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#Fédération de Russie
jloisse · 1 year
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🇷🇺 Le drapeau de la Russie a été déployé au sommet d'Ak-Kai (White Rock) en l'honneur de l'anniversaire de l'entrée de la Crimée dans la Fédération de Russie.
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defenderoftheearth · 1 year
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La Crimée a souverainement décidé de joindre la Fédération de Russie depuis 1991...par référendum
    Juste après la reconnaissance par Moscou des deux territoires prorusses du Donbass, le magazine GEO formulait à merveille la doxa occidentale : Vladimir Poutine n’a jamais caché son attachement à l’Ukraine qu’il considère comme un territoire d’appartenance russe. Après avoir annexé la Crimée en 2014, l’autocrate semble être en passe d’accomplir ses ambitions expansionnistes. Pour la…
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claudehenrion · 2 months
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Боже, Царя храни !
Surprise, Surprise ! C'est un tremblement de terre, que dis-je ! Un tsunami, une stupéfaction : Vladimir Vladimirovitch Poutine, Влади́мир Влади́мирович Пу́тин pour ses amis –on m'assure qu'il en resterait un ou deux encore vivants--, né le 7 octobre 1952 à Léningrad redevenu Saint-Pétersbourg, a été rééééé-lu, à la surprise générale, à la présidence de la fédération de Russie ! On ne peut qu'entonner en chœur l'hymne à la gloire du nouveau Tsar (qui est, comme d'habitude, le même qu'hier).''Hodge Tsara Krani '': Que Dieu protège le Tsar, en VO dans le titre.
Plus sérieusement, et puisqu' il nous va falloir ''suivre'' l'agenda de ce personnage, je vous propose de lui consacrer 2 ou 3 ''éditoriaux'' dans les jours qui viennent, pour le regarder, pour une fois, autrement que selon les ''attendus'' convenus du procès à charge que ressassent les sources officielles et les faux ''experts'' des plateaux-télé des chaînes ''main stream'', qui ne savent que répéter en boucle les mêmes dadas et les mêmes mensonges, nous le vérifions souvent ! En fait, la seule utilité d'un ''blogueur'' (si tant est qu'il en ait une !), serait d'entr'ouvrir la porte à une pensée non-clonée qui est, de nos jours, condamnée et ostracisée avant-même d'être entendue.
Je vous propose donc, un court instant, de regarder Poutine avec un autre regard. Je ne dis pas que ce regard est vrai, mais je dis qu'on a pas le droit de refuser de savoir qu'il existe, car le regard ''officiel'' est biaisé et univoque à en être faux, et il est sage, prudent et ''pas que con'' de s'en méfier. Par mesure de justice et d'équité, nous essaierons de conduire un exercice comparable avec Trump, un peu plus tard, dans une double relecture d'une réalité ''différente'' –plus vraie, je ne sais pas, mais moins ''convenue'', sûrement. Et plus courageuse et plus susceptible de nous sortir de la paralysie ambiante : le seul fait qu'un comportement ne débouche sur rien n'est pas une raison suffisante pour s'entêter et ne pas chercher d'autres portes de sortie !
Mais ce Poutine, tout de même… quel sale type ! Il y a de quoi avoir peur de lui, quand on pense au mal qu'il se donne pour remettre la Russie au niveau et au rang qui devraient être les siens (ramenés à sa surface, à son histoire, à sa puissance, et à l'agression permanente de ceux qui ont décidé qu'il fallait les abattre, elle et lui…) ! Pensez ! Un patriote… dans le monde d'aujourd'hui, où tous nos progressistes et tout ce qui pense de traviole sur terre, n'ont pas de mots pour critiquer Nation, Patrie, Histoire, Drapeau, Honneur, roman national… Se croyant intelligents, ils sont stupides, en refusant de voir que l'URSS est morte et que la Russie ne demande qu'à l'oublier.
Car le communisme est bien mort ! Et, comme son alter ego idéologique, le nazisme d'atroce mémoire (aussi), tout aussi '' de Gauche'' que lui mais qui, ayant perdu la guerre, a été rejeté sans aucune justification dans la camp réputé maudit de ''la Droite'', il n'est pas près de renaître de ses sales cendres. Sur les ruines de la si peu regrettée URSS, la Russie, un autre pays –nouveau autant qu'il est ancien– a voulu rejoindre le concert des nations. Ah ! la pauvre ! Elle avait commis la double erreur (impardonnable aux yeux des progressistes rétrogrades qui ont réussi à s’emparer des leviers de commande) de se souvenir d'une Histoire non politiquement correcte et des racines chrétiennes de notre continent, ce qui est ''à tuer'' : la Gauche hait ce qui est vrai !).
Tentative après tentative, refus après refus, soufflet après soufflet… Poutine, judoka et joueur d'échecs mais finalement dégoûté, a enfin compris que les idéologies perverses, masochistes, inefficaces et mortifères (lui ajoute ''décadentes'', et on peut difficilement lui donner totalement tort !) qui sont en vogue chez ceux qui le rejettent par système, ne peuvent mener à rien de bon. Il a donc choisi un chemin autocratique, avec plein d'excès, bien entendu (mais qui n'en fait pas ?), mais aussi avec des résultats que nos dirigeants auraient eu intérêt à méditer... Et puis... tout s'est bloqué : des campagnes incessantes ont créé, mais en Occident seulement –et ça, c'est extrêmement grave-- un sentiment plus négatif qu'au temps maudit des cocos, comme si Poutine était plus dangereux que Lénine, Staline et Brejnev réunis…  
Je sais que c'est le “must” à la mode d'afficher un anti-poutinisme militant, en évoquant une brutalité bien réelle que l'Histoire explique sans la justifier (mais qui nous permet d'oublier tout ce qui, chez nous, n'est pas vraiment meilleur !). Il n'empêche : au regard de l'histoire-à-venir, son dossier “tiendra la route” bien mieux que celui des Occidentaux, soumis au bon vouloir des différentes Administrations US  qui poursuivent des objectifs qui ne sont pas les nôtres, et qui, en général, commettent des erreurs énormes de lecture de l'Histoire et d'interprétation de réalités dont la complexité leur échappe (cf, récemment, l'Irak, la Syrie, la Libye, l'ex-Yougoslavie hier et Gaza aujourd'hui, etc...). En fait, rien n'est jamais ni tout blanc ni tout noir... et ce n'est pas facile à admettre, souvent !
Poutine, poussé à bout, a commis une faute inexcusable : se mettant dans son tort, il a ouvert les hostilités, pour reprendre ce que tous les russes considèrent leur appartenir ''depuis toujours'' (voir ci-après). Il a cru attaquer un état-croupion qui avait, jusque là, bien du mal à ne pas exister, mais c'était pour le faire “revenir au bercail” –tel que lui voit les choses. L'OTAN, qui n'a rien à faire dans cette galère, a cédé aux erreurs de la CIA, et les dirigeants occidentaux, nuls à en sangloter de désespoir, se sont servilement alignés sur le grand dispensateur de dollars, espérant récupérer à terme dans l'OTAN un Etat dont ce dernier n'a nul besoin (''que des emmerdes à espérer'') et qui s'est engagé à ne jamais en être membre. (NB : où voyez-vous “l'Atlantique-Nord”, entre Kiev et Odessa ?). Les pauvres européens, nuls, se sont laissé entraîner dans une spirale à qui perd, perd voulue par les américains… Et on perd. Il ne nous reste que des menaces aussi présidentielles que creuses, que personne ne croit ni ne respecte, et pour cause !
Et, un mot en entraînant un autre, on en arrive aujourd'hui à la crise de nerfs du Président français qui prononce des phrases ''qu'un Président ne devrait jamais dire''. Il fantasme une menace pour la France (que l'on chercherait en vain dans le ''script'' en cours) devant une armée fatiguée que la seule Ukraine arrive à tenir en échec depuis 2 ans. Le fantasme macronien de grandes expéditions nouvelles n'est, juste, pas envisageable avant... 10 ans. Et malgré ça, à la question : “Faut-il se préparer à mourir bientôt pour Sébastopol, Simféropol, Kiev, le Donbass, ou qui vous voudrez ?“… la réponse ’'NON” ne va plus de soi, depuis les crises nerveuses d'une France qui n'a, en aucun cas, les moyens ''d'assumer'' les discours de son président, privé, en plus, du moindre soutien sérieux. .
H-Cl
PS : les choses étant ce que nous voyons et le monde ce qu'il ne devrait pas être –comme n'a jamais dit De Gaulle-- il serait sans doute utile de compléter ce rapide tableau par un retour sur images : un sujet est inséparable de l'autre. Alors... ''Et l'Ukraine, dans tout ça''? Le texte de cet ''édito'' sera plus long que d'habitude, mais le sujet est vraiment plus grave et ''il le vaut bien''.
Retour sur images : L'Ukraine, un peu plus vaste que la France (600.000 km2) mais moins peuplé (45 millions), s'étend au nord de la mer Noire, de part et d'autre du Dniepr. Ses habitants ont de tout temps été appelés “Petits-Russiens”, ce qui n'est pas neutre, en soi. Et c'est autour de Kiev, l’actuelle capitale de l'Ukraine, que la nation russe est née, aux alentours de l'An Mil, avant de se diviser en ‘’russes russes’’ proprement dit... en ukrainiens... et en biélorusses, dont les langues nationales ont lentement et légèrement dérivé par rapport à l'ancienne langue commune. Les tout premiers “ukrainiens” revendiqués furent quelques paysans qui, au XVIe siècle, se constituèrent en communautés indépendantes, les Cosaques zaporogues (= les hommes libres au delà des rapides), qui sont devenus sujets polonais, pour les punir, sans doute.
Mais en 1654, las d'être maltraités par les Polonais, ils se placent sous la protection du tsar “de toutes les Russies” offrant aux Romanov la rive orientale du Dniepr, puis Kiev et Smolensk, enfin redevenues russes. Dans l'esprit des tsars, l'Ukraine a toujours été terre russe et n'a donc droit à, ni besoin de, aucun statut particulier. Après l'échec en 1709 du chef cosaque “Hetman” Mazeppa, les retrouvailles de l'Ukraine et de Moscou ont été totales : les territoires dits ukrainien et biélorusse sont revenus sous l'autorité du tsar, et il faudra attendre deux siècles (la première Révolution russe de 1905), pour que Nicolas II s'engage à respecter “les nationalités” (pas les nations).
C'est la grande révolution de 1917 qui verra une ''Rada  centrale''  (copie des soviet russes d'alors) se proclamer ''République populaire ukrainienne'', aussitôt dévorée, et russifiée “à mort” (dans le vrai sens du terme) par l'hydre stalinienne : 6 millions d'ukrainiens sont (littéralement) morts de faim entre 1917 et 1933. Et ça, c'est affreux ! Devant cette histoire tellement complexe, j'admire (enfin… un peu ; très peu, même !) ceux qui prétendent qu'il n'y aurait aucune consanguinité entre Russie et Ukraine… et aucun droit possible de l'une sur l'autre...
Ukraine veut dire “frontière”. Entre les mondes orthodoxe et catholique, ce pays ne peut nier être le berceau du monde russe. Il faudra attendre 1989 pour que la libéralisation du régime soviétique permette aux ukrainiens d'exister un peu (à travers les tresses blondes de Ioulia Timochenko qui fit découvrir ce pays –et le rendit sympathique). N’existant que depuis 1991 –c'est hier--, il se cherche entre un Occident attirant mais lointain et une Russie proche mais redoutée.
Cependant, il ne faut jamais oublier qu'une des conditions mises par Gorbatchev à l'ouverture du monde communiste a été “que jamais l'OTAN ne cherchera à attirer les pays du Pacte de Varsovie dans son giron”… promesse et engagement clairement décrits, et compris, alors : toute menace de rapprochement serait un “casus belli”. C'était parfaitement clair, mais la mémoire des politiques est... sélective.
Reste le cas de la Crimée, cet autre caillou dans les chaussures des cuistres qui nous dirigent si mal. Russe depuis le XVIIIè siècle après avoir été possession ottomane pendant 300 ans (les pauvres !), elle est devenue un “oblast” (= territoire) de la République socialiste soviétique de Russie que Staline, dans un geste ''sans conséquence'', a rattaché à l'Ukraine, qui était alors partie intégrante de l'URSS : dans sa tête, il changeait un meuble de place, à l'intérieur de la maison, rien de plus ! Et ce n'est, aussi, qu'en1991 que la Crimée devint une ’'République autonome’’, avec Simféropol pour capitale, et peu de liens statutaires avec l'Ukraine –qui persiste à la revendiquer, y compris Sébastopol, le grand port de la Mer Noire, qui a toujours conservé un statut spécial de “ville fédérale”, comme le sont Moscou et St-Petersbourg.
La situation est gravissime : la tactique ne doit jamais faire oublier la stratégie, et le court terme se substituer à la vision longue... De telles fautes contre l'Histoire, la pensée et l'intelligence, et une priorité donnée à ce qui est visible (même très émouvant) ne peuvent que mener, très vite, à des situations que personne n'a envie de vivre (sauf, en apparence, notre Président ? Je n'arrive pas à croire que c'est autre chose qu'une posture pré-électorale : ce serait trop fou !)... et à une guerre que nous perdrions en 48 heures, sauf à utiliser des armes définitives pour tout le monde. Mais dans ce cas, je ne serai plus là pour vous expliquer pourquoi on a eu tort de se comporter comme ça... ni vous, pour lire mes commentaires... postumes.
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aurevoirmonty · 5 days
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L’autonomie comme principe de base du statut national eurasien.
Souveraineté ou autonomie
La structure actuelle du pouvoir national dans la Fédération russe, qui est basée sur le principe de la souveraineté de ses sujets, est profondément défectueuse. La situation a été aggravée par la politique, qui fut favorisée par Eltsine, de « prendre autant de souveraineté que vous pouvez », qui a été mise en œuvre au cours de la dernière décennie et qui a été conçue pour donner aux sujets fédéraux autant d’attributs de la souveraineté que possible. Les élites locales interprétèrent cette politique comme une invitation à l’anarchie de type laissez-faire. En fait, cette approche condamnerait la Russie à la désintégration au cours d’un inévitable « défilé des souverainetés ». Cela fut spectaculairement démontr�� par les exemples de la Tchétchénie et du Tatarstan, dans une version plus douce.
Le problème est que par définition, la souveraineté ne peut pas être maintenue sous une forme restreinte : elle tend toujours à la totalité (indépendance dans le domaine des affaires étrangères, de l’armée, de la monnaie, etc.). Un concept accepté dans la politologie classique est que la souveraineté suppose un territoire séparé et une domination ultime sur celui-ci. Dans les circonstances de la Fédération russe, cela suppose un renoncement réel – bien que quelque peu graduel – au principe d’unité et d’indivisibilité de la Russie. Dans les faits, le modèle fédéral est efficace seulement dans les sociétés homogènes. Pour une entité aussi compliquée, asymétrique, hétérogène, inégalement peuplée et multiculturelle que la Russie, un principe entièrement différent est nécessaire. L’idée d’autonomie doit devenir ce principe.
Paramètres de l’autonomie
L’autonomie ne permet pas la présence de la souveraineté, ni d’une manière générale les attributs du statut national. L’autonomie est l’auto-gouvernance, rien de plus. Les questions de stratégie, de relations étrangères et de planification stratégique restent en-dehors de la compétence de l’autonomie. Cependant, une multitude de questions qui sont actuellement sous la juridiction de l’autorité fédérale et réglementées par la législation fédérale (droit civil et administratif, système judiciaire, gestion de l’économie, et d’autres activités) pourraient être déléguées aux autonomies.
La distinction majeure des autonomies par rapport à la manière dont les sujets de la Fédération russe existent aujourd’hui est que dans l’autonomie, le sujet n’est pas une entité territoriale quasi-nationale, mais une communauté de gens unis par un certain trait commun.
Les autonomies peuvent être de toute taille, allant de plusieurs familles à des peuples entiers. Les grandes autonomies peuvent contenir de plus petites autonomies dans leurs limites. Dans l’ensemble, l’idée de communauté est à la base de sa structure sociétale.
Types d’autonomie
Autonomie des nationalités. Emerge dans le cadre d’un peuple, ayant été formée en une entité historique et possédant certaines traditions d’auto-gouvernance et composée d’un corps unique invulnérable à l’érosion.
Autonomie ethnique. Convient aux peuples ne possédant pas de traits de nationalité.
Autonomie théocratique. Emerge parmi les nations ayant un degré élevé de conscience religieuse, dans lesquelles des institutions religieuses sont impliquées dans la gestion interne de la société, incarnant ainsi partiellement le pouvoir réel dans une société donnée (judiciaire, administratif, etc.).
Autonomie religieuse. Convient aux communautés formées sur des lignes religieuses, dans lesquelles la religion n’est pas impliquée dans la gestion interne de la société.
Les quatre types d’autonomie mentionnés ci-dessus peuvent converger, formant des types d’autonomie nationaux-théocratiques, ethno-religieux ou autres.
Autonomie culturelle-historique. Incorpore des communautés historiquement formées de gens unifiés par une mentalité et une culture communes. Des exemples sont les Cosaques et les Pomors de Russie du Nord.
Autonomie socio-industrielle. Cette forme d’autonomie est surtout applicable à des territoires récemment inhabités ; elle se développe en général autour d’entreprises qui mènent à la formation de villes ou d’un complexe industriel national. Dans le futur, il serait souhaitable que de telles autonomies évoluent sur les bases des autonomies socio-économiques d’autres types traditionnels.
Autonomie économique. Un type d’autonomie qui se forme en association avec une autonomie existante, qui leur garantit un traitement spécial dans les domaines qui sont réglementés par la législation fédérale (exemptions légales ou modifications pour les besoins de territoires spécifiques, dégrèvement d’impôts, allègement des droits de douane, etc.).
Autonomie linguistique. Ce type reflète une communauté linguistique parmi les représentants de diverses autonomies. Peut transcender aussi bien qu’englober des autonomies d’autres types traditionnels.
Autonomie communautaire. Une autonomie dépourvue d’autres traits intégrateurs, qui réunit néanmoins des gens cohabitant dans les mêmes limites territoriales et/ou employés dans le même domaine. Des exemples sont les entités ancestrales-tribales traditionnelles ou les colonies écologiques composées d’anciens citadins.
Certains territoires où aucune communauté d’aucune sorte ne s’est formée (des terres non-peuplées ou à peine peuplées) peuvent être déclarés terres fédérales, c’est-à-dire des territoires où seules la législation fédérale et les réglementations fédérales peuvent être appliquées.
Les autonomies et le centre fédéral
A la différence des sujets actuels de la Fédération russe, les autonomies pourraient posséder des droits nettement plus grands dans le domaine culturel, les affaires quotidiennes, l’administration, les questions juridiques, et la gestion de la propriété. En fait, les fonctions des tribunaux, des forces de l’ordre, de gestion et de contrôle pourraient être déléguées aux autonomies. La législation fédérale ne devrait réglementer que le plus petit nombre de questions qui sont communes à toutes les autonomies dans son champ d’action. Les tribunaux fédéraux et les forces de l’ordre fédérales ne devraient s’occuper que des conflits de nature inter-communautaire. Toutes les questions intra-communautaires devraient être résolues en interne, en accord avec les traditions établies qui ont été inscrites dans les lois locales. A leur tour, les autonomies délèguent aux autorités fédérales le droit de décider des questions liées à la sécurité nationale, aux relations internationales, et à la planification stratégique. Tous les vestiges restants de souveraineté au niveau local doivent être éradiqués.
La nouvelle structure eurasienne de l’Etat, enracinée dans le principe d’autonomie, implique aussi une certaine mutation des organes fédéraux de pouvoir.
Un congrès des autonomies, composé des meilleurs représentants des autonomies les plus importantes du pays, devrait devenir l’institution pour prendre les principales décisions stratégiques de l’Etat. Les organes fédéraux de pouvoir (l’administration fédérale) devraient être composés des dirigeants et des représentants les plus respectés des autonomies. Les autonomies délègueront aussi des représentants pour servir dans les forces armées communes et les agences fédérales de maintien de l’ordre. Puisque la majorité des questions sera décidée au niveau local, l’appareil bureaucratique fédéral deviendra très petit.
Ainsi, le système occidental de démocratie électorale formelle, qui a dégénéré en un système criminel de fraude et de corruption de l’électorat en Russie, sera remplacé par une démocratie organique qui demandera une participation créative des meilleurs représentants des communautés dans le gouvernement national. Ce type de démocratie – la démocratie des citoyens, non de la foule – est typique de la Grèce antique et de la Suisse moderne.
Usage de la terre dans les autonomies
Une question essentielle est l’usage de la terre. Aucune des autonomies ne devrait avoir le droit de s’emparer d’un autre territoire. Le principe de base devrait être : le propriétaire de la terre est le Créateur. D’une manière générale, la terre devrait être vénérée, et un culte de la Mère-patrie devrait être réactivé d’une manière ou d’une autre. Toute la terre sera la propriété collective de tout le peuple de Russie et sera gérée par le gouvernement de la Russie. Les autonomies recevront les parcelles de terre qu’elles occupent actuellement, et qu’elles pourront utiliser gratuitement. Le concept même d’une « frontière » à l’intérieur de l’Etat russe (et, dans une perspective plus large, dans tout l’univers eurasien) devrait être remplacé par le concept d’une « limite ». Une limite est une ligne nominale, sans signification juridique ; une ligne par laquelle les territoires utilisés par une communauté sont reliés aux territoires utilisés par une autre communauté. Les limites seront flexibles, pas fixées. Les frontières sont utilisées pour diviser ; les limites pour relier.
Le principe d’autonomie lui-même, par opposition au principe de souveraineté, voit les sujets non comme des territoires avec des frontières tracées arbitrairement et parfois contestées, mais comme des êtres humains avec une identité nationale et religieuse distincte – des membres à part entière d’une entité collective. Ainsi, le remplacement du principe de souveraineté par celui d’autonomie rendra les mouvements séparatistes et les disputes frontalières impossibles à l’intérieur de la Fédération russe. Le terme « fédération » lui-même pourrait ensuite être aboli. L’Etat acquerra la stabilité, et les peuples de Russie gagneront une opportunité unique pour leur développement social.
Autonomies et mégalopoles
Les grandes villes sont les zones les plus problématiques pour l’application du principe d’autonomie. Les citadins sont les moins connectés à leurs traditions nationales et religieuses. Ils manquent aussi d’une connexion avec la terre. Ils sont les plus préoccupés par les processus d’occidentalisation et de globalisation. En outre, l’émergence de grandes villes, un phénomène ordinaire en Europe ou au Japon où la terre est peu disponible, semble très étrange en Russie, étant donné l’abondance de ses territoires non-cultivés. Tout cela suggère que les grandes villes devraient être graduellement dépeuplées. Les principales industries devraient être relocalisées en-dehors des villes. Concernant les zones résidentielles, un système de townships (cantons) devrait être instauré. Les townships sont des colonies écologiques séparées des villes par de jolies forêts, où des communautés devraient se former selon des principes ethniques, religieux, culturels, historiques, ou autres (il faut ici faire une mention spéciale de l’expérience des « communautés de compatriotes »). Ainsi, les organes de gestion, les institutions culturelles et le secteur des services doivent rester dans les limites actuelles de la ville. A Moscou quelques exemples de mise en œuvre du principe des townships (sloboda) sont déjà visibles. Les dirigeants de Moscou encouragent l’auto-gouvernance à l’intérieur d’un immeuble résidentiel ou d’un bloc d’immeubles. Cela permet la résolution efficace de nombreux problèmes, mais plus important, c’est la communautarisation d’une mégalopole qui a lieu : les gens apprennent à faire partie d’une communauté spécifique et à agir de concert. Dans le futur, la majorité des questions dans une « sloboda » sera décidée en interne.
Autonomies et « points chauds »
Si la transition de la souveraineté de ses sujets au principe d’autonomie pourrait être retardée dans la plus grande partie de la Russie, ou peut-être menée à un rythme lent (ce qui est néanmoins extrêmement dangereux), cette transition devrait être mise en œuvre immédiatement dans les « points chauds » de la Russie, et dans les points chauds de toute la CEI.
Une analyse des causes des sanglants conflits interethniques en Russie, comme en Tchétchénie, dans la région de Prigorodny de Vladikavkaz, et ainsi de suite, révèle clairement le rôle fatal joué par la terrible idée de la souveraineté locale.
Les régions des diverses populations ethniques sont interconnectées d’une manière tellement complexe que tracer des frontières correctes entre celles-ci est presque impossible. L’idée de souveraineté pousse les élites locales à l’acquisition de toujours plus d’attributs de la nationalité, incluant des frontières plus strictes. Tout cela mène à des situations qui sont lourdes de conflits et qui ne peuvent pas être résolues sous le vieux paradigme. Un concept nouveau est qualitativement différent est nécessaire. Le concept d’autonomie nie la souveraineté et tous ses attributs. Au lieu de cela, ce sont les gens, et non pas les territoires avec leurs frontières criblées de problèmes, qui jouent le rôle de sujet. L’autonomie présente ainsi une opportunité unique pour « sortir de l’impasse ».
La Russie est un univers multinational, multiconfessionnel et multiculturel unique avec d’immenses territoires inhabités, des paysages diversifiés, et une multitude de communautés avec leurs propres traditions historiques qui varient largement dans leur mentalité et leurs modes de vie. L’application de modèles développés dans un contexte historique très différent de cette réalité ne peut pas être douce et efficace. La mise en œuvre du modèle fédéral classique en Russie est une bombe à retardement qui pourrait déchirer notre pays en morceaux sanglants. Il est nécessaire de trouver un modèle adaptable aux traits uniques de la Russie, un modèle qui garantirait un sain développement national et culturel un renouveau religieux, et la paix et la prospérité pour les peuples de Russie.
A notre avis, le remplacement du principe de souveraineté par celui d’autonomie est absolument urgent. Il ne peut y avoir d’alternative à l’autonomie.
Alexandre Douguine
(extrait de Eurasian Mission, Arktos 2014 ; publié en russe en 2005)
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lemondeabicyclette · 14 days
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Les Russes vendent et consomment effrontément des produits sanctionnés par les pays membres de l'OTAN (Canada+USA inclus).
Cet Amaricain s'est promené dans un supermarché en Russie et n'a pas eu assez de temps pour énumérer tous les produits dont les fabricants « ont quitté la Fédération de Russie depuis longtemps À CAUSE DES SANCTIONS imposées à cause de la guerre en YouCrane ». Sa chute en dit beaucoup : "au moins ils ne contiennent pas d'OGM comme dans mon plusse beau pays du monde".
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guyboulianne · 1 year
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Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a signalé 240 agents pathogènes trouvés dans les laboratoires biologiques de l’Ukraine. « Il s’agit d’un document important non seulement pour notre pays, mais pour l’ensemble de la communauté internationale. Le monde doit connaître la vérité » : https://bit.ly/3ofCZ0E
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jacqueschapman · 1 year
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Regardez "La Chine sélectionnera des astronautes étrangers pour des missions conjointes dans l'espace" sur YouTube
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l'Europe serait bien inspirée de considérer la Chine populaire comme un partenaire à part entière.
La Fédération de Russie et même la république indienne pourraient ne pas s'y tromper tout en favorisant la paix entres les nations...
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franceinfo: Guerre en Ukraine : Joe Biden a-t-il vraiment déclaré que les Etats-Unis "détruiraient" le gazoduc Nord Stream
franceinfo: Guerre en Ukraine : Joe Biden a-t-il vraiment déclaré que les Etats-Unis "détruiraient" le gazoduc Nord Stream.
Les États-Unis ont toujours été contre Nord Stream parce qu'il permettait à la jeune nation allemande de s'émanciper de la tutelle américaine.
Il ne faut pas se leurrer, à travers ces sabotages, c'est l'Allemagne qui est visée plus que la simple fédération de Russie et, à partir d'elle, toute l'Europe !
Qui a intérêt à commettre ces sabotages, qui a un mobile soutenable, sinon les États-Unis d'Amérique ?!...
Il est clair que si c'est le cas, cette démarche américaine est totalement stupide et puérile.
Cela donne une "bonne" image de l'administration bidon.
Cette affaire permet aussi de militariser la Baltique et à la faveur de "contacts" avec la marine russe, provoquer des incidents profitable à l'alliance offensive vers l'est qu'est devenue l'OTAN.
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ambipolis · 1 year
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Lundi 21 novembre 2022
Le Mage du Kremlin et Poutine 
Il y a dans Le Mage du Kremlin plusieurs passages mettant en scène Vladimir Poutine ; j’ai choisi des extraits.
« Gagner le prix Nobel de la paix ne m’intéresse pas. Ce qui m’intéresse, c’est de vaincre les séparatistes et la menace qu’ils représentent pour l’intégrité de la Fédération de Russie … Vous vous êtes laissé convaincre par les Occidentaux qu’une campagne électorale consiste en deux équipes d’économistes qui se disputent autour d’un dossier en Powerpoint. Ce n’est pas le cas : en Russie, le pouvoir, c’est autre chose. »
Face à Larry King qui lui demande : « C’est comment, de faire l’espion ? Pas très différent de faire le journaliste lui a répondu Poutine... Travailler dans le renseignement m’a permis d’élargir ma vision et de développer certaines qualités, dans le traitement des gens. J’ai appris à distinguer la priorité de ce qui est moins important et, sous cet angle, cela m’a été très utile. »
« Si les cannibales prenaient le pouvoir à Moscou, les États-Unis les reconnaîtraient immédiatement en tant que gouvernement légitime, à condition qu’ils ne touchent pas à leurs intérêts et continuent à les traiter en patrons. Le problème, c’est qu’ils croient avoir gagné la guerre froide, tu comprends ? Alors que l’Union soviétique ne l’a pas perdue. »
« Les marchands n’ont jamais dirigé la Russie. Et tu sais pourquoi ? Parce qu’ils ne sont pas capables d’assurer les deux choses que les Russes demandent à l’État : l’ordre à l’intérieur et la puissance à l’extérieur. Seulement deux fois, pour deux brèves périodes, les marchands ont gouverné notre pays : quelques mois après la révolution de 1917, avant l’avènement des bolcheviques, et quelques années après la chute du Mur, pendant la période d’Eltsine. Et quel a ét�� le résultat ? Le chaos. »
 
Jean-Loup ARNAUD
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alain-keler · 1 year
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Journal du mercredi 11 janvier 2023.
Vents d’Est : avril 1993-Avril 1999.
Les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe de l’est  après la chute de l’empire soviétique. Je vais dans ce journal vous présenter dans le désordre des photos de ce travail initié en 1993 et terminé en 1999,  prix Eugene Smith à New York en 1997.
Je suis en Crimée en 1998 pour travailler sur la minorité Tatar.
Peuple puni par Staline, accusé de collaboration avec l’armée allemande pendant la seconde guerre mondiale, les Tatars furent déportés massivement vers l’Oural, la Sibérie, le Kazakhstan et l’Oubekistan les 17 et 18 mai 1944.
Les tatars furent les derniers des « peuples punis » à être rentrés d’exil, à partir de 1989.
Retours isolés d’abord, le retour collectif a commencé avec la dislocation de l’Union Soviétique à partir de 1989.
Mal accueillis par les russes majoritaires dans la péninsule, les tatars furent vite soupçonnés de séparatisme. Ils s’installèrent souvent dans des petits villages sans eau ni électricité.
Depuis 1991, la défense des intérêts des Tatars est prise en charge par une organisation, le Mejlis (assemblée) des Tatars de Crimée qui, le 30 juin de cette même année, déclara la souveraineté des Tatars de Crimée et adopta un hymne national, ainsi qu'un drapeau, le Qırımtatar bayrağı ou Kök bayraq. Depuis 1998, l'organisation envoie 14 députés au parlement ukrainien (Rada), dont son leader, Mustafa Abdülcemil Qırımoğlu. Elle est soutenue financièrement par la Turquie.
La Crimée fut annexée illégalement par la Russie en février  2014 et son rattachement à la Fédération de Russie le 18 mars.
Le 17 avril 2014, l'une des figures politiques des Tatars, Moustafa Djemilev, se voit interdire par Vladimir Poutined'entrer sur le territoire de la Crimée. En 2015, la chaine de télévision ATR des Tatars de Crimée est fermée par le régulateur des médias russe.
En 2016, l'Assemblée générale des Nations unies condamne les mesures et pratiques de discriminations à l'encontre des Tatars de Crimée ainsi que d'autres groupes ethniques et religieux par la Russie. Elle réclame également que la Russie révoque la décision de considérer le Mejlis comme une organisation extrémiste.
De nombreux Tatars, traditionnellement hostiles à Moscou se sont réfugiés en Turquie, mais ils représentent encore 13% de la population en Crimée. Depuis la mobilisation forcée avec la guerre, les jeunes Tatars se retrouvent massivement convoqués pour aller combattre en Ukraine au point  même d’accuser le Kremlin de vouloir les éliminer. Dans certains villages, il ne reste que des personnes âgées. (Journal de 13 heures de  France Culture, lundi 9 janvier 2023). « C’est un moyen de se débarrasser des Tatares de Crimée. En les mobilisant de force, on les envoie se faire massacrer en Ukraine »déclare un tatar exilé en Turquie.
Photo du journal d’aujourd’hui : Peuplement tatar de Ajigol. Il y a beaucoup de pauvreté parmi les nouveaux arrivés. Environ 70 familles vivent dans ce peuplement. Les hommes vont travailler en Russie, laissant seuls et avec très peu de ressources femmes et enfants.
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jloisse · 1 year
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Poutine détrône le dollar et déclare le yuan nouvelle monnaie de réserve mondiale
«Nous sommes pour l'utilisation du yuan chinois dans les règlements entre la Fédération de Russie et les pays d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine», a déclaré Poutine, lors de pourparlers à un format élargi où les caméras étaient invitées.
En reconnaissant le yuan, monnaie tierce, pour ses échanges avec d'autres pays, Poutine vient, par une simple déclaration, de consacrer le leadership économique et financier de la Chine.
• Poutine a également salué le chiffre record du commerce entre la Chine et la Russie. «185 milliards de dollars en 2022, malgré la pandémie de Covid et les sanctions occidentales, il dépassera les 200 milliards en 2023.
• La coopération énergétique entre la Fédération de Russie et la Chine se développe, tous les détails du gazoduc Force de Sibérie 2, qui doit alimenter la Chine et son industrie, ont été fixés.
• Moscou est prêt à aider les entreprises chinoises à remplacer les entreprises occidentales qui ont quitté la Russie.
Le Léviathan militaro-économique tant redouté par Washington se lève.
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defenderoftheearth · 2 years
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Regards sur ...un miraculé de la guerre
Regards sur …un miraculé de la guerre
Vous avez surement tous entendu parler de ces  miraculés de l’Holocauste qui sortent d’une impossible survie …et mutisme,pour nous raconter  le miracle de leur Survivance parmi nous! En voici une nouvelle  venant du biographe officiel de Vladimir Poutine…ou comment on bâtit un mythe par la propagande: Vladimir Poutine jeune Pendant la Seconde Guerre mondiale, un soldat a reçu la permission de…
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karukeranews · 12 hours
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Le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré ce 13 mai au Conseil de la Fédération que Moscou ne reculera pas si l’Occident « veut se battre su...
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aurevoirmonty · 2 months
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« Il s’est chié dessus » : Medvedev s’amuse de la nouvelle annulation du voyage de Macron à Kiev.
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Ce tweet est ÉPIQUE.
Et dire que pour traîner Macron dans la merde à ce niveau, il nous faudrait être :
ex-président de la Fédération de Russie
chef de l’effort de guerre russe
Ce ne sera pas pour cette vie, je le crains.
Sacré Dmitry, merci d’avoir pitié de nous qui devons subir cette énorme fiotte de Macron.
Donc, en fait, Macron comptait aller voir le terroriste juif de Kiev, mais il a annulé sa visite au dernier moment. C’est la seconde fois.
Le président français Emmanuel Macron se rendra en Ukraine « dans les prochaines semaines », a déclaré la présidence, dans un nouveau report apparent d’une visite qui aurait déjà dû avoir lieu.
French President Emmanuel Macron is to travel to Ukraine « in the coming weeks » the presidency said, in an apparent new postponement of a visit that was supposed to have already taken place.https://t.co/tzP1bFbqE7 — AFP News Agency (@AFP) March 11, 2024
D’après Medvedev, Macron allait être reçu par une bordée de missiles russes sur la capitale ukrainienne. Je crois les Russes capables de cibler au moins l’immeuble voisin de celui où il se trouverait.
C’est normal, du reste. Macron veut faire tuer des tas de gens pour les besoins de sa campagne électorale, il est logique qu’il soit exposé.
Vivement la suite.
Démocratie Participative
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lemondeabicyclette · 4 months
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Il est important que la Russie puisse diriger la résistance à l'Antéchrist, a déclaré le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie, s'exprimant lors des réunions parlementaires de Noël au Conseil de la Fédération. "La guerre n'est pas encore perdue. Et il est très important que notre pays soit capable de diriger la résistance - je m'apprête à dire un mot incroyable - à l'Antéchrist. Résistance à l'arrivée du mal mondial dans le monde", a déclaré le dirigeant de la République de Chine.
Le Patriarche a expliqué : l'Antéchrist arrivera lorsque "les gens ne seront plus capables de distinguer le bien du mal".
Il a noté que l’Occident s’est déjà réorienté vers des valeurs hostiles au christianisme. Même en parlant de la fête de Noël, les croyants anglophones évitent de mentionner le nom du Christ.
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