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#Giorgio Albertazzi
falsenote · 2 months
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The Idiot (1959)
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cinematokgraph · 1 month
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filmreveries · 1 year
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“The story is already over. In a few moments, it will freeze into a marble past. Like these statues in this garden in stone. Like this hotel with its now empty rooms.”
Last Year at Marienbad (1961) dir. Alain Resnais
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cinematicmasterpiece · 5 months
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l'année dernière à marienbad (1961)
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lafiguraentutapiz · 1 year
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Mirrors in movies: Cléo de cinq à sept (1962) / Casablanca (1942) / L'Année dernière à Marienbad (1961)
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davidhudson · 2 years
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Giorgio Albertazzi, August 20, 1923 - May 28, 2016.
With Delphine Seyrig on the set of Alain Resnais’s Last Year at Marienbad (1961).
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L'année dernière à Marienbad, 1961
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streamondemand · 2 months
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'Last Year at Marienbad' – a mysterious romance on Criterion Channel and free on Kanopy
The very definition of “French art cinema,” Alain Resnais’ Last Year at Marienbad (France, 1961), defies audience identification, narrative clarity, even any assurance that anything we see is “real” in any sense. Characters without names, played by actors who barely change expression, walk through the lavish but coldly alienating vacation castles reserved for the rich and aristocratic, lost in…
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perfettamentechic · 2 years
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28 maggio … ricordiamo …
28 maggio … ricordiamo … #semprevivineiricordi #nomidaricordare #personaggiimportanti #perfettamentechic
2020: Gustavo Guillén, all’anagrafe Gustavo Héctor Dasso, attore argentino. Lavorò nelle telenovelas del suo paese tra cui Perla nera), dopo aver suonato la batteria nel gruppo rock Fuera de Peligro. Guillén ha sposato la modella argentina Lorena Bruno nel 2000. Ebbero un figlio, Valentino. 2013 ha sposato Luciana Abelanda; in seguito hanno divorziato. Hanno avuto un figlio, Pedro. È morto a 57…
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falsenote · 1 year
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The Idiot (1959)
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Le coscie delle donne sono la prova dell'esistenza di dio.
Giorgio Albertazzi
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kvetchlandia · 2 years
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Delphine Seyrig (A) and Giorgio Albertazzi (X, Narrator), Screenshot from Alain Resnais’ “L'Année dernière à Marienbad” (Last Year at Marienbad)     1961
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quentinbidaud22-23 · 2 years
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L'aventure de madame Muir, Joseph L. Mankiewicz 1947 Une histoire d'amour entre une femme et un fantôme, une vieille maison sur une falaise. Incontournable.
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Mon oncle, Jacques Tati 1958 La rencontre poétique de deux mondes, l'ancien et le moderne. Des personnages attachants. Cela pourrait être un poème de Prévert, mais c'est un film de Tati.
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L'année dernière à Marienbad, Alain Resnais 1961 Un immense jardin à la française, un colossal escalier, Delphine Seyrig et Giorgio Albertazzi qui ne cessent de rejouer la scène d'un rendez-vous manqué. Un chef-d'oeuvre qui gardera son mystère à jamais.
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Judex, Georges Franju, 1963 Digne des romans feuilletons du XIXe siècle, un justicier mystérieux qui s'attaque au banquier malhonnête. Des combinaisons noires, des intrigues, des masques en forme d'oiseau.
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Les lèvres rouges, Harry Kümel, 1971 La suite vampirique de Marienbad, Delphine Seyrig en comtesse immortelle buvant le sang des pensionnaires d'un hôtel d'Ostende.
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La montagne sacrée, Alejandro Jodorowsky, 1973 Délire hypnotique et fou, conte alchimique dans lequel les maîtres des neufs planètes devront gravir la montagne sacrée pour trouver la réponse savoureuse au grand mystère de l'existence.
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Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette, 1974 Deux sorcières solaires errant dans le Paris des années 70. Une maison mystérieuse, des numéros de magie. Un film à regarder à l'endroit ou à l'envers, éveillé ou endormi.
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Complot de famille, Alfred Hitchcock, 1976 Le dernier film d'Hitchcock, une fausse voyante et un chauffeur de taxi à la recherche d'un diamant volé. Un film du dimanche soir.
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Stalker, Andreï Tarkovski, 1979 Un voyage à travers des paysages de science fiction délabrés porté par une musique sublime. Une sorte de rêve.
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The Fog, John Carpenter, 1980 Une malédiction s'abat sur une ville de Nouvelle-Angleterre. Un brouillard vert fluorescent duquel émerge des fantômes. Une animatrice de radio tente de sauver les habitants depuis un phare isolé. Un film glacial et génial.
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Fitzcarraldo, Werner Herzog, 1982 Un homme passionné d'opéra entreprend de faire passer un bateau par dessus une montagne en pleine jungle amazonienne. On ne saurait le décrire autrement.
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Et vogue le navire, Federico Fellini, 1983 Un film comme un roman, au début du XXe siècle, des personnages hauts en couleurs embarquent à bord d'un paquebot afin de rendre hommage à une célèbre cantatrice.
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Paris, Texas, Wim Wenders 1984 Un homme qu'on croyait mort sort du désert et retrouve peu à peu les vestiges de sa vie passée. Une sorte de mirage porté par une musique sublime.
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Phenomena, Dario Argento, 1985 Un film d'horreur comme on n'en fait plus. Un adolescente qui parle aux insectes sur les traces d'un tueur en série. Jennifer Connelly invoquant une nuée de mouches, scène culte.
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Les ailes du désir, Wim Wenders 1987 Un très grand film de Wim Wenders. Un ange tombe amoureux d'une acrobate de cirque et décide de devenir mortel. Une promenade dans le Berlin des années 80. Peter Falk se frottant les mains dans la brume matinale. Incontournable.
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Prince des ténèbres, John Carpenter, 1987 Le film d'horreur le plus terrifiant. Un groupe de scientifiques découvre que l'Eglise a caché au monde le fait que Dieu n'existe pas. A sa place, une entité ténébreuse qui va bientôt se libérer. Vous ne vous regarderez plus jamais dans un miroir sans penser à ce qui vous attend de l'autre côté...
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Drugstore Cowboy, Gus Van Sant, 1989 Une petite bande de camés braque des pharmacies pour se défoncer. Leur chef décide de se ranger mais le passé ne s'oublie pas facilement. Un conte étonnamment léger. Une apparition de William Burroughs dans toute sa majesté.
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Meurtre mystérieux à Manhattan, Woody Allen, 1993 Un couple farfelu mène l'enquête sur la mort de leur voisine de palier. Le New York des années 90, des rebondissements, et Anjelica Huston au faîte de sa gloire en auteur de romans policiers.
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La cité des enfants perdus, Jean-Pierre Jeunet, 1995 Dans une cité portuaire verdâtre, des enfants disparaissent. Un savant fou tente vainement de voler leurs rêves. Un film génial, complètement glauque et immersif. Des costumes incroyables de Jean-Paul Gaultier. Un monde en soi.
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Dead Man, Jim Jarmush, 1995 William Blake tue un homme par erreur et prend la fuite, accompagné de l'indien Nobody, qui le prend pour l'esprit du célèbre poète anglais. Un récit initiatique tout bonnement génial, bercé par les improvisations de Neil Young à la guitare. Le meilleur rôle de Johnny Depp. Une apparition éclair de Robert Mitchum dans son dernier rôle.
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The pillow book, Peter Greenaway, 1996 La fille d'un célèbre calligraphe, devenue mannequin, recherche un homme capable de lui écrire un compliment sur toute la peau. Elle finit par devenir elle-même calligraphe et décide d'écrire un livre sur le corps de son amant. Un film sublime.
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La légende du pianiste sur l'océan, Giuseppe Tornatore, 1998 Un bébé est retrouvé dans la cale d'un paquebot. Devenu adulte, ainsi qu'un pianiste légendaire, il se mesure aux plus grands musiciens de son temps mais n'a jamais posé le pied à terre. Un conte magistral et bouleversant.
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Mulholland Drive, David Lynch, 2001 Un rêve, un cauchemar. Une femme amnésique, aidée par une actrice en herbe, part à la recherche de son identité. Un film porteur d'un mystère insondable. A voir et à revoir à l'infini.
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La famille Tenenbaum, Wes Anderson, 2001 Une famille de génies, disloquée par des querelles intestines, tente de se retrouver. Un vrai poème visuel, drôle et touchant. On aimerait vivre dedans.
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Kill Bill, Quentin Tarantino, 2003 Un chef d'oeuvre absolu. Le personnage d'Uma Thurman en guerrière vengeresse que rien ne pourra arrêter, figure allégorique mue par une force supérieure. Les cinq points et la paume qui font exploser le coeur.
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The Fall, Tarsem Singh, 2006 Un homme alité dans un hôpital raconte une histoire à une petite fille. En échange, elle dérobe pour lui des ampoules de morphine. Et le conte se mêle à la réalité. Visuellement grandiose et éblouissant. Une scène d'ouverture mémorable.
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The Fountain, Darren Aronovsky, 2006 Trois histoires entremêlées pour n'en former qu'une seule, celle de la recherche de la vie éternelle. Des scènes se déroulant dans le plan astral, toutes d'or en fusion et d'extase mystique. A couper le souffle.
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Melancholia, Lars Von Trier, 2011 Une planète s'approche dangereusement de la terre et s'apprête à l'engloutir. Deux soeurs, deux entités contraires, se dirigent en silence vers la fin du monde. Une expérience totale portée par des symphonies sublimes et des tableaux de Bruegel.
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Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush, 2013 Un couple de vampires sublimes portent sur le monde un regard désabusé. Sur fond de rock indé lancinant, à travers Détroit ou Tanger, la décadence d'une communauté en train de disparaitre.
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Les Garçons Sauvages, Bertrand Mandico, 2017 Un groupe de jeunes garçons commet un crime impardonnable. Ils sont condamnés à accompagner en mer un capitaine étrange et colérique. Un voyage vernien, totalement organique et sensuel. A la croisée de William Burroughs et de l'île au trésor, de Cronenberg et du club des cinq.
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lollinozurzolo · 2 years
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iO Donna | Lorenzo Zurzolo: "Me deixo guiar apenas pela paixão"
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"Você vai longe", disse Giorgio Albertazzi à ele quando tinha 14 anos. E não se enganou: aos 22 anos, o ator de "Baby" está entre os protagonistas de "Eo", de Jerzy Skolimowski, premiado em Cannes. Seu segredo? Nunca use estratégias. Mesmo que isso custe decepcionar seus seguidores no Instagram.
Giorgio Albertazzi havia lhe dito: "Você vai longe!". Mas ele, aos 14 anos, estava focado em se passar por Pinóquio no teatro e não havia prestado atenção nas palavras daquele intimidador Stromboli... E não é difícil imaginar o motivo: o herói do drama juvenil (Baby, Sotto il sole di Riccione) está entre os protagonistas de EO, filme de Jerzy Skolimowski que ganhou o Prêmio do Júri no Festival de Cannes, nos cinemas italianos na próxima temporada.
História de um burro
«É a história de um burro que passa de mão em mão: a princípio ele trabalha em um circo na Polônia, fechado por protestos de ativistas dos direitos dos animais. Enviado para o matadouro, foge, é raptado, até chegar à Itália e ser esquecido num restaurante de rodovia. É aí que eu pego: sou um padre que está voltando para a casa da família para enfrentar sua madrasta».
Um padre? E os fãs dele? (risos) Eh, um padre sui generis [único], um que deu trabalho…
A madrasta é Isabelle Huppert. Fiquei impressionado em como ela controlava tudo: sabia o resultado exato de qualquer um de seus gestos, mas era de uma espontaneidade, de total credibilidade. Não que eu esteja surpreso, sua fama a precede.
Em vez disso, ele conhecia Skolimowski? Ele é um diretor cult, dos cinefóruns de "debate" sobre década de 1980. Jurássico, para ele. Eu tinha visto um de seus filmes mais recentes, Essential Killing (Leão de Prata no Festival de Veneza 2010) e, após a audição, fui atrás dos anteriores. Assim que soube que ele estava procurando um ator italiano, o mandei uma fita.
 "Xavier Dolan e eu"
A memória mais preciosa do Festival? Muitas! Estar ali, entre os gigantes do cinema, foi a realização do que sonhava quando criança (comecei a atuar aos sete anos). Entre outras, conheci Xavier Dolan (canadense, premiado enfant prodige of direction): um dia, por acaso, abri o Instagram e percebi que ele estava me seguindo, tinha deixado um like. Quem sabe como ele descobriu sobre mim. Na verdade, não vou muito às redes sociais, só as uso como vitrine de negócios, não gosto de compartilhar o resto.
Incomum, para alguém de sua geração. Vejo amigos que se tornaram mais influenciadores do que atores, e trabalham duro graças a isso, mas - para o que quero fazer - esse aspecto não é importante. Skolimowski certamente não me procurou no Instagram nem me escolheu pelo número de seguidores (que de qualquer forma são quase um milhão e meio).
O que é que "ela quer fazer"? Só o que eu gosto instintivamente, sem estratégias. Trabalhar com Dolan, aliás, ou com Leos Carax (Holy Motors, ótimo!) ou com Gaspar Noé (ah, seu Climax !). Adoro thrillers psicológicos como David Lynch, adoro histórias extremas: no momento estou adorando The Boys, a série no Amazon Prime em que os super-heróis são os vilões da situação, estragados pela fama. Espero em breve ter um papel semelhante ao de Homelander, o protagonista. Afinal, se alguém realmente possuísse superpoderes, estaria salvando o mundo hoje? Nós iremos...
Ele tem gostos cinematográficos sofisticados. Em casa havia filmes quase todas as noites. Ainda me lembro da visão coletiva de A vida é bela: o quanto chorei! Agora que moro sozinho, criei uma megabiblioteca: sou um colecionador de DVDs e quadrinhos, assim como meu pai.
Seus pais sempre apoiaram sua escolha? Mamãe, que tem uma produtora e organiza eventos, foi minha primeira fã. Meu pai, jornalista da RAI, era bastante contra: ele se preocupa muito com os estudos e me repetia: "Se você tirar nota baixa no ensino médio - eu fiz linguística - você não é mais ator". No início era uma brincadeira (aos sete anos fiz um comercial com Francesco Totti e para mim, que sou romanista, foi uma... experiência absurda!). Algumas ficções como Don Matteo e, aos 12 anos, o ponto de virada: com Uma família perfeita de Paolo Genovese percebi que não poderia abrir mão do set sem me sentir mal.
E nesse ponto? Me matriculei na escola de teatro de Guido Governale e Veruska Rossi, fundadores da primeira companhia de atores menores de idade na Itália. Com eles encenei Pinóquio e Bad Boys, ambientado em uma prisão juvenil.
Ainda não pensou em escolher um sobrenome artístico? Nunca. Aos 18, chegou o Baby, nunca mais parei de trabalhar. Não tenho nem tempo de frequentar a faculdade, tenho que me limitar a alguns workshops.
Qual método você prefere? Stanislavskij, Lee Strasberg, Sanford Meisner? Eu sou do tipo prático: vou ao set - ou ao palco - e atuo. 
Mais desapegado a Marcello Mastroianni do que identificado com o personagem a Robert De Niro, então. Sempre me lembro da observação de Laurence Olivier a Dustin Hoffman, que - durante as filmagens de The Marathon Runner - estava se matando para ser crível: por que você não apenas atua? (risos) . Não acho que exista um caminho absoluto para todos e para tudo: às vezes algumas interpretações exigem que você entre na emoção, em outros casos você pode chegar lá com técnica. Não é porque eu faria um viciado que eu tenha que usar drogas...
Próximos compromissos?
Até novembro as filmagens de uma série da Rai dirigida por Francesca Archibugi (retirada de The story, de Elsa Morante) e já finalizei as filmagens de outra para Amazon Prime, Prisma de Ludovico Bessegato, além de um filme que será lançado em 2023. Mas a partir de 13 de julho estarei na Netflix com Sotto il sole di Amalfi, a sequência de Sotto il sole di Riccione.
"Uma cerveja de pijama"
Alguma antecipação? Vincenzo, o menino deficiente visual que eu personifico, cresceu, abandonou muitas inseguranças, também se tornará imprudente. Vítima de uma mãe apreensiva e uma namorada que está se tornando como sua mãe (Isabella Ferrari e Ludovica Martino), ele quer mostrar que pode se virar sozinho. Normalmente no cinema os deficientes visuais usam óculos de sol, aqui tentamos reduzir seu uso ao mínimo. A interpretação de Vittorio Gassman em Perfume de Mulher me inspirou muito.
Sua vida parece brilhante: trabalho criativo, sucesso... Algum lado negativo? Não posso mais sair de pijama para tomar uma cerveja? Você vai entender!
E em trinta anos, Lorenzo? Como você se imagina? Com uma família (estou solteiro no momento), filhos. Em uma bela casa nas colinas de�� Hollywood (risos).
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