#Bonheur Chance Chapelet | Explore Tumblr Posts and Blogs

claudehenrion · 5 years

Text

Bonne et heureuse année ?

La saison est aux échanges de vœux, généralement qualifiés de ''meilleurs'', ce qui n'engage pas à grand chose tant qu'on n'a pas précisé la dimension de vœux ''ordinaires''. En France, où on a laïquement oublié de fêter Noël, le ''bonnes fêtes de fin d'année'' est un ersatz vide de sens, une ivraie qui voudrait remplacer le bon grain, sans raison, comme la plupart des actuelles conventions ''a-sociales''. Moins ''dans le coup'' que jamais, je souscris pourtant à cette vilaine habitude, pour ne pas paraître ce que je suis : un ''hostile'' aux simagrées convenues (plus con que venues). Mais je sacrifie aux rites à la mode, lorsqu'ils ne peuvent pas faire de mal.

Devant les absences de perspectives autres que désagréables qui escortent 2020, tous les ''meilleurs vœux'' actuels ne peuvent être destinés qu'à la situation personnelle de chacun d'entre vous, amis lecteurs. Que votre santé à tous soit régulièrement bonne, que tous ceux qui vous sont chers partagent ce souhait vraiment sincère, et que vous arriviez encore à grappiller, ici et là, quelques instants de ces bonheurs dits ''domestiques'' qui permettent souvent d'engranger de bien jolis souvenirs : une naissance, un mariage d'enfants, un anniversaire vécu en vrai partage, un joli voyage... et, bien sûr, Noël (celui de l'an prochain, déjà !) pour inaugurer et clôturer l'année 2020 dans un espoir de douceur et d'harmonie.

Parce que pour tout le reste du tableau... c'est un euphémisme de dire que rien ne s'arrange, et qu'on chercherait en vain une bonne nouvelle dans le paysage de désolation que devient notre ex-belle planète, ex-bleue mais devenue bien trop ''verte''. Entre les menaces qui s'accumulent dans tous les domaines, la perte de repères qui frappe une humanité en passe de devenir folle, les menaces de guerre entre l'Iran et les USA (autrement dit : d'une autre forme de guerre mondiale) et la désolation par les flammes de cette belle Australie que j'ai tant aimé parcourir, il ne reste guère que l'exfiltration tellement intelligente de Carlos Gohn et la perte de face de la cruelle et injuste ''Justice-sic'' japonaise pour se réjouir sous cape...

Quant à notre pauvre France si mal dirigée, si matraquée, si malheureuse, si ''en grève'' et si soumise au sinistre ''progressisme'' présidentiel dont rien de bon ne peut sortir, elle reste dans le peloton de tête des raisons de s'attrister ! Avec le ''discours de Noël'' de notre Président (il eut mieux valu qu'il n'en fasse pas !), la France a fait un nouveau pas en avant dans le dévoiement de son identité, de son histoire, de son ''être-elle-même'' : seul parmi tous les grands leaders du monde civilisé, ce Président, qui n’est même plus capable de se souvenir du plus fondamental des fondamentaux, n’a même pas réussi à dire ce ''Joyeux Noël'' dont ses pauvres compatriotes ont pourtant tellement besoin pour illuminer ces mornes mois d'un hiver fait de grèves épuisantes, de tous contre tous et chacun pour soi, d’économie en berne et de marasme commercial... Dire ''Joyeux Noël'' était visiblement au-dessus de ses forces, et il a opté, depuis la Côte d’Ivoire, pour un nouveau numéro de haine de ce que nous avons été et de mépris pour ce que nous sommes, un chapelet de scandaleux bobards sur notre passé colonial, et un tsunami de lieux communs, de fausses évidences, et de mensonges historiques.

Un drame trop souvent oublié mais fondamental pour comprendre ce qui nous arrive et pourquoi nous stagnons dans notre absence actuelle de solutions intelligentes se trouve dans l'histoire proche : depuis quelques années, les vieilles nations qui ''régnaient'' sur le monde (même si cette idée froisse les esprits chagrins ou progressistes -ce sont les mêmes !), en des temps où la planète se portait infiniment mieux que depuis que des idéologies perverses imposent leur mortel poison, ont ''perdu la main''. Certes, tout n'était pas parfait, il s'en faut de beaucoup, mais tout ou presque était infiniment mieux que toutes les idées effroyables qu'on nous a imposées par la suite, en s'extasiant sur leur perversité démontrée.

Livrées à une compétition féroce et globalement sans lois, ces vieilles nations ont suivi un mouvement qui était incompatible avec ce qu'elles étaient. Leurs classes moyennes (cette bourgeoisie nécessaire et décriée) ont été fragilisées, et leur rôle remis en question. Mais il n'était pas question de ralentir la mondialisation, ce soi-disant véhicule auto-proclamé de la concorde entre les peuples : bientôt, c’est juré, on raserait gratis, le ciel serait définitivement bleu, la paix régnerait sur le monde... plus de guerres, avec la mort des nations et des archaïques frontières nationales. La mondialisation allait être le nouvel alpha et le nouvel oméga de l'humanité, promis-juré ! Souvenez-vous de l'omniprésence de cette logorrhée... C'était hier

Et voilà que, en quelques petites années, quatre secousses telluriques ont mis par terre ce méchant conte de fées et ont désintégré toutes nos pauvres certitudes : la crise financière de 2008, la crise démocratique de 2016 (Brexit, Trump, le réveil nationaliste qui s'étend sur le monde ...), la crise écologique qui s'amplifie chaque jour, et qui, bien que reposant sur à peu près rien de sérieux, s'est imposée comme une menace majeure et, last but not least, la double crise religieuse qui voit, d'un côté, l'effondrement de la foi dans les pays de vieille civilisation chrétienne qui se retrouvent ainsi privés de leur seule et unique chance de résister victorieusement à la poussée, de l'autre côté, d'un islam redéfini par l'islamisme et qui, en sens contraire, prétend (de plus en plus agressivement) imposer au monde sa férule...

Nos dirigeants sont complètement passés à côté de ces quatre mouvements immenses. Aveuglés par leur nullité, leur inculture et leur absence de sens critique, ils les perçoivent comme un dysfonctionnement temporaire de plus, comme une crise de plus dans un système en pleine évolution, au lieu de voir que ce sont des bouleversements absolus qui mettent cul par dessus tête l'ancien ordre des choses et du monde. Celui-ci reposait sur la vision qu'on pouvait avoir du futur en 1945, sur les accords de Bretton Woods, sur le GATT, voire sur le Plan Marshall et la ''guerre froide''... qui ont donné jusqu'à épuisement tout le bien qu'ils pouvaient offrir, avant de disparaître, depuis des lustres, dans l'ignorance et l'indifférence générales.

Tous les vieux systèmes de pensée ayant été chamboulés, nous ne sommes plus devant des dérèglements passagers que quelques petites mesures techniques pourront corriger : il s'agit d'un vaste mouvement de fond qu'il faut être psycho-rigide pour ne pas voir. Décidément, nous avons du pain sur la planche, pour les mois qui viennent ! Mais ''Bonne et heureuse année'', tout de même : le pire n'est jamais la seule solution disponible ! Nous allons donc survoler, dans les jours qui viennent, les plus incontournables des vrais problèmes de notre temps, ceux dont personne ne parle, parmi les gens qui se croient importants...

H-Cl.

1 note · View note

chrisenfeu · 5 years

Text

Un peu d’amour dans mon monde hilare

La dernière partie de mon été 2019 est arrivée toute en douceur, par tribord avec un vent soutenu plus frais que d’habitude. J’ai de la difficulté à décrire le sentiment de béatitude dans lequel je baignais depuis plusieurs semaines déjà. Avoir la prose de Félix Leclerc, je composerais l’hymne à la belle saison illico, mais je ne joue pas de guitare. Dans ma tête, j’écrivais un texte par semaine, mais il n’en était rien. Le temps et internet me manquaient.

Les enfants ont changé d’attitude dare-dare. Ils ont filé tout droit dans le sens qu’il fallait depuis une intervention commando ayant comme nom de code : really bad mama. Ma belle adolescente s’est défaite de son aura noire, elle est maintenant plus dans des teintes foncées pour vous en faire une image. Elle s’est liée d’amitié avec des collègues de travail français de France. Milou fait du ménage, à notre grand ébahissement. Avec un horaire de nettoyage de tente prêt à camper, il partait vers la fin de l’avant-midi avec des draps nets dans un sac à dos sur sa vieille moto à son travail.

Ils ont réussi!

La joie de les voir s'investir corps et âme dans le but de s’accorder leurs premiers rêves. Pour moi à l’époque, ce fut un chiot pit bull de 80$ attaché à un arbre d’une entreprise de Ste-Marthe qui se vouait aux loisirs familiaux avec patates frites et hot-dogs mous, les 4 vents. J’avais ramassé cette somme en tondant des pelouses pendant une partie de mes vacances d’été. Ce même chien a mordu mon frère quelques mois plus tard et ma mère l’a fait euthanasier, mais ça, c’est une autre histoire.

La préparation du mariage allait bon train et une chance que ma conjointe à ce sixième sens de l’organisation. Mon mariage à moi se ferait avec des petits sandwichs pas de croûte qu’on mangerait en gang autour du feu en improvisant un karaoké toute la nuit après avoir été uni par le beau-frère sur le bord de la grève en gougoune et t-shirt à l’effigie du Festival de jazz de Montréal 1999.

Il me semblait que les travaux qu’il me restait à faire étaient moins importants d’être acquittés depuis le départ des futurs témoins au mariage ainsi que leur famille. Ils sont venus camper durant leurs vacances chez nous. Nous avons passé quelques jours de rêve en leur compagnie et le goût de tout faire coûte que coûte est parti comme un mal de tête après avoir pris deux acétaminophènes. Loin de moi de vous dire que j’ai chômé ensuite, je restais très occupé et désireux de finir le chalet. En m’arrêtant quelques jours, j’ai alors pris conscience de l’importance de profiter de chaque instant de bonheur à vivre ici.

-On doit se contenter du plus que du minimum d’argent par jour jusqu’à la semaine prochaine.

-Tant que ça?

-Oui, nous sommes à sec.

Il y a aussi l’argent qui se faisait plus rare et raison de plus pour récupérer et vivre de ce que nous avons déjà. Un genre de vivre d’amour et d’eau fraîche, mais en remplaçant l’eau par de la Molson Dry en caisse de vingt, c’est beaucoup moins dispendieux. Blague à part, je n’échangerais pas ma place avec personne d’autre, pas même avec celle de Justin qui fume un joint avec sa Sophie sur une terrasse en bois de tec sans vis apparentes par une nuit étoilée.

Je me suis donc lancé à dos perdu dans le nivellement d'un terrain en montagne. Voici, il y a quelques années:

Et après deux bonnes semaines de dur labeur maintenant:

Il va sans dire qu’il n’y a plus aucune roche de taille à être transportée à l’huile de bras après mon passage dans mon environnement immédiat. J’ai utilisé tout ce que j’avais pour les transporter une par une. Pour le sable de remplissage:

-Tin! V’là une autre pelletée de sable pour toi!

-Merci, mon ami!

Franky venait à tout les weekends de l’été pour travailler sur leur terrain. Il a fait un travail colossal: il a aménagé la forêt, fait des sentiers, mis en copeaux ou en billots tous les arbres morts des environs et installé des tentes tipi qu’il a mises en location. C’est d’ailleurs ce dernier qui était l’employeur de notre garçon. Il m’amenait de la matière à remblayage à la fin de ses journées et moi, une chaudière à la fois, j’allais remplir le coin du feu les lendemains matins.

-Il faut vraiment qu’on travaille pour notre mariage!

-Oui ma blonde, j’arrive!

Geny récupérait et confectionnait depuis plusieurs mois tout ce qui pourrait servir à la décoration des tables, des cadeaux pour les invités, des guirlandes de lumière et tout ce qui doit être fait pour nous conduire à l’hyménée. Le concept était d’organiser un mariage écoresponsable, le premier du genre que je connaisse. Elle me donnait quelques responsabilités telles que fabriquer un set de vaisselle en rondin de bois et des planches laminées à dessert à chacun ses spécialités dans un couple.

-Nous allons à Chicout pour aller chercher notre alcool.

Cela faisait déjà un bon moment que nous accumulions des points Inspire pour cette occasion.Il faut être organisé pour aller là-bas, car il faut environ 1 h 30 pour atteindre la grande ville. Ce n’est pas le temps d’oublier un gâteau sur le BBQ, si je peux m’exprimer ainsi. Je dois préciser aussi que depuis près de six mois nous dégustions tous les vins et bières qui s’accompagnent bien avec du porc, de la morue et des fromages de Charlevoix. Encore une fois, Geny avait tout noté. Moi, je pouvais faire à peine la différence entre un vin rouge ou blanc. Contre toute attente, j’étais un champion pour ce qui à trait des microbrasseries et leur bière des environs.

-Chrisenfeu, vérifie que c’est bien le vin blanc d’Alsace!

-Pas de trouble, les caisses sont jaunes, trop facile.

-Regarde, on m’a conseillé ce vin rouge, j’en ai pris une caisse!

-Wow... l’étiquette est belle!

-Et que t’es con!

Restait à passer par St-Fulgence pour aller chercher la bière et l’affaire était... Ketchup comme dirait quelqu’un qui aime souvent dire cela au point d’en être énervant.

-Je suis contente! C’est un gros morceau du budget, mais ça va être bon!

Réponds la future mariée. Elle fut moins ravie quand elle vérifia de nouveau les caisses au retour que j’avais empilé sous l’escalier du chalet.

-C’est pas le bon vin blanc!

-Comment ça!

De ma plus petite des voix que j’emploie dans ces circonstances conjugales lourdes.

-Tu as pris le Riesling

au lieu du pinot gris!

Bruit d’un homme qui avale de travers.

Je suis donc parti le lendemain matin avec un choix de quelques disques compacts. Au chalet, il y a de vieux vêtements que tu ne porterais plus en ville de peur d’être jugé, des articles de cuisine à l’effigie de Noël qui sont tous sauf pratiques et des CD que tu écoutais avec des potes au secondaire. L’adage par excellence:

-on va mettre ça de côté pour le chalet!

Parmi les caisses de ‘’disques laser’’ , j’amenais une compilation des meilleurs succès de Joe Dassin. Je préparais en secret une surprise pour ma concubine depuis les premières fontes des neiges pour le mariage.

-Tu grattes encore des débuts de tounes à la guitare Franky?

-Oui, pourquoi?

-Tu voudrais m’accompagner pour une chanson le jour de mes noces?

-Tu as d’autres belles qualités que de chanter, mon ami.

-Oui, je sais.

-OK debord, rock on!

J’avais choisi, À toi de Joe Dassin et nous pratiquions lors de quelques nuitées étoilées dans la cabane à Franky. C’était toujours après avoir pris plusieurs cervoises en spéciaux. Nous mutions dès les premières notes en célébrités. Nous aurions pu être connus pourvu que l’assistance soit dans le même état d’esprit et d’ouverture que nous. C’était tout simplement fabuleux.

-Tu peux pas atteindre cette note lors du refrain, on dirait que tu mues! Je peux accorder ma guitare un demi-ton plus bas .

Tout ce parcours détourné pour vous ramener à la réparation de ma bévue. Je suis allé échanger le vin blanc et acheter du pain en chantant avec Joe en mode repeat durant les trois heures de transport. J’avais encore quelques difficultés avec le dernier couplet, mais ils n’y verront que du Chrisenfeu. Laissez-moi vous dire que j’ai pris l’assurance d’envoyer des photos de la bonne caisse de vin et je les ai vérifiées personnellement douze fois avec Geny à l’autre bout du cellulaire.

La dernière semaine avant le jour J, il y avait de l’électricité dans l’air. Nous étions nerveux. Les listes de Geny fusaient de toute part d’heure en heure et pour le reste nous remettions le tout entre les mains de dame Nature.

Tôt le matin de l’évènement de notre été, je parti à l’orée de la forêt pour cueillir les fleurs qui serviront au bouquet de la mariée. Ensemble, nous lui avons donné la touche finale en nous énumérant ce qu’il nous restait à faire d’ici la cérémonie à la marina en fin d’après-midi. Le chapelet que Geny avait mis sur la corde à linge la veille avait bien fonctionné, la journée serait parfaite.

Tous ont mis les mains à la pâte:

Nous restait à nous mettre sur notre trente-six en ce début d’après-midi. Nous prîmes place chacun dans la voiture de nos parents pour nous diriger vers notre destin. Un sentiment de bonheur mêlé à de la fierté angoissante me submergeait. Je fis les derniers pas menant au parc de la marina en compagnie de mon père et de ma mère. Tous les invités m’applaudissant tel le roi Dagobert qui mit enfin sa culotte à l’endroit et qui pavanait ainsi devant ses sujets.

-R’gardez! Je l’ai eu! Voyez ma culotte! Le zipper est du bon côté!

Je pris place auprès de mon beau-frère, révérend pour la journée, en attente de l’amour de ma vie.

-Shit! Je ne me rappelle plus! Et si je ne réponds pas la bonne affaire! Ça me pique à la narine! Osti! Quossé que je fais? Ma braguette est tu ouverte!

Enfin, la vue de ma future épouse avec ses parents me coupa le souffle et mes mauvaises pensées par la même occasion.

-Allez-y les enfants, c’est le moment! Allez lui faire un chemin de fleurs séchées!

Qu’elle était belle! Je la vois tous les jours depuis 22 ans déjà, mais maintenant au bras de son père c’était une autre femme. Ça ne me pas échappé, il est aussi émeut que moi même avec ses lunettes fumées:

-un fin renard le beau père...

Elle vint ensuite se placer à la gauche du prêtre pour l’occasion.

Le célébrant commença alors son beau discours:

-Je dois être franc avec vous, c’est le deuxième mariage que je célèbre et je suis toujours aussi nerveux. Il faut aussi que je vous dise que quelques mois à peine après ma première célébration... ben le couple... c’est divorcé et que la mariée est maintenant en couple avec une des demoiselles d’honneur! Êtes-vous certains de votre affaire?

Dans mon amadouage, c’est comme si tout était au ralenti. Je me sens dans une bulle, je ne me rappelle plus les détails. Je ris quand le monde rit, je dis: oui, quand c’est le temps. C’est difficile à décrire, j’étais là, mais pas là en même temps. On dirait que j’avais le temps de méditer à la chance que j’avais d’être là avec elle, mes enfants, ma famille, mes amis...

-Je demanderais alors à Chrisenfeu à lire son texte...

-Oui! Toujours répondre: oui.

C’est ainsi que je fus transporté par le vent du fjord sur mon nuage que...

-vous pouvez embrasser la mariée!

-Champagne pour tous!

Le reste de la soirée fut tout simplement inoubliable. Quelques petits pépins allant de soi avec un évènement de cette envergure, mais rien pour gâter notre plaisir. L’avantage certain d’être un couple d’expérience en cette fin de semaine. Nous avons la chance inouïe d’avoir une famille et des amis vrais et sincères, des hommages sous forme de textes, chansons, poèmes, à notre effigie fusaient de toute part.