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#Décryptage en ligne
cinemaylol · 1 month
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Les séries en ligne : une révolution dans le paysage audiovisuel
Au cours des dernières années, le paysage audiovisuel a connu une véritable révolution avec l'essor fulgurant des séries en ligne. Autrefois reléguées au second plan face à la domination du cinéma et de la télévision traditionnelle, les séries en ligne se sont imposées comme un média incontournable, captivant des millions de spectateurs à travers le monde.
Cette transformation est le résultat de plusieurs facteurs convergents. Tout d'abord, l'avènement des plateformes de streaming, telles que Netflix, Amazon Prime Video et Disney+, a totalement bouleversé les modes de consommation des contenus audiovisuels. Ces services ont permis un accès illimité à une vaste bibliothèque de séries, accessible à tout moment et depuis n'importe quel appareil connecté. Cette flexibilité a séduit un public de plus en plus habitué à consommer ses programmes de manière autonome et sur mesure.
De plus, les plateformes de streaming ont rapidement compris l'importance de se démarquer en produisant des contenus originaux et de grande qualité. Elles ont ainsi investi massivement dans le développement de séries exclusives, faisant appel à des réalisateurs, scénaristes et acteurs de renom. Cette stratégie a permis de diversifier l'offre, de capter de nouveaux publics et de fidéliser les abonnés.
Parallèlement, l'essor du numérique a favorisé l'émergence de nouvelles tendances et de nouveaux genres sériels. Les séries en ligne ont su se réinventer, explorant des thématiques plus audacieuses, des formats plus innovants et des esthétiques plus léchées. Cette créativité débordante a contribué à hisser les séries au rang d'un art à part entière, rivalisant avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
Aujourd'hui, les séries en ligne occupent une place prépondérante dans les habitudes de consommation audiovisuelle. Elles séduisent un public de plus en plus large, allant des jeunes générations aux amateurs de fiction exigeante. Décryptage de ce phénomène qui a profondément transformé notre rapport aux contenus sériels.
L'avènement des plateformes de streaming : une révolution des modes de consommation
L'arrivée des plateformes de streaming a constitué un véritable tournant dans l'histoire des séries télévisées. Autrefois cantonnées à des créneaux horaires fixes sur les chaînes de télévision traditionnelle, les séries ont désormais la possibilité d'être visionnées à la demande, selon le rythme et les préférences de chaque spectateur.
Cette flexibilité a radicalement modifié les habitudes de consommation. Finis les rendez-vous hebdomadaires pour suivre les épisodes d'une série favorite ; les abonnés aux plateformes de streaming peuvent désormais visionner l'intégralité d'une saison en un temps record, dans une logique de binge-watching. Ce mode de consommation intensif permet de s'immerger complètement dans l'univers d'une série, de s'attacher aux personnages et de suivre l'évolution des intrigues sans interruption.
De plus, les plateformes de streaming offrent un accès illimité à des catalogues extrêmement fournis, regroupant des séries de tous genres, de tous pays et de toutes époques. Cette abondance de choix a permis aux spectateurs de découvrir de nouvelles créations, d'explorer des registres inédits et de s'ouvrir à des productions plus confidentielles ou plus audacieuses. Fini le carcan des grilles de programmation traditionnelles ; les séries en ligne offrent une liberté de navigation et de découverte sans précédent.
Cet essor des plateformes de streaming a également profondément transformé le processus de production et de diffusion des séries. Affranchies des contraintes liées à la télévision hertzienne, les créateurs jouissent d'une plus grande liberté artistique. Ils peuvent désormais développer des intrigues plus complexes, aborder des thématiques plus personnelles ou expérimenter des formats plus innovants, sans avoir à se soucier des impératifs d'audience ou de l'avis des annonceurs.
De leur côté, les plateformes de streaming ont su tirer parti de cette nouvelle donne pour se démarquer et conquérir de nouveaux publics. Elles ont massivement investi dans la production de séries originales, faisant appel à des talents reconnus et leur offrant des moyens de production conséquents. Cette stratégie leur a permis de se positionner comme de véritables acteurs de la création audiovisuelle, au même titre que les grands studios hollywoodiens.
Ainsi, l'avènement des plateformes de streaming a profondément bouleversé le paysage sériel, offrant de nouvelles perspectives aux créateurs et de nouvelles expériences aux spectateurs. Cette révolution a contribué à hisser les séries en ligne au rang d'un art à part entière, capable de rivaliser avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
L'essor de la production originale : vers une créativité débordante
Si les plateformes de streaming ont révolutionné les modes de consommation des séries, elles ont également joué un rôle majeur dans l'émergence d'une créativité débordante au sein du paysage sériel. En investissant massivement dans la production de contenus originaux, ces acteurs ont permis l'éclosion de nouvelles voix créatives et l'exploration de registres inédits.
Affranchies des contraintes de la télévision traditionnelle, les séries en ligne ont pu se réinventer, repoussant les limites du format sériel. Les créateurs ont ainsi pu s'affranchir des codes et des formats préétablis, expérimentant des structures narratives plus audacieuses, des thématiques plus personnelles et des esthétiques plus léchées.
Cette liberté créative a notamment permis l'essor de genres sériels jusqu'alors marginalisés ou sous-représentés, comme la science-fiction, le fantastique ou encore les fictions historiques. Des séries comme "Stranger Things", "The Handmaid's Tale" ou "The Crown" ont ainsi pu démontrer le potentiel du format sériel pour raconter des histoires ambitieuses, mêlant intrigue captivante et réflexion de fond.
Parallèlement, les séries en ligne ont su renouveler les codes narratifs, expérimentant avec des structures plus fragmentées, des points de vue multiples ou des jeux sur la temporalité. Des créations comme "Russian Doll", "The OA" ou "Dark" ont ainsi bousculé les conventions du format sériel, offrant aux spectateurs des expériences de visionnage immersives et stimulantes sur le plan intellectuel.
Au-delà des aspects purement narratifs, les séries en ligne ont également révolutionné les aspects visuels et esthétiques. Libérées des contraintes budgétaires et techniques de la télévision traditionnelle, elles ont pu déployer des moyens de production à la hauteur de leurs ambitions créatives. Des séries comme "The Crown", "Game of Thrones" ou "The Mandalorian" ont ainsi repoussé les limites du format sériel, en proposant des réalisations d'une qualité cinématographique époustouflante.
Enfin, les séries en ligne ont également permis l'éclosion de nouvelles voix créatives, issues de milieux et de cultures souvent marginalisés à la télévision traditionnelle. Des créatrices comme Issa Rae ("Insecure"), Phoebe Waller-Bridge ("Fleabag") ou Michaela Coel ("I May Destroy You") ont ainsi pu imposer leur vision singulière, offrant des représentations plus inclusives et plus authentiques de la diversité des expériences humaines.
Ainsi, l'essor de la production originale sur les plateformes de streaming a profondément transformé le paysage sériel, ouvrant la voie à une créativité débordante et à l'émergence de nouvelles voix créatives. Les séries en ligne se sont ainsi imposées comme un art à part entière, capable de rivaliser avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
L'impact des séries en ligne sur les pratiques spectatorielles
Au-delà de la révolution des modes de production et de diffusion, l'essor des séries en ligne a également eu un impact majeur sur les pratiques spectatorielles. La flexibilité offerte par les plateformes de streaming a profondément modifié la manière dont les spectateurs appréhendent et consomment les contenus sériels.
Tout d'abord, la possibilité de visionner des épisodes à la demande, sans contrainte de grille de programmation, a favorisé l'émergence de nouvelles pratiques de consommation. Le binge-watching, ou visionnage intensif, est devenu une tendance de fond chez les abonnés aux plateformes de streaming. Plutôt que de suivre les épisodes au rythme de leur diffusion hebdomadaire, les spectateurs peuvent désormais dévorer l'intégralité d'une saison en un temps record, s'immergeant totalement dans l'univers de la série.
Cette expérience de visionnage immersif a transformé le rapport des spectateurs aux contenus sériels. Davantage impliqués dans les intrigues et attachés aux personnages, les abonnés aux plateformes de streaming développent une relation plus intense et plus personnelle avec les séries qu'ils suivent. Ils deviennent ainsi des spectateurs plus actifs, multipliant les théories, les discussions en ligne et les partages sur les réseaux sociaux.
Par ailleurs, la diversité des catalogues proposés par les plateformes de streaming a permis aux spectateurs d'explorer de nouveaux horizons sériels. Affranchis des contraintes de la télévision traditionnelle, ils peuvent désormais découvrir des productions plus confidentielles, plus audacieuses ou plus originales. Cette abondance de choix a favorisé l'émergence de véritables niches de fans, autour de séries cultes ou de créations plus marginales.
Enfin, l'essor du format sériel en ligne a également eu un impact sur les attentes et les exigences du public. Habitués à des productions de très haute qualité, les spectateurs sont devenus plus exigeants, réclamant des intrigues complexes, des personnages fouillés et des réalisations léchées. Cette montée en gamme des séries en ligne a contribué à hisser le format sériel au rang d'un art à part entière, capable de rivaliser avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
Ainsi, l'avènement des séries en ligne a profondément transformé les pratiques spectatorielles, favorisant de nouvelles formes d'engagement et d'appropriation des contenus. Les spectateurs sont devenus des acteurs à part entière de l'écosystème sériel, participant activement à la vie et à l'évolution des séries qu'ils suivent.
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zehub · 8 months
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Les 10 pires ignominies de la conférence de Macron
Devant un parterre de journalistes qui ressemblaient plus à un troupeau de courtisans qu’à des professionnels de l’information, Emmanuel Macron s’est livré une nouvelle fois à un interminable discours (2 h 19) donnant une idée de sa ligne politique pour les mois à venir. Décryptage en règles. Entre mesures réactionnaires, vision dogmatique et mensonges éhontés,
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alite-pinguin · 11 months
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Décryptage du monde numérique : les rencontres en ligne à l'honneur
Plongeons-nous dans le monde fascinant des rencontres en ligne, un univers qui a connu une croissance exponentielle et une transformation radicale grâce à l'avènement de l'ère numérique. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur comment la technologie a remodelé notre façon de nouer des relations, en mettant l'accent sur l'histoire, l'analyse actuelle et les perspectives futures des…
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Alfred Gomis confirmé au FC Lorient...
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Après des semaines d'anticipation, le FC Lorient a enfin confirmé son nouvel atout entre les poteaux : Alfred Gomis. Décryptage d'une signature qui promet des jours passionnants en Ligue 1. Du Stade Rennais à Lorient : un prêt sans option d'achat pour Alfred Gomis Alfred Gomis confirmé au FC Lorient... L'officialisation de ce transfert a eu lieu le 1er septembre dernier. Alfred Gomis rejoint les Merlus pour une saison, prêté par le Stade Rennais. À noter, le contrat ne contient aucune option d'achat, indiquant que Rennes souhaite probablement retenir ce talent à long terme. https://twitter.com/JoueursSN/status/1697698878563229844 Yvon Mvogo Alfred Gomis rejoint le FC Lorient en prêt depuis le Stade Rennais. Découvrez son parcours impressionnant en Ligue 1, en Serie B italienne, et avec l'équipe nationale sénégalaise.: une nouvelle dynamique Alors que Yvon Mvogo règne en maître sur les cages lorientaises, Alfred Gomis est attendu en tant que gardien n°2, un rôle stratégique pour assurer la sécurité derrière la première ligne. Ce mouvement voit Alfred Gomis remplacer Vito Mannone, qui a choisi de poursuivre son aventure avec Lille. Lire aussi : Lorient trouve le remplaçant d'Enzo Le Fée pour un montant de 7.5M € ! Alfred Gomis en chiffres : un parcours européen impressionnant Au cours de sa carrière en Ligue 1, Alfred Gomis a gardé les buts pour Dijon et Rennes, totalisant 71 apparitions. Mais son expérience ne se limite pas à la France. Précédemment, il a été prêté à Côme, un club évoluant en Serie B, la division italienne. Lors de son passage en Italie, il a participé à 17 matches et a su se distinguer, en réussissant à garder sa cage inviolée à six reprises. Voir également : Qui est Dembo Sylla, la nouvelle recrue phare du FC Lorient ? Un Sénégalais fier et talentueux Né en 1993, Alfred Gomis a porté fièrement les couleurs de son pays, le Sénégal. Ses débuts internationaux remontent à 2017, lors d'un match contre l'Afrique du Sud, où les Lions de la Téranga ont triomphé 2-1. Suite à cela, Alfred Gomis a été sélectionné pour la Coupe du monde 2018, bien qu'il n'ait pas eu l'occasion de jouer pendant le tournoi. En 2019, il a été témoin de la déception sénégalaise en finale de la CAN face à l'Algérie. Plus récemment, sa consécration a continué avec une sélection pour la Coupe du monde 2022. Le FC Lorient s'offre, avec Alfred Gomis, un gardien de talent, fort d'une expérience internationale et d'une connaissance approfondie du football français et européen. Reste à voir comment il s'adaptera à son nouveau rôle derrière Yvon Mvogo, mais les supporters de Lorient peuvent être optimistes quant à la saison à venir. ________ Retrouvez toute l'actu foot sur notre page Facebook et sur notre page Twitter ! Read the full article
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helshades · 4 years
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Salut ! Je suis en train d'écouter Trois réacs à la FIAC et je me marre bien. Tu aurais d'autres références (lectures/vidéos) sur la critique de l'art contemporain ? :)
Pas tant que ça, en définitive, et tu me donnes envie d’en chercher d’autres, mais je puis d’ores et déjà te pousser sur une chaise confortable et un lien vers ma « conférence gesticulée » préférée, celle qui dure six heures mais si je te jure que la version de six heures est la meilleure qui avait lancé le mouvement, voilà quelques années :
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Franck Lepage, (In)cultures 1 : « L’éducation populaire, Monsieur, ils n’en ont pas voulu »
Attention, ce sont des animateurs de gauche, la qualité est forcément pourrie, même si dans cette version-ci qui ne fait que quatre heures le son a été gentiment nettoyé par le metteur en ligne. À gauche, on n’a pas de moyens, mais on a des idées ! Ahem.
Je te conseille également avec chaleur les commentaires d’Aude de Kerros, artiste elle-même ‒ elle est graveuse et peintresse ‒ et critique d’art, qui a publié plusieurs livres à charge contre l’art « comptant pour rien » (merci Lepage.) et a donné une série d’entretiens passionnants en soutien.
L'Imposture de l'Art contemporain. Une utopie financière, Paris, Eyrolles, 2015.
Sacré Art Contemporain. Évêques, Inspecteurs et Commissaires, Éd. Jean Cyrille Godefroy, 2012.
Art Contemporain, manipulation et géopolitique : chronique d'une domination économique et culturelle, Eyrolles, 2019.
Petite note de passage : Aude de Kerros, qui anime une émission sur Radio Courtoisie (laquelle émission n’a pas l’air inintéressante... il faudra que je songe à podcaster, peut-être de sous une fausse moustache), n’est pas exactement l’égérie rêvée de mon bord politique. À mon sens, il faut passer outre, et se concentrer sur le sens de ses réflexions ; au demeurant, il est attendu qu’une femme de droite soit réticente au « progressisme » en Art. Il est fichtrement important de constater que son point de vue peut rejoindre celui d’un militant communiste chevronné quant à la financiarisation de l’Art français.
Je cite l’excellent petit résumé donné par sa fiche Wiki de ses idées :
À partir des années 1990, Aude de Kerros se fait également connaître par de nombreux articles de décryptage et d’analyse du monde de l’art, influencée par les écrits de Wladimir Weidlé. Elle prend part au débat sur l’art contemporain, donnant un point de vue d'artiste indépendant. Elle contribue, à titre de témoin, à l'histoire de l’art de la seconde moitié du XXe siècle en décrivant les deux faces d'une réalité complexe : le monde visible de l'art financier international, le conceptualisme strict de l'art officiel français et les divers courants picturaux non agréés. Elle souligne la rupture qui s'opère en 1983, en France, quand sont affectées des subventions importantes, créées des structures institutionnelles, et un corps d'« inspecteurs de la création ». Cet appareil bureaucratique prendra en compte l'unique courant conceptuel et affirmera un art officiel, rompant avec la pratique établie en 1880 par Jules Ferry, d'un retrait de l'État du choix des artistes à consacrer, mais honorant l'ensemble des courants en offrant un cadre prestigieux à leurs expositions. L'observation de ce principe a réuni à Paris l'ensemble des courants artistiques, de l'académisme aux avant-gardes et a attiré dans la capitale artistes et amateurs du monde entier. Aude de Kerros met en scène l'interaction de ces réalités contradictoires, raconte les péripéties du débat souterrain sur l'art tout au long des quatre dernières décennies. Elle évoque son contenu, commente ses publications, fait la chronique d'une nouvelle querelle, clandestine celle-là, celle « des modernes et des contemporains ».
À voir, le remarquable débat animé par l’impeccable Frédéric Taddéï sur la fonction de l’art contemporain dans Interdit d’interdire, et auquel participait, entre autres, Aude de Kerros, dans le camps des « contre », au côté du philosophe Yves Michaud, ancien directeur des Beaux-Arts (entre autres), dont le point de vue est très nuancé et donne énormément à penser.
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Comme d’habitude, Taddéï mène un débat de haute volée, du genre qui ne se fait plus depuis trop longtemps sur le service public, et je dirais presque que l’émission devrait servir de socle à la réflexion sur le sujet, tellement l’échange est riche.
Quand même, je glisse ici une très bonne brève du Monde sur le marché de l’art contemporain qui nous remet au centre de nos préoccupations :
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« Portrait of an Artist [de] David Hockney [...] a battu le record de vente aux enchères pour un artiste vivant : adjugé 90,3 millions de dollars ‒ près de 80 millions d’euros. [Cinq ans plus tôt], en novembre 2013, [Christie’s] a vendu [un Balloon Dog de Jeff Koons] 58,4 millions de dollars ; à l’époque, c’était le record de prix pour un artiste vivant.
Pour comprendre pourquoi les prix de l’art contemporain montent si haut, il faut faire un petit bond en arrière. À partir des années 90, les maisons de vente aux enchères se sont mises à imaginer des produits financiers pour stimuler les acheteurs d’œuvres d’art... »
Au passage, en 2015, Joseph Confavreux, journaliste, et Olivier Alexandre, sociologue, recevaient pour Mediapart Christian Bernard, le directeur du Musée d’art moderne et contemporain de Genève et co-signataire d’une tribune intitulée « l’Art n’est-il qu’un produit de luxe ? », publiée par Mediapart en octobre 2014, à l’occasion de l’inauguration de la Fondation Louis-Vuitton, un peu trop unanimement célébrée par le monde de l’Art. Le magazine « Contrechamp » est généralement intéressant, et Confavreux a reçu plus récemment (2017) la poétesse et essayiste (et militante de gauche) Nathalie Quintane, co-signataire, elle, d’un ouvrage sur « l’Art dévoré par l’argent », reprenant des thématiques chères aux critiques de l’art contemporain et remarquant notamment la confusion entre œuvres d’art et objets de luxe ; mais elle pointe également, dans cet entretien, le rapport au travail dans le milieu artistique, qui voit se multiplier les bénévoles, dont beaucoup de jeunes étudiants supposément payés en gloriole et réseautage, en notant que si l’on peut dire que le monde de l’Art a été précurseur en la matière, la pratique du travail gratuit, rendu presque abstrait, s’est en quelque généralisée dans notre société.
En parlant d’abstraction, et puisque je me rapproche insensiblement de la philosophie communiste, je glisse le lien vers une belle conférence d’Alain Badiou sur l’art contemporain comme relevant nécessairement de la logique de marché. Ça vole haut, mais ça vaut le coup.
Technique aussi mais clair et intéressant, je conseille un entretien avec la sociologue Nathalie Heinich dont les travaux, au C.N.R.S., portent notamment sur l’art contemporain, et qui y fournit une aide précieuse à qui veut se familiariser avec l’histoire de l’Art et ses thématiques :
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Plus subjectif, magnifique, fascinant, un entretien d’Aude Lancelin (époque Le Média) avec la poétesse, essayiste et critique d’art Annie Lebrun :
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« Une guerre menée contre tout ce dont on ne peut pas extraire de la valeur, contre ce qui n’a pas de prix, et qui passe par la marchandisation de tout. »
Dernièrement, je recommande vivement le blog de Christine Sourgins, une critique féroce du marché de l’art contemporain, qui est historienne ; comme le dit Anne de Kerros (Sourgins revendique une démarche « citoyenne » sans affiliation à un parti politique), elle demeure ainsi toujours très concrète dans ses commentaires :
« Christine Sourgins analyse les “concepts” sur pièces, regardant les œuvres d’art contemporain sous l’éclairage de leur propre discours. Elle déconstruit la déconstruction. Historienne, formée à l’étude des documents, alors que nombre d’“experts”, parlent d’art en maniant l’idée de l’art, sans exemples concrets… »
Elle participait en 2013 à une conférence sur l’Art au Sénat où intervenait le regretté Laurent Danchin, célèbre critique d’art spécialiste de l’art brut. La qualité de la vidéo est affreuse, mais le propos transcende le flou. Le colloque en question, du 23 janvier 2013, portait sur « Trente ans de création dirigée par l’État. Constat, conséquences et perspectives ». Christine Sourgins en fait une note de blog qui nous ramène directement à la fameuse conférence gesticulée de Franck Lepage sur la culture au Ministère dont au sujet de laquelle je causais tout à l’heure.
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mercurionworld-blog · 5 years
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Où trouver les meilleures étiquettes d’imprimante Zebra ?
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C’est peu évident qu’on se pose une demande de la sorte, même que pour la réussite de n’importe quel business, chaque détail a de la valeur y compris l’approvisionnement des étiquettes d’imprimante Zebra. Garantir le bon grossiste en imprimantes et dérivés s’avère donc capital pour avoir une performance optimale de l’appareil.
En France, Mercurion se présente comme le spécialiste  en la matière en mettant à disposition une grande sélection de consommables et rouleaux tickets pour tout type d’usage. Pourquoi vous devez commander alors de chez Mercurion ? Décryptage de notre point de vue.
Au royaume des étiquettes d’imprimante
Dans sa boutique virtuelle, Mercurion met à votre actif un rayon complet des plus connues marques d’étiquettes d’imprimante. On trouve beaucoup de références de ces étiquettes et ce dans le but de proposer aux acheteurs des produits adaptés à tout type de machines. Grosso modo, le site propose plus de 300 références compatibles avec la plupart d’imprimantes des marques les mieux réputées au monde. On peut compter parmi les catégories les plus prisées, les étiquettes imprimantes Zebra, les marques Bixolon, Epson et Brother.
L’expertise d’une enseigne française
Ledit fournisseur a à son actif 25 ans d’expérience dans ce métier. Depuis 1993, le site met à votre disposition un large catalogue de choix entre bobines thermiques, étiquettes imprimantes, étiquettes pour les balances et rubans de tous les formats.
L’entreprise de Limay se diffère des autres rares fournisseurs d’étiquettes et bobines par la qualité de ses références en stocks et leur compatibilité avec plusieurs marques et modèles d’imprimantes, caisses et autres machines. Cette prestation de valeur  laisse le champ libre à la société de répondre aux besoins de ses clients et les fidéliser après le premier achat.
Le savoir-faire de Mercurion
Pour exceller, il faut faire preuve d’innovation et d’écoute de son environnement. Ainsi, Mercurion reste réactive et à l’écoute de son marché. Son but est de répondre aux exigences du marché et prévenir les attentes du futur.
Ce fournisseur prévoit le renouvellement régulier ses réserves et mise sur les dernières avancées technologiques concernant la marque Zebra pour enrichir son répertoire. Mercurion possède actuellement plus de 2000 articles en stock.
Cependant, la commande est réservée à la navigation en ligne en consultant le site de Mercurion pour sélectionner entre plus de 1000 références de consommables, dont les étiquettes d’imprimante Zebra, visibles dans les nombreux catalogues de produits. Lorsque vous avez sélectionné les étiquettes d’imprimantes que vous aimez commander, vous n’avez qu’à valider la commande en réalisant le paiement. Pour cela, toute une plateforme sécurisée a été prévue en conséquence.
La plupart de cas, la livraison est assurée dans les premières 48 heures post achat avec des sociétés connues comme Shenker .Pour se rapprocher de ses clients, un service après-vente reste également à votre disposition. Vous pouvez le consulter à tout moment pour toute demande technique ou problème de garantie.
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cinemaylol · 2 months
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Les séries en ligne : une révolution dans le paysage audiovisuel
Au cours des dernières années, le paysage audiovisuel a connu une véritable révolution avec l'essor fulgurant des séries en ligne. Autrefois reléguées au second plan face à la domination du cinéma et de la télévision traditionnelle, les séries en ligne se sont imposées comme un média incontournable, captivant des millions de spectateurs à travers le monde.
Cette transformation est le résultat de plusieurs facteurs convergents. Tout d'abord, l'avènement des plateformes de streaming, telles que Netflix, Amazon Prime Video et Disney+, a totalement bouleversé les modes de consommation des contenus audiovisuels. Ces services ont permis un accès illimité à une vaste bibliothèque de séries, accessible à tout moment et depuis n'importe quel appareil connecté. Cette flexibilité a séduit un public de plus en plus habitué à consommer ses programmes de manière autonome et sur mesure.
De plus, les plateformes de streaming ont rapidement compris l'importance de se démarquer en produisant des contenus originaux et de grande qualité. Elles ont ainsi investi massivement dans le développement de séries exclusives, faisant appel à des réalisateurs, scénaristes et acteurs de renom. Cette stratégie a permis de diversifier l'offre, de capter de nouveaux publics et de fidéliser les abonnés.
Parallèlement, l'essor du numérique a favorisé l'émergence de nouvelles tendances et de nouveaux genres sériels. Les séries en ligne ont su se réinventer, explorant des thématiques plus audacieuses, des formats plus innovants et des esthétiques plus léchées. Cette créativité débordante a contribué à hisser les séries au rang d'un art à part entière, rivalisant avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
Aujourd'hui, les séries en ligne occupent une place prépondérante dans les habitudes de consommation audiovisuelle. Elles séduisent un public de plus en plus large, allant des jeunes générations aux amateurs de fiction exigeante. Décryptage de ce phénomène qui a profondément transformé notre rapport aux contenus sériels.
L'avènement des plateformes de streaming : une révolution des modes de consommation
L'arrivée des plateformes de streaming a constitué un véritable tournant dans l'histoire des séries télévisées. Autrefois cantonnées à des créneaux horaires fixes sur les chaînes de télévision traditionnelle, les séries ont désormais la possibilité d'être visionnées à la demande, selon le rythme et les préférences de chaque spectateur.
Cette flexibilité a radicalement modifié les habitudes de consommation. Finis les rendez-vous hebdomadaires pour suivre les épisodes d'une série favorite ; les abonnés aux plateformes de streaming peuvent désormais visionner l'intégralité d'une saison en un temps record, dans une logique de binge-watching. Ce mode de consommation intensif permet de s'immerger complètement dans l'univers d'une série, de s'attacher aux personnages et de suivre l'évolution des intrigues sans interruption.
De plus, les plateformes de streaming offrent un accès illimité à des catalogues extrêmement fournis, regroupant des séries de tous genres, de tous pays et de toutes époques. Cette abondance de choix a permis aux spectateurs de découvrir de nouvelles créations, d'explorer des registres inédits et de s'ouvrir à des productions plus confidentielles ou plus audacieuses. Fini le carcan des grilles de programmation traditionnelles ; les séries en ligne offrent une liberté de navigation et de découverte sans précédent.
Cet essor des plateformes de streaming a également profondément transformé le processus de production et de diffusion des séries. Affranchies des contraintes liées à la télévision hertzienne, les créateurs jouissent d'une plus grande liberté artistique. Ils peuvent désormais développer des intrigues plus complexes, aborder des thématiques plus personnelles ou expérimenter des formats plus innovants, sans avoir à se soucier des impératifs d'audience ou de l'avis des annonceurs.
De leur côté, les plateformes de streaming ont su tirer parti de cette nouvelle donne pour se démarquer et conquérir de nouveaux publics. Elles ont massivement investi dans la production de séries originales, faisant appel à des talents reconnus et leur offrant des moyens de production conséquents. Cette stratégie leur a permis de se positionner comme de véritables acteurs de la création audiovisuelle, au même titre que les grands studios hollywoodiens.
Ainsi, l'avènement des plateformes de streaming a profondément bouleversé le paysage sériel, offrant de nouvelles perspectives aux créateurs et de nouvelles expériences aux spectateurs. Cette révolution a contribué à hisser les séries en ligne au rang d'un art à part entière, capable de rivaliser avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
L'essor de la production originale : vers une créativité débordante
Si les plateformes de streaming ont révolutionné les modes de consommation des séries, elles ont également joué un rôle majeur dans l'émergence d'une créativité débordante au sein du paysage sériel. En investissant massivement dans la production de contenus originaux, ces acteurs ont permis l'éclosion de nouvelles voix créatives et l'exploration de registres inédits.
Affranchies des contraintes de la télévision traditionnelle, les séries en ligne ont pu se réinventer, repoussant les limites du format sériel. Les créateurs ont ainsi pu s'affranchir des codes et des formats préétablis, expérimentant des structures narratives plus audacieuses, des thématiques plus personnelles et des esthétiques plus léchées.
Cette liberté créative a notamment permis l'essor de genres sériels jusqu'alors marginalisés ou sous-représentés, comme la science-fiction, le fantastique ou encore les fictions historiques. Des séries comme "Stranger Things", "The Handmaid's Tale" ou "The Crown" ont ainsi pu démontrer le potentiel du format sériel pour raconter des histoires ambitieuses, mêlant intrigue captivante et réflexion de fond.
Parallèlement, les séries en ligne ont su renouveler les codes narratifs, expérimentant avec des structures plus fragmentées, des points de vue multiples ou des jeux sur la temporalité. Des créations comme "Russian Doll", "The OA" ou "Dark" ont ainsi bousculé les conventions du format sériel, offrant aux spectateurs des expériences de visionnage immersives et stimulantes sur le plan intellectuel.
Au-delà des aspects purement narratifs, les séries en ligne ont également révolutionné les aspects visuels et esthétiques. Libérées des contraintes budgétaires et techniques de la télévision traditionnelle, elles ont pu déployer des moyens de production à la hauteur de leurs ambitions créatives. Des séries comme "The Crown", "Game of Thrones" ou "The Mandalorian" ont ainsi repoussé les limites du format sériel, en proposant des réalisations d'une qualité cinématographique époustouflante.
Enfin, les séries en ligne ont également permis l'éclosion de nouvelles voix créatives, issues de milieux et de cultures souvent marginalisés à la télévision traditionnelle. Des créatrices comme Issa Rae ("Insecure"), Phoebe Waller-Bridge ("Fleabag") ou Michaela Coel ("I May Destroy You") ont ainsi pu imposer leur vision singulière, offrant des représentations plus inclusives et plus authentiques de la diversité des expériences humaines.
Ainsi, l'essor de la production originale sur les plateformes de streaming a profondément transformé le paysage sériel, ouvrant la voie à une créativité débordante et à l'émergence de nouvelles voix créatives. Les séries en ligne se sont ainsi imposées comme un art à part entière, capable de rivaliser avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
L'impact des séries en ligne sur les pratiques spectatorielles
Au-delà de la révolution des modes de production et de diffusion, l'essor des séries en ligne a également eu un impact majeur sur les pratiques spectatorielles. La flexibilité offerte par les plateformes de streaming a profondément modifié la manière dont les spectateurs appréhendent et consomment les contenus sériels.
Tout d'abord, la possibilité de visionner des épisodes à la demande, sans contrainte de grille de programmation, a favorisé l'émergence de nouvelles pratiques de consommation. Le binge-watching, ou visionnage intensif, est devenu une tendance de fond chez les abonnés aux plateformes de streaming. Plutôt que de suivre les épisodes au rythme de leur diffusion hebdomadaire, les spectateurs peuvent désormais dévorer l'intégralité d'une saison en un temps record, s'immergeant totalement dans l'univers de la série.
Cette expérience de visionnage immersif a transformé le rapport des spectateurs aux contenus sériels. Davantage impliqués dans les intrigues et attachés aux personnages, les abonnés aux plateformes de streaming développent une relation plus intense et plus personnelle avec les séries qu'ils suivent. Ils deviennent ainsi des spectateurs plus actifs, multipliant les théories, les discussions en ligne et les partages sur les réseaux sociaux.
Par ailleurs, la diversité des catalogues proposés par les plateformes de streaming a permis aux spectateurs d'explorer de nouveaux horizons sériels. Affranchis des contraintes de la télévision traditionnelle, ils peuvent désormais découvrir des productions plus confidentielles, plus audacieuses ou plus originales. Cette abondance de choix a favorisé l'émergence de véritables niches de fans, autour de séries cultes ou de créations plus marginales.
Enfin, l'essor du format sériel en ligne a également eu un impact sur les attentes et les exigences du public. Habitués à des productions de très haute qualité, les spectateurs sont devenus plus exigeants, réclamant des intrigues complexes, des personnages fouillés et des réalisations léchées. Cette montée en gamme des séries en ligne a contribué à hisser le format sériel au rang d'un art à part entière, capable de rivaliser avec les productions cinématographiques les plus ambitieuses.
Ainsi, l'avènement des séries en ligne a profondément transformé les pratiques spectatorielles, favorisant de nouvelles formes d'engagement et d'appropriation des contenus. Les spectateurs sont devenus des acteurs à part entière de l'écosystème sériel, participant activement à la vie et à l'évolution des séries qu'ils suivent.
L'impact socioculturel des séries en ligne
Au-delà de leur seul impact sur les modes de consommation et de production, les séries en ligne ont également joué un rôle majeur dans l'évolution des représentations socioculturelles. En offrant une plus grande diversité de voix créatives et de points de vue, elles ont contribué à une meilleure représentation de la pluralité des expériences humaines.
Tout d'abord, les séries en ligne ont permis une meilleure représentation des minorités, qu'il s'agisse des communautés ethniques, des orientations sexuelles ou des identités de genre. Des créations comme "Insecure", "Pose" ou "Sense8" ont ainsi offert des représentations plus inclusives et plus authentiques de la diversité, permettant à des publics longtemps marginalisés de se reconnaître à l'écran.
De plus, les séries en ligne ont également abordé des thématiques sociétales plus sensibles, explorant des sujets comme les violences faites aux femmes, les traumatismes psychologiques ou encore les enjeux éthiques liés aux progrès technologiques. Des séries comme "The Handmaid's Tale", "Russian Doll" ou "Black Mirror" ont ainsi contribué à une meilleure prise de conscience des enjeux sociaux contemporains, stimulant la réflexion et le débat.
Parallèlement, les séries en ligne ont également joué un rôle dans la valorisation des cultures et des identités marginalisées. Des créations comme "Narcos", "Fauda" ou "Sacred Games" ont ainsi permis une meilleure compréhension de réalités géopolitiques complexes, tout en donnant voix à des perspectives trop souvent ignorées.
Enfin, l'essor des séries en ligne a également contribué à l'émancipation de certains groupes sociaux, en leur offrant un espace d'expression et de visibilité. Des créatrices comme Issa Rae, Michaela Coel ou Phoebe Waller-Bridge ont ainsi pu imposer leur vision singulière, remettant en question les stéréotypes de genre et proposant des représentations plus authentiques de l'expérience féminine.
Ainsi, l'impact socioculturel des séries en ligne va bien au-delà du simple divertissement. En offrant une plus grande diversité de voix créatives et de points de vue, elles ont contribué à une meilleure représentation de la pluralité des expériences humaines, stimulant la réflexion et le débat sur des enjeux sociétaux majeurs.
Les défis et perspectives d'avenir des séries en ligne
Si l'essor des séries en ligne a constitué une véritable révolution dans le paysage audiovisuel, ce phénomène n'est pas sans soulever de nouveaux défis et questionnements quant à son avenir.
Tout d'abord, la surabondance de l'offre sérielle en ligne soulève la question de la saturation du marché. Face à cette abondance de choix, les spectateurs peuvent se retrouver perdus, peiner à se repérer dans les catalogues et se lasser face à l'impression de devoir "tout voir". Cette surcharge de contenus pourrait à terme fragiliser l'attention et la fidélité des abonnés, les poussant à se tourner vers d'autres formes de divertissement.
De plus, la quête effrénée de la production originale a également entraîné une augmentation significative des coûts de création. Les plateformes de streaming doivent désormais rivaliser avec des budgets toujours plus conséquents pour attirer les meilleurs talents et proposer des productions de haute volée. Cette escalade pourrait à terme fragiliser l'équilibre économique des acteurs du secteur, les obligeant à revoir leurs modèles de financement et de distribution.
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1 - L’inconnue d’Isdal
Lorsque le 29 novembre 1970 deux fillettes et leur père découvrent le corps calciné d’une femme dans les sentiers escarpés de la vallée d’Isdalen, non loin de Bergen, toute la Norvège est sous le choc.
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La découverte - La femme, cachée entre des rochers, est nue, recroquevillée et les poings crispés dans une position de boxeur, caractéristique des personnes immolées par le feu. “L’odeur nous prend à la gorge”, décrit Carl Havor Aas, juriste à la police de Bergen. Elle est entourée de ses affaires personnelles - un sac à main, des vêtements déchirés, une paire de bottes en caoutchouc bleues, un parapluie, deux bouteilles d’eau fondues, une autre de “Kloster Liqueur” à moitié bue, une pochette plastifiée et une cuillère en argent. À leur arrivée, un premier détail intrigue les enquêteurs : les étiquettes des vêtements et des bouteilles ont été soigneusement retirées. Le cou de la victime comporte une ecchymose, et du pétrole est décelé sous le corps. La peau poncée sous les doigts ne permet pas d’obtenir ses empreintes. La piste de l’homicide paraît alors évidente. Seulement, lors de l’autopsie, environ cinquante pilules de Gardénal - un antidépresseur, aussi utilisé contre certaines formes d’épilepsies - sont retrouvées dans son système digestif, apparemment ingérées à des moments différents. Quelques jours après la découverte macabre, deux valises appartenant à la victime sont retrouvées dans la gare de Bergen. Elles renferment une perruque, des lunettes de soleil, des lunettes sans correction et d’autres cuillères en argent, une ordonnance dont la date et le nom du médecin ont été grattés, deux bouteilles de cosmétiques dont les étiquettes ont été arrachées, 500 deutschemarks et 130 couronnes norvégiennes dissimulés dans une doublure.  “Tout a disparu, même les marques du peigne et de la brosse à cheveux.”, affirme Tormod Bønes, l’un des enquêteurs. Enfin, un bloc-notes comportant le nom de plusieurs gares sur la ligne de Bergen, et un code. Seule affaire dont la référence n’a pas été supprimée : un sac du magasin de chaussures “Oscar Rørtvedt” de la ville de Stavanger. Lorsque les enquêteurs se rendent sur les lieux, le fils du gérant se souvient bien de cette femme venue acheter des bottes bleues trois semaines plus tôt. Il en fait une description détaillée : taille moyenne, cheveux longs et foncés, yeux brun foncé, visage rond, aux courbes légèrement marquées, presque potelées, et... aux jolies jambes. Un portrait-robot est alors constitué. On retrouve peu après sa trace dans un hôtel à quelques pas de là, où elle a dormi sous le nom de Finella Lorck, de nationalité belge. Ce qui s’est avéré être une fausse identité. Coup dur pour les policiers qui voient la résolution de l’enquête leur échapper.
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Le parcours - Le décryptage du code retrouvé dans le bloc-notes est confié à Tor Martin Røhr Andresen. L’homme réussit à faire coïncider le message avec des lieux que la femme a visités en Norvège. Lorsque les enquêteurs se rendent dans les différents hôtels à proximité, ils découvrent que l’inconnue s’est enregistrée sous de multiples noms et autant d’origines que de passeports. Elle aurait voyagé de cette façon à travers l’Europe. Geneviève Lancier, Claudia Tielt, Vera Schlosseneck, Claudia Nielsen, Alexia Zarna-Merchez, Vera Jarle, Elizabeth Leenhouwfr et... Finella Lorch. Des témoins rapportent qu’elle avait parfois demandé à changer de chambre dans un même hôtel, pour en obtenir une sans balcon ou vis-à-vis. L’un d’eux l’aurait entendue dire à un homme dans le hall d’un hôtel “Ich komme bald” (“J’arrive.”), un autre encore l’aurait vue fumer des cigarettes françaises et entendue parler français. Elle était apparemment recherchée par la police qui la décrivait comme étant une “dame belge parlant anglais”. Le 3 octobre, elle aurait dîné avec un photographe italien à l’hôtel Alexandra, à Loen. L’homme est interrogé ; il certifie aux enquêteurs que la femme venait d’une petite ville d’Afrique du Sud et n’était que de passage en Norvège pour visiter le pays. Un avis de recherche est lancé par Interpol en Europe, Afrique et Proche-Orient : « Environ 25-30 ans. Taille 164 cm, mince avec des hanches larges. Longs cheveux brun-noir, petit visage rond, yeux bruns, petites oreilles. Les dents présentaient de nombreuses réparations, plusieurs des molaires avaient des couronnes d'or, et le travail dentaire est d'un genre pratiqué en Extrême-Orient, en Europe centrale ou méridionale et en Amérique du Sud. Quatorze des dents sont partiellement ou complètement réparées. Il y a une séparation marquée entre les deux dents avant supérieures. »
Les dernières pistes - Lorsqu’elle quitte la chambre 407 de son dernier hôtel qu’elle règle en espèces, elle semble sur ses gardes et monte dans un taxi. Pour aller où, ensuite ? Le chauffeur qui la mena du bâtiment à la gare ne fut jamais retrouvé. Les policiers ne sont pas parvenus à poser un nom sur cette inconnue. Les questions restent en suspens : pourquoi tant d’identités ? Pourquoi tant de déplacements ? Pourquoi tant d’indices dissimulés ? Pourquoi tant de méfiance ? L’inconnue était-elle en fuite ? Meurtre ou suicide ? Certains pensent que le contexte de Guerre Froide y fut pour quelque chose et vont jusqu’à supposer qu’elle était liée à une mission d’espionnage. D’abord suspectée d'opérer pour les services secrets soviétiques, cette piste fut écartée suite aux précisions d’Alexander Vassiliev (lui-même ancien agent du KGB) qui affirma que l’utilisation de nombreux passeports ne font pas partie de leurs méthodes, à la différence de celles du Mossad - agence de renseignements israélienne. Cette piste n’a, elle non plus, jamais été confirmée. Cependant, les dossiers déclassifiés de la défense nationale norvégienne rapportent que plusieurs des déplacements de l'inconnue coïncident avec des essais, à l'époque top-secrets, des missiles norvégiens Péguin, et des témoins l’auraient vue en pleine observation autour de sites sensibles.
Une affaire bouclée ? - La police a retenu le suicide par ingestion de médicaments, ce qui a soulevé des soupçons quant à l’implication de la police elle-même dans cette affaire. L'inconnue de l'Isdal fut enterrée le 5 février 1971 au cimetière de Møllendal à Bergen, dans une tombe anonyme, suivant une cérémonie catholique. À noter qu’enfant, elle se serait échappée d’Allemagne avec ses parents à la montée du nazisme, laissant supposer qu’elle était juive ou tsigane. L’affaire reste médiatisée en Norvège, et certaines pistes semblent ne pas avoir été exploitées. Comme un témoignage - tardif - en 2002. Le 24 novembre 1970, un randonneur aurait aperçu une femme d’apparence étrangère, dont les vêtements élégants n’étaient pas conformes à une promenade en montagne. Elle était apeurée et suivie par deux hommes habillés en noir. Ce témoin potentiel a immédiatement reconnu le portrait-robot. L’un des policiers de l’époque lui aurait répondu “Oubliez-la, elle a été tuée. L'affaire ne sera jamais résolue.” Ce à quoi le témoin obéit. Elle reste simplement le dossier “134/70” à l’hôpital de Bergen où a eu lieu l’autopsie.
Et maintenant ? - Depuis 2016, des journalistes norvégiens de NRK remettent le dossier sur la table. Un portrait-robot a été commandé à l’artiste américain et spécialiste de la reconstruction faciale Stephen Missal. Les analyses ADN évoquent la possibilité qu’elle soit née autour des années 1930, près de Nuremberg. Elle aurait suivi une scolarité en France, d’après son écriture.
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lucien-carel · 6 years
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Projet de synthèse 2018-2019
PROJET SUR LA CRYPTO-MONNAIES BITCOIN
Comment rendre une monnaie virtuel attractive en faisant oublié l’aspect fictif et virtuel qu’elle représente ?   
La Crypto-monnaie                                                                                            La crypto-monnaie est une monnaie alternative 100 % virtuelle ; contrairement à nos systèmes de paiements traditionnels matérialisable en billets et en pièces, elle n'a aucune forme physique. Générée par un logiciel open source et des internautes, cette monnaie cryptée peut être utilisée uniquement par la personne détenant le code de décryptage, qui peut être un mot de passe, une empreinte digitale, etc. Comme n'importe quelle monnaie, elle peut servir à effectuer des achats, des virements, des transactions financières ou du stockage de valeur. Il est possible d'échanger ces actifs contre des biens, des services, ou de la convertir en monnaie conventionnelle (euros, dollars…) via des plateformes d'échange en ligne. Le principal avantage de la crypto-monnaie réside dans la rapidité et la simplicité d’execution des transactions à moindres frais et dans l’anonymat le plus total.
Bien qu’elle fasse de plus en plus parler d’elle, la crypto-monnaie demeure un concept encore flou pour bon nombre de consommateurs. Cette monnaie virtuelle cryptée et décentralisée prend chaque jour un peu plus de valeur et fait naître une économie parallèle des plus prometteuses. Du Bitcoin, la première et la plus connue des crypto-monnaies, à l’Ethereum, en passant par le Ripple, le Litecoin ou encore le Monero, les monnaies numériques pourraient bien envahir nos portefeuilles virtuels dans les années à venir.
Les crypto-monnaies sont ciblés majoritairement par 4 types d’utilisateurs , d’investisseurs qui sont :                                                                                      
- Les anarchistes                                                                                                    Ce sont les personnes qui sont contre le système mis en place. Des personnes qui supporte mal d’appartenir à une société centralisée et dirigée par un système monétaire unique. De ce fait la monnaie immatérielle ( comme le Bitcoin ) devient une bonne alternative car elle prive enfin les élites financières de leur emprise sur toutes les transactions. Elles ne peuvent plus surveiller tous nos paiements, nos virements ou retrait d’argent, et ainsi, en d’autre terme, évaluer notre profil de consommateur.
- Les passionnés de Technologie et de Numérique                                            Ces passionnés de nouvelle Technologie qui investissent dans le bitcoin sont des personnes qui souhaitent faire partie de la révolution numérique informatique qui se met progressivement en place. Ils rêvent de devenir millionnaires sans bouger de leur chambre. Et en effet, le bitcoin a permis de réaliser le rêve de nombreux passionnés, notamment ceux qui “minaient” des bitcoins il y a 5-6 ans de cela lorsque sa valeur n’était que de quelques centimes d’euros. Ces utilisateurs sont toujours présents et certains d’entre eux ont même créé des usines de minage pour maintenir ou vérifier les transactions de blockchain et ainsi récolter leur récompense en bitcoin. C’est d’ailleurs de cette manière que les nouveaux bitcoins sont mis en circulation.                                                                                 
- Les investisseurs curieux                                                                                  Ceux sont souvent ceux qui deviennent riches sans même comprendre pourquoi.Ce sont des touches à tout qui aiment découvrir les nouveautés. Non seulement ils aiment découvrir les nouveautés mais ils sont assez naïfs. Les bitcoins curieux n’ont pas de plan d’investissement particulier en tête. Ils veulent juste participer à quelque chose d’original qui pourrait être intéressant par la suite.Cependant, parmi les bitcoin-curieux, nombreux sont ceux qui ont n’ont pas acheté de bitcoin. Soit parce qu’ils ne savaient pas comment s’y prendre, soit car parce qu’ils ont reporté leur achat par crainte ou par manque d’engagement.
On comprends que la crypto-monnaie y compris le Bitcoin est une monnaie ciblant majoritairement des financiers ou bien des passionnés de nouvelles technologie : cette monnaie reste compliqué pour une personne ne s’intéressant pas à la bourse ou à l’économie. Une personne ordinaire aura moins d’attrait à utilisé ce type de monnaie variable en partie à cause de  l’aspect fictif et virtuel qu’elle représente. En effet, ce type d’investisseur, à l’inverse des précédents, a un attrait qui est propre à l’argent physique et ce qu’il représente. Pour ce type de cible la crypto-monnaie est une représentation de chiffres sans valeur, elle n’a pas d’identité qui lui est propre et n’a aucune représentation graphique établie et reconnaissable. C’est principalement pour cette raison que le Bitcoin perd de la valeur depuis quelques mois. Une baisse qui a déjà atteint 30% sur le marché de la crypto-monnaie en moins d’un mois. 
MA SOLUTION GRAPHIQUE                                                                        C’est avec cette approche que je propose la refonte de l’identité de la crypto-monnaie Bitcoin, celui-ci étant majoritaire sur le marché, afin de lui créer une identité qui lui est propre, à l’image de l’argent physique, et ainsi imaginer un système ludique et attractif permettant à de nombreux nouveaux d’investisseurs de croire et de faire confiance à cette monnaie virtuelle. Ce faisant, cet utilisateur aurait accès aux principaux moyens et fonctionnement de la crypto-monnaie, de façon clair et simplifié. Il lui serait proposé un Chat-Bot, l’accompagnant à travers les différentes étapes de transaction, ou un mini tutoriel prenant la forme du jeu afin de valorisé sa compréhension de la crypto-monnaie et d’encourager ses compétences.                                                                                                                    
L'avènement des crypto-monnaies soulève de nombreuses questions. Peuvent-elles s'effondrer du jour au lendemain comme le prédisent encore de nombreux économistes, ou vont-elles au contraire remplacer à terme les monnaies traditionnelles ? Une chose est sûre, les cours et la capitalisation de ces actifs numériques ne cessent de grimper. Un autre signe avant-coureur jouant en leur faveur est le nombre croissant d’entreprises utilisant cette monnaie, comme l’exemple du Paris Saint-Germain qui va devenir le premier club de football à émettre sa propre crypto-monnaie. Celle-ci devrait favoriser l’engagement des fans et permettre d’influer sur la politique du club qui accepterait alors les paiements en bitcoins et contribuerait à populariser cette monnaie numérique.
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alite-pinguin · 11 months
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Séduction virtuelle : Décryptage des préférences sur les plateformes de rencontres
La séduction, un art aussi vieux que l'humanité elle-même, a connu une transformation radicale avec l'avènement de la technologie. Aujourd'hui, nous nous retrouvons dans l'ère de la séduction virtuelle, où les plateformes de rencontres en ligne sont devenues le terrain de jeu pour ceux qui cherchent à trouver l'amour ou à établir des connexions significatives. Cet article se propose de décrypter…
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comesauvfdp · 6 years
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PREDATOR : Pourquoi ce film a fabriqué notre sexualité !
Predator est au cinema ce que tyson a été à la boxe anglaise : un deluge de violence épuré avec un refus de la fioriture qui frise la perfection ! Chaque fois que shwarzennegger s'exprime dans ce film on dirait une un  tir d'artillerie sur civils de tellement que sa gueule refuse de faire transparaître la moindre émotion qui puisse prouver que l’Autriche à une frontière commune avec l’Italie !
Rappelez vous donc ce moment de pur réalisme magique ou shwarzenneger balance un poignard d'un mètre sur un Bolivien en lui criant « aiguise moi ça ! » ….ça donnait envie de chialer. Ce film c'est juste un mec qui a décidé que l'armée allemande aurait du faire le Vietnam en embarquant des noirs pour le coté universalisme du crime de guerre. Un croisement SF entre platoon et stalingrad avec une saveur « l'enfer du dimanche » étant donné que les deux noirs de 120 kilos du films passent 1 heure trente à transpirer  en gros plan comme deux porcelets pour régaler les beurettes des années 80 qui devaient aller se cacher dans les chiottes pour frétiller tranquille sur l’Afrique noire sans se faire frapper de jalousie!
Tout le monde est à sa place ! L'allemand efficace qui finis sa seconde guerre mondiale contre des latinos qui font du camping dans la jungle, le blanc raciste et costaud de l’Alabama qui se réconcilie avec son pote noir en massacrant des gauchistes avec un fusil d’assaut de dotation standard d'hélicoptère ce qui constitue une pure étincelle de génie cinematographique. Rappelez vous, on le vois chiquer du tabac dans l'hellico en lâchant ce pur alexandrin de poésie qui nous a convaincue de ne plus jamais voter à gauche de toute notre vie : “Bon dieu vous êtes qu’un ramassis de lopettes ici ! Faites vous les mâchoires avec ça et vous banderez comme des dinosaures !” …… Merci Blain, merci….  !
il ya les noirs qui sont tout sauf des tarlouzes comiques à la Eddy Murphy qu'on aurait casé la pour faire les side kicks rigolos de shwarzennegger ! Les mecs assassinent tout le monde sans crier des trucs avec un doublage de  clando du Ghana alors que ça fait 5 générations qu'ils vivent aux USA !
Cerise sur le ghetto, l'un d'eux n'est autre qu'Apollo creed lui même qui se paye la moustache de noir la plus stylé de l'histoire de la moustache de noir depuis celle d'Evander Hollyfield et de Theo Blaise Kounkou en 1988. Un régal d'hétérosexualité ! Surtout quand il  serre la main de « Dutsh » au début du film entre porno symbolique et réconciliation des peuples !
Mais parlons plutôt de l'indien Billy ! Cet enculé de Navajo aphone se déchire le pec avec un poignard chromé moitié glaive moitié tronçonneuse 15 minutes après le début du film pour expliquer aux spectateurs que ça va tellement être une boucherie qu'il vaut mieux commencer à se charcuter soi même quand tes une minorité visible ! Le mec à 5 lignes de dialogues parce que les indiens ne parlent jamais sauf pour dire qu'ils vont se venger ou que les blancs sont des enculés ! Bien entendue, le scénariste lui a collé des sens aiguisé pour bien faire le lien entre les indiens et les animaux manière de perpétuer les bonne vielle  réputation que le fin sociologue Buffalo Bill à collecté lors de ses nombreux travaux anthropologiques quand il décalquait du bison pour le plaisir à la grosse winchester lourde d'occidental alcoolique qui vient violer la nature.
Le mec se paye le même chapeau que Joe l'indien dans Tom Soyer version jungle avec un regard de violeur qui nous a tous fait craindre pour le cul de la connasse que les mecs récupèrent dans le camps des FARC après avoir fait appliqué la politique de Donald  Trump en créant non pas un mur au Mexique mais un mur de mexicains.
Mais abordons sans tarder ce qui aurait put être une erreur de casting et qui se révèle être un hommage à la guerre faite par les intellos avec pas mal d'inventivité et beaucoup de sadisme : Le soldat à lunettes !
Premiére phrase de ce connard en face de l’hélicoptère de la grosse armée de l’Amérique complètement détruit : « il est décapé a zéro ! Ce personnage est  la pour nous rappeler que la guerre à quand même besoin de furets intelligents pour inventer le napalm ou d'autres armes sales pour finir ce que l'infanterie n'arrive jamais à faire de façon massive et rapide : « décaper à zéro » les gens et les choses.
Et la scène ! LA SEULE scène de ce film si on devait garder une seule scène seulement : la déforestation avec des flingues ! Les longues minutes de jouissance occidentale à regarder la technologie détruire en 3 minutes ce que cette salope de nature à mis 15 piges  à produire !
Et que dire du Predator : Le mec est tellement pas une fiotte féministe qu'il refuse de buter la seule gonzesse du casting parce qu’elle à pas le niveau pour lui présenter un quelconque défis sportif de taille !On saluera ce refus de la meuf dans les films de guerres parce-que tout le monde sait que la violence c'est salissant et que ça demande du cardio.
Passons à la partie décryptage sexuel du film
1 la symbolique :
Le monstre c’est un vagin , Arnold Shwarzenegger c’est la bite d'un puceau !La mission dans la jungle c’est le premier rendez vous !  La scène finale ou Shwarzenegger se camoufle dans le marré c’est la partie de drague ! La baston entre lui et le Predator c'est la baise et l'explosion finale de l'extraterrestre c’est l'allégorie de l'orgasme feminin !
2 l'analyse :
le Predator (la chatte) est sauvage est dangereuse. Furtive, on à beaucoup de peine à l'attraper ou à la piéger (à la baiser)
Shwarzenegger (le chibre en érection)  est en concurrence avec les autres membres de la troupe pour tuer le Predator (pour fourrer la petite chatte) Pour y arriver il doit faire preuve de ténacité et d'abnégation et rester « bien dur » jusqu'à l’aboutissement de sa quête dominatrice !
3 Conclusion :
Predator est LE film éducatif par excellence, un chef d’œuvre ou les blancs n'ont pas honte d’être blancs et ou les noirs on le droit de l’être sans mourir en premier ! Un déluge de fraternité virile ou la gauche paye cher sa tentative de diviser les gens en les pacifiant de force pour les priver de flingue et en faire des salopes frustrées ! Une merveilleuse allégorie pour aider les gosses à comprendre comment fonctionne la sexualité et les gonzesses tout en évitant d ‘être chiant ! Ce film est aussi un fabuleux plaidoyer pour une réintroduction du service militaire afin de gommer les tentions raciales que tout le monde déplore quand elles servent pas à traquer des Roms .
Alors rematez vous le avant d'aller voter dans quelques semaines , ça pourrait vous faire prendre conscience que voscouilles n'ont pas dits leur derniers mots….
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regju30-30 · 2 years
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Le numérique, son rôle et ses enjeux, au service de la guerre en Ukraine
S’il y a une arme fatale qui fait rage au temps d’escalade et de cyberattaque avec un décryptage hors de toute compréhension c’est le numérique. Celui-ci utilisé dans des différents équipements, tels  les ordinateurs, les tablettes, les appareils photo, les caméscopes et les écrans de télévision, a apporté un apport considérable sur le terrain de  guerre. Le numérique vient à la rescousse des Ukrainiens.
Le rôle  et les enjeux du numérique dans la guerre sont énormes. La  Russie a lancé 29 attaques, ses assauts féroces et répétés envers l’Ukraine ont pour but de détruire les  infrastructures critiques de l’adversaire et de le déstabiliser sans l’admettre officiellement. Les cyberattaques entre la Russie et l’Ukraine risquent de se multiplier, parce que d’abord, c'est une guerre, qu’elle soit de communication, numérique, informatique. C’est aussi le moyen pour des pirates informatiques de trouver des données, cette information qui doit être protégée au maximum aux yeux de l’ennemi.
Cependant, en lisant l’article « Algorithmes: La bombe à retardement » de Cathy O’Neil, nous notons que  le numérique a causé beaucoup de dégâts.  Le cas de Sarah Wisocky et ses 205 collègues qui ont congédié injustement pour cause de « non performants », à la suite d’une évaluation pernicieuse et dévastatrice générée par le système d’appréciation automatique des professeurs de Washington DC, instauré vers 2009 pour « optimiser le système scolaire » n’est que le commencent du labyrinthe.
Sur le terrain de guerre en Ukraine, la technologie utilisée par  l’armée russe est remise en  question. Car plusieurs hélicoptères sont écrasés à cause du problème de logiciel et les chars ratent leurs cibles à cause de ce même problème. Dans ce cas peut-on dire que le numérique est une arme à double tranchant et les enjeux ne sont-ils pas de taille?
 https://www.tumblr.com/dashboard
  Bibliographie
https://www.journaldemontreal.com
Guerre en Ukraine: en première ligne de la guerre numérique
https://lactualite.com  - décryptage-la-guerre-numérique
https// www.orientation-education .com
https//www.francetvinfo.fr/guerre-en-ukraine-la-russie-a-perdu-la-bataille-du-numerique_4982721.html
https://educaloi.qc.ca/capsules/cyberintimidation-les-gestes-interdits
https://www.ledevoir.com/algorithmes-la-bombe-a-retardement-le-cote-obscur-du-big-data
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Les dessous de l’étiquette
Peu de personnes comprennent la composition d’un produit cosmétique, ces lignes toute petites remplies de noms biscornus. Que veulent-ils dire ? Remplissent-ils les promesses des packagings ? Qu’est-ce que la cosmétique naturelle ? Décryptage et perspectives avec l’aide de Sarah, qui a récemment embrassé le mouvement Slow Cosmétique.
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Parce que vous le valez bien. Ce slogan, c’est l’emblème de l’une des plus puissantes entreprises présente sur le marché mondial de la cosmétique (6 milliard d’euros de chiffre d’affaire en 2018). Chaque année, plus de 40 marques du même groupe nous proposent divers produits de maquillages, crèmes, shampoings, soins divers de la peau, des cheveux, des ongles… Un arsenal qui promet de nous offrir un épiderme mieux hydraté, des cils plus galbés, une barbe plus soyeuse, des boucles plus disciplinées.
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Plus ! Longtemps, c’était le credo des marques de cosmétiques. Aujourd’hui, plusieurs découvertes sont passées par là : perturbateurs endocriniens cancérogènes, test sur les animaux, silicones révélés nocifs pour l’environnement. Soucieuse d’être dans l’air du temps, l’industrie cosmétique adapte son slogan.Plus mieux ! Voilà le nouveau concept, certifié écolo et sans conservateurs, affiché quasi à outrance sur des packagings estampillés naturels. Seulement, qui sait lire les étiquettes ?
Sarah, elle, sait le faire. Le langage du linalool et du phenoxyethanol, elle l’a étudié en cosmétologie dans le cadre d’un BP esthétique. En 2016 elle obtient ce diplôme haut la main mais, désenchantée par des cosmétiques qui ne respectent pas assez la santé et la planète, elle décide  d’expliquer, de sensibiliser. Cette année à Strasbourg, elle propose des ateliers pour créer ses propres produits en respectant son corps, l’environnement, et pour parler de la mouvance Slow Cosmétique.
Dessins: Natacha Scandella
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2ab-associates · 4 years
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Avec plus de 1000 pages dans les guides de pratique en ligne et 870 pages de publication imprimées pour ITIL 4 : on aborde enfin le fond! http://www.ab-consulting.fr/blog/management/itil-4-le-fond?utm_campaign=coschedule&utm_source=tumblr&utm_medium=2ab-associates&utm_content=ITIL%204%20%3A%20on%20aborde%20enfin%20le%20fond%21
ITIL 4 : on aborde enfin le fond!
Après un an d'attente, les publications détaillées d'ITIL 4 sont enfin là. Décryptage du fond et des changements importants de cette nouvelle version
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DÉCRYPTAGE EXCENTRIQUE JEFF KOONS . La chaîne YouTube Les Élucubrateurs d’images est de retour avec un décryptage sur une personnalité qui remue le monde de l’art... Jeff Koons! . Si beaucoup visualisent, dans les grandes lignes, ses œuvres et les polémiques qui sont attribuées à son travail, peu seraient capable de parler du sens de sa démarche... nous vous laissons découvrir cela en vidéo, bon visionnage! . #galeriedescuriosites #leselucubrateursdimages #decryptageexcentrique #jeffkoons #balloondog #artcontemporain #histoiredelart #viedartiste #artistecontemporain #collectionneurdart #culturegenerale #louisvuittonbags #chateaudeversailles #petitpalais #histoiredefrance #chaineyoutube #sculpturecontemporaine (à Paris, France) https://www.instagram.com/p/CJV0n6lHoQg/?igshid=1qo5mune6k97a
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