montré la note que Jem m’avait envoyée, qui disait : « Emma et Julian essayent de ne pas t’embêter davantage avec leur maison, et c’est très gentil de leur part, mais contrairement à eux, je n’ai pas le moindre scrupule à t’embêter, alors c’est moi, maintenant, par cette note, qui t’embête. Nous avons besoin d’un sorcier et tu es le meilleur que je connaisse pour faire face à notre problème. Nous apprécierions tous grandement ton aide. »
Comme c’est souvent le cas, j’étais à la fois légèrement agacé et légèrement impressionné par Jem, qui avait réussi à être très gentil tout en me rappelant que, lorsque lui et Tessa sont concernés, je suis une vraie dupe qui volera à leur secours dès que possible. Parce que je suis une véritable dupe lorsque lui et Tessa sont concernés, j’avais tout de suite répondu que je viendrais.
Je sais ce que tu penses. « Pourquoi Tessa aurait-elle besoin d’un sorcier alors qu’elle est elle-même une sorcière ? » Différents sorciers ont différents domaines de connaissance, comme tu le sais, et même si Jem me flattait en disant que j’étais le meilleur choix, la vérité est que j’ai bien eu à gérer beaucoup plus de malédictions que Tessa. C��est ce qui arrive quand on a passé les dernières décennies à vendre ses services à n’importe quel mécréant que l’on croise, au lieu d’agir intelligemment et de mener une paisible vie de chercheuse en magie dans le Labyrinthe en Spirale. Tessa a toujours été la plus maligne de nous tous.
Quoi qu’il en soit, je dois accorder du mérite à Emma et Julian. Je m’attendais à les trouver en train de cogner les objets maudits les uns contre les autres ou quelque chose de cet ordre, mais ils avaient mis en place un cercle de protection plutôt convenable et avaient même trouvé un sort. C’était un vieux sort très général qui, d’après mon expérience, n’a souvent aucun effet sur les vraies malédictions à notre époque, mais tout de même.
Assez bêtement, j’ai établi le cercle dont je me sers habituellement pour rompre les malédictions, pour essayer. « Bêtement », parce que j’avais oublié qui avait créé la malédiction à l’origine. Ton pire ancêtre, Benedict Lightwood, passionné de démons en tous genres et amateur de nécromancie. A quel point Benedict était-il passionné par les démons ? Il est littéralement mort de la vérole démoniaque qui, si tu ne le sais pas, parce que tu es admirablement pur, mon Alec, est une maladie démoniaque sexuellement transmissible.
Mais j’avais oublié ça sur le moment, alors j’ai été étonné quand la malédiction a résisté avec force. Elle se tordait, se débattait, donnait des coups, comme Max quand on le plonge dans son bain. Une espèce de lueur vert fluo rayonnait aux points d’attache entre les objets maudits et la malédiction. J’ai finalement compris que je devrais précautionneusement détacher chaque objet de la malédiction un à un.
Je m’en suis sorti avec la flasque, la dague, et l’un des bougeoirs (ne me demande pas d’expliquer comment j’ai réalisé cet exploit), mais après ça, j’étais coincé.
Ce n’est pas terrible quand un sorcier prend une remarquable pose magique et qu’il ne se passe rien ensuite. Je suis certain que j’avais l’air ridicule, comme un magicien terrestre qui ne comprend pas pourquoi le lapin ne sort pas du chapeau. Julian et Emma, toujours très polis, ont patiemment attendu mais je me sentais fort idiot.
Et puis je me suis complétement déconcentré pendant un moment parce que la porte s’est ouverte et Kit est entré. Il a rapidement observé la scène avant de déclarer :
- Le Professeur Violet dans la bibliothèque avec le bougeoir, à ce que je vois.
- Le violet est toujours une couleur appropriée pour un sorcier, ai-je rétorqué. C’est la couleur ornementale de la magie.
- Ta magie est bleue, est intervenue Emma, évidemment, Madame-je-sais-tout.
- Peut-être qu’il parlait de moi, a dit Julian. Je porte un sweat à capuche violet. Et c’est aussi la couleur ornementale de la magie, a-t-il ajouté avec un hochement de tête à mon attention, ce que j’ai apprécié.
- Vous pourriez peut-être mettre les objets sur une nappe violette au lieu d’une blanche, a suggéré Kit.
Tout en parlant, il s’est rapproché pour jeter un œil.
Et dès qu’il a été près du cercle, Alec, j’ai ressenti une sensation des plus étranges. Une sensation de… pouvoir, je suppose, qui résonnait en Kit. Tu vois la façon dont le corps vibre d’une manière particulière quand il y a des bruits vraiment très graves ? Cette sorte de grondement ? C’était comme ça, mais silencieux. Je n’avais jamais ressenti ça de toutes les fois où j’avais vu Kit. Je voyais aussi que Kit ne ressentait rien d’anormal. Et si c’était le cas, il était étonnement imperturbable.
Alors je lui ai proposé de nous rejoindre autour du cercle pour qu’il se concentre également sur la magie.
- D’autant plus que Jem et Tessa ont préféré aller se cacher quelque part plutôt que de nous aider avec ça.
- Ils sont dans le jardin avec Mina, a répliqué Kit, un peu sur la défensive.
J’ai redirigé l’attention de tout le monde sur les objets et concocté une version plus puissante de mon habituel sort anti-malédiction. J’ai pris l’autre bougeoir et BOUM ! Plus aucune résistance ! Il y a eu un grand éclat de lumière bleue et tous les nœuds magiques qui attachaient les objets à la malédiction se sont désintégrés.
Nous n’en croyions pas nos yeux. J’ai fini par prononcer quelque chose comme :
- Eh bien, c’était plus que ce à quoi je m’attendais. Peut-être que la présence de quatre personnes a fait la différence.
J’ai vérifié. La malédiction semblait… avoir disparu. Honnêtement, j’étais un peu secoué. Je n’en ai pas parlé à Tessa ni à Jem, parce que je ne veux pas en faire tout un plat, mais je pense que ça a fonctionné grâce à Kit. Pas parce que nous avions besoin d’une quatrième personne. Il se passe clairement quelque chose avec lui, une sorte de magie dont il ignore tout. Je suppose que c’est lié au fait qu’il est un descendant de la Première Héritière, mais je n’ai jamais été un expert en ce qui concerne ce genre de magie elfique. (Et brûle cette lettre après l’avoir reçue – nous sommes peu nombreux à savoir que Kit est le Premier Héritier, et il vaut mieux que ça reste comme ça.)
Cette idée m’attriste. Kit est un bon garçon qui mérite une vie agréable et ordinaire. Je sais que c’est ce que Jem et Tessa veulent pour lui, plus que tout, après le chaos qu’a été son enfance. Mais je ne suis pas sûr qu’il aura son mot à dire. Les fées ne lui laisseront peut-être pas le choix.
Julian a tendu la main pour prendre la flasque. Il l’a tenue pendant un certain temps en fronçant les sourcils.
- Qu’y a-t-il ? a demandé Emma.
- Rien, a répondu Julian.
Puis il a levé les yeux vers moi :
- C’est tout ? Plus de malédiction ?
- Plus de malédiction, lui ai-je assuré. J’espère.
Et puis est descendu du plafond Rupert le Fantôme. Je n’ai jamais rencontré Rupert quand il était vivant. Je ne sais pas quoi penser de lui. D’un côté, il semble avoir été un innocent qui se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment, un esprit enfermé dans une maison où il n’a jamais vécu à cause d’un mal dont il ne connaissait rien de son vivant. D’un autre côté, en rencontrant Tatiana Lightwood, il s’est dit « Cette demoiselle semble être un bon parti », alors il devait y avoir quelque chose de pas net chez lui.
Rupert était juste au-dessus de la table et est descendu jusqu’à la toucher. Il fixait un objet dessus.
- Qu’y a-t-il, Rupert ? l’a interrogé Emma. Que regardes-tu ?
Kit a suivi son regard et a commencé à mettre les objets sur le côté.
- C’est la bague, a-t-il annoncé.
- Quelle bague ? s’est étonnée Emma.
En effet, quelle bague ? Il n’y avait pas de bague parmi les objets maudits. Mais il y avait une bague sur la table maintenant. Kit l’a prise. C’était une bague sertie d’une pierre noire et gravée d’un motif d’épines.
- La bague de la famille Blackthorn ? s’est demandé Kit.
- La plupart des bagues de famille ne ressemblent pas à ça, a remarqué Emma.
- Peut-être une alliance ?
- Les Chasseurs d’Ombres n’utilisent pas d’alliances.
Mais Julian affichait son habituelle expression pensive.
- Je suis lié à ce lieu par un anneau en argent, a-t-il dit doucement.
- Les Chasseurs d’Ombres peuvent échanger des alliances, ai-je indiqué. Ils n’y sont pas obligés. Mais ils peuvent s’ils le veulent.
Quoi que ce soit, ça appartenait à Rupert. Il avait suivi du regard la main de Kit qui avait pris la bague, et à ce moment il en approchait son fin bras fantomatique. Il a enveloppé la bague de sa main, ce qui n’a eu aucun effet puisqu’il est un fantôme… Kit se contentait de la lui tenir. Puis il a fermé les yeux (je parle de Rupert) et son visage a affiché une expression de soulagement, de gratitude, de paix, et il s’est… évaporé, juste là. Il s’est lentement effacé puis a disparu. Plus de Rupert. Parti pour, je l’espère, ne pas retrouver sa femme, puisqu’elle était aussi sa geôlière pendant plus de cent ans.
- Il n’a même pas dit au revoir, a murmuré Emma.
- C’est mieux, ai-je affirmé. Il n’a jamais été censé être ici.
- Eh bien, Rupert, si tu m’entends, a lancé Emma, c’était sympa d’être hantés par toi.
- Cinq étoiles, a dit Kit sur un ton solennel en reposant la bague sur la table. Ça me plairait d’être hanté à nouveau.
Et toutes les bougies de la pièce se sont éteintes d’un coup. Ce qui était aimable de la part de Rupert, si c’était lui. Ça aurait très bien pu être un simple courant d’air.
Nous sommes tous sortis de la pièce en silence.
- C’est différent, a remarqué Julian en regardant dans le couloir. Je le sens déjà.
Je le sentais moi aussi. Il y avait une légèreté nouvelle. Une sorte de domesticité chaleureuse qu’on ressent dans une maison accueillante, et qui avait toujours manqué à Chiswick House depuis que je la connaissais. C’est difficile à décrire, mais tout d’un coup c’était la maison de Julian et Emma, telle qu’elle ne l’avait jamais été avant. Je l’ai toujours vue comme un endroit hostile, puis comme une monstrueuse ruine. Pour la première fois je me suis dit que c’était un endroit que les Blackthorn pourraient remplir de bonheur.
Et je suis certain qu’ils le feront.
A très bientôt, mon amour. Je t’embrasserai jusqu’à ce qu’un bambin nous force à nous séparer et réclame toute notre attention. Prévois donc un baiser d’environ trente à soixante secondes, d’après les expériences passées. Mais j’aimerais, comme toujours, que ça dure infiniment.
Je t’aime,
Magnus.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/693937002091053056/magnus-to-alec
[1] Blague de new-yorkais. Les habitants de la ville de New-York désignent l’intégralité de l’état de New-York, sauf la ville, comme étant « upstate » (« le nord de l’état »). Aller « upstate » (généralement juste au nord de la ville, dans la Vallée de l’Hudson) est souvent vu comme un voyage considérable même si c’est tout près.
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ascle · 9 months
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Vous connaissez le mot, mais au Québec il prend un tout autre sens. Pour éviter de vous retrouvez perplexe, vaut peut-être mieux clarifier certains termes.
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Aujourd’hui: Double sens
Barrer:
Fermer à clé une porte. (« Débarrer » s’utilise aussi pour déverrouiller une porte)
Bas:
chaussettes 🧦
Cabaret:
plateau servant à transporter un repas dans une cantine.
Cartable:
classeur (et le classeur québécois est une armoire à dossiers 🗄️ )
Chaudière:
Seau 🪣
Crosser:
1- duper, arnaquer, tromper. ( « crosseur » se dit également pour traiter quelqu’un qui arnaque, dupe d’autres personnes)
2- (vulgaire) se masturber pour un homme
Écœurant:
Désigne quelqu’un ou quelque chose de vraiment bien, de génial, d’incroyable.
Espadrilles:
Chaussures de sport. Basket, tennis.
Fin/fine:
quelqu’un de gentil. (Rien à voir avec la taille)
Foufounes:
fesses (utilisé surtout avec les enfants)
Froc:
Au Québec s’utilise au féminin et désigne un manteau.
Gêné(e):
timide
Gomme:
chewing-gum (si vous voulez effacer quelque chose au Québec demandez tout simplement une « efface »)
Linge:
vêtement
Liqueur:
Boisson gazeuse, soda.
Sous-marin:
Oui ce terme est utilisé pour désigné le navire allant sous l’eau, mais il désigne également un long sandwich (style Subway™️).
Suçon/sucette:
la définition est inversée. Le suçon québécois est une friandise sucrée, alors que la sucette se fait dans le cou d’un amoureux.
Bonus!
Vous avez perdu ou trouvé quelque chose? En France, rendez-vous au service des objets trouvés. Alors qu’au Québec, prenez la direction des objets perdus.
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lefeusacre-editions · 3 months
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PAPY A FAIT L'ALGÉRIE, par Maud Bachotet (1/2)
Première partie d'une chronique à la fois familiale et historique, du portrait d'un homme et d'une guerre, "Papy a fait l'Algérie" convoque un réseau d'images gardées secrètes que l'écriture se charge de donner à voir, de transmettre, relier, faire parler. C'est un voyage de recouvrance à la fois physique et mental aux deux pôles Nord/Sud. Maud Bachotet est écrivaine et éditrice, ses travaux d'écriture récents ont pour points de départ l'enquête psycho-géographique, l'imagerie populaire et anonyme, ou encore l'autofiction "psychopompe" (le récit intime se lovant dans celui d'une figure réelle dont l'écrit est leur point de rencontre). "Papy a fait l'Algérie" est sa première contribution au blog du Feu Sacré. Gooble Gobble, bienvenue à elle !
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Les Parapluies de Cherbourg, Jacques Demy.
J’ai tant grandi que la maison d’enfance me semble devenue de poupée. Je déborde aussi bien du lit que de la baignoire, me cogne le crâne dans la largeur de la trémie chaque fois que je descends l’escalier et peux sans peine m’accouder à la table du séjour depuis le canapé tout en ayant un pied dans la cuisine. C’est un peu comme de vivre dans un voilier à jamais amarré.
Je me souviens du jour où la grande marée avait envoyé le fleuve valser dans les ruelles du village. Mon père, craignant le naufrage, avait pulvérisé de la mousse expansive sur le pas de la porte. Depuis la fenêtre, j’espérais que l’eau monte assez pour emporter notre bicoque au loin. Peut-être aurions-nous ainsi pu rendre visite à nos « cousins des îles ». Mais l’eau s’était arrêtée à une dizaine de centimètres seulement de notre porte. Comme pour me narguer. J’étais dévastée. Autant que je le suis aujourd’hui de me coucher bredouille dans mes draps de petit mousse. Après trois années passées sur les bancs de l’université à ne pas chercher à regarder plus loin que l’horizon de la licence (mes parents n’avaient pas su me payer de longue-vue en laiton ni me conseiller dans mon orientation), j’ai dû me résoudre à m’échouer sur le banc de sable bordant mon bled littoral. Me voici donc ensevelie sous une mer de cartons que je me refuse à ouvrir. Quitte à faire trois pas en arrière (un par année passée loin d’ici), je préfère encore m’immerger dans l’hier. Je retourne placards et tiroirs, relie chaque objet, vêtement ou feuille volante à une image de mon enfance ou de mon adolescence – je fais bien plus confiance aux récits de l’inanimé qu’à mes propres souvenirs. Dans la maigre bibliothèque, je tombe sur un livre de Jéromine Pasteur, Chaveta. Entre les pages, tournées à la volée, je feuillette ma mémoire qui se supplée à celles de l’exploratrice. C’est mon grand-père, dont je n’ai jamais vu le nez dans un bouquin, qui me l’avait donné à lire. Je me souviens d’un bateau construit des mains d’une jeune femme sans expérience. Je me souviens de ce même bateau engloutis quelque part sous l’Atlantique et des larmes de la jeune femme sans expérience. Je me souviens aussi d’un plan élaboré à la récré – au fil de ma lecture, peut-être ? – ayant pour dessein une virée à deux (pré-adolescentes sans autre expérience qu’une poignée d’heures de cours de voile) en catamaran. En revanche, je ne me souviens pas sur-le-champ de la forêt péruvienne, des Asháninkas ni des guérilleros. Ce n’était pas tant le prolongement de l’arrivée qui m’avait fascinée que l’urgence du départ.
Cette urgence, je l’avais toujours eue en moi. Enfant, j’avais vidé une valisette en plastique rouge (un jouet) de son contenu (des jouets) pour la remplir de ce qui me semblait nécessaire à la fuite, à savoir deux culottes blanches, un crayon télévision à double mines rouge et bleue et mon ours en peluche rose. Une fois sur le trottoir, tétanisée par le grondement des voitures, j’avais pris conscience qu’il n’était pas si simple de partir et étais rentrée affronter la peur de ma mère assourdie par le vrombissement du Moulinex. Plus tard, j’avais fini par accepter les vacances de la Toussaint, de Noël, d’hiver et d’été à demeure. Mes amies me postaient des cartes où tout était blanc, les pistes de neige comme les plages, et qui me réconfortaient lorsque le vert des champs, des dunes et de la mer me donnait la nausée.
Mon grand-père ne s’est jamais lassé des paysages de son enfance. Tous les matins, il prend sa voiture pour aller saluer la baie et prévoir le temps qu’il fera selon le niveau d’ennuagement du mont. Le samedi, il se laisse conduire par ma grand-mère jusqu’au sémaphore de Granville où il occupe son après-midi à inventorier les bateaux du port. À quoi pense-t-il depuis son banc de guet public ? Au jeune pêcheur en partance pour les grands bancs de Terre-Neuve ? Au jeune appelé sur le point d’embarquer sur l’El Djezaïr ? Au petit garçon rêvant de marcher dans les sabots de son grand-père ? Peut-être m’avait-il mis le livre de Jéromine Pasteur entre les mains pour cultiver chez moi ce désir héréditaire du grand large et qui semblait toujours sauter une génération.
Un jour, ma mère m’a dit : « Je ne comprends pas d’où te viens cette envie de voyager. Moi, je n’ai jamais eu envie de partir. » Je rêvais alors de contrées lointaines, de coutumes exotiques et de langues imprononçables. Je nourrissais une passion dévorante pour la Chine, ensuite détrônée par l’Inde, tandis que ma mère s’était contentée de ne jamais quitter le village qui l’avait vue grandir. Quant à mon père, il n’avait eu qu’à parcourir moins de quatre kilomètres pour l’épouser. La seule personne de mon noyau familial à n’avoir jamais franchi les frontières du village et du pays tout entier se trouvait être mon grand-père. Plus qu’une guerre, l’Algérie avait été pour moi un voyage dans sa jeunesse. Ce n’était pas la Chine, mais ça m’allait bien aussi. C’était un autre continent et on y parlait une langue qui se peint. Quelque part, j’enviais mon grand-père d’avoir « fait l’Algérie ». « Faire l’Algérie », à mes oreilles, ça ne signifiait pas « faire la guerre ». Avec l’innocence de l’enfance, je posais des questions sur le pays et il traçait devant mes yeux des paysages étrangers. Je posais des questions sur la langue et il posait sur la mienne des mots arabes. Je notais déjà sur des feuilles volantes à moitié noircies de dessins tout ce qu’il voulait bien me raconter. Mais j’ai beau fouiller la chambre de fond en comble, je ne parviens pas à mettre la main sur ces premiers témoignages recueillis à l’encre pailletée, peut-être même parfumée. Cette fois, il me faut me fier à ma mémoire.
Je repense à la boîte cartonnée. Plus tôt dans la semaine, mon grand-père m’a demandé au téléphone « dis, la boîte avec mes photos, sais-tu où qu’elle est ? » « C’est moi qui l’ai, papy. Rappelle-toi, tu me l’as prêtée… Je te la rends la prochaine fois que je passe ! » « Ah ! Bon, bon… » Je me suis demandée si ça lui prenait souvent de parcourir ces images. Avant de les lui rendre, je me lance dans un grand inventaire. Je dénombre un total de 190 photographies, 11 cartes postales et photos-cartes et 4 documents. Je distingue les photos de famille des photos que j’associe au service militaire. En attendant que mon grand-père accepte de poser des mots sur ces images, je me contente de les trier à l’estime :
FAMILLE (66)
· Baptême maman (14)
· Maman (15)
· Chantiers (5)
· Chiens (10)
· Fête de mariage (5)
· Autres (17)
SERVICE MILITAIRE (124)
· France (11)
· Algérie (113)
CARTES POSTALES & PHOTOS-CARTES (11)
· Deux femmes devant un décor peint (1)
· Carnaval (1)
· Le vieux pont (1)
· Rue du Pavé (1)
· Gavarnie (1)
· Algérois (1)
· Alger, casbah (1)
· Heureuse année (1)
· Souvenir de mon passage sur l’El Djezaïr (1)
· Souvenir de mon passage sur le Kairouan (1)
· Souvenir de mon passage sur le Ville de Tunis (1)
DOCUMENTS (4)
· Ordre de mission (1)
· Permission (1)
· Ticket de pesage de la grande pharmacie de Bab El Oued (1)
· Carte de prière Sœur Marie-Céline de la Présentation (1)
Les photos ainsi répertoriées, je les scanne une par une. Zoomées et rétroéclairées par l’écran de mon ordinateur, j’en découvre les détails.
Une vue en plongée du pont. Une mer vide occupe quasi entièrement la moitié supérieure du cadre. Au premier plan, deux rangées de valises bon marché, trop petites pour contenir des vies entières. Près des valises, trois hommes en uniforme. L’un d’eux a remarqué la présence du photographe. Il y a de la méfiance dans son regard. Ou peut-être est-ce un rayon de soleil. Sur la gauche de l’image, des civils, trois hommes et une fillette dont la tête est masquée par un foulard, s’appuient au garde-corps pour suivre du regard la trajectoire du bateau. Sur la droite de l’image, un jeune garçon et deux soldats les imitent. Au centre de l’image, deux autres soldats fixent l’objectif. Leur air penaud semble avoir été saisi par surprise. Sans doute le photographe les a-t-il sifflés depuis son nid perché avant de déclencher l’obturateur. Le mauvais cadrage donne à l’image une impression de mouvement.
À force de fixer la photo, je vois la houle onduler, les cheveux ondoyer, les corps tanguer. Surtout, je vois les valises. Le sujet de ce cliché, ce sont elles. C’est le départ. L’ailleurs. L’inconnu. Que met-on dans une valise quand on n’a rien ? Quand on nous somme de tout laisser derrière soi ? De ne prendre que le stricte nécessaire ? Une carte de prière confiée par les mains d’une mère inquiète et qui a marginé au dos « Réciter cette prière pendant neuf jours. N’oublie pas. » ? Moi, dans ma valise, je glisserai cette photo de deux inconnus surpris par le regard de mon grand-père. Il ne remarquera pas qu’elle a disparu.
À faire défiler sur l’écran de mon ordinateur ces paysages en noir et blanc, l’urgence du départ se fait plus que jamais ressentir. Comme l’ont fait avant moi Jéromine, papy, Zachary – la première par défi, le deuxième par devoir, le dernier par nécessité –, je m’en vais prendre la mer. Par dérobade. À une vitesse de 21,5 nœuds, soit 39,8 km/h, il me semble que je pourrais mettre à bonne distance le futur qui s’entête à me rattraper.
Le choix de la destination est simple : 1) il me faut un pays où me rendre par bateau ; 2) il me faut un port d’arrivée au départ de Cherbourg. De tous les pays qui peuplent mes fantasmes d’ailleurs, il ne reste donc plus que la Grande-Bretagne et l’Irlande. Je choisis les rebelles aux colons, la république à la monarchie, la patate à la Marmite, les Pogues à Police.
Pour se rendre à Cork, il n’est pas nécessaire de construire son propre bateau, pas plus qu’il n’est requis de posséder un ordre de mission ou des compétences en matière de pêche à la morue. Il suffit simplement de sélectionner au clic avec ou sans cabine, standard ou supérieure, avec ou sans hublot. Parce que je rêve d’aventure – qui a l’avantage d’être plus à portée de porte-monnaie que le confort –, j’opte pour l’expérience du grand large sans cabine, option hublots à volonté, dix-sept heures de traversée. Débarquée à Rosslare Harbour, il ne me restera ensuite qu’à prendre un premier bus pour Waterford et un second pour Cork. Quatre à cinq heures de route, trois comtés (Wexford, Waterford, Cork), vingt-six arrêts.
Arrivée à Cherbourg, il pleut. Je ne m’en étonne pas. Car l’économie cherbourgeoise repose sur l’eau dans tous ses états. D’un côté la mer, dont quatre ports (militaire, de pêche, de commerce et de plaisance) permettent de tirer profit, de l’autre la pluie, que Jean-Pierre Yvon a l’idée (soufflée par Jacques Demy) d’exploiter en créant en 1986 « Le Véritable Cherbourg », un parapluie haut de gamme multiprimé qui voyagera jusqu’au Japon couvrir la tête de l’actuel empereur Hiro-no-miya Nahurito dont la notice Wikipédia nous apprend qu’il a été décoré Grand maître de l’ordre du Soleil levant mais malheureusement pas de celui de la Pluie tombante. L’Antibourrasque étant à 149 euros, le Pébroque à 299 euros et le Milady en Moire à 650 euros, je prends la pluie. Et je me demande si Geneviève (Catherine Deneuve) aurait pu se refuser à Roland (Marc Michel) et lui jeter ses pierres précieuses à la moustache si seulement elle avait fait une école de commerce et vendu des parapluies de Cherbourg à des princes héritiers.
Je pense à Guy (Nino Castelnuovo), appelé en Algérie dans la première partie du film, en novembre 1957. J’entends ses paroles : Oh... Tu sais, maintenant, ça n’a plus d’importance... / Nous avons même tout notre temps... / Ce matin, j’ai reçu cette feuille de route / et je dois partir pour deux ans... / Alors, le mariage, on en reparlera plus tard... / Avec ce qui se passe en Algérie en ce moment, / je ne reviendrai pas d’ici longtemps... Je pense alors à mon grand-père, Normand lui aussi, ouvrier lui aussi, appelé lui aussi, au même âge, à l’été 1959. C’est drôle, je cours à l’aveugle derrière cette histoire que personne ne veut regarder droit dans les yeux et la voilà qui me devance sur le quai du port de Cherbourg tandis que j’embrasse ma mère, comme tant d’autres l’ont fait avant moi.
Sur la passerelle d’embarquement, je me demande si, là-bas, du côté de la mer Celtique, je trouverais des réponses dans mon disque dur saturé de photos. Sans doute trouverais-je plutôt des questions à poser dans le micro de mon téléphone, que mon interlocuteur, rejetant la faute sur la mauvaise qualité du réseau, pourra ignorer comme bon lui semble.
Depuis le pont, j’observe le quai. Ça fourmille d’adieux en bas. Je distingue mon grand-père, dans son uniforme foncé. Nous ne sommes plus à Cherbourg mais à Marseille. Derrière lui se dresse La Major. Il n’a ni mère à consoler – elle tient son café en Normandie –, ni fiancée à qui chanter des adieux – il ne l’a pas encore rencontrée.
Je sens une présence à mon côté. C’est lui, qui s’accoude au bastingage. Il considère la cathédrale d’un œil déformé à la fois par les rayons du soleil et par un professionnalisme juvénile. À 20 ans déjà, il ne peut s’empêcher de détailler la structure d’un édifice aussi digne – lui qui s’apprête à rejoindre un conflit qui l’est si peu –, de se figurer, sans posséder aucune connaissance de l’histoire de l’art et de l’architecture, quelles techniques les ouvriers de l’époque ont-ils utilisées. Bien plus tard, lorsqu’il sera transporté par taxi à Reims pour qu’un spécialiste de renom pulvérise au laser la tumeur venue se loger dans son oreille, il rendra chaque jour visite (du lundi au vendredi, pendant plusieurs semaines) à la cathédrale de Reims, sans jamais laisser faiblir son admiration.
Je me souviens de la présence de deux photos de La Major, la cathédrale de Marseille, dans la boîte, prises depuis le bateau. Il y en a également trois qui font le tour presque complet (nord, ouest, sud) de Notre-Dame-d’Afrique, à l’ouest d’Alger. Il n’y aucune piété chez mon grand-père. Ces édifices religieux sont pour lui comme des phares. Des points de départ. Et d’arrivée. Des témoins familiers parce que taillés dans le plus noble des matériaux : la pierre.
Je voudrais lui pointer du doigt le Mucem, ce cube posé sur la jetée et voilé d’une mantille de béton. Mais lui ne peut pas la voir. Il ne sait pas encore qu’un musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée verra le jour en 2013 à Marseille et qu’il s’enrichira en 2017 d’une collection d’œuvres et d’objets rassemblée en vue de l’ouverture d’un musée d’histoire de la France et de l’Algérie qui n’aura pas lieu. Alors je me contente de lui dire « est-ce que tu vas finir par me parler ? » Mais lui ne semble pas m’entendre. Son regard s’est posé à son tour sur le quai devenu celui du port de Granville. Il scrute un homme à l’accoutrement d’un autre temps : gros chandail, veste et pantalon cirés, bottes cuissardes, suroît en toile brune, mitaines en laine, baluchon. Zachary, le terre-neuvas. Un peu plus loin, une chorale d’hommes avinés entonne : Ceux qui ont nommé les Bancs / les ont bien mal nommés / ils en font des louanges / ils y ont jamais été. À son côté, une femme fixe la mer avec défi. Derrière eux, une fillette à qui l’on a dit de ne pas se retourner, sous peine de ne pas voir revenir son père, caresse un énorme chien à robe noire qui bientôt s’endort. Je me tourne vers mon grand-père. Je voudrais lui poser des questions sur Zachary, ce grand-père qu’il aimait tant. Mais il a disparu. Je suis de retour à Cherbourg. Et le ferry lève l’ancre.
La seconde partie sera publiée la semaine prochaine.
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