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#Genesis P-Orridge biography
driftlessarearev · 5 months
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Biography Mondays: Nonbinary: A Memoir, by Genesis P-Orridge
How do you short-circuit control?
Reviews of Biographies, Autobiographies, and Memoirs Via Artist, musician, provocateur, Genesis P-Orridge has been a pioneer is numerous fields. Founder of COUM Transmissions, Throbbing Gristle, and Psychic TV, they have contributed to the musical genres like industrial, acid jazz, and the umbrella term avant-garde/experimental. Their memoir, Nonbinary, is a chronicle of their life. The genesis…
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c-40 · 2 years
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A-T-2 362 Psychic TV - Just Drifting
Psychic TV was formed in 1981 by Genesis P-Orridge and Alex Fergusson from Alternative TV, Peter Christopherson joined after Throbbing Gristle disbanded. Force the Hand of Chance was their debut album and Just Drifting was subsequently released as a single. As I've mentioned before The Damned's Captain Sensible had had a number one record in the summer of 1982 with a cover of Happy Talk from the 1949 musical South Pacific. Cross-genre cover versions are common, they existed long before punk, Blood Sweat & Tears, The Beatles, Jobim, etc have been covered in every style of music, the practice is as old as popular music itself. In the UK the artist Jeremy Deller formalised cross-genre cover versions for Guardian readers who had been led to believe brass bands were 'cheesy'. Deller now told Guardian readers brass bands were of cultural significance akin to illegal raves... What Deller unleashed and Captain Sensible's Happy Talk have in common is novelty
Where am I going with this? Psychic TV's Just Drifting isn't a cover of a previously existing song but like the title of TG's 1979 album 20 Jazz Funk Greats it points at and cynically celebrates the banal. Do they love or loath ballads or is it a bit of both? Cover versions like the ones mentioned above are usually commercial rather than artistic endeavours, Psychic TV on the other hand are shady, Is it sincere or is it subversion? Like those kind of mind game confidence trick bollocks politicians are so fond of nowadays, I can't tell if this MP wants to properly fund the NHS or dismantle and it sell off! It's different from The Specials with their references Frank Pourcel/Klaus Wunderlich/James Last like motifs, Jerry Dammers uses the music which would have been found in many British homes (and now charity shops) and creates something new with it... Psychic TV is what you get if your parents listened to the Manson Family album when you were growing up at home. I've been avoiding reading a GPO's biography and Cosey Fanni Tutti's but I may have to. They claimed that listening to this record would transport you astral projection fashion to 'The Temple Ov Psychick Youth' (I wonder if anybody asked for their money back?) which would make Just Drifting a sort of gateway to The Temple Ov Psychick Youth, that goes well beyond a mere ballad, or does it? funny is what it is, contrarian consumerism
Early Psychic TV were called Holophonic recordings which adds another layer of intrigue and mystique or smoke and mirrors to the product, there's a big sticker on the sleeve of Just Drifting that reads "FIRST SINGLE TO INCLUDE HOLOPHONIC EFFECT." I'm sure content and the holophonics would have been conceived of as one thing http://www.acousticintegrity.com/acousticintegrity/Holophonics.html
From the back of the sleeve: "This is a Zuccarelli Holophonic TM recording made with the assistance of Mike King. This system gives 360 degree sound or Three Dimensional sound. For best effect place speakers opposite each other and sit in the middle, or use headphones. Close your eyes, play quite loud and try and read the pictures. Walk through the rooms of The Temple Ov Psychick Youth."
"If you sit with fear, a star too far, almost lost in this storm of life. A blazing ghost can become the host, and you breakthrough to the room of dreams."
Psychic TV also had ambitions of being a video-band that released product on VHS. Psychic Television put out First Transmission as a 4 hour 2xVHS boxset in 1982. Like the album and single it was an initiation
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everyfilmisaw · 7 years
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The Ballad of Genesis and Lady Jaye by Marie Losier, 2011
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dailywikis · 4 years
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Genesis P-Orridge Bio, Age, Wiki, Dies, Married, Children, Net Worth, Instagram
Genesis P-Orridge Bio – Wiki
Genesis P-Orridge was an English singer-songwriter, musician, poet, performance artist, and occultist.
P-Orridge was born on 22 February 1950 in Victoria Park, Manchester, England. P-Orridge’s birth name was Neil Andrew Megson. P-Orridge died on 14 March 2020.
https://twitter.com/robinrimbaud/status/1238933072822894592
Family
P-Orridge born to Ronald and Muriel…
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double-croche1 · 6 years
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[INTERVIEW #156] Les soeurs jumelles de Tasseomancy ont sorti leur troisième album ‘Do Easy’ fin 2016. On en a a rencontré le groupe au festival Pop=Kultur à Berlin pour parler de jeux de rôle, de culture japonaise et de dévotion. Votre dernier album se nomme ‘Do Easy’. C’est une référence à un livre de William S. Burroughs. Vous pouvez nous en parler ? Romy : Oui, de façon assez distante. William S. Burroughs est un poète américain assez célèbre. Le film ‘Le Festin nu’ de David Cronenberg [paru en 1991] avec des insectes qui utilisent des machines à écrire est une adaptation d’un de ses romans. Il est connu parce qu’il a tiré sur sa femme alors qu’il essayait de tirer sur une pomme qui était sur sa tête ! Il était gay mais était donc cette femme. C’est une histoire intéressante. Peux-tu nous parler de ce poème ? Romy : Je suis tombée sur ce poème ‘Do Easy’ qui est un peu ironique et qui décrit un militaire retraité. Il se déplace dans son appartement. Il est conscient de ses objets et de l’espace autour de lui. C’est à propos de cette idée d’éviter de se créer du travail additionnel en étant trop conscient des choses que tu fais. Je voulais écrire des chansons pop à propos de cela ! Ma vie à cette époque était assez chaotique émotionnellement et physiquement.  
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Tu t’es donc renseignée sur lui ? Romy : C’est intéressant parce que après, une amie à moi m’a montré cet article qui disait que William S. Burroughs avait pratiqué de la magie obscure et qu’il était professeur de Genesis et Jaye P-Orridge. Qui sont-ils ? Romy : C’est un couple qui a fait de la musique très expérimentale. C’étaient des artistes qui faisaient des performances. Ils ont fait de la chirurgie esthétique assez intense pour ne faire qu’un, pour se ressembler jusqu’à être finalement quasiment indissociables. Il y a un qui est parti. C’est assez profond.  Le morceau Do Easy sur l’album fait des références directes au poème ? Romy : Oui mais plus généralement à des idées du poème qu’à des phrases prises telles quelles. Les paroles font également référence à ma vie à cette période. A l’époque, je pensais que je donnais un cadeau à tout le monde en présentant ces conseils mais en fait j’en avais surtout besoin pour moi-même. C’est le premier morceau qui a influencé le reste de l’album ? Romy : Non, pas nécessairement. Avec ma sœur on a déménagé récemment à Los Angeles après avoir fini l’album, mais à l’époque où on le faisait, elle vivait encore à Montréal et moi à Toronto. On avait des vies séparées. J’ai écrit quelques morceaux et elle en a écrit d’autre de son côté. On avait toutes les deux quelques soucis personnels. La vie d’artiste est toujours plus glamour aux yeux des gens que ce n’est le cas en réalité. On cherchait à lire des biographies et des mémoires de personnes qu’on admirait. Quand je regarde en arrière sur cet album, je vois qu’on a fait des référence à nos héros et qu’on a essayé de glaner des conseils sur comment vivre.
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Un des nos morceaux favoris sur l’album est Gentle Man. Est-ce inspiré par quelqu’un en particulier ? Romy : Ma sœur Sari a écrit ce morceau. Je ne devrais pas parler pour elle, mais je crois que de la même façon c’est une combinaison de quelque chose de personnel et d’une référence extérieure. Elle voulait parler du système carcéral américain et en particulier les incarcérations injustifiées de personnes innocentes. Elle pensait à cela, c’est un peu politique. Je ne crois pas qu’il y ait vraiment de référence à quelqu’un en particulier. Quel est ton morceau préféré de l’album ? Romy : Je dirais le morceau Do Easy. Ce n’est que récemment que j’ai pris de l’intérêt pour la musique pop. Je considère maintenant l’album comme pop. Ce genre musical n’était pas vraiment dans mon radar avant. C’était donc amusant de jouer avec cela. Je pense que d’une certaine façon je ne devrais pas être trop négative mais je trouvais la musique populaire très manipulatrice. Je n’arrivais pas à l’apprécier d’un point de vue sonore. Ce sont plus des plaisirs à court terme. Je crois aussi que la musique pop cherche à apporter des expériences universelles, mais ces expériences sont trop vagues et vides de sens. 
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Votre album est très imagé et presque narratif, on ne s’intéresse pas qu’à l’aspect sonore. C’était intentionnel ? Romy : Je crois que notre musique est un peu théâtrale même si cela n’est pas nécessairement intentionnel. On lit pas mal de livres. Je pense que le développement des personnages est inévitable pour nous. C’est amusant car d’un point de vue personnel je suis plus attirée par la musique abstraite. J’aurais rêvé de faire un album abstrait mais je ne l’ai jamais fait. J’aime parfois les choses musicales qui ne sont pas centrées sur l’humain. Quand tu écris des chansons avec des paroles, le fait de développer des personnages dans différentes mondes est une partie importante de ton travail finalement. La pop joue sur les archétypes, on en est conscientes. Quand je chante, c’est quelque chose avec lequel j’aime jouer aussi, ce changement de personnages et de rôles. J’aime ce type de manipulation pour le coup. J’aime quand une œuvre a une certaine vision englobante, quand cela ne se réduit pas à des individus. Certains artistes essaient de justifier leur propre réalité. Ce qu’on essaie de faire avec Tasseomancy c’est de garder en tête toutes les perspectives. A propos de personnages et rôles, on a vu que tu as joué dans un film nommé ‘A’ [de Mitchell Stafiej paru en 2016]. Tu peux nous en parler ? Romy : Oui, je l’ai fait l’an dernier avec Alex Zhang Hungtai de l’ancien groupe Dirty Beaches. Il a le rôle principal, moi je joue sa copine. Le film est écrit par un jeune artiste franco-canadien de Montréal. Je crois que c'est vaguement autobiographique. Cela parle de ses problèmes avec l’alcool quand il était plus jeune. Le personnage principal est un musicien établi, mais sa vie s’effondre peu à peu. Une partie du film est dans son appartement, l’histoire est centrée sur lui et puis sur les différentes personnes avec qui il a des relations dans sa vie. Le casting est composé presque exclusivement de musiciens expérimentaux principalement de Montréal. Peux-tu nous détailler le casting ? Romy : Il y avait notamment mon amie Alexis O’Hara, c’est une artiste qui fait des performances, mais également Alexandra Mackenzie qui a son projet musical Petra Glynt ou encore Bernardino Femminielli qui était dans Dirty Beaches avec Alex justement. Tu as vu le résultat final ? [Le film a été projet pour la première fois au festival POP Montréal en septembre 2017]. Romy : Oui ! Comme je disais tout à l’heure, j’aime bien jouer des rôles dans ma musique mais c’était la première fois que je faisais cela de manière si formelle.  C’était une expérience très cool !
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Quels sont les films que tu as vus récemment et aimés ? Romy : J’ai vu récemment le film japonais ‘Le Pavillon d'or’ de Kon Ichikawa [paru en 1958] qui est une adaptation du livre de l’écrivain japonais Yukio Mishima. C’était très beau. J’ai essayé de regarder pas mal de films japonais quand j’étais en voyage là-bas. Tu as fait une tournée en Asie ? Romy : On vient de faire une tournée au Japon ! Comment c’était ? Romy : C’était assez dingue. D’une certaine façon c’était une expérience inhabituelle car la plupart des groupes internationaux ne jouent qu’à Tokyo alors que nous on a joué dans une quinzaine de villes japonaises ! On a tourné avec Lydia Ainsworth. On a joué dans quelques salles de concert punk, ce n’était donc pas trop ce à quoi je m’attendais ! Le spectre des gens est fascinant là-bas. Il y a tellement de choses intéressantes là-bas, j’ai le sentiment que si je ne l’expliquais qu’en quelques mots cela n’y rendrait pas justice. Tu connais le concept “Wabi-zabi” ou pas ? C’est un concept japonais d’appréciation du temps, comment les choses s’embellissent avec le temps. [Plus d’infos ici : http://bit.ly/2ClCybR] Romy : Oui c’est un concept que j’apprécie. C’est un peu comme la beauté de la mélancolie. Les gens ont cette conscience de la nature temporelle des choses, qui fleurissent puis qui pourrissent. Aux Etats-Unis il y a un rejet du vieillissement. Il y a un inconfort avec cela car on doit confronter sa mortalité donc c’est compliqué. Les japonais le font culturellement d’une façon qui est très poétique. En fait, j’ai pris plein de photos du voyage là-bas que je n’ai pas encore partagées mais que je vais faire publier dans un magazine. Hier soir justement à 4h du matin j’essayais de résumer les sentiments que j’ai eu là-bas. Je veux toucher cela. Il y a une attention au détail que des tas de gens négligent. Avec ‘Do Easy’, j’ai une obsession de comment les gens se déplacent dans la vie et génèrent des flux dans leur existence. Ce que je trouve humble dans la population japonaise, c’est que généralement n’y a pas un seul aspect sur lesquels ils ne portent pas l’attention. Tout est considéré. Les petites choses peuvent faire de grandes différences et je suis totalement d’accord avec cela. Avoir cette conscience des nuances, c’est très puissant. As-tu observé des choses amusantes dans leur culture ? Romy : Oui, ils sont obsédés par Paris et par la France ! (Rires) Partout où j’allais je voyais qu’ils avaient cette image tellement idéalisée de Paris ! J’ai entendu parler de cette chose : le “syndrome de Paris” [plus d’infos ici : http://bit.ly/2zTC3jR]. C’est très commun pour des Japonais d’aller à Paris. Ils s’attendent à cette vision utopique. Leur vision de Paris est assez castratrice en fait. C’est Paris mais sans l’existentialisme. Ils ne pensent qu’au béret et à la baguette. Ils pensent que tout le monde va leur sourire à leur arrivée alors que quand ils sont sur place ils se rendent compte que ce n’est pas ce qu’ils espéraient et qu’il y a de la pisse dans les rues. C’est une expérience assez déroutante pour eux. Je suis assez critique, mais c’est vrai que là-bas cette image parfaite qu’ils ont de Paris se ressent vraiment. Aussi, tu entends de la musique ancienne française et ils font des pâtisseries. Ils inventent leur propre version très romantique de Paris. J’ai remarqué qu’ils le font aussi avec d’autres cultures, ils n’en prennent que certains aspects et en inventent leur propre version idéalisée. C’était assez amusant !
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Vous commencez déjà à travailler sur votre nouvel album ? Romy : Oui ! C’est notre plan pour l’automne. On en est au début pour l’instant. On est en train de conceptualiser. On a décidé que ce serait notre album dévotionnel. Dévotionnel ? Romy : Au début je voyais cela comme une blague, mais plus maintenant. Comme la plupart des choses ! Il y a une idée reçue des chanteurs américains du passé qui deviennent très célèbres et puis de plus en plus religieux et qui au final rejettent la célébrité et deviennent très spirituels. C’est un peu la phase dans laquelle on va aller moins la prétention qu’on soit célèbres ! (Rires) Qu’est-ce qui vous a attirées vers cela ? Romy : Cela a commencé parce qu’on a écouté pas mal d’enregistrements de nonnes qui ont fait de la musique très psychédélique dans plusieurs parties du monde et en particulier en Irlande. C’est assez planant. Il y a des nonnes européennes qui ont joué au piano aussi. Ces femmes d’une certaine façon se donnent une résonance d’artiste sur l’ensemble de leur vie. Elles vont au plus profond d’elles-mêmes et ne sont pas distraites par le reste du monde. Elles font de la musique authentique. C’est assez vertueux, elles n’ont pas d’égo et ne cherchent pas à être cool ou quoi que ce soit. Parfois, tu rencontres des gens qui sont très religieux et qui sont à fond dedans, mais tu sens qu’ils sont endoctrinés dans le sens où ils n’existent que sur un seul niveau et qu’ils ne font que réitérer des choses qu’ils ont apprises. Elles au contraire ont leur propre interprétation. Tu t’es documentée là-dessus ? Romy : Oui, je lis ce livre 'Une vie bouleversée’ d'Etty Hillesum [paru en 1981]. Elle est juive et a été tuée dans les camps au milieu des années 40. On connaît tous Anne Frank mais cette femme a elle aussi eu une histoire intéressante. Elle était intellectuelle, c’était à l’époque de la psychanalyse. Ses mémoires sont brillants. Elle n’était pas alignée avec les autres, ça c’est sûr. C’est assez dingue. Elle a pardonné des actes horribles qui sont arrivés à sa famille à cette époque. Elle avait cette acceptation unique. C’est très marquant. Que penses-tu de la société actuelle ? Romy : On est si influencés par les choses censées être à la mode. Parfois, je me dis que les choses peuvent être construites de sorte que tu ne peux jamais en venir à tes propres conclusions. J’ai l’air parano peut-être ! (Rires) J’ai toujours cru qu’une société saine devait être évaluée selon son excentricité, je veux dire si on permet aux gens d’explorer ce qu’ils veulent comme ils l’entendent. Souvent ce n’est pas ça. Il y a parfois des notions limitées et strictes de comment on doit se tenir, se déplacer, etc. Je pense qu’aujourd’hui on permet aux gens de prendre du temps et d’essayer de se comprendre. Il y a tellement de distractions intentionnelles. On vit à cette époque où il on a tellement de choses à portée de main. On a la moyen de s’exprimer, mais on ne le fait pas. Surtout dans les grandes villes où les gens sont très occupés. Tout est à propos de la concentration. C’est un des aspects négatifs des réseaux sociaux. Si on ne va pas au-delà de cela, on n’avance pas. L’attention des gens est très limitée. A&B
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dtp-dtp · 8 years
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Debbie (2016)
Researching changes in ads
Flipping through old Vogues 
Debbie updates her biography with 
Insight from obsolete horoscopes
In September 1992 she was four and
Had to be wary of her fiscal situation Also 
this was not the time for new romance
The Sunday People described Genesis P-
Orridge as “the sickest man in Britain” 
On July 24 1988 Extraordinarily
Debbie was almost 6 months old 
Possibly grumpy from her brother’s 
Second birthday the day before
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dailywikis · 4 years
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Paula P-Orridge Bio, Age, Wiki, Marriage With Genesis P-Orridge, Children, Net Worth
Paula P-Orridge Bio – Wiki
Paula P-Orridge is an English musician, writer, and entrepreneur. She is known as Alaura O’Dell.
She was born on 23 February 1963. Her birth name is Paula Jean Brooking.
Career
P-Orridge’s musical career began in 1979 when she met musician and artist, Genesis P-Orridge while working at a Tesco supermarket in Hackney, East London.
Prior to meeting Genesis P-Orridgeshe…
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