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#Concerto Paraphrase
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Alexandra Paul and Mitchell Islam skating to music by Franz Liszt for their free dance at the 2016 Skate Canada.
(Photos by Danielle Earl Photography and David W. Carmichael)
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Note
how should i go about writing if i keep deleting and restarting everything I have every few minutes ??
The first thing to do is figure out why you feel the need to delete. Here are some things to consider...
1 - Do you know what you're trying to write? It's easy to imagine a writer as sitting down at the keyboard with an empty mind, and then--like turning on a faucet--a story simply flows out of them. But that's not really how writing works. Even the most organic writer sits down with a premise in mind, not to mention a basic grasp of how stories work--or at least they type of story they want to tell. If you sit down without these things and try to write a story, you're pretty much just snatching random ideas out of the air and hoping they take root, and it can be really hard to write a story that way. The solution is to spend some time learning about how stories work, then spend some time thinking up a premise, characters, and a story goal.
2 - Do you need a more solid plan? Not all writers can sit down with only a premise, characters, and story goal and create a story from that. Some of us need to do more planning. Some of us need to do a lot more planning. If you're trying to write a novelette/novella/novel, you might take a look at some different story structure templates to get an idea of the kind of structure that would work well for the story you want to tell. Story structure templates can be a helpful guide in figuring out what beats you need to hit, and you can use elements from different ones. Whatever works for your story. You might also consider doing a plot summary, timeline, scene list, scene cards, or any number of other things to help plan and plot your story.
3 - Are you focusing too much on quality? To (badly) paraphrase Ira Glass, the thing that got you into writing in the first place is your taste... you have good taste in stories, and you know what makes a story good. But if you're just starting out, or if you don't have a large volume of work under your belt, what you're putting out is probably not as good as you want it to be. That can be really, really frustrating, because we know what kind of writing we want to put out there, but when we feel like it's not happening, we want to backspace over it all. The thing is, though, writing is a craft. Like any other craft, the only way to get better at it is to practice, and practice means cranking out the less good stuff and accepting that it's a necessary part of the journey. If dancers watched the choreography for a performance one time and instantly did it perfectly, there would be no such thing as dance practice. If people took one piano lesson and could play a perfect concerto, we wouldn't have piano lessons or practice. So, even when the writing doesn't feel as good as you want it to be--or maybe feels downright awful--you have to push past the urge to backspace over it and get caught up on quality. You have to keep writing forward. And hey... editing and revision exists because there's always room to take the "rough draft" and make it better.
4 - Are you letting yourself get distracted? Few things make writing more difficult than distractions. If you know how stories work, know your premise, have done the planning you need to do, and aren't stressing about quality, but you still find yourself backspacing and starting over every few minutes, it could be due to distractions. If your phone is buzzing every minute, your sister is playing loud music in her room across the hall, the neighbor's dog is barking up a storm, or you can't stop thinking about something that happened at work--those interruptions are going jam up your momentum, and when you're constantly jerking to a stop like that, frustration makes you cranky and you're liable to backspace over something even if it's not a problem. So, if you can, try to eliminate distractions as much as possible when you sit down to write.
5 - Other possibilities... Even if none of the above situations seem to fit, it's still worth taking some time to consider what else might be going on. Can you find a pattern in what you're deleting and why? If you dig deep, and you maybe figure out what the issue is? What are some potential solutions?
I hope something here will help you get to where you're moving forward with your writing again.
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lounesdarbois · 1 year
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La croissance du nombre d'inscrits au pèlerinage de Chartres s'explique par une ouverture libérale au monde et se paiera par une dégradation liturgique et par une baisse du nombre des naissances. Les standards de la culture traditionnelle baissent, transformant l'ascèse d'un peuple en lutte pour sa vie en kermesse de la CGT pour Versaillais qui écoutent du rap. "Sept mille inscrits de plus au pèlerinage cette année! C'est le grand retour de la Chrétienté!" exultent ensemble les lecteurs de statistiques sur écran et déplaceurs de pions sur carte d'état-major. Non pas. C'est la prise de pouvoir du modernisme sur une micro-Chrétienté déjà mal en point, très attaquée de l'extérieur par le monde, très affadie de l'intérieur par les clercs. Croissance donc expansion ? Dilution donc affadissement. Un pélérinage traditionnel? Les JMJ.
Il suffit d'examiner ce que l'on voit. Le concret, la forme, le corps, ne mentent jamais. Par exemple la crétinisation de l'école se mesure beaucoup plus sûrement à l'effondrement vestimentaire et physique des professeurs que dans les statistiques de résultats scolaires. Quand on décore du nom de professeur une dame extravertie en surpoids habillée n'importe comment c'est que tout est fichu et que plus rien ne signifie rien. En matière de pèlerinage de Chartres, la Forme, avec le temps, depuis le temps (40 ans!) devrait se diriger vers davantage de Tradition chaque année, davantage de savoir-faire, davantage d'affermissement sur ses bases... mais elle va vers moins de Tradition, moins d'énergie, moins de noblesse. Inutile de farfouiller les points de doctrine. Il suffit de rapporter exactement ce que l'on voit. Qu'est-ce que l'on voit? Eh bien, un concerto de souffleurs de cornemuse pour vacancières en combishort Coachella qui vont au pélé "chez mémé" occuper leur place numérotée, répandre des ordures que les vieux messieurs ramasseront. Des veaux de 18 ans grandis sous cloche et sous mère intrusive, inconscients de l'heure qu'il  est. Un peuple inmariable.
La Tradition va régresser dans sa forme vestimentaire, langagière, en somme dans sa Culture, au niveau d'un club de caté charismatique des années 1990. Il lui restera la liturgie mais elle n'ira plus à l'église.
Chers rêveurs vous vivez selon des usages valables en temps de paix alors que nous sommes en temps d'invasion aggravée, de colonisation, de crise, de persécution, d'extermination. Assez d'analyse dépassionnée "avec du recul", et de cette intelligence de resquilleur "plus intelligent que cela", de ce vocabulaire de statisticien de l'OCDE. En matière de tradition, les standards de la vie pratique sont le vrai "sens du sacré", la seule véritable Culture, mesurable, vérifiable: le parler, le vêtement, la posture, le manger, la syntaxe, le débit, la non-mixité, la musique, l'usage, la hiérarchie, sont tous les affleurements d'une Forme aux soubassements plus profonds, invisibles, et sacrés. Abaissez vos standards culturels: vous profanez votre Religion. La Culture est la preuve de la conscience de soi, et celui qui renonce à sa Culture fuit dans l'abstrait comme un déserteur et perd sans le savoir mémoire, tradition, bientôt religion, ses défenses spirituelles qui sont les dernières frontières qui le protègent de l'égalité avec les barbares dans un monde sans frontières.
"Chacun fait ce qu'il veut" signifie chacun pour soi signifie tous contre tous. Que chacun fasse ce qu'il veut est un slogan de gauche produit par l'oligarchie de l'extrême-droite financière anti-Blanc, une paraphrase habile des deux vraies devises jamais proclamées, elles: "Diviser pour régner" et "L'ordre par le chaos".
Qu'est ce qui a perdu les Arabes? Le sucre. Qu'est-ce qui a perdu les Blancs? Le fun.
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Ce pèlerinage qui devait être le cœur battant impénétrable d'une micro-Chrétienté s'étendant par cliquet sur le monde athée sans enfant est devenu le réceptacle "très ouvert et détendu" de tous les dégazages de fonds de cuve du monde, nous voici en plein dans la mécanique mise à jour par Abel Bonnard dans Les Modérés.
L'Eglise est une Hiératique c'est à dire un Ordre vertical légiféré de manière transcendante pour ordonner une société respirable, avec des places pour chacun, des rôles, des grades, des habitudes forgées par l'expérience c'est à dire des usages qui remplissent nos vies dans ses aspects cardinaux, naissance, mariage, mort, et jusqu'aux plus reculés recoins, jusque dans le manger, le vêtir, le parler. Pourquoi faire? Pour que chacun connaisse exactement sa place et celle de l'autre sans recourir à des petits chefs pour la lui rappeler.
"La Paix c'est la tranquillité de l'ordre" et qui méprise cette antique maxime se condamne lui-même au bordel,  au dérisoire, au "fun", à la graisse, et à toutes les ponctions cocufiantes illustrées en "Nicolas, 30 ans".
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L'Eglise est une armée spirituelle qui dit aux soldats des deux sexes ce qu'ils doivent manger, comment ils doivent s'habiller, comment ils doivent prier, comment ils doivent vivre. Cette armée n'enrôle personne de force, elle accueille seulement les volontaires civils qui se présentent à sa porte décumane. Puisque l'Eglise ne nous poursuit pas de ses oukazes, puisque nous sommes entrés de plein gré et qu'elle est patiente et compréhensive pour nous, puisque nous mesurons par comparaison avec nos voisins embringués sous d'autres bannières à quelles rétorsions la religion chrétienne nous a donné d'échapper, alors rendons le bien pour le bien.
Parler peu et bien, porter le voile à l'église, la jupe longue en société, ne pas baffrer, ne pas comérer, ne pas exiger... sont le strict minimum auquel peut souscrire celle qui se dit chrétienne en période d'invasion aggravée et d'apologie de toutes les déviations. La modestie chrétienne du vêtement surtout, est la marque distinctive de la Vraie Foi dans un monde idolâtre du cul, elle est le signe vérifiable d'une "mise hors-monde" de la Chrétienne, sa configuration à Marie vérifiée par les actes, son avertissement aux démarcheurs, le cassage par avance de dents aux vils prédateurs, pour se prémunir soi-même et pour propager l'influence du vêtement modeste sur les autres jeunes filles dans un monde binaire qui les somme de montrer ou leur voile ou leur cul.
La maladie dont nous crevons c'est la stérilité et le métissage, connues sous les termes faibles de dénatalité et d'immigration. Le point nodal de tous les remèdes c'est la génération endogame séparée du monde c'est-à-dire la sainteté, étymologiquement la "séparation",  considérée comme moyen de survie dans ce monde et de vie dans l'autre. Cela signifie des sociétés fermées au plan organique, compétentes au plan professionnel, ascétiques au plan du mode de vie. C'est ainsi que vivaient les terroirs français. C'est ainsi que vivaient encore les Ligueurs, les Quakers, les Mormons, les Amish, les Pères Pèlerins, les Boers, les Irlandais envahis, les Italo-américains, et tant d'autres Formes éprouvées de furtivité sociale en territoire hostile. Ces gens avaient compris que l'on protège son peuple non par des sermons mais par une ingénierie sociale c'est-à-dire par une technique de la vie pratique, un parti-pris d'existence grégaire, par une Forme de vie quotidienne gardée par des standards pointilleux et par un Esprit de cette Forme qui sécurise la conservation de la substance raciale dans le temps pour assurer sa continuité cohésive transgénérationnelle (Laurent Ozon). Ainsi vivent aujourd'hui un millier de Blancs d'Orania en Afrique du Sud, rescapés des tortures et des massacres organisés par les pires barbares néolithiques imaginables, auprès desquels nos racailles font figure de plaisantins.
Dans l'enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d'invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. "Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père". Il y a assez de place dans l'Eglise pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m'arrête à son seuil tel Moïse devant la Terre Promise), selon des principes très bien décrits par Julien Langella dans "Catholique identitaire", et qui s'appuient sur l'exégèse biblique et l'apologétique. Et pour tout avouer bien nettement, non seulement la Religion est le seul moyen de peuplement bio qu'ont les Blancs hors du fascisme, mais la stérilité et le métissage ne sont même pas des punitions, ils sont de stricts résultats, comme dans une équation, de l'irréligion. En cas de doute on pourra relire avec profit les prédictions curieuses du chapitre 28 du Deutéronome, le testament de Louis XVI, ou encore employer pour une fois la statistique à bon escient comme l'a fait Patrick Buisson depuis 10 ans, constatant que partout et toujours la baisse des naissances chez les vrais Francais était précédée d'apostasies, alors que la prodigalité ne s'est observée que dans les temps et les régions d'enthousiasme et d'assiduité populaire pour la pratique religieuse familiale.
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Dans un monde binaire "la pute ou la voilée", la Troisième Voie se mérite par une ascèse c'est à dire par un combat spirituel exercé sur les aspects pratiques de notre vie. Veste longue et chaussures cirées miroir pour les hommes, voile et jupe sous le genou pour les dames, voilà le vrai test minimal, le vrai "respect de la Messe", le sens pratique du sacré, le prélude à la vraie dévotion intérieure. Un moine tout à sa Nepsis, tout à sa paix d'hèsychaste, l'imagine t-on en pantalon et tee-shirt ? Ou oisif ? Ou obèse ? La Religion est un hiératisme qui ordonne les aspects matériels de notre être social. Le vêtement. Le travail. Le jeûne. Le rangement. L'entraide. Ce sont là les bases de la Chrétienté, et pas du tout les cathédrales, qui en sont les fleurs.
Il n'y a pas de "catholicisme traditionnel" possible en sweat capuche ni combishort, nulle part, jamais. Car s'il en va ainsi des tratras, qu'en sera-t-il des modernos ? Et des protestants? Et des athées ? Et des LGBT? Voilà comment advient le règne du singe-robot de science-fiction, par la "transition", par la décontraction graduelle des hommes à chaque génération. Loi de Volkoff: "Le vêtement négligé d’une génération devient le vêtement chic de la génération suivante, avant d’être déchu à son tour comme prétentieux et ringard". L'abaissement des standards culturels (vêtement, nourriture, langage, fréquentations, esthétique), ce recul par escarmouches est le prélude aux capitulations sans condition en rase campagne. À la fin on signe la charte parité, la charte climat, la charte LGBT, et pour garder la face on obéit jusqu'au bout à sa scélératesse personnelle en se retournant contre ses derniers frères qui ont tenu bon. "Eux sont trop extrêmes, mais moi j'ai su rester mesuré, voyez".
Idem des théories sur la Civilisation. La seule Civilisation immédiatement identifiable c'est une rue heureuse, familiale, proprette. Expliquer autre chose c'est signer du charabia d'intellectuel payé au nombre de signes. La vérité la plus crue sur la cléricature à été écrite par Rebatet dans son livre Les Décombres, chapitre "La religion chrétienne". À savoir qu'en dehors de la stricte administration des sacrements et des rappels de doctrine les intellectuels clercs ou laïcs sont en matière politique, physique, sociologique, des "imbéciles pyramidaux" et cela se vérifie toutes les fois qu'on laisse à cette engeance la plus petite responsabilité concrète ne serait-ce qu'à l'échelle d'un village, même d'une assemblée de quatre individus. Eux sont les premiers à s'indigner et à raison, des divorces, de l'anarchie dans les familles, des enfants-rois, des pères éteints et des mères hurleuses, très bien. Mais toutes les fois où éprouvés par le hasard ils ont dû arbitrer un conflit c'est à dire à rendre Justice, ils ont systématiquement donné 1 partout balle au centre pour départager la dame fût-elle la plus exorbitante hystéro-concierge et le bonhomme fût-il le plus discret arrangeant ponctuel bosseur. Leur vrai Surmoi c'est le qu'en dira-t-on du Monde.
Le pèlerinage sert à convertir notre mode de vie, à se délivrer, se dépouiller, se décharger des fardeaux de culpabilité indue que le monde fait porter notamment aux jeunes Blancs, à embrasser un nouveau mode de vie, à jeter loin de soi sans un regard tous les surplus, surpoids, faux systèmes tenus pour vrais où la société entend nous embringuer tantôt par la récompense, tantôt par l'intimidation. On ne discute pas avec cette putain.
Le pèlerinage c'est la vraie pratique religieuse beaucoup plus que la Retraite, que la Messe, c'est le vrai test religieux à qui l'on ne peut mentir. D'abord les gloutons, les poltrons, ne tiennent pas 10 kilomètres sur les 100 du parcours ; le pèlerinage fait d'entrée le tri des vicieux selon leurs vices. Exit les bouches inutiles, les dondons, les "dames très gentilles". Les vieux minces eux marchent très bien et sans une plainte. Dans le pèlerinage les âges et les classes sont mêlés, on y côtoie avec un certain soulagement des hommes de 50 ans non-alcooliques qui ressemblent encore à quelque chose, qui donnent aux jeunes l'idée qu'une vie est encore possible après 30 ans, et que la vraie virilité se mesure sur le long-terme.
À ces jeunes je parlerais ainsi. Tu peux marcher? Tu ne veux pas marcher? Ne parle plus religion. (Tu parles politique ? Tu n'as pas lu 3 fois BPM? Ne parle plus politique). Mais je leur dirais aussi de se méfier des chefs catholiques, des "lanceurs", des officiers, des dames patronesses et des sermons abstraits. Ils ne trouveront pas plus féministe, pas plus africain que ces bourgeois libéraux attiédis déguisés en gardiens de la tradition. Entraînés par la propagande maçonnique, ces discoureurs ont trouvé "exagérée" la pudeur islamique féminine alors que c'est le seul domaine où la Mosquée est plus conséquente que l'Eglise, justement exactement le seul. La doctrine non-sue de tous ces anti-libéraux est le chacun-fait-skiveu.
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La gentille égalité homme-femme européenne évoluée, la galanterie gauloise, l'amour courtois, toutes ces joues tendues à des chiens qui nous ont fait tant de mal... n'ont plus cours en période d'invasion migratoire aiguillée par la double pompe aspirante de la thune blanche "redistribuée" et de la fesse blanche pornographique. En période d'invasion la "charia blanche" est le plus petit acte de légitime défense d'un peuple colonisé, et le premier article de cette loi est la modestie du vêtement, en somme l'uniforme obligatoire. S'entendre dire comment s'habiller irrite énormément notre mentalité profondément libérale surtout en France pays du quant-à-soi. Mais le quant-à-soi avait une condition: la crainte commune de Dieu, ceci tranquillement, comme l'on craint un père, sans transport mystique. Le mépris de Dieu à donné oppression athée qui a donné invasion qui a donné prédation sur les jeunes filles selon la race et le vêtement. Ceux qui ne comprennent pas cela, ceux qui n'en n'ont pas fait l'amère expérience n'ont aucune légitimité à diriger les Blancs: ils ne les aiment pas assez, ils n'ont pas assez peur pour eux, ne se creusent pas assez là tête pour eux. Ces faux chefs ont 40 années de retard à l'allumage. "Sacrebleu on voudrait nous empêcher en France de laisser nos filles sortir vêtues en miel à mouches? De qui se moque-t-on?". Le lendemain matin Françaises violées, Français tués, Peuple métissé, stérilisé, garçons français privés de leurs alter-égales (c'est la liberté!). Ils ne comprennent pas ces désastreux types la notion de réduction de voilure, qu'ils doivent au contraire ordonner une diète de peau visible pour affamer les sangsues qui ne vivent que dessus, qu'en ces temps d'hypertrophie du désir la satiété, le dodu, le facile, le "super-salope", le loisir, le vantardisme, sont des malencontreux focs oubliés qui font prise au vent dans une tempête, des monnaies qui n'ont plus cours cause de dette que nul ne peut rembourser. Ce sont ces jetons de casino qui ont excité l'appât du gain chez les vils prédateurs qui sont là aujourd'hui, qui ne veulent plus partir, le fameux "on est là, on vous baise" de l'homme du ressentiment qui, privé de capacité productive par ses facultés intellectuelles rudimentaires n'a que sa capacité de nuisance à exercer sur le pays sans défense, lui le sicaire qui s'ignore choyé par la pire bourgeoisie anti-Blanc jamais parue en Civilisation (cf Céline) qui lui a toujours enseigné la haine de la France, la prédation sur les Blancs, le faux roman national ("on est venu reconstruire bla bla bla, tirailleurs chair à canon bla bla bla, occident riche du pillage etc"), roman exactement inverse de la vérité historique des faits. Face à ces 2 fronts quel recours avons-nous ? Nos chefs cathos école De Villiers?
Puisque leurs enfants, jeunes redeudeux, aiment le rap tant que cela peut-être voudront-ils méditer cet extrait du refrain de Pour Ceux, daté de 2003, "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain". Cent fois plus de pertinence, de compréhension des enjeux, de sens de l'Etre Collectif gît dans les hurlements de ces aborigènes (notion de sagesse des primitifs qui "rase de plus près la lisière de l'idéal" selon Baudelaire) que dans n'importe quelle conférence de théologien de pastorale catéchétique. "Pour nos sœurs qui seront les mères de demain" est le véritable fourteen words, complet en neuf mots cette fois. Il exprime la juste jalousie qui devrait animer le Blanc envahi envers ses alter-égales, il traduit le vrai sens de l'Etre Collectif, le sens de la Génération, le sens de l'honneur, le sens de la famille, le sens de la clôture et de la séparation d'avec d'éventuels actes de prédation, il recèle enfin une prévention et un avertissement aux "consentantes" putes qui entendent se vendre aux prédateurs, et une prévention et un avertissement aux violeurs.
Vous êtes un vrai Français? Vous ne pouvez pas vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez pas parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement d'un seul millimètre, sans quoi c'est la descente entièrement au Primitif ontologique pour n'en plus jamais remonter. En temps d'invasion vous ne pouvez pas "faire la fête", on ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les hilotes devant les Spartiates, consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques, encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d'avoir bouffé, toute l'année, toute la vie, et le salaire de toutes ces gaudrioles stupides c'est la honte, le déclassement, la mort, l'oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l'école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de minifoot qui ont défiguré l'équipe de "France" en cette chose honteuse qu'elle est devenue, l'invasion et tous les déshonneurs ordinaires apportés par un désastreux rapport au féminin, sont des plaies qui cautérisent très vite à condition d'une hausse drastique des standards culturels.
Intégrisme absolu en matière de Culture c'est savoir qui nous sommes et ce que nous faisons. Vive le courage d'engueuler les plus lâches que soi, d'engueuler tous ces chefs de palabre, montreuses de cul, prélats grotesques, ces infectieuses Karen dames pachydermes. Aucune pitié pour se mettre tous contre eux: plus ils seront évincés vite plus la jeunesse chrétienne sera saine et sainte, la jeunesse blanche immaculée et surtout immaculable.
Les brebis perdues ce sont en France les jeunes Blancs actuels qui n'ont d'horizon que la déglingue, le rap, la drogue et l'alcool, le porno, le paiement de rançon au colonisateur, le chômage, la philosophie de l'absurde, la Magalax, le "French Dream". Evidemment qu'ils se demandent pourquoi ils sont venus au monde! Messieurs les clercs expédiez votre messe en 1 heure tôt le matin puis consacrez votre temps aux brebis perdues. Vous devez regonfler, convertir tous ces Blancs, c'est cela votre mission, ce sont eux les brebis perdues qui ont priorité sur les autres et certainement pas vos chronophages bigotes et autres quémandeurs plaintifs. Ce sont les mariages futurs et eux seuls qui devraient accaparer toute votre énergie dans une crise où cent mille heures d'explication ramènent toujours au point de départ: dénatalité, dénatalité, dénatalité.
Vous vous perdez en "dîme de la menthe" dans de menus détails logistiques qui ne rapportent rien au renouvellement de l'Etre Collectif. La seule chose profitable qui régénère, la seule chose que vous avez à faire, le seul lieu qui doit concentrer vos tirs de barrage, le seul point où doit s'exercer votre zèle c'est de marier le Français jeune et pauvre avec la Française jeune et pauvre, là, c'est tout. Le reste est absolument accessoire. Par surjons de micro-Chrétienté, faire grandir une survivance du déluge des années 60 qui s'étende en familles nombreuses, très nombreuses, en réseaux d'entraide, par cliquets sur le monde stérilisé de l'athéisme stupide. Et combien d'entre vous se font encore plus stupides que les athées ! Perdant leurs journées comme Maurras jadis avec ses grosses douairières, ils se repassent des histoires d'anciennes prélatures entre mandarins érudits démusclés, ils se roulent dans la basse énergie, dans les médias "par truchement de", leurs organigrammes sont vérolés d'impotentes en surpoids "fée du logis" qui commandent à des adolescents, voilà leurs œuvres prises sur le fait et ils croient faire des hommes de ces enfants qui leur sont confiés? Mais s'ils ne comprennent pas la juste hiérarchie de la Tradition qu'ils prêchent et l'énormité très libérale de leurs gaffes alors pourquoi veulent-ils commander un peuple qui se meurt d'anarchie "libérale"?
Un désastreux sens Esthétique donne d'avance toutes les réponses. Foyers hideux, carrelages lugubres, locaux noirâtres, vêtements mal coupés, nourriture constipante, méconnaissance des plus élémentaire notions d'ergonomie... sont des crimes quand on est responsable public et ces fautes crient vers le ciel contre leurs auteurs, elles repoussent les possibles conversions soudain refroidies de ce que ces apôtres représentent à leur insu: des putains d'épouvantails repoussants. Pour tous ces rabâcheurs d'abstraction les choses concrètes sont vulgaires, l'esthétique est secondaire, mais le baratin casuistique passe en premier lieu. Tout faux! Enfin un idéal féminin désastreux ne l'oublions pas. D'où ces gâchis, ces potentiels sous cloche, ces jeunes filles tournées vieilles filles, ces sempiternelles attitudes apeurées de poules contrariées. D'où cette méconnaissance entretenue d'une féminité réconciliée, une féminité Troisième Voie ni vulgaire ni coincée, école de sous-expression modeste et intelligente, de fraîche et fonctionnelle toilette, savoir-faire qui culmine chez la catholique américaine. Mais je ne puis regarder sans honte les filles de chez moi. Le style "aprêté"? Le frêle, l'engoncé de l'assistance des mariages, où la toilette des jeunes femmes acquiert la distinction d'une londonienne de Croydon du samedi soir. Mais telles mères, telles filles...
Le sens Esthétique, le sens de l'ingénierie sociale, le sens de l'honneur, le sens de la virilité, le tact, la Conscience de Soi, tout cela c'est tout un comme l'unicité de Dieu, or vous n'avez aucun d'entre ces prémices. Désastreux déshonorant gaspilleurs butés qui chauffez une maison les fenêtres ouvertes, au milieu d'une crise qui comme prévu jette enfin dans vos bras la jeunesse athée du pays qui veut vivre que faites vous ? Vous desserrez exactement maintenant la ceinture, au plus crucial moment, vous lâchez toutes les brides de la contention, vous dévissez les sangles précisément lorsque les ouvriers remontent le filet à bout de bras. Vous lâchez tout, vous effondrez en deux secondes la prise qui repart liquide dans le monde. Le pélérinage de Chartres devenu presque un char de techno-parade. Ce que vous êtes cons, ce que vous foutez la rage! Quel gâchis, quel putain de sabordage de sales cons, quand on pense au potentiel de conversion massive à partir d'un seul converti, de repeuplement à partir d'un seul couple bien marié, tôt marié. Cela devrait obséder vos jours et vos nuits: "Comment avec mon réseau contribuer à peupler mon pays puisque j'ai toutes les cartes en main pour aiguiller dix, vingt, peut-être cinquante jeunes personnes et que j'ai tout mon temps pour cela".
Chers camarades vous vivez sous persécution comme il est permis de vivre après une victoire : satiété, fêtes, loisirs, distraction, bas standards... grand bien vous fasse. Ces expansions de l'être donnent prise aux toxiques, elles excitent les prédateurs qui se voient alors vos égaux, allument l'envie pendant que vos instincts détrempés se relâchent. Sous une tempête les marins resserrent la voilure au plus strict nécessaire nous l'avons vu. Quand on est envahi, occupé, menacé, on se resserre: sobriété, gravité, discrétion, redoublement de Charité interne envers ses frères, redoublement de l'euphémistique vertu de Prudence envers les étrangers. D'où le soin à apporter dans le rangement, la netteté,  la première impression, le vêtement, dans ces choses nous entourent à tout moment au point que nous les oublions.
Tant de lâches à engueuler, tant de dictature à secouer... Dictature des bourgeois-bordel sur une Eglise armée mexicaine quand il faudrait des ouvriers et techniciens, un prolétariat français blanc chrétien qui maîtrise les métiers d'indépendant productif, sur le modèle école de la Martinerie. Le prolétaire, étymologiquement, c'est l'homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu'est-ce qui a perdu le Liban? La Syrie chrétienne ? C'est la vie bourgeoise, le mesquin principe du "pas trop d'enfants", la radinerie du "pas de premier enfant avant 30 ans". En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l'ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d'un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. "Quoi? Tu n'as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu te marieras jamais". Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par embourgeoisement. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, se sont enrichis, sont allés de mieux en mieux. Chez eux c'est rangé, ils prient, ils chantent, ils lisent, ils s'entraînent, ils s'entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable: la bagatelle, le restaurant, le voyage: en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s'amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d'en prendre un pour deux et de se serrer ensemble dessous.
Un autre problème : la catastrophique éducation scolaire chrétienne, y compris la soi-disant école privée hors-contrat (comme si cela garantissait quoi que ce soit) tenue par importantes dondons hurleuses et petits précieux efféminés, entièrement débilitante, républicaine, africaine, gaffeuse, inoffensive. Autoritaire mais par procédé, sans le tact que confère un vécu sensible (chose que les enfants même jeunes perçoivent très bien chez les adultes qui leur parlent). Bienveillante, mais maternante et castratrice et toujours nimbée de la lâche crainte du jugement des mères, seules véritables directrices (par proxy) des écoles tratras, les désastreuses mères quadras démusclées à tennis violettes en plastique étouffant des soupirs de porteur d'eau même pour monter dans la voiture. L'éducation chrétienne actuelle même très-très-tratra est une manière de se raconter des histoires entre administrateurs "membres du haut conseil" chevaliers de la dînette complètement cocufiés et féminisés. Ils ont trop lu, trop ressassé le moyen-âge, trop visité de monastères détruits en s'extasiant sur le plan alors que la guide devant eux a des faux-cils, des faux ongles, des faux seins. Ils ne voient jamais ces faux-culs le concret des choses.
Voulez-vous éduquer les adolescents ?  "L'éducation des jeunes européens en milieu multiculturel violent" de Laurent Ozon, tout est dedans, en quatre pages. À l'opposé, les désolantes dondons éducatives avec leur furie de vengeance inassouvie, avec leur stupéfiante muflerie de poissonnière hurleuse n'ont pas leur pareil pour démolir à vie les jeunes filles et les jeunes garçons de bonne race qui leur sont confiés. Quelques années scolaires de leur régime et vous obtenez ces petits adolescents procéduriers trouillards qui ne savent ni qui ils sont ni ce qu'ils doivent faire dans leur propre pays où ils sont ultra-minoritaires, ces maussades jeunes filles gâtées qui apostasieront à la première contrariété. Ils et elles n'auront connu de l'éducation religieuse qu'une mise en conformité toute scolaire avec une série d'exigences sous la pression de "maîtresses" catastrophiques. L'éducation religieuse, la vraie, dure toute la vie, elle stipule entre autres choses que les dames ne sont pas qualifiées pour l'enseigner et que nul ne doit se faire appeler "maître", l'Evangile le rappelle en toutes lettres, c'est dire combien sont légitimes les configurations actuelles.
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Quel être physique reste-t-il dans un enfant après formation religieuse par animatrice pastorale ? Quelle force, quel rapport au monde, quel nécessaire fanatisme, quelle énergie, quelle estime de soi, quelle certitude métaphysique peut-il rester à un garçon après s'être fait inculqué la déférence envers une dame dont la place sociale est en elle-même une usurpation? La réponse arrive 10 ans plus tard lors des premières confrontations physiques avec la racaille et avec la gent féminine amatrice de racaille. Ce jour-là il n'y a plus l'animatrice pastorale "dame respectée" pour rendre des comptes sur les résultats de sa formation. Mais "elle était très gentille madame Lebrouneux hein?"
Nous avons grandi sous propagande contre les pères, désignés comme alcooliques, abusifs, frappeurs à coup de ceinture. Nous n'avons jamais rien vu de tel dans les faits nulle part en 18 ans de salle d'attente de l'âge adulte. Nous n'avons vu partout et toujours dans les familles françaises que la mère abusive, la mère mauvaise, la mère indigne, la mère déshonorante, la mère hurleuse, la mère dégueulasse de manœuvres, la mère cinglée profiteuse destructrice effroyable et qui se fout absolument des conséquences de ses actes, entièrement protégée par les tribunaux et célébrée par les médias.
Mais les choses les plus sérieuses en matière d'éducation commencent exactement lorsque l'éducation scolaire vient de finir et que l'enfant doit faire sa place dans un monde qui lui est soit indifférent soit hostile. Toutes ces écoles à la con soi-disant tratra forment des intellectuels sur le modèle franc-maçon vieux de 150 ans le plus inepte imaginable, quand la seule voie porteuse, tracée par Thomas Arnold, consiste à forger le caractère dans une stricte séparation garçons/filles, loin des désastreuses mères surtout, dans une ascèse de Grec ancien, dans une apologie absolue de la Providence, de la génération de famille nombreuse, de la xénélasie et de l'excellence, dans le chant, le sport, le discernement professionnel dès 13 ans, dans la mise à l'épreuve par "devoirs" comme dans la scène du Starbucks dans Fight Club. Forger le caractère consiste à faire coïncider le tempérament  personnel de l'enfant avec la Tradition: la Nature lui a donné de naître et de vivre, la Tradition lui donnera de bien vivre. En l'état actuel des choses qu'iront faire ces pauvres gamins une fois leur éducation finie, une fois au pied du mur pour "choisir des études" après des années de crétinisation sous maîtresses et chapons? À votre avis quelle est l'espérance de vie de l'âme d'un garçon de 18 ans logé en résidence étudiante d'une ville lointaine pour y "faire une école de commerce"? Et d'une fille?
L'école privée tratra c'est comme le pèlerinage de Chartres : ça s'aligne sur les exigences des nouveaux entrants qui veulent profiter d'une Tradition toute prête pour eux. Ainsi en est-il des paysans envahis par les néo-ruraux, de la France par les squatteurs, des Civilisés par les barbares. Le pèlerinage de Chartres est une mini-société sauvée des années 60 noyées sous le Déluge et qui est en train de recommencer les catastrophes des années 60.
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Nous sommes tellement pétris par Mammon que nous en avons oublié comme la Providence prend soin de nous. N'est-ce pas une chose très angoissante que de voir des jeunes de bonne race mais sans gravité, sans religion, chercher la voie la plus propice à leur faire vite "engranger du fric" ?  Les aventures du cadre Berthier dans le film Une Époque Formidable disait déjà tout. L'immense triche de "faire carrière",  de "viser les hauts salaires" lorsqu'elle est répétée par toute une classe d'âge va forcément démultiplier l'immigration de bas salaires. La muflerie ESC de prétendre au titre de "cadre" pour encadrer, pour superviser ceux qui travaillent et jamais faire soi-même le travail porte en germe la colonisation par importation massive de profiteurs qui vont bâcler le travail, écœurer les travailleurs du sol par bas salaire et bas travail. Un peuple? Un troupeau de cadres. Universités remplies "d'étudiants étrangers" aspirants cadres. Tous d'accord pour cette attitude quasi métaphysique : faire faire le travail par d'autres et s'enorgueillir de cela.
Le travailleur à son compte, autonome, ostréiculteur, plombier, carreleur, sont les vrais créateurs de richesse, les apporteurs utiles de valeur ajoutée. Et quelle misère leur font la police, les normes, le stationnement, le fisc...
Le juste châtiment pour avoir prétendu par des études encadrer les autres c'est de devenir soi-même un précaire du tertiaire surdiplomé incapable, n'encadrant personne, et doublé dans la méchante compétition sociale par des ouvriers qualifiés bien payés dès leurs 25 ans.
Après le pèlerinage la marche s'arrête, on rentre chez soi et le culte devient statique. Bien. À peine aurez-vous fait un mouvement dans le sens de l'idéal chrétien que vous prendrez dans la gueule non pas les prédateurs extérieurs connus et déclarés de la Religion (eux se contentent de regarder et de ricaner) mais le phénomène interne très incongru des grosses dames tartuffes de paroisse, les aide-curé qui ont le doigt en l'air, les mères furieuses en surpoids et leurs maris chapons empressés, les cantinières à deux quintaux très fière du rata de midi, les empotées de la rue d'Ulm qui disent "maman" pour parler de leur mère alors que leur mère n'est pas dans la pièce. C'est l'énorme aberrant problème ecclésial de féminisation et la pire de toutes, une féminisation graisseuse, palabreuse, bordéleuse, impotente mais cramponnée à tous les aspects-clés : mise en relation, mondanités religieuses, éducation religieuse, carnets d'adresses, recommandation, validation, placement de table. Dans chacun de ces domaines c'est toujours quelque échappée de cure thermale qui commande, cela dans une jouissance des commérages, des rapports et des "mises au point" d'une bassesse, d'une mesquinerie inimaginables.
Le relâchement des standards produit la mère intrusive, la mère intrusive produit des efféminés passifs et des virils retirés du jeu. Défaillance fatale dans un monde tout tourné vers "celui qui sait s'affirmer", arrêt de mort de la génération. Ce que l'on a pu nous tourmenter par le concept d'homme du ressentiment ! Comme quoi nous serions "dans la haine", que le sous-homme s'agiterait peut-être en nous. Fabuleux cadenas de fermeture de gueule pour esclave à basse estime de soi inhibé par philosophie du soupçon.
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Si ces esclaves veulent respirer à nouveau je leur dirais d'être impitoyables envers la dame du ressentiment. Ces corps débilisés assurés de leur place dans un bureau pour leur débilité même et tyrans absolus, ces impotentes en surpoids mais qui rebouffent encore, ces enfoncées dans le mur qui refusent de se réformer, ces difformités exemptées de sport par "dispense très exceptionnelle"... n'ont pas à souiller même une seule seconde la vie de la jeunesse chrétienne.
Nulle religion, nulle tradition n'est possible, n'est imaginable qui ne commence par châtier sans pitié tous ces quinquagénaires gynecées crasseux graisseux grotesques, qui ne commence par chasser loin très loin ces dangereux Majin-Bou à ventouse chercheuse, à bien rosser, à bien fouetter les prétentions de ces limaces métaphysiques rampant sur nos mansuétudes en période de chômage aggravé, à bien rabattre le sale caquet preneur de confiance de ces très coûteuses hurleuses bouches inutiles dévoreuses de fric, rumineuses de seume recraché en discordes inextinguibles sur braves gens qui ne remontent jamais la chronologie des événements. Pour retrouver la vie religieuse joviale et simple quel strigile sera assez précis pour racler les suints huileux exsudés des pores de ces oisives batraciennes sudoripares épuisées d'agiter leur éventail? Quel grattoir, quel papier de verre, quelle paille de fer sera assez rêche pour poncer jusqu'à l'arasement les dépôts moussus de ces personnifications de marécage putréfié en crue? Quelle juste proportion de vinaigre et de soude produira la réaction chimique assez effervescente pour détartrer cet ignoble enduit, pour lisser ce crépi de studio marseillais hérissé sur des fresques de Giotto ? Pour quelle granulométrie de quelle pierre ponce râpeuse, pour quel degré de rugosité abrasive faudra-t-il opter lors du grand décapage qui nettoiera une fois pour toutes l'épandage solidifié des lisiers de porcherie projetés par ces truies hurleuses bonnes qu'à saccager, qu'à baffrer, qu'à digérer des passe-droits exceptionnels, vautrées dans leurs purin de certitudes? Quel rinçage final, quelle purgation, quelle cure de lavement par eau de Vichy multipliée par Sainte-Yorre chasseresse d'impuretés saura déboucher l'occlusion, détacher ces mollusques fossilisés sur parois hospitalières, histoire que l'on chie ces corps étrangers pêle-mêle aux ordures pour de bon, que l'on tire enfin la chasse, que l'on se relève finalement soulagés d'une tonne, leur tonne, et que l'on passe à autre chose?
Quand il cherchent les coupables, les dignitaires de la très compétente hiérarchie catholique remonte toujours à Adam jamais à Eve, ils voient Borgia jamais Syna. Puis quand ils comprennent tout de même que c'est de ce côté là que le mal est entré dans le monde ils se rétractent apeurés: "Tout compte fait ne cherchons point de coupable! Le mal est fait? Tant pis! Désormais il nous faut aller de l'avant!", entendez en avant vers l'Afrique, le gynécée et le wesh Versaillais.
"C'est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents." (Bernanos)
Le monde claque des dents? S'il y a beaucoup plus de trans***** dans le monde c'est à cause du mélange des garçons et des filles dans les églises chrétiennes. Et des reprotoxiques ! Mais la mixité est un reprotoxique social, un perturbateur, un inhibiteur, un empoisonneur autant redoutable que le plastique alimentaire. Le monde claque des dents? Le monde est irrespirable à proportion des baissages de froc de tous ces sels de la terre affadis.
Quelques remarques supplémentaires...
Il y a un péché de connerie et d'accumulation de menues conneries, un péché d'acceptation non sue d'états de fait vendus pour indépassables et achetés comme tels. Comme on meurt d'asphyxie indolore au monoxide de carbone on peut périr de brol, de graisse, de bavardage, de bibelots, de saccade, de heurts, de concession.
Et toujours se rappeler de se méfier énormément des "importantes". Plus elles vous voient mince et rapide plus vous détestent. Vous êtes sans vous en douter outrecuidant pour ces sacs à ressentiment. Elles ne peuvent avaler le reproche que vous leur faîtes à votre insu, ni le digérer, ni rien digérer d'ailleurs d'où leurs rumination de coups bas, leurs commérages gastro-oeusophagiens par renvois acides, et leurs excédents inévacués qui les contraignent à se porter elle-même deux fois en soufflant comme des vaches méthanières.
Aller à la messe nous est souvent pénible, nous n'aimons pas cela, nous y allons par devoir, pour "rendre nos respects" au Maître de nos vies chaque semaine. Ces statues sont désespérantes, ce carrelage noirâtre est désespérant, ce marron mobilier 19e siècle est désespérant, ce sont là des choses acquises, très bien. Complaisance dans la médiocrité, dictature des gougnafiers sur les esthètes, chants démusclés dans les aiguës, accompagnements bâclés, neurasthénie flottante, tout cela est connu, très bien. Pourtant il faut accepter cet agenda, cet ordo, et il portera des fruits.
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Mais en des temps de dénatalité publique la seule grande épreuve en matière religieuse, et tous les débats "République contre islam" l'ont assez montré depuis les années Dantec chez Ardisson, c'est la place de la femme, la tenue de la femme, les droits de la femme. Tous nos divorcés, ruinés, cocufiés, porteurs de matrones, réceptacles à hurlements, encaisseurs d'affronts, épongeurs de dettes... ne savent se cabrer vraiment que sur un point (eux si doués pour transiger), ne savent récriminer contre Ismaël que sur un point, et c'est? C'est la place de la femme, ah ah! Le Tradi est accroché à l'ominipotence de sa cantinière "chrétienne" de 500 kilos en legging pérorant ses exigences, il y tient comme à la Messe, beaucoup plus qu'à la Messe, pour lui la société chrétienne ne peut être qu'un gynecée de bavasseuses dans un décor d'anges en bibelots et de fleurs en plastique, grignotant des biscuits sucrés avec le chauffage à fond et la buée sur les vitres parce que Madame Lebrouneux a froid vous comprenez, il ne conçoit pas de manifestation plus aboutie de la Chrétienté triomphante.
Mais que veulent au juste tous ces pachydermes à prier Marie? Qu'y a-t-il entre elles et elle? Puisqu'elle était mince, et pudique, et taiseuse, pourquoi invoquent-elles Dieu par son intercession ? Si elle est leur modèle que ne modèlent-elles pas leur silhouette, vêtement, langage, sur l'exemple sont elles se réclament?
Pour rappel voici comment le Christ notre modèle à imiter s'adresse aux dames lorsque celles-ci prétendent s'impatroner dans sa vie: "Qu'y a-t-il entre toi et moi?", "Va-t-en et ne pêche plus", "Ne me touche pas". 
Vous transigez sur la primauté des hommes en Religion, vous transigerez sur tout par répercussion, par dominos psychologiques. Toutes les réalités visibles sont appuyées les unes sur les autres dans un monde invisible. Tout le monde comprend très bien les avertissements des légendes: Hélène de Sparte, les Sabines. Mais très peu assument d'agir en conséquence d'où certains ennuis hélas connus.
Il est très normal que la question cruciale soit "la femme" en des temps d'apostasie et de stérilité massive puisque la religion est une ingénierie sociale de perpétuation d'un peuple et la femme la garante de la prodigalité du peuple, de l'honneur du peuple, de la stabilité du peuple. Est-ce vraiment trop espérer pour nos jeunes: la jeune fille européenne à marier, chrétienne, bien élevée, bien habillée, et c'est tout.
Dès lors qu'une religion admet que la femme religieuse puisse jacasser tête découverte en public, c'est que tout est fini. Quels que soient les prétendus "chiffres encourageants", ce sera une croissance par la honte. Une telle faute à un tel endroit en une telle époque, après tous les vivants avertissements reçus depuis mille ans, après tous les traités de sagesse connus qui ont tant insisté sur ce point... est une transgression qui engage l'intégrité même des souches raciales du peuple emmené dans le ravin par mauvais bergers.
La femme religieuse de 25 ans qui s'interroge sur sa foi avec des mots de vidéo tiktok pour exprimer sa "connection", comment "se rebooster sa foi"... n'a rien compris, n'a rien à faire dans un pèlerinage religieux traditionnel et ceux qui l'y tolèrent vendent à crédit ce pèlerinage au Monde avant de se faire racheter à bas prix et fiche dehors à leur tour.
Qu'est-ce donc que vos Tradies, si l'on enlève l'écriteau sous le tableau d'art abstrait, que reste-t-il comme résidu à sec après évaporation des mots d'explication? Probablement le pèlerinage 2023. Comment alors "répondre de l'espérance qui est en nous" face aux Mormons, aux Amish, aux témoins de Jéhovah, et même aux religions non-chrétiennes qui en matière de vêtement se tiennent cent fois mieux que nous? Tout ce chemin tradi pour se conformer finalement au degré d'élégance d'une présentatrice quinquagénaire de KTOtv, avec pour doctrine deux paragraphes de féminisme La Croix. Les dondons de paroisse, ces excellents épouvantails placés devant les baptistères pour en interdire l'accès aux convertis sérieux, si elles sont laissées en paix, égareront par leur seule présence les derniers désirs de conversion.
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Le combat spirituel consiste à se réformer soi-même chaque jour toute la vie.
Jamais ni l'orthodoxie, ni la synagogue ni la mosquée n'auraient toléré une minute d'un tel relâchement. La honte... la honte. J'ai honte. Quel spectacle à vous faire rentrer sous terre de honte que la sans-gêne dame graisseuse et sa version jeune la "tradi en short" donnée en pâture au monde. Si telle est la tradie que sera la moyenne? C'est déshonnorer la Vraie Foi, c'est se déshonnorer soi-même, c'est déshonnorer les hommes religieux à qui elles imposent leur présence. Zéro conscience de soi, zéro sens du groupe et ça prétend au titre de chrétienne. Cette honte absolue : lorsque les moines tonsurés du Barroux, ces saints hommes, sont forcés de côtoyer 3 jours durant cette pouillerie de gynecée en sueur beuglant des chansons de colo, et personne pour oser formuler une objection.
Personne ne vous oblige à venir dans un pèlerinage religieux traditionnel. Ceux qui vous y admettent sont les vrais salopards de l'affaire il est vrai. S'ils avaient un tout petit peu de courage face au monde ils se restreindraient sur un pèlerinage de 5000 personnes propres plutôt que de faire le trottoir pour un bordéleux cortège de 15000, et d'y trouver un motif de vantardise. C'est toujours le nombre et "l'ouverture" aux bas standards qui perd les causes nobles. Voulez-vous retrouver le fameux sens du sacré ? C'est simple. Parlez comme à l'entrée d'une église orthodoxe. "Pas de voile? Pas de jupe? Tu n'entres pas ici, c'est tout". Elles peuvent aller repeupler les Communauté Saint-Martin, Emmanuel, les diocèses qui en ont grand besoin autant qu'elles le veulent. Leur seule tenue démontre qu'elles n'ont rien à faire dans la Tradition.
Ces "chefs" tout remplis de textes sont les vrais salopards de l'affaire car ils laissent se propager la merde qu'ils promettent combattre alors qu'ils savent très bien comment la merde s'est propagée dans les années 60. Et eux les rescapés du déluge recommencent les années 60 par le menu! Tous admettent la notion théorique de "modestie du vêtement". Très peu sont capables de spécifier les critères concrets du vêtement modeste. Résultat, aucun n'est capable de faire respecter le port de cet habit même pour 60 minutes dans l'enceinte sacrée d'une église lors de l'office le plus saint de la semaine. Et ces gens-là seraient les dirigeants légitimes de milliers de jeunes chrétiens ?
Notre idéal esthétique ? Des corps minces, des visages graves, très au courant du tragique de la vie et de la condition de l'homme français en France, des personnes frugales sur lesquelles une hyène ne trouvera rien à manger, des vies sobres toutes de rusticité avec l'extérieur, toute de douceur avec l'intérieur.
Tout ce  trop connu foutoir de bourgeois-bordel "pas fixé sur le matériel" stérile et désastreux doit être démantelé intégralement avec ses pourvoyeurs.
Le voile, au moins à l'église, vous l'avez abandonné à "libre appréciation individuelle". Même séparer les hommes des femmes à l'église, ce tout petit signe vérifiable de respect du sacré qui permet à un adolescent de voir l'autel devant lui quand il prie et non le cul d'une dinde, cela aussi vous l’avez laissé gâcher dans le pêle-mêle foutoir "évolué" de vos goûts invertis.
Invertis et divertis où sont vos convertis ? "Allez d'abord aux brebis perdues de la maison" vous a-t-on dit, mais y êtes-vous allés? Celles-ci sont les Français de souche, athées, retournés, dégoûtés. Ce sont vers eux d'abord que doivent aller nos prières, nos mains tendues, nos efforts, et parmi eux-mêmes priorité aux gens de bonne volonté, aux hommes sains, aux femmes saines : beauté physique, vitalité, horreur de la vulgarité, compétence, ce sont ces fruits du bon sens qui nous peuvent rendre le Bien Commun par mariages, familles, enfants.
Le laisser-aller de la Forme traditionnelle prépare le laisser-entrer de l'informe. Voyez la mousse expansive comme elle opère : c'est cela l'image du laisser-aller, c'est une dilatation, un relâchement de la Forme dans l'espace et le temps. Maintenant imaginez qu'un champignon vienne véroler cette matière levée propice aux infections, qu'il l'investisse dedans, dehors, la rende spongieuse, liquéfiée, la fermente et s'en nourrisse jusqu'à la consommer entièrement. Vous avez le processus complet relâchement-invasion. La nature nous avertit assez en la personne des jeunes filles: ravissantes à dix-huit ans, combien sont méconnaissables dès leurs vingt-cinq ans passés ?
Tout ce qui est frugalité diététique, soin et restriction du langage, voile, modestie du vêtement, ascèse de l'emploi du temps sont des standards d'intelligence de la vie quotidienne, des techniques de contention de la Forme pour la maintenir, la muscler, la former à subsister beaucoup avec peu d'apport. La rusticité révulse nos tendances naturelles au plaisir. Moyens de supporter la rusticité? D'abord l'état d'esprit: zèle religieux, conscience de l'invasion, fanatisme pour un idéal de Beauté. Puis investir ou dépenser l'argent mais ne pas le thésauriser, le chant, la danse, la création, l'action concrète sur les choses, le sport, la baignade, le massage, le parfum, l'ameublement, le travail, les victoires. Petites récréations...
Si vous transigez sur la Forme peut-être garderez vous dans certains cas la Foi en vous-mêmes mais au-dehors de vous, l'exemple vivant que vous rendez portera témoignage contre votre Foi, abaissée à proportion de l'abaissement de vos standards. "Fi du regard des gens!" direz vous... Pardon ce n'est pas vous qui serez souillé mais l'honneur de la Foi que vous croyez représenter correctement. L'exemple catastrophique des matrones de paroisse et autres déjetés a six décennies d'éloquence derrière lui: ce ne sont pas eux-même qu'ils minent mais l'Etre Collectif et le rayonnement extérieur de l'Etre Collectif. Ils n'ont qu'à paraître pour repousser les indécis, fatiguer les candidats, inhiber les convertis, écœurer les braves gens, confirmer les infidèles, rassurer les athées, et comble de la catastrophe retourner les jeunes qui pourraient faire de belles familles chrétiennes pour les pousser dans la stérilité eux aussi, dans l'inversion, dans l'apologétique adverse etc.
La Forme sans ascèse se dégrade ; qui ne se réforme pas en permanence se déforme.
Dès lors l'Eglise se dépeuple, la démographie française baisse, l'invasion se répand. L'ascèse et la rusticité, le voile et le clanisme bref l'esprit de clôture sont les seuls rapports  au monde fructueux en temps d'invasion. Ceux qui ne comprennent pas cela se condamnent à dispersion, à dilatation de mousse expansive : après l'illusion de l'ivresse vient la dépression du réveil et de la casse à rembourser, des embrouilles à régler.
Sous le joug d'un pouvoir qui a confisqué exprès vos frontières c'est à vous de protéger votre clôture sociale: charité absolue en interne, prudence absolue en externe. Plus de frontières ? Clôture. En période de frontière sûre point besoin de clôture. Or les 20 millions de vrais Français qui restent dans le pays vivent dans leur majorité encore comme s'ils étaient protégés par une frontière, d'où leurs ennuis hélas : filles menacées ou "consentantes" (pire), pères déshonorés, garçons isolés, personnes âgées recluses, enfants maternés etc.
En matière de gestion de ses filles du sol avant mariage un pays envahi dispose de deux options: le couvent ou le bar à putes. La majorité des envahis trouve la seconde option plus conforme à leur sens de l'honneur, nous pas.
Il est tout à fait normal entre Blancs civilisés en France que les garçons et les filles du pays, enfants de la même race, physiquement frères et sœurs, se côtoient en temps de paix habillés selon la décence commune, et en toute sécurité se courtisent, se marient. Il en va tout autrement dès l'intrusion ne serait-ce que de dix éléments étrangers mus par la convoitise qui constatent avec étonnement leur impunité chez 20 millions de Français inoffensifs. C'est ici très précisément que la fameuse "pompe aspirante" entame ses premiers hoquets de succion. Elle va bientôt tourner à plein régime jusqu'à donner la tristement célèbre "invasion massive". Qui dit intrusion une fois dit intrusion mille fois par rameutage des frères, par répercussion en d'autres intrusions jusqu'à l'invasion massive avec prédation sur l'habitant. C'est pourquoi dès l'invasion commencée la technique de l'uniforme obligatoire est le minimal sursaut vitaliste.
Voilà le moment où les formes traditionnelles du mode de vie européen ont l'occasion de se muer en Intelligence Politique. La Forme de la vie quotidienne est un diaphragme qui peut s'ouvrir ou se rétracter. Quand la frontière tombe c'est la peau qui devient la frontière. D'où les meurtres, le métissage et les viols qui sont des formes d'invasion outrepassant la frontière de la peau. Or en cas d'invasion un patriote, un gardien de ses frères, l'esprit grégaire d'entraide, la Charité elle-même, commandent une rétractation, une prudence de la peau comme un factionnaire monte la garde d'une denrée chassée. Le voile n'est pas la tradition européenne (encore que!) mais refiler ses filles en pâture à des fils de pute n'est pas la tradition européenne non plus. Les européens libres devraient réévaluer où se place le sens de l'honneur en période d'invasion, pensée dialectique dont la plupart de nos identitaires n'ont pas la moindre idée or la France est de tous les pays civilisés celui qui subit chaque jour la plus vorace, la plus ravageuse, massive invasion. On ne vit pas envahi comme on vit souverain, cela tient de la plus élémentaire prudence. On ne s'habille pas pareil, on ne se déplace pas pareil.
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1660 l'Europe catholique sombre dans le bibelot, l'angelot, le mobilier contre-réforme pendant que l'Amérique, sobre et vêtue de noir commence son essor. Que nous reste-t-il dans l'Eglise? La tonsure des moines du Barroux. Les Beaux chants dans les graves (Credo III, Gloria IX, Lauda Sion, Veni Sancte), la liturgie, l'étiquette, un restant d'ordre. Et pour l'avenir ? Le vêtement hiératique dont le scoutisme de notre jeunesse à fourni les standards intemporels nous aide à concevoir un vêtement laïc régi par les critères d'un uniforme.
Que notre vie soit un foutoir est un fait qui peut se réformer si nous nous appuyons sur une tradition stable, un ordonnancement harmonieux, la Crainte, la pureté génétique d'un peuple saint. Toutes choses dures et divines.
L'ismaëlisme est l'impression en creux des vices blancs: fanatisme contre neurasthénie, honneur par les femmes contre soumission par les femmes, cocufieur contre cocufié, prolifération contre stérilité, tranquillité contre anxiété, famille contre individu etc. L'ismaëlisme est un signe que personne ne veut lire. La réaction d'orgueil athée à l'ismaëlisme accentue les vices des Blancs : Eux pas d'alcool? Eh bah nous, alcoolisme, ah ah! Eux pas de porc? Eh bah nous, charcuterie industrielle nitritée, ah ah! Eux pas d'érotisme? Eh bah nous, filles ouvertes et pornographie, ah ah! Eux familles nombreuses? Eh bah nous stérilité, etc...
Revenons à nos chefs tratras. Ont-ils obtenu sur le plan de la diplomatie cléricale interne une seule victoire en 40 ans sur les modernos? Où sont les miracles promis? Où en est la "lame de fond", la reprise en main promise par les nouveaux contingents de "prêtres pour l'Eglise" des paroisses dépeuplées? Les pires saccageurs archéo-maçons ont tout détruit devant vous jour après jour et vous n'avez rien fait. Pas une seule fois vous n'avez organisé de rendez-vous surprise avec un "évêque" attendu en bas de son local ou seulement sa confrontation physique avec les fidèles écœurés, pour qu'il assume en pleine lumière. Toujours c'étaient ces "textes", ces "documents produits en réponse à", le détroussage par le prestige du baratin et des "procédures prévues" quand la conduite des brebis est une chose physique très concrète dans laquelle les points de droit canon ne servent qu'à occuper l'adversaire courbé sur des paperasses pendant qu'il se fait rafler tout le terrain, là devant lui, autour de lui. Le tratra docteur en droit canon était je m'en souviens tout enorgueilli d'être invité par l'histoire à se prononcer sur la validité de tel sous-synode, sur la teneur, sur la valeur hors-cathèdre de tel clin d'œil... Il était gras, et lent, il allait de plus en plus vers le gras et le lent, champion des bonnes manières à table, aux solennels dîners de très sérieux manieurs de dînette, il étonnait les convives grosses dames par sa vertu de patience, d'obéissance, il devait l'emporter c'était certain, au nom de l'avenir de l'intelligence, lui le très savant, très lent, très tratra prélat.
Ce tratra directeur d'école par exemple "ne voyait pas le problème" d'affubler son établissement d'une équipe pastorale entièrement africaine. En apparence Monsieur le Directeur restaurait hardiment l'enseignement chrétien exigeant, viril. En réalité la jeunesse européenne sous sa responsabilité apprenait donc en toute confiance à s'agenouiller devant des Noirs et à ouvrir la bouche, et monsieur le directeur n'y voyait nulle faute, ceci malgré 50 ans d'invasion, agression, colonisation, après 40 de métissage industriel sous propagande de guerre, après 30 ans de pornographie ciblée, après 30 ans de hagra sur les babtous, ceci en pleine affaire BLM, mais non aucun outrage ne pouvait éveiller de sursaut vitaliste chez ce membre sec de la confrérie des bûches.
Les jeunes filles se précipitent sur le voile à cause du néant catastrophique du "vêtement chretien". N'avez-vous pas compris, ne frequentez-vous donc jamais de filles pour déceler comme leur être est en demande inverse de ce que prescrit la propagande, en demande d'appartenance exclusive, de signes d'appartenance, d'un très simple code du vêtement, code de conduite du "savoir où aller" et que le libéral "fais comme tu veux" les précipite dans d'autres signes, d'autres appartenances? Négligences catastrophiques en période d'invasion, d'une massive invasion elle absolument conservatrice, fanatique, hiératique.
Ces bataillons qui ont gobé par consommation d'écran toutes les couleuvres vont venir affadir ce qui restait de pureté dans ce petit pèlerinage et brailler "chantent les sardines" sur des zones d'étalement urbain, entre les turbines à vent et les antennes. Il y a seulement 15 ans ces lieux étaient encore les "océans de blé qu'a décrit Charles Péguy, une Beauce pour laquelle ces ouvriers de la 25e heure n'ont aucune sensibilité. Ils ne savent pas, ils peuvent pas.
Le respect du culte mais le mépris du sacré. Habillés "venez comme vous êtes".
Le sens du combat c'est la continuité du peuple Français de souche. Il suppose l'honneur du peuple par la vertu des jeunes filles ; la catastrophe a commencé lorsque les FDS ont rejeté ces protections de leur identité par esprit de répulsion envers une pudeur traditionnelle soudain vendue comme expression d'arriération orientale.
La putification tranquille n'est pas européenne mais anti-européenne et mise en place comme telle, c'est du miel attracteur de mouches, excitateur d'agressions, pour le pillage d'un peuple qui ne comprend rien parce qu'il persiste à vivre envahi aussi libéralement que lorsqu'il vivait libre.
Nous aimons regarder les filles mais entre hommes civilisés, de la même race que les filles regardées, et sur un territoire libre.
Il y a davantage que l'honneur de la jeune fille dans sa pudeur vestimentaire c'est l'honneur de son nom de famille, et au-dessus encore se trouve l'honneur du Peuple c'est-à-dire la continuité incorrompue des générations du Peuple dans le temps.
"La paix c'est la tranquillité de l'ordre". La première condition de la minceur c'est la diète. La première condition de la paix c'est la juste hiérarchie. Dans la vraie tradition seuls quelques hommes ont la personnalité juridique, en général par mandat impératif sanctionné d'exil en cas de défaillance.
"La guerre spirituelle"! Propice trouvaille de nos comtesses de l'impossible qui ne tiennent pas la faim deux journées de suite. Et ce serait devant d'aussi grossiers mensonges vivants qu'il faudrait s'écraser ? Mais n'importe quelle Didia Clara, fille de patricien, vestale "païenne" vivait avec cent fois plus de vertu, de pudeur, de sens de l'honneur communautaire, de conscience de sa race que toutes les solennelles dondons de paroisse de France et d'Europe réunies.
Les jeunes Français chrétiens idéalistes, privés de leur alter-égale, se jettent dans le séminaire alors qu'il est beaucoup plus noble et sacrificiel par les temps qui courent de devenir père de famille de 12 enfants.
Et nous n'aimons pas la manière cléricale actuelle. Ce n'est pas la religiosité pépère du mythique abbé de Torcy, le réconfortant "ça va aller" du curé de campagne aguerri et taiseux très au courant de la condition humaine et notamment de la masculine. C'est l''estomac inquiet d'Ambricourt qui ne conçoit de pureté que par souffrance "rédemptrice" pendant que l'invasion décontractée se goberge sur ses scrupules, c'est le pathos efféminé, émotionnel des talas cocufiés, contractés, heurtés, remplis de bibelots. Insensibles aux notions de circulation fluide des ondes ils sont des aliénés de la Beauté, des étrangers aux choses de l'intuition. Ils font des sermons quand il faut faire des enfants.
Leurs prises de parole inopportunes tombent mal à propos, gaffes non sues de l'incongru faiblard "chef" qui ne sait pas gérer, qui veut gérer, qui veut être "respecté", l'homme efféminé. Amenuisé il a joué de sa faiblesse comme d'une dispense "à titre très exceptionnel" pour monter dans les grades puis une fois parvenu se conduit en tyran. Cela très analogue avec le modus operandi de certains envahisseurs, qui ne sont aujourd'hui forts que de notre pitié d'hier et se croient arrivés par eux-même. Ainsi du Trocadéro. Ainsi des terrains de foot.
Dernières choses. "Les Américains ceci, les Américains cela" disent-ils... l'Amérique ils n'y sont jamais allé. D'abord une seule paroisse américaine recèle dix fois plus de saints inconnus que tous nos crasseux palabreurs ceinture noire de casuistique. Et puis d'une manière éclatante, irréfutable, les catholiques américains sont les plus conséquents, les mieux éduqués, les mieux habillés, ils engendrent les familles les plus jolies, les plus proprettes, les plus capables de l'Eglise universelle. Cherchez-vous un modèle de société, une théologie du vêtement, une ingénierie sociale catholique qui ait connu quelques succès, une éducation du caractère qui sache former des Chrétiens forts et des Chrétiennes gracieuses ? Cherchez en Amérique, lieu des erreurs à éviter certes, mais aussi des exemples régénérants.
La religion est le véhicule d'un peuple à travers le temps. Un peuple a donc un intérêt à garder sa religion. Les vertus sont invisibles, les formes sont visibles, ensemble elles garantissent la solidité du véhicule à travers le temps. La religion relie la créature à son créateur et propose d'atteindre un idéal céleste par un idéal terrestre.
Les hommes peuvent bien se faire autant qu'ils le veulent des prédicateurs érudits, des exégètes, des docteurs, des "hommes de science", des savants, des frères prêcheurs... Les hommes peuvent s'agiter autant qu'ils le veulent, s'ils sont célibataires le véhicule n'avance pas. Seule l'union avec une femme permet au véhicule de traverser le temps, par la naissance des enfants. C'est cela qui a aiguillé certains théologiens vers une comparaison de la rencontre de l'homme et de Dieu avec la rencontre de la femme et de  l'homme: en somme l'Alliance c'est le mariage monogame et monothéiste, la femme lorsqu'elle est la bonne c'est Dieu puisqu'elle vous choisit, vous sauve, qu'elle connaît vos secrets, que vous travaillez pour elle, qu'elle vous juge, et que par la maternité elle vous ressuscite. 
Mais trêve d'hypothèses romantiques. En société multiculturelle, la "guerre des berceaux" est le vrai nom de la société, guerre dont l'issue repose sur l'ingénierie sociale que développe telle ou telle religion et l'on sait depuis les années 60 libanaises que la religion chrétienne entretient dans ce domaine une légèreté catastrophique : chasteté des hommes et liberté des femmes, indifférence dévorée par l'athéisme et le sunnisme, manipulée par le talmudisme, massacrée par la loge, la fécondité chrétienne parvenait bientôt à peine au renouvellement des générations. L'accès à la bourgeoisie qui suppose une prééminence de la carrière sur la famille achevait de tout détruire. 
Les enfants appartiennent aux seuls pères. Ils sont portés par les mères, confiés aux mères, parfois élevés en partie par elles mais n'appartiennent ni à l'Etat ni à la mère, ni aux tribunaux, ni aux franc-maçons, ils appartiennent aux pères seuls jusqu'à leur majorité.
Nous aimons au suprême la beauté physique, l'excellence de la créature comme indice de l'excellence du créateur, nous savons la reconnaître certes, certes. Mais cette beauté physique est pour nous c'est à dire que monsieur Durand épouse mademoiselle Dupuis, qu'il n'y a pas de "marché ouvert" au tout-venant, pas de rencontre laissée au hasard de prédations externes et de libéral haussement d'épaules alors que c'est le point le plus capital d'une vie dans la chaîne des vies dans le temps. Et pour que monsieur Durand épouse à 18 ans mademoiselle Dupuis et lui fasse 20 enfants nous ne reculons devant aucun moyen mais les prenons tous, surtout ceux qui font sursauter nos "cathos" tranquilles : zéro écran, vêture de mormon pour les filles et régime de spartiate pour les garçons, habitat modèle Orania et enseignement modèle Martinerie multiplié par internat de Sarlat 1920. Garde absolue du langage, cours de dialectique, de langues étrangères, de lutte et de boxe, d'athlétisme, de bricolage et d'esthétique fonctionnelle. Les enfants aiment énormément l'éducation exigeante mais pour cela il faut les débarrasser de leurs catastrophiques mères. Nos plus beaux souvenirs de vacances enfant? Le scoutisme loin de tout sur les routes et par les champs, en France.
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PS: Autre immense lacune de la cléricature en temps d'invasion: qu'est-ce que la race? Qu'est-ce que la race blanche surtout, et d'où vient-elle ? Le caractère récessif des gènes clairs est-il une théophanie des dogmes du péché originel et de l'immaculée conception? Quels sont les droits particuliers des Blancs notamment français au sein d'une Église qu'ils ont plus que largement contribué à bâtir ?
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gabrielkahane · 3 years
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Heirloom
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Short form:
Heirloom (concerto for piano & chamber orchestra) premieres with Jeffrey Kahane & the Kansas City Symphony under the baton of Michael Stern, September 24-26. Tickets are here.
I’ll play a solo show at Rockwood Music Hall on Tuesday, September 28th. My dear friend and colleague, Johnny Gandelsman, will open with a solo violin set. Johnny’s on at 7pm, I’ll go on around 8pm. Tickets are $20 and are here. This will be my only NYC appearance this year!
Applications for Luna Lab with Oregon Symphony are now open! If you are a female-identifying, non-binary, or gender-nonconforming composer between the ages of 12 and 18, and live in Portland or Southeast Washington, please apply for your chance to study for a year with the incredible Nathalie Joachim!
Long form:
Several years ago, my friend Eric Jacobsen started pestering me about writing a piano concerto for my father, Jeffrey Kahane. It was an intriguing (and natural!) idea, but I kept putting it off in large part because I’ve never felt comfortable with large-scale instrumental composition. I think of myself first and foremost as a songwriter, and while I love to write for instruments in the context of vocal music, I feel almost entirely unmoored when voice & text are taken away. But Eric was persistent, and, well, here we are. Next month, the Kansas City Symphony will open its season with Heirloom, after which the piece will be heard in the coming years in performances presented by the co-commissioners who’ve rounded out the consortium: the Oregon Symphony, the Aspen Music Festival, the Los Angeles Chamber Orchestra, the St. Paul Chamber Orchestra, and Eric’s Brooklyn-based group, The Knights.
Heirloom is an aural family scrapbook, exploring, in its three movements, a series of inheritances. I’m incredibly excited to witness its birth September 24-26 in Kansas City. You can find the program note I’ve written to accompany its premiere at the end of this email.
The following Tuesday, September 28th, I will play my first concert in New York City since our lives were individually and collectively turned upside down by the pandemic. Most of the evening will be devoted to a new slate of songs drawn from thirty-one composed in October of 2020, the final month of a year-long, complete internet hiatus. Johnny Gandelsman, violinist of Brooklyn Rider, opens with what promises to be a ravishing solo set. Tickets are here.
Lastly, in 2019, I took on the position of Creative Chair with the Oregon Symphony. I’m very pleased to announce that this season, we’ve begun a partnership with Luna Lab, the brainchild of composers Missy Mazzoli and Ellen Reid. Luna Composition Lab offers mentorship and professional training to female-identifying, non-binary, and gender-nonconforming composers between the ages of 12 and 18. We at the Oregon Symphony are incredibly grateful to partner with Luna Lab to offer one student a year-long period of mentorship with Grammy-nominated flutist, composer, and songwriter, Nathalie Joachim, who happens to be one of my all-time favorite humans, and who will be giving the world premiere of Suite from Fanm D’ayiti with the Oregon Symphony in the spring of 2022. What makes this even more amazing is that another all-time favorite human, the violinist Pekka Kuusisto, will be playing Nico Muhly’s concerto Shrink, on the same program. Oh, but we were talking about Luna Lab. If you or someone you know wants to apply, you can find more info & the application form here; you just have to submit one score & a recording (MIDI is acceptable). I will be reviewing submissions along with Nathalie. Applications are due on September 7th.
Obligatory capitalism appeal: I know it’s been a while since I’ve put out new music. It’s coming. I promise. In the meantime, may I remind you about this gorgeous limited edition vinyl record?
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That’s it for now, folks. Stay safe. Try to lead with love, even when it’s hard.
All my best,
Gabriel
Heirloom program note:
Tucked away in the northernmost reaches of California sits the Bar 717 Ranch, which, each summer, is transformed into a sleep-away camp on 450 acres of wilderness, where, in 1967, two ten-year-old kids named Martha and Jeffrey met. Within a couple of years, they were playing gigs back in L.A. in folk rock bands with names like “Wilderness” and “The American Revelation.” They fell in love, broke up, fell in love again. By the time I was a child, my mom and dad had traded the guitars, flutes, and beaded jackets for careers in clinical psychology and classical music respectively. But they remained devoted listeners of folk music. Growing up, it was routine for dad to put on a Joni Mitchell record when he took a break from practicing a concerto by Mozart or Brahms. That collision of musical worlds might help to explain the creative path I’ve followed, in which songs and storytelling share the road with the Austro-German musical tradition.
That tradition comes to me through the music I heard as a child, but also through ancestry. My paternal grandmother, Hannelore, escaped Germany at the tail end of 1938, arriving in Los Angeles in early 1939 after lengthy stops in Havana and New Orleans. For her, there was an unspeakable tension between, on the one hand, her love of German music and literature, and, on the other, the horror of the Holocaust. In this piece, I ask, how does that complex set of emotions get transmitted across generations? What do we inherit, more broadly, from our forebears? And as a musician caught between two traditions, how do I bring my craft as a songwriter into the more formal setting of the concert hall?
The first movement, “Guitars in the Attic,” wrestles specifically with that last question, the challenge of bringing vernacular song into formal concert music. The two main themes begin on opposite shores: the first theme, poppy, effervescent, and direct, undergoes a series of transformations that render it increasingly unrecognizable as the movement progresses. Meanwhile, a lugubrious second tune, first introduced in disguise by the French horn and accompanied by a wayward English horn, reveals itself only in the coda to be a paraphrase of a song of mine called “Where are the Arms.” That song, in turn, with its hymn-like chord progression, owes a debt to German sacred music. A feedback loop emerges: German art music informs pop song, which then gets fed back into the piano concerto.
“My Grandmother Knew Alban Berg” picks up the thread of intergenerational memory. Grandma didn’t actually know Alban Berg, but she did babysit the children of Arnold Schoenberg, another German-Jewish émigré, who, in addition to having codified the twelve-tone system of composition, was Berg’s teacher. Why make something up when the truth is equally tantalizing? I suppose it has something to do with wanting to evoke the slipperiness of memory while getting at the ways in which cultural inheritance can occur indirectly. When, shortly after college, I began to study Berg’s Piano Sonata, his music— its marriage of lyricism and austerity; its supple, pungent harmonies; the elegiac quality that suffuses nearly every bar—felt eerily familiar to me, even though I was encountering it for the first time. Had a key to this musical language been buried deep in the recesses of my mind through some kind of ancestral magic, only to be unearthed when I sat at the piano and played those prophetic chords, which, to my mind, pointed toward the tragedy that would befall Europe half a dozen years after Berg’s death?
In this central movement, the main theme is introduced by a wounded-sounding trumpet, accompanied by a bed of chromatic harmony that wouldn’t be out of place in Berg’s musical universe. By movement’s end, time has run counterclockwise, and the same tune is heard in a nocturnal, Brahmsian mode, discomfited by interjections from the woodwinds, which inhabit a different, and perhaps less guileless, temporal plane.
To close, we have a kind of fiddle-tune rondo, an unabashed celebration of childhood innocence. In March of 2020, my family and I were marooned in Portland, Oregon, as the world was brought to its knees by the coronavirus pandemic. Separated from our belongings—and thus all of our daughter’s toys, which were back in our apartment in Brooklyn—my ever resourceful partner, Emma, fashioned a “vehicle” out of an empty diaper box, on which she majusculed the words vera’s chicken-powered transit machine. (Vera had by that point developed a strong affinity for chicken and preferred to eat it in some form thrice daily.) We would push her around the floor in her transit machine, resulting in peals of laughter and squeals of delight. In this brief finale, laughter and joy are the prevailing modes, but not without a bit of mystery. I have some idea of what I have inherited from my ancestors. What I will hand down to my daughter remains, for the time being, a wondrous unknown.
Heirloom is dedicated with love, admiration, gratitude, and awe, to my father, Jeffrey Kahane.
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firelord-frowny · 3 years
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Here’s a paraphrased version* of a rant i went on earlier today when i was talkin to my mamma about violin stuff.
So, there are TONS of curriculums of varying degrees of popularity and that were designed, from the ground up, to teach violin all the way from a brand new baby beginner, aaaaallll the way up to a prodigious skill level. The most popular of these is the ~Suzuki method~ which I talked a bit about a few days ago, but there are others. 
Most of these methods have a collection of different ~volumes~ of books that are filled with pieces that are strategically placed so that each piece helps a student master a skill that they’ll need in order to play the next piece. They introduce new concepts in small, manageable doses. 
These books are literally designed for the student to learn EVERY. SINGLE. PIECE. IN. THE. BOOKS. And they’re supposed to be learned IN THE SPECIFIC ORDER THAT THEY ARE PRESENTED IN. The books also often have supplementary exercises before each piece to help the student prepare.
Just about every violin teacher on the planet will require that their students purchase at least some of these books. 
But do you know how many teachers actually teach all the pieces to the students???
The number is not much higher than 0. 
Literally, I only know ONE!!!!! violinist in my age range who said that her teacher taught her every single piece in every single Suzuki book. And you know what? She’s a fucking PHENOMENAL player. She whips Paganini out so casually. She busts out the Tchaik concerto For Funsies. 
Other than this ONE girl out of all the many dozens of violinists I’ve been well acquainted with, literally 0 of their teachers bothered to do this, including my own. 
And it’s so fucking amazingly ABSURD bc like...
these books/curriculums - Suzuki and Barbara Barber and Essential Elements and whatnot - were created by pedagogues who dedicated their lives to figuring out all the best ways to teach instrumental music. They studied. They went through trials and errors. They gathered as much information as they could. They spent thousands of painstaking hours figuring out exactly how to guide a student from Beginner to Professional, and they laid it out step-by-step in these books where everything is in perfect order. There’s no guesswork as far as when to teach what, or how to teach it, or what supplementary skills need to be taught in tandem... they put it all RIGHT FUCKIN THERE in the books...
only for 99% of teachers to completely fucking ignore it. 
Literally, i dug out my old Barbara Barber book 2 today and discovered that the very first piece includes techniques that I’m still shitty at today. 
BOOK 2!!!! TWO!!!! TEE DOUBLEYOU OH!!!! ONE TWO!!!! The technique in question is left-hand-pizz on open strings. Which like, I can DO it, but I struggle to maintain a steady tempo. And the passages of the piece that use the technique are strategically placed for the specific purpose of helping the student learn to keep a steady tempo. 
What’s EXTRA ridiculous about this is that my old teacher - the shitty one - actually TOLD me to go out and buy all the Barbara Barber books in the first year I studied with her. There were six of them. Six books! Starting with volume 1 that was filled with beginner rep, and ending with volume 6, which was early/semi-professional rep. 
But do you think she started me out in book 1?
LMAO OF COURSE NOT, SHE STARTED ME IN BOOK FOOOOOUUUUURRRRRR!!!!!!! 
can you imagine??? making your student go out and buy books 1-6 and then starting them with book 4??? 
you’d think that she at least had me go to book 5 next, but why the FUCK would she do something so logical when, instead, she could skip me right to THE LAST PIECE IN BOOK SIX????? 
And then, naturally, she forced me to play butcher Paganini 24. 
STUPID!
Anyway, when I talked about all this with the one girl I know whose teacher actually bothered to teach her everything, I brought up how my teacher and many other teachers I know are so eager to ~skip~ their students based on their assessment that many pieces are “too easy/simple” for the student, and she responded by telliing me about how her teacher basically taught her that just because something seems “simple” doesn’t mean there still isn’t a lot to be learned from it. She talked about how in the event that she was already adept at the technical skills introduced in any new piece, instead of just skipping it, the teacher would use it as an opportunity to develop the subtler aspects of her musicianship - phrasing, timbre, color, artistic interpretation, harmonic analysis... things that would help her be all the more prepared for the more complicated, demanding pieces she’d be learning later on. 
That makes so much fucking sense, it’s honeslty offensive to me that that mindset isn’t held by every single teacher in the world. 
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Front and back cover details + the notes from inside the gatefold for the first Mark Two Deep Purple album: Concerto For Group and Orchestra (The Royal Philharmonic Orchestra Conducted by Malcolm Arnold)
In an interview with Jon Lord and Ian Gillan to promote the revisiting of the Concerto on its 30th anniversary, Jon shared the following (paraphrased) information about the Concerto’s conception:
They were told in June of 1969 that the Royal Albert Hall had been booked for the end of September. He immediately began writing the piece, spending many nights awake with a pot of coffee and sheet music spread around the main room in his flat. The lyrics were written by Gillan only one or two days before the show, scribbled on a napkin in a restaurant near the venue. He then had less than 36 hours to learn the words!
This is an early Canadian reissue on Warner Bros. Photos by me. Click to see full pics :)
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projectdestati · 6 years
Note
Is it just me or does the kh3 dearly beloved layer up all the versions from other games? Cuz that's really cool
I flippin love KH music asks; these are always so funHMM, I never really thought about it; let’s see! Here are a few of the things that I think make each DB unique--KH1: the delayed piano is unique to this versionCoM: addition of Always on my MindKH2: self-contained, oboe leading Always on my MindDays: flute focus, flute leading Always on my Mind0.2 & BBS: self-contained, violin focus Coded: harp focus, use of pizz, oboe leading Always on my MindDDD: self-contained, use of pizz, +1 waltzX: choir, bouncy BC: organUX: relentless piano harmony, picardy cadential movementKH3: self-contained, piano focus, harmonic movement restricted to the Cmajor for a huge portion of the tuneComparing the previous iterations to the KH3 one, the KH3 version seems to me that it’s pretty unique among all the iterations we’ve been given. Although it shares some similarities to a few elements from the UX and KH2 versions, it has a style in the arrangement and instrumentation that’s more similar to the orchestrations from the Kingdom Hearts Orchestra concert with its piano concerto-y focus to really let Benyamin Nuss (I assume) demonstrate his abilities! Harmonically, it’s neat that KH3 sits on a C major for a while to build up the eventual parallel modulation (CMaj->Cm) to Ab at just under a minute in. It’s also really unique that she changes the actual Dearly Beloved melody to fit within this new harmonic context in a way that other versions haven’t done before (using Es instead of Ebs, phrase ending on a G instead of a Bb). There are also some references to the style of the Dearly Beloved Concert Paraphrase from the Kingdom Hearts Piano Collection--namely those falling power chords and the triplet rises that can also be heard in Sinister Sundown from the same piano collections. This version’s so hopeful and happy in a new way because of Shimomura’s unique use of the C as the tonic for so many of the resolutions in this version, and it’s wonderful
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mezimraky · 6 years
Note
lavender, polaroid, vinyl
lavender: name something that relaxes you. folk music, the act of making tea whilst being aware of my every movement, trees existing peacefully no matter the time of the year, a book of poetry in my hand, sunlight seeping in and soaking into my skin, taking notes in a neat and small handwriting, pressing leaves and flowers and putting them with my letters when i send them, walking barefoot in the snow, becoming aware of the moment and just breathing
polaroid: post a picture that makes you feel good about yourself. not only does this one make me feel good about myself, it makes me feel good about the world for it has @a-british-guardsman in it and honestly how wonderful -- just two kids chilling in nighttime berlin by the riverside. having a great time.
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vinyl: what is some of your favorite music? any one that does well channelling the human soul? folk music with deep rooting in the people of its language, alternative music bringing forth that which differs from the norm and thus frames it so well-- without needing to paraphrase it without repeating its mistakes, instrumental from the most minimalist (arvo pärt) to gigantic over-the-board orchestral concertos, but then also 60′s~90′s pop sometimes because it just does well portraying the mainstream joy of just simply existing as a crowd, as one shared consciousness that is humanity
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sonyclasica · 5 years
Text
ALEXANDRE DA COSTA
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WAGNER: STRADIVARIUS AT THE OPERA II
Después de la extraordinaria acogida de Stradivarius at the Opera I, Alexandre Da Costa nos presenta la segunda entrega de este proyecto que presenta los más conocidos temas operísticos de la historia en una bellísima forma de concierto sinfónico. Si en Stradivarius at the Opera I, los autores homenajeados eran Bizet, Strauss y Tchaikovsky en esta segunda entrega la Familia Wagner es la dedicataria. A la venta el viernes 3 de mayo.
Consíguelo AQUÍ
Ahora, Alexandre Da Costa nos presenta Stradivarius at the Opera II junto a la Orquesta Staatskapelle Halle bajo la dirección del director Josep Caballé-Domenech y el Utrecht String Quartet. Un álbum enteramente dedicado a la música de la gran familia Wagner, de la cual padre e hijo desarrollaron un estilo de escritura donde el amor, el drama, la intensidad y la sensibilidad coexisten armoniosamente en todo momento. Un álbum operístico en su estilo, pero sinfónico e instrumental en su estructura.
TRACKLIST
1. Siegfried Wagner Concerto For Violin And Orchestra
2. Richard Wagner Parsifal paraphrase
3. Richard Wagner Siegfried paraphrase
4. Richard Wagner Träume For Violin And Orchestra
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automaticar · 2 years
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Western Symphony Orchestra Gloria Cheng, piano Johnathon Lyons, conductor Ryan Dudenbostel, conductor Friday 7:30 PM, April 29th, 2022 Program Symphonic Suite fromOn the Waterfront (1955) Leonard Bernstein (1918-1990) Johnathon Lyons, conductor Prelude and Scherzo for Piano and Orchestra (2021) John Williams (b. 1932) Gloria Cheng, piano Intermission Variations on an Original Theme, Op. 36(1899) Edward Elgar (1857-1934) Theme: Enigma (Andante) Variation I. L’istesso tempo “C.A.E.” Variation II. Allegro “H.D.S-P.” Variation III. Allegretto “R.B.T.” Variation IV. Allegro di molto “W.M.B.” Variation V. Moderato “R.P.A.” Variation VI. Andantino “Ysobel” Variation VII. Presto “Troyte” Variation VIII. Allegretto “W.N.” Variation IX. Adagio “Nimrod” Variation X. Intermezzo: Allegretto “Dorabella” Variation XI. Allegro di molto “G.R.S.” Variation XII. Andante “B.G.N.” Variation XIII. Romanza: Moderato “* * *” Variation XIV. Finale: Allegro Presto “E.D.U.” ABOUT THE PERFORMERS Described as “an invaluable new-music advocate and a preferred collaborator of composers like Pierre Boulez and Esa-Pekka Salonen” [The New York Times], Grammy and Emmy Award-winning pianist Gloria Cheng has long been devoted to creative collaboration with composers of our time. As a recitalist, she has performed at the Ojai Music Festival (where she began her association with Pierre Boulez in 1984), Chicago Humanities Festival, William Kapell Festival, Tanglewood Festival of Contemporary Music, and annually on the Los Angeles-based Piano Spheres series. She has premiered countless works that include John Williams’ Prelude and Scherzo for Piano and Orchestra, Esa-Pekka Salonen's Dichotomie(of which she is the dedicatee), John Adams'Hallelujah Junction for two pianos (written for her and Grant Gershon), and Steven Stucky'sPiano Sonata. Partnering with composers in duo-recitals, she premiered Thomas Adès's 2-piano concert Paraphrase on Powder Her Face and Terry Riley'sCheng Tiger Growl Roar. She has appeared as a soloist with the Los Angeles Philharmonic under the direction of Zubin Mehta, and at the personal invitation of Boulez, performing Olivier Messiaen'sOiseaux exotiques with him on the orchestra’s historic final concerts in the Dorothy Chandler Pavilion. Other concerto appearances have brought her to the Louisville and Shanghai Orchestras; Indianapolis, Pasadena, Long Beach, and Pacific Symphonies. In June, 2021, she performed the world* and European** premieres of John Williams’ Prelude* and Scherzo** for Piano and Orchestrain Barcelona’s Palau de la Musica with the Orquesta Sinfónica del Vallès under Marc Timón. In her home base of Los Angeles, she has been a principal artist with the Piano Spheres series, Jacaranda Music, Monday Evening Concerts, and on the L.A. Philharmonic's Green Umbrella series in Elliott Carter'sDouble Concerto for Piano and Harpsichordconducted by Oliver Knussen, and John Cage'sConcerto for Prepared Piano with Jeffrey Milarsky. Winner of the Best Instrumental Soloist Performance (without orchestra) GRAMMY for her 2008 recording, Piano Music of Salonen, Stucky, and Lutosławski, she was nominated a second time in 2013 for The Edge of Light: Messiaen/Saariaho. Her film project, MONTAGE: Great Film Composers and the Piano—documenting six composers: Bruce Broughton, Don Davis, Alexandre Desplat, Michael Giacchino, Randy Newman, and John Williams as she recorded the works they’d written for her —won numerous festival awards and aired on PBS SoCal, subsequently capturing the 2018 Los Angeles Area Emmy Award for Independent Programming. She has produced Music at Black Mountain College for the Armand Hammer Museum’s related exhibit; BEYOND MUSIC: Composition and Performance in the Age of Augmented Reality at UCLA, an international gathering of composers and media artists featuring Kaija Saariaho and Jean-Baptiste Barrière; and inside the (G)Earbox, a daylong UCLA symposium marking the 70th birthday of composer John Adams. Garlands for Steven Stucky is her 2018 star-studded CD tribute to the late composer by 32 of his friends and former students. Proceeds support the Los Angeles Philharmonic’s Steven Stucky Composer Fellowship Fund, which engages young composers in multi-year educational programs with the orchestra. A native of New Jersey, her formative studies were under the tutelage of Isabelle Sant’Ambrogio. Prior to embarking on her musical career, she earned a Bachelor’s degree in Economics from Stanford University. Her decision to pursue the piano-led to a Woolley Scholarship for study in Paris and degrees in performance from UCLA and University of Southern California, where her teachers included Aube Tzerko and John Perry. She is currently on the faculty of the UCLA Herb Alpert School of Music where she has created classes and programs that unite performers, composers, and scholars. She is often invited to speak as an advocate for contemporary music and in 2012 served as Regents Lecturer at the University of California, Berkeley. Johnathon M. Lyons received his Bachelor of Music from University of Alabama at Birmingham. He served as Music Director for The Actor’s Charitable Theater for over 10 years, leading shows like Nunsense, Spamalot, Beauty and the Beast, Little Mermaid, and Les Miserables. Through Johnathon’s work to bring more BIPOC voices into theater spaces, he was instrumental in the southeastern amateur premiere of the Color Purple. In December 2020 Johnathon with the support of his family moved to Bellingham. He is currently completing a Master of Music in conducting at Western Washington University. In his spare time, Johnathon enjoys playing his PS4 and reading books. He would like to dedicate his performance to his kids Brayden and Olivia Ryan Dudenbostelserves as Director of Orchestral Studies at Western Washington University, where he conducts the WWU Symphony Orchestra and serves as Graduate Advisor. He is also the director of the WWU contemporary music ensembleNowHearThis! Prior to joining the faculty at Western, he served as the Music Director of the El-Sistema-based Santa Monica Youth Orchestra. He conducts regularly on the Jacaranda new music series in Los Angeles, and recently served as Interim Artistic Director for the Marrowstone Music Festival. He also served for three seasons as a rehearsal and cover conductor at the Manhattan School of Music in New York City, preparing the student orchestras for such eminent conductors as Philippe Entremont, Yoav Talmi, Kent Tritle, H. Robert Reynolds, and Kenneth Kiesler. Dudenbostel was among fewer than a dozen Americans invited to participate in the 11th Cadaqués Orchestra International Conducting Competition in Barcelona. His new performing edition of Henry Purcell’s opera The Indian Queen, created in collaboration with director Peter Sellars, was performed by the English National Opera in 2015, following its premiere at the Teatro Real in Madrid in 2013. Ryan Dudenbostel has collaborated with vocalist John Duykers, violinist Mark O’Connor, violist David Aaron Carpenter, pianist Gloria Cheng, director Peter Sellars, and the legendary actor James Earl Jones, among others. He has also appeared onLate Night with Jimmy Fallon. He is a graduate of UCLA, the University of Missouri—Kansas City Conservatory, and Western Washington University, and has studied conducting with Neal Stulberg, Robert Olson, David Wallace, Kenneth Kiesler, Gustav Meier and Rossen Milanov. Performing orchestral masterworks from the Baroque to the present day, the Western Symphony Orchestra presents five to six programs a year, including traditional concerts, educational programs, and an annual concerto competition concert featuring student soloists. Committed to advancing the discourse on orchestral music, the WSO has given world, American, and Pacific Northwest premieres of works by John Williams, William Bolcom, Kaija Saariaho, Mason Bates, Missy Mazzoli, and Roger Briggs. The Orchestra frequently collaborates with faculty and guest artists, along with the Western Choirs and Opera Studio. Recent highlights include the first live performance of the landmark Gil Evans/Miles Davis collaboration Sketches of Spain in the Pacific Northwest; conference appearances at the College Orchestra Directors Association and National Association for Music Education; collaborative residencies with Grammy-winning pianist Gloria Cheng; a memorized, choreographed, and costumed production of Peter and the Wolf; and the world premiere of Roger Briggs’ Concerto for String Quartet and Orchestra with the acclaimed Friction Quartet. Western Washington University Symphony Orchestra Ryan Dudenbostel, conductor (names are listed alphabetically after principals) Violin I Helen Koenig, concertmaster Melaku Akalwold Zander Buhler Makenzie Doyle Miranda Loupas Meg Olson Madeline Massey Violin II Anya Petroff-Howarth, principal Kiana Doyle Maya Mijares Eliza Moyer Olivia Palmer Viola Lauren Waldron, principal Lily Beagle Evan Bridges Megan Jancola Benjamin Lewis Daniel Kolb Sophia Stevenson Cello Jacob Lann, principal Evan Cobb Lili Gondry Olivia Kingsley Ben Workman Smith Samuel Zito Bass Eirik Haugbro, principal Amelia Scanlon Brandon Whitmarsh Dylan Wilson Flute Creed Carlson Adele Koenig Shane Walz Oboe Tate Cohan Zachary Murdzia Rain Staser Clarinet David Bissell Amara Farah Jack MacCleary Bassoon Trevor Born Taylor-Marie Mocorro Parker Rivas Saxaphone Jordan Marbach Horn Ben Medranda Lentz Kyla Lewinsohn Benjamin Northam David Pike Trumpet Alex Marbach Cameron NielsonIgor Rudenko Trombone Samuel Harris Jared Johnson Bass Trombone Colin Marks Tuba Nicholas Hastings Piano Rosemary Smith Valeria Dapena Torres Percussion Toby Bruce Malia Della Scala Lucas Webster Jonathon Woods Zachary Ziontz Orchestra Librarian Madeline Massey Orchestra Manager Ben Workman Smith
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trevorbarre · 3 years
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“Oceanic Wooziness” and the Wire Top 50
Joseph Stannard coined this neat summation, in his review of a live performance at Cafe Oto, in this month’s Wire magazine, by the winner of it’s ‘Releases of the Year’ annual list, Fatigue, by the Brooklyn songwriter L’Rain. And I’m afraid that ‘fatigued’ is exactly how I felt when going through their Top 50 of 2021. I was reminded, with Stannard’s description, of so many of the bands valorised by Simon Reynolds in his very first book Blissed Out (1990), with ‘oceanic rock’ being a ‘thing’ that he continued to describe in his next book, Sex Revolts, co-authored with his missus, Joy Press. Is this now the ‘happening’ sound of 30 years later?
2021 is the first year that, since first reading (The) Wire in 1985, that I have absolutely NONE of the albums that the magazine’s writers have put forward as being the year’s best. Always a questionable proposition, Wire ‘best of’ lists have always generally resonated with my own listening habits until now. It must be my age, but I don’t find much of the current list to be of especial interest or of a genuinely challenging nature. L’Rain seems to be singing ‘electronic torch songs for the Cafe Oto crowd auditioning for a David Lynch movie’, and current Wire fave, Moor Mother, is also described as “woozy” in John Morrison’s review of her number two album, Black Encyclopedia of the Air. Is this a sign of our Covid times, I wonder?. L’Rain’s album curiously reminds me of a former Wire number one, Lauren Halo’s (an appropriate surname?) debut from 2012, Quarantine (a prescient title). Hip syncretism seems the order of the day.  For example, Promises, at number 3 in the chart, combines good old Pharoah Sanders with the even more venerable London Symphony Orchestra (memories of it’s 1969 work with Deep Purple, Concerto for Group & Orchestra, unfortunately raise their ugly heads at this point), and with an electonica ‘name’ Floating Points, to produce an underwhelming piece of Hip Easy Listening.
It’s the same old, same old, really: another Low album at number 4, with the duo’s very 90s combination of “vulnerable and intimate vocal harmonies with overdriven guitar roar...”, straight out of MBV and Flying Saucer Attack; a 12-hour Anthony Braxton exhaust-athon (his prolixity is becoming more and more jaw-dropping), similarly, William Parker drops in his 10 CD box set, with its equally weighty title,  Migration of Silence Into and Out of the Tone World , for our consideration; a four-CD John Cage set: more retro-futurism from the Sons of Kemet (tuba-driven, and with Shabaka’s stuttering staccato sax on top, they always give value for money) and bleak contemporary analyses of our woes and weals from Moor Mother (a couple of releases) and The Bug (Kevin Martin’s lack of a sense of humour is becoming increasingly deadening).. 
I know this must sound miserabilist, and it’s almost certainly my mood (we’re in lockdown with Covid for 10 days), but, more positively, the album that has bought me the most joy recently is Can’s Live in Stuttgart 1975. It’s ironic that Miles Davis retired from public performance in this very year because I can hear his contemporary group(s) all over this album, a stew of extended electro-funkified rock. (Furthermore, in terms of “oceanic wooziness”, can any act ever beat In a Silent Way?) For a year that is generally considered a pre-punk nadir, 1975 can still unearth material that ultimately put the more lionised 1977 in the shade. Consisting mostly of improvised material using themes from Future Days and Soon Over Babaluma (whatever Julian Cope says, these are surely their most timeless albums?), these 90 minutes still excite and keep one guessing. (”Jaki’s good tonight, innee?”, to paraphrase Jagger).
BEST WISHES FOR A GOOD XMAS TO YOU ALL.
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lindsay36ho · 4 years
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An Uncancelled Beethoven Celebration – Interview with Konstantin Scherbakov, part 1
2020 is not only a fascinating year for the musical world and the worldwide celebrations of Ludwig van Beethoven, but also gives us a chance to get closer to noteworthy performers in order to share their ideas and experiences of the grand master of western classical music. In this interview with Konstantin Scherbakov the phenomenal performer shares his experiences derived from a lifelong relationship with the composer, on stage, in the recording studio and as an influential tutor. In this first part of the interview we get to learn about Scherbakov’s year of celebration and complete sonatas recording project.
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Patrick Jovell: Konstantin, we know you through your large discography and your broad interest in different kinds of repertoire but this interview will focus on your relation to Beethoven. How did it all start?
Konstantin Scherbakov: The Beethoven Year 2020 rounds up an important circle in my biography. It is not only Beethoven’s 250 Birthday. It also happens that I play piano since 50 years. And it is absolutely no coincidence that I celebrate this double anniversary by playing only Beethoven’s music: I associate my personal Beethoven story with my life in music in general. It began when I, six years old, played his “Marmotte”, and continued through the next fifty years when I played in concerts almost everything Beethoven has written for the piano, and beyond – his solo piano works, all the Concertos and all the Symphonies. I also recorded quite a bit of this – initially for the Soviet Radio, then for Naxos (Diabelli-Variations), Two Pianists label (Eroica-Variations, Sonatas), the largest and most significant project being to-date the Complete Symphonies in Liszt’s transcription. The 2019/20 concert season was exclusively dedicated to Beethoven: the Complete Sonatas and Symphonies cycles in various countries and at some important festivals, of which the most notable was, of course, the Beethovenfest in Bonn. Besides the solo repertoire, I was also to perform Beethoven’s concerti. Towards Beethoven’s supposed birthday at the end of 2020 the release of the Complete Sonatas CD-box (which I am currently recording and will continue recording during the next months for the Steinway label) is scheduled with the release of the set of nine CDs in October – November 2020.
PJ: How has Covid-19 affected your concert and recording schedule?
KS: Yes, it was an unexpected turn of events, (for everyone everywhere!) which cost me, as any other artist, lots of engagements, concerts and which ruined all plans. You realize this especially painfully when it’s a cycle of concerts which is spread through the whole season, when your work is precisely scheduled every month at different venues: these sonatas in January, this set in February etc. Indeed it is very misfortunate when you schedule your work years in advance and everything is lost at once. Except recordings, however: in spite of the Corona crisis, the Steinway label is working strictly in accordance with the schedule we made up one year ago. Every month there has been a release of yet another set of Sonatas.
Here the pandemic situation turns out to be a life elixir! When in the past thirty years did I have the time to enjoy working – in peace – on one program for one whole month? The experience which mixes playing late Beethoven’s music all day long, endless walks in various Swiss regions, and reading Proust, is nothing short of a revelation! In the absence of any disturbing factors like traveling, getting hurried or distracted by other things, you realize this is nothing but sensational, unheard of, and for that reason extremely precious and wonderful time. That is what I am through right at this moment. However dreadful the situation is for the world I am grateful for the opportunity to experience something I was never able to experience before. Many things in life will look different from now on…
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PJ: It is said that Beethoven – after composing 15 sonatas – told his editor Breitkopf & Härtel that he was planning to compose sonatas in a totally new way. How do you as an interpreter and recording artist schedule your Beethoven recitals in terms of coupling sonatas? Is there a chronological factor working in this sense?
KS: Of course everyone planning to perform or record the complete Beethoven Sonatas inevitably thinks about how to program them in concert or on CD. So did I. I had done my homework but decided to research how others did theirs before me. I consulted recording catalogues and googled for concert cycles featuring Beethoven’s Sonatas. Strangely enough, I found more programs where the sonatas were distributed in some ways, different from a simple chronological order. Among them there would not be two similar programming ideas. And every idea seemed to me strange and suspicious, highly questionable and subjective. Why this or that choice of sonatas in one concert? What stands behind this particular combination? How would such a program sound in a concert? I did not have any answers as it all seemed too personal, too speculative and thus difficult to understand or agree. My research however proved to be very helpful. The conclusion to program my Beethoven Sonatas cycle in chronological order was reinforced and my opinion about such a decision strengthened. Indeed, what can bring a more satisfying experience than a journey with Beethoven through his life, every period of which left a significant trace in his piano sonatas, from beginning to the end? Moreover: from such a perspective, 32 sonatas appear much more as a cycle with its obvious concept and well structured content.
PJ: Brahms’ opening of his first Sonata – paraphrasing Beethoven’s ”Hammerklavier” – is such a striking example of the latter’s enormous impact as a role model for the sonata form, for composers and pianists to come. There are endless attempts to explain Beethoven’s Sonatas in form and psychological contents. Can you tell me why the 32 have become a bible among pianists?
KS: There are many reasons. To name them all one would need to write a book. I’ll just try to focus on the most obvious ones, from my perspective. One of them was the fact that Beethoven’s titanic and tragic figure was the icon that represented the spirit of the time. After all, the living legend Beethoven, was the most well-known personality of the time next only to Napoleon… It is no surprise therefore that Beethoven was regarded as a symbol of the epoch also by those who composed music. Of course Beethoven’s prodigious gifts were apparent anywhere, in all forms and genres. However, his genius needed the sonata form to develop and bring to realization the whole wealth of his abilities. It is primarily due to sonatas, quartets, and the symphonies that we know Beethoven. The historical development of the sonata form has reached its peak in Beethoven’s compositions. Deriving from examples of earlier sonata forms in the works of C. P. E. Bach, Haydn and Mozart, Beethoven brought the genre to totally new heights and established a new model which ought to serve as a pattern to follow and as a catalogue of rules, methods and ideas. It was the sonata form that explains the attracting power and strong influence of Beethoven.
PJ: Clearly Beethoven displays both willingness and boldness when it comes to experimenting with contents and its construction. Can you elaborate on that?
KS: Beethoven’s method of composition at first sight seems to be uncomplicated, straightforward, simple and easy: one takes a microscopically small musical pattern and grows huge constructions using its semantic potential. This universal method is indeed like in biological life where anything grows from a single cell. However, such a method requires a genius spirit, melodical gift, perfect sense for formal balance and logic, sophistication and precision of a mathematician’s thinking. Without any of these qualities any attempt to copy or even just follow the method would fail. Many composers didn’t escape the attraction of Beethoven’s method and tried it with various success: the names of Brahms, Bruckner, Schumann and Schubert spring to mind, Mahler would not be possible; many representatives of national schools couldn’t avoid the influence either, such as the Russian Tchaikovsky, Finnish Sibelius or Czech Dvorak. The perfect blend of counterpoint and melody, the use of plain harmony patterns, rhythmical urgency, logic in the development, an enormous scope of artistic ideas and subjects and the ability to say much using few words – that all made Beethoven’s scores an example to study, worship, marvel, and to follow.
PJ: Which values – or challenges for that sake – arise for you as pianist and interpreter while working with this incredibly rich material?
KS: Also from the pianist’s perspective there are a few reasons why Beethoven’s music is so attractive. The first indeed is the fact that this is undoubtedly the best music ever written. There are thirty-two wonderful piano pieces; each of them makes any concert program attractive for audiences. Due to their different musical nature, they can be integrated in any programming context. It also happened that Beethoven was the first composer to write music for the grandfather of the modern piano which we know and play today. Finally, it was in the sonata form where he not only formally completed the development of the genre but opened the new era of pianism with new rules, principles, new basics and unheard-of means. In order to serve the new music ideas which Beethoven introduced in yet another sonata, the piano technique had to be revolutionized; the modern understanding of articulation was introduced (Legato, before all), the use of dynamic range of ever changing and growing instrumental possibilities, the use of pedal(s) etc.
However, for a thinking, reflecting pianist, playing a Beethoven Sonata remains, above all, the challenge of highest artistic criteria; it is kind of a maturity test, because in a Beethoven’s Sonata one’s musicianship becomes apparent. Why so? The answer is in the nature of Beethoven’s language in general as the language of one of the greatest humanists in arts history. It looks to me the following way: in his music, Beethoven sums up the experience of the humanity, forms it in a particular musical idea, encrypts it in a pattern (motif, theme) consisting of a few notes and speaks by its means to humans, in his own name or in the name of God (“Seid umschlungen Millionen!”). His genius makes possible an easy and clear recognition of the meaning of such a motif by everyone. Its expressive power and obvious message is underlined by its shortness. The famous “Fate motif” from the 5th Symphony is a perfect illustration of this thesis. Thus, the task of a performer is to catch, identify, decode and bring the message over. Here the interpretation (pronunciation) has ideally to have the equal expressive power; any failure in properly formulating the idea would be recognized and cause dissatisfaction. In the ideal case, we get two kindred musical spirits acting in harmony – the composer’s and the performer’s. In the worst scenario, we simply experience the dutiful text reading. To illustrate these words I ask you to think about this: how many times were the expectations that always arise in anticipation of a concert featuring, say, the Sonata Op. 111, justified by the actual experience? That is what makes pianists attempt to climb those peaks of piano literature: on one side, the challenge which in case of success would be gratified by recognition, on the other – the urge to prove to oneself where one stands as of now. And above all – the ultimate beauty of the music which is matched only by its depth.
About Konstantin Sherbakov
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A world wide performer, Scherbakov had a career that took him to play with 70 orchestras and to record some 40 albums, including the complete piano works by Shostakovich, Godowsky, and the nine symphonies by Beethoven in Liszt’s transcription. Over the course of his career, Scherbakov has performed all of Beethoven’s piano concertos around the globe and is perhaps the only pianist in the world that has an active repertoire featuring all of Beethoven’s piano sonatas, all piano concertos and the Liszt-Beethoven symphonic transcriptions (the latter on five discs 1998-2004, Naxos). The recordings were met with enthusiasm: “Scherbakov is in many ways the artist whom these works have been waiting for,” International Piano wrote. Stereoplay echoed: “This CD should be prescribed at least 50 conductors for educational purposes! Since 1998 Scherbakov functions as Professor at the Zürich University of Arts and many of his students received prizes at international piano competitions, most notably Yulianna Avdeeva; the winner of the 2010 Chopin Competition in Warsaw. Scherbakov has also been nominated by the International Classical Music Awards (ICMA) for his Liszt/Lyapunov Transcendental Studies CD (Steinway label, 2019).
Scherbakov Sonatas Project 2020
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FREE SAMPLE: Beethoven Complete Sonatas Vol. 6 (Steinway and Sons label)
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zihnimkanarken · 7 years
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gabrielkahane · 3 years
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Heirloom Program Note
Tucked away in the northernmost reaches of California sits the Bar 717 Ranch, which, each summer, is transformed into a sleep-away camp on 450 acres of wilderness, where, in 1967, two ten-year-old kids named Martha and Jeffrey met. Within a couple of years, they were playing gigs back in L.A. in folk rock bands with names like “Wilderness” and “The American Revelation.” They fell in love, broke up, fell in love again. By the time I was a child, my mom and dad had traded the guitars, flutes, and beaded jackets for careers in clinical psychology and classical music respectively. But they remained devoted listeners of folk music. Growing up, it was routine for dad to put on a Joni Mitchell record when he took a break from practicing a concerto by Mozart or Brahms. That collision of musical worlds might help to explain the creative path I’ve followed, in which songs and storytelling share the road with the Austro-German musical tradition.
That tradition comes to me through the music I heard as a child, but also through ancestry. My paternal grandmother, Hannelore, escaped Germany at the tail end of 1938, arriving in Los Angeles in early 1939 after lengthy stops in Havana and New Orleans. For her, there was an unspeakable tension between, on the one hand, her love of German music and literature, and, on the other, the horror of the Holocaust. In this piece, I ask, how does that complex set of emotions get transmitted across generations? What do we inherit, more broadly, from our forebears? And as a musician caught between two traditions, how do I bring my craft as a songwriter into the more formal setting of the concert hall?
The first movement, “Guitars in the Attic,” wrestles specifically with that last question, the challenge of bringing vernacular song into formal concert music. The two main themes begin on opposite shores: the first theme, poppy, effervescent, and direct, undergoes a series of transformations that render it increasingly unrecognizable as the movement progresses. Meanwhile, a lugubrious second tune, first introduced in disguise by the French horn and accompanied by a wayward English horn, reveals itself only in the coda to be a paraphrase of a song of mine called “Where are the Arms.” That song, in turn, with its hymn-like chord progression, owes a debt to German sacred music. A feedback loop emerges: German art music informs pop song, which then gets fed back into the piano concerto.
“My Grandmother Knew Alban Berg” picks up the thread of intergenerational memory. Grandma didn’t actually know Alban Berg, but she did babysit the children of Arnold Schoenberg, another German-Jewish émigré, who, in addition to having codified the twelve-tone system of composition, was Berg’s teacher. Why make something up when the truth is equally tantalizing? I suppose it has something to do with wanting to evoke the slipperiness of memory while getting at the ways in which cultural inheritance can occur indirectly. When, shortly after college, I began to study Berg’s Piano Sonata, his music— its marriage of lyricism and austerity; its supple, pungent harmonies; the elegiac quality that suffuses nearly every bar—felt eerily familiar to me, even though I was encountering it for the first time. Had a key to this musical language been buried deep in the recesses of my mind through some kind of ancestral magic, only to be unearthed when I sat at the piano and played those prophetic chords, which, to my mind, pointed toward the tragedy that would befall Europe half a dozen years after Berg’s death?
In this central movement, the main theme is introduced by a wounded-sounding trumpet, accompanied by a bed of chromatic harmony that wouldn’t be out of place in Berg’s musical universe. By movement’s end, time has run counterclockwise, and the same tune is heard in a nocturnal, Brahmsian mode, discomfited by interjections from the woodwinds, which inhabit a different, and perhaps less guileless, temporal plane.
To close, we have a kind of fiddle-tune rondo, an unabashed celebration of childhood innocence. In March of 2020, my family and I were marooned in Portland, Oregon, as the world was brought to its knees by the coronavirus pandemic. Separated from our belongings—and thus all of our daughter’s toys, which were back in our apartment in Brooklyn—my ever resourceful partner, Emma, fashioned a “vehicle” out of an empty diaper box, on which she majusculed the words vera’s chicken-powered transit machine. (Vera had by that point developed a strong affinity for chicken and preferred to eat it in some form thrice daily.) We would push her around the floor in her transit machine, resulting in peals of laughter and squeals of delight. In this brief finale, laughter and joy are the prevailing modes, but not without a bit of mystery. I have some idea of what I have inherited from my ancestors. What I will hand down to my daughter remains, for the time being, a wondrous unknown.
Heirloom is dedicated with love, admiration, gratitude, and awe, to my father, Jeffrey Kahane.
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dawnajaynes32 · 6 years
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An Eclectic and Illuminating Concert from the Canton Symphony Orchestra
 An Eclectic and Illuminating Concert from the Canton Symphony Orchestra
By Tom Wachunas
   I can only guess at why there were so many empty seats in the audience for the March 25 concert from the Canton Symphony Orchestra. If familiar classical music breeds ticket sales, perhaps this program was perceived (undeservedly) as too light-weight, or the selections too obscure. Or perhaps  it was local Lenten fasting from orchestral music. In any case, it’s not my place to berate those otherwise faithful concert goers who were missing in action on this occasion, except to say that they missed a real stunner.
   One element common to the three works on the program is that they were written fairly early in their respective composers’ careers: Serenade No.2 in A Major by Johannes Brahms; Concerto No. 1 for Cello in C Major by Franz Joseph Haydn; and Four Dances of Estancia by Alberto Ginastera.  True enough, these pieces are not known to be frequently performed live. But they should be, even if they’re not “iconic,” thus making this marvelous performance by the CSO all the more gratifying.
     Brahms was 26 when he composed his Serenade No.2 in 1859 – 17 years before producing the first of his powerful four symphonies. Still, in all of its youthful energy, this five-movement work feels symphonic. More surprisingly, Brahms scored it without violins. The piece remained one of his favorites. As he wrote of it at a later point in his life, “I was in a particularly blissful mood. I have seldom written music with such delight.” 
   Despite the piece’s restricted tonal palette, it is delightful indeed. Without high, sparkling notes from violins to voice the melodies, the violas are necessarily front and center. As played here under the gently gliding baton of Maestro Gerhardt Zimmermann, their deeper tonalities enunciated a rich,  lyrical depth that was at times shimmering, at other times somber, yet never morose. Meanwhile, the exhilarating winds were equally vibrant co-stars in providing crisp melodies, delicate textures, and jocular cross rhythms with generous support from the radiant horns.
   Franz Joseph Haydn composed his first cello concerto in 1765. It’s a superbly confident piece, soaring into all manner of virtuosic possibilities for the soloist, and as solidly designed as any of his early symphonies. Julia Bruskin, co-founder of the critically acclaimed Claremont Trio and cellist with the Metropolitan Opera, joined the CSO to illuminate this beautiful work in one of the most commanding partnerships I’ve ever witnessed at Umstattd Performing Arts Hall.
   From the start, soloist and the ensemble were a single, seamlessly blended entity, united in making the music a truly memorable event. Bushkin’s astonishing technical virtuosity, combined with the constant, luminous warmth of her instrument’s tonality, was in itself mesmerizing without ever succumbing to meaningless flamboyance.  More importantly, it was the evocative soulfulness of her playing that emanated a transcendent energy, a tangible aura of magnificence.  Her every note was succinct and savored, every breathtaking crescendo and arpeggio seeming to rise and fall like waves, or the ebb and flow of tides, in the undulating sea articulated by the ensemble. This electrifying performance was an appointment with magic, a visitation of practically divine dimensions.
   The evening concluded with Alberto Ginastera’s wonderfully raucous orchestral suite, Four Dances of Estancia. The work is comprised of four segments extracted from Estancia, a ballet composed in 1942. It exemplifies what Ginastera called his “Objective Nationalism,” the earliest phase in his composing career wherein he often quoted indigenous Argentine music. The original one-act ballet was a depiction of one day in the busy life of an estancia, a sprawling ranch on the grassy plains of Argentina.
   Replete with paraphrased Argentinian folk tunes, the music is a veritable tapestry of quick meter shifts, intricate triple rhythms, and wild tempo changes. The score calls for such a vast array of instruments and percussion that the orchestra was startlingly transformed into an enchanting, sensual embodiment of wind-blown fields and the creatures who inhabit them, the rough feel of everyday work, and even a slick city man engaging the gruff gauchos (cowboys) in an intense dancing contest to win the heart of a lovely ranch girl. Rarely have I heard the orchestra as infectiously loud, proud and unbridled than in the final movement, “Danza final – Malambo.”  It’s a cacophonous, exuberant dance, led by frenzied trumpets and driven by ear-splitting percussion, exploding at a furious pace through relentless repetitions of an eminently unforgettable melody.
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