Comment Choisir le Bien Cool Roof Pour Votre Maison
UNE Cool roof est une solution innovante qui réduit considérablement la consommation d'énergie et crée un environnement de vie plus confortable. Les toits frais aident à réduire les coûts de refroidissement et à atténuer l'effet d'îlot de chaleur urbain en réfléchissant la lumière du soleil et la chaleur loin du bâtiment. Cependant, choisir le bon toit frais pour votre maison nécessite une réflexion approfondie. Dans cet article de blog, nous discuterons de deux facteurs cruciaux à prendre en compte lors de la sélection d'un toit cool : le matériau et la couleur.
Matérielle
Le matériel de votre Cool roof est vital pour ses performances et sa durabilité. Voici quelques options à considérer :
Revêtements réfléchissants :
Des revêtements réfléchissants peuvent être appliqués sur les toits existants, les transformant en toits frais. Ces revêtements sont généralement blancs ou de couleur claire et peuvent refléter une quantité importante de rayonnement solaire, réduisant ainsi la chaleur absorbée par le toit.
Toits métalliques :
Les toits métalliques sont connus pour leur longévité et leur durabilité. Ils sont naturellement réfléchissants et peuvent refléter efficacement la lumière du soleil, gardant le bâtiment plus frais. De plus, les toits métalliques peuvent être recouverts de finitions réfléchissantes spécialisées pour des performances améliorées.
Toits en tuiles ou en béton :
Les toits en tuiles et en béton ont d'excellentes propriétés thermiques, ce qui les rend idéaux pour les toits frais. Les carreaux ou le béton de couleur claire peuvent refléter efficacement la lumière du soleil, réduisant ainsi la chaleur absorbée par le bâtiment. De plus, ces matériaux offrent une isolation, aidant à maintenir une température intérieure plus fraîche.
Couleur
Alors que Cool roof sont généralement associés à des matériaux blancs ou de couleur claire, la couleur de votre toit frais est une considération essentielle. Voici ce qu'il faut garder à l'esprit :
• Réflectance solaire :
La réflectance solaire d'un matériau de toiture détermine sa capacité à réfléchir la lumière du soleil. Recherchez des matériaux avec un indice de réflexion solaire (IRS) élevé. Plus le SRI est élevé, plus le toit réfléchit efficacement le rayonnement solaire.
• Climat local :
Tenez compte du climat de votre région lorsque vous choisissez la couleur de votre toit frais. Dans les climats chauds, les couleurs plus claires sont généralement plus efficaces pour refléter la lumière du soleil et réduire les coûts de refroidissement. Dans les climats plus froids, des couleurs plus foncées peuvent être préférées pour absorber la chaleur et réduire les coûts de chauffage.
Conclusion
Choisir le bon cool roof pour votre maison peut avoir un impact significatif sur l'efficacité énergétique et le confort. Lors de la sélection d'un toit frais, considérez le matériau et la couleur qui conviennent le mieux à vos besoins. Les revêtements réfléchissants, les toits en métal et les toits en tuiles ou en béton sont des options populaires avec des avantages variés. De plus, la couleur du toit frais doit être choisie en fonction de la réflectance solaire et du climat local. En prenant une décision éclairée, vous pouvez profiter des avantages d'un toit frais, comme une consommation d'énergie réduite et un espace de vie plus confortable.
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Catana 40, premier catamaran d'une longue lignée
Le Catana 40 est le tout premier catamaran sorti d’un chantier qui montrait dès le début son caractère.
Le catana 40 est le premier modèle sortie, en 1984, des chantiers Catana, situés au Cogolin. Dés le début, ce catamaran va marquer l’ADN d’un chantier créé par des navigateurs passionnés. Thierry Goyard et Jean Pierre Prade sont deux navigateurs qui, à cette époque, ont déjà une longue expérience de la navigation aux quatre coins du monde. Lorsqu’ils croisent la route, et les plans, de l’architecte australien Lock Crowther, grand spécialiste du multicoque, c’est le début d’une longue aventure.
Le premier catamaran qui sort du chantier Catana, le catana 40, ne sera pas un énorme succès commercial. Il sera construit à 11 exemplaires. Cependant, ce catamaran marque tout de suite le caractère du chantier : proposer des catamarans marins, rapides et bien construits, à l'image d'autres chantiers comme Outremer. 33 ans plus tard, rien à changé. Le chantier est même devenu la référence dans ce domaine.
Catana 40, un catamaran marin et très véloce
Cette construction sandwich, de bonne figure, offre au catana 40 un poids de 5 tonnes, rien à voir avec un bateau actuel qui peut en peser 3 à 4 de plus. Ce poids permet d’avoir un catamaran qui va vite, même par petit temps. La plateforme, assez haute, permet de ne pas cogner quand la mer est formée. Là aussi, tous les catamarans actuels ne peuvent pas en dire autant. Enfin, au près, ses carènes et des dérives sabre permettent à ce multicoque d’avoir un excellent rendement, pour un catamaran. Pour les départs et arrivées au port, le bateau est équipé de deux moteurs diesel. Concernant l'accastillage et le gréement, il n'y a rien à redire. Le bateau était très bien équipé.
Moins de volume mais bien pensé
Comme on ne peut pas tout avoir, et la course au volume n’ayant pas encore commencé à l’époque, les espaces sont plus réduits que sur un autre catamaran de même taille.
L’espace dans le cockpit n’a rien à voir avec les constructions plus modernes. Le cockpit est complètement fermé et ne laisse que de l’espace pour une table et les banquettes. Cette configuration pourra cependant plaire par son côté sécurisant. A l’inverse, sur le pont, le petit roof laisse beaucoup d’espace sur les coques et un filet permettra de profiter du soleil facilement.
Le catana 40 est proposé avec 4 cabines doubles. Là aussi, si l’espace est plus compté que sur un catamaran récent, il est bien pensé. Chaque coque recevra deux salles de bains qui servent deux cabines chacune. Le carré reste lumineux et permet d’avoir un espace de vie suffisant pour partir en croisière à 4 personnes dans un confort total en recevant régulièrement des invités. La cuisine en long fait face au carré et une table à cartes est orientée vers l’avant.
Pour résumer, le Catana 40 est un excellent catamaran. Très rare sur le marché du bateau d'occasion, les unités se négocient assez difficilement. Très peu d'unité ont été utilisées pour de la gestion location.
Caractéristiques Catana 40
- Longueur de coque:12.20 m
- Largeur - Bau: 5.90 m
- Tirant d'eau de la version standard: 2.20 m
- Tirant d'eau mini: 0.95 m
- Déplacement lège: 4 200 kg
- Homologation: A
- Nombre de cabines: 4-10
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Gettin’ that Duolingo Podcast Fever
Who here uses Duolingo? Y’all ever get those emails with the subject “You made Duo sad” or something? Well look here: I can tell y’all for a FACT that I won’t be receiving those emails anymore, now that Duolingo has stepped up its game with their podcasts!
They have their own comprehension and discussion questions now... ON A WHOLE GOOGLE DOC, LIKE WHAAAAA!? Seriously you guys, go check it out here!
Okay, it may just be me who is just finding this out... regardless, to celebrate this little discovery I’m going to use one of Duolingo’s French Podcast episodes for this post. The episode I’ll be working with is Season 1 Episode 5: “Le paysan (The Countryman)”. In case you haven’t noticed, the very first link you (may or may not have) clicked on brings you to the questions for this exact podcast episode. And here’s the link to the podcast transcript if you’d like to see it in your web browser. For the sake of going over vocabulary pour moi, I have pasted the French parts of the transcript below under “Keep Reading” and emphasized the words I don’t know. Without further ado, avec la liste de vocabulaire (in which there’s A LOT of words, lol), allons-y!!
Vocabulary/Vocabulaire
Verbs
Cultiver - To grow / cultivate
Se battre - To fight (one another)
Rouler à vélo - To ride a bike
Justifier - to justify
Empêcher - To prevent / avoid
Emmener - To transport / lead / carry
Respecter - To respect
Stopper = (Anglicisme) Arrêter
Bouger - To move (changer de position)
Pointer - To point / aim
Risquer - To put at risk
Agir - To act / behave
Héberger - To accommodate / host
Échapper à- To escape from
**Tuer - To kill
Nouns
Quartier - Neighborhood / quarters / district
Cabane dans les arbres - Tree-house
Île - Island
La Fermeture - Closure
Prêtre - Priest
Extrême-droite - Extreme-Right
Néo-fasciste - Neo Fascist
Montée (d’adrénaline) - Rise / climb / assent
La montre - Watch
Façon - Way / manner
Le toit des trains - The train roofs
Précipice - Chasm / abyss / precipice
Garde à vue - Detention / custody
Geste - Gesture (action) / movement
Une centaine - A 100
Arme à feu - Gun
Demandeur d’asile - Asylum-seeker
Squat = Lieu occupé illégalement
Reportage - Report (news)
Menace - Threat
Valeur - Moral / value / worth / validity
Le délit - Crime
La devise - Motto / slogan
Migrant sans-papier - Illegal immigrant
Complice de meurtre - Murder accomplice
Allers-retours - Round-trips
Prepositions
Vers - Towards
Environ - Around (estimate)
Autour (de) - Around (localization)
**En plus de - Besides
Jusqu’à - Until / up to / to / till
Adjectives
Géant(e) - Giant / enormous / (Familiar): awesome / super
Sain - Healthy / well
Sauf - Safe
Adaptée - Suitable / appropriate
Brusque - Abrupt / sudden / terse
Sûr - Sure / certain
Choquant - Shocking / appalling
Tué - Dead / killed
Marqué - Marked / shown / indicated
Adverbs
À mon avis - In my opinion
Surtout - Especially / above all / mainly / most importantly
Au milieu - Amid
De plus en plus (de) - increasingly / incrementally
En chemin - On the way / en route
En bas - On the bottom/1st floor
Par terre - On the floor
Partout - Everywhere / all
En tenue - In uniform
En ligne - Online
Phrases
“Je n’y arrive plus (...)” - “I can’t even...”
“C’est-à-dire” - “That is to say”
WHEW CHILE THAT’S A LOT OF VOCAB TO GET THROUGH IN ONE SITTING!! 😫😫😫
BUT this is what I’ll be working on during this weekend/quarantine period. This, and plenty of other material that i’ll hopefully post soon too! Hope you guys learned something from this post! Praying that you all are staying safe out there and practicing proper hygiene... YOU BETTER BE 👀 👀 👀
Transcript
Click here for study materials for this episode.
Cédric: Je me sentais responsable. Je devais aider. À mon avis, un paysan doit être responsable de son territoire. Je devais surtout aider la Vallée de la Roya, parce que c’est un espace public.
Cédric: Même si ce n’est pas très confortable, tout le monde se sent bien ici. On ne pose pas de questions aux gens sur leur passé. Ma principale motivation, c’est l’intégrité et la reconnaissance de tous. Ce sont des personnes, pas des « migrants ».
Cédric: Je m’appelle Cédric Herrou. J’ai 40 ans. Je cultive 350 oliviers dans la vallée de la Roya, dans le sud-est de la France, à quinze minutes en voiture de l’Italie.
Cédric: Je préfère « paysan » parce que j’appartiens à la terre. Il y a un deal entre la terre et moi. Pour moi, un paysan c’est quelqu’un qui ne fait pas beaucoup, mais qui est pragmatique. Je développe un mode de vie simple, indépendant, dans la nature.
Cédric: On formait des groupes de jeunes, pour protéger notre territoire, notre quartier, notre identité. J’ai appris à me battre. J’ai vite compris que le reste de la société allait toujours nous condamner parce que nous venions de l’Ariane. Même moi, un blanc, je sentais que les gens qui représentent la « vraie France » ne m’acceptaient pas.
Cédric: Alors souvent, je n’allais pas à l’école. Je roulais à vélo, je faisais des cabanes dans les arbres. Aujourd'hui, mon rêve est devenu une réalité : je vis dans une cabane géante, au milieu des arbres.
Cédric: On voit que c’est pauvre, artisanal, avec des imperfections. On a l’impression d’être sur une île, comme Robinson Crusoé. On est loin de tout, mais aussi au milieu de tout.
Cédric: Officiellement, on justifie la fermeture des frontières comme une mesure anti-terroriste. Le gouvernement ne dit pas que c’est pour empêcher l’immigration. Mais la vraie raison est anti-migratoire.
Cédric: De plus en plus de personnes essaient de passer en France. Et je vois que de plus en plus de policiers viennent dans la région.
Cédric: Deux parents et leurs enfants. Je les emmène avec moi, ils ne parlent pas français.
Cédric: J’arrive à comprendre qu'ils veulent aller à la gare dans le village près de chez moi. Je les emmène. On ne parle pas la même langue, mais nous nous entendons bien. Je commence à comprendre leur situation.
Cédric: Ils n’arrivent pas jusqu’à Nice. La police vérifie leur identité et les arrête en chemin.
Cédric: Ils m’appellent et me disent : « On est à Vintimille, dans une église, l'église San Antonio ». Le responsable de l’église s’appelle Don Rito. C’est un prêtre colombien. Il a ouvert les portes de son église pour les plus fragiles, les familles, les femmes, les enfants. Je pars à Vintimille pour retrouver cette famille et les emmener quelque part.
Cédric: Ça doit être très difficile pour eux. Quand on est petit, on regarde ses parents comme s’ils pouvaient tout faire, comme s’ils pouvaient s'occuper de nous. Et là, les parents sont bloqués, sans pouvoir décider de leur futur. J'ai de la sympathie pour les parents. Quand je les regarde, je vois leur confusion, et leur honte.
Cédric: Je dois les aider à partir de ce lieu sains et saufs. Ici, les policiers ne respectent pas le droit. Ils arrêtent les gens et les renvoient en Italie. Ici, il y a beaucoup de personnes d’extrême-droite, de néo-fascistes. Donc, on essaie d’envoyer les gens vers d’autres départements.
Cédric: Je sais très bien comment aider les gens à passer. Nous sommes très bien organisés. À chaque passage, il faut éviter la police, prendre une décision très vite… J’aime cette énergie et cette montée d'adrénaline.
Cédric: J'entends leur sirène. Ils me forcent à stopper le véhicule. Ils me disent : « Ne bouge pas ! Montre-nous tes mains ! » Ils pointent une arme vers moi. Je leur dis : « Il y a des enfants à l'intérieur ! On n'a pas d'armes ! »
Cédric: Bien sûr, ils prennent mon téléphone, ma montre. Ils cherchent la méthode la plus adaptée pour me faire parler. La méthode brusque. Les deux policiers qui jouent les rôles du méchant et du gentil. Pendant cette première garde à vue, j'ai peur.
Cédric: Je dis clairement pourquoi je le fais : « J'habite dans cette vallée, et en bas de chez moi, je vois des personnes, des enfants, qui risquent leur vie. Je les emmène pour les protéger, pour qu’ils gardent leur intégrité, leur dignité. »
Cédric: Alors, parce que je suis assez sûr de moi, je continue de transporter des personnes.
Cédric: Je comprends de plus en plus que l'État français agit de façon illégale. Et je suis horrifié. Obliger des familles à se mettre en danger pour des raisons politiques, je trouve ça absurde et choquant. Les gens essaient toujours de venir en France, même s’ils risquent leur vie.
Cédric: Des migrants sont électrocutés sur le toit des trains. Ils sont tués par des voitures. Ils tombent dans des précipices. Il y a aussi des personnes qui sont mortes, mais qui n’ont pas été identifiées.
Cédric: Voir cette scène, c’est ce qui m’a le plus marqué. Je ne connaissais pas cette fille. Après la mort de Milet, je me suis dit : « OK, maintenant je m’engage complètement. Je dois faire quelque chose. »
Cédric: Ils sont de plus en plus nombreux. Je ne sais pas quoi faire, on n’a pas le nécessaire pour tout le monde. Un matin, je me lève. Il pleut. Je vois, à l’extérieur, environ 80 personnes autour de ma maison. Ils ont dormi sous la pluie, par terre. Je me dis : « C'est pas possible. » Je n’y arrive plus.
Cédric: Les gens dorment par terre, sur le toit, partout, partout. Ils cuisinent tous sans s'arrêter. Ils recommencent à faire des gestes simples. Par exemple, préparer de la nourriture pour leurs enfants, ou décider de l’heure du repas. Ils retrouvent leur dignité.
Cédric: Je comprends que chacun le fait pour des raisons différentes. Parfois, aider les autres, c’est compliqué. Il y a des limites. Mais à un moment, une centaine de personnes m'aident concrètement. Ils hébergent des gens chez eux.
Cédric: Ils entrent en tenue de protection, avec des grosses armes à feu. Comme s'ils entraient chez un terroriste.
Cédric: Je dors deux heures par nuit, je suis si fatigué que je ne me rappelle plus ce que j'ai fait le matin même. Je passe mon temps à faire des allers-retours en voiture vers Nice et Marseille. Je n'arrive plus à réfléchir. Je ne sais plus quoi faire. Je dis à Lucile : « Il faut qu'on arrête. »
Cédric: C'est illégal d'arrêter et d'expulser des demandeurs d'asile. C'est illégal de renvoyer des mineurs isolés, séparés de leurs parents. C'est grave. Ce sont des enfants qui essayent d’échapper à la guerre.
Cédric: Ce squat, c'est une action politique. On veut que l’État s’occupe des mineurs qui sont seuls et des demandeurs d'asile. On veut le respect de la loi, tout simplement.
Cédric: L’évacuation se passe dans le calme. Un bus arrive et prend tous les jeunes. L'Aide sociale à l'enfance s’occupe d’eux.
Cédric: Moi, je dis que je suis fier. J’ai aidé 200 personnes à passer la frontière. Mais je suis arrêté. Ce squat est à l'origine du procès que tout le monde connaît.
Cédric: Les reportages m'ont aidé, mais ça peut être dangereux aussi. Des menaces racistes arrivent, des messages envoyés en ligne et des lettres écrites à la main… Je comprends tout de suite que cela vient des groupes d'extrême-droite, qui sont nombreux dans les Alpes-Maritimes.
Cédric: C’est-à-dire qu’aider les autres devient un crime. Malheureusement, c’est devenu de plus en plus fréquent ces dernières années.
Cédric: Des visiteurs viennent ici pour une certaine image de la France. La France, c’est le pays des droits de l'homme. Nous avons des valeurs à défendre.
Cédric: C'est une victoire, et je suis libre. Mais ce n'est pas fini.
Cédric: J'ai le droit de poser une question au Conseil Constitutionnel : « Est-ce que le délit de solidarité n’est pas contradictoire avec nos valeurs républicaines ? Après tout, elles sont basées sur la devise française — Liberté, Égalité, Fraternité — notamment le mot “fraternité”. »
Cédric: Le Conseil Constitutionnel répond favorablement ! C'est formidable ! Cela signifie : on ne peut pas incriminer des personnes qui transportent des gens sur le territoire français, même des migrants sans-papiers.
Cédric: Aujourd'hui, les jeunes sont moins systématiquement renvoyés en Italie. Et c'est en partie grâce à nous.
Cédric: Expulser les gens qui aujourd'hui voudraient venir chez nous, c'est être complice de meurtre. Les gens meurent en Méditerranée. La France ne peut pas se permettre ça.
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