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#Inégalités
mirrorontheworld · 8 months
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Mayotte a soif. Depuis ce lundi 4 septembre, la quasi-totalité des communes de l’archipel est privée d’eau deux jours sur trois. Vous avez bien lu. En France, en 2023, alors que le camp présidentiel use des polémiques les plus abjectes pour faire oublier les véritables problèmes de la rentrée, les populations du département ne peuvent boire et se doucher qu’une journée sur trois.
En cause, une sécheresse inédite depuis 1997, mais surtout l’indigence des infrastructures hydriques sur place, résultat de décennies d’abandon par l’État du département le plus pauvre de France. La moitié des Mahorais vit avec moins de 160 euros…par mois !
Entre risques sanitaires, mépris des outre-mers et inaction climatique, le gouvernement français a laissé prospérer toutes les conditions favorables pour faire planer sur Mayotte, 101ème département français, l’ombre d’une crise humanitaire sans précédent.
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lamanufacturedeliens · 11 months
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via Attac France
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✨Salut les amis✨
Mode 1er partie🍒
Je souhaiterais passer un coup de gueule...
le premier sujet que je vais traiter c'est sur la mode, le mannequinat, les défilés de haute couture.
Le monde change et c'est bien, qu'il y ai de toutes les morphologies c'est géniale, mais ce n'est toujours pas le cas dans les défilés de haute couture. Se serai soit disant pour un "gain de temps" donc peu de travail derrière, les vêtements ne sont pas du tout fait sur-mesure, alors qu'avec le fric qu'ils se font ils pourraient s'en donner les moyens de préparer un défilé vraiment au top avec un bonne organisation, dans le sens que les mannequins ont très peu de temps pour se changer etc.
J'écris en bref mais j'appronfondirai les différents points dans un autre poste.
Mais tout d'abord le fait que les mannequins de petite tailles ne sont pas autorisé pour les défilés etc, alors oui il y a d'autre opportunités tel que modèles photos et autres, mais ce n'est pas normal de ne pas voir de la diversité dans un défilé de mode. On veut voir des gens beaux certes mais qui ressemblent à la société.
Des gens petits des gens grands, des gens avec du poids ou maigre, normal, des gens avec des handicaps, des cicatrices, des membres amputés, des handicaps mentaux dit "visible physiquement" ou même encore ceux avec la maladie du nanisme.
Il faut que cela change et que les gens en parle, parce que les réseaux sociaux sont notre pouvoir d'aujourd'hui.
✨Bisous les amis à la prochaine ! ✨
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Comment réduire la pauvreté ? Les solutions de Pascale Novelli, du Secours catholique
PROPOSITION 17 novembre 2022 ( pdf )
Associer les personnes concernées permettrait de lutter contre toutes les dimensions de la pauvreté. Il faut agir dans les domaines du logement, de l’alimentation ou de l’emploi par exemple. Mais on doit commencer par garantir un revenu minimum décent. Les propositions de Pascale Novelli, économiste statisticienne au Secours catholique.
L’année 2020 a été marquée par des événements totalement inédits (confinements successifs, mesures sanitaires), mettant à l’épreuve l’ensemble de la population, mais de façon différente selon la place dans l’échelle des revenus et des conditions de vie. Comme
souligné dans de nombreux travaux, la période de confinement du printemps 2020 a été un révélateur décuplé des inégalités qui préexistaient dans de très nombreux domaines.
Par exemple, entre ceux qui bénéficiaient d’un logement confortable et ceux qui ne disposaient que de petites surfaces, voire d’aucun logement. En matière d’emploi, entre les personnes qui télétravaillaient et celles qui devaient rejoindre leur lieu de travail dans des conditions sanitaires précaires. Au niveau des revenus, avec des écarts entre les personnes dont le salaire a été maintenu, totalement ou en partie – grâce aux mesures mises en place –, et celles dont l’emploi précaire n’a pas permis ce filet de sécurité. Entre les personnes qui ont épargné faute de sorties sociales, culturelles et de vacances, et celles qui ont dû puiser dans de maigres économies quand elles en avaient ou s’endetter pour faire face à l’augmentation des dépenses du quotidien, comme les repas ou les factures d’électricité plus élevées. Enfin, les risques d’exposition au coronavirus n’ont pas été les mêmes selon les conditions de vie. Depuis, ces inégalités perdurent. L’accès à la vaccination et les implications du passe sanitaire ne sont pas les mêmes selon les conditions de vie et de ressources.
Ces inégalités reflètent également différentes facettes de la pauvreté, des personnes les plus pauvres, ne disposant d’aucunes ressources financières, comme les étrangers sans statut légal stable à celles qui sont dans des situations précaires que des chocs financiers tels que cette crise sanitaire peuvent faire basculer durablement dans des situations encore plus précaires. Il n’y a pas un visage de la pauvreté, elle est multiple.
Pour combattre la pauvreté, nous avons donc d’abord besoin de compléter les instruments de mesure existants. À travers le premier objectif de développement durable des Nations unies, il est reconnu mondialement que les manifestations de la pauvreté « comprennent la faim et la malnutrition, l’accès limité à l’éducation et aux autres services de base, la discrimination et l’exclusion sociale ainsi que le manque de participation à la prise de décisions ». Une partie du phénomène est déjà mesurée depuis de nombreuses années grâce aux taux de pauvreté (avec un seuil de pauvreté fixé à 60 %, 50 % ou 40 % du niveau de vie médian) et à la mesure de la pauvreté en conditions de vie [1]. Depuis 2021, l’Insee [2] a mis en place un nouvel indicateur de grande pauvreté pour les personnes vivant en logement ordinaire (hors logement collectif, habitat mobile, etc.). La grande pauvreté est définie comme la combinaison de faibles revenus (inférieurs à 50 % du niveau de vie médian) et d’au moins sept privations matérielles et sociales sévères. Mais il faut aller plus loin aujourd’hui.
Mieux mesurer la pauvreté, dans toutes ses dimensions, aidera à mieux la combattre. Un des moyens est de constituer cette connaissance avec les personnes ayant l’expérience de la pauvreté, comme l’a montré une récente recherche. Entre 2016 et 2019, le Secours Catholique a participé à une recherche internationale sur les dimensions de la pauvreté entreprise par le mouvement international ATD Quart Monde et l’université d’Oxford [3]. L’objectif était de mieux comprendre la pauvreté au-delà de sa dimension monétaire, afin d’ouvrir des pistes de mesures complémentaires pour participer à la combattre, à partir de l’expérience des personnes concernées. Durant le travail de recherche, la méthodologie s’est basée sur « le croisement des savoirs et des pratiques » avec des personnes en situation de pauvreté [4], démarche visant à créer les conditions pour que le savoir issu de l’expérience des personnes pauvres puisse se bâtir et entrer en relation avec les savoirs académiques et professionnels afin de produire une connaissance de la pauvreté et des méthodes d’action plus complètes et inclusives.
La recherche souligne la nécessité d’adopter une approche globale de la pauvreté. Ses différentes dimensions partagent des aspects communs. Deux expériences se retrouvent dans presque toutes les dimensions et les relient : il s’agit de l’expérience du combat pour vivre dignement et de celle de la dépendance aux autres et aux institutions. Pour comprendre la pauvreté, c’est l’ensemble des composantes de chaque dimension et leurs liens qui devraient être pris en compte. En France, les dimensions de la pauvreté identifiées pendant la recherche sont : les privations matérielles et de droits, la maltraitance sociale [5], la maltraitance institutionnelle [6], l’isolement, la dégradation de la santé physique et mentale, les contraintes de temps et d’espace, les peurs et souffrances, ainsi que les compétences acquises et non reconnues.
Mettre en place des indicateurs qui touchent ces dimensions permettra de mieux cerner et de mieux combattre la pauvreté. Il est possible de travailler sur le degré d’isolement en questionnant la fréquence et la qualité des interactions sociales. Les contraintes de temps et d’espace pourraient être intégrées à l’étude de la pauvreté en conditions de vie en étudiant les pratiques et les possibilités d’organisation et de déplacement, par exemple.
Minimum garanti, sans contreparties
Nous avons besoin de politiques structurelles qui permettront de lutter contre la pauvreté par le biais de l’école, de la formation professionnelle, de la santé, de la lutte contre l’isolement, etc. Ce sont des investissements qu’il faut mettre en place sur le temps long, dans une approche globale. De manière immédiate, il est possible d’améliorer les conditions de vie des plus pauvres. Agir déjà sur la dimension monétaire, c’est, par ricochet, agir en partie contre les autres dimensions. Cela est possible au travers de l’instauration d’un revenu minimum garanti, sans contreparties, sous conditions de ressources [7]. En France, plus de 14 % de la population vit sous le seuil de pauvreté fixé à 60 % du niveau de vie médian. Les privations matérielles amènent à des choix impossibles et à une dépendance, comme le montre l’étude des budgets des ménages rencontrés par le Secours Catholique en 2019 [8]. Elle met en lumière que les dépenses pré-engagées (loyer, assurances, énergie) pèsent beaucoup plus lourd dans le budget des ménages en situation de pauvreté et que leur reste pour vivre [9] médian est estimé à neuf euros par jour pour une personne seule, pour se nourrir, se vêtir ou avoir accès à des loisirs.
Ce manque d’argent est relié à la dimension « isolement » : les personnes pauvres peuvent être amenées à s’isoler elles-mêmes ou à être isolées par la famille ou les amis. La dimension « maltraitance sociale » – le jugement de la société sur les personnes qui vivent avec les minima sociaux – peut les pousser à ne pas faire valoir leurs droits. Toutes ces privations rendent difficiles les projets et enferment dans la nécessité de survie (dimension « contraintes de temps et d’espace »).
Afin de pallier ces privations, les personnes développent des compétences et des stratégies qui ne sont pas reconnues, ni valorisées : les personnes pauvres seraient responsables de leur situation, ne sauraient pas gérer un budget par exemple. Cette dernière idée reçue ne tient pas face à l’étude des budgets que le Secours Catholique a menée. Elle montre, au contraire, les arbitrages impossibles quotidiens que réalisent les ménages en situation de pauvreté.
Un revenu minimum garanti, d’un montant plus élevé que le RSA – aujourd’hui de 500 euros seulement –, sans atteindre dans un premier temps le seuil de pauvreté (1 100 euros), permettrait à ces ménages en situation de pauvreté de voir leurs conditions de vie s’améliorer, même si ça ne réglerait pas l’ensemble du problème. La lutte efficace contre la pauvreté est possible, c’est un choix de société à effectuer : mieux comprendre ce qui se joue pour trouver collectivement les moyens d’y répondre.
Pascale Novelli
Texte extrait de Réduire les inégalités, c’est possible ! 30 experts présentent leurs solutions, sous la direction d’Anne Brunner et Louis Maurin, Observatoire des inégalités, novembre 2021.
Réduire les inégalités, c’est possible ! 30 experts présentent leurs solutions, sous la direction d’Anne Brunner et Louis Maurin, Observatoire des inégalités, novembre 2021.
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128 pages.
ISBN 978-2-9579986-0-9
10 € hors frais d’envoi.
Également disponible en version numérique à télécharger.
En cas de difficultés financières, vous pouvez demander l’envoi gratuit de l’ouvrage.
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aurianneor · 28 days
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La part du gâteau
Ca ne va pas. Le pouvoir d’achat fond à vue d’oeil, le niveau de vie diminue et les médecins sont de moins en moins disponibles, les médicaments de moins en moins remboursés, etc.
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Il y a manifestement une compétition pour l’accès aux ressources. Si les céréales viennent à manquer, les prix vont monter. On risque d’avoir des coupures d’électricité. Les familles se disputent l’eau que les paysans veulent utiliser dans des méga bassines. On est trop de travailleurs pour le marché de l’emploi. On est trop de malades pour le système de santé. Les caisses de l’Etat sont vides. Une tension est crée par le fait qu’on est trop nombreux sur une petite part du gâteau. Le manque ne rend pas bon, il développe le chacun pour soi. C’est moi d’abord! Chacun défend sa petite part de gâteau. Par exemple, il y a souvent des morts pendant les distributions de nourriture.
Bousculade au Maroc lors d’une distribution d’aide: au moins 15 morts – Le Point: https://www.lepoint.fr/monde/bousculade-au-maroc-lors-d-une-distribution-d-aide-au-moins-15-morts-19-11-2017-2173561_24.php#11
Nigeria : 4 morts dans une bousculade lors d’une distribution d’aide par un groupe d’aide local – AA: https://www.aa.com.tr/fr/afrique/nigeria-4-morts-dans-une-bousculade-lors-dune-distribution-daide-par-un-groupe-daide-local/3173778
Depuis cinquante ans, on a été habitué à un récit néolibéral qui s’est durcit depuis les années 2000: ceux qui ont le plus droit au gâteau, ce sont ceux qui se lèvent tôt, ce sont les premiers de cordée. L’extrême-droite affirme que ceux qui méritent le plus la part de gâteau ce sont les plus purs au niveau racial. Ils promettent aux oubliés de la République qu’ils passeront avant. Ils en appellent à l’égoïsme des gens. Ils gagnent les élections en Europe et soutiennent Poutine qui les finance. Cela affaiblit l’occident. Au lieu de faire envie, on fait horreur: ils acceptent les discriminations, l’esclavage. En Russie, les blancs riches vivent bien car ils exploitent les minorités dans leur intérêt. Les oligarches se gavent et profitent de la plus grosse part du gâteau. Les miettes sont laissées aux autres qui se les disputent. La part donnée aux oligarches ne fait que grossir et les gens deviennent de plus en plus racistes. 1% de la population possède la moitié de la richesse mondiale. Le chacun pour soi nuit à l’ensemble.
1 % de la population possède près de la moitié de la fortune mondiale – Observatoire des inégalités: https://inegalites.fr/La-repartition-du-patrimoine-dans-le-monde
Depuis 2020, les 1 % les plus riches ont capté près de deux fois plus de richesses que le reste de l’humanité – Oxfam International: https://www.oxfam.org/fr/communiques-presse/depuis-2020-les-1-les-plus-riches-ont-capte-pres-de-deux-fois-plus-de-richesses
C’est la loi des plus riches. Ils réduisent la part du gâteau que se partagent les gens aux revenus normaux et ramassent le reste du gâteau.
Si la richesse était répartie équitablement, chacun pourrait être plus riche. Il y aurait plus de services publics: trains, hôpitaux, école, etc.
Dans les années 90, il y avait plus de gâteau pour tout le monde et les gens étaient plus solidaires. L’extrême-droite était moins forte.
Les gens ne se comportent pas pareil en fonction de la taille de leur fortune. Les plus riches peuvent spéculer. Par exemple, ils bloquent le blé pour faire monter les prix.
La loi du plus riche – Oxfam: https://www.oxfam.org/en/research/la-loi-du-plusriche
Il faut taxer les plus riches pour lutter contre les inégalités.
Un siècle d’inégalités de revenus : les super-riches regagnent le terrain perdu: – Observatoire des inégalités: https://inegalites.fr/Un-siecle-d-inegalites-de-revenus-les-super-riches-regagnent-le-terrain-perdu
Il faut prendre l’argent où il se trouve : chez les plus riches – CGT: https://www.cgt.fr/actualites/france/fiscalite/il-faut-prendre-largent-ou-il-se-trouve-chez-les-plus-riches
Les riches gagnent quand les pauvres se battent entre eux– Le blog de Bernard Gensane: http://bernard-gensane.over-blog.com/2015/12/les-riches-gagnent-quand-les-pauvres-se-battent-entre-eux.html
La crise économique favorise le racisme, s’alarme le Conseil de l’Europe – Le point: https://www.lepoint.fr/societe/la-crise-economique-favorise-le-racisme-s-alarme-le-conseil-de-l-europe-03-05-2012-1457787_23.php
Economic scarcity alters the perception of race – PNAS: https://www.pnas.org/doi/abs/10.1073/pnas.1404448111
They really have us fighting each other over crumbs while they sneak off with the entire cake.
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Ma valeur n’est ni marchande ni raciale: https://www.aurianneor.org/ma-valeur-nest-ni-marchande-ni-raciale/
Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Immigration: https://www.aurianneor.org/immigration/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
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jaimelire-france · 2 months
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La Société mourante et l’Anarchie est un ouvrage majeur de Jean Grave (1854 — 1939), figure importante du mouvement anarchiste français.
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conatic · 3 months
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La Belgique est-elle vraiment un des pays les plus égalitaires du monde ? - rtbf.be
Source: RTBF.be
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rivemusique · 3 months
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Extrait de l'émission "Les trésors de la musique belge" sur la Trois @rtbf #semainedelamusiquebelge
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ejcmedia · 5 months
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Danseurs et danseuses : des inégalités de genre face aux blessures
Les inégalités hommes-femmes sont de plus en plus pointées du doigt dans de nombreux domaines, mais existent-elles toujours quand il est question de santé ? En danse classique, la réponse est oui. Là où les portés abîment le dos des danseurs, les pointes dégradent les pieds des danseuses. Photo DR Parler d’inégalités ne veut pas nécessairement dire inégalité dans la quantité de blessures, mais…
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leguidedunumerique · 5 months
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SÉANCE 14-Être débranché ; un grave handicap de nos jours. 
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De nos jour, Internet prend une place très importante dans le quotidien de tous. La majorité de nos activités quotidiennes comme notre divertissement, notre apprentissage et notre scolarisation sont en ligne. Ceux qui ont facilement accès à Internet sont avantagés, car tout ce passe à cet endroit maintenant. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, plusieurs personnes n’ont pas droit à cet accès privilégié. C’est ce qui engendre des fractures numériques et des exclusions sociales. En fait, « […] la fracture numérique désigne les inégalités d’accès à l’internet. » (Ben Youssef, 2004). Les personnes qui peuvent mettre la main sur ces technologies auront certainement droit à de meilleurs renseignements et informations que ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas être branchés. En effet, ceux qui sont sur Internet feront partis d’un groupe de personnes avec plus de savoir, de connaissances et d’éducation, tandis que les autres non branchés se verront davantage vivre de l’exclusion sociale. (Ben Youssef, 2004). 
À titre d’exemple, la pandémie de COVID-19 a été une situation qui a permis de démontrer ces inégalités qui continue d’évoluer dans la société en ce qui concerne l’accès à internet. (Radio-Canada, 2020) En effet, toutes les activités quotidiennes étaient déplacées en ligne à ce moment-là pour éviter les contacts. Les gens dépourvus d’internet, pour une raison ou une autre, étaient donc clairement très désavantagés par cela. Comme l’explique bien Dominic Cliche dans un article de Radio-Canada, ce n’est pas juste les personnes qui habitent en régions éloignées qui sont touchés par ce phénomène, cela peut autant bien toucher des personnes qui se trouvent en grands centres urbains. Dans les grandes villes, il peut y avoir différentes situations qui mènent à cette fracture numérique tels que le manque d’un réseau efficace, la pauvreté, le manque d’éducation, les différents handicaps, etc. (Radio-Canada, 2020) Ces personnes sont donc malheureusement dépourvues des avantages qu’offre le numérique. (Radio-Canada, 2020) 
Finalement, aujourd’hui, être branché à internet est considéré comme une normalité, internet étant une source d’informations très importante. Tout comme Dominic Cliche, je suis d’avis que l’on ne doit pas tarder à prendre les choses en main afin d’aider à contrer le plus possible cette fracture numérique, notamment en diminuant les inégalités sociales qui est la source première de cet enjeu. (Radio-Canada, 2020) 
Bibliographie : 
Ben Youssef, A. (2004). Les quatre dimensions de la fracture numérique. Réseaux, 127-128, 181-209. Cairn Info. https://www.cairn.info/revue-reseaux1-2004-5-page-181.htm  
Radio-Canada Ohdio. (2020). Les inégalités qui se cachent derrière la fracture numérique. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/entrevue/175386/acces-internet-haute-vitesse-education-numerique    
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Qui ne domine pas n'est que celui qui ne prend pas de décisions impliquant autrui... Mais cette passivité est-elle vraiment une déontologie moralement plus méritante ? Et qui croit encore que le pouvoir de décider n'en est pas un ou devrait ne pas exister ? Des licornes à propos de liberté sociale et d'équilibre des influences...
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lerepondeurdesinsoumis · 10 months
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ystorprof · 5 months
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Comment prévenir, réduire et répondre aux violences de genre ?
Cet article a pour but de participer à une amélioration des connaissances du fléau mondial que sont les violences de genre (violences psychologiques et physiques, privées ou publiques, issues des relations inégales et socialement construites entre hommes et femmes) pour participer à une prise de conscience des challenges qu’elle pose et du besoin d’intervenir sur les relations de pouvoir au sein…
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chaosmaticradio · 5 months
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Chaosmatic #21 - A la renverse
Devenir spectateur, c'est accepter de se laisser affecter par un spectacle. C'est ce qu'ont vécu les élèves d'une classe de 5è du collège Joachim du Bellay, à Cholet. En octobre, ils sont allés voir Renversante, de la comédienne et metteuse en scène Léna Bréban, d'après une œuvre de Florence Hinckel.
La pièce évolue dans un monde dominée par les femmes : entre humour et dérision, elle inverse les rôles pour mieux dénoncer les inégalités hommes/femmes et le sexisme ordinaire.
Les élèves en débattent entre eux, sur plusieurs séances, au micro de Chaosmatic Radio : après les premières réactions à chaud où se mêlent surprise, incompréhension et curiosité, vient le temps du retour à soi et à ce que ça nous raconte... pour de vrai.
Équipe de réalisation : classe de 5è du collège Joachim du Bellay (Cholet).
Encadrement pédagogique : Anne Ouvrard
Encadrement artistique, montage et mixage : Cécile Liège
Coordination : Gaëlle Rousière
Musique du générique : Atoum Zeki
Production : le Calame sonore pour le Jardin de Verre
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aurianneor · 5 months
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Le logement
Comment se fait-il que se loger soit si cher que ce soit à l'achat ou à la location? Pourquoi les gens sont-ils obligés de payer alors que "le droit au logement est un droit humain." Avec peu de moyens financiers, il est difficile de trouver un logement abordable et de bonne qualité. (https://www.humanrights.ch/fr/nouvelles/droit-humain-logement)
Dans les villes, les prix ont explosé. Elles sont devenues inaccessibles pour une partie de la population. Alors que les campagnes se vident du fait qu'il n'y a plus de services publics ou de moyens de subsistance (pas d'emploi). (Carte des prix moyens au m² par commune des ventes de maisons et d'appartements en 2020: https://www.data.gouv.fr/fr/reuses/carte-des-prix-moyens-au-m2-par-commune-des-ventes-de-maisons-et-dappartements-en-2020/) Pourtant, les propriétaires ou les vendeurs de biens ne produisent pas de la richesse. Ils ramassent celle des autres. Les employeurs doivent augmenter les salaires pour suivre les coûts du logement. Les employés doivent réduire leurs autres postes de dépenses pour pouvoir payer alors que ce sont eux qui produisent la richesse. Le nombre de repas servis aux restos du coeur explosent ainsi que les demandes de logements sociaux.
La réponse de l'Etat est de payer toujours plus cher pour construire des logements et tous les gouvernements du monde entier défiscalisent la production de logement pour implorer les propriétaires d'en construire plus. Ces propriétaires sont ceux qui paient le moins d'impôt. L'immobilier, c'est la poule aux oeufs d'or pour les propriétaire et un gouffre financier pour les autres qui paient ainsi deux fois. De plus, comme les gens sont obligés d'habiter de plus en plus loin de leur lieu de travail , cela crée de la fatigue et de la pollution et des coûts supplémentaires du fait des prix de l'essence. Et en échange, les gens sont dans des logements en mauvais état, trop petits et construits en béton sans isolation phonique. Ces bâtiments se délabrent rapidement, polluent et ils ne sont pas faits pour le bien-être de vivre mais pour maximiser les profits.

Comme dans l'alimentation, il faut arrêter de subventionner les habitants pour qu'ils reversent ensuite directement ces aides aux propriétaires. Cela revient à donner de l'argent public aux propriétaires! Il faut contrôler les prix pour loger les gens. Dans les années 70, en occident, les gens remboursaient leurs logements en 10 ans. De plus, il faut remettre des services publics performants dans tout le territoire: des routes, des hôpitaux, de la police, des piscines, des écoles, etc. Enfin, il faut que dans les campagnes, il y ait des fermiers. Avant la seconde guerre mondiale, 40% de la population travaillait dans les fermes. Il faut arrêter d'utiliser des machines et des produits chimiques pour compenser une main d'oeuvre qui pourrait être utilisée dans les champs. Il faut des prix d'achat justes aux fermiers utilisant la permaculture bio. Dans tous les pays industrialisés, des fermiers utilisent une main d'oeuvre d'immigrés illégaux dans de très mauvaises conditions pour s'en sortir.
Le revenu de base universel est nécessaire. Aujourd'hui, sans travail il n'y a pas de subsistance ni de dignité. On a des réglementations qui créent des "bullshit jobs" comme l'affirme David Graeber (https://fr.wikipedia.org/wiki/Bullshit_jobs). Les gens sont ainsi obligés de se loger en ville. On a plutôt besoin de bras dans les campagnes pour créer une alimentation saine qui est elle aussi un droit humain. (https://www.humanrights.ch/fr/pfi/fondamentaux/en-bref/couverture-minimum-vital/droit-a-lalimentation/) En temps de guerre, quand les hommes étaient des soldats, le pays tournait avec la seule main d'oeuvre des femmes et des vieux. Avec la robotisation, il y en encore moins besoin de main d'oeuvre. (Eloge de l'oisiveté - Bertrand Russell: https://fr.wikipedia.org/wiki/Éloge_de_l%27oisiveté). Il faut redistribuer la richesse au lieu de la concentrer dans les mains des plus riches.
Le combat d’une lanceuse d’alerte contre les dérives de la défiscalisation locative - Le Monde: https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2019/02/12/le-combat-d-une-lanceuse-d-alerte-contre-les-derives-de-la-defiscalisation-locative_5422456_1653578.html
Crise du logement - Le Devoir: https://www.ledevoir.com/crise-du-logement
POINT DE VUE. « L’avenir des villes dépend de plus en plus de l’avenir des campagnes »- Ouest France: https://www.ouest-france.fr/reflexion/point-de-vue/point-de-vue-lavenir-des-villes-depend-de-plus-en-plus-de-lavenir-des-campagnes-5f7cff50-7d93-11ee-9e40-5131acac1bc0
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Rob the poor to feed the rich: https://www.aurianneor.org/rob-the-poor-to-feed-the-rich/
Isolation phonique: https://www.aurianneor.org/isolation-phonique-le-silence-est-dor-et-comme/
Les intermédiaires: https://www.aurianneor.org/les-intermediaires/
Le bio de masse est une impasse: https://www.aurianneor.org/le-bio-de-masse-est-une-impasse/
Limiter la richesse individuelle: https://www.aurianneor.org/limiter-la-richesse-individuelle/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Comment regagner la confiance?: https://www.aurianneor.org/comment-regagner-la-confiance/
Les humiliés de la République: https://www.aurianneor.org/les-humilies-de-la-republique/
L’écoterrorisme: https://www.aurianneor.org/lecoterrorisme/
Commerce équitable et bio: https://www.aurianneor.org/commerce-equitable-et-bio/
Stop au tout-béton: https://www.aurianneor.org/stop-au-tout-beton/
J’ai déménagé: https://www.aurianneor.org/jai-demenage/
Le revenu de base, c’est possible: https://www.aurianneor.org/le-revenu-de-base-cest-possible-the-instrument/
“I once calculated that I did about one thousand hours of work in the three years I was at Oxford-an average of an hour a day. I am not proud of this lack of work. I’m just describing my attitude at the time, shared by most of my fellow students”.: https://www.aurianneor.org/i-once-calculated-that-i-did-about-one-thousand/
“It doesn’t make sense to hire smart people and then tell them what to do; we hire smart people so they can tell us what to do”: https://www.aurianneor.org/it-doesnt-make-sense-to-hire-smart-people-and/
Le goût et la santé: https://www.aurianneor.org/le-gout-et-la-sante-savoir-lire-les-etiquettes/
4-day workweek: https://www.aurianneor.org/4-day-workweek/
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