Tumgik
#Finy Petra
mutherless · 3 months
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adieu (forever goodbye) by lucy liu / i did this all for you by xana / princess mononoke dir miyazaki / contractual by chase petra / jennifer's body dir kusama / labrador by waax / armoire anthropomorphe by leonor fini
web weaving for sadashi and isamu.
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marino222 · 5 months
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(Auto)biografia Si è soliti iniziare un percorso di psicosintesi, specialmente se terapeutico, chiedendo alla persona di scrivere la sua autobiografia. Assagioli considera la scrittura un processo dalle innumerevoli potenzialità, vario e complesso e, per una molteplicità di motivi, radicalmente diverso dal racconto orale solitamente privilegiato in terapia. Il momento dedicato alla stesura della propria autobiografia ha un ruolo fondamentale nel processo di 'conoscenza di sé'. Scrivere di se stessi permette di obiettivare la propria storia di vita, innescando processi cognitivi reputati di primaria importanza in questa fase iniziale: - favorisce lo sviluppo e il consolidamento della capacità di osservare sé stessi; - orienta il soggetto verso l'introspezione e la retrospezione; - promuove la riflessione e l'individuazione di nessi causali che hanno operato in passato e che potrebbero essere ancora operanti nel presente; - rafforza e incentiva la naturale tendenza della psiche alla sintesi, che è anche ricerca di coerenze e significati profondi. In altre parole, la scrittura autobiografica guida ad una maggiore 'comprensione di sé stessi', favorendo nuovi apprendimenti senza i quali sarebbe impossibile pensare a una reale trasformazione della personalità. Ma scrivere la propria autobiografia non comporta solamente una più approfondita comprensione di sé. Scrivere promuove anche l'acquisizione di una certa 'padronanza' di ciò che si è conosciuto. Favorendo un processo di disidentificazione (o distanziamento cognitivo), crea uno spazio psichico nel quale può avvenire l'elaborazione di ciò che si è appreso. La scrittura è considerata un mezzo per favorire lo sviluppo dell'attenzione, della capacità di concentrarsi, della disciplina e un esercizio ideale per l'allenamento della volontà: tutte qualità indispensabili alla gestione della vita interiore ed esterna. Infine, scrivere di sé può innescare e favorire i 'processi trasformativi'. Spiega il nostro autore che "quando si scrive, divengono operanti sia i fattori consci che quelli inconsci; perciò spesso accade che mentre il soggetto comincia a scrivere quello di cui è cosciente, affiorano mano a mano cose a cui non aveva pensato e che spesso, lo sorprendono". L'emergere di contenuti non previsti introduce a una dimensione considerata fondamentale ai fini della terapia, dell'educazione o della formazione: la meraviglia, lo 'stupor'. Molte volte accade che si comincia a scrivere qualcosa che si era già pensato, ma poi via via vengono nuove idee; il filo, la corrente del pensiero prende direzioni inattese, e vien fuori qualcosa che sorprende lo scrivente stesso. Petra Guggisberg Nocelli dal suo libro: "Conosci, Possiedi, Trasforma te stesso"
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Le dernier vol de Julie Clark
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Citation : « — Les gens ne verront jamais ce que moi, je vois, ai-je fini par lâcher.— Tu le crois vraiment ?— À ton avis, si Carolyn Bessette avait accusé John Kennedy Jr de l’avoir frappée, est-ce que le pays se serait mobilisé pour elle ?— Tu plaisantes ? On vit dans l’ère #MeToo ! s’est exclamée Petra en écarquillant les yeux. À mon avis, les gens se battraient pour être les premiers à la soutenir, et CNN et la Fox enchaîneraient les éditions spéciales.J’ai ri avec amertume. — Dans un monde parfait, je ne laisserais pas Rory s’en tirer à si bon compte, seulement je n’ai pas la force de me lancer dans un tel combat, qui durerait des années. On fouillerait dans les moindres recoins de ma vie, et tout ce qui pourrait m’arriver de positif par la suite serait terni. Tout ce que je veux, c’est être libérée de cette situation. De lui. » Mon avis : Le speech sur la couverture m’avait fait penser à une narration à deux voix. Un chapitre avec le point de vue de Claire, et un chapitre avec celui d’Eva, mais pas du tout ! Le roman est clairement centré sur Claire Cook avec son point de vue. Eva prend la parole, mais plus rarement, car elle est l’ingrédient mystère. La vie qu’elle mène est le mystère à élucider. Claire Cook est une femme à fleur de peau. Elle fait attention à chacun de ses gestes. Elle se sent surveillée. Le moindre retard est reporté à son mari par son assistante. Le moindre mot de travers peut déclencher la fureur de son mari Rory Cook. Les colères de son mari sont une hantise. Elle a peur. Elle essuie les coups. Elle les cache sous des pulls cols roulés à manche longue. Personne ne se doute. Elle n’a plus d’amis, Rory s’est arrangé pour les faire fuir ou elle s’est éloignée. Le personnel de Rory ferme les yeux. C’est tellement plus simple. Rory en homme influent prépare sa candidature au sénat. L’opinion publique est favorable à sa candidature. Elle le soutient. Il est beau, charismatique, il s’occupe lui-même de donner de l’argent aux associations pour enfant malade. Qui pourrait croire à l’enfer domestique que vit Claire ? Cette vie publique est un autre démon, une cage qui se referme sur elle.  Claire prépare sa fuite. Tout est chronométré. Elle a mis de l’argent de côté, elle s’est fait fabriquer des faux papiers. Tout doit lui être envoyé à San Diego où se tiendra le meeting pour la fondation Cook. Bref, elle est prête. Seulement son mari bouscule ses plans. Il part à San Diego à sa place. Sa lettre de rupture est déjà partie par la poste avec les papiers d’identité l’attende à San Diego dans sa chambre d’hôtel. Que faire ? S’échapper sans papier ni argent, est-ce seulement possible ? Elle est au beau milieu de tout ça, quand elle fait la connaissance d’Eva. Que fuit cette mystérieuse inconnue ? Comment peut-on envisager d’échanger votre carte d’identité avec une inconnue ? Eva est-elle poursuivie ? Si oui, Claire sera-t-elle en sécurité ?  Je l’ai dévoré. Addictif et plein de suspense ! Ce chassé-croisé aura eu le mérite de me sortir de ma panne de lecture. La trame est efficace, le suspense quant à cette mystérieuse Eva et le dénouement se maintient bien sans excès de rebondissement. Le rythme instaure une tension et une attente. J’ai tourné les pages avec la crainte que Rory retrouve Claire et en même temps envie qu’elle puisse vivre au grand jour sans le craindre. Le doute plane. L’issue n’est pas évidente et surtout la surprise est de la partie.  En bref, un thriller haletant et alléchant qui nous entraîne dans une fuite en avant prenante et fort plaisante. Un livre à dévorer au coin du feu avec un bon thé et un plaid. ★★★★★★★★ D'autres avis : les voyages de Ly https://www.instagram.com/p/CnHGkvzjkD6/?hl=fr Read the full article
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CLASSROOM LEARNING TIME - Chap. 15 : Livaï – Cours obligatoires pour les cadets - Partie 1
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[ Texte en anglais : ici ( @tsuki-no-ura ) ]
[ La série Classroom learning time rassemble des histoires qui traitent de sujets de société à l’intérieur des murs (la criminalité, le sel, la corruption, ...). Les histoires ont été publiées sur l’appli Au Smartpass en 2015 et les personnages concernés sont : Armin, Sasha, Hansi, Eren, Marco, Jean, Nile, Mike, Reiner, Annie, Hannes, Dita Ness, Ymir, Connie, Livaï, Marlowe, Mikasa, Grisha, Historia, Dot Pixis, Bertolt, Rico, Moblit, Dimo Reeves et Erwin. Seule la deuxième partie de l’histoire d’Eren et la première partie de l’histoire de Livaï sont disponibles en ligne. Source : ici ]
L’approvisionnement en thé (produit de luxe)
« Eren, une minute et demie après avoir mis ces feuilles de thé dans l’eau chaude, transfère-les dans une tasse. Réchauffe la théière et la tasse à l’avance avec de l’eau.
- D’accord, Petra. »
Dans l’ancien siège du Bataillon d’exploration, Eren, en tant que nouvelle recrue placée sous la supervision du caporal Livaï, préparait le thé après le repas, en suivant les directives d’une camarade plus âgée que lui.
« Il faudra que tu redoubles d’attention quand tu utiliseras la passoire à thé : tu ne dois laisser aucune feuille à l’intérieur. Surtout parce que le caporal est très tatillon. Il faut que tu fasses attention à ça. »
En écoutant les directives données par la subordonnée de Livaï, qui affichait des connaissances pointues en matière de thé comme si c’était quelque chose de tout à fait banal, Eren pencha la tête sur le côté pour montrer sa perplexité.
« ... Au fait, quand j’étais cadet dans les Brigades d’entraînement, les rares fois où nous pouvions boire du thé étaient avant les examens…, dit-il.
- Ça ne m’étonne pas. Pendant leur formation, les cadets n’ont droit qu’à des rations composées de produits de mauvaise qualité, n’est-ce pas ? »
Eren répondit avec un hochement de tête :
« Oui. Depuis que je suis entré dans le Bataillon, je suis surpris de voir autant de variétés et de marques de thé…
- Ça, c’est parce que j’ai obtenu des prérogatives en matière d’approvisionnement. »
Livaï, qui était en retard, se laissa tomber sur sa chaise et poursuivit en prenant sa tasse :
« Les soldats du Bataillon d’exploration ne vivent pas que des impôts… Tu sais que nous recevons des aides financières de la part de riches marchands et de nobles, n’est-ce pas ?
- Oui… Ah, et parmi ces mécènes se trouvent des marchands de thé ? »
« Le Caporal a accompli un exploit là aussi... », chuchota Petra à l’oreille d’Eren. Livaï l’entendit.
« Peuh… Ils croient que les soldats du Bataillon sont incapables d’apprécier le thé, que nos cerveaux ne sont constitués que de muscles. Il m’a suffi d’une discussion avec un de ces marchands. »
Cette fois-ci, Livaï ne donna pas plus de détails sur ce qui s’était passé avec le marchand.
*
Plus tard, Eren eut l’occasion d’apprendre de la bouche des subordonnés de Livaï comment le soldat le plus fort de l’humanité avait obtenu, au bénéfice du Bataillon d’exploration, le soutien financier d’un marchand fournisseur de thé.
« Le thé provient d’une plante que l’on fait pousser essentiellement dans le sud. Ainsi, peu de temps après la chute du mur Maria, les prix ont fortement augmenté. Tu le sais déjà, non ? A cette époque, les marchands qui se sont accaparés toutes les feuilles de thé en conservent aujourd’hui encore le monopole, et les profits qu’ils en tirent sont toujours élevés. On garde un œil là-dessus, mais c’est une situation assez délicate. »
Même si Erwin et Hansi faisaient des offres alléchantes à ces marchands dans l’espoir d’obtenir leur soutien, ces derniers ne se montraient pas intéressés. Livaï n’avait pas l’habitude d’accompagner Erwin et Hansi, mais cette fois-là, il était arrivé sur le lieu de la négociation, et s’était exclamé :
« Hé… Attendez une minute… Dans cette boutique, vous proposez à vos clients des feuilles de thé qui ont plus de deux ans, et qui de surcroît tombent déjà en poussière ?! »
« A la suite à cette remarque, les yeux du marchand ont changé de couleur, à ce qu’on raconte. »
Le marchand, qui avait fini par accepter de soutenir financièrement le Bataillon d’exploration, était lui aussi un amateur de thé. Au moment où il s’était rendu compte qu’il était face à un connaisseur qui savait apprécier le bon thé, son attitude changea et, en un clin d’œil, le thé tout frais de cette année et, par ailleurs, le meilleur thé qu’il possédait, issu des meilleures pousses, fut présenté aux soldats.
« Tandis que le Caporal et le marchand étaient en pleine conversation sur de sujets comme le rendement du thé de l’année, leur échange prit une tournure de plus en plus amicale. A cela, il faut ajouter l’intervention du Major, qui trouve toujours les mots justes : Si nous récupérons des terres, vous pourrez devenir propriétaire de vastes plantations de thé. Cette promesse eut raison du marchand ; il devint ainsi notre mécène.
- Hé hé… Il n’est pas seulement fort, mais aussi très cultivé. »
*
Après l’anecdote, on arriva à la fin du repas et ce fut de nouveau le moment de préparer le thé.
« Hé… Eren !
- Oui ?!
- Ces feuilles de thé doivent infuser dans l’eau à 90°C pendant deux minutes, je t'ai dit. Refais tout depuis le début. »
Eren avait eu un moment de distraction et avait visiblement laissé infuser les feuilles un peu trop longtemps.
Il dut retourner en cuisine, l’air abattu en voyant que Petra l’accompagnait pour l’aider. Il dit :
« Hem, je me demande si je pourrais devenir plus fort en étant plus attentif aux détails, comme lui…
- Il n’y a pas vraiment de lien entre les deux, si ? Tu dois faire ce pourquoi tu es fait. »
En dépit du sourire de Petra, et tandis qu’il jetait les feuilles de thé gâchées, Eren ressentit comme un vertige en pensant au vaste travail qu’accomplissaient les officiers du Bataillon d’exploration et à tout le chemin qui lui restait à parcourir.
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Az akaratot akarom hallani, és a hitet, tudni akarom, miként születik meg a dac a lélekben, hogy kirángassa az embert a legreménytelenebb helyzetből. Azt szeretném tudni, milyen az, amikor aranyat fújt Isten a szívemre.
Finy Petra
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sciatu · 4 years
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LA NONNA E LA RICOTTA PER MASSIMO
N - Prountu oh prontu… Rosaria - Maaa, jo sugnu, Rosaria, comu si N - Oh cori mei, vadda sugnu viva pi miraculu Rosaria - Oh matriita bedda, maaa non mi fari scantari (spaventare)! Chi ti succidiu…? N - Nenti u sai che deve venire tuo nipote Massimo da Bergamo. Gli ho chiesto cosa voleva che gli preparassi e lui mi ha chiesto di fargli le fraviole, quelle con dentro la ricotta fresca e i pezzettini di cioccolato. Rosaria - Si, me frati mi ha detto che viene Massimo, che non fa più il volontario sulle autoambulanze e che si è preso un po’ di ferie. N - Io sono andata al mercato ma non ho trovato la ricotta perché mi hanno detto che fa troppo caldo e inacidisce subito. All’uscita dal mercato ho trovato ad Angelina con quel campione di suo marito Procopiu. Le ho detto della ricotta e subito quello stottu (storto=stupido) mi fa “Ma la ricotta migliore è quella del paese mio. Deve prenderla la!” ed io gli ho risposto “Ma come faccio se per andare e tornare dal paese vostro con il pulmanne ci vuole una giornata: la ricotta parte fresca e arriva acida”. E lui, che vuole avere sempre ragione, “la porto io con la macchina così saluto i compari miei” Rosaria - Con la macchina di Procopio? ma mamma non sarai andata con quella? l’altro giorno i vigili se la stavano portando via pensandola una macchina abbandonata per strada. N - Ma jo non ci volevo andare, ed anche Anciulina gli ha detto che era tanto vecchia che quando l’aveva comprata c’era ancora la Democrazia Cristiana. Ma che vuoi, Massimo ha rischiato la vita sulle ambulanze a Bergamo, era giusto che anch’io rischiassi per fare contento u niputinu me, così abbiamo organizzato per questa mattina. Rosaria - Mamma: non ti sarai arrischiata a salire su quella macchina!!!! N – Eh nenti,  al mattino siamo partiti dopo che per un ora Procopio ha cercato di aprirla con il telecomando che non funzionava. Rosaria - Figurati…. N - Poi quando siamo partiti e non ti dico che strada abbiamo fatto, tutta curve e timpuni (dirupi) che neanche si vedeva in fondo la fiumara. Quando siamo arrivati da suo compare, Angelina si sentiva già male di tutte le curve che avevamo fatto su quella macchina che non aveva più neanche i motizzaturi (ammortizzatori) e sembrava di essere sulle montagne russe. Allora l’abbiamo lasciata in macchina e Procopiu gli ha lasciato le chiavi perché si chiudesse dentro che non si sa mai. Noi andiamo da questo cumpari di Procopiu chi nun tidicu com’era… Rosaria - Chi era bruttu ? N - Bruttu e malu cavatu!! e facia nu fedu di pecura chi si avia i conna era uguali uguali a nu capruni. Era pirò gentilissimo, ci ha fatto vedere come faceva la ricotta e me l’ha data di quella appena fatta. Eh nenti, siamo stati quasi un ora e fuori, da che era tutto nuvoloso, era venuto fuori un sole che non ti dico e un caldo che in quella latteria, con il calderone del latte bollente che faceva venire ancora più caldo. Perciò usciamo di corsa dalla latteria e andiamo da Angelina. Quando arriviamo non ti dico come la troviamo Rosaria - Non mi dire… N -  Anciulina era chiusa nella macchina, tutta sudata con il telecomando in mano che cercava di aprire la macchina per uscire: le stava venendo un collasso chiusa li dentro con il caldo che faceva. Rosaria - Oh matritta mei. N - Noi a gridari “Anciulina apri, apri…” e lei  a mostrarci il telecomando che le batterie non funzionavano più . Rosaria - Ma non poteva abbassare i finestrini? N - No perché si era rotto il filo di ferro che li faceva salire su e giù e du cugghiuni vacanti di Procopiu li aveva sigillati tutti con il silicone Rosaria - Oh santi libiranti, ma allurra Anciulina…. N - Stava murennu! u suduri ci calava i tutti i menzi, i capiddi l’avia come lavati con l’olio e stava boccheggiando come un pesce appena pescato e buttato a riva. Rosaria - O gesù mio… Ma che avete fatto. N - Jo ci dicia a Procopiu “Scassassi sa cavulu i potta chi da povirazza sta murennu” iddu “Ma chi jè paccia no sapi chi poi non si chiudi chiù” Insomma ni mittemmu a fari buci e a genti affacciava dalla finestra chiedendo “Chi succidiu” “Chi jè”. Allura jo gridannu ci dissi di nuovo a Procopiu mi facia cocca cosa chi Anciulina muria! Iddu m’arrispunniu “ E’ idda chi nun è capaci i nenti – e girannusi verso Anciulina ci gridoi – apri strunza chi mi fai fari sempri malafiguri: Buttana” Rosaria - Ma era già pazzu e ora u divintoi in tuttu!!!! N - Vadda, nun ci visti chiù pigghiai na petra da nterra e cu tutta a fozza cia nghiavati (tirai) nta testa mu mazzu. Rosaria - O Madonna mia: Mamma non è che l’hai mazzatu? N - Ma chi, a mala ebba non mori mai: si era girato per dirmi qualcosa, ha visto la pietra e si è spostato ed io ho preso il vetro rompendolo in mille pezzi. Non ti dico, appena l’ho rotto è uscito una vampata di aria calda come quando si apre il forno e quella poveraccia di Anciulina ha incominciato a respirare. Non ti dicu i buci che abbiamo fatto io Anciulina e Procopiu! Abbiamo ribellato tutto il quartiere e sono dovuti venire a dividerci. Allora ci siamo messi in macchina e siamo tornati. Rosaria - Meno male che l’avventura è finita N - Ma quali… arrivati alla fine del paese Procopiu si ferma alla fine del paese dove lungo la discesa c’è una fontana perché voleva riempire u bummulu  di acqua. Anciulina è scesa per liberarsi di tutto il vetro che le era finito addosso ed io volevo bere un po’ d’acqua ed aiutare Anciulina che povirazza era chiù motta chi viva. Eravamu dà chi stavamu o solitu pararannu e mannannu a fanculu Procopiu dicennuci che doveva cambiare la macchina, e lui a risponderci che andava ancora benissimo. Ha preso u bumbulu e lo ha messo nel bagagliaio dandogli un colpo fotti per farlo chiudiri chi avi  a fimmatura scassata. Appena desi du coppu, a macchina pattiu Rosaria - Come se ne è partita? mamma… N - È partita lungo la discesa prima piano piano poi sempre chiù fotti Rosaria - Oh santu cielu, ma non aveva messo il freno a manu ? N - Si l’aveva tirato ma non funzionava chi da i cosii ganasci eranu tutti ruggiati (arrugginite) e si erano bloccati e non si chiudianu Rosaria - Oh matritta bedda e unni finiu? N - Nun ti dicu, Procopiu ci curria d’arreti gridannu “femmati femmati” e jo e Anciulina arreti d’iddu a mannacci malanova a iddu e a Machina. A fini chista si scatafascioi contru u gaddaraill a prima cuvva e si fimmoi. Rosaria - Oh matritta mei, insomma, i comichi. N - Otru chi comichi!! Picchi d’anticchia i freni c’avia, si scassaru in tuttu e non frinava chiù picciò appamu annari a deci all’ura: puru i viddani a cavaddu di scecchi ni superavanu e ni vaddavunu tutti meravigghiati da machina da ittaricu Anciulina chi paria na pazza appena risuscitata e jo chi ci ni dicia tanti a Procopiu chi puru i Santi nto paradisu mi sintianu Rosaria - Sperò pirò che ora la butti quella macchina N - Ma chi ! quannu unu è critinu nun è chi po fari cosi ntelligenti: annoi unni su cumpari meccanicu e ci spioi sa putia giustare pi falla megghiu i com’era. E iddu dci rispunniu chi sulu si ci ittava a focu a putia fari megghiu.
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csunderlik · 5 years
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"A szerzőpáros, akik méltán népszerűbbek, mint a Beatles, és a könyvesboltban csakis az ő közös listájukra érdemes szavazni, ismét fergeteges és éles humorú könyvet alkotott. Féktelenül vicces, gátlástalanul ismeretterjesztő: talán így lehetne összefoglalni a lényegét ennek a történelmi és közéleti eseményeket feldolgozó kötetnek, mely akkor is szórakoztató, ha komoly témákat taglal." Krasznahorkai László, Nádasdy Ádám és Térey János könyvei mellett az "Újabb TOP 10-es történelmi slágerlisták"-at is előkelő helyen ajánlják.
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esyyter · 5 years
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csontjaimból madarat hajtogatok, mert tudom, hogy kék az ég, kiszárítom a felhőket, hogy ne mossa el kezemet az eső, szeretném azt mondani a fáknak, hogy apám, de félek, mert nincsenek gyökereim, meg kellene pofozni a Napot, hogy tanítson meg végre fázni is, hogyan kell hóviharban táncolni, sajnos azt nem tudom, felírtam a nevemet egy könyvbe, hogy eszembe jusson, mikor nevetek, van egy létrám, azzal szoktam csillagokat lopni, (...) kérlek, adj pár üveggolyót, éppen annyit, hogy az ölemben elférjen, egyszer majd komoly leszek, és elhívlak teázni, addig is forraljuk fel a tengert, hadd mondjam el neked a feketét, már nagyon nyomja a vállamat, azóta nem tudok repülni, mióta először sírtam, de erős leszek, még akkor is, amikor eleresztem az összes pillangót
Finy Petra: az apróbetűs élet
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catleen9 · 6 years
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Finy Petra: Madárasszony
“A természet mindig emberséges, nem úgy, mint az emberek.”
Lassan két éve szemeztem a Madárasszonnyal, és nagyon szerettem volna szeretni, de sajnos nem váltotta be a hozzá fűzött reményeimet.
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watchaholics · 6 years
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Finy Petra: Madárasszony
“A természet mindig emberséges, nem úgy, mint az emberek.”
Lassan két éve szemeztem a Madárasszonnyal, és nagyon szerettem volna szeretni, de sajnos nem váltotta be a hozzá fűzött reményeimet.
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Le dernier vol de Julie Clark
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Citation : « — Les gens ne verront jamais ce que moi, je vois, ai-je fini par lâcher.— Tu le crois vraiment ?— À ton avis, si Carolyn Bessette avait accusé John Kennedy Jr de l’avoir frappée, est-ce que le pays se serait mobilisé pour elle ?— Tu plaisantes ? On vit dans l’ère #MeToo ! s’est exclamée Petra en écarquillant les yeux. À mon avis, les gens se battraient pour être les premiers à la soutenir, et CNN et la Fox enchaîneraient les éditions spéciales.J’ai ri avec amertume. — Dans un monde parfait, je ne laisserais pas Rory s’en tirer à si bon compte, seulement je n’ai pas la force de me lancer dans un tel combat, qui durerait des années. On fouillerait dans les moindres recoins de ma vie, et tout ce qui pourrait m’arriver de positif par la suite serait terni. Tout ce que je veux, c’est être libérée de cette situation. De lui. » Mon avis : Le speech sur la couverture m’avait fait penser à une narration à deux voix. Un chapitre avec le point de vue de Claire, et un chapitre avec celui d’Eva, mais pas du tout ! Le roman est clairement centré sur Claire Cook avec son point de vue. Eva prend la parole, mais plus rarement, car elle est l’ingrédient mystère. La vie qu’elle mène est le mystère à élucider. Claire Cook est une femme à fleur de peau. Elle fait attention à chacun de ses gestes. Elle se sent surveillée. Le moindre retard est reporté à son mari par son assistante. Le moindre mot de travers peut déclencher la fureur de son mari Rory Cook. Les colères de son mari sont une hantise. Elle a peur. Elle essuie les coups. Elle les cache sous des pulls cols roulés à manche longue. Personne ne se doute. Elle n’a plus d’amis, Rory s’est arrangé pour les faire fuir ou elle s’est éloignée. Le personnel de Rory ferme les yeux. C’est tellement plus simple. Rory en homme influent prépare sa candidature au sénat. L’opinion publique est favorable à sa candidature. Elle le soutient. Il est beau, charismatique, il s’occupe lui-même de donner de l’argent aux associations pour enfant malade. Qui pourrait croire à l’enfer domestique que vit Claire ? Cette vie publique est un autre démon, une cage qui se referme sur elle.  Claire prépare sa fuite. Tout est chronométré. Elle a mis de l’argent de côté, elle s’est fait fabriquer des faux papiers. Tout doit lui être envoyé à San Diego où se tiendra le meeting pour la fondation Cook. Bref, elle est prête. Seulement son mari bouscule ses plans. Il part à San Diego à sa place. Sa lettre de rupture est déjà partie par la poste avec les papiers d’identité l’attende à San Diego dans sa chambre d’hôtel. Que faire ? S’échapper sans papier ni argent, est-ce seulement possible ? Elle est au beau milieu de tout ça, quand elle fait la connaissance d’Eva. Que fuit cette mystérieuse inconnue ? Comment peut-on envisager d’échanger votre carte d’identité avec une inconnue ? Eva est-elle poursuivie ? Si oui, Claire sera-t-elle en sécurité ?  Je l’ai dévoré. Addictif et plein de suspense ! Ce chassé-croisé aura eu le mérite de me sortir de ma panne de lecture. La trame est efficace, le suspense quant à cette mystérieuse Eva et le dénouement se maintient bien sans excès de rebondissement. Le rythme instaure une tension et une attente. J’ai tourné les pages avec la crainte que Rory retrouve Claire et en même temps envie qu’elle puisse vivre au grand jour sans le craindre. Le doute plane. L’issue n’est pas évidente et surtout la surprise est de la partie.  En bref, un thriller haletant et alléchant qui nous entraîne dans une fuite en avant prenante et fort plaisante. Un livre à dévorer au coin du feu avec un bon thé et un plaid. ★★★★★★★★ D'autres avis : les voyages de Ly Read the full article
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harasztigyula · 2 years
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XV. KAVF - döntő - Németh Eszter
XV. KAVF – döntő – Németh Eszter
Németh Eszter Az I. Kategória – B csoportjából továbbjutó Németh Eszter Finy Petra: Eszterlánc című versét mondta a döntőben. A Szlovákiai Magyar Pedagógusok Szövetsége június 11-én rendezte meg a XV. Kaszás Attila Versmondó Fesztivált. A döntőbe jutott 32 versmondókról készült felvételeket mutatjuk be ebben a sorozatban.     XV. Kaszás Attila Versmondó Fesztivál Komárom, 2022. június…
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corse22 · 2 years
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Jour 3 - 15 juin
Nous filons ensuite a l'île Rousse par l'itinéraire le plus long de Waze afin de faire un détour par d'autres villages.
A notre arrivé nous trouvons un endroit pour nous installer afin de déjeuner. Au menu du jour un sandwich concocté par le maître restaurateur Simon. Vous êtes pas prêts mais voici la recette :
- Baguette du jour du Camping
- Jambon blanc
- Saint Moret 
- Salade / tomates / sans oignons
- Tartinade a la tomates.
Plus aucun mot, la recette sera inscrite au Michelin 2023.
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Suite à cette petite pause face à LA MER ! (J'aurai du grandir. face contre terre…) et afin de motiver les troupes je propose une glace. Mais avant, nous décidons d'aller marcher un peu sur la côte. Finalement, nous allons jusqu'à La Fanale Di Petra où nous y découvrons un phare. Un peu abandonné… mais qui va être restauré. Ainsi que la vue du panorama que nous offre la pointe. 
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Retour vers la ville sous un soleil de plomb  en revisitant la chanson de Yanns - Clic clic Pan Pan que  nous revisitons en Clic Clic Plouf Plouf en pensant à vous et à la plage qui nous attend.
Nous arrivons en ville puis dans une rue commerçante où nous nous dirigeons vers le bar/glacier repéré par Marion en arrivant. Nous nous commandons deux "minis" glaces… Un "petit" café liégeois et "petit" cône trois boules (framboise/passion/pêche). Le réconfort est énorme et cette petite pause nous fait le plus grand bien.
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Benvinuti sur la plage Chucapabra ! 🔥euh non, de Ghjunchitu ! Un petit conseil, ne suivez pas les conseils de Waze mais suivez les panneaux. Belle plage de sable blanc. Nous filons rapidement dans l'eau et j'enchaîne sur mon long tour de 
snorkeling (toujours sponsorisé par Decathlon) et une bonne sieste pour Marion.
" Et ça fait clic ! Clic Clic Plouf Plouf Plouf !"
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Après cette pause plage, nous rentrons fièrement vers notre location afin de retrouver notre combo des vacances Gin Tonic / saucisson / tartine et chips.
Nous avons géré nos réservations de restaurants pour notre étape suivante. Porto ! 
Au moment où je finis ces quelques lignes, Marion se refait la manucure. 1 semaine sans se ronger les ongles ! 💪🏽
Bonne soirée ! 
PS : aujourd'hui petite journée, 16000 pas
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2eme PS : un son bizarre arrive à nos oreilles :
Marion " c'est un chat !"
Simon "non c'est un p'tit Allemand qui pleure"
X " mama !!! Mama !! Houiiin 😭"
Marion " ah ouai, ok! Hic ! "
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vincentdelaplage · 3 years
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LE PRIX DE LA PAIX (visible du ARTE) SYNOPSIS 1945. La guerre est finie. La Suisse, petit pays neutre au cœur de l’Europe, a été épargnée : Klara, son fiancé Johann et son frère Egon sont tournés vers l’avenir. Tandis que Klara tente de réparer les blessures des survivants de l’Holocauste, Johann, qui travaille pour son père industriel, espère sauver et moderniser l’entreprise textile bien établie et pourtant en difficulté de son beau-père. De retour à la maison, Egon fait ses premiers pas dans le bureau du procureur général. Sa mission : pourchasser les nazis évadés. Tous trois se rendent vite compte que cette façade de paix se construit avec le sang des victimes de la guerre... https://www.rts.ch/play/tv/forum-video/video/le-prix-de-la-paix-une-serie-suisse-a-decouvrir-sur-les-canaux-de-la-rts?urn=urn:rts:video:11743136 DÉTAILS 2020 / 50min / Drame, Historique Titre original : Frieden De Petra Biondina Volpe Avec Annina Walt, Max Hubacher, Dimitri Stapfer Nationalité Suisse #cineseriedunbonheurcontagieux https://www.instagram.com/p/CN-wJbCn-PA/?igshid=10cs9q0e45euc
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SHORT STORIES 2 - Histoires au cœur de la nuit (aux environs de minuit) - Chap. 16 : Eren Jäger
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Une histoire tournée vers le passé
Minuit approchait dans l’ancien siège du Bataillon d’exploration. Les membres de l’escouade tactique du Bataillon, plus connue sous le nom d’escouade Livaï, s’étaient équipés et rassemblés dans une salle où ils se préparaient pour être en mesure de tester les pouvoirs d’Eren, leur sujet d’étude.
« Hansi et le Caporal sont en retard, murmura nerveusement Eren.
- Ils sont sans doute occupés à donner des détails aux gradés. Après tout, mener des expériences de nuit est dangereux, précisa Petra pour tenter de le rassurer.
- C’est vrai, Eren. Nous ne te connaissons qu’à travers la lecture de rapports. On ne sait pas vraiment qui tu es. D’ailleurs, pourquoi ne pas nous en dire plus sur toi pendant que nous attendons ? » proposa Erd, leur chef.
Tout le monde se tourna vers Eren.
« Quoi ? Mais je ne sais pas quoi dire…
- Tu peux raconter n’importe quoi, même des choses anodines. Par exemple, une anecdote du temps où tu étais dans les Brigades d’entraînement. » proposa Gunther d’un ton décontracté pour l’encourager à parler.
Les pouvoirs exceptionnels d’Eren ne lui donnaient pas le droit de désobéir à ses aînés.
« … Bon, très bien.
- Tu as intérêt à nous amuser, le bleu !
- Arrête de te montrer aussi odieux, Auruo. Tais-toi et écoute ce qu’il a à dire ! »
Eren but une gorgée de thé avant de commencer…
*
« Mon père était médecin… et je considère que je suis né dans une famille plutôt privilégiée. Le fait d’accueillir Mikasa après la mort de ses parents n’a pas vraiment changé notre train de vie. »
Eren commença à se remémorer l’ensemble de sa vie, courte mais mouvementée.
« Ah, tu veux parler de la recrue qui fusillait du regard le Caporal quand il te donnait des coups de pied ?
- Oui, elle fait partie de ma famille… Et elle, elle a perdu sa famille à deux reprises. »
Les soldats qui l’écoutaient comprenaient mieux à présent : la réaction effrontée de la jeune fille durant le procès était liée à sa volonté de protéger les personnes les plus importantes pour elle. Rien d’anormal là-dedans.
« Après tout, elle a grandi au sein d’un foyer chaleureux qu’elle vu être anéanti sous ses yeux...
- Oui. Et ensuite, nous nous sommes retrouvés dans un camp. »
*
Eren et Mikasa, encore petits et accompagnés de leur ami d’enfance, Armin, s’étaient entraidés pour survivre dans le camp où l’on cultivait des terres arides pour essayer de faire pousser la moindre petite denrée.
« Déjà à cette époque… Mikasa avait une force phénoménale. Elle pouvait déblayer des rochers - qui donnaient même du fil à retordre à des adultes - à l’aide d’un simple levier.
- Elle n’a donc pas trahi sa réputation une fois rentrée dans les Brigades d’entraînement.
- C’est vrai. Nous avons fait les démarches pour y rentrer tous les trois au même moment. L’entraînement était dur au début… mais, grâce à cela, nous avons acquis les compétences nécessaires pour faire face aux titans. »
Eren serra le poing et repensa aux heures innombrables qu’ils avait passées à s’entraîner. A cette époque, il était tellement occupé à garder la tête hors de l’eau à tout prix qu’il voyait à peine ce qui se passait autour de lui.
« C’est vrai… J’ai pu rencontrer beaucoup de jeunes gens de mon âge, qui avaient des histoires très différentes…. Je crois bien que c’était une bonne expérience aussi. »
Annie, qui ne parlait pas beaucoup, mais qui lui avait appris des techniques de combat au corps à corps. Reiner, qui, de tous, était celui qui se comportait le plus en soldat et qui avait gagné la confiance de tout le monde. Jean, avec qui il avait toujours été en désaccord, mais dont l'habileté à manier le dispositif de manœuvre tridimensionnelle était une source d’inspiration…
En y repensant, Eren se rendait compte que c’était certainement dans les Brigades d’entraînement qu’il avait appris pour la première fois à se sociabiliser.
*
« Ah… Ouais, tu étais juste une recrue ordinaire au final. Les recrues de ma promotion étaient des gens importants à mes yeux aussi.
- Hé, Petra ! Et que penses-tu des potes que tu t’es faits ici, dans le Bataillon d’exploration ? » plaisanta Erd.
Petra souriait depuis qu’Eren avait fini de parler.
« Tu sais déjà ce que j’en pense ! Vous êtes tous chers à mes yeux. »
En voyant les marques de confiance que ses aînés s’échangeaient, Eren baissa tout à coup les yeux. Il ne savait encore rien des autres membres du Bataillon d’exploration.
« Est-ce que… moi aussi… je deviendrai, un jour, un camarade en qui vous avez confiance ?
- Peuh. Cela dépendra de toi…
- Je croyais t’avoir dit d’arrêter de parler sur ce ton…Honnêtement, Eren, on te connaît encore assez mal. Cependant, après avoir entendu ce que tu viens de raconter, j’ai le sentiment que c’est possible.
- Merci...beaucoup. »
Au moment où Eren prononça ces mots, les soldats entendirent la porte s’ouvrir. Tout le monde se retourna.
« Désolés de vous avoir tous fait attendre !
- Nous avons obtenu l’autorisation. On va commencer l’expérience. »
Les membres de l’escouade Livaï saluèrent leurs supérieurs, qui venaient de les rejoindre. Au milieu d’eux, Eren était devenu un soldat comme les autres.
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sciatu · 6 years
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PASTA NCACIATA - La pasta ncaciata è la pasta al forno ripiena di uovo, prosciutto, melanzane, pezzettini di provoletta e una copertura generosa di formaggio. E’ la pasta della domenica o delle grandi occasioni, ma anche la pasta delle gite in campagna o al mare in quanto è buona anche fredda. 
LA NONNA E LA GITA A TINDARI
N – Prontu o prontu R - Ciao Maaa Rusaria Sugnu N – Oh gioooia comi stai? R - Mi doli anticchia a testa N – Saravi stu sciroccu chi nun fa rispirari; ta pigghiasti na pastigghia i moment? R - no , mi pigghiai l’ochì , ma dimmi comu fu a gita a Tindari, t’additivvitisti? N – Oh figghia, lassami stari che na junnata tantu tinta nun cia pozzu agurari a nuddu… R - E picchì Maa chi succidiu ? ti sciariasti ancora cu Procopiu u maritu d’ Anciulina? N – Non tu dicu chi succidiu ! u sai chi poi vinniru puru a signora Romanu e so maritu? R - Ma vha? ma comi u signor Giuseppe non pò vidiri a Procopiu e vinni a Tindari cu iddu? N – E chinni sai chi succidiu!! A signora Romano avia nchianatu unni mia mi si prova a cammicia nova chi ci laggai e telefunò Anciulina chi annava a Tindari pu votu chi avi ca Madunnuzza i quannu so figghiu mbistiu ca motu. Siccomi era tantu chi nun annava unni a Madunnuzza ci dissi di si. A signora Romano sintennu chi annava mi dissi chi puru idda vulia veniri allura pattemmu tutti quanti. R - Ma chi annastu ca machina di Procopiu? chidda è già tantu si cammina figurati a puttari attia a signora Romanu e Anciulina chi siti beddi rossi!! N – Noo, figurati, appena u signor Giuseppi sintiu chi aviumu annari cu Procopiu si ribbelloi, ni dissi chi ni puttava iddu picchi chidda i Procopiu nun è na macchina: è nu cessu. Figurati chi avi i roti tantu lisci chi paruni i camiri d’aria di bicicletti, u culuri i sta machina nun si potti mai capiri, i freni ci l’avia fari nto 2012 e ancora nun ci fici, d’intra ci su tri iditi i luddia e ora uttimamente coccadunu ci disegnò cu nu ferru na ciolla chi va da fanali a fanali: cu si setta davanti pari a cavallu i na ciolla chi roti R - Eccu è la fotografia perfetta del suo padrone: tale e quale, ciolla a machina, testa di cazzo lui!! N – Veramenti!, C’è Anciulina chi spera chi prima o poi o primu ncrociu Procopiu si mpadda cu coccadunu accussi si leva davanti a iddu e a idda R - Si figurati… a mala ebba nun mori mai!!! N – Puttroppu è veru. Intantu u signor Giuseppe dissi “Diu ni scandi e libberi si me mugghieri nchiana supra da scatola chi roti” e ni puttoi iddu pi futtuna picchì a metà da nchianata a Tindari da ciolla chi roti si fimmoi fumannu comi quannu brucianu i sciarri e a Anciulina na puttamu cu nui. Procopiu dissi chi sinni nchianava sulu e nui u cuntentammu R - Figurati se saliva con il signor Giuseppe! Sono uno da giuventus e l’otru ill’intererre, appena incumencianu a parrari si ncappanu. N – E nenti, siamo arrivati alla chiesa e allora la signora Romano è voluta salire le scale a ginucchiuni cu so maritu chi ci dicia mi si suggi “Semu nto dumila, a genti và supra a luna e tu fai ancora sti cosi du mediuevu” ci dicia, ma idda nenti cuntinuava acamminari a ginucchiuni “Ma jo no sacciu….  – cuntinuava iddu - mi fa cadiri a faccia nterra….Chi figura facemu….” a fini jo ci dissi ma lassa stari chi eravamu davanti a Madunnuzza e mi si stava mutu. Iddu incuminciò a parrari a buci fotti e sinn’annò o bar tuttu ncazzatu R - Ma picchì a signura Romano ha fatto tutta la chiesa in ginocchio? aveva un voto? N – Nu dissi poi quannu ni sittamu nte banchi e ci desimu i fazzuletti mi s’asciuga i ginocchi chini i sangu “Lui non capisce – ni fa – o non vuol capire, io un figlio lo voglio, lui si sente in colpa perché il figlio non viene e fa tutte queste scene, ma la Madonna mi deve fare questa grazia, io un figlio lo voglio” ci diceva e io e Anciulina a consolarla poverina chi ciancia comi na carusa. R - Mi dispiace povera signora, ma perché non ne adottano uno? N – Ma chi vo fare, ci ciccaru un saccu i soddi e poi iddu nun sta beni e non ci u dannu nu figghiu. Eh nenti, poi niscemmu n’annammu unni ci su l’alivi e manciammu a pasta ncaciata chi avia fattu, i cotoletti chi fici Anciulina e a totta chi puttoi a signora Romano. O so solitu Procopiu si miviu nu litru i vinu c’avia puttatu u signor Giuseppi e ninni scinnemu a Falconi pi fari anticchia i mari R - Ma finu a ora non mi sembra che sia successo niente di grave N – Scuta ! a mari u signor Giuseppi misi a machina nta nu paccheggio e Procopiu a piazzoi supra u murettu i cunfini ca spiaggia,  unni si scinni di scali. Sa misi da i frunti picchi si scantava ca rubbavanu R - A da ciolla chi roti? Ma mancu regalata a vurrannu N – Eh nenti, annammu a mari ni bagnammu i pedi, a signora Romanu si disinfettoi i ginocchi, eravamu da beddi e pacifici chi a nu cettu puntu, o picchi manciammu, o picchì c’era un caudu chi non ti dicu, ci dicemmu o signor Giuseppe mi metti l’ombrelloni. Iddu u ghianta e cecca na petra mu tacca picchi c’era ventu. Ni trova una nica nica e u stava taccannu chi Procopiu menzu studdutu du vinu e du suli ci fa “ma chi metti sa cusitta doccu, accà, cia dugnu jo na petra chi si ghiama petra “ e va e ti pigghia na balata i Catania chi mancu iddu a putia,ma mi non ci dugna saziu o signor Giuseppe, sa pigghia e leggiu leggiu a potta vessu l’umbrilloni. Anciulina ci grida “Lassa stari sa cosa chi si ti cadi strupii a coccadunu” Iddu ci stava pi rispunniri ma mentre stava pigghiannu ciatu pi parrarri nun vidi na petra menza uricata, mesti e figghia mia ci scappa da petra di mani e ci finisci supra o pedi du signor Giuseppi…. R - Mhaaaa u mazzoi! N – Quasi! iddu si jetta i buci e du pedi ci diventa tuttu viola e sempri chiù rossu R - Ohn poveru signor Giuseppi tutti a iddu ci capitanu! N – Non ti dicu i buci, u scantu, jo ci dicu a Procopiu, “Cumpagnalu a Guardia medica picchi i sicuru ci rumpiu cocca iditu”. Picciò iddu e a signora Romano pigghiaru o signor Giuseppi e leggiu leggiu u puttaru unni a machina di Procopiu. U signur Giuseppi ciccava i apriri a puttera da machina ma nun ci riniscia allura Procopiu va ill’otra patti e spinci ma fa apriri e so mugghieri ci gridoi “Non spinciri chi a puttera è difittusa e si apri i coppu” non finiu i parrari ca puttera si apri e u signor Giuseppi du sfozzu non cadi du murettu unni c’era a machina… R - Mhaaa si struppioi! N – Otru chi si struppioi: sutta o muru era chinu i munnizza, buttigghi rutti, muraruvetti, ferru, filu spinatu, mobili rutti….s’ammazzoi!! Pi futtuna c’erunu du carusazzi chi appena u vistiru sataru nta d’ebbi e u pigghiaru tuttu lazziariatu, chinu i sangu e tagghi e studdutu du coppu R - O Matri Biniditta…. N – Di carusazzi u pigghiunu, u mettunu nta maghina e Procopiu patti comu nu razzu facennu fiscari i roti.. e Anciulina ci grida “Non curriri chi a puttera è difittusa…” nun finiu i parrari chi Procopiu fa na cuvva a sinistra, a puttera si apri e u Signor Giuseppi bola fora da machina. R - Muriu… sta vota muriu veramenti… N – Puru jo pinsai a stissa cosa ! Intantu Procopiu scinni da machina e ci grida a Anciulina “Ma ti voi stari muta chi ogni vota chi parri succedi na disgrazia….” e idda isoi l’occhi o cielu e dissi ”Madunnuza mei, facitimilla sta grazia, livatimmillu i frunti agli occhi, datici l’etennu riposu e anticchia i paci a mia chi è na vita cu suppottu”… R - Ragiuni avi, puvirazza…. N – Di du carusazzi chi l’avianu iutatu prima curreru e u pigghiaru e sta vota ghiamaru l’ambulanza e u ficiru puttari  ca signora Romano o spidali e Procopiu ci annò d’arreti ca ciolla chi roti. R - Ma dicu jo , poviru signur Giuseppi, tutti a iddu ci mattunu. N – Jo ristai cu Anciulina chi si misi a riva o mari ciancennu pa disgrazia chi appi spusannu a so maritu. Intantu u tempu passava, passa n’ura, passanu du uri, tri uri e nenti, nun cumpari nuddu. Da spiaggia sinn’annavanu tutti e ristammu jo e Anciulina cu l’umbrilluni. Intantu scurava e nui eravamu dà. A fini ti cumpari Procopiu cu niputi du Signor Giuseppi mi si pigghia a so machina e Procopiu avia tutta a testa fasciata chi paria n’ovu i Pasca. Anciulina ci spiava chi c’avia succidutu ma iddu nenti, nun rispunnia. Picciò ninni girammu a casa. R - Ma chi c’avia succedutu a Procopiu? N – Mu dissi a signora Romanu quannu a sira a visti girari a casa. Dissi chi u signur Giuseppe ristoi ricoveratu. Avi na spadda menza spasciata, o pedi ci misiru u gessu e ci desiru occa vinti punti a tutti i banni. Du stottu i Procopiu, quannu nisceru o signor Giuseppi da sala gessi, sinni nisciu dicennu “Signor Giuseppe, u vidi chi nun era nenti, a fini poi, oggi n’addivittemmu.” R - Ma è proprio scemu, nun è chi fa finta, è propiu scemu di soi… N – U signor Giuseppi cu nu filu i buci ci fa, “Signor Procopiu avicinassi chi c’è diri na cosa tra mia e lei nta ricchi….” Procopiu si cala pi scutari chi vulia e u signor Giuseppi, appena l’appi a tiru, ci desi nu muzzicuni, ma nu muzzicuni chi a mumenti ci staccava a ricchia!! Dissi a signora Romanu chi apperu a veniri quattru nfimmeri mi spattunu e o signor Giuseppi c’appiru fari na gnizioni mi ci faciunu lassari a ricchia. A fini a Prospiru c’appiru dari quattru punti picchì a ricchi si stava scippannu. R - Ma a du stottu a testa c’avia scippari u signor Giuseppi. N – Non ti dicu a signura Romanu quantu era avvilita e mortificata. Nun sapia chiù a quali santu vutassi tantu era dispirata. Ti dicu a virità, mi fici tanta pena. R - Ma no mamma, vidi chi a Madunnuzza ci pinsiravi a idda N – Si, annoi mi ci spia nu figghiu e a mumenti divintava viduva R - Ma no mamma, nun ti prioccupare, è tutta cuppa i du stottu i Procopiu. U sai chi bonu tempu e malu tempu nun duranu tuttu u tempu N – Spiramu Rusaria, ca povira signura Romanu ci ni stannu capitannu chiossà i Giufà. Tindari = Tindari è la sede del santuario dedicata alla Madonna Nera; Ciolla = sinonimo di minchia; balata i Catania= lastrone di lava con cui si asfaltano le strade; si jetta i buci= incomincia a gridare; du carusazzi=due ragazzi di costituzione robusta; tuttu lazziariatu= tutto ricoperto di piaghe come San Lazzaro;
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