Tumgik
#Artillerie de campagne
carbone14 · 1 year
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Canon de 75 mm servi par des soldats français pour couvrir l'évacuation de Dunkerque (Opération Dynamo) face aux allemands - Bataille de Dunkerque - 28 mai 1940
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microcosme11 · 1 year
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Count Andréossy by Dutretre
Letter from Bonaparte to Andreossy in 1794:
Les observations que tu m’as faites dans ta dernière lettre sont très sensées. [The observations you made to me in your last letter are very sensible.]
Andréossy's numerous works included the following:
on artillery (with which arm he was most intimately connected throughout his military career):
on military history:
Quelques idées relatives à l'usage de l'artillerie dans l'attaque et ... la défense des places (Metz);
Essai sur le tir des projectiles creux (Paris, 1826);
Campagne sur le Main el la Rednitz de l'armée gallo-batave (Paris, 1802);
Opérations des pontonniers en Italie . . . 1795-1796 (Paris, 1843).
Andréossy also wrote scientific memoirs on the mouth of the Black Sea (1818-1819); on certain Egyptian lakes (during his stay in Egypt); and in particular the history of the Languedoc Canal (Histoire du canal du Midi, 2nd ed., Paris, 1804)
--wikipedia
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lepartidelamort · 6 months
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L’armée française s’entraîne pour pouvoir envoyer 25,000 hommes en Ukraine
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L’armée française se prépare à mourir en Ukraine.
Politico :
Les troupes françaises se préparent à un conflit de haute intensité contre un ennemi qui peut les égaler en puissance de feu – un grand changement pour une armée qui a passé les dernières décennies à mener des campagnes de contre-insurrection dans des endroits comme le Mali et l’Afghanistan. Les hostilités en Ukraine, qui en sont à leur troisième année, ont ramené la guerre à grande échelle sur le continent, a déclaré le colonel Axel Denis, qui dirige le centre d’entraînement au combat (CENTAC) de Mailly-le-camp, dans l’est de la France. « Le monde a révélé sa vraie nature : instable, dangereux, et tout le monde n’est pas un ami. Nous nous préparons à une culture de l’alerte, à être prêts à court terme », a-t-il déclaré à POLITICO lors d’une visite du camp. « Le CENTAC est le seul endroit [en France] où l’on peut voir ce qu’est la guerre. » Les conditions dans lesquelles les troupes s’entraînent au CENTAC sont aussi proches que possible d’un véritable champ de bataille. Le bruit, la chaleur et la lumière des tirs d’artillerie sont reproduits, tandis que de fausses mines sont disséminées un peu partout et que les communications radio peuvent être interrompues sans préavis. Le camp de 120 kilomètres carrés est unique en France. D’une superficie supérieure à celle de Paris, c’est le seul endroit où les différentes unités de l’armée française – infanterie, blindés, artillerie et génie – qui sont normalement dispersées dans tout le pays, peuvent s’exercer ensemble. C’est également le seul endroit où deux douzaines de chars Leclerc sont en action tout au long de l’année. Les officiers ne citent pas d’ennemis potentiels, mais l’entraînement vise à préparer les troupes à combattre un ennemi tel que la Russie.
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Après des décennies d’opérations militaires en Afrique, la France se concentre de plus en plus sur le flanc est de l’Europe – et ses forces armées doivent être crédibles, a déclaré le chef des armées, le général Pierre Schill, en janvier. D’ici 2027, l’armée française souhaite pouvoir déployer une division d’environ 25 000 soldats en 30 jours.
« Nous ne sommes pas dans la même situation que l’Ukraine, mais nous faisons partie d’une coalition, ce qui implique des engagements », a-t-il déclaré. « La notion de crédibilité dans la défense collective, en particulier au sein de l’OTAN, est essentielle.
Avec 25,000 hommes, cette division peut tenir un mois lors d’une offensive générale sur le front ukrainien. Deux en étant généreux.
Dans le scénario conçu pour les stagiaires français, leur objectif est de ralentir leurs ennemis, incarnés par des troupes aguerries stationnées en permanence au CENTAC. La tâche n’est pas aisée. Selon les officiers du CENTAC, la principale leçon à tirer de l’Ukraine est qu’il faut éviter les assauts frontaux qui font beaucoup de victimes et ne parviennent pas à faire reculer l’ennemi. Au contraire, l’infanterie, les blindés, le génie et l’artillerie, intégrés aux nouvelles technologies telles que les drones qui transmettent des informations aux troupes et fournissent une puissance meurtrière sur le champ de bataille, doivent travailler ensemble de manière transparente. « La guerre en Ukraine a renforcé l’importance du combat interarmes. C’est la seule façon de combattre », a déclaré le lieutenant-colonel Vincent, chef du bureau de coordination et d’orientation du camp. Son nom de famille ne peut être divulgué pour des raisons de sécurité.
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Les armées incapables de combiner les chars, l’artillerie et l’infanterie courent un risque énorme, comme l’ont démontré les deux camps en Ukraine.
« Ce qui est dramatique en Ukraine, c’est que vous avez des chars qui agissent seuls – et donc qui n’agissent plus du tout », a déclaré le colonel Axel Denis.
L’incapacité à se coordonner est l’une des raisons pour lesquelles ni l’Ukraine ni la Russie n’ont pu percer les défenses bien préparées qui dominent désormais plus de 1 000 kilomètres de ligne de front.
« Les forces armées russes ne sont pas suffisamment entraînées et dotées de ressources pour les armes combinées », a déclaré l’Association de l’armée américaine. Cela a contraint Moscou à s’appuyer sur des attaques par vagues humaines plutôt que de réaliser des gains rapides.
Mais l’Ukraine n’a pas non plus maîtrisé cette approche, selon Guillaume Ancel, un ancien officier militaire français, ce qui a conduit à l’impasse actuelle.
Les soldats ukrainiens qui suivent une formation dans tout l’Occident apprennent aujourd’hui ces compétences complexes.
Alors que la formation débute, l’ambiance est morose au siège du CENTAC.
Lors d’un point de situation, les officiers annoncent que l’ennemi a réussi à détruire des véhicules blindés, laissant les stagiaires se battre pour la mission avec moins d’équipement.
L’exercice final dure 96 heures. Les soldats dorment en moyenne quatre heures par nuit, généralement dans des véhicules militaires inconfortables. Ils doivent se déplacer toutes les cinq minutes ou faire face à de (fausses) explosions.
« Si leur réaction est inappropriée, il y a une pénalité », explique le colonel Axel Denis. « Il s’agit d’une confrontation physique, mais surtout d’un désir de durer, de se battre, de dominer.
Les stagiaires s’engagent dans la guerre électronique, font face aux défis de la logistique et des menaces chimiques, et doivent prendre des décisions à fort enjeu alors qu’ils manquent de sommeil.
Les soldats apprennent également à travailler avec des cartes plutôt qu’avec des ordinateurs et des téléphones – dans ce que l’on appelle le « mode dégradé » – afin d’être préparés à des situations sur le champ de bataille où les réseaux sont brouillés par leurs adversaires.
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À une époque où tout le monde est constamment hyperconnecté, les formateurs du CENTAC veulent que les troupes soient conscientes des risques liés au fait d’être en ligne. « Les smartphones et les réseaux sociaux sont une véritable menace pour les soldats », explique le lieutenant-colonel Vincent. Les forces ennemies disposent d’outils pour détecter les signaux et tirent des coups d’artillerie sur des sites révélés ; un capitaine a perdu toute son équipe à cause d’un smartphone. Une fois l’entraînement terminé, les soldats recevront une évaluation de leurs performances et une note sur une échelle de 1 à 5. « Nous n’avons jamais donné un cinq », a déclaré le lieutenant-colonel Vincent. Comme le dit la devise de la Légion étrangère française, « entraînement difficile, guerre facile », a-t-il ajouté.
Toute cette affaire n’a aucun sens. Une guerre moderne est la combinaison de la production industrielle et de la volonté de mourir pour la victoire. La base militaro-industrielle française est dérisoire et la volonté des Français de mourir en masse pour une « victoire » en Ukraine est très exactement de zéro.
Ces officiers ne doivent se faire aucune illusion sur l’utilité de leurs 25,000 hommes dans une guerre de cette ampleur. Par ailleurs, cette histoire de maîtrise du « combat interarmes » n’a aucune utilité sans la masse. Manifestement, Macron veut investir, mais de manière ciblée, pour constituer l’avant-garde potentielle d’une offensive ukrainienne dans un secteur du front que cette division devrait percer.
Ce mégalomane rêve de pouvoir s’asseoir à la table des négociations, moyennant un ticket d’entrée de quelques milliers de cadavres français. Cette division a juste la taille de l’investissement nécessaire à ses projets.
Personne n’entre dans une guerre avec si peu de profondeur dans les moyens, le personnel, la mobilisation. Si Macron a de la chance, ça se terminera au mieux comme l’expédition du Mexique.
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theintexp · 7 months
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Kutuzov Prospect by The Internal Expression
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Music by The Internal Expression & Poems by Denis Davydov & Paintings by Peter Von Hess & some episodes from the film War and Peace by Sergey Bondarchuk were used in this video.
The track Kutuzov Prospect is dedicated to the victory of the Russian Army led by Mikhail Kutuzov in the Russian campaign of 1812
I don't want highest awards And dreams of conquest Don't disturb my peace! But if a fierce foe dares to oppose us, My first duty, my sacred duty - Rise up for our homeland again. Denis V. Davydov, Elegy IV
The French invasion of Russia, also known as the Russian campaign (French: Campagne de Russie) and in Russia as the Patriotic War of 1812 (Russian: Оте́чественная война́ 1812 го́да), was initiated by Napoleon with the aim of compelling the Russian Empire to comply with the continental blockade of the United Kingdom. Widely studied, Napoleon’s incursion into Russia stands as a focal point in military history, recognized among the most devastating military endeavors globally. In a span of fewer than six months, the campaign exacted a staggering toll, claiming the lives of nearly a million soldiers and civilians.
On 24 June 1812 and subsequent days, the initial wave of the multinational Grande Armée crossed the Niemen River, marking the entry from the Duchy of Warsaw into Russia. Employing extensive forced marches, Napoleon rapidly advanced his army of nearly half a million individuals through Western Russia, encompassing present-day Belarus, in a bid to dismantle the disparate Russian forces led by Barclay de Tolly and Pyotr Bagration totaling approximately 180,000–220,000 soldiers at that juncture. Despite losing half of his men within six weeks due to extreme weather conditions, diseases and scarcity of provisions, Napoleon emerged victorious in the Battle of Smolensk. However, the Russian Army, now commanded by Mikhail Kutuzov, opted for a strategic retreat, employing attrition warfare against Napoleon compelling the invaders to rely on an inadequate supply system, incapable of sustaining their vast army in the field.
The fierce Battle of Borodino, located 110 kilometres (70 mi) west of Moscow, concluded as a narrow victory for the French although Napoleon was not able to beat the Russian army and Kutuzov could not stop the French. At the Council at Fili Kutuzov made the critical decision not to defend the city but to orchestrate a general withdrawal, prioritizing the preservation of the Russian army. On 14 September, Napoleon and his roughly 100,000-strong army took control of Moscow, only to discover it deserted, and set ablaze by its military governor Fyodor Rostopchin. Remaining in Moscow for five weeks, Napoleon awaited a peace proposal that never materialized. Due to favorable weather conditions, Napoleon delayed his departure, hoping to secure supplies through an alternate route. However, after losing the Battle of Maloyaroslavets he was compelled to retrace his initial path.
As early November arrived, snowfall and frost complicated the retreat. Shortages of food and winter attire for the soldiers and provision for the horses, combined with relentless guerilla warfare from Russian peasants and Cossacks resulted in significant losses. Once again more than half of the soldiers perished on the roadside succumbing to exhaustion, typhus and the unforgiving continental climate. The once-formidable Grande Armée disintegrated into a disordered multitude, leaving the Russians with no alternative but to witness the crumbling state of the invaders.
During the Battle of Krasnoi, Napoleon faced a critical scarcity of cavalry and artillery due to severe snowfall and icy conditions. Employing a strategic maneuver, he deployed the Old Guard against Miloradovich, who obstructed the primary road to Krasny, effectively isolating him from the main army. Davout successfully broke through, Eugene de Beauharnais and Michel Ney were forced to take a detour. Despite the consolidation of several retreating French corps with the main army, by the time they reached the Berezina, Napoleon commanded only around 49,000 troops alongside 40,000 stragglers of little military significance. On 5 December, Napoleon departed from the army at Smorgonie in a sled and returned to Paris. Within a few days, an additional 20,000 people succombed to the bitter cold and diseases carried by lice. Murat and Ney assumed command, pressing forward but leaving over 20,000 men in the hospitals of Vilnius. The remnants of the principal armies, disheartened, crossed the frozen Niemen and the Bug.
Napoleon’s initial force upon entering Russia exceeded 450,000 men, accompanied by over 150,000 horses, approximately 25,000 wagons and nearly 1,400 artillery pieces. However, the surviving count dwindled to a mere 120,000 men (excluding early deserters); signifying a staggering loss of approximately 380,000 lives throughout the campaign, half of which resulted from diseases. This catastrophic outcome shattered Napoleon’s once-untarnished reputation of invincibility. Sources. French invasion of Russia, from Wikipedia, the free encyclopedia
В создании видео Кутузовский проспект использовались: Музыка The Internal Expression Стихи Дениса Давыдова Картины Петера Фон Гесса Эпизоды фильма Война и Мир Сергея Бондарчука
Трек Кутузовский проспект посвящён победе Русской армии во главе с Михаилом Кутузовым в Отечественной войне 1812 года
Не хочу высоких званий, И мечты завоеваний Не тревожат мой покой! Но коль враг ожесточенный Нам дерзнёт противустать, Первый долг мой, долг священный - Вновь за родину восстать. Денис Давыдов, Элегия IV
Оте́чественная война́ 1812 го́да, во французской историографии - Ру́сская кампа́ния 1812 го́да (фр. Campagne de Russie 1812) - военный конфликт между Российской и Первой Французской империей, протекавший на территории России в период с 12 (24) июня до 14 (26) декабря 1812 года. В дореволюционной российской историографии традиционно именовался «нашествием двенадцати языков» (уст. Нашествіе двунадесяти языковъ) в связи с многонациональным составом армии Наполеона.
Причинами войны стали отказ Российской империи активно поддерживать континентальную блокаду, в которой Наполеон видел главное оружие против Великобритании, а также политика Наполеона в отношении европейских государств, проводившаяся без учёта интересов России.
«Масштаб операций в 1812 г. по��ти невероятен,­ а потери - военные и гражданские, французских захватчиков и русских защитников - вызывают содрогание даже сегодня, несмотря на несоизмеримо большие потери в двух последовавших одна за другой мировых войнах в XX в.».
На первом этапе войны (с июня по сентябрь 1812 года) русская армия с боями отступала от границ России до Москвы, дав под Москвой Бородинское сражение.
В начале второго этапа войны (с октября по декабрь 1812 года) наполеоновская армия маневрировала, стремясь уйти на зимние квартиры в неразорённые войной местности, а затем отступала до границ России, преследуемая русской армией, голодом и морозами.
Война закончилась почти полным уничтожением наполеоновской армии, освобождением территории России и переносом военных действий на земли Варшавского герцогства и Германии в 1813 году (см. Война Шестой коалиции). Среди причин поражения армии Наполеона российский историк Н. А. Троицкий называет всенародное участие в войне и героизм русской армии, неготовность французской армии к боевым действиям на больших пространствах и в природно-климатических условиях России, полководческие дарования русского главнокомандующего М. И. Кутузова и других генералов русской армии.
В 1789-1799 годах во Франции произошла Великая французская революция, закончившаяся приходом к власти Наполеона Бонапарта. Реакцией нескольких крупных монархических европейских стран (включая Россию и Великобританию) было создание серии антифранцузских коалиций, изначально ставивших целью восстановление монархии Бурбонов, но позже принявших оборонительный характер в попытке остановить дальнейшее распространение французской экспансии в Европе. Война четвёртой коалиции закончилась для России поражением русских войск в битве под Фридландом 14 июня 1807 года. Император Александр I заключил с Наполеоном Тильзитский мир, по которому обязался присоединиться к континентальной блокаде Великобритании, что противоречило экономическим и политическим интересам России. По мнению русского дворянства и армии, условия мирного договора были унизительны и позорны для страны. Русское правительство использовало Тильзитский договор и последовавшие за ним годы для накопления сил к предстоящей борьбе с Наполеоном.
По итогам Тильзитского мира и Эрфуртского конгресса Россия в 1808 году отобрала у Швеции Финляндию и сделала ряд других территориальных приобретений; Наполеону же развязала руки для покорения всей Европы. Французские войска после ряда аннексий, произведённых главным образом за счёт австрийских владений (см. Война пятой коалиции), придвинулись вплотную к границам Российской империи.
После 1807 года главным и, по сути, единственным врагом Наполеона оставалась Великобритания. Великобритания захватила колонии Франции в Америке и Индии и препятствовала французской торговле. Учитывая, что Англия господствовала на море, единственным реальным оружием Наполеона в борьбе с ней была континентальная блокада, эффективность которой зависела от желания других европейских государств соблюдать санкции. Наполеон настойчиво требовал от Александра I более последовательно осуществлять континентальную блокаду, но наталкивался на нежелание России разрывать отношения со своим главным торговым партнёром.
В 1810 году русское правительство ввело свободную торговлю с нейтральными странами, что позволяло России торговать с Великобританией через посредников, и приняло заградительный тариф, который повышал таможенные ставки, главным образом на ввозившиеся французские товары. Это вызвало негодование французского правительства.
Наполеон не был наследственным монархом и поэтому желал подтвердить легитимность своего коронования через брак с представительницей одного из великих монархических домов Европы. В 1808 году российскому царствующему дому было сделано предложение о браке между Наполеоном и сестрой Александра I великой княжной Екатериной. Предложение было отклонено под предлогом помолвки Екатерины с принцем Саксен-Кобургским. В 1810 году Наполеону было отказано вторично, на этот раз относительно брака с другой великой княжной — 14-летней Анной (впоследствии королевой Нидерландов). В том же году Наполеон женился на принцессе Марии-Луизе Австрийской, дочери императора Австрии Франца II. По мнению историка Е. В. Тарле, «австрийский брак» для Наполеона «был крупнейшим обеспечением тыла, в случае, если придётся снова воевать с Россией». Двойной отказ Наполеону со стороны Александра I и брак Наполеона с австрийской принцессой вызвали кризис доверия в русско-французских отношениях и резко их ухудшили.
В начале 1811 года Россия, опасавшаяся восстановления Польши, стянула несколько дивизий к границам Варшавского герцогства, что было воспринято Наполеоном как военная угроза герцогству.
В 1811 году Наполеон заявил своему послу в Варшаве аббату де Прадту: «Через пять лет я буду владыкой всего мира. Остаётся одна Россия, - я раздавлю её…».
Согласно традиционным представлениям в российской науке, от последствий континентальной блокады, к которой Россия присоединилась по условиям Тильзитского мира 1807 года, страдали русские землевладельцы и купцы и, как следствие, государственные финансы России. Однако ряд исследователей утверждает, что благосостояние основных податных сословий, в числе которых были купечество и крестьянство, не претерпело существенных изменений в период блокады. Об этом, в частности, можно судить по динамике недоимок по платежам в бюджет, которая показывает, что эти сословия даже нашли возможность выплачивать в рассматриваемый период повышенные налоги. Эти же авторы утверждают, что ограничение ввоза иностранных товаров стимулировало развитие российской промышленности. Снижение таможенных сборов, наблюдавшееся в период блокады, не имело большого влияния на российский бюджет, поскольку пошлины не являлись его существенной статьёй, и даже в момент достижения своей максимальной величины в 1803 году, когда они составили 13,1 млн руб., на их долю приходилось всего 12,9 % доходов бюджета. Поэтому, согласно этой точке зрения, континентальная блокада Англии была для Александра I только поводом к разрыву отношений с Францией.
В 1807 году из польских земель, входивших, согласно второму и третьему разделам Польши, в состав Пруссии и Австрии, Наполеон создал Великое герцогство Варшавское. Наполеон поддерживал мечты Варшавского герцогства воссоздать независ��мую Польшу до границ бывшей Речи Посполитой, что было возможно сделать только после отторжения от России части её территории. В 1810 году Наполеон отобрал владения у герцога Ольденбургского, родственника Александра I, что вызвало негодование в Петербурге. Александр I требовал передать Варшавское герцогство как компенсацию за отнятые владения герцогу Ольденбургскому или ликвидировать его как самостоятельное образование.
Вопреки условиям Тильзитского соглашения, Наполеон продолжал оккупировать своими войсками территорию Пруссии, Александр I требовал вывести их оттуда.
С конца 1810 года в европейских дипломатических кругах стали обсуждать грядущую войну между Французской и Российской империями. На дипломатическом приёме 15 августа 1811 года Наполеон гневно высказал в адрес России ряд угроз русскому послу в Париже князю Куракину, после чего в Европе уже никто не сомневался в близкой войне Франции и России. К осени 1811 года российский посол в Париже князь Куракин докладывал в Санкт-Петербург о признаках неизбежной войны. Источник. Отечественная война 1812 года из Википедии - свободной энциклопедии.
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bruxellescity · 3 hours
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Les Mages de Bonaparte
Napoléon et boules de feu Les campagnes napoléoniennes sont bien différentes alors que la magie remplace la technologie. Les mamelouks sont épaulés par des momies lors de la bataille des pyramides, les golems défendent Prague, la Baba Yaga rôde en Russie et Bonaparte utilise de puissants mages à la place de son artillerie. Suite au congrès d’Erfurt, une paix fragile règne sur l’Europe – mais de…
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guyclement · 4 days
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URBEX Guy Clément DEUTSCHLAND | JÜTERBOG | EXPLORING A HAUNTED MILITARY ... - N'hésites pas à t'abonner à ma chaîne et activer les notifications 🔔pour être informé de mes prochaines explorations et découvertes! Feel free to subscribe my channel and activate notifications 🔔to be aware about my next explorations and discoveries! Une exploration en Allemagne dans la ville de Jüterbog, qui était l'une des villes de garnison militaire les plus importantes de l'Empire allemand de l'Allemagne nazie à l'Union soviétique. Explorons les casernes de Tauentzienstrasse et de Tauentzienstrasse ou résidaient, l'école de tir d'artillerie de campagne et d'artillerie à pied. La caserne est construite de 1890 à 1902 lors de son transfère de Spandau à Jüterbog.La plupart des officiers de l’artillerie sont formé dans cette école.De 1945 à 1994, l'école d'artillerie est utilisée par l'Armée rouge.30 000 soldats soviétiques y résidaient jusqu’en 1994. An exploration in Germany in the town of Jüterbog, which was one of the most important military garrison towns of the German Empire from Nazi Germany to the Soviet Union. Let's explore the Tauentzienstrasse and Tauentzienstrasse barracks where the field artillery and foot artillery shooting school resided. The barracks were built from 1890 to 1902 when they were transferred from Spandau to Jüterbog. Most of the artillery officers were trained in this school. From 1945 to 1994, the artillery school was used by the Red Army. 30,000 Soviet soldiers resided there until 1994. Eine Erkundung in Deutschland in der Stadt Jüterbog, die von Nazi-Deutschland bis zur Sowjetunion eine der wichtigsten militärischen Garnisonsstädte des Deutschen Reiches war. Erkunden wir die Tauentzienstraße und die Tauentzienstraßen-Kaserne, in der sich die Feldartillerie- und Fußartillerie-Schießschule befand. Die Kaserne wurde von 1890 bis 1902 erbaut und anschließend von Spandau nach Jüterbog verlegt. In dieser Schule wurden die meisten Artillerieoffiziere ausgebildet. Von 1945 bis 1994 wurde die Artillerieschule von der Roten Armee genutzt. Bis 1994 lebten dort 30.000 sowjetische Soldaten. Una exploración en Alemania en la ciudad de Jüterbog, que fue una de las ciudades guarniciones militares más importantes del Imperio Alemán desde la Alemania nazi hasta la Unión Soviética. Exploremos los cuarteles de Tauentzienstraße y Tauentzienstraße donde se encontraba la escuela de tiro de artillería de campaña y de artillería a pie. Los cuarteles se construyeron entre 1890 y 1902, cuando fueron trasladados de Spandau a Jüterbog. En esta escuela se formó la mayoría de los oficiales de artillería. De 1945 a 1994, la escuela de artillería fue utilizada por el Ejército Rojo. Hasta 1994 residieron allí 30.000 soldados soviéticos Uma exploração na Alemanha, na cidade de Jüterbog, que foi uma das mais importantes cidades de guarnição militar do Império Alemão, desde a Alemanha nazista até a União Soviética. Vamos explorar os quartéis Tauentzienstrasse e Tauentzienstrasse, onde residiam a escola de artilharia de campanha e de tiro de artilharia a pé. Os quartéis foram construídos de 1890 a 1902, quando foram transferidos de Spandau para Jüterbog. A maioria dos oficiais de artilharia foi treinada nesta escola. De 1945 a 1994, a escola de artilharia foi usada pelo Exército Vermelho. 30.000 soldados soviéticos residiram lá até 1994. Eksploracja w Niemczech w miejscowości Jüterbog, która była jednym z najważniejszych wojskowych miast garnizonowych Cesarstwa Niemieckiego od Niemiec nazistowskich po Związek Radziecki. Zbadajmy koszary Tauentzienstrasse i Tauentzienstrasse, w których mieściła się szkoła strzelectwa artylerii polowej i artylerii pieszej. Koszary budowano w latach 1890-1902, kiedy to przeniesiono je ze Spandau do Jüterbog. W tej szkole szkoliła się większość oficerów artylerii. W latach 1945-1994 szkoła artylerii była używana przez Armię Czerwoną. Do 1994 roku przebywało w niej 30 000 żołnierzy radzieckich. Исследование в Германии в городе Ютербог, который был одним из важнейших военных гарнизонных городов Германской империи от нацистской Германии до Советского Союза. Давайте осмотрим казармы Тауэнциенштрассе и Тауэнциенштрассе, где располагалась стрелковая школа полевой артиллерии и пешей артиллерии. Казармы были построены с 1890 по 1902 год, когда их перевели из Шпандау в Ютербог. В этой школе обучалось большинство артиллерийских офицеров. С 1945 по 1994 год артиллерийское училище использовалось Красной Армией. До 1994 года в нем проживало 30 000 советских солдат. Retrouvez-moi sur les réseaux / Follow me for daily content: 👍 Facebook:  Urbex Guy Clement  https://www.facebook.com/profile.php?.. .👉 Youtube  URBEX Guy Clément  https://www.youtube.com/channel/UCNhQ... 📸 Instagram:  @abandoned.urbex.world  https://www.instagram.com/abandoned.u.. . 🎵TikTok: @urbexguyclement https://www.tiktok.com/@urbexguycleme.. .🐦Twitter: @GuyPellegrin https://twitter.com/GuyPellegrin   #lostplace #amazing #urbex
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northernmariette · 3 years
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Happy birthday Maréchal Grouchy!
255 years young today.
Just to start on the right note, Grouchy was not, you know, grouch-y. The name is pronounced Groo-shee.
I confess I don’t know much about this Marshal. Except for Poniatowski, a Polish prince, he surely was the highest ranking member of the nobility among Napoleon’s Marshal: a marquis, which I believe is the equivalent of an earl. He was born in Paris, but the family seat was in Normandy; as far as I know, none of the other Marshals came from that area of France. He was also the last of Napoleon’s men to be raised to the Marshalate, and the only one to whom this rank was conferred during the Hundred Days. So his life story is somewhat unlike that of the other Marshals’. On the other hand, all these men had such different lives!
But about Grouchy as a person, by which I mean when it comes to a psychological portrait, I don’t know anything about him unfortunately.
Here is part of what historian Jean Tulard has to say about Grouchy in his Dictionnaire amoureux de Napoléon:
Les historiens n'ont pas été tendres avec Grouchy. Peut-être méritait-il mieux.
Noble, cultivé (sa soeur épousa Condorcet), ancien élève de l'Ecole d'artillerie de Strasbourg, il fut un cavalier accompli, digne de Murat ou Lasalle. Il a souffert un temps d'avoir servi sous Moreau à Hohenlinden et d'avoir défendu ce dernier en 1804. Bonaparte lui en tint rancune. Mais il avait besoin d'hommes de sa valeur. Le général Grouchy est à Iéna, en Espagne comme gouverneur de Madrid, à Wagram, à Borodino. Il combat avec fougue lors de la campagne de France avant d'être grièvement blessé.
Il se rallie à Napoléon lors des Cent-Jours et devient maréchal. Hélas ! Il ne parvient pas à contenir Blücher alors que Ney charge vainement les carrés anglais. Du moins réussira-t-il un repli qui laisse son armée de 30 000 hommes intacte.
Proscrit, il fuit en Amérique et ne reviendra qu'en 1821 pour finir à la Chambre des pairs ayant récupéré son titre de maréchal que lui avait retiré Louis XVIII.
On a publié les mémoires du maréchal de Grouchy, mais il s'agit d'une compilation de ses papiers (ordres, lettres) classés chronologiquement et commentés par un texte malheureusement hagiographique. Sa vie reste à écrire.
Historians have not been kind to Grouchy. Perhaps he deserves better.
Noble, cultivated (his sister married Condorcet), a former student of the Strasbourg Artillery School, he was an accomplished cavalryman, worthy of Murat or Lasalle. He suffered some disgrace for a while for having served under Moreau at Hohenlinden and for having defended him in 1804. Bonaparte held a grudge against him for it. But he needed men of his worth. General Grouchy was at Jena, in Spain as governor of Madrid, at Wagram, at Borodino. He fought spiritedly during the French campaign [of 1814] before being grievously wounded.
He rejoined Napoleon during the Hundred Days and became Marshal. Unfortunately, he did not succeed in containing Blücher while Ney vainly led his charges against British formations. At least he succeeded in a retreat that left his army of 30,000 men intact.
He was proscribed and fled to America, not returning to France until 1821, where he joined the Chamber of Peers, having recovered the title of Marshal that Louis XVIII had taken away from him.
The memoirs of Marshal de Grouchy have been published, but in reality they are a compilation of his papers (orders, letters), arranged chronologically, and commented on in an unfortunately hagiographic style. His biography has yet to be written.
Jean Tulard, Dictionnaire amoureux de Napoléon. Plon, 2012.
Tulard doesn't comment much about what is is that historians haven't been kind to Grouchy about, namely his reported inaction at Waterloo. In Grouchy's defense, Napoleon did not like for his marshals to act with any kind of independence, and as far as I know the problem was that Grouchy stuck to his orders when it would have been more useful for him not to do so. Whether Napoleon would have prevailed even after a victory at Waterloo is not certain anyway, but I will not argue one way or the other about what Grouchy ought to have done and the reasons for his behaviour, as I don't know enough about Waterloo to give an opinion.
I tried to read Grouchy's memoirs, but it would take a more zealous Napoleonic amateur than myself to plow through them. The little I read was not exactly spellbinding. The one thing that sticks in my mind is how ancient Grouchy's family was, being mentioned in documents as early as the 800s, a thousand years before Napoleon's time.
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joachimnapoleon · 4 years
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“My position is quite critical”
Two letters from Eugène de Beauharnais, son-in-law of Napoleon and Viceroy of Italy, to Marshal Berthier, intercepted by the Russians during the 1812 campaign. 
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The editor writes:
The two letters from Prince Eugène were communicated in copy by Emperor Alexander to Bernadotte to "give him an idea" as to how "the French army is reduced to the saddest state.”
***
To M. the Prince of Neuchâtel [Berthier], Major General Crossing of the Vop, 8 November 1812
I address, attached, to Your Highness a letter I wrote him yesterday, but which did not reach him, the officer who was carrying it having been lost by his guide. Your Highness will be surprised to find out I am still only on the Vop. Nonetheless, I left Zazelé at 5 o'clock, but the road is so split by ravines that it took incredible efforts to get myself here. It is with sorrow that I see myself in the necessity of confessing to him the sacrifices we have made to accelerate our march.
These three days have cost two-thirds of the corps' artillery; yesterday, around 400 horses died, and today perhaps double that many have perished, not including the great quantity of horses I had added via the military and private equipages; entire teams perish at the same time; several have been renewed up to three times.
Today, the corps has not been disturbed in its march; only several Cossacks without artillery were seen, which didn't seem natural, and, if we are to believe the report of our voltigeurs sent to maraud, it would follow that a column of infantry, artillery, and cavalry are following the same direction as us, which is to say towards Doukhovtchina, where I expect to be tomorrow, if the enemy doesn't pose me a serious resistance, because I must not hide it from Your Highness, these three days of suffering have so beaten down the soldier's spirit that I believe him at this moment very unlikely to make much effort. Many men are dead of hunger or of cold, and others in despair have let themselves be taken by the enemy.
Eugène Napoléon
***
To M. the Prince of Neuchâtel, Major General [Undated]
I have the honor to report to Your Highness that I put myself on the move this morning at 4 o'clock, but the difficulties of the terrain and the ice presented so many obstacles to the march of my corps that only the head was able to arrive here at 6 o'clock in the evening and the tail was only able to take positions as near as two leagues to the rear.
From 2 to 5 o'clock, the enemy presented itself on my right. He attacked, almost at the same time, the head, the center, and the tail with artillery, Cossacks, and dragoons. At the head, he found a gap which he profited by to make a hurrah and remove two regimental pieces which were in a very steep gradient and far away from their escort. The 9th Regiment came running, but the pieces were still taken.
On the rearguard, the enemy had fired with four pieces of cannon, and General Ornano believes without affirming it, that he saw infantry at each of the other two points: he had two pieces. Your Highness will easily judge how, hindered by my large equipages that were returned to me, and by a large artillery of which 400 horses have died today, my position is quite critical; nevertheless, I will continue my movement tomorrow very early in the morning in order to arrive at Pologhi; from there I will send for news and, according to what they tell me, I will determine to go to Doukhovtchina or Kroutoé.
I must not lie to Your Highness, that after having employed all means, I see myself now in the impossibility of dragging my artillery and that you must expect, in this respect, very great sacrifices. As of today, several pieces have been spiked and buried.
Eugène Napoléon
***
Source: Léon Hennet & E. Martin, Lettres interceptées par les Russes durant le campagne de 1812, 1913.
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doubletamponne · 4 years
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Au Ministre de la Guerre
Naples, 1er janvier 1807
Monseigneur,
Après une campagne pénible dans la Calabre, je me trouve à Naples sans rien faire, parce qu’il n’y a rien à y faire. Cette oisiveté, jointe à la mollesse du climat, détruit ma santé. Je suis malade, Monseigneur, et je ne puis me rétablir à moins que Votre Excellence ne daigne me tirer d’ici. Les médecins tous d’une voix assurent qu’il faut pour me guérir un air moins tiède que celui-ci et une vie plus active. Je vous supplie donc, Monseigneur, si cela peut s’accorder avec le bien du service, de me faire passer à la Grande armée.
Salut et respect
Courier Chef d’escadron au 1er régiment d’artillerie à cheval
Naples, January 1st 1807
Monseigneur,
After a painful campaign in Calabria, I find myself in Naples doing nothing, because there is nothing to do. This idleness, along with the languid climate, is destroying my health. I am sick, Monseigneur, and I cannot recover unless Your Excellency deigns to pull me out of here. Doctors are unanimous in saying that my healing requires a less lukewarm air and a more active lifestyle. I beg you, Monseigneur, if this is compatible with the army’s interests, to reassign me to the Grande Armée.
Greetings and respect
Courier Chef d’escadron in the 1st Horse Artillery regiment
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histoireettralala · 4 years
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“[...] Ney était plus populaire encore. Lui qu’on décorait de surnoms farouches: le Rougeaud, ou Michel le Rouge, ou encore le Lion Rouge, à cause de sa crinière flamboyante, il n’était terrible que dans la mêlée; sa bonhomie, sa simplicité, son étrange indulgence pour les poltrons étaient connues de toute l’armée. Il semblait n’avoir jamais peur et pourtant nul ne comprenait mieux qu’on pût avoir peur. Au plus dur des campagnes, il couchait sur la planche et partageait les menus de fortune de ses officiers. Il était toujours prêt à faire le premier ce qu’il avait le devoir d’exiger des autres. Le soir d’Eylau, comme on escomptait pour le lendemain une seconde bataille, il exhortait les plus fatigués à se bien reposer pour mieux combattre ensuite. “S’il le faut, disait-il, je mettrai pied à terre, le sabre à la main, et j’espère qu’on me suivra.” Il l’eût fait, mais au lever du jour on vit que les Russes avaient décampé. A l’encontre de Lefebvre, de Davout et de bien d’autres, il avait renoncé au ton injurieux que beaucoup croyaient nécessaire pour obtenir l’obéissance. A Redinha, il observe un faux mouvement de l’artillerie et dit brusquement au général Charbonnel qui la commandait: “Oh! f... général, que fait donc votre artillerie ?” Mais aussitôt, il réprime sa colère et s’excuse: “Ah! pardon! je m’emporte.” Pendant la campagne de Russie, il rencontre, au fort d’une action, un général réputé pour sa pusillanimité, qui se retire parce qu’un boulet a écorné son chapeau. Ney sourit et demande: “Etes-vous blessé ?- Non, je ne crois pas, balbutie le fuyard. - En ce cas, retournez à votre brigade, et après la bataille, vous retrouverez sans peine une autre coiffure.” Une autre fois, son aide-de-camp Clouet lui rapporte une scène mi-comique, mi-odieuse qu’il vient d’avoir avec un général peu soucieux d’exposer sa vie dans une très chaude bagarre. Comme Clouet apportait de la part du maréchal l’ordre de charger, le couard a cherché à gagner du temps en engageant une conversation mondaine: “Vous souvenez-vous, dit-il, de l’excellente musique que nous exécutions chez la comtesse Merlin ?- Mon général, répondit le brave Clouet, il ne s’agit pas de filer des sons, mais de faire filer l’ennemi.” La charge partit enfin, mais si lentement qu’elle arriva trop tard. A ce récit, Ney reste calme, et, au lieu de l’explosion attendue, il laisse tomber, “sur un ton de compatissante bonhomie”, ces mots désabusés: “Que voulez-vous, mon cher, les hommes ont leurs mauvais moments.”
S’il trouvait des excuses à ceux qui ne savaient pas maîtriser leur frayeur et qui ne s’en cachaient pas, le maréchal détestait par contre les fanfarons. Il lui arriva de donner de rudes leçons. Un bretteur renommé, grand amateur de duels où son entraînement lui donnait une facile supériorité, avait une fois tourné le dos à une batterie ennemie qu’il était chargé d’enlever. Le soir, Ney le retrouve paradant devant ses camarades. “Monsieur, lui dit-il, depuis que j’existe, j’ai vu bien des poltrons; je n’en ai point rencontré d’aussi plats que vous.” Ainsi, loin d’encourager la lâcheté, le maréchal savait à propos la cingler d’un mot dur.”
Louis Chardigny, Les Maréchaux de Napoléon, Bibliothèque Napoléonienne, P. 245-246.
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“[...] Ney was even more popular. He who was adorned with fierce nicknames: the Rougeaud, or Michel le Rouge, or even the Lion Rouge, because of his flamboyant mane, he was only terrifying in the fray; his bonhomie, his simplicity, his strange indulgence for scaredy-cats was known to the whole army. He seemed never to be afraid and yet no one understood better that one could be afraid. At the height of the campaign, he slept rough and shared his officers' makeshift menus. He was always ready to do first what he had to demand from others. The evening of Eylau, as a second battle was expected for the following day, he urged the most tired to rest well in order to fight better afterwards. "If necessary," he said, "I will dismount, saber in hand, and I hope that someone will follow me." He would have done it, but at daybreak they saw that the Russians had cleared off. Unlike Lefebvre, Davout and many others, he had given up the offensive tone that many believed was necessary to obtain obedience. At Redinha, he observes a false artillery movement and suddenly tells General Charbonnel who commanded it: “Oh! f ... general, what is your artillery doing? ” But immediately he controls his anger and apologizes: “Ah! sorry! I'm losing my temper." During the Russian campaign, he meets, in the heat of an action, a general known for his pusillanimity, who withdraws because a ball has chipped the corner of his hat. Ney smiles and asks, “Are you hurt?” “No, I don't think so,” stammers the fugitive. - In that case, go back to your brigade, and after the battle, you will easily find another hat. ” Another time, his aide-de-camp Clouet reports to him a half-comic, half-odious scene he has just had with a general who cares little about exposing his life in a very hot fight. As Clouet brought the order from the marshal to charge, the coward tried to save time by engaging in a social conversation: “Do you remember, he says, the excellent music that was performed at Countess Merlin's ?"-"General," replied the brave Clouet, "this is not about dashing sounds, but about making the enemy dash off." The charge finally departed, but so slowly that it arrived too late. At this tale, Ney remains calm, and, instead of the expected explosion, he drops, “in a tone of compassionate bonhomie”, these disillusioned words: “What do you want, my dear, men have their bad times. ”
If he found excuses for those who did not know how to control their fright and who did not hide it, the marshal, on the other hand, hated braggarts. He sometimes gave impressive lessons. A renowned swordsman, a great lover of duels where his training gave him easy superiority, had once turned his back on an enemy battery which was his responsibility to take. In the evening, Ney finds him parading in front of his comrades. "Sir," Ney tells him, "since I was born, I have seen many cowards; I have never come across a sorrier one than you." Thus, far from encouraging cowardice, the marshal knew when to aptly lash out at it with a harsh word. ”
Sources contemporaines:
Souvenirs militaires de 1804 à 1814, François-Xavier de Montesquiou-Fezensac
Le Maréchal Ney, Charles-A.-François Huchet de La Bédoyère
Souvenirs [..], Colonel Hubert-François Biot
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carbone14 · 1 year
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Canon de campagne de 140 mm Mark III de la section A de la 12e Batterie du 7th Medium Regiment (Royal Canadian Artillery) ouvre le feu sur des positions allemandes dans le secteur de Bretteville-le-Rabet – Bataille de Caen – Opération Totalize – Bataille de Normandie – 16 août 1944
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microcosme11 · 4 years
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Murat absolutely calm under fire
Le 4 octobre, pendant la campagne de Russie, sur la route de Kalouga, attaqué par l'artillerie de Kutusof, il prend place au milieu des batteries françaises, et monté sur un cheval fougueux qui bondit à chaque obus éclatant auprès de lui, il décach��te une dépêche qui lui est adressée et la lit tranquillement. Puis , prenant son carnet dans sa poche, il déchire une feuille et écrit la réponse, au milieu des balles qui pleuvent autour de lui, des boulets de canon, des obus qui se croisent sur sa tête et des bonds de son cheval. Sa cavalerie le contemplait, frémissante d'impatience, mais électrisée par son magnifique sang-froid. Il ne lui donna le signal de la charge que quand il eut posément achevé d'écrire et de plier son billet. Elle culbuta les Russes d'un seul bond.
* * *
On October 4, during the Russian campaign, on the road to Kalouga, attacked by the artillery of Kutusov, he took his place in the middle of the French batteries, and mounted on a fiery horse which leapt with each shell bursting near him, he unseals a dispatch addressed to him and reads it quietly. Then, taking his notebook from his pocket, he tears a sheet of paper and writes the answer, in the midst of the bullets which rain around him, the cannonballs, the shells which cross over his head and the leaps of his horse. His cavalry stared at him, trembling with impatience, but electrified by his magnificent composure. He didn't give the signal to charge until he had calmly finished writing and folding his note. He knocked over the Russians with a single leap.
— Dominique Larrey et les campagnes de la révolution et de l'empire 1768-1842 by Paul Triaire (this was a footnote; book is on babel.hathitrust.org)
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furiefrancaise · 5 years
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⚜️Maréchal BUGEAUD🇫🇷 °**°**°**°**°**°**°**°**°**°**°** Caporal à Austerlitz en 1805 Maréchal de France en 1843
Issu d'une famille de noble désargentée du Périgord Thomas Robert Bugeaud nait le 15 Octobre 1784 à limoges. 1793 durant la Terreur, ses parents sont emprisonnés et ses frères ainés doivent s'exiler. Ces événements durcissent très tôt son caractère.
1804, l'Empire a rétabli l'ordre et Bugeaud s'engage dans les vélites(volontaire provenant de milieu aisé) dans les grenadiers à pied de la garde impériale.
Le 2 décembre 1805 il est à Austerlitz. Sa bravoure sur le plateau de Pratzen lui vaut d’être nommé caporal après la victoire. Il participe ensuite aux campagnes de Prusse et de Pologne où il est promu sous-lieutenant. Toujours au plus fort des combat il est blessé à la bataille de Pultusk en 1806. Il est envoyé en Espagne en 1808, il se montre avec éclat aux sièges de Lérida et de Tarragone puis est promu capitaine au second siège de Saragosse.
Durant plusieurs années il fait face au guérilleros espagnols et se forme aux techniques de contre guérilla. Il devient lieutenant-colonel après la bataille du col d'Ordal, où,  avec un seul bataillon il met en déroute un régiment complet de Britanniques. Lors des « cent jours » il repart auprès de l’Empereur et est chargé de défendre la frontière des alpes contre les armées Autrichiennes.
Prés d'Albertville, à la vue des Autrichiens il déclarera  « Amis! Nous sommes 1700 chasseurs contre 10000 lapins, la proportion est excellente et la chasse sera bonne ».
Grâce à une remarquable maîtrise tactique il feint une retraite et attire l'ennemi sur un pont bien défendu et fait battre en retraite les Autrichiens . Pour avoir suivi l'empereur il est licencié de l'armée et se retire dans le Périgord où, passionné par l'agriculture, il s'attache à améliorer l'exploitation et le rendement de ses terres.
Il entre en politique et se fait remarquer pour son franc parler envers l'opposition libérale. Il est alors réintégré dans l'armée par le roi Louis Philippe avec le grade de général.
Attaqué verbalement par un député qui l'accuse d’être le tortionnaire de la comtesse du Berry il lave l'affront au cour d'un duel qui coûtera la vie à l'accusateur.
Après avoir réprimé des révoltes dans Paris il reçoit pour mission de pacifier l'Algérie et d'accélérer sa colonisation. L'Algérie est en proie à une révolte de masse sous le commandement du fameux émir Abd al Kader. Il débarque à Alger en février 1841.
Paradoxalement il est peu favorable à l'extension de la conquête car il estime que « ce sera une possession onéreuse dont la nation serait bien aise d’être débarrassée. »
Mettant à profit son expérience de la guerre d’Espagne, Bugeaud procède à un changement tactique radical par rapport à ses prédécesseurs. Il allège l'équipement des soldats, crée des régiments d'infanterie montée et n'utilise plus qu'une artillerie légère facilement transportable. Il organise ses troupes en colonnes très mobiles pour lancer des raids, pourchassant incessamment l'ennemi et incendiant les villages insoumis.
Craignant plus que tout l’enlisement de la guerre comme en Espagne il cautionne même les enfumages de grottes où sont cachés les rebelles.
Lorsque la chambre des députés lui reprochera ces procédés, il répondra :  « messieurs les philanthropes, le respect de vos règles humanitaires fera que la guerre en Afrique se prolongera indéfiniment... ». Car ce conflit est particulièrement violent et l'émir se montre très cruel envers ses adversaires, civils ou militaires, Algériens ou Français.
Pour autant, se crée un véritable respect entre ces deux armées, soldats français à la discipline de fer et cavaliers arabes à l'agilité et l'endurance exceptionnelle. Bugeaud déclare même : « Abd al Kader est un homme de génie que l'histoire doit mettre à coté de jugurtha ». Quand à Abd al Kader il répondra : « il me faudrait 100 ans pour avoir une armée telle qu'a formé Bugeaud ».
En mai 1843 Bugeaud lance une colonne dirigé par le duc d'Aumale afin de prendre la smala d'Abd al Kader, véritable capitale itinérante forte de 40000 personnes. Ressuscitant la FURIA FRANCESE de ses lointains ancêtres, le duc s'élance à la tête de sa cavalerie sans attendre l'infanterie. Les 5000 défenseurs du camp se font sabrer par dizaines par les cavaliers français tourbillonnant au milieu des balles sifflantes. Au terme de cette chevauchée, les français ont perdus une vingtaine d'hommes. L'armée arabe compte 400 morts et plus de 4000 prisonniers.
Abd al Kader se réfugie alors au Maroc. Avec le sultan du maroc il décide d'attaquer les français, Bugeaud préférant les devancer franchit alors la frontière à la tête de 11000 hommes sans autorisation des chambres. S'ensuit la bataille d'Isly où l'armée française met en déroute la coalition qui est pourtant en surnombre conséquent. A la fin de la bataille, les français ont perdus 27 hommes contre 800 chez les coalisés…
Suite à cette retentissante victoire, le « caporal d'Austerlitz » est fait Duc d'Isly par Louis Philippe. La puissance d'Abd al Kader est définitivement brisée, il doit finalement se résoudre à la reddition en 1847.
Bugeaud a accompli sa mission. Mais ses méthodes lui valent pourtant d’être poussé à la démission et il doit regagner le France.  Pourtant son travail n'a pas été uniquement militaire, fidèle à sa devise « par l'épée et par la charrue », il met en valeur l'Algérie par la construction de routes, le défrichement des terres , l'assèchement des marais… De nombreux vétérans de ses armées obtiennent une terre à exploiter, il dit d'ailleurs :  « Elle seule détruit, elle seule peut édifier ». Il crée  aussi les bureaux arabes afin de rendre une justice impartiale basé sur la connaissance des coutumes locales, la république abandonnera cette institution 30 ans plus tard.
1848, sous l'impulsion des libéraux et des républicains, le peuple de paris se soulève contre la monarchie. Bugeaud se voit confier l'armée et annonce la couleur à ses troupes « Votre commandant n'a jamais été battu, que ce soit sur le champ de bataille ou dans les insurrections ». Mais Louis Philippe prend peur et le remplace considérant que, à cette nouvelle le peuple s'apaisera. Bugeaud aurait alors déclaré au roi, « Votre majesté est foutue.. » avant de démissionner.
Il avait vu juste car le roi abdiquera et la république est proclamée. Les conservateurs pensent alors à Bugeaud pour se présenter aux élections présidentielles, mais celui ci se désiste au profit de Louis Napoléon Bonaparte. Thomas-Robert Bugeaud est emporté par le choléra en 1849.
Cet homme d'action au caractère pragmatique vécut durant une période politiquement très instable, il s’accommoda des différents régimes, toujours animés d'un seul but : être utile à la France. *°°*°°*°°*°°*°°*°°*°°*
Portrait par Charles Philippe Larivière.
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whatdoesshedotothem · 2 years
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Monday 26 August 1833
5 ¼
11 20
at my desk at 6 ½  – fine morning and F63 ½° at 6 ½ am – breakfast at 8 in ½ hour – then at accounts again – money and all right down to this morning – Miss Ferrall went out at 8 ½ in a gig and pair [of horses] to see her cousin Mrs. Humfrey (Captain Humfrey of the artillery) just occurs to me the N-s met with these very people in their French tour last autumn – if so, he under a shade according to Mrs. Schalch who could hardly fail to know and would not be unjust – his mother (and father?) vulgar people were with them – took a valet de place and Eugénie and went out myself at 9 40 - to the bank of Mr. Henry Kehrmann – very civil – changed £25 circular no. 2093 into Ecus de Prusse et de Brabant – exchange 6 Thalers 73 cents per pound sterling = 166 thalers 20 silb. gr. of which 62 Ecus de Brabant and 104 thalers 20 silb. groschen – recommended me to the poste at Limburg the Lord [?] very brave homme – 10gr. par meile quite enough for the postilions saw by the paper there that [?] [?] (Sir Edward and family) were among the recent arrivals at Ecus – then down to the river – then to the top of the cathedral 54 steps and 5 or 6 ladders for the view – the Moselle distinguishable for some distance by the redness of its waters fall into the Rheine (whiter) opposite Ehrenbreitstein – interior of cathedral very neat – pillars and all below painted white the rest whitewashed – nave arcaded with sort of plain Corinthian capitals to the columns – roof groiend – the 4 pictures in the choeur by Zick of Ehrenbreitstein very fair, but the best picture a copy of Vandyck (reduced I should think one ½) of the famous descent from the Cross at Antwerp by Rubens – tomb of the emperor Conrad who built the church – opposite the west end, is the fountain surmounted by sort of obelisk, on which written ‘Au 1812 memorable par la campagne contre les Russes sous le prefectures de Jules Doazan. Vee et approuvé par nous commandant Russe de la ville de Coblents le 1er. Janvier 1814’ Just looked round the exterior of the church of St. Marie a part said to have been built St. Helène – old looking but plain and did not observe any traces of that time of St. Helène – home at 11 ¼ - paid all – very well satisfied - good rooms excellent dinner and living – will go there again if in Coblentz [Koblentz] not in the best parts of the town but clean and comfortable – hotel d’Angelterre on the river (left bank) and the cheval blanc close to the bridge on the opposite (right) side look clean and good – 37 boats form the bridge, 3 of
SH:7/ML/E/16/0101
which open – bridge about 30ft. wide – river here 150ft. wide – Steamer just leaving for Mayence – 3 carriages (calêches) on board – beautiful view from the bridge towards Mayence – Coblentz [Koblentz] 11,000 inhabitants good shops, good town but narrow streets – back at the hotel at 11 ¼ - paid all and off at 11 25 – capital English-like road – beautifully wooded hill and dale, oak beech and birch, chiefly beech – then fine corn land – good wheat and oats – then drove long way thro’ wood chiefly lime corn housed, but a great deal (oats chiefly) to cut – men sitting breaking stones (black lime street?) very fine, with little hammers, for the road à la McAdam – beautiful drive – no vines from after Coblentz [Koblentz] – only one village, and that near Coblentz [Koblentz], on our road to Montabaeur, nice little town (goodish church) commanded by inhabited houselike castle or schloss – gable-ended windows, and picturesque old town – here paid the poste in florins and Kreutzer, the 1st time, and wrote my name in the register book for strangers at the poste – whence come, where going – In wood, ¼ hour from the town, observed my coll willows growing wild – villages corn-fields woods – charming country – observed 2 milk cow dragging a plough – autumn tints brown, today than any time before – great many apple, pear, and cherry trees all today – descend thro’ avenue of them to Limburg finely placed on the declivity of a hill and commanded by its fine old (built in 900 and odd) rock-founded 5 towered-church   at Trèves and afterwards (in the valley of the moselle) the caps of the pleasant woman like casquettes - yesterday, lastly and today women or rather chiefly girls with their hair pleated from before, and securities behind with a large silver pin like a blunt long knife-blade - the roads along would be very [excellent] if the duchess de Nassan be there - can get nothing while she is here  - villages straw-thatched - towns roofed with shingle – 6? arched handsome stone bridge over the Lahn - so long cause the river having formed an island, the 2 branches join again and have a fine breadth of water - otherwise the Lahn here not better not so good at this moment as the Calder at Salterhebble - then very near Limburg (right) is the curious conical mountain covered with large boulders - the people walk there always at Paques, and break eggs to see if the whites will shew- then whether they are to marry or not - at Limburg la poste at 5 47 - out at 5 55 with Mademoiselle Ferrall - went to the cathedral very old – very narrow streets – about 3,000 inhabitants – much passing to and from the baths in summer – came in at 7 ¼ - dinner at 7 ½ - Mademoiselle F- went to her room at 9 ½ - till 10 ½ wrote the above of today – very fine day – beautiful afternoon and evening F62° now at 10 35 p.m. -
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benjaminnat · 3 years
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Inverness
 Une découverte à Inverness
Inverness était les fonds des Pictes sous le règne de Brude, qui avaient été visités et modifiés par Saint. Columba vers 565. Au 12ème siècle, Inverness devint un bourg niché sous la forteresse liée au souverain Malcolm III (Malcolm Canmore), qui resta une maison noble et une forteresse pendant des centaines d'années. L'actuelle forteresse du XIXe siècle, sur le site Web de tout château endommagé en 1746 par les Jacobites, surplombe le fleuve et abrite les tribunaux législatifs. Le nombre de personnes âgées vivant dans des bâtiments s'ajoute la croix de ville (1685), le clocher de la ville (anciennement une prison), l'ancienne grande chapelle (1769-1772) et Saint. Cathédrale d'Andrew (1866-1871). Inverness peut être le cœur professionnel, éducatif et touristique d'une grande région. Les pays en développement et les fournisseurs se sont élargis pour répondre aux besoins du secteur des huiles essentielles à l'étranger. Les entreprises supplémentaires impliquent des espèces de manipulation du poisson, l'agriculture, la foresterie et la conception de gadgets. L'aéroport d'Inverness, à Dalcross, à 13 km au nord-est, fournit une entreprise à domicile. Inverness est également populaire pour votre combat de Culloden. Les Jacobites en retraite occupent Inverness en février. 1746. Une invasion du soir éprouvée au sujet de l'armée en progression du duc de Cumberland a échoué le 15 avril, et Charles Stuart a choisi de fournir la bataille dans le marécage découvert Drumossie Moor mentionné précédemment Culloden Home, malgré le regard sur Lord George Murray qui moins le sol parfait pour les Highlanders était difficile à trouver. Les Jacobites ne pouvaient réunir que 5 000 gars. Cumberland comptait 9 000 hommes, dont beaucoup d'Écossais. Contrairement à Charles, tourisme il possédait une très bonne artillerie disciplinaire bien fournie. Les armes à feu de campagne de Cumberland ont décimé les rangs jacobites pendant 20 minutes. Charles, aux commandes pour la première fois, a fatalement tardé à payer une commande. Lord George a lancé le droit et le cœur jacobite, mais la galanterie ne pouvait pas aller avec discipline, le risque de cartouche de vos armes à feu, la mousqueterie et, finalement, la portée exceptionnelle de la baïonnette pour l'épée large. Les Macdonald au sujet de la Jacobite restant correctement retirés au début en grande course, poursuivis par la cavalerie. La retraite commença à être en déroute.
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guyclement · 2 months
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URBEX Guy Clément DEUTSCHLAND | JÜTERBOG | LE MANOIR VIDEO - N'hésites pas à t'abonner à ma chaîne et activer les notifications 🔔pour être informé de mes prochaines explorations et découvertes! Feel free to subscribe my channel and activate notifications 🔔to be aware about my next explorations and discoveries! Une exploration en Allemagne dans la ville de Jüterbog, qui était l'une des villes de garnison militaire les plus importantes de l'Empire allemand de l'Allemagne nazie à l'Union soviétique. Explorons les casernes de Tauentzienstrasse et de Tauentzienstrasse ou résidaient, l'école de tir d'artillerie de campagne et d'artillerie à pied. La caserne est construite de 1890 à 1902 lors de son transfère de Spandau à Jüterbog.La plupart des officiers de l’artillerie sont formé dans cette école.De 1945 à 1994, l'école d'artillerie est utilisée par l'Armée rouge.30 000 soldats soviétiques y résidaient jusqu’en 1994. An exploration in Germany in the town of Jüterbog, which was one of the most important military garrison towns of the German Empire from Nazi Germany to the Soviet Union. Let's explore the Tauentzienstrasse and Tauentzienstrasse barracks where the field artillery and foot artillery shooting school resided. The barracks were built from 1890 to 1902 when they were transferred from Spandau to Jüterbog. Most of the artillery officers were trained in this school. From 1945 to 1994, the artillery school was used by the Red Army. 30,000 Soviet soldiers resided there until 1994. Eine Erkundung in Deutschland in der Stadt Jüterbog, die von Nazi-Deutschland bis zur Sowjetunion eine der wichtigsten militärischen Garnisonsstädte des Deutschen Reiches war. Erkunden wir die Tauentzienstraße und die Tauentzienstraßen-Kaserne, in der sich die Feldartillerie- und Fußartillerie-Schießschule befand. Die Kaserne wurde von 1890 bis 1902 erbaut und anschließend von Spandau nach Jüterbog verlegt. In dieser Schule wurden die meisten Artillerieoffiziere ausgebildet. Von 1945 bis 1994 wurde die Artillerieschule von der Roten Armee genutzt. Bis 1994 lebten dort 30.000 sowjetische Soldaten. Una exploración en Alemania en la ciudad de Jüterbog, que fue una de las ciudades guarniciones militares más importantes del Imperio Alemán desde la Alemania nazi hasta la Unión Soviética. Exploremos los cuarteles de Tauentzienstraße y Tauentzienstraße donde se encontraba la escuela de tiro de artillería de campaña y de artillería a pie. Los cuarteles se construyeron entre 1890 y 1902, cuando fueron trasladados de Spandau a Jüterbog. En esta escuela se formó la mayoría de los oficiales de artillería. De 1945 a 1994, la escuela de artillería fue utilizada por el Ejército Rojo. Hasta 1994 residieron allí 30.000 soldados soviéticos Uma exploração na Alemanha, na cidade de Jüterbog, que foi uma das mais importantes cidades de guarnição militar do Império Alemão, desde a Alemanha nazista até a União Soviética. Vamos explorar os quartéis Tauentzienstrasse e Tauentzienstrasse, onde residiam a escola de artilharia de campanha e de tiro de artilharia a pé. Os quartéis foram construídos de 1890 a 1902, quando foram transferidos de Spandau para Jüterbog. A maioria dos oficiais de artilharia foi treinada nesta escola. De 1945 a 1994, a escola de artilharia foi usada pelo Exército Vermelho. 30.000 soldados soviéticos residiram lá até 1994. Eksploracja w Niemczech w miejscowości Jüterbog, która była jednym z najważniejszych wojskowych miast garnizonowych Cesarstwa Niemieckiego od Niemiec nazistowskich po Związek Radziecki. Zbadajmy koszary Tauentzienstrasse i Tauentzienstrasse, w których mieściła się szkoła strzelectwa artylerii polowej i artylerii pieszej. Koszary budowano w latach 1890-1902, kiedy to przeniesiono je ze Spandau do Jüterbog. W tej szkole szkoliła się większość oficerów artylerii. W latach 1945-1994 szkoła artylerii była używana przez Armię Czerwoną. Do 1994 roku przebywało w niej 30 000 żołnierzy radzieckich. Исследование в Германии в городе Ютербог, который был одним из важнейших военных гарнизонных городов Германской империи от нацистской Германии до Советского Союза. Давайте осмотрим казармы Тауэнциенштрассе и Тауэнциенштрассе, где располагалась стрелковая школа полевой артиллерии и пешей артиллерии. Казармы были построены с 1890 по 1902 год, когда их перевели из Шпандау в Ютербог. В этой школе обучалось большинство артиллерийских офицеров. С 1945 по 1994 год артиллерийское училище использовалось Красной Армией. До 1994 года в нем проживало 30 000 советских солдат. Retrouvez-moi sur les réseaux / Follow me for daily content: 👍 Facebook: Urbex Guy Clement  https://www.facebook.com/profile.php?... 👉 Youtube  URBEX Guy Clément  https://www.youtube.com/channel/UCNhQ... 📸 Instagram: @abandoned.urbex.world  https://www.instagram.com/abandoned.u... 🎵TikTok: @urbexguyclement https://www.tiktok.com/@urbexguycleme... 🐦Twitter: @GuyPellegrin https://twitter.com/GuyPellegrin #abandoned #lostplace #urbex
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