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#Arnett Cobb
jazzplusplus · 1 year
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Arnett Cobb & Budd Johnson sur scène pendant la Grande Parade du Jazz de Nice en 1983.
Photo Pascal Savelon.
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villasugandhala · 20 days
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Arnett Cobb - Ballads By Cobb
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jazzdailyblog · 5 months
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Earl Bostic: The Jazz Virtuoso Who Redefined Music
Introduction: Earl Bostic, born in Tulsa, Oklahoma, one hundred and eleven years ago today on April 25, 1913, was a musical prodigy who left an indelible mark on jazz. His innovative approach to music and electrifying performances continue to inspire musicians and listeners worldwide. Early Life and Musical Beginnings: In his youth, Earl Bostic honed his musical talents, playing the clarinet…
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
BENNY GOLSON, SAXOPHONISTE ET COMPOSITEUR "Basically, I'd like to stay simple. I'd like to write melodically, and pretty harmonically... Although I'm not consciously looking for it, maybe I want something that's easy to remember.... Beauty can be simple, beauty can be simplicity."
- Benny Golson
Né le 25 janvier 1929 à Philadelphie, Benjamin ‘’Benny’’ Golson a fait ses études secondaires à Philadelphie. À l’âge de neuf ans, Golson avait commencé à apprendre le piano sous les pressions de sa mère qui voulait faire de lui un pianiste classique. Mais Golson ne l’entendait pas de cette oreille. Il expliquait: “That was aberrational in my neighborhood. All you heard there was the blues.”
Golson était âgé de quatorze ans lorsqu’il avait assisté à un concert de Lionel Hampton au Philadelphia’s Earl Theater. C’était après avoir entendu jouer Arnett Cobb qui faisait partie du groupe que Golson avait décidé de troquer le piano pour le saxophone ténor. Il avait commencé à composer à l’âge de dix-sept ans.
Pendant qu’il fréquentait le High School, Golson avait joué avec plusieurs musiciens prometteurs, dont John Coltrane, Red Garland, les frères Jimmy et Percy Heath, Philly Joe Jones et Red Rodney. LE MUSICIEN Après avoir obtenu son diplôme de l’Université Howard (où il avait écrit ses premiers arrangements), Golson avait brièvement conduit un camion de livraison avant de se joindre au groupe de rhythm n’ blues de Bull Moose Jackson en 1951. Tadd Dameron, que Golson considérerait plus tard comme sa plus importante influence comme compositeur, était le pianiste de Jackson à l’époque. Golson expliquait ainsi l’influence que Dameron avait eu sur lui: "Tadd's music really ignited the spark for me. After hearing things like 'Our Delight' and 'Lady Bird'... I wanted to do more than play tenor sax. I wanted to write."
Une autre influence majeure de Golson était le saxophoniste de swing Don Byas. Golson avait également été très influencé par Charlie Parker, qu’il avait entendu jouer pour la première fois lors d’un concert de l’Académie de Musique de Philadelphie en 1945. Golson précisait: “After we heard that concert that night, our lives changed. It was epochal, what was happening then.”
C’est après avoir entendu Parker que Golson avait commencé à développer son jeu très personnel combinant la chaleur et la fluidité des autres saxophonistes aux innovations harmonieuses de Bird.
Golson travaillait avec l’orchestre de Lionel Hampton à l’Apollo Theater de Harlem en 1956 lorsqu’il avait appris que le trompettiste Clifford Brown, avec qui il avait joué dans le groupe de Dameron de 1953 à 1958, était mort dans un accident d’automobile. Dans une entrevue accordée au magazine Downbeat en 1961, Golson avait décrit ainsi sa complicité avec Brown: "At the time of his death, Brownie was going in his direction more determinedly than anyone I've ever seen. Really, the last two years of his life, he got a hold of what he wanted to do. His imagination was infinite. He always had a bag of surprises."
Golson avait été tellement bouleversé par la mort de Brown qu’il avait composé une pièce en son honneur intitulée ‘’I Remember Clifford.’’ La pièce est devenue depuis un classique du jazz.
Après avoir quitté le groupe de Dameron, Golson s’était joint aux formations de Lionel Hampton, Johnny Hodges (avec qui il avait fait une tournée avec John Coltrane en 1954), Earl Bostic et Dizzy Gillespie, avec qui il avait participé à une tournée financée par le Département d’État.
Golson s’était ensuite joint aux Jazz Messengers d’Art Blakey avec qui il avait enregistré l’album ‘’Moanin’’’.
De 1959 à 1962, Golson avait co-dirigeé le groupe Jazztet avec le trompettiste Art Farmer. Le pianiste McCoy Tyner et le joueur de trombone Curtis Fuller faisaient aussi partie de la formation. En 1960, dans le cadre de sa participation au Jazztet, Golson avait remporté le New Star Award décerné par le magazine DownBeat. Le groupe a enregistré six albums avant de cesser ses activités en 1962. LE COMPOSITEUR
En 1963, à la demande de Quincy Jones et peut-être aussi pour mieux gagner sa vie, Golson s’était installé en Californie pour se concentrer sur la composition et le travail de studio. À cette époque, Golson avait composé de la musique pour des séries télé comme ‘’Mannix’’, ‘’Ironside’’, ‘’Room 222’’, ‘’M*A*S*H**’’, ‘’The Patridge Family’’ et ‘’Mission Impossible.’’ Il avait également écrit des thèmes publicitaires pour des compagnies comme Canada Dry, Carnation, Chevrolet, Chrysler, Clorox, Dodge, General Telephone, Gillette, MacDonald’s, Mattel, Nissan, Pepsi Cola, Texaco et Heinz.
Au milieu des années 1970, Golson avait effectué un retour sur scène. Golson, qui n’avait pas touché à son saxophone depuis dix ans, avait décrit ainsi la sensation qu’il avait ressenti lorsqu’il avait recommencé à jouer de son instrument: "It was like I'd never played the instrument; it felt like a piece of plumbing from the kitchen in my hand. My mind seemed like it wanted to go ahead--my fingers were those of a dead man; my lips were like ripe tomatoes. It was quite a physical struggle. I had no muscles in my lips or jaws... I sounded so bad, I was even embarrassed for my wife to hear me!" Golson avait aussi recommencé à enregistrer, collaborant notamment avec Freddie Hubbard, Woody Shaw et Pharoah Sanders.
Selon le critique Scott Yanow, à l’époque, le style de Golson au saxophone avait énormément évolué et s’apparentait davantage au style d’Archie Shepp et aux autres musiciens du free jazz qu’à son style original influencé par le swing de Don Byas. En 1982, après une tournée au Japon avec Art Farmer, Golson avait complètement réorganisé son Jazztet pour l’adapter aux nouvelles réalités du jazz.
La nouvelle édition du groupe avait été accueillie avec enthousiasme, tant par les amateurs que par la critique. Golson expliquait: "The reception for the revived Jazztet was so warm last year that it was almost like coming back home this second time. The enthusiasm of the audiences has been very encouraging for us--it gives us some incentive to go on in that same direction."
La reprise des activités du Jazztet n’avait cependant rien à voir avec la nostalgie. Golson poursuivait: "In twenty years, as you might expect... our musical approach is just a little different from the way it was then. Although there's some nostalgic things, like 'Whisper Not' ... I've written a lot of new tunes, and we've moved away somewhat from the hard, straight-up-and-down, strict harmonic kind of approach."
Véritable ambassadeur du jazz, Golson avait participé en 1987 à une tournée organisée par le Département d’État qui l’avait conduit du sud-est asiatique à la Nouvelle-Zélande, en passant par l’Indonésie, la Malaisie, la Birmanie et Singapour. Plus tard, l’agence Philip Morris l’avait envoyé à Bangkok, en Thailande, composer de la musique pour le Bangkok Symphony Orchestra.
À la fin des années 1990 et au début des années 2000, Golson avait fait une tournée avec le groupe toute étoile Roots (dont il était le directeur musical depuis 1995) ainsi qu’avec le trio de Keith Copeland. Il continuait aussi à composer parallèlement.
De 1998 à 2000, Golson avait participé à une tournée intitulée ‘’Jazz Messengers - A Legacy to Art Blakey’’, qui lui avait fait traverser tous les États-Unis, en plus de le conduire en Europe et au Japon. Comme son nom l’indique, la tournée avait pour but de rendre hommage à son ancien mentor Art Blakey, qui était décédé en octobre 1990. Lors des funérailles de Blakey, la pièce ‘’Blues March’’ de Golson avait d’ailleurs été interprétée pour lui rendre hommage.
En 2004, Golson avait fit une brève apparition dans le film ‘’The Terminal’’ avec Tom Hanks. Dans le film, on faisait allusion à la photo ‘’A Great Day in Harlem’’ sur laquelle Golson apparaissait aux côtés de plusieurs autres musiciens de jazz. Dans le film, le personnage principal, Viktor Navorski, interprété par Hanks, avait voyagé depuis l’Europe pour obtenir l’autographe de Golson. La composition de Golson, ‘’Something in B Flat’’, peut aussi être entendue sur une scène où Viktor est en train de peindre et de redécorer une partie le terminus de l’aéroport. Dans une autre scène, on voit Golson interpréter la pièce ‘’Killer Joe.’’
Benny Golson est mort à sa résidence de Manhattan le 21 septembre 2024. Il était âgé de 95 ans. La mort de Golson a été annoncée par son agent Jason Franklin. HONNEURS ET RÉCOMPENSES Benny Golson a reçu plusieurs prix et récompenses au cours de sa carrière.
Golson, qui a remporté un prix de la Fondation Guggenheim en 1994, a vu sa carrière être couronnée deux ans plus tard par la remise d’un NEA Jazz Masters Award de la National Endowment for the Arts. La même année, le programme de Jazz de l’Université Howard avait créé un prix en son honneur nommé le ‘’Benny Golson Jazz Master Award.’’
En octobre 2007, la Mid Atlantic Arts Foundation avait décerné à Golson le Mellon Living Legend Legacy Award, lors d’une cérémonie tenue au Lincoln Center. Le même mois, l’Université de Pittsburgh lui avait accordé l’International Academy of Jazz Outstanding Lifetime Achievement Award. Le prix lui avait été remis dans le cadre du 37e concert annuel de Jazz au Carnegie Music Hall. En novembre 2009, Goldson a été intronisé au sein de l’Academy of Jazz Hall of Fame.
Benny Golson est le seul artiste de jazz toujours vivant à avoir composé au moins huit standards de jazz. Véritable institution, Golson a enregistré plus de trente albums sous son nom en plus d’avoir participé à des centaines d’enregistrements d’autres artistes. Golson a aussi plus de 300 compositions à son crédit. Au cours de sa carrière de plus de soixante ans, Golson a également écrit un nombre incalculable d’arrangements pour des artistes comme Count Basie, John Coltrane, Miles Davis, Sammy Davis Jr., Ella Fitzgerald, Dizzy Gillespie, Benny Goodman, Lionel Hampton, Quincy Jones, Peggy Lee, Carmen McRae, Anita O’Day, Oscar Peterson, Diana Ross, Mek Torme, George Shearing, Dusty Springfield et plusieurs autres.
Passionné d’éducation, Golson a aussi fait des lectures au Lincoln Center et aux universités de New York et de Chicago. Loin de se limiter à la musique, les conférences de Golson abordaient aussi des questions comme le racisme et les relations raciales. Dans une entrevue accordée au Irish Times, Golson avait tenu à préciser que ses préoccupations n’étaient pas tant personnelles qu’historiques. Il avait déclaré: “[Racism] doesn’t disturb me and it didn’t disturb me when I was coming up as a kid. Racism? I wanted to play the music. I turned a deaf ear to all that stuff.”
Golson est également lauréat de doctorats honorifiques de la Berklee School of Music et du William Paterson College de Wayne, au New Jersey. Grand pédagogue, il a aussi dirigé des ateliers dans plusieurs universités à travers le monde.
Outre ‘’I Remember Clifford’’, plusieurs des compositions de Golson sont devenues des standards du jazz: ‘’Stablemates’’, ‘’Killer Joe’’, ‘‘Whisper Not’’, ‘’Along Came Betty’’, ‘’Are You Real ?’’, ‘’Blues March’’, etc.
En 1958, au cours d’une entrevue accordée au magazine DownBeat, Golson avait ainsi décrit sa philosophie de compositeur: "I feel that the best contribution any writer can make is to create compositions that are impressive, meaningful, and lasting. I think all serious writers consciously or unconsciously strive for this." Dans une autre entevue accordée deux ans plus tard, Golson avait précisé: "Basically, I'd like to stay simple. I'd like to write melodically, and pretty harmonically... Although I'm not consciously looking for it, maybe I want something that's easy to remember.... Beauty can be simple, beauty can be simplicity."
Lorsqu’on demandait à Golson laquelle de ses activités il trouvait la plus satisfaisante entre la composition et sa carrière de musicien, il répondait simplement: “It’s like having two wives. I’m a musical bigamist. I can’t decide, so I just go on with both of them.” ©-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique SOURCES:
‘’Benny Golson.’’ Wikipedia, 2022. ‘’Benny Golson.’’ National Endowment of the Arts, 2023. ‘’Benny Golson.’’ Jazzstandards.com, 2023. ‘’Benny Golson.’’ Encyclopedia.com, 13 août 2018.
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bamboomusiclist · 14 days
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9/12 おはようございます。 Miles Davis / Get Up with It kg33236 等更新完了しました。
Ella Mae Morse / The Morse Code T898 Jo Stafford / Swingin' Down Broadway CL1124 Chris Connor / Chris bcp56 Arnett Cobb / Sizzlin' Prst7227 Jimmy Raney Zoot Sims / Two Jims and Zoot 56013 Bill Evans Trio / Explorations 771736 Bill Evans Trio / Moon Beams 771848 Blind Lemon / Classic Folk Blues By Blind Lemon Jefferson RLP12-125 Miles Davis / Get Up with It kg33236 VA Indisk Konstmusik cap2022 Caetano E Chico / Juntos E Ao Vivo 6349059 Caetano Veloso / Circulado Vivo 510459-1 Curtis Mayfield / Got to Find A Way Crs8604 Heptones / Sufferer's Time - Upsetters / Sufferers Dub IS-068 Glen Ricks / Just My Imagination - Just My Imagination (Version) SSR0126
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~bamboo music~
530-0028 大阪市北区万歳町3-41 シロノビル104号
06-6363-2700
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cdbrainrecords · 20 days
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Eddie "Lockjaw" Davis - Buddy Tate - Coleman Hawkins - Arnett Cobb - Very Saxy (LP, Album, RE)
Vinyl(VG++) Sleeve(VG) Insert(VG++) Obi(missing) // missing Obi 帯なし / No scratches on Vinyl, VG+ or better. clean vinyl. in great shape / / Sleeve has some foxing at the sleeve. ジャケットにシミ / コンディション 盤 : Very Good Plus (VG+) コンディション ジャケット : Very Good (VG) コンディションの表記につい��   [ M > M- > VG+ > VG > G+ > G > F > P ] レーベル : Prestige – VIJ-5069 フォーマット : Vinyl, LP, Album, Stereo, Reissue 生産国 : Japan 発売年…
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leanstooneside · 4 months
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Merrill Lynch
◊ Malin Akerman's breast
◊ Helen Mirren's breast
◊ Janelle Monae's breast
◊ Billy Crudup's breast
◊ Jackie Chan's breast
◊ Lenny Kravitz's breast
◊ Amber Portwood's breast
◊ Josh Hartnett's breast (abducted)
◊ Lily Allen's breast
◊ Maci Bookout's breast (confiscated)
◊ Cacee Cobb's breast (ripped off)
◊ Will Arnett's breast
◊ January Jones's breast
◊ DJ Pauly D's breast
◊ Nick Cannon's breast
◊ Dina Manzo's breast
◊ Penelope Cruz's breast (exchanged)
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thethirdman8 · 9 months
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gallaxowelcome · 1 year
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Milt Buckner, Buddy Tate, Arnett Cobb - Special Midnight Slows (1979)
Black And Blue 33.350/1 (FRA, 2LP)
NM/VG+ (7)
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lboogie1906 · 2 years
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Coleman Randolph Hawkins (November 21, 1904 – May 19, 1969), nicknamed "Hawk" and sometimes "Bean", was a jazz tenor saxophonist. One of the first prominent jazz musicians on his instrument, Joachim E. Berendt explained: "there were some tenor players before him, but the instrument was not an acknowledged jazz horn". His biographer John Chilton described the prevalent styles of tenor saxophone solos before Hawkins as "mooing" and "rubbery belches." He cited as influences Happy Caldwell, Stump Evans, and Prince Robinson, he was the first to tailor his method of improvisation to the saxophone rather than imitate the techniques of the clarinet. His virtuosic, arpeggiated approach to improvisation, with his characteristic, emotional, loud, and vibrato-laden tonal style, was the main influence on a generation of tenor players that included Chu Berry, Charlie Barnet, Tex Beneke, Ben Webster, Vido Musso, Herschel Evans, Buddy Tate, and Don Byas, and through them the later tenor men, Arnett Cobb, Illinois Jacquet, Flip Phillips, Ike Quebec, Al Sears, Paul Gonsalves, and Lucky Thompson. While he became well-known for swing music during the big band era, he had a role in the development of bebop in the 1940s. He attended high school in Chicago, then in Topeka at Topeka High School. He stated that he studied harmony and composition for two years at Washburn College while still attending high school. In his youth he played piano and cello, and started playing saxophone at the age of nine; by the age of fourteen, he was playing around eastern Kansas. #africanhistory365 #africanexcellence https://www.instagram.com/p/ClOKp61LWyj/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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thegroubal · 2 years
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Check out this listing I just added to my Poshmark closet: Vintage vinyl LP Very Saxy—Eddie Davis, Buddy Tate, Coleman Hawkins, Arnett Cobb.
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jazzplusplus · 1 year
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1947 - Arnett Cobb - Club El Sino - Detroit (Michigan)
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detroitlib · 3 years
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Arnett Cleophus Cobb (August 10, 1918 – March 24, 1989)
American jazz tenor saxophonist, sometimes known as the "Wild Man of the Tenor Sax" because of his uninhibited stomping style. Cobb wrote the words and music for the jazz standard "Smooth Sailing" (1951), which Ella Fitzgerald recorded for Decca on her album Lullabies of Birdland. (Wikipedia)
Portrait of jazz saxophone player Arnett Cobb, holding a saxophone. Printed on front: "Arnett Cobb and his orchestra. Universal Attractions, 347 Madison Ave., New York, 17, N.Y." Handwritten on back: "Arnett 'Big Red' Cobb and his 'Smooth Sailing' orch. Headline the opening show at the Paradise Theater, Fri. Oct. 5th."
Courtesy of the E. Azalia Hackley Collection of African Americans in the Performing Arts, Detroit Public Library
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goodblacknews · 4 years
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MUSIC MONDAY: "Is You Is Or Is You Ain't" - A Jump Blues Collection (LISTEN)
MUSIC MONDAY: “Is You Is Or Is You Ain’t” – A Jump Blues Collection (LISTEN)
by Marlon West (FB: marlon.west1 Twitter: @marlonw IG: stlmarlonwest Spotify: marlonwest) For many of you riding along with these weekly playlists, some of these “points” may sound familiar. The popular narrative of the originals of Rhythm & Blues and Rock and Roll leans heavily on the hardscrabble southern bluesman narrative. The mythic trip to the crossroads and the juke joint circuit stories…
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
JOHNNY GRIFFIN, LE SAXOPHONISTE QUI JOUAIT PLUS VITE QUE SON OMBRE
"I got so excited when I played and I still do. I want to eat up the music like a child eating candy."
- Johnny Griffin
Né à Chicago le 24 avril 1928, John Arnold Griffin III était le fils d’un cornettiste et d’une chanteuse. La famille Griffin résidait dans le South Side.
Après avoir étudié le piano durant quatre ans, Griffin avait commencé à jouer de la guitare hawaïenne. Il avait ensuite appris la clarinette avant de passer au hautbois puis au saxophone alto.
Lors de ses études au DuSable High School, Griffin avait eu comme professeur le légendaire Walter ‘’Captain’’ Dyett, qui avait formé de grandes vedettes du jazz comme Nat ‘’King’’ Cole, Dinah Washington, Gene Ammons et Von Freeman. Même si Johnny était très désireux de jouer du saxophone alto, Dyett avait insisté pour qu’il se fasse d’abord les dents sur une clarinette. Lors de ses études secondaires, Griffin avait joué dans un groupe scolaire surnommé le ‘’Baby Band.’’
Griffin avait douze ans lorsqu’il avait entendu le saxophoniste ténor Gene Ammons jouer dans le big band de King Kolax au Parkway Ballroom de Chicago. Deux ans plus tard, Griffin s’était acheté un saxophone alto et s’était trouvé un emploi dans le groupe du bluesman T-Bone Walker.
Outre Ammons, Griffin avait également été influencé par Charlie Parker et Dizzy Gillespie, qu’il avait entendus jouer dans l’orchestre de Billy Eckstine en 1945. Griffin admirait également le son de Johnny Hodges et Ben Webster. Dans le cadre de sa collaboration au livre ‘’Talking Jazz’’, Griffin avait reconnu: "These cats were really my masters; to me, the greatest soun"These cats were really my masters; to me, the greatest sounds ever."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Trois jours après avoir obtenu son diplôme, Griffin avait été embauché pour jouer dans le big band de Lionel Hampton, qui se trouvait alors à Toledo, en Ohio. Une fois parvenu sur les lieux, Griffin avait été informé qu’il devrait jouer du saxophone ténor et non de l’alto, ce qui l’avait obligé à retourner chez lui en catastrophe, car il avait laissé son ténor à la maison. Mais Griffin n’entendait pas laisser passer sa chance, d’autant plus qu’il préférait le ténor à l’alto. C’est d’ailleurs avec Hampton que Griffin avait fait son premier enregistrement en 1945 à l’âge de dix-sept ans.
Au milieu de l’année 1947, Griffin avait formé un sextet de R & B avec Joe Morris, un ancien membre de l’orchestre de Hampton. Le groupe comprenait également des musiciens locaux comme le guitariste George Freeman. Griffin était demeuré avec le groupe jusqu’en 1950. Au cours de son passage dans le groupe de Morris, Griffin s’était fait un nom en jouant avec de grosses pointures comme Philly Joe Jones, Percy Heath, Joe Jones, Gene Ramey et Arnett Cobb.
Griffin était surnommé ‘’Little Giant’’ en raison de sa petite taille qui faisait contraste avec son jeu énergique.
En 1951, Griffin avait joué du saxophone baryton avec un autre septet de R & B, dirigé cette fois par Arnett Cobb, un saxophoniste avec qui il avait joué lors de sa collaboration avec Lionel Hampton.
La même année, Griffin avait été forcé de faire son service militaire avec sept autres Afro-Américains originaires du Southside. Lorsque les huit Noirs avaient appris qu’ils devaient être affectés à Fort Chaffee, en Arkansas, ils avaient refusé, car ils savaient quel sort les attendaient les États du Sud. Le groupe avait finalement été assigné à Hawaï.
Lors de son passage dans le groupe de l’armée, Griffin avait appris qu’une ouverture s’était créée pour un joueur de hautbois. Lors de son audition, Griffin avait tellement impressionné le colonel recruteur qu’on lui avait immédiatement donné le poste. Les sept autres Noirs avaient été envoyés en Corée, où la plupart d’entre eux avaient éventuellement perdu la vie. Reconnaissant, Griffin avait plus tard déclaré que le hautbois lui avait sauvé la vie.
Après sa démobilisation en 1953, Griffin avait passé quelques années à Chicago avant de retourner à New York où il avait joué brièvement avec les pianistes Bud Powell et Elmo Hope, avant d’être recruté en 1957 par Art Blakey pour jouer avec les Jazz Messengers dont Thelonious Monk faisait également partie à l’époque. Même si le séjour de Griffin dans le groupe de Blakey avait été bref, cela avait suffi à lui faire un nom et lui avait permis de démarrer sa carrière solo avec les disques Riverside. C’est d’ailleurs lors de son passage avec les Messengers que Griffin s’était mérité son surnom de ‘’Little Giant’’, qu’il avait d’ailleurs utilisé comme titre d’un de ses albums en 1959.
Peu après avoir quitté les Messengers, Griffin avait remplacé John Coltrane dans le groupe de Thelonious Monk dont il avait fait partie jusqu’au milieu des années 1960. Désireux d’aider son protégé, Monk avait fortement encouragé le producteur Orrin Keepnews des disques Riverside à faire signer un contrat à Griffin, mais ce dernier avait déjà signé avec Blue Note.
Il n’était pas toujours facile de travailler avec Monk, qui était doté d’une personnalité assez excentrique. Dans le livre ‘’Talking Jazz’’, Griffin expliquait:
"I found it difficult at times, I mean, DIFFICULT. I enjoying playing with him, enjoying playing music, but when I'm playing my solos… the way his comping [accompaniment] is so strong … it's almost like you're in a padded cell. I mean, trying to express yourself, because his music, with him comping, is so overwhelming, like it's almost like you're trying to break out of a room made of marshmallows."
Ce qui n’avait pas empêché Griffin de considérer Monk comme un de ses meilleurs partenaires. Il précisait: "The way he composed, the logic of his compositions, immensely influenced me.’’
En 1956, Griffin avait enregistré son premier disque comme leader, un album intitulé ‘’Introducing Johnny Griffin.’’ Participaient aussi à l’enregistrement le pianiste Wynton Kelly, le contrebassiste Curly Russell et le batteur Max Roach. L’album avait été chaleureusement accueilli par la critique.
La même année, Griffin avait formé un sextet avec le saxophoniste baryton Pepper Adams et le trompettiste Donald Byrd, deux musiciens de Detroit.
L’EXIL
Après son séjour chez les Messengers, Griffin avait retrouvé Monk dans son quartet qui se produisait alors au Five Spot de New York avec John Coltrane. On peut entendre Griffin sur les albums de Monk ‘’Thelonious in Action’’ et ‘’Mysterioso.’’
Toujours en 1957, Griffin avait participé avec Coltrane et Hank Mobley à l’enregistrement du légendaire album ‘’A Blowin’ Session.’’ L’année suivante, Griffin avait collaboré avec le trompettiste Clark Terry dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Serenade to a Bus Seat’’. La section rythmique était composée de Wynton Kelly au piano, de Paul Chambers à la contrebasse et de Philly Joe Jones à la batterie.
La même année, Griffin avait formé son propre sextet, avec lequel il avait enregistré un album éponyme. Parmi les membres du groupe, on retrouvait le trompettiste Donald Byrd et le pianiste Kenny Drew.
Griffin, qu’on considérait souvent d’un tempérament trop enjoué pour interpréter des pièces tristes, avait finalement donné tort à ses détracteurs en enregistrant en 1961 un hommage à Billie Holiday intitulé ‘’White Gardenia’’, en référence à la fleur portée par la chanteuse depuis qu’elle s’était brûlée la joue dans un incident. A la fin de sa carrière, Griffin avait d’ailleurs commencé à se spécialiser dans les balades.
En 1960, Griffin avait fondé un grand orchestre de quatorze membres surnommé le Big Soul Band, qui comprenait le trompettiste Clark Terry et le pianiste Bobby Timmons. De 1960 à 1962, Griffin avait forma un quintet avec le saxophoniste ténor Eddie ‘’Lockjaw’’ Davis dont il partageait la sonorité sensuelle et rauque.
Lassé des États-Unis et de son mépris envers le jazz, Griffin avait décidé de s’installer à Paris en 1963. En réalité, d’autres facteurs étaient à l’origine du départ de Griffin, dont les taxes trop élevées, l’échec de son mariage et le soutien accordé par la critique au free jazz. Plutôt bien accueilli en Europe, Griffin jouait régulièrement dans des clubs de jazz comme celui de Ronnie Scott à Londres. Comme saxophoniste, Griffin était souvent le premier choix des musiciens américains qui étaient de passage en Europe dans les années 1960 et 1970. Il avait aussi accompagné d’autres musiciens américains en exil comme Bud Powell, Kenny Clarke, Kenny Drew et Art Taylor.
Même si Griffin s’était installé définitivement en Europe, il retournait chaque année à Chicago durant la semaine de son anniversaire de naissance afin de participer au Jazz Showcase. Griffin terminait habituellement sa visite en se produisant durant une semaine au Village Vanguard de New York.
En France, Griffin avait enregistré plusieurs albums avec des sections rythmiques européennes pour les étiquettes Storyville, Black Lion et Steeplechase.
En 1965, Griffin avait également collaboré avec le guitariste Wes Montgomery. En 1967, Griffin avait brièvement rejoint le pianiste Thelonious Monk avec qui il avait fait une tournée en Europe. Trois ans plus tard, Griffin avait retrouvé son vieil ami Eddie ‘’Lockjaw’’ Davis avec lequel il avait enregistré l’album ‘’Tough Tenors Again ‘n’ Again.’’ Griffin a également collaboré avec le Big 7 de Dizzy Gillespie dans le cadre du Festival de jazz de Montreux. De 1967 à 1969, Griffin avait aussi été un des principaux solistes du Kenny Clarke-Francis Boland Big Band, dans lequel il avait joué au sein d’une excellente section de cuivres composée entre autres de Ronnie Scott et Sahib Shihab.
1975 avait été une année importante pour Griffin, qui était devenu membre des grands orchestres de Dizzy Gillespie et Count Basie avec qui il avait participé au Festival de jazz de Montreux. Griffin avait également travaillé avec le saxophoniste allemand Klaus Doldinger dans le cadre du groupe de fusion Passport.
À la fin des années 1970, Griffin était retourné aux États-Unis afin d’enregistrer pour les disques Galaxy. Il avait aussi fait une tournée avec le saxophoniste Dexter Gordon. Griffin a également enregistré avec le big band de Peter Herbolzheimer, un orchestre tout-étoile qui comprenait notamment Nat Adderley, Derek Watkins, Art Farmer, Slide Hampton, Stan Getz, Gerry Mulligan, ‘’Toots’ Thielemans, Niels-Henning Orsted-Pedersen et Quincy Jones comme arrangeur. Griffin avait aussi enregistré avec le quintet de Nat Adderley en 1978. Adderley avait déjà enregistré avec Adderley en 1958.
Toujours en 1978, Griffin avait fait un retour triomphal aux États-Unis avec Dexter Gordon pour jouer au Ann Harbor Blues and Jazz Festival. Le duo avait également enregistré un concert à Carnegie Hall ainsi que l’album ‘’Return of the Griffin.’’
Après être retourné en Europe, Griffin avait décidé de quitter Paris en 1978 pour s’établir sur une ferme aux Pays-Bas. En 1980, Griffin était revenu en France et s’était installé sur la côte d’Azur puis dans la communauté rurale d’Availles-Limouzine quatre ans plus tard.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1983, Griffin avait été un des membres fondateurs du groupe européen Three Generations of Tenor Saxophone.
En 1986, Griffin avait collaboré avec le Paris Reunion Band avec Woody Shaw, Dizzy Reece, Slide Hampton et Kenny Drew, avec lequel il avait enregistéa un album sur étiquette Sonet. Durant son séjour en France, Griffin avait également enregistré pour les maisons de disque Antilles et Verve des albums comme ‘’The Cat’’ (1991) et ‘’Chicago, New York, Paris’’ (1994).
En 1992, Griffin avait fait une tournée avec Superband, le groupe tout-étoile de Philip Morris.
À la fin de sa vie, contredisant son peu d’intérêt pour le jazz d’avant-garde, Griffin avait collaboré avec le pianiste algérien Martial Solal et le saxophoniste Steve Grossman.
Johnny Griffin est mort d’un infarctus le 25 juillet 2008 à sa résidence de Mauprévoir, près d’Availles-Limouzine, en France. Il était âgé de quatre-vingt ans. Il laissait dans le deuil son épouse Miriam ainsi que quatre enfants (Jo-Onna, Ingrid, John Arnold et Cynthia).
Johnny Griffin avait présenté son dernier concert à Hyères, en France, le 21 juillet 2008. Son dernier album, ‘’Live at Ronnie Scott’’, a été enregistré à Londres peu avant sa mort.
Pionnier du hard bop, Griffin a longtemps été surnommé ‘’le saxophoniste le plus rapide au monde’’, en raison de la facilité avec laquelle il pouvait exécuter des notes rapides tout en maintenant une excellente intonation. Dans un article publié en 1958 dans le magazine Down Beat, le critique Ralph J. Gleason écrivait:
‘’Unquestionably Johnny Griffin can play the tenor saxophone faster, literally, than anyone else alive…. And in the course of playing with this incredible speed, he also manages to blow longer without refueling than you would ordinarily consider possible. With this equipment he is able to play almost all there could possibly be played in any given chorus."
Johnny Griffin était reconnu non seulement pour son style unique et sa sonorité à la Ben Webster, mais aussi pour sa technique exceptionnelle et ses harmonies complexes. Doté d’une impressionnante culture musicale, Griffin ne se gênait pas pour citer des pièces de musique classique, d’opéra et d’autres styles musicaux comme le gospel et le blues dans le cadre de ses performances. Si dans ses premiers albums, Griffin s’était fait remarquer par sa créativité et sa remarquable dextérité technique, ses derniers enregistrements comme ‘’Bush Dance’’ (1983), ‘’The Cat’’ (1990) et ‘’Chicago, New York, Paris’’ (1994), lui avaient permis de démontrer sa maîtrise des longs solos et sa grande fluidité instrumentale.
Excellent homme d’affaires, Griffin était doté d’un caractère agréable et était très apprécié des autres musiciens. Au cours de sa carrière couvrant six décennies, Griffin n’avait jamais perdu son enthousiasme pour la musique. Il expliquait: "I got so excited when I played and I still do. I want to eat up the music like a child eating candy."
La Berklee College of Music a décerné un doctorat honorifique à Johnny Griffin en 1995. ©-2023-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
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bamboomusiclist · 9 months
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12/20 おはようございます。Mose Allison / Mose Alive 1450 等更新完了しました。
Mose Allison / Mose Alive 1450 Rita Reys / the Cool Voice cl903 Curtis Counce / Carl's Blues m3574 Tal Farlow / A Recital Mgn1030 Kenny Dorham / This Is The Moment Sings And Plays rlp12-275 Johnny Pate / A Date With Johnny Pate 611 Mal Waldron / Sweet Love, Bitter as9142 Thelonious Monk / In Concert 673022/rlp12-300 Thelonious Monk / The Thelonious Monk Quintet 673024/RLP1150 Arnett Cobb / Smooth Sailing Prlp7184 Clifford Brown / Memorial Prlp7055 Teo Macero with Prestige Jazz Quartet / Teo Prlp7104 Charlie Mingus / Pithycanthropus Erectus 30AM6109 Dave Brubeck / Adventures In Time G30625 Jack DeJohnette Dave Holland / Time & Space PA-7062 Cedar Walton / Night at Boomers vol1 mr5010 Eric Dolphy / Stockholm Sessions enja3055 John Holt / Holt Goes Disco TRLS160 Revolutionaries / Dub Out Her Blouse & Skirt Vol1 Ken Boothe / Let's Get It On TRLS83
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