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#Centre-Bourg
pafpontcroix · 2 months
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from-derry · 4 months
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Il est 18h, vous entendez l’appel au centre bourg du shérif, diffusé sur les hauts parleurs, la sonnerie qui a dû servir d’alerte incendie il y a peut-être des décennies vous appelle à tous rentrer chez-vous.
C’est le deuxième et dernier rappel que la nuit va tomber, les adjoints et le shérif sont passés auparavant dans les rues en interpellant les gens qu’il était l’heure de ranger et se préparer pour la nuit. Vous accélérez le pas, vous n’êtes pas sûr d’atteindre la maison à temps – à trop vous presser, vous sentez que de votre sac tombe votre gourde (vous notez que c’est devant le diner, mais ne vous retournez pas pour la ramasser, elle sera là – peut-être – demain).
Vous n’auriez pas dû vous arrêter pour boire un dernier café avec Paul et Emily, et vous sentez votre cœur battre plus fort, autant par le rythme imposé que par le bonheur de voir qu’on vous attend à la porte.
Elle se referme derrière-vous et tout le monde se prépare pour la nuit, la mécanique est rodée, qui va cacher les fenêtres, qui s’assure que toutes les ouvertures sont fermées, qui vérifie que les talismans sont bien à leurs places.
« Chérie, tu ne vas pas me laisser dehors, c’est moi. »
Tous les regards se sont détournés de la fenêtre.
Bienvenue à Derry, petite ville d’une centaine d’âmes – au dernier recensement. Il y fait bon vivre, selon certains, la nourriture y est bonne, fraiche, les gens s’entraident, tout le monde est accueillant - tant qu’on peut vous voir à la lumière du jour. De toute façon, on ne quitte pas Derry – il n’y a aucune barrière, ne vous inquiétez pas. Il n’y a juste pas de sortie.
Vous pouvez suivre l'avancement du projet juste ici ou nous suivre directement pour ne rien rater ! ❤
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homomenhommes · 9 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 183
Emma, soirée et +
Nous arrivons dans une grande propriété des alentours. C'est une grande soirée, beaucoup de monde. Je reconnais quelques notables de la région et quelques hommes politique de premier plan. Nous sommes accueilli par la maitresse de maison, civilités avant de nous fondre dans la foule (une bonne centaine de personnes). Avec Emma à mon bras, je me fais remarquer. Au dernier moment elle m'a présenté à nos hôtes comme son fils.
Nous trouvons des connaissances et je laisse Emma pour aller nous chercher à boire au buffet. Derrières les tables, de beaux jeunes serveurs en vestes blanches et pantalons noir ajustés. Il y en bien un ou deux dont je ferais mon quatre heure !
Je suis rejoint par le seul autre jeune de l'assistance. Il commande aussi deux coupes de champagne. Je le dévisage de la tête aux pieds. Probablement plus jeune que moi, même taille en plus fin, blond cheveux mi long, lèvres pulpeuse de salope. Il se présente, c'est le fils de la famille. Il me demande avec qui je suis venu. Je suis le rôle que m'a donné Emma et dit que je suis le fils de madame X (notre hôtesse). Il me demande alors si dans quelques instants cela ne m'intéresserait pas de quitter cette bande de vieux. Vu sa gueule pas de problème pour moi.
Il m'accompagne jusqu'au groupe où Emma tient le centre de l'attention et se présente à ma mère tout en l'informant que nous allions nous retirer de notre coté. Emma me questionne du regard. Je hausse les épaules pour lui dire que je ne sais pas où cela va me mener. Elle m'autorise à le suivre sachant qu'il est le fils de la maison. C'est quand il se présente à ma " mère " que j'apprends son prénom, Pierre-Henri (y'a plus que les bourge pour oser les prénoms double !).
Nous quittons la réception. Il m'emmène au 2ème 'étage (il y en a trois en tout). Je le suis. Dès le pallier, il retire sa cravate et déboutonne sa chemise dévoilant un torse imberbe et plus musclé que ne le laissait supposer son costume. Il se tourne vers moi pour me dire d'en faire autant. Je dénoue ma cravate et fait sauter trois boutons. Il siffle alors en fixant mes pecs fraichement épilés suivi d'un " t'es bo-gosse toi aussi ". Il me dit de l'appeler PH comme ses potes. Je lui dis alors de m'appeler Sash. Je le suis jusque dans la chambre. Enfin plutôt l'appart qu'il occupe. Derrière une des doubles porte de l'étage, je débarque dans un espace de près de 150m² éclairé par une bonne demi douzaine de fenêtres donnant sur le parc. Dans cet espace, il a disposé une mini salle de muscu, un salon avec projecteur vidéo, une partie chambre avec un lit géant et derrière la tête de lit, j'aperçois une salle de bain avec jacusi. Encore un p'tit jeune malheureux !
Il jette sa veste par terre et m'enlève la mienne pour la poser sur un cintre. En même temps il pose sa main sur ma taille dans un mouvement assez caressant. Il me fait bander et mon pantalon marque la nouvelle forme que prend mon anatomie. Il le voit bien. Il s'éloigne de moi et retire ses vêtements de façon très naturelle, quitte son slip ES avant d'enfiler un short de marque assez petit. Y'a plus moche !
Il me dit que les grandes soirées de ses parents ça le gave grave. Nous discutons de choses et d'autres. Il a 18ans et va rentrer en fac de droit après un bac réussi avec mention bien. Je lui demande quel sport il pratique, tout en ajoutant que ça lui a sculpté un beau corps. Il tourne sur lui-même et me dit qu'il a fait, jusqu'à l'année dernière, de la danse classique. Et de ponctuer sa phrase d'un grand écart debout, impressionnant !
Je lui demande pourquoi il a arrêté vu qu'il semblait doué. Il me répond que sa relation avec son prof de danse avait été révélée et que ce dernier avait été renvoyé (vu que cela faisait quelques années que cela avait commencé). Je lui demande si elle ... il me coupe pour me dire " il ". Ok ça a le mérite d'être clair ! Il me dit que depuis il est plutôt passé à la natation et à la musculation, la danse n'étant pas une vocation pour lui. Je lui dis que le résultat est superbe et que cela l'a surement plus musclé.
Il me tend un autre short et me dit de le passer car il me dit avoir deviné que moi aussi je pousse de la fonte. Je n'ai pas de raison d'être plus pudique que lui et j'ôte mes vêtements. Quand je suis en slip, il s'approche de moi et sa main posée sur mon paquet admire mon slip. Je lui explique le truc, il trouve cela ingénieux ne le connaissant pas. Je le quitte et le lui donne qu'il voit l'intérieur, puis enfile le short qu'il m'a tendu. Je suis un peu plus épais que lui question fesses et je tends le tissus de façon plus qu'indécente. Il passe ses mains sur mes masses emprisonnées et je bande encore plus. Il pose sa main sur mon cou et m'attire vers lui. Nos lèvres se frôlent, se touchent, s'écrasent. Nos bouches s'ouvrent et nos langues font connaissance. Je suis aussitôt envahi par un organe plus long que la normale. Il arrive presque a toucher ma luette ! L'échange de salive fait son effet et nous chauffons grave ! Je plaque ma main sur son paquet. Sous le tissu synthétique, roule une belle bite dure. Le moulage est parfait et je sens qu'il est circoncis et que son gland à l'air conséquent. Il m'attire sur son lit. Nous chutons, moi dessous. Il se relève et tire mon short pour me le retirer (je ne l'aurais pas eu longtemps sur le cul !). Il reste debout à me regarder. Je lève les bras et passe mes mains sous ma tête. Mes pecs s'aplatissent mais le V de mon dos s'accentue. Il admire l'animal ! Son regard descend, il s'étonne du rasage de ma pilosité (enfin ce que je laisse, une mince bande courte entre mon sexe et mon nombril) cachée sous mon sexe bandé/collé à mes abdos, puis glisse sur mes cuisses. Couché, je lui dis d'ôter son short lui aussi. Il s'exécute. Je peux enfin l'admirer. Il tourne sur lui-même avec beaucoup de grâce. Il a un corps superbement bien développé (même si c'est en moins épais que moi). Je le félicite. Il me sourit, on dirait que la pièce s'éclaire (ok, ça fait cliché mais c'est ce que j'ai ressenti alors !).
Il s'approche doucement, il se place au dessus de moi à 4 pattes. Sa tête baisse et nous recommençons à mélanger nos salives. Au fait, il est bien foutu aussi coté sexe. Je dirais dans les 18/19cm par un bon 6 de diamètre bien droit et bien rose avec un gland rouge vif.
Il se pose sur moi de tout son long. Nous somme presque de la même taille et nos sexes se collent l'un contre l'autre. Il glisse au creux de mon bras. Nous regardons le plafond. Je le laisse gérer, après tout je suis un invité (lol). Il se met sur son coude et me regarde dans les yeux. Il me demande si Emma est vraiment ma mère, il l'a trouve un peu jeune. Je lui dis qu'elle m'a adopté. Il me demande crument " tu la baises !? ". Je lui demande ce qui peut bien lui faire penser cela. Il me dit que le regard qu'elle a eu sur moi alors que je partais avec lui, l lui a fait comprendre. C'était le même regard que posait sur lui son prof de danse.
Je me relève sur mon coude pour que nous soyons l'un en face de l'autre et lui dis qu'il a bien deviné. Je lui fais l'amour aussi. Puis je me penche et c'est moi qui l'embrasse. Je le repousse et c'est moi qui le domine maintenant. Nos lèvres collées, nos langues emmêlées, je glisse ma mains sur les cotes, sa taille et atteint sa bite. Elle est toujours bien raide et très dure. Ma main glisse sous ses couilles rasées et mes doigts se posent sur sa rosette. Je presse, deux doigts rentrent facilement. Il écarte les jambe pour faciliter ma pénétration. Sa langue redouble d'agitation. J'ai envie de savoir ce qu'une telle longueur d'organe pourrait faire sur ma bite. Je me place en 69 pour lui donner ma queue à téter. C'est très bon ! Ça ne m'étonne pas que son prof en ait usé. Sa langue s'enroule autour de ma queue et elle est très efficace sur mon gland. En attendant je suis à lui mettre trois doigts dans le cul. Il tend le bras vers la tête de lit et tire de sous son oreiller une kpote. Il la place lui même sur ma bite. Il se place tout seul en levrette, les reins cambrés et me supplie de l'enculer. Je ne peux ni ne veux louper ça. Je me place entre ses cuisses, mes genoux écartent les siens pour mettre son trou à la bonne hauteur. Je pose mon gland sur sa rondelle. Je n'ai pas le temps de me demander avec quel rythme je vais le pénétrer qu'il recule et s'enfonce d'un seul coup mes 20cm au fond de son trou. Il laisse échapper un cri. Je lui demande si ça va. Il me répond que c'est trop bon et que ça faisait trop longtemps qu'il en avait pris une dans le cul. Je le retiens bien enfoncé sur ma teub, mes mains accrochées à ses hanches. Il roule du cul pour bien roder son anneau. Quand je sens qu'il est prêt, je commence à me retirer. Quand je n'ai plus que le gland à l'intérieur, il recule brusquement et je claque mes couilles contres les siennes. Il m'a l'air d'aimer être pris en force. Je lui demande si son prof l'enculait hard. A sa réponse positive, je sais que je peux y aller franchement. Mes mains placées sur ses hanches je le tire vers moi durement à chaque fois que j'arrive à quelques cm de déculer. Quand je glisse facile, je me permets de sortir totalement à chaque va et vient pour mieux re rentrer après. Je pousse même le vice à attendre qu'il me supplie pour m'enfoncer à nouveau dans son trou. Il apprécie de se faire dominer. Nous changeons de position. Il tente de m'en mettre plein la vue avec des positions qu'un mec normal ne peut prendre. Je l'encule debout alors qu'il fait un grand écart entre le sol et le rebord d'une commode. Il est très souple et quand je le prends de face en chandelle, il se courbe jusqu'à se faire une auto fellation, et pas que du gland ! C'est d'ailleurs dans cette position que je le fais jouir et j'ai le plaisir de le voir se barbouiller les lèvres de sperme. Quand sa langue sort pour récupérer les giclées qui se sont égarées, je n'en peux plus et jute à mon tour, mais dans ma kpote !
Je sors de son cul et nous nous couchons l'un à coté de l'autre à regarder le plafond. Silence ... Soudain j'entends un " merci ". Réponse " pas de quoi, j'ai bien aimé moi aussi ". Silence ... Il roule sur moi. Son regard me fixe. Puis brusquement il saute debout et m'invite à me doucher avec lui. Je le rejoins et nous accédons à une grande douche à l'italienne. Je lui passe le savon sur le corps et il fait de même. Il parle peu. Je le, laisse gérer. Nous nous séchons réciproquement. Il est encore tout pensif. J'enroule le drap de bain autour de lui, bloquant ses bras contre son torse. Puis, je le tire vers moi et lui roule un patin. Ça le réveille et je sens sa lange s'enrouler autour de la mienne. Nous avons encore du temps devant nous. Il n'est que 23h et la réception devrait durer jusqu'au milieu de la nuit. Je le pousse sur le lit et le fait chuter sur le dos. Je m'installe à ses cotés sur le coude pour mieux pouvoir le regarder. Je le détaille encore plus que tout à l'heure où l'excitation du moment m'avait fait bâcler " l'examen ".
Qu'ai-je sous les yeux ?
Un jeune homme, blanc bien que bronzé avec marque du maillot (shorty), imberbe, cheveux blonds mi longs, tête plaisante avec une bouche pulpeuse (à tailler des pipes, si j'étais vulgaire !), yeux bleus, musclé plus que correct (même si moins que moi) avec des pecs bien soulignés, des abdos en tablette bordées de grands dentelés marqués, des cuisses fortes au dessus de beaux mollets galbés. Le sexe : 10/12cm au repos mais autour des 19 en pleine forme avec un 6cm de diamètre confirmé, au dessus de belle couilles rondes fraichement rasées.
Il m'a laissé le détailler sans bouger. Enfin un peu coté sexe avec un début de transfert de sang vers sa queue.
Quand il voit que j'ai fini, il attire ma tête vers lui et me roule à nouveau une pelle. Direct je bande ! Que voulez vous ? On ne se refait pas !
Quand il me libère la langue, je le questionne un peu. Il me dit être fils unique (bien venu au club !), des parent gentils mais assez absents, " célibataire " (petit sourire en coin) depuis un an. Je lui dis qu'il n'a quand même pas été un moine pendant cette dernière année, il me répond qu'il n'avait trouvé l'envi de baiser qu'une fois avec un mec de passage qu'il n'avait jamais revu. Je suis flatté d'avoir été le deuxième depuis sa séparation. Je lui demande s'il n'avait pu trouver personne dans son lycée (sachant que la réponse était non, suis je bête !). Il me dit gentiment qu'il n'y avait pas d'aussi beaux mecs que moi. Je me penche et c'est moi qui lui roule un patin !
En attendant, nous bandons franchement de nouveau. Nos mains s'égarent et trouvent nos sexes respectifs. Il me repousse et je glisse sur le dos.il me surplombe et m'examine comme moi tout à l'heure. Je le laisse faire et au retour de son regard dans le mien, je lui demande si ça lui convient. Il se colle à moi et me dit qu'il faudrait être con pour ne pas être satisfait. Flatteur !!
Nos érections sont toujours là. Nous attendons, couchés l'un contre l'autre. Il finit par se tourner et nous entamons un 69. Ok, il est doué aussi de ce coté là et m'avale entier. Mon gland joue avec ses amygdales sans le faire vomir. de mon coté je l'avale aussi profondément. Il apprécie les massages de son gland quand je dégluti par rafale. ;Nous nous repoussons à temps pour nous juter dessus. Son sperme est bien blanc épais, il fait de beaux zebrages sur mon bronzage. Le mien a marqué son torse en diagonale, jusque sur son cou. Nouveaux temps " mort " puis re douche.
Vu l'heure nous nous résignons à remettre nos vêtements officiels. J'ajuste sa cravate et passe ma main dans ses cheveux pour remettre un semblant d'ordre. Dans l'escalier qui nous ramène à la réception, il me demande si on pourra se revoir. Je réfléchi un peu, les pours : il est mignon, bien foutu et il aime le sexe. Marc peut le kiffer. Les contres : j'en trouve pas ! Je lui réponds donc que c'est Ok pour moi mais je le prévient tout de suite que je suis maqué et qu'il devra me partager comme nous, mon mec et moi, le partagerons.
Du coup c'est lui qui se met à réfléchir. Ce n'est qu'une fois arrivé en bas qu'il me donne sa réponse. C'est OK pour lui. Je le préviens qu'il va apprendre d'autres pratiques que celle de son prof de danse, car c'est sur une autre musique qu'il va bouger. Il éclate de rire. Ça attire le regard d'un bon tiers de la foule dont ses parents. Ils s'en viennent alors vers nous comme Emma. Cette dernière m'examine et voit tout de suite que je me suis déshabillé et comprend que nous avons fait l'amour. Je m'approche d'elle et la prend par le bras. Les parents de PH le questionnent sur sa brusque gaité (depuis un an, il leur fait la gueule !). Il leur dit qu'il vient de se faire un nouvel ami et que ça le met en joie (bonjour le phrasé coincé !). Ils se tournent vers Emma et lui demande si cela ne la gène pas. Comme si nous étions des mômes ! Ça fait rire ma " mère " et elle nous accorde sa bénédiction (elle a appris qu'avec moi il faut me laisser libre pour me garder). Je l'embrasse au coin de la bouche et lui dit merci. Quand nous partons (moi et PH) bras dessus bras dessous, j'ai le temps d'entendre le début du récit des déboires subit par ses parents durant l'année passée.
Il m'a collé tout le reste de la soirée alors que je faisais mes " civilités " auprès de tout ce qui compte dans la région. Notre " couple " soulevant des compliments à chaque entrée dans un groupe de discussion.
Avant que nous partions, nous avons échangé nos n° de téléphone et cela faisait pas 5 mn que nous roulions qu'il m'a appelé. Il voulait savoir quand nous nous reverrions puisque nous n'avions pas fixé de date. Emma tout bas m'a dit que je pourrais disposer de la journée du lendemain si je voulais. Elle me mettait en vacances et je n'étais donc pas obligé de la suivre dans son taf.
Je transmettais la proposition et il me dit alors de revenir chez lui dès que je pourrais.
JARDINIER
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red is a risk
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pixdar · 4 months
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Série « Le Plessis-Bouchard… avant ».
Le rond-point du centre-bourg. 6 février 2018.
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lounesdarbois · 11 months
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La racaille est un nemesis. Les destructions ont visé pour le moment des marques et des structures qui ont speculé sur la persécution des Blancs depuis 20 ans : - Five Guys (Obama) - Foot Korner (pro-racailles) - Action (produits plastiques ultra-discount sur le modèle americain) - Lidl (regardez la clientèle d'un Lidl) - Chatelêt (sans commentaire) - Macdo - Centres des impôts - Concessions Yamaha (T-Max) - Zoo (symbolique du singe lâché) - Mediathèques (livres débilisants pour enfants lus par grosses dames vengeresses) - Mairies - Écoles (école obligatoire 2023 = gynécée autour d'un octogone de MMA, présence obligatoire) - caméras de surveillance
Voilà. Qui veut bouger pour défendre ces moyens de coercition? Toutefois il faut raison garder. Les récentes algarades nocturnes sont le fait de très parcimonieux dilettantes racailles. Il n'y a là rien qui annonce "la vraie grande pluie qui balaie les trottoirs" (Taxi Driver). Tous ces paresseux se sont excités sur ce qu'ils avaient à portée de main mais ils ne sont pas "allé chercher" hors de leur zone de confort (ce sont des bourgeois) les vrais leviers de vrai pouvoir, et ils n'en n'ont même pas seulement eu l'idée (ce sont des primitifs): - Skyrock - CAF - Sièges de banques agressives style Goldman Sachs, Rotschild - Sièges de partis politiques - Journaux, presse, TV, médias (un seul journaliste de Libé dépouillé de son appareil photo, c'est ça une "jeunesse révoltée en lutte"?) - Les fourrières - Les Influenceurs - Les fauteurs de guerre - Les gens qui ont touché au business de la pornographie. - ambassades étrangères - dépôts de carburant
C'est dire comme ces remueurs de merde estampillés lutteurs pour la justice sont loin du compte. Zéro conscience politique, cent pour cent cerveau reptilien.
Quand à la police lâchée par sa hiérarchie elle a pris grand soin de ne pas abîmer la racaille alors qu'elle mutilait exprès les Gilets Jaunes en visant la tête ("a voté") pendant 2 ans.
Les Gilets Jaunes d'ailleurs, doivent ne surtout pas sortir du bois. Dès lors qu'il y aurait 2 fronts le pouvoir se débrouillerait pour les envoyer l'un sur l'autre. C'est là une des grandes prédictions de Roger Holeindre, Dieu ait son âme: "si on descendait dans la rue le pouvoir armerait les banlieues dans le quart d'heure pour sauver la république", et on peut croire sur parole cet homme dont chaque mot fût payé par des actes dans sa vie, et quels actes!
Il ne faut pas s'affoler pour 3 supermarchés pillés, 2 caméras sciées et quelques infrastructures de parc à bestiaux momentanément endommagées. "Y a tchi" comme on disait à Grenoble. Est-ce cela le chaos? Mais alors l'ordre public est cent fois pire avec sa mort lente unanimement admise, le "bah c'est la vie hein c'est comme ça" de tous les mouligasses qui y sont rois, qui vous imposent leur sale rythme et vous rendent faibles.
L'ordre public, "l'apaisement", pour quoi faire ? Pour que des trans éduquent des racailles dans les écoles ? Pour que des dindes masquées DRH virent des pères de famille de 55 ans? Pour que des prédatrices fanatisées dépouillent par divorces des acharnés réglos bosseurs pacifiques? Tous ceux, police et braves gens qui essaient d'empêcher le nemesis de faire son œuvre, se battront à leurs risques et périls pour la parité, pour le "mois des fiertés", pour les foules sorties du néolithique il y a 2 semaines et qui frappent à la porte, pour le masque et l'asepsie, ils se battront pour ce qui les tue et cela au profit de la syna, des loges, des bourges, et de toute la nomenclature hispano-romagnole "européenne" des Nunez/Hidalgo/Valls/Castaner.
Les masques tombent, y compris ceux des états "alliés" algériens, américains. Lisez leurs récentes circulaires officielles concernant nos malheurs. La manière dont ces fissdep entassés devant le KFC en flammes suent d'impatience de grapiller quelques chicken wings dans la curée promise est le plus merveilleux tombé de masque en plein jour depuis Yalta. Ils n'ont pas compris que l'histoire de France a toujours précédé l'histoire de leurs nations: 1776, 1830, etc. Et l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne... s'il arrive malheur à la France ce qu'à Dieu ne plaise toutes ces nations qui la jugent se mangeront l'onde de choc comme sous Bonaparte. La France, faute d'être aidée et aimée, est la nation "seule contre tous" mais tous ceux de l'intérieur et de l'extérieur qui ricanent de la voir sans défense se trouvent un jour fort dépourvus lorsque confrontés à de surprenants nemesis.
"Je vais dormir tranquille maintenant car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"
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le village de Kintzheim en Alsace 🥨
Kintzheim, un village au cœur de l'Alsace
Niché au sud du département du Bas-Rhin, à quelques encablures de Sélestat et d'Orschwiller, le village de Kintzheim vous plonge immédiatement dans un paysage typiquement alsacien. Avec son château, ses maisons à colombages, ses magnifiques forêts de sapins et ses vignes à perte de vue, le décor est planté.
Surplombé par les coteaux du Hahnenberg et les collines du grand cru Praelatenberg, la commune est au centre d'une grande terre viticole.
Levez la tête et admirez le spectacle d'un vol de cigognes. Ces oiseaux migrateurs ne s'y sont pas trompés et élisent chaque année domicile sur les cheminées du bourg.
Les nombreuses activités à faire en famille à Kintzheim
Impossible de s'ennuyer à Kintzheim ! Dans un rayon de quelques kilomètres vous avez accès à une multitude de sites exceptionnels à visiter en couple, en famille ou entre amis.
La Montagne des Singes
L'Alsace n'est pas connue pour être un territoire des singes !
Pourtant plus de 200 macaques de barbarie batifolent en semi-liberté au cœur de la forêt de Kintzheim. Plus précisément dans les 24 hectares du parc de la Montagne des Singes.
Cette espèce de primates issue des montagnes d'Afrique s'est parfaitement adaptée aux rudes hivers alsaciens.
Dans ce parc animalier vos enfants seront ravis de nourrir ces singes friands de pop-corn !
Le Château de Kintzheim et sa Volerie des Aigles
Dans son écrin majestueux, la Volerie des Aigles du Château de Kintzheim est née il y a plus de 50 ans. Depuis l'origine son objectif est de contribuer à la sauvegarde des espèces en danger. En outre, elle souhaite réhabiliter l'image des rapaces aux yeux du grand public.
Aujourd'hui ce parc accueille petits et grands pour des visites et des animations avec des spectacles et des animaux en vol libre.
Le Château du Haut-Koenigsbourg
Ce n'est pas un hasard si le Château du Haut-Koenigsbourg a souvent servi de décor pour le cinéma.
Plantée à 757 mètres d'altitude, cette forteresse patiemment restaurée domine par l'ouest le village de Kintzheim.
C'est incontestablement l'un des plus beaux sites d'Alsace. Cela fait de lui un lieu incontournable à visiter.
Son superbe panorama sur la plaine d'Alsace, la Forêt Noire, les Vosges et même les Alpes vaut à lui seul le détour.
Cigoland, le parc à cigognes de Kintzheim
Vous voulez passer une excellente journée de détente avec vos enfants ? Un parc à taille humaine dédié à la préservation de la cigogne blanche existe depuis plus de 40 ans.
L'objectif pédagogique initial de Cigoland a depuis été complété par l'installation d'une vingtaine d'attractions.
Vous assisterez également à des animations adaptées à tous les âges pour tout savoir sur l'emblématique échassier d'Alsace.
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whencyclopedia · 2 years
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Bourges Cathedral
Bourges Cathedral, dedicated to Saint Stephen, is a Gothic cathedral located in Bourges, Le Cher, central France. Built from 1195 to 1245, the cathedral is one of the largest in Europe and contains many magnificent stained glass windows which date to the 13th century. Bourges Cathedral is listed by UNESCO as a World Heritage Site.
Renewal & Expansion
Legend has it that today's cathedral is situated on the spot Saint Ursinus founded a church in the 3rd century. More certain is the existence of a Romanesque cathedral at the site from the 11th century, credited to the efforts of Archbishop Gauzlin (1013-1030). This church was expanded in the mid-12th century under the guidance of Archbishop Pierre de La Châtre (1141-1171). Exterior architectural elements and sculptures of this later version were reused in the present Gothic cathedral. By the final decade of the 12th century, the Romanesque cathedral became too small for the city's needs, now the centre of an expanded diocese, and so the people of Bourges began plans to build a new cathedral in the High Gothic style, the first such edifice in France south of the Loire river.
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Giulia Essyad, BLUEBOT, 2021. Installation view at Chêne-Bourg station. Coproduction: Fonds Cantonal d’Art Contemporain Genève (FCAC) and Centre d’Art Contemporain Genève for MIRE and BIM’21, with the support of Fonds Municipal d’Art Contemporain de la Ville de Genève (FMAC) and l’Arsenic – Centre d’art scénique contemporain.© Serge Fruehauf.
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Pink flamingos and Halloween
Leaving Miravel where we had stayed to visit Montpelier, we were lucky to see the resident pink flamingos. It was great to see these birds in flight as they joined hordes of their flock on the salt marshes, creating a sea of pink just outside the village.
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Travelling north, we drove through the Ardeche Mountains National Park - said to be the best place in France. The autumn colours on the trees were beautiful and we passed through tiny villages as the road wound through the mountains. At one point, the road was actually cut into the rock face with a sheer drop to one side - absolutely terrifying. Then it was a case of what goes up must come down as we faced a steep hill for several kilometres coming down the other side - equally frightening. But the journey was so worth it as the countryside was stunning.
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Here there is a famous hiking route, the Chemin de Stevenson, inspired by a trip taken by the author Robert Louis Stevenson and his donkey.
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Now we have travelled several hundred miles to the centre of France, leaving the warm southern weather behind. It’s noticeably cooler with showers and we’re definitely feeling this change in temperature.
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We have been visiting the city of Bourges, famous for its half timbered houses.
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Another city and another cathedral; this one has been built in the Gothic-style with a cavernous interior of stone columns and 13th Century stained glass. Over the last four years, the church, which is dedicated to Saint Stephen and is the seat of the Archbishop of Bourges, has undergone a multi million pound restoration project.
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In the centre of this small city, a tree sculptor had been commissioned to carve a sculpture from two giant old trees which died this summer. The trees were so much a part of Bourges that the city wanted to preserve them for future generations.
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During our visit, we found an interesting Art Deco park sitting next to the canal. The park was created in the 1920s and included fountains and colourful planting alongside arches of conifer trees and even an amphitheatre. This park was a lovely peaceful place to take a break from the sightseeing.
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Halloween is in full swing here and across the city, shops and their staff are holding nothing back with their decorations and costumes. Children have been getting into the spirit of of the season as well and the streets are full of witches, ghosts and all manner of super heroes. Halloween is big business in France.
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We are on the last leg of our journey now and tomorrow we head further north for our final stop on the banks of the River Seine.
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iranondeaira · 5 months
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... rêve d’une nuit d’été 2020 ... et d’une soirée d’automne un samedi soir sur la terre ... où je n’aurais peut-être pas dû aller ...
💤 La Goulette, rue de la Verrerie , presque à l’angle de la rue du Temple . Restaurant gargote tunisienne où j’ai traîné pendant des années ... entre L’Imprévu café rue Quincampoix, Mariage Frère rue du Bourg Tibourg, Le Comptoir de l’écriture rue "je ne sais plus" ... et les diverses boutiques d’artisans de ce carré ... c’était il y a pas loin de vingt-cinq ans...
Qu’est-ce que je fais ici ? Aujourd’hui ?
Ou cette nuit ? Il fait nuit ... je marche, je me vois tourner à l’angle et remonter vers le centre du Marais , je passe trottoir de droite et j’arrive à hauteur d’une entrée ouverte sur la rue, une musique coule d’une volée de marches qui montent à un lieu appelé le Bistrot Latin accolé intégré au cinéma le Latina ... Pourquoi suis-je entrain de revoir cette scène ?
📚 La nuit sous un autre jour ...
"Ballada por un loco"
Voilà... La nuit... c'est beau une ville la nuit, au moment où les ombres s'allongent. Une réalité en demi-teinte réduite aux sphères de lumière des lampadaires, repères et témoins de nos pas incertains dans une atmosphère aux couleurs mêlées aux parfums de la rue.
Mais, au croisement de celles-ci, les villes se rencontrent et nos pas donnent la mesure de nos passions partagées.
Une lumière éclabousse le trottoir, une musique enveloppe nos corps.
Pour cette "ballade pour un fou", je vous emmène jusqu'au bout de la nuit ... 📚
C’était en 1995 ... Pourquoi suis-je à nouveau dans cette rue où j’y rattache réellement mes premiers pas de danseur au sens d’apprendre, de poser mes pas dans ceux de mes maîtres que je me suis choisi ... La scène est je crois la même, l’atmosphère a quelque chose de "différent" ... les silhouettes des gens dans la rue, elles sont presque sans teintes de couleurs, en demi-teintes fades d’un éclat passé, ils sont pressés les passants comme si je dérangeais ; les regards de reproches de me dire que je n’ai pas lieu d’être là. Des visages grimaçants déformés d’émotions obscures et limites malsaines ... ils ont forme humaine... juste forme ...
Je ne comprends pas ce que je fais là, pourquoi ces visages caricature d’instinct animal ? Je monte les marches du Bistrot Latin, que de souvenirs s’y rattachent ... l’endroit est presque tel quel, c’est étrange on dirait un mélange d’autres lieux que j’ai connu, voire de scènes de films ... à moitié en couleurs et en noir et blanc ... Il semble n’y avoir personne, juste les silhouettes brumes fantomatiques esquissées du souvenir de gens qui un jour ont été sur cette piste de danse ou au comptoir ...
Et au milieu de la piste, il y a un corps .
Face contre terre . Le visage en sang . Il y a du sang rouge sur le plancher de la piste de danse autour et sous lui . Le visage est abîmé tout autant que chaque partie de cet homme . Pourquoi suis-je par terre ? Pourquoi suis-je entrain de voir ce corps là au milieu ? En sang ? Pourquoi n’ai-je pas mal ? Je devrais hurler de douleur si j’en crois l’état des blessures . Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? Ce n’est pas normal !
Il y a trois formes silhouettes qui regardent ce corps . De deux d’entres elles se dégage une sensation malsaines de plaisir jouissif... de la troisième irradie l’exacte opposée ...
Pourquoi n’ai-je pas la conscience vrillée par la douleur, cela devrait être intolérable ... Qui sont ces silhouettes personnes qui regardent, me regardent ? Pourquoi tout ce sang ? Pourquoi suis-je dans cet état là ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi revenir ici ? Pourquoi ce lieu est-il plusieurs ? Pourquoi la sensation des passants défigurés dans la rue était signal de danger ? Pourquoi y a-t-il face contre terre mon corps baignant dans du sang que je crois être le mien et là maintenant une évanescente bleutée superposée reflet/silhouette sur/dans ce corps mais face vers le ciel ? ... ... ... 💤
Réveil ... ... ... ... ... ...
💃 On peut mourir de multiples façons ...
Oui c’est aussi simple je n’ai plus mal pour la toute simple raison que je suis mort . Après tout, c’est assez logique... trois vies ... j’ai tenu trois vies ... la première a tout pris ou peu s’en faut...
la seconde a tout détruit et a abîmé tout ce qui était beau ...
La dernière m’a donné l’espoir et ensuite m’a enlevé mes dernières illusions d’homme ...
je pouvais mourir ...
Toi, la dernière car ce sera "toi sinon personne", toi qui m’a dit Oui ,qui fût ce petit lapin blanc dans mes ténèbres, ne pas te voir est une épreuve, te voir l’est tout autant ... et là ce soir, cette soirée 💃 d’un samedi soir d’automne me donne à relire ce rêve dont je n’avais dans la symbolique pas toutes les clés ... ...
il me reste ce chemin où je suis ... " du cap de la colère jusqu’au bout du monde " ...
Je sais que je suis seul depuis l’âge de quatre ans , c’était un jour de carnaval, un jour de mardi gras ... je sais que je n’ai jamais été dans cette foutue caverne , je sais que je me suis évertué à y rentrer, je sais que je n’aurai jamais dû ouvrir certains livres, je sais que je n’aurai jamais dû chercher à entendre le bruit de la plume dans le cheminement de la pensée de ses esprits , à regarder entre l’encre et le papier ... Je sais je l’ai appris on me l’a posé sur la table, que ma mémoire affective est étonnement développée et que mes souvenirs archaïques sont au-delà du commun, j’ai arrêté de douter d’eux après pas loin de plus de quarante années ... je sais que je n’aurai pas dû plonger ... On ne revient pas inchangé de certains voyages ... ni indemne.
Adieu toi que j’aime, puisque tu as "choisi" ... je me sais avoir encore plein d’encre dans l’encrier de mes yeux pour écrire, alors pardonne-moi si de loin en loin je te rappelle à mon souvenir... peu savent et quant à la morale de la chanson elle me fait sourire car hélas pour moi je connais les coulisses ... et nous aurions pu inventer notre vie ...
Tu fus et tu resteras ma plus belle danse .
J’aurai aimé être toi si j’étais né femme... j’aurai aimé partagé ta vie ... je ne voulais somme toute que peu de choses voire presque rien , j’aurai aimé danser avec toi jusqu’au bout ... et non être ma danseuse n’implique pas d’être ma femme obligatoirement comme tu me l’a jeté au visage ... j’avais trouvé en toi,hélas pour moi, ce que je ne me savais pas cherché ... je l’ai trouvé et je l’ai perdu ...
s’il paraît que les dieux quand ils veulent vous punir exaucent nos vœux alors je peux savourer ce que j’ai trouvé au prix de ce que j’ai perdu .
Il est rare de trouver en l’autre la vibration qui résonne sur la même fréquence ... je le sais pour la simple raison que tu fus la clé qui me donna à aller là où normalement le chemin en est à jamais perdu ... je sais pourquoi j’ai dansé ... je te laisse ces lieux je n’y reviendrai plus ...
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garadinervi · 2 years
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Peter Downsbrough, A Tale of the Space Between, École Nationale Supérieure d'Art de Bourges, Bourges, Galerie La Box, Bourges, Tropismes Libraires, Bruxelles-Brussel, 1998 [Exhibition: Livres d’enfances, École nationale d’art décoratif, Aubusson, Organized by Pays-Paysage, Centre national du livre d’artiste and Les Écoles nationales d’art décoratif de Limoges et Aubusson, 1998] [MCAD Library, Minneapolis, MN]
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from-derry · 4 months
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Joker Joe - En marge de Derry - 54 ans
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On sait très peu de choses sur Joe. Il semble qu’un jour il soit apparu en marge de Derry, qu’il ait une petite cabane dans les bois. Il fait sa vie à une distance respectueuse du centre-bourg, et survit grâce à la cueillette, à quelques pièges disposés dans les bois et au troc. Il les échange contre des biens utiles à son confort ou offre sa force de travail.
Joe est en réalité un vétéran de l’armée étranglé par le stress post-traumatique. Il ne se souvient pas comment il est arrivé à Derry, il sait juste qu’une nuit il a pris la voiture familiale, laissé derrière lui sa mère, sa sœur et son neveu le temps de quelques heures pour se vider la tête. Il n’est jamais revenu.
Il vit dans une cabane rudimentaire, qui n’est reliée ni à l’eau ni à l’électricité, dans un confort minimal et sommaire. Timide, mal à l’aise dans les grands groupes, il n’est par contre jamais avare de conseils ou astuces à partager en vue d’améliorer le quotidien. C’est chez Simone qu’il vient deux à trois fois par semaine pour se laver ou faire une lessive. Il n’oublie jamais une petite réparation chez elle, ou un menu présent : des herbes fraîches, un bouquet de fleurs, une poignée de baies sucrées.
NB : Joe, en jeu, peut aussi servir de joker en cas de mort rp refusée. Il suffira d’en faire la demande auprès du staff et Joe pourra intervenir pour vous sauver de votre mauvaise posture.
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Hola la population ! Ça va nettement mieux après une bonne nuit de sommeil 👌Je vous présente donc Quito /o/
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(oui, bon, c'est une ville, c'est moche). J'ai passé la journée à me balader dans la partie coloniale de la ville, qui est plutôt jolie pour le coup.
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Au centre de la place principale, on trouve une grande sculpture qui célèbre l'indépendance de l'Equateur en 1822 : on peut voir un lion en train de mourir (l'Espagne, leurs colonisateurs), un condor en train de briser une chaîne d'esclave (c'est l'animal symbole du pays), et une espèce de statue de la liberté par dessus.
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Plein de vieux bâtiments un peu partout (ça change de la Nouvelle Zélande), ils ont aussi plein d'églises, on sent qu'ils sont assez pratiquants ! (Ou qu'ils l'ont été)
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Dans la grande basilique (où j'ai pris la photo du vitrail hier), recopiée sur celle de Bourges, il y a un petit détail assez marrant ... Toutes les gargouilles sont en forme d'animaux locaux !
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Par exemple, là, vous avez un paon et un condor (et autres piafs non identifiés, il doit y avoir une harpie), mais j'ai aussi vu un tatou ou un caimán, c'est assez marrant !
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Je suis aussi passée par le musée ethnologique des cultures amazoniennes. (Qu'est ce qu'elles étaient belles en vrai ces coiffes ...) En bas à gauche, l'espèce d'écharpe avec des pompons en plume, ce sont en fait des boucles d'oreille : on met le tissu sur la tête comme une coiffe, et c'est censé tomber pile poil sur les oreilles
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Une des coutumes un peu ... Frappantes, est celle des rituels funéraires d'une des tribus. Ils mettent la personne décédée en position foetale dans la grande urne en bas à gauche (quitte à te casser un peu les bras ou jambes si tu es trop grand et que ça ne rentre pas ...), La referment, et la gardent au dessus de leur maison pendant un ou deux ans (parceque comme dit le guide "ça sent moins mauvais que dans la maison"). Ensuite, ils la redescendent, vont laver les os dans la rivière, les rangent dans l'espèce de tronc creusé à droite, et l'enterrent !
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Pour idée, un condor, ça ressemble à ça ! Et c'est marrant les mâles ont les yeux jaunes et les femelles rose/rouge, ça fait assez bizarre. Dans le même style de grands oiseaux, ils utilisaient aussi la harpie en chien de garde : elle se mettait à hurler dès qu'une personne inconnue s'approchait du village !
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Voilà, des bizoux depuis le soleil et le ciel bleu 🥰 Il fait juste la météo parfaite ...
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pixdar · 29 days
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Série « Le Plessis-Bouchard… avant ».
Réaménagement du centre-bourg. 9 mai 2009.
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musicmaniahub · 1 year
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Victor Wembanyama: Biography, Wikipedia, Age, Family, Networth, Career, College, Congo
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Victor Wembanyama Biography Victor Wembanyama is a French professional basketball player currently playing for Metropolitans 92 in the LNB Pro A. Born on January 4, 2004, in France, Wembanyama stands tall at 2.20 meters (7 feet 3 inches) and excels as a power forward. Considered one of the most promising European players of his generation, he is widely anticipated to be the number one overall selection in the NBA draft in 2023. Victor Wembanyama Early life and youth career Wembanyama was born in Le Chesnay, France, and began his athletic journey as a goalkeeper for a football team before transitioning to judo. Guided by his mother, a former basketball player, Wembanyama developed his basketball skills from a young age. He started at his hometown club, Entente Le Chesnay Versailles, and later joined the youth program of Nanterre 92 at the age of 10. Despite receiving offers from prominent clubs such as FC Barcelona and ASVEL, his parents decided to stay with Nanterre. Wembanyama's impressive performance in the Minicopa del Rey tournament, where he secured third place with his team, showcased his talent with 16 points and 15 rebounds in a crucial game. Victor Wembanyama Professional career Wembanyama joined Espoirs Nanterre for the 2019-20 season to compete in the French under-21 league, LNB Espoirs. In the Kaunas Tournament, a qualifier for the Adidas Next Generation Tournament (ANGT), he set a new ANGT record with nine blocks, along with 22 points and 15 rebounds in a victory over Zaragoza's under-18 squad. He led the tournament in blocks and earned a spot on the all-tournament team. With consistent contributions, he averaged 15.8 points, 12 rebounds, 2.8 steals, and six blocks per game. Wembanyama made his debut with Espoirs Nanterre in September 2020, showcasing his skills with an impressive performance of 22 points, 18 rebounds, five blocks, and four assists against Espoirs JL Bourg. He also played for Centre Fédéral, an amateur squad associated with INSEP, where he continued to impress with his abilities. In October 2019, Wembanyama made his professional debut for Nanterre 92 in the EuroCup. He made his first appearance in the LNB Pro A in September 2020, contributing to the team's victories. He was honored as the best young player in the Pro A division during the 2020-21 season. Afterward, he made the decision to join ASVEL, where he displayed his talents in the Pro A and the EuroLeague. Presently, Wembanyama has signed a contract with Metropolitans 92 in the Pro A. Victor Wembanyama National team career Wembanyama has represented France in various international competitions. In the 2019 FIBA U16 European Championship, he played a crucial role in France's success, contributing 12 points, 21 rebounds, and eight blocks in the quarterfinals. He was instrumental in securing the silver medal for France, earning a spot on the all-tournament team. He also participated in the FIBA Under-19 Basketball World Cup in 2021, helping France win the silver medal and receiving recognition as an all-tournament team member. Victor Wembanyama Personal life Basketball runs in Wembanyama's family, with his mother being a former player and his father having competed in long jump. His older sister, Eve, is a professional basketball player who won a gold medal with France in the FIBA U16 Women's European Championship in 2017. Victor Wembanyama's heritage traces back to the Democratic Republic of Congo through his father's side. Overall, Victor Wembanyama's impressive skills, towering height, and remarkable performances have established him as a rising star in the world of basketball, garnering attention and anticipation for his future achievements. Read the full article
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bachassclub · 1 year
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  Le document ci-dessus représente les élus putschistes de l’automne 2021, réunis chez Robert Barde (maillot rayé, à droite) dans la salle de réunion de son entreprise de Bourg-de-Péage : issu.e.s de la majorité de Lysiane Vidana, élu.e.s avec elle en juin 2020 à la mairie de Chabeuil, ils créent ici un groupe d’opposition, Agir pour Chabeuil et convoquent la presse pour l’annoncer. A ce moment de leur aventure politique, ils veulent rester au Conseil municipal, et ne comptent pas en démissionner : Ils souhaitent ainsi pousser la maire de Chabeuil à la porte, pour...mettre l’un des leurs à sa place, sans élection générale, sans passer devant les électeurs. Mais Lysiane Vidana n’a pas cédé : il leur a donc fallu in fine démissionner du Conseil, provoquant mi-décembre son effondrement par une dissolution préfectorale qui appelait de nouvelles élections, en février 2022. ©Marlène Honorat. On reconnait sur sa photo (Drôme-Hebdo du 18 novembre 2021), de gauche à droite : Jean-Emmanuel Grégorio (à gauche, lunettes, grimace), Alban Pano (écharpe blanche), Thérèse Merit (doudoune, pull rayé) et Robert Barde, tous finalement co-listiers d’Alban Pano, tous élus avec lui en 2022, seuls bénéficiaires, électoralement parlant du putsch. Au centre (moustache), on reconnait le désormais tristement célèbre Patrice Courthial, maître d’oeuvre du coup d’état, ‘proclamé leader du groupe’ dans cette conférence de presse ; il n’aura cependant pas le courage de se (re)présenter devant les électeurs. 
UN AN DE PANO, ÉPISODE 1 : TOUT A COMMENCÉ PAR UN POUPOUTSCH, SAUCE CHABEUILLOISE...
Cet hiver, la mi-décembre marquait le premier anniversaire de la publication de l’arrêté préfectoral du 16 décembre 2021 qui signifiait la fin brutale du mandat de Lysiane Vidana, élue seulement 16 mois plus tôt, en juin 2020. La préfète de la Drôme convoquait par la même occasion les ‘électeurs de la Commune de Chabeuil en vue de l’élection partielle intégrale de 29 conseillers municipaux’ les 6 et 13 février qui allaient suivre. Épilogue lapidaire d’un sinistre coup d’état manoeuvrier conduit par une camarilla d’élus regroupée autour de Patrice Courthial, adjoint à l’urbanisme et caïd du régime Vidana. Un an plus tard, on peut reconstituer le déroulé des faits, au regard de nouveaux documents, et de nouveaux témoignages. Parce qu’il faut connaître mieux ce passé récent -et violent- si l’on veut comprendre bien la situation politique actuelle à Chabeuil, où la vie publique semble baignée d’une béatitude surjouée, témoin d’un irénisme absurde. L’élection dégagiste de février 2022 qui s’en est suivie, tenue après une campagne fébrile qui a raclé les fonds de tiroirs du personnel (exception pour la tête de la liste Pertusa) politique local, et la première année de gestion d’une équipe Pano toute nouvelle et inexpérimentée, feront l’objet d'un épisode 2, à paraître bientôt, quand on pourra marquer correctement l’anniversaire de l’élection d’Alban Pano à la mairie de Chabeuil et bien lire le ‘panotisme’ dans tous ses attendus. Dans ces deux articles, on entendra entre autres la voix de Lysiane Vidana, qui jugera de tout ça, sans concession pour les putschistes. Et avec une lucide sévérité quant à ses propres erreurs et manquements avant et pendant la crise.
L’ARRÊTÉ DU 16 DÉCEMBRE, précisait très utilement les contours des dates des nombreuses démissions qui avaient mis à mal le Conseil Municipal de Chabeuil dans les semaines qui avaient précédé : ‘vu les démissions successives des conseillers municipaux de leur mandat (…), effectives dès leur signification au maire et intervenues entre le 29 octobre et le 11 décembre et considère que ‘le conseil municipal, d’un effectif légal de 29 conseillers municipaux, a perdu, par l’effet des vacances survenues, plus du tiers de ses membres et [ne] compte  [plus que] 14 membres’. On était enfin fixé. Parce qu’entre le 26 octobre en fin de matinée où Patrice Courthial avait rendu ses délégations (urbanisme, etc...) et tonitruait publiquement cette annonce sur sa page FaceBook et la date de cet arrêté, Chabeuil avait vécu une période sinistre de ragots et de désinformation, d’enfumage et de rumeurs, sans que jamais les frondeurs ne donnent vraiment leurs raisons sur le fond, sans informer les chabeuillois de leurs désaccords avec la maire de Chabeuil. Drôme-Hebdo titrait même (4 novembre) : Démissions, un silence assourdissant. Une sale période de brouillard marécageux s’était ouverte, maussade, quand Chabeuil devait s’habituer aux coups de boutoirs désordonnés du clan Courthial. La presse locale jouait plutôt bien son rôle et égrenait tant bien que mal les démissions des uns, des unes et des autres, dressait la liste de leurs délégations abandonnées, pendant que Chabeuil s’enfonçait dans la crise politique, au rythme de ses informations. Point culminant mi-novembre avec la création d’un groupe fantoche, Agir pour Chabeuil, (voir donc photo ci-dessus) issu du groupe majoritaire, fort de 18 membres (sur 24 composant le groupe majoritaire élu en 2020) mais qui se plaçait par cette manoeuvre en opposition à Lysiane Vidana. Mais la date de la nouvelle élection était connue depuis qu’au début de la semaine du 6 décembre, Lysiane Vidana avait prévenu son entourage : ‘C’est fini…c’est fini…ça va aller vite…les imbéciles…’ Elle venait en effet de recevoir enfin les lettres officielles de démissions (du Conseil) et pouvait faire le total de celles qui étaient nécessaires pour effondrer le conseil municipal, et son mandat par la même occasion. Sur un ton triste et dépité, abattu, c’étaient bien sûr les patrons de la fronde en cours qui étaient visés, ‘les imbéciles...’,Patrice Courthial en tête, son instabilité, ses intermittences, épaulé par Pierre-Marie Dieval, adjoint à l’environnement, récemment rallié (issu d’une troisième liste, maintenue au 2e tour en 2020, siégeant d’abord dans l’opposition, il avait rejoint dès avril 2021 la majorité de Lysiane Vidana en dépit du bon sens des engagements pris auprès de ses électeurs). Et par Alban Pano, qui venait d’être élu conseiller départemental, qui s’était joint plus tardivement à l’intrigue. Pas un meneur celui-là, mais à tout le moins un suiviste prudent, moins brutal que le premier nommé, plus discret et plus constant que le second, attentiste pour tout dire, sorte de passager clandestin de la mutinerie. ‘Imbéciles’ parce que, quand ils ont lancé leur manoeuvre, ils ne mesuraient très visiblement pas jusqu’où ça mènerait la Commune : il leur semblait au début que Lysiane Vidana allait dégager tout simplement, par intimidation, laissant la place à son éphémère bras droit, Patrice Courthial, qu’ils allaient vaincre par brigue, voilà tout, par une sorte de déploiement factieux, à l’effet mécanique simple, comme un tapis roulant vers la sortie. Simpliste. “Ils sont paniqués, insistait-elle alors, dépassés par la situation, une situation qu’ils ont créée. Quel gâchis…” Elle n’avait pas cédé ; il leur faudrait démissionner du Conseil ; il faudrait donc de nouvelles élections générales. Ce qu’ils n’avaient pas prévu. Examinons ce qu’on sait maintenant, à la lumière des différents courriers que tout ce petit monde a échangé pendant la période de crise, et qui ont depuis refait surface.
[MAIS IL FAUT RAPPELER tout d’abord l’étrange situation où était rendu l’exécutif chabeuillois depuis le printemps 2021. Les départs du premier adjoint d’alors, Pierre Pellissier, accompagné notamment de celui d’Élodie Chambron, adjointe au Cadre de vie (les deux jeunes gens constituant à l’exécutif de Lysiane Vidana un fort pôle Environnement) ont seuls rendue possible la montée en puissance de l’adjoint à l’urbanisme, aspiré vers le haut, bouche-trou es fonction, par nécessité. Le dispositif décidé alors par le tandem Vidana-Courthial est lunaire, irréel. Dans leur système bricolé, Pierre Pellissier était censé rester premier adjoint en titre, mais remplacé ‘de fait’ (dans une réunion du groupe majoritaire dont on connait maintenant le détail, Lysiane Vidana avait dit : ‘vous vous adresserez à Patrice comme premier adjoint’). Refus évident de Pierre Pellissier, qui démissionne sans attendre, mais sans invoquer publiquement non plus les raisons qu’on vient de voir. Et pendant quelques mois, jusqu’au clash final, Patrice Courthial s’impose bien comme l’homme fort de la mairie, dans l’exacte mesure où Lysiane Vidana l’a imposé comme tel, proclamant même à ceux qui voulaient bien l’écouter encore des blagues du genre : ‘heureusement que je l’ai...’. Pierre Pellissier parti, c’est Chrystelle Bouvier qui va accepter, elle, de se prêter à cette pauvre comédie : Courthial en costaud des Batignolles, situation protocolaire que, dépassée, par les événement, elle accepte sans trop comprendre les enjeux ni les conséquences de la manoeuvre : elle couvre Patrice Courthial  de son faux nez de première adjointe en place. Rien de toutes ces extravagances n’a tenu, évidemment, comme on va le voir.] TOUJOURS EST-IL QU’AU DÉBUT DE L’AUTOMNE FATIDIQUE, notre caïd voudra aligner son titre sur sa situation de pouvoir ; il exigera le titre de premier adjoint, assorti d’un remaniement profond de l’exécutif, forçant la main de Lysiane Vidana. En effet, dans un mail du 10 octobre 2021, Patrice Courthial allait jusqu’à faire la liste de ses exigences, à savoir : ‘travailler avec Alban [Pano] sur les associations’, une ‘vue sur la police municipale’, ‘création d’un 8e poste d’adjoint’ et une très brouillonne ‘remise à niveau de l’ordre des adjoints’. Sans compter évidemment, ‘un vrai premier adjoint que tu n’a (sic) toujours pas et ce depuis 16 mois’. Avant de conclure  par un ultimatum : ‘j’ai besoin d’avoir des certitudes et des engagements de [ta] part (...) dans le cas contraire, je me verrai (sic. Décidemment...) dans l’obligation de rendre mes délégations. C’est à ce moment que ça craque. Lysiane Vidana réagissant tout aussitôt et déclarant (en substance) devant son groupe majoritaire que si Patrice Courthial n’y est pas arrivé avec les ‘pleins pouvoirs-SANS le titre’, il ne peut pas s’en sortir avec les pouvoirs ET le  titre de premier adjoint, qu’il revendique pourtant, et une charge de travail accrue. Vexé, il envoie alors tout péter, très vite. Le drame est noué : emportement brouillon du caïd versatile contre raideur et intransigeance de l’élue en place. Témoin ce compte rendu de réunion des adjoints du 22 octobre, rédigé par Patrice Courthial lui-même, où l’on peut lire les positions des deux parties, très clairement retranscrites, et maintenant irréductibles. On y voit que Lysiane Vidana n’a pas cédé aux exigences de son adjoint. Citations : -’j’ai pu constater le soutien que vous pouvez me porter les adjointes et les adjoints, encore une fois merci’ ; -’j’ai été profondément affecté au sujet de la conversation téléphonique entre Lysiane et Pierre-Marie (Vidana et Dieval) à savoir : mon incertitude, un coup je pars un coup je reste (effectivement je voulais rendre mes délégations en juin) ; -’mon mauvais caractère, soupe au lait’ ; -’mon échec dans le rôle de premier adjoint’.
Voilà, tout était dit, Patrice Courthial se disait ‘affecté’, il ne supportait pas ‘le doute porté sur (ses) compétences, ni l’évidence de son ‘échec’ dans le rôle de premier adjoint. Il s’agit donc bien d’une vexation. On note au passage l’aveu très explicite de cette situation ubuesque où Patrice Courthial avait été promu premier adjoint de fait. Il écrit bien en effet : ‘mon rôle de premier adjoint’. Et il devait conclure, mortifié : ‘[face au] doute porté sur mes compétences ne m’assurant pas une suite sereine dans la continuité de ma présence dans l’exécutif, j’ai pris la décision de rendre mes délégations, sans attendre la prochaine réunion’. Et cette mortification allait amener la catastrophe qu’on connaît et l’annonce de ce lâchage de Lysiane Vidana, avec les conséquences politiques, puis directement électorales, qu’on connaît maintenant. Par ailleurs, il se confirme à l’examen de ces courriers que la crise couvait depuis juin 2021. Patrice Courthial, insiste là-dessus et révèle qu’il a commencé dès cette date son chantage au départ . Textuellement : ‘ce mal être à commencer (sic) fin juin. La faute à qui ?’ Parmi toutes les raisons qui ont entravé la bonne marche de la Commune dans la délégation de Patrice Courthial (on pense au plantage du Plan Local d’Urbanisme), il faut donc ajouter celle-là : il avait depuis longtemps la tête ailleurs, à son ‘mal-être’, à ses intrigues, et à ses menaces. A sa fatigue, comme on verra plus bas.
DE SOURCE TREMPIL. Autre source, qui montre la lente maturation de la colère courthialiste, très en amont de la crise de l’automne 21. Ça provient de l’entourage  de Cécile Trempil, qui était, à ce qu’il apparaît maintenant, au courant, dans les grandes lignes, des démarches destructrices de Patrice Courthial. A tout le moins de ses embardées. [Rappel : Cécile Trempil avait été de l’aventure dievaliste et tenait souvent la plume de Pierre-Marie Dieval ; elle lui tenait lieu de cerveau gauche, côté rationalité technocratique (mais on ne l’appelait pas encore WikiTrempil, ça allait venir...) en tous cas  dans l’affaire du recours contre le règlement intérieur que voulait instituer Lysiane Vidana. Son mari Patrice Trempil, était quant à lui dans le haut de la liste Cultivons Chabeuil de juin 2020). Et puis, quand Dieval  avait rallié la majorité de Lysiane Vidana, les Trempil avaient quant à eux rejoint le groupe de gauche-écologiste, Le Chemin des possibles.] Rembobinage rapide : dès la fin du printemps, Cécile Trempil se flatte des demandes d’explications de Patrice Courthial concernant le budget communal  : il l’avait fait venir en mairie pour savoir ce qu'il fallait penser des arguments de la maire, concernant les difficultés financières, réelles, fabriquées ou controuvées de la Commune (on sort d’un fameux audit des finances de la Commune…) La confiance règne, comme on dit. Devant témoins, Cécile Trempil se gausse ; on rit franchement de la naïveté des questionnements de l’adjoint à l’urbanisme, et on s’interroge surtout : le recours, pour des conseils, à une opposante déclarée à Lysiane Vidana ne présage rien de bon. Présent à la réunion en mairie : Alban Pano, dont Cécile Trempil a surtout retenu qu’il ne comprenait pas grand chose au ‘plan pluri-annuel d’investissement’ qu’il venait pourtant de voter. Puis début juillet. Là, c’est plus net encore : Cécile Trempil montre à qui veut bien les voir les textos de Patrice Courthial qui arrivent sur son téléphone, qui s’interrogent sur la manière de faire : démissionner, rendre ses délégations et à combien ? Que dit le code (c’est le domaine Trempil) des Communes ? Elle explique : le tiers du Conseil municipal...bla-bla, et déroule les textes, et détaille réglementairement blabla...la préfète. Réponse de Patrice Courthial : ‘j’en ai déjà cinq ou six’. La formule est franche et brutale : ces cinq ou six-là sont les conjurés de la première heure. Cécile Trempil se marre. Jaune. Et tout son entourage se demande s’il faut y croire, si ce n’est pas un coup de sang,  un de plus...En tous cas : printemps, été : Patrice Courthial travaillait bien contre l’équipe en place, ou en tous cas contre Lysiane Vidana. Et bien sûr : pas pour la Commune, quoiqu’il en ait dit par la suite. On comprend également à la lecture des courriers cités plus haut que, pendant toute la période de crise aiguë, notre homme distribuait l’argent comme s’il était en campagne, dans un budget communal dont il n’avait pourtant pas la maîtrise. Par exemple : ‘j’inscrirai au budget 50 k€ (pour une étude à Cuminal’). Et encore : ‘50k€ pour le Canal des Moulins (qui) seront à prévoir dans le budget environnement’. Je peux rapporter ici une rencontre personnelle avec Patrice Courthial sous le porche de la porte monumentale, le jeudi 28 octobre, qui confirmait très volontiers les chiffres ci-dessus et ces affectations budgétaires à l’emporte-pièce.  L’ÉPISODE DES DÉPARTEMENTALES. Pendant tout son début de mandat, le tandem Vidana-Courthial (avant de se déchirer comme on vient d’examiner) a raté une autre marche, d’importance, ratage qui laissera des traces profondes dans la déception de Patrice Courthial et dans son attitude pour la suite. Cet épisode de ratage supplémentaire est peu connu des chabeuillois dans la saga politique mouvementée de notre ‘homme fort’ ; il s’agit de l’élection départementale de juin 2021, pour laquelle il était candidat, avant de se prendre les pieds dans le tapis et de laisser la place à Alban Pano, beaucoup plus habile à s’imposer. Nous sommes en décembre 2020, donc, très tôt dans un mandat où tout est encore à peu près en place dans l’équipe de Lysiane Vidana, qui a toujours dit qu’elle ne cumulerait pas les mandats (hors agglomération de Communes où elle est vice-présidente de Nicolas Daragon), et qu’elle ne se présenterait donc pas au Département. Patrice Courthial annonce donc un beau matin au Groupe majoritaire qu’il compte ‘y aller’, ce qui ne pose problème à personne ; il est sans soutien extérieur, a très peu de contacts à Valence et n’a pas préparé son affaire mais il se lance. Début décembre 2020, il crée un compte FaceBook, dont il s’assure qu’un des tout premiers contacts est justement Nicolas Daragon, puis démarre ses premières consultations : les départementales ne se gagnent pas seul, jamais, il y faut en effet des soutiens larges, et pour tout dire un réseau politique, partisan le plus souvent, qui fait défaut dans les grandes largeurs à un Patrice Courthial qui n’était connu jusqu’alors que de quelques boulistes locaux. Qu’à cela ne tienne, il fonce, c’est sa marque de fabrique. Et se casse les dents, quasiment tout de suite : les forces politiques en présence et leurs états-majors ont déjà chacun une idée derrière la tête : d’une part Pascal Pertusa évidemment, conseiller départemental sortant qui va demander très logiquement l’investiture LaREm, et l’obtenir. Et, d’autre part les forces de gauche, qui vont s’avancer groupées (hors LFI) et qui commencent à tâter le terrain chabeuillois. Et qui resteront sur leur premier casting : Pierre Pellissier, qui est alors toujours le premier adjoint de Chabeuil et qui restera ce candidat, même après sa démission de la majorité vidaniste. LaRem et la gauche ont donc des candidats ? Manque quelqu’un. De poids. Manque LR, une paille dans le contexte daragonien local. Début décembre, Patrice Courthial, qui s’est fait expliquer les gravures et les mystères d’un positionnement politique fantaisiste, rencontre à sa permanence chabeuilloise Célia de Lavergne, qui est encore députée, et se dégage fissa de ses appartenances nouvelles, en même temps que de ce réseau politique. Il rencontre au même moment, dans son bureau de la mairie, un membre du groupe de gauche et écologiste Le Chemin des possibles, qui vient de se former à Chabeuil, qui lui réaffirme que lui, Courthial, issu d’une famille de gauche et implanté comme tel à Chabeuil ne peut aller à l’élection dans un combat électoral entre LaRem et la gauche. Illisible politiquement. Qu’à gauche, c’est un écolo qui sera désigné puisque le PS a déjà dit qu’il s’effacerait dans le canton de Chabeuil, et que cet écolo, il se pourrait bien que ce soit Pierre Pellissier. Courthial découvre l’Amérique. D’autant que Les Républicains locaux ne restent pas inactifs. A ce point qu’un beau jour, très peu de temps après, Alban Pano déclare dans le bureau de Lysiane Vidana que lui, Pano...’ben...il se verrait en candidat contre Pascal Pertusa. Et que d’ailleurs, il a vu ça avec...Nicolas Daragon...et que ben...ça va se faire.’ Ben tiens. Ne reste plus à Patrice Courthial qu’à renoncer, une main devant, une main derrière, lui qui voulait tout bouffer. Dans le même bureau, pendant la même discussion, il cède très facilement. Lysiane Vidana analyse maintenant cette candidature ratée très sévèrement, bien sûr : ‘ça a beaucoup compté dans la déception de Patrice Courthial, qui se voyait tout gagner, et siéger au conseil départemental et à la mairie, comme sa famille avant lui. C’était important pour lui, cette place dans l’histoire locale. Ce ratage, ajouté aux autres, l’a très sûrement marqué. Il s’est fait blouser par Alban Pano qui n’était rien à ce moment, qui était au chômage, qui n’y connaissait rien en politique (il n’avait pas voté aux sénatoriales, quelques mois auparavant), qui n’avait jamais discuté d’un brin de politique. En revanche, il était tous les jours en contact avec Nicolas Daragon, et s’en vantait.’
Et son soutien à elle, Lysiane Vidana (ex-PS), à une candidature Pano soutenue bientôt par tout l’appareil LR dans le canton ? ‘Avec le recul, c’était une erreur. Alban Pano était mon adjoint, il me semblait logique de le soutenir. Et puis je ne voulais pas du maintien de Pascal Pertusa au Département, alors que je venais de le battre à Chabeuil...J’ai comme qui dirait ‘inventé’ Pano...Ça a fini par me coûter très cher.’
ÉCHOUÉE DE PARTOUT, la barcasse de Patrice Courthial se met à la cape : fin octobre 2021, il rompt avec le groupe majoritaire : retour à cette période où, porté par son actualité personnelle, il tient table ouverte dans la presse. Le Dauphiné Libéré du 27 octobre était amené à titrer : ‘Patrice Courthial quitte la majorité, deux autres élus l’imitent (Dieval et Dieuleveut)’ et démarre son article par une formule choc : ‘C’est une bombe qu’a lâchée Patrice Courthial’. Avant de confirmer ce qu’on vient de voir plus en détail : le pourrissement ancien de la situation : ‘son départ aurait dû avoir lieu en juin’ et de conclure par une prédiction assez juste : ‘la bombe lâchée par Patrice Courthial pourrait bien être à retardement’. Toujours prompts à tourner casaque, Pierre-Marie Dieval et Hélène Dieuleveut venaient quant à eux d’emboîter le pas au désormais ex-premier adjoint, sans attendre, sans précautions excessives, ‘par solidarité et conviction’ [rires dans la salle. Histrionisme] Et en effet ça s’agglomère, et ça fait boule de neige autour de lui, l’avalanche Courthial se forme : Pierre Clutier et Robert Barde tout d’abord, en charge respectivement des services et du tourisme-commerce, à qui s’adjoignent tout de suite Véronique Recouras-Massaquant et Edwige Derbuel (issues des familles Courthial et Barde). Second couteau : Jean-Emmanuel Gregorio (voirie, et surtout...Société de pêche), qui glisse naturellement vers où ça penche. Chacun à son tour dans la presse et/ou sur les réseaux sociaux annonce qu’il rejoint Patrice Courthial à cette place qu’il s’était réservée, ‘seul au Conseil Municipal, en bout de table’. Pas si seul, comme on voit. D’autant que les courthialistes du premier cercle font pression sur les indécis, les plus nombreux finalement, naïfs ou éloignés de la combine, inexpérimentés et/ou peu présents en mairie. Clutier, Grégorio, Courthial sont trois chevaux de réforme, issus des mandats anciens de Jean-Pierre Badois ou de Pascal Pertusa : pour les deux derniers cités, ça s’est mal passé, ça s’est terminé en eau de boudin ; il n’empêche : il apparaissent à leurs jeunes collègues comme des élus d’expérience, dont il convient de prendre l’avis. Les rossinantes se font insistantes. Ainsi de C.M... une adjointe qui, jusqu’au bout tente de rabibocher son monde et déclare par courrier (25 octobre) à Lysiane Vidana qu’il ‘est urgent de redevenir une équipe soudée (oui, naïve...) qui va dans la même direction et pour cela nous avons besoin de Patrice’. Pour elle, Patrice Courthial reste ‘un pilier et une référence’. Mais qui met l’accent sur un moment fort de la crise : Lysiane Vidana a eu ‘des paroles envers Patrice (...) très dures et blessantes’. Retour donc à l’hypothèse de la vexation, qui reviendra fréquemment dans les explications des protagonistes du putsch qui était alors en cours. Le Dauphiné Libéré du 16 décembre confirmera ainsi, à propos de Patrice Courthial lui-même, qui déplorait, en plus de désaccords politiques, ‘des propos blessants dont il a été victime lors d’une réunion de groupe.’ Confirmé dans le même article par Lysiane Vidana : ‘il a été vexé parce que je lui ai dit simplement les choses’. Vexation encore. Ainsi de C.G...conseillère municipale, plutôt effacée et discrète en début de mandat qui décrira plus tard, tout en regrettant amèrement ce qui s’est passé, un Patrice Courthial lui rendant visite chez elle, agité, ‘les larmes au yeux,’ lyrique, qui en appelle à l’avenir de la Commune, qu’il s’agissait de sauver. Elle cèdera et rejoindra l’équipe des conjurés, avant de s’effacer de la vie publique locale. Et qui regrette maintenant sa décision. Pareil pour B.P...qui quitte la majorité en quelques heures alors que rien ne présageait de son revirement, et qui manifeste maintenant lui aussi des regrets. ‘Les  larmes aux yeux’...l’expression était déjà dans le mail de Patrice Courthial, déjà cité ici, celui  qui relate la réunion de crise du 22 octobre : ‘...et c’est les larmes aux yeux que j’en termine ce mail’. Eh oui...la violence politique aussi a ses raisons, et ses bons sentiments, ses larmoiements. Mais elle reste la violence. LE TÉMOIGNAGE RÉCENT DE LYSIANE VIDANA va dans le même sens, celui d’une pression panique pendant cette Toussaint sanglante, insistante : ‘ils sont passés, chez les uns et les autres avec assiduité, c’était pesant, ça n’arrêtait pas, il fallait rejoindre leur groupe, pour me pousser dehors. Ils disaient alors que ‘le blocage’, c’était moi, parce que je ne laissais pas la place assez vite’. Elle rassemble alors ses souvenirs, à vif, de la période et raconte : ‘ils sont même passés chez moi, à la maison, pour me convaincre de lâcher la mairie. C’était odieux. Incessant. Mes soutiens anciens, même les grenouilles de bénitier qui oubliaient leurs bonnes manières, qui me lâchaient, qui insistaient...chez moi...je n’en reviens toujours pas...’ Le mot ‘trahison’ revient dans sa conversation, comme une hantise : ‘je leur avais donné ma confiance, et en retour, j’ai été trahie’. Lysiane Vidana  se remémore : ‘Et encore, je me souviens de Pierre Clutier, par exemple, vautré, à l’aise dans un fauteuil de mon bureau, me déclarant avec une vulgarité appuyée que je devais partir. Il venait de passer dans l’opposition, mais il souhaitait garder ses délégations, et ses indemnités, fallait pas se gêner. Ils ont tout tenté pour me déstabiliser. Ça a duré de longues semaines. Et Robert Barde qui me disait, tranquille, candide : ‘pour la mairie, je préfère Patrice Courthial’. A qui je répondais : ‘mais enfin, les chabeuillois nous ont élus, ce sont eux qui décident. Pas toi ou quelques-uns autour de Patrice Courthial...’Pendant tout ce temps où ils espéraient que je leur cède la place, on me rapportait qu’ils se réunissaient, très régulièrement, et que Courthial, leur chef, leur garantissait : ‘elle va démissionner, ce n’est pas possible autrement. restons groupés.’ Pour l’anecdote, les nombreux interlocuteurs de Robert Barde qui cherchaient des explications à l’attitude de Patrice Courthial à ce moment de la crise chabeuilloise rapportent qu’il confiait avec une inquiétude sincère : ‘Patrice est en burn-out’. Toujours au rang des anecdotes, celle-là, qui provient du carnet de notes du président d’une association chabeuilloise amenée à rencontrer l’adjoint à l’urbanisme. On y lit, à la date du 4 octobre 2021, porté dans un style télégraphique : ‘Courthial correct. A bout de fatigue. (Malade ou +grave)’. Burn-out, ou grosse fatigue, on comprend l’état de nerfs où était alors notre ‘homme fort’, pas si fort que ça... MAIS IL Y A EU PIRE. Bien sûr. En matière de trahison, il y a toujours pire...On parle ici de deux tracts pestilentiels, affichés au centre-ville de Chabeuil, anonymes évidemment, grossiers et insultants, vulgaires là encore. Ils sont de même origine, même graphie, même ton dégueulasse, même dénonciations ignominieuses. Premier libelle pourri, toute fin novembre 2021, format A4, affiché au centre-ville de Chabeuil, agrémenté d’une photo de Lysiane Vidana tirée d’un document de campagne officiel, montée-collée sur une publicité pour le cirque ‘Variety’. Le tout orné d’un formidable commentaire politique : ‘APRÈS LA GUERRE/SON RÊVE/DEPLIER LE TAPIS/ROUGE A PERTUSA/ET JOUER LA POM POM/ GIRL. Deuxième affichette, de même parfum, quelques jours plus tard, pas piquée des hannetons non plus, même feutre noir, mêmes lettres capitales : VIDANA /DEMISSION/ÊTRE LA MAÎTRESSE/DE MEUNIER/C’EST LOYAL?’. Lysiane Vidana parle maintenant, quand elle évoque cet épisode de la vie locale, de  ‘tracts sexistes’, pour insister sur le caractère fondamentalement misogyne de ces documents. ‘C’était fait pour me déstabiliser, ça aussi. Ils n’ont pas hésité à taper bas.’ Elle explique également le ‘loyal’ du deuxième document : ‘j’étais à l’Assemblée Générale d’un club sportif, quelques jours auparavant. Ce club est animé par un ami, qui m’est resté loyal pendant la crise. J’ai prononcé ce mot à son endroit. Des proches de Patrice Courthial étaient présents dans cette assemblée. Ils l’ont rapporté au corbeau, qui l’a écrit dans son tract, qui n’est pas seulement resté affiché mais qui a circulé dans Chabeuil. On a fini par le retrouver sur le parvis de la mairie, disposé en évidence’. Ces deux pauvres pamphlets de caniveau ont fait l’objet de deux plaintes en diffamation, recueillies par la gendarmerie de Chabeuil au tout début décembre 2021, l’une par la maire de Chabeuil, l’autre par moi-même, rédacteur de cet article, visé nommément par le deuxième placard. L’enquête a été menée par la brigade de Crest, où a été déportée l’affaire, qui a interrogé Patrice Courthial. Mais la justice ne s’est pas saisie de ces plaintes : infection ou pas, diffamation ou pas, personne ne veut en savoir plus, c’est bien commode : le corbeau court toujours. Ces deux tracts témoignent de la vulgarité et de la bassesse morale de leur auteur, certes, mais aussi d’une des angoisses des putschistes : en cas de démission collective, il faudrait de nouvelles élections, pour lesquelles...Pascal Pertusa partait favori. Le retour de l’ancien maire de Chabeuil les obnubilait, jusqu’à prétendre que Lysiane Vidana pourrait ‘dérouler le tapis rouge’ à celui qu’elle avait battu. L’OPINION CHABEUILLOISE était en effet en train de tourner : elle attendait l’exposé des raisons des putschistes, qui ne venait toujours pas ; elle avait assimilé de plus la position de la maire de Chabeuil, qui n’allait pas céder. Mais elle commençait à comprendre aussi que ça peut durer longtemps ce genre de blocage institutionnel, que les choses peuvent rester en l’état un grand moment, qu’on peut comme cela gérer les affaires courantes, bref, Chabeuil avait compris que le putsch avait foiré. Principaux vecteurs de ce basculement de l‘opinion : les réseaux pertusistes, qui restaient puissants et actifs en ville, et qui le sont encore. Et organisés puisqu’ils siégeaient au Conseil municipal, dans l’opposition. Or, Pascal Pertusa appelle à de nouvelles élections, qui pourraient se tenir après démission massive d’au moins un tiers des Conseillers municipaux. Il va donc offrir par voie de presse, de démissionner avec tous ces co-listiers, espérant provoquer ainsi une rupture décisive. L’activation de ces réseaux, appuyés bientôt par un tract public issus des rangs pertusistes exposant ces mêmes arguments, mettent les malheureux putschistes dans la seringue, en porte-à-faux avec les chabeuillois. Le groupe Le Chemin des possibles réclame la même chose, au même moment, par un tractage efficace sur la place du marché : il demande de nouvelles élections, avec les mêmes arguments : pas d’arrangement en bout de table du Conseil, dans le dos des électeurs de 2020. Pendant que le samedi un groupe informel et disparate de citoyens se réunit pour réclamer des explications, à grands coups de banderoles ironiques. Ça finit par faire beaucoup, ça finit par peser : le putsch apparaît enfin pour ce qu’il est : une combine de petite politique locale, inexplicable, mal préparé.   Tout ça aboutit au changement de pied de Patrice Courthial, un de plus : il démissionne et fait démissionner les conjurés qui l’entourent. Titre du Dauphiné Libéré du 8 décembre : ‘Patrice Courthial démissionne...et appelle les autres élus à l’imiter’. Il s’exprime alors en patron de clique. Ça ne va durer. Thibaud Carage, qui a suivi toute l’affaire pour ce journal baisse le rideau, très à propos : ‘[ils] espéraient, depuis début novembre, que la maire démissionne. Cette dernière avait rapidement coupé l’herbe sous le pied des frondeurs, indiquant qu’elle assumerait jusqu’au bout sa fonction, d’où cette (...) vague de départs quelques peu forcés’. ‘Forcés’ en effet : il leur faudrait passer devant les électeurs, ce qui serait une autre affaire, autrement compliquée, qui ne pourrait se régler par les quelques claquages de talons d’un ‘sous off’ irascible. En tous cas, c’est l’échec du poupoutsch des conjurés d’Agir pour Chabeuil.
MAIS TOURNEZ ROTATIVES, crépitez telex, la presse publie alors à tour de bras : les 7 et 8 décembre 2021, Courthial, et Dieval-Dieuleveut quittent le Conseil, avant que les journaux relèvent, le 10 décembre, une ‘pluie de démissions’. Faut ce qu’il faut : le Conseil municipal de Chabeuil est à terre, et Le Dauphiné Libéré du 10 décembre peut alors titrer : ‘les chabeuillois devront retourner aux urnes’. Et nous voilà rendus au début de cet article, quand madame la préfète de la Drôme tire les conséquences de ces inconséquences, et appelle à de nouvelles élections. Revenus par la même occasion à la triste sentence de Lysiane Vidana’...c’est fini, les imbéciles...’
La conclusion des déclarations publiques revenait alors à Lysiane Vidana, dans une interview du 16 décembre 2021 où elle exposait ses raisons, avec la raideur intransigeante qu'on lui connaît, pénible, qui n’a jamais varié pendant son court mandat et qui lui a coûté si cher. Elle livre une analyse précoce : [Patrice Courthial] a été vexé parce que je lui ai simplement dit les choses’. Dans ce rude article au ton vitriolé, la maire de Chabeuil se montre plus critique encore envers Alban Pano, qu’elle allume sans ambages : ‘ la palme d’or revient à Alban Pano, lui c’est une trahison.’  Elle insiste : ‘c’est un gros gâchis.’ Et n’oublie pas de se mettre des claques : ‘cet échec, je me le dois pour ne pas avoir su animer ce groupe. Pour ne pas avoir mesuré le bourbier dans lequel j’ai entraîné mes colistiers’. Thibaut Carage, qui prend l’interview ajoute alors, vachard : ‘Et Chabeuil avec’.
Plus d’un an plus tard, Lysiane Vidana ne varie guère dans l’examen de ses responsabilités : ‘je n’étais pas faite pour ça. Pour gérer la Commune, les dossiers, le budget, l’Agglo... oui, j’étais à la hauteur. Mais pour travailler avec des gens comme ça, leur raconter des salades, leur dire qu’ils sont les meilleurs, les flatter, toute cette hypocrisie qui semble nécessaire, ça, je n’ai pas su faire. C’est sûr. Je ne saurai jamais faire’. 
Fin du set le 14 décembre 2021 pour Patrice Courthial, quand il déclare finalement  au Dauphiné libéré, comme éreinté : ‘à ce jour, je ne suis pas candidat’. Le quotidien fait alors le portrait d’un homme ‘usé, (...) dégoûté par ce qu’il s’est passé et conclut par un clou dans le cercueil politique de notre héros : ‘raillé par certains commentateurs de la vie politique chabeuilloise [il] affirme avoir besoin de souffler.’ Tout ça pour ça : moqué, lessivé, épuisé par un putsch qu’il n’a pas su conduire, Patrice Courthial laisse filer l’élection à venir, laisse la place à un Alban Pano (une habitude !) qui n’a pas perdu de temps (appel à une liste d’union d’action municipale dès le 10 décembre), et... retourne jouer aux boules. Dans les premiers mois du mandat Pano, il demandera bien à siéger dans quelques Comités consultatifs, avant de se voir contenu dans celui voué à l’urbanisme. Alban Pano, conscient alors de la mauvais réputation de Patrice Courthial va s’employer à digérer son ancien collègue, à le bordurer, lui laissant de moins en moins de place dans les dossiers en cours.
LE CAS PANO POUR FINIR, qu’on doit traiter à part, eu égard à son statut nouveau de maire de Chabeuil, qui a fini par remporter l’élection de 2022. Et aussi parce que, durant toute l’opération des branquignols, il n’a pas fait comme les autres et semble s’être tenu à l’écart. A en croire le témoignage tout récent de Lysiane Vidana : ‘Alban Pano est resté avec moi assez tard ; il n’a rendu ses délégations qu’au dernier moment’. On lui a visiblement conseillé d’être prudent dans cette affaire’. Elle accepte de tempérer son jugement de l’an dernier, sur la ‘palme d’or de la trahison’ : ‘ Alban Pano ne s’est pas aussi mal conduit que les autres, pas aussi violemment, et jamais aussi vulgairement. Il n’a rien précipité, lui, puisque c’est moi qui lui ai retiré ses délégations (Sport et associations), après qu’il ait réclamé ‘une nouvelle gouvernance’. Ce n’est qu’après ce retrait, en effet qu’Alban Pano avait lâché ses coups : ‘elle poursuit sa politique de la terre brulée’, ou bien encore dénonçant publiquement ‘l’aveuglement et l’entêtement’ de Lysiane Vidana (Dauphiné Libéré du 18 novembre 2021) Plus discret donc, il est aussi plus véloce : on a vu comment il a grillé, comme aux départementales, la politesse à un Courthial dépassé par les événements. Mais Lysiane Vidana est sans illusions sur l’habilité de son jeune adjoint d’alors : ‘bien sûr Alban Pano était coaché, c’est une évidence pour ceux qui l’ont connu au tout début de sa carrière, où il était plutôt léger. ll ne doit pas ses succès à sa seule expérience politique personnelle, c’est sûr. Il prend ses conseils à Valence’.
Discrétion d’Alban Pano pendant le putsch, et vista ensuite, confirmées dans cette notation du Dauphiné Libéré du 10 décembre 2021, qui déboucle la conjuration : ‘plutôt discret dans les différents feuilletons qui animent la vie politique de Chabeuil depuis quelques mois, le conseiller départemental Alban Pano (...) imagine désormais la suite des événements, ajoutant finalement : ‘notre responsabilité est de proposer le choix de l’union.’ En route donc vers une liste, très vite  : ‘Alban Pano va travailler en ce sens, pour constituer une liste d’union d’action municipale.’
UNE CONVERSATION AVEC VALÉRIE MACQUAIRE. Rapportons pour finir un témoignage précieux, sous la forme du souvenir d’une troublante et franche conversation avec Valérie Macquaire. Précieux parce que la dame est d’un naturel discret et sévère, rare à la confidence. Elle a été avec Patrice Bouchet et Monique Barnasson la seule à ne pas lâcher Lysiane Vidana et à siéger jusqu’au bout à ses côtés, jusqu’au tout dernier Conseil municipal du 14 janvier 2022. Elle est à ce moment 6e adjointe, en charge des services, du participatif et de la Communication.
Nous sommes à la veille de la Toussaint 2021, entre averses dominicales, bourrasques et éclaircies ensoleillées, attablé.e.s dans un beau jardin de la ville. Valérie Macquaire ouvre son grand cahier rouge à spirale et donne un récit détaillé, devant témoins. Elle a voulu cet entretien (je demande si je peux prendre des notes : oui...), et s’est préparée : elle raconte par le menu, avec un soin très précisément documenté (et chiffré, budgété, pour tout dire...) l’impéritie, et l’immaturité de Patrice Courthial. ‘Immaturité’ reviendra à plusieurs reprise dans l’entretien, bien pointé, utile à la compréhension du personnage et de la situation. Ce vocabulaire choisi accompagne un diagnostic qui avait échappé jusqu’alors aux observateurs : ‘Patrice Courthial ne supporte pas qu’on lui impose des limites, même quand ces limites sont tracées par le groupe auquel il appartient, et votée par lui. C’est très grave’. À l’entendre dans le détail : école de musique, MJC, budget des associations sur tous ces dossiers, Patrice Courthial, Lysiane Vidana et leur groupe sont au diapason, d’accord notamment pour réduire de 30 %, pour cette année là, le budget des subventions aux associations. Réduction qui avait fait du bruit. Au diapason du programme. Valérie Macquaire insiste : ‘il fallait revoir les subventions après le Covid, et après des années de clientélisme. tout le monde était d’accord, Courthial, Pano dont c’était la délégation. C’était très net, il fallait revoir, pour redistribuer ensuite, sur des bases revues, plus équitables. Le Groupe s’était mis d’accord là-dessus [On trouve confirmation de cet agrément de Courthial à la diminution des subvention dans le courrier du 10 octobre 2021, cité plus haut, où l’on peut lire : ‘...ta vision sur l’équité était juste’]. Oui mais voilà, en ville, auprès de ses amis et de certains groupes de pression, Patrice Courthial ne pouvait assumer cette position. En ville, il tenait un tout autre discours, contradictoire.’
Et on comprend enfin que, dans toute cette histoire, les putschistes ne se sont décidés pour aucune raison de fond, aucun dossier qui bloquait, aucune orientation contradictoire. Pas le gymnase départemental, pas Cuminal et sa putative école de musique, pas la situation financière, pas le budget des associations (on vient de le voir...). Rien de tout ça, rien au fond : ...le crash de la Commune, ce n’est pas une affaire d’orientation politique, pas une affaire de dossier échoué ou mal bouclé, non c’est une affaire de susceptibilité, juste l’impuissance et les faiblesses d’un homme qui s’y croyait, et d’un petit groupe qui y croyait avec lui.’ On vérifie un point avec Valérie Macquaire : ...’et Pierre Pellissier ?’ Elle n’hésite pas une seconde : ‘Patrice Courthial l’a poussé dehors.’
Revue très récemment en présence de Lysiane Vidana, Valérie Macquaire confirme volontiers ses premières analyses, que le recul, à son sens, n’a pas modifiées : ‘une personne immature, un notable, que Lysiane Vidana avait mis en place et qu’elle s’apprêtait à rétrograder devant ses échecs, explose. Ça peut arriver. Un petit groupe le suit, construit par affinité (même génération, culture machiste : Grégorio, Clutier, Barde). C’est plus rare. Mais là, ça a tout emporté, c’est ça qui est injuste. Mais que tous les autres aient suivi, c’est toujours un mystère...Un mystère de la nature humaine : faiblesse, versatilité, peur, bons sentiments...Ç’aurait pu être tellement différent...’Et elle conclut : ‘Ce qui caractérise Lysiane Vidana, c’est l’intransigeance. Pas l’autoritarisme, non l’intransigeance. L’intransigeance d’une femme, qui s’est trouvée opposée à l’immaturité de celui qui s’était pris pour un ‘homme fort’. TOURNER LA PAGE. Les efforts de chacun pour ‘tourner la page’ sont compréhensibles ; personne à Chabeuil ne veut revenir à la sinistre période de dynamitage qu’on vient de décrire, et se mettre à nouveau sous la mitraille. Chabeuil doit gouverner de manière harmonieuse, c’est une affaire entendue. Les allusions très fréquentes, appuyées et rebattues d’Alban Pano dans ses discours publics, ses invitations à ‘tourner la page’, à ne plus ‘regarder dans le rétro’, ses appels à une ‘sérénité retrouvée’, à ‘l’écoute’, sont nécessaires, et semble-t-il assez bien comprises des chabeuillois. Certes, tout cela est très bel et bon, et très sympathique et ça va mieux en le disant et encore ces jours-ci (Dauphiné Libéré du lundi 13 février 2023) dans un article très convenu et paresseux d’un Thibaut Carage qui fait dire à Pano : ‘les règlements de compte, c’est derrière nous.’ Dans cet article, premier volet d’un polyptique plus équilibré et plus riche vers la fin [On signale une interview de Lysiane Vidana, ‘au franc parler historique’. En tous cas, l’ensemble, publié tout au long de la semaine s’avère utile pour comprendre l’état politique où est rendu Chabeuil. Comme quoi on ne peut rien y comprendre si on examine pas ce qu’il s’est passé. CQFD.], on trouve une formule distrayante du jeune maire de Chabeuil. À la question : ‘la vie municipale est plus apaisée aujourd’hui. Comment avez vous fait ?’ Alban Pano a l’estomac de répondre : ‘en étant nous même (...) Alban Pano (il parle de lui à la troisième personne, relève tout de même le journaliste) reste celui qui est né ici, qui parle à tout le monde, qui n’a pas d’histoire avec les autres’. Tourner la page ne se fera pas en usant de telle tartarinades : ‘en étant nous même’, non mais...
Les règlements de compte ne sont pas derrière nous (et qui ça, ‘nous’ ?), bien évidemment : ils ne sont pas derrière nous, puisque les comptes des putschistes n’ont jamais été examinés, pesés, exposés et que les explications de fond et de détails n’ont jamais eu lieu. Et qu’un certain nombre d’entre eux sont encore en place. Sans oublier un détail :  le corbeau chabeuillois court toujours. L’élection de 2022 n’est précisément pas ‘un solde de tout compte’, puisqu’elle n’était pas faite pour ça, et heureusement. Les chabeuillois ont fait leur boulot, plutôt finement : sortir de la crise sans repasser par la case Pertusa,, se doter, par défaut peut être, d’une nouvelle équipe. Soit. Mais le mandat Pano sera très court : à qui la faute ? Chabeuil aura du mal à se remettre de ce crash politique. Qui est responsable ? L’urbanisme de la ville est hors de contrôle. Pourquoi ? Comment penser qu’on sortira de cette situation difficile sans répondre à ces questions ? Et comment penser que l’avenir de Chabeuil sera peint à la gouache épaisse du déni et de l’oubli, en se racontant des histoires à la troisième personne, les histoires du pays joli où la fiction tintinomaniaque et infantilisante occupe toute la bibliothèque, la fable pour tout dire, des habits neufs de l’empereur ? Et c’est bien pour ça, qu’avant de faire le bilan de la première année Pano, il fallait en passer par le récit de cette automne pourri, dont les conséquences ont rendu possible son élection.                                                                              claude meunier.
Ne descendons jamais dans ces lâches intrigues/n’allons point à l’honneur par de honteuses brigues. Boileau, L’Art poétique, IV.
 Le présent article sera complété par un second chapitre, présentant un bilan de la première année Pano. On attendra pour ce faire le vote de son deuxième budget, pour mieux comprendre les orientations de fond de la nouvelle équipe. Ça sera donc vers la mi-avril...On ne pourra faire l’économie d’un portrait politique du jeune maire de Chabeuil, très occupé à enjoliver Chabeuil. Titre provisoire : Alban Pano est de droite, oui, mais laquelle ? Et le sait il vraiment ?...’
D’ici là , le Bachass’ Club vous aura présenté un portrait de Jean-Marc Chevallier, peintre fameux, chabeuillois de fort tonnage, mort il y a tout juste dix ans.
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