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#CIDFF
leblog2roubaix · 4 months
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#1083 Femmes de Roubaix et le harcèlement de rue
À l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, le réseau Femmes de Roubaix vous présente une diffusion spéciale d’un micro-trottoir réalisé par Maria, du Comité de quartier Servir, sur le thème du harcèlement de rue. Fatiha TOUIMI, présidente du comité, nous en explique les enjeux. Le harcèlement de rue se réfère à des comportements non désirés et souvent intimidants, comme des…
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siao42 · 1 year
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Nouvel article sur notre site internet suite à l'invitation du CIDFF de la Loire.
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barbiemonamie · 10 months
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Pour obtenir des informations actualisées sur les événements spécifiques prévus pour la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes en France en 2023, je vous recommande de consulter les sites web d'organisations féministes, les réseaux sociaux, ou les médias locaux pour les dernières mises à jour. Vous pouvez également contacter des organisations telles que le Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) ou d'autres groupes similaires qui pourraient être impliqués dans ces initiatives.
Et pour finir le slogan de Pascaline; "J'accuse !" #noustoutes".
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plume-libre · 1 year
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Plus je vais au cidff plus je me dis que je devrais aller porter plainte. Mais j'ai tellement peur des conséquences...
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a-room-of-my-own · 4 years
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On est d'accord que le "choice feminism" à totalement ruiner les chances de critiquer des choses comme la pornographie ? car il cache les dures réalités des choses, mais dés que je parle de ces sujets, on me traite de swerf. J'en ai marre.
J'ai juste cette impression que le choice feminism juste nous demande d’arrêter de dire pourquoi sur certains choix.../2
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Ça n'a pas ruiné toutes les chances au sens où ce n'est pas l'opinion majoritaire. Beaucoup de femmes ne vont pas vers les mouvements féministes qui ont pignon sur rue justement pour ces raisons-là, mais il y a beaucoup d'associations de terrain qui n'ont pas l'étiquette Féminisme©, mais font un excellent travail. Typiquement les asso d'aide aux victimes, les CIDFF, les PMI, la Fondation Scelles ou le mouvement du nid pour les personnes prostituées etc... Et puis tu as des associations plus anciennes et moins médiatiques comme Femmes Solidaires qui font du très bon travail. Le truc c'est que ce sont des gens qui bossent, pas juste des communicants.
Dans la vraie vie, ceux qui chouinent avec leurs acronymes à deux balles sur Twitter n'ont aucun impact et n'aident personne. A chacun sa vision de l'activisme, mais je considère que ça ne peut exister que sur le terrain. Si on a du temps on fait du bénévolat, si on n'en a pas on donne un peu d'argent à l'association de son choix, et on essaie de bien faire dans la vie quotidienne.
Ces gens-là tu ne leur feras pas changer d'avis et même au cas où, ça ne les ferait pas agir. Ne perds pas ton énergie à débattre avec eux 😉
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bossabutts · 7 years
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He just really loves his airship. The whole crew ignored him but he was satisfied with himself nonetheless
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Harcèlement au travail et grossesse
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Il y a 2 ans, au cours de mon cinquième mois de grossesse, j'ai été mise en arrêt maladie sur demande du médecin du travail. Cela faisait quelques mois que je subissais du harcèlement à mon travail, comme une femme enceinte sur quatre en France, coupables du « délit de maternité ». 2 ans plus tard je me sens enfin capable d'en parler.
Je n’écris pas cet article pour me faire plaindre, tout cela est derrière moi maintenant et je vais beaucoup mieux. Mais cette histoire m’a fait découvrir avec stupeur à quel point il est banal de se faire rabaisser à son travail pendant une grossesse, à quel point dans cette situation de vulnérabilité cela peut avoir des conséquences sur le mental de la femme enceinte et le déroulement de sa grossesse, et qu’il n’est pas rare que ce soit des femmes, parfois elles-mêmes mères, qui font payer à d’autres leur maternité.
Je vais dans un (long) premier temps vous raconter mon histoire, et dans un deuxième temps vous donner des pistes pour vous sortir de là si vous êtes dans la même situation, ou si vous connaissez quelqu’un dans ce cas.
Mon histoire
Je suis tombée enceinte en octobre 2016, j’ai découvert ma grossesse en plein voyage de noces, au mois de novembre. Quand je suis revenue au travail j’étais à 1 mois de grossesse et les symptômes arrivaient en force : épuisement total et nausées toute la journée. Je me suis d’abord dit que l’épuisement était dû au jetlag, c’est d’ailleurs l’excuse que j’ai utilisé autour de moi pour couvrir ma grossesse naissante.
Mais j’ai vite dû me rendre à l’évidence que c’était la grossesse qui me mettait complètement à plat, aidée sans doute par mon hypothyroïdie. Il a vite été compliqué pour moi de gérer mes 2h30 de trajets quotidiens, 1 RER et 2 métros en heure de pointe, debout forcément car ma grossesse ne se voyait pas encore. Je terminais souvent mes journées en larmes dans le métro à force d’être bousculée, d’avoir des vertiges, des maux de ventre qui me pliaient en deux et me faisaient craindre le pire. Au travail j’essayais de ne rien laisser paraître et d’être toujours aussi productive et concentrée malgré la fatigue et les nausées.
En décembre je me suis fait arrêter quelques jours à cause de l’épuisement, puis je suis revenue et rapidement j’ai eu une violente gastro qui m’a cloué au lit quelques jours. Ne voulant pas à nouveau m’arrêter j’ai demandé à faire du télétravail un jour ou deux. Ma supérieure commençait à être suspicieuse, j’étais à 2 mois de grossesse, je me suis dit que pour ne pas qu’elle pense que j’étais démotivée il valait mieux que je lui dise ce qu’il en était. Je l’ai fait au téléphone pendant ces deux jours de télétravail, sa réaction « Ah... » et c’est tout. J’étais un peu déçue de ne même pas avoir de félicitations mais je me suis dit que c’était normal qu’elle ne saute pas au plafond à l’idée d’avoir une employée absente d’ici quelques mois. Seulement j’étais bien loin du compte. Dès mon annonce, elle, qui jusque là était amicale avec moi et me complimentait toujours chaleureusement sur mon travail, s’est mise à changer totalement de comportement.
Dès mon premier arrêt, alors qu’elle ne savait pas encore pour ma grossesse, elle m’a demandé plusieurs fois par téléphone, mails et SMS de tout de même travailler de chez moi, j’ai refusé car c’est illégal et qu’un arrêt n’a pas à être détourné en télétravail. Elle m’a dit « d'accord mais je te laisse quand même faire ça et finaliser tel truc pour ce soir ». J’ai à nouveau été arrêtée quelques jours par la suite, alors qu’elle savait que j’étais enceinte, et elle m’a à nouveau contacté par tous les moyens possibles pour me demander de travailler quand même à distance pendant mon arrêt.
Voyant bien que si je devais continuer à faire mes 2h30 de trajet quotidien dans mon état je serais bien vite arrêtée jusqu’au bout, j’ai proposé de télétravailler quelques jours par semaine pour me ménager et continuer à travailler le plus longtemps possible. Elle accepte, puis revient sur sa décision quelques jours après, avant de ré-accepter, puis d’hésiter à nouveau, me reprochant constamment de télétravailler, que ce n’est pas pratique, que la direction n’est pas contente, mais sans jamais me demander d’arrêter. Je culpabilise beaucoup et je me sens prise entre deux feux.
À côté de ça, tous ses échanges sont désagréables, elle commence à devenir de plus en plus sèche avec moi. Tout ce que je fais devient subitement mauvais et propice à être moqué publiquement devant mes collègues, voire mes propres clients. En aparté elle me rassure sur le fait que je n’aurais pas à faire un déplacement fatiguant à l’autre bout de la France à transporter du matériel lourd, puis devant mon client lui dit le contraire et me met dans une position difficile, devant annoncer ma grossesse de façon anticipée. Toujours en aparté elle valide une de mes idées, puis la démonte en riant devant le client, en disant « c’est un exemple de ce qu’il ne faut pas faire », je me sens humiliée.
Je suis vulnérable, toujours épuisée (je le serai toute ma grossesse), j’ai toujours des nausées, je fais des crises d’angoisse quasiment chaque jour, lorsque je télétravaille je pleure du matin au soir en attendant avec stress et peur les mails et appels désagréables de ma chef. 
En janvier ma gynécologue me dit que le bébé appuie fortement sur le col et qu’il faut que je me repose. Je refuse de m’arrêter mais je préviens ma chef. Elle n’ose plus remettre en cause mon télétravail plusieurs jours par semaine mais elle durcit ses attaques par mail, elle refuse toutes mes idées, alourdit ma charge de travail, descend systématiquement le fruit de mon travail avec mes clients en copie, et commence même à m’envoyer des reproches et des piques plus directes.
Je redouble d’efforts, en reprenant notamment une mission d’autres collègues, pour qu’on ne puisse pas me faire de remarques, mais elle m’envoie un mail un jour pour me dire que je suis celle qui a le travail le moins intense et le moins prenant, que les autres sont débordés, qu’elle doit mettre « les points sur les i » avec moi vu que visiblement je n'ai « pas envie de travailler à 100 % ». Je sais que tout est faux mais j’en viens à douter de mes compétences. Je commence à me renfermer et à vraiment perdre confiance en moi.
En février la situation empire, je broie du noir, je me réveille avec une boule dans la gorge chaque matin, j’enchaîne les malaises, je développe de l’eczéma de stress, j’en oublie même que je suis enceinte tellement je suis empêtrée dans cette angoisse permanente. Tous les jours je sais que ma chef va chercher la petite bête dans mon travail et m'envoyer des mails de reproches, parfois méprisants et démesurés. Mon télétravail est à nouveau remis en cause, on me demande un mot du médecin qui le justifie.
Rémy et des amies, alarmés par mon état, me conseillent de contacter médecine et inspection du travail. J’ai du mal à trouver quel organisme de médecine du travail s’occupe de mon entreprise car je n’ai jamais eu d’entretien avec eux en une année de salariat dans cette boîte, et que ce n’est affiché nulle part dans les locaux. Je finis par trouver à force de tous les contacter, et en parallèle je contacte également le CIDFF, Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles. Une juriste me rappelle très vite, ce sera la première à poser le mot « harcèlement » sur ma situation. Elle me conseille de monter un dossier, de conserver et imprimer mails et SMS, pour pouvoir si besoin ouvrir une enquête pour harcèlement moral et discrimination. Elle me conseille également de voir le médecin du travail, de contacter le Défenseur des droits et surtout de me protéger au plus vite en demandant un arrêt de travail, conseil que j’occulte car je culpabilise trop et me sens fautive.
Mi-février nous avons rendez-vous avec une sage-femme de la PMI, pour parler de ma grossesse, à peine assise je me mets à pleurer et déballe tout. Elle me coupe très vite pour me dire qu’il s’agit de harcèlement et qu’il faut que je sois arrêtée au plus vite. Elle rédige un mot à mon médecin parlant de harcèlement moral, d’épuisement psychologique et de grande vulnérabilité. Je décide d’attendre malgré tout mon rendez-vous avec la médecine du travail prévu quelques jours plus tard pour avoir un avis supplémentaire.
Comme chez la sage-femme, à peine arrivée dans le bureau du médecin du travail j’ai fondu en larmes. Il a été très compréhensif, je lui ai montré le mot de la sage-femme, il m'a dit qu'il était entièrement d'accord avec elle, qu'il fallait que je sois mise en arrêt au plus vite par mon médecin traitant, et ce jusqu'à mon congé maternité, d’autant plus que ma tension était très élevée. Tout en lui disant “oui oui” je pensais tout de même terminer la semaine avant de voir mon médecin et partir en arrêt le vendredi soir, mais le médecin du travail me prend de court « J’envoie tout de suite un avis par mail à votre travail disant que vous ne travaillerez pas aujourd'hui, que vous avez besoin de repos, de soins, et que vous allez être arrêtée. Et vous prenez rendez-vous avec votre médecin pour aujourd'hui ». Il m’a également conseillé de changer d’employeur après ma grossesse et de ne surtout pas répondre aux appels et mails de mon travail pendant mon arrêt. Enfin, il me met en contact avec la psychologue du travail pour anxiété et symptômes dépressifs.
En sortant de son bureau, je vais directement voir une remplaçante de mon médecin, qui malgré la lettre de la sage-femme et celle du médecin du travail n’est pas convaincue et souhaite m’arrêter 2 semaines puis que je reprenne « pour voir ». Elle m’a finalement tout de même arrêté un mois, à ma demande. J’ai par la suite pu faire prolonger mon arrêt par mon médecin traitant pour à nouveau un mois, puis par ma gynécologue jusqu’à mon congé maternité. Chaque médecin a voulu se renvoyer la balle pour ne pas alourdir son quota d’arrêts, j’ai vécu cette période dans une profonde angoisse à l’idée que personne ne veuille le prolonger et que je sois obligée de côtoyer à nouveau mon bourreau.
Mon entreprise a évidemment tenté de m’appeler de nombreuses fois, d’abord amicalement puis plus durement. Je leur ai répondu par mail en les prévenant qu’ils n’avaient plus le droit de m’appeler, sur demande du médecin du travail. J’ai également envoyé dans la foulée mon arrêt de travail et un mode d’emploi de mon poste que j’ai pris le temps de faire malgré ma mise en arrêt, afin que mon remplacement se fasse plus facilement. Réponse de ma chef : « tu finis ta journée quand même ?? ». Rémy est allé rendre mon téléphone et mon ordinateur la semaine suivante. J’ai été très vite remplacée, mais ma remplaçante s’est mise en arrêt au bout de quelques jours, à force de se faire houspiller par la chef, et n’y est pas retournée.
J’ai été extrêmement tendue et angoissée les deux premiers mois de mon arrêt, je culpabilisais terriblement d’avoir été arrêtée. J’ai eu un suivi psy le reste de ma grossesse et les 5 premiers mois de vie de Lou. Les psys que j’ai vus, ainsi que la juriste du CIDFF, m’ont dit que ma situation était très courante, et qu’entre le harcèlement, les trajets, l’épuisement et mes pathologies hors grossesse mon arrêt était entièrement légitime, mais j’ai eu du mal à l’entendre. Et surtout beaucoup de mal à m’ouvrir à nouveau aux autres, même à mes proches, à avoir confiance en moi. Ça a aussi affecté la façon dont je me voyais quand Lou était bébé, j’avais l’impression de ne pas être crédible en mère, de ne pas être à la hauteur. 
Mon arrêt m’a au moins permis d’enfin prendre le temps de réaliser qu’une vie grandissait en moi, de lui parler, de la rassurer sur ce qu’il s’était passé, sur tout le stress qu’elle avait subi par mon biais. Comme je le disais, les deux premiers mois j’ai eu du mal à penser à autre chose qu’à cette histoire, puis avec le ventre rond, les petits coups, le printemps qui revenait et surtout le temps qui passe, j’ai bien plus apprécié ma fin de grossesse et j’ai pu retrouver un meilleur moral. Malgré tout je me demanderai toujours si elle aurait également eu un reflux sévère et des premiers mois si douloureux et difficiles si j’avais eu une grossesse sereine et apaisée.
Quand Lou a eu 3 semaines j’ai pris mon courage à deux mains pour appeler mon entreprise et demander une rupture conventionnelle, qu’ils ont tout de suite accepté. Petit tacle quand même de la personne que j’ai eu au téléphone qui m’a dit d’une voix moqueuse « tu sais, on peut travailler jusqu’au bout en étant enceinte hein, c’était exagéré de se mettre en arrêt ». Je n’ai rien intenté contre mon employeur, j’avais envie que tous les tenants et aboutissants de cette histoire se terminent au plus vite pour ne plus en entendre parler. Ils ne m’ont par ailleurs rien versé en compensation, autre que le minimum requis pour une rupture conventionnelle.
En février dernier, autour du premier « anniversaire » de mon arrêt, je me suis sentie très déprimée, j’ai eu très peur de replonger dans cette anxiété permanente, mais une fois la date passée c’est allé beaucoup mieux, je crois que c’est à ce moment-là que j’ai réussi à clore ce chapitre et à pouvoir en reparler sans m’effondrer.
Je vais beaucoup mieux depuis, j’ai à nouveau (davantage) confiance en moi, en mes compétences professionnelles, surtout après une année à mon compte couronnée de succès. Mais je sais que j’ai gardé quelques séquelles de cette histoire, j’ai plus de mal à sociabiliser, je suis sur mes gardes, et je me dévalorise vite.
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Mes conseils
Je sais que c’est difficile d’avoir du recul et de réaliser qu’on est dans une spirale de harcèlement et de discrimination. Mais si vous allez au travail le cœur lourd, la gorge serrée, si vous sentez qu’on ne vous traite plus de la même façon, que les reproches s’accumulent, les humiliations aussi, il faut agir !
Si vous avez des doutes vous pouvez demander conseil au CIDFF de votre région, les conseils de juriste sont gratuits. Prenez également contact avec la médecine du travail, leur objectif est aussi de protéger les salariées enceintes. Ils ne peuvent pas prescrire d’arrêt mais pourront appuyer cette demande auprès de votre médecin généraliste. Pour savoir quel organisme de médecine du travail s’occupe de votre entreprise vous pouvez vous rapprocher des délégués du personnel. 
Vous pouvez aussi saisir l’Inspection du travail, la HALDE, un médiateur ou le Défenseur des droits. Et bien sûr, si vous avez confiance en la direction de votre entreprise vous pouvez leur en parler, mais prenez le soin de le faire par courrier recommandé avec accusé de réception pour en garder une trace. Globalement gardez une trace de tous les échanges, cela vous servira si jamais vous devez saisir le Conseil des Prud’hommes.
N’hésitez pas non plus à vous faire accompagner par un psychologue ou psychiatre. Il existe des thérapeutes spécialisés dans la souffrance au travail, vous pouvez trouver leurs coordonnées via le site Souffrance et travail. Ma sage-femme m’avait conseillé un centre psy de périnatalité près de chez moi, c’est là que j’ai fait la majeure partie de mon suivi, totalement gratuit dans mon cas car pris en charge par le département.
Vous pouvez aussi bien sûr vous confier à votre sage-femme libérale, elles sont habituées à ce genre de situation et pourront sans doute vous donner de bons conseils et vous orienter vers des organismes qui pourront vous aider.
Dans tous les cas, parlez de votre souffrance, à commencer par vos proches. Votre santé et celle de votre bébé à venir passent avant votre travail !
Flo
PS : J'ai été reçue sur le podcast Derrière les sourires à ce sujet, l'épisode est à écouter ici.
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[CLIN D'ART] Anna Maria Cutolo, artiste peintre @annamaria._cutolo https://amcutolo.com #clindart #artistepeintre #annamariacutolo #artigers #instaart #artoftheday #painting #peinture #portrait #femme #fenetresurlart #culturechezvous https://www.instagram.com/p/CidFf-ZLQRq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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leblog2roubaix · 7 years
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#973 Du harcèlement de rue à ROUBAIX ? (extrait vidéo)
#973 Du harcèlement de rue à ROUBAIX ? (extrait vidéo)
A l’occasion de la Journée de la Femme, le CIDFF de Roubaix – Tourcoing, inaugurait une exposition intitulée “Yes We Can“, dans le hall du Centre Communal d’Action Sociale, de photographies signée Luc Camberlein, Studio 1822. Ce fut l’occasion de questionner les personnes présentes sur un sujet actuel du harcèlement de rue.
Dans une ville comme Roubaix, quand on est…
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crayoelle · 2 years
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Mon flyer pour les sorties Art et Balade est proposé à compter d'aujourd'hui au CIDFF de Gap, pour toutes les femmes et familles victimes de violences. Ces sorties peuvent être un échappatoire, un temps pour se reconnecter à soi, à la nature et aux autres 🙏. N'hésitez pas à me contacter pour vous inscrire ou pour en savoir plus 😊. A bientôt ! 😘 CraYoëlle🥰🥰🥰 www.crayoelle.fr (à Gap, Hautes-Alpes) https://www.instagram.com/p/Ccx5GDDM4Zb/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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formationvetua2020 · 5 years
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Tous les métiers sont mixtes
Expo représentant 22 métiers dits « féminins » exercés par des hommes et des métiers dits « masculins » exercés par des femmes dont un panneau texte explicatif.
Expo disponible au Cidff Loire. Les professionnels du CIDFF peuvent proposer des animations autour de ces expositions.
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campusfm · 6 years
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Le 10 décembre 2018 avait lieu à l'Espace des Diversités et de la laïcité, une série de conférences et de débats sur le thème : «État des Lieux des Droits de L'Homme». Une initiative organisée par la Mairie de Toulouse et en partenariats avec de nombreuses associations (ALDERAN, Amnesty International, CIDFF,CRAN Midi-Pyrénées, Ecole des Droits de l'Homme, la Cimade, Ligue des Droits de l'Homme, MRAP, RHSF) à l'occasion de l'anniversaire des 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme adoptée à Paris le 10 déc 1948. Plus d’informations sur notre site > http://www.campusfm.net/wp/ #CampusFM #Toulouse #MissionEgaliteDiversite #Occitanie #DroitsdelHomme #conference
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Ces lieux sont indispensables pour recueillir et libérer la paroles des femmes
Madame la Secrétaire d'Etat,
Je souhaite attirer votre attention sur la situation des lieux d'accueil et d'écoute pour les Femmes victimes de violence, en Bretagne.
Ces structures subissent de plein fouet les baisses drastiques des financements publics. Les conséquences ne se font pas attendre à l'image de la fermeture du centre de Lorient dans le Morbihan. L'association en charge de cet espace associé au CIDFF a été contrainte de recentrer leurs activités sur le centre de Vannes. Tout cela en raison d'une baisse des financements.
Cet exemple est malheureusement loin d'être isolé, en Bretagne comme sur l'ensemble de notre territoire. Nombre de ces structures associatives se trouvent en difficulté faute de financements suffisants.
Pourtant, 1 femme meurt toujours tous les 3 jours sous les coups de son conjoint. Et ce n'est pas le seul chiffre alarmant puisque la plateforme d'écoute a enregistré près de 34.000 appels l'année dernière. Selon les différentes études, une écrasante majorité des femmes maltraitées a au moins un enfant, qui est également victime de violence : 33 enfants ont été tués en même temps que leur mère. 23 d'entre eux étaient sur les lieux du crime ou ont découvert le corps... Mais seules 39% des femmes qui ont appelé le 3919 ont effectué une démarche auprès de la gendarmerie ou de la police.
Les enjeux sont donc immenses. Une présence forte de ces lieux d'accueil et d'écoute dans nos régions est indispensable pour libérer et recueillir la parole de ces femmes. Il est urgent de les doter de moyens financiers et humains suffisants afin que ces structures puissent répondre dans de bonnes conditions à la détresse des femmes victimes de violence.
Je sais pouvoir compter sur votre bienveillance afin de veiller au bon fonctionnement de ces lieux d'écoute et d'accueil. Mais il est impératif de mobiliser des moyens concrets pour les accompagner. L'Etat doit prendre ses engagements.
Dans cette attente, je vous prie de croire, Madame la Secrétaire d'Etat, en l'assurance de mes sincères salutations.
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lesfillesfilm · 8 years
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09-03-2017 | PROJECTION : LES FILLES | BERGERAC Le film sera projeté le 09 mars à 20h00 en présence de la réalisatrice. 20h00 espace F. Mitterrand. Organisée par L’oeil lucide et le CIDFF de Bergerac. En savoir plus : http://www.loeillucide.com/
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radiocapitole · 5 years
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Les enfants exposés aux stéréotypes de genre dès la crèche
Les enfants exposés aux stéréotypes de genre dès la crèche
Des chercheurs ont constaté que les bambins étaient exposés aux stéréotypes de genre dès la crèche. Lors d’un colloque du Cidff à Marseille, les experts ont révélé que les professionnels de la petite enfance favorisaient la reproduction des rôles sexués dans la société.
Les garçons sont “des p’tits durs” encouragés à bouger, tandis que les petites filles sont qualifiées de “princesses” qu’on…
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mirrorontheworld · 5 years
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Bien qu'ils assurent être "neutres", les professionnels de la petite enfance favorisent malgré eux la reproduction des rôles sexués véhiculés par la société, ont estimé plusieurs experts, réunis à Marseille lors d'un colloque organisé par le Centre d'information sur les droits des femmes et des familles (Cidff).
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