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#Le syndrome des amours passées
oldfilmsflicker · 1 year
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new-to-me #392 - Le syndrome des amours passées (The (Ex)perience of Love)
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cinecritik · 11 months
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Le sujet de #lesyndromedesamourspassees est hors-sol mais cette irréalité bienvenue se heurte à des anecdotes sans réelles surprises confinant le film dans un statu quo policé, un comique de répétition finalement assez passe-partout. Il y manque une événement déclencheur, un conflit pour pimenter cette production trop sage. www.cinecritik.com
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genevieveetguy · 1 year
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The (Ex)Perience of Love (Le syndrome des amours passées), Raphaël Balboni and Ann Sirot (2023)
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double-croche1 · 1 year
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[CANNES 2023] NOTRE TOP
Le Festival de Cannes est désormais terminé. On a vu pas moins de 85 films (dont 19 sur les 21 de la Compétition), toutes catégories confondues ! Le classement de nos films préférés parmi ceux-ci, avec les dates annoncées de sortie en salles, ci-dessous :  1. ‘Eureka’ de Lisandro Alonso (CPR) 2. ‘Le Procès Goldman’ de Cédric Kahn (QC, 27/09) 3. ‘Anatomie d’une chute’ de Justine Triet (SOC, 23/08) 4. ‘Jeunesse (Le Printemps)’ de Wang Bing (SOC, 03/01/24) 5. ‘L'Enlèvement’ de Marco Bellocchio (SOC, 01/11) 6. ‘Les Feuilles mortes’ d’Aki Kaurismaki (SOC, 20/09) 7. ‘Fermer les yeux’ de Victor Erice (CPR, 16/08)  8. ‘May December’ de Todd Haynes (SOC) 9. ‘La Zone d’intérêt’ de Jonathan Glazer (SOC, 31/01/24) 10. ‘L'Eté dernier’ de Catherine Breillat (SOC, 13/09) 11. ‘The Sweet East’ de Sean Price Williams (QC) 12. ‘Los Delincuentes’ de Rodrigo Moreno (UCR, 27/03/24) 13. ‘La Grâce’ d’Ilya Povolotsky (QC) 14. ‘Only the River Flows’ de Shujun Wei (UCR) 15. ‘Les Herbes sèches’ de Nuri Bilge Ceylan (SOC, 12/07) 16. ‘Conann’ de Bertrand Mandico (QC, 28/11) 17. ‘La Chimère’ d’Alice Rohrwacher (SOC, 06/12) 18. ’La Fille de son père’ d’Erwan Le Duc (SM, 20/12) 19. ’Lost Country’ de Vladimir Perisič (SC, 11/10) 20. ‘Conte de feu’ de Weston Razooli (QC) 21. ‘Mars Express’ de Jérémie Périn (CPL, 22/11) 22. ‘Vers un avenir radieux’ de Nanni Moretti (SOC, 28/06) 23. ‘L’Autre Laurens’ de Claude Schmitz (QC, 04/10) 24. ‘Elémentaire’ de Peter Sohn (HC, 21/06) 25. ‘Banel & Adama’ de Ramata-Toulaye Sy (SOC, 30/08) 26. ‘Anselm, le bruit du temps’ de Wim Wenders (SS, 18/10) 27. ‘Le Règne animal’ de Thomas Cailley (UCR, 04/10) 28. ‘Simple comme Sylvain’ de Monia Chokri (UCR, 08/11) 29. ‘Ama Gloria’ de Marie Amachoukeli (SC, 30/08) 30. ‘Club Zéro’ de Jessica Hausner (SOC, 27/09) 31. ‘Linda veut du poulet !’ de Chiara Malta et Sébastien Laudenbach (ACID, 18/10) 32. ‘Si seulement je pouvais hiberner’ de Zoljargal Purevdash (UCR, 27/12) 33. ‘L’Amour et les forêts’ de Valérie Donzelli (CPR, en salles) 34. ‘La Mère de tous les mensonges’ d’Asmae El Moudir (UCR) 35. ‘Légua’ de Filipa Reis et João Miller Guerra 36. ‘The Feeling That the Time for Doing Something Has Passed’ de Joanna Arnow (QC) 37. ‘Augure’ de Baloji (UCR, 22/11) 38. ‘Les Colons’ de Felipe Galvez (UCR, 20/12) 39. ‘Vincent doit mourir’ de Stéphan Castang (SC, 15/11) 40. ‘De nos jours...’ de Hong Sang-soo (QC, 19/07) 41. ‘Merle merle mûre’ d’Elene Naveriani (QC) 42. ‘Dans la toile’ de Kim Jee-woon (HC, 08/11) 43. ‘The Old Oak’ de Ken Loach (SOC, 25/10) 44. ‘Monster’ de Hirokazu Kore-eda (SOC, 27/12) 45. ’Sleep’ de Jason Yu (SC) 46. ‘Occupied City’ de Steve McQueen (SS) 47. ‘Bonnard, Pierre et Marthe’ de Martin Provost (CPR) 48 ‘Goodbye Julia’ de Mohamed Kordofani (UCR, 08/11) 49. ‘L’Arbre aux papillons d’or’ de Thien An Pham (QC, 13/09) 50. ‘Chambre 999’ de Lubna Playoust (CC) 51. ‘Le Livre des solutions’ de Michel Gondry (QC, 13/09) 52. ‘Les Meutes’ de Kamal Lazraq (UCR, 19/07) 53. ‘Le Ravissement’ d’Iris Kaltenbäck (SC, 11/10) 54. ‘Little Girl Blue’ de Mona Achache (SS, 01/11) 55. ‘Creatura’ d’Elena Martín Gimeno (QC) 56. ‘Perfect Days’ de Wim Wenders (SOC, 29/11) 57. ‘Lost in the Night’ d’Amat Escalante (CPR, 04/10) 58. ‘La Fleur de Buriti’ de João Salaviza et Renée Nader (UCR) 59. ‘Le Syndrome des amours passées’ d’Ann Sirot et Raphaël Balboni (SC, 25/10) 60. ‘Un hiver à Yanji’ d’Anthony Chen (UCR, 22/11) 61. ’Power Alley’ de Lillah Halla (SC, 22/11) 62. ‘Asteroid City’ de Wes Anderson (SOC, 21/06) 63. ‘Une nuit’ d’Alex Lutz (UCR, 05/07) 64. ‘Les Filles d'Olfa’ de Kaouther Ben Hania (SOC, 05/07) 65. ‘Indiana Jones et le cadran de la destinée’ de James Mangold (HC, 28/06) 66. ‘Chroniques de Téhéran’ d’Ali Asgari & Alireza Khatami (UCR, 27/12) 67. ‘Acide’ de Just Philippot (SM, 20/09) 68. ‘Un prince’ de Pierre Creton (QC, 18/10) 69. ‘Déserts’ de Faouzi Bensaïdi (QC, 20/09) 70. ’Il pleut dans la maison’ de Paloma Sermon-Daï (SC) 71. ‘Rien à perdre’ de Delphine Deloget (UCR, 22/11) 72. ‘La Passion de Dodin Bouffant’ de Tran Anh Hung (SOC, 08/11) 73. ‘How to Have Sex’ de Molly Manning Walker (UCR, 15/11) 74. ‘Le Jeu de la reine’ de Karim Aïnouz (SOC, 28/02/24) 75. ‘A Song Sung Blue’ de Zihan Geng (QC, 06/12) 76. ‘Jeanne du Barry’ de Maïwenn (HC, en salles) 77. ‘Rosalie’ de Stéphanie di Giusto (UCR, 24/01/24) 78. ‘In Flames’ de Zarrar Kahn (QC) 79. ‘Hopeless’ de Kim Chang-hoon (UCR) 80. ’Tiger Stripes’ d’Amanda Nell Eu (SC, 13/03/24) 81. ‘The Idol’ (série, épisodes 1 et 2) de Sam Levinson (HC, 05/06) 82. ‘The New Boy’ de Warwick Thornton (UCR) 83. ‘Omar la Fraise’ d’Elias Belkeddar (SM, en salles) 84. ‘Hypnotic’ de Robert Rodriguez (SM, 23/08) 85. ‘Agra’ de Kanu Behl (QC) SOC : Sélection Officielle - Compétition UCR : Un Certain Regard CPR : Cannes Première CPL : Cinéma de la Plage HC : Hors Compétition QC : Quinzaine des Cinéastes SC : Semaine de la Critique SM : Séances de Minuit CC : Cannes Classics ACID : L’ACID Nos chroniques de ces films sont à retrouver dans les articles Daily #1 à #11 sur notre page dédiée.
A&B
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diagirlsrua · 1 year
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Seiron Syndrome 
Personnage : Mukami Yuma
CD : 暴言シンドローム
Seiyuu : Tatsuhisa Suzuki
Mai : Quand j'ai connu "More Blood" Yuma a été mon coup de coeur avec Ruki, et je me rappelle avoir séché Seiron Syndrome. Vu qu'il y avait des termes médicaux cités, j'ai galéré à traduire et à chercher leurs significations. Comme IPSP qui veut dire "Inhibitory postsynaptic potentials" en anglais. Lien vers la chanson : ici.
寝違えた首の痛みが取れず
ふたり、 Rolling in the depth
絶望にハマってる 何かブッ壊せば
いつもの野生(カン) 取り戻せるかな? Yeah
La douleur de ton cou endolori ne se soumet pas, 
Nous sommes deux à nous enfoncer toujours plus profondément
Tombant vers le désespoir, si toute chose de brise, 
Serions-nous capable de retrouver notre nature sauvage ? Yeah!
帰属ラインは混迷 腫れた the upper eyelid
背中震わせてる
Des traits tournant au chaos, les paupières supérieures gonflées, 
Me faisant trembler l’échine
オマエのことだけ考えて 原点回帰の嫉妬(Shitto)
齧った砂糖の数だけ
伝えりゃいいんだろ――――…………
Penser uniquement à toi, est le point d’ancre d’une jalousie récurrente
Juste par la dose de douceur que nous avons consommé 
Je devrais être capable de te confesser 
「………―――オレの女になれ」
“...... Sois ma femme!” 
心臓(ポンプ)が間に合わない速度で血吸えば
万°(まんど)の刺激に 喉元、騰(ア)がる過呼吸(Hyperpnea)!!!!
Si je t’assèche de ton sang à un rythme que même ton coeur ne peut suivre
Avec dix mille degrés de stimuli, ta gorge tourne vers l’hyperpnée
心臓(ポンプ)が間に合わない速度で血吸えば
万°(まんど)の刺激に 喉元、騰(ア)がる過呼吸(Hyperpnea)!!!!
Si je t’assèche de ton sang à un rythme que même ton coeur ne peut suivre
Avec dix mille degrés de stimuli, ta gorge tourne vers l’hyperpnée
痺れた手先が向かう涯ては 天国か地獄か(Heaven or Hell)?
Sadisticな愛に驀地な(マッシグラー)
暴言(せいろん)シンドローム――――…………!!!!
Vers quelle horizon tes doigts engourdis pointent, enfer ou paradis ? 
S’exaltant volontairement vers un amour sadique 
La logique du syndrome du langage abusif…. !!! 
不貞寝した夜の澱(よど)みは非道(ひど)く
ひとり、Shouting for the Moon
桃尻にムラってる 華をヘシ折れば
甘い薫(かお)り 満喫できるよ Yeah
Les nuits stagnantes passées à me remuer dans mon lit deviennent pénible, 
Seul, criant vers la Lune
Sans repos et aigri, si je froisse cette fleur
Je peux obtenir ma dose de cette douce fragrance ! Yeah! 
持続タイムは循環 揺れた 抑制性シナプス(IPSP)
我慢出来ずに射出(だ)す
La continuation du temps, secoué par un cycle sans fin de ce syndrome neuronal
Une irrésistible injection
ヒトリの愛だけ求めれば 未来永劫のJitter?
誓った痛みの痕跡(きずあと)
暴れりゃいいんじゃね――――…………?
Si nous recherchons l’amour d’une seule personne seulement, devrions-nous souffrir de cette éternité en pleine gémellité ? 
La douleur injurieuse de ces cicatrices, 
Ne devrions-nous pas les laisser s’enrager ? 
「………―――滅茶苦茶になれよ」
“....Devenons insousciants !” 
心臓(ポンプ)が間に合わない速度で血吸えば
万°(まんど)の刺激に 喉元、騰(ア)がる過呼吸(Hyperpnea)!!!!
Si je t’assèche de ton sang à un rythme que même ton coeur ne peut suivre
Avec dix mille degrés de stimuli, ta gorge tourne vers l’hyperpnée
崩れた道徳(モラル)を裁くワードは 生か死か(To be or not to be)?
Majesticな罪に驀地な(マッシグラー)
暴言(せいろん)シンドローム――――…………!!!!
Les mots qui jugent ta morale ébranlée, être ou ne pas être ? 
S’avançant au sein d’un majestueux péché
La logique des symptômes de cet abusive langage! 
「なんにも賭けねぇでなんか得ようってさ」
「都合よすぎるんだよ、この雌豚」
「脳汁出るくらいブッ放したいんだろ」
「だったら…、お前の全部差し出せよ」
“Obtenir quelque chose sans avoir rien à risquer du tout,”
“Cela me semble trop bon pour être vraie…Tu le sèmera”
“Je veux pointer mon arme vers toi, et endormir ton cerveau” 
“Dans ce cas, tu n’aurais qu’à abandonner tout ce que tu possèdes !” 
(オマエノコト)
求愛(もと)めりゃいいんだろ――――…………
(Quelqu’un comme toi, 
Je n’en exige que ton amour――――…………)
「………―――あのさあ」
「いい加減にしてくんね?」
「……いつでも、欲しがってんじゃねぇよ!!」
“Hey, maintenant, 
Ne devrions-nous pas surpasser cela ?” 
“... Ce n’est pas comme si nous allions le désirer pour toujours !”
心臓(ポンプ)が間に合わない速度で血吸えば
万°(まんど)の刺激に 喉元、騰(ア)がる過呼吸(Hyperpnea)!!!!
Si je t’assèche de ton sang à un rythme que même ton coeur ne peut suivre
Avec dix mille degrés de stimuli, ta gorge tourne vers l’hyperpnée
心臓(ポンプ)が間に合わない速度で血吸えば
万°(まんど)の刺激に 喉元、騰(ア)がる過呼吸(Hyperpnea)!!!!
Si je t’assèche de ton sang à un rythme que même ton coeur ne peut suivre
Avec dix mille degrés de stimuli, ta gorge tourne vers l’hyperpnée
痺れた手先が向かう涯ては 天国か地獄か(Heaven or Hell)?
Sadisticな愛���驀地な(マッシグラー)
暴言(せいろん)シンドローム――――…………!!!!
Vers quelle horizon tes doigts engourdis pointent, enfer ou paradis ? 
S’exaltant volontairement vers un amour sadique 
La logique du syndrome du langage abusif…. !!! 
痺れた手先が向かう涯ては 天国か地獄か(Heaven or Hell)?
Sadisticな愛に驀地な(マッシグラー)
暴言(せいろん)シンドローム――――…………!!!!
Vers quelle horizon tes doigts engourdis pointent, enfer ou paradis ? 
S’exaltant volontairement vers un amour sadique 
La logique du syndrome du langage abusif…. !!! 
Vers quelle horizon tes doigts engourdis pointent, enfer ou paradis ? 
痺れた手先が向かう涯ては 天国か地獄か(Heaven or Hell)?
Sadisticな愛に驀地な(マッシグラー)
暴言(せいろん)シンドローム――――…………!!!!
S’exaltant volontairement vers un amour sadique 
La logique du syndrome du langage abusif…. !!! 
「………―――ったく、しょうがねぇ女、」
“.... Bordel, t’es vraiment une nana sans espoir, hein ?”
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r8m8in · 9 months
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Films vus au cinéma [2023]
La Conférence
Je verrai toujours vos visages
Evil Dead Rise
Beau is Afraid
It Follows
Showing up
Ramona fait son cinéma
Sur l'adamant
Parasite
L'amour et les forêts
Le Croque mitaine
Camila sortira ce soir
Le processus de paix
Elementaire
Asteroid City
Les grandes vacances de cowboy et indien
Master Gardener
Insidious : The Red Door
Les Filles d'Olfa
Barbie
Yannick
Tropic
Un coup de maître
La Bête dans la jungle
Reality
L'expérience Almodovar
Anatomie d'une chute
Le livre des solutions 
L'été dernier
Un métier sérieux
Le procès Goldman
Le Règne animal
Bernadette
Le Consentement
Dogman
La Fiancée du poète
Le Ravissement
Le Syndrome des amours passées
Le Vourdalak
Simple comme Sylvain
Vincent doit mourir
Bâtiment 5
Rien à perdre
Dream Scénario
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didtwit · 11 months
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Ma dernière séance … Le Syndrome des amours passées
Ma dernière séance ... Le Syndrome des amours passées
Quelle bonne surprise cette comédie, à la fois légère et grave. L’histoire est très originale, la mise en scène est inventive avec des univers très différents à chaque rencontre … C’est frais, c’est drôle, c’est intelligent et les comédiens sont tous très bien !Au final, des situations cocasses, des rebondissements, de l’humour, de l’émotion… enfin un très bon moment de cinéma ! cinema…
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rencontresinfidelesch · 11 months
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Ann Sirot etRaphaël Balboni- « Le syndrome des amours passées ». - Culturopoing
Ann Sirot etRaphaël Balboni- « Le syndrome des amours passées ».  Culturopoing http://dlvr.it/Sxk43v
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lemagcinema · 1 year
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#SemaineDeLaCritique2023 : Rencontre avec l’équipe du film "Le Syndrome des amours passés"
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Rencontre avec Ann Sirot, Raphaël Balboni, Lucie Debay & Lazare Gousseau
Retrouvez l'article complet ici https://lemagcinema.fr/festivals/cannes/cannes2023/semaine-de-la-critique-2023/semainedelacritique2023-rencontre-avec-lequipe-du-film-le-syndrome-des-amours-passes/
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vestae-vocivus · 2 years
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Hello ✨
Je vous annonce un nouveau projet 🏛 🥸 ça fait depuis longtemps que je souhaite avoir un espace pour créer des ressources, pour celle et ceux qui viennent zieuté.es parfois j’ai pu réaliser quelques codes / textures  et à Noël j’aime bien faire un calendrier de l’avent avec des petits cadeaux. Je suis sur le prochain aussi pour ne pas le manquer haha  
C’est une vrai passion en complément de faire des avatars depuis des années. De la conception à la réalisation, j’ai toujours l’envie d’aller plus loin pour créer des univers et de les partager. J’ai essayé des plate-formes par le passé mais j’étais pas satisfaite  (perfectionnisme bonjour) & forcément après un bon syndrome de l’imposteur qui s’en est suivie, je me suis dis well fuck why not. 
Pour l’instant, il n’y a que des ressources que j’avais déjà posté par le passé. Très vite de nouvelles ressources vont apparaître, je peaufine les derniers détails, elles seront plus abouties car forcément j’ai appris de mes expériences. 
Le nom Alchemical Sapientia à été trouvé avec @maaelstrom​. Vous connaissez (ou pas, vu que je suis pas hyper expansive par écrit sur mon tumblr) mon amour pour le monde de l'ésotérisme alors le processus de l’alchimie vers l’image m’était très séduisant.   
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MON NOUVEAU LABORATOIRE  
 TUMBLR OU LES NEWS SERONT POSTÉS   (pour pas trop spam ici) 
 TUMBLR DE PARTAGE  si des users  ajoute le tag #alchemicalsapientia 
Merci de votre attention, si vous souhaitez vous pouvez laisser des commentaires directement sur le site aussi. Bonne journée à vous ✨ 
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dont-tell-any-buddy · 4 years
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“Encas” de doutes.
Ça y est, c’est reparti, j’ai à nouveau besoin de m’interroger sur la manière dont je fonctionne. Je suis prise d’un besoin irrépressible de me demander pourquoi je ressens et agis de telle façon.
Ça fait déjà un moment que j’y songe et plusieurs mois que j’ai créé ce blog, mais prise d’une flemme non inhabituelle chez moi en ces temps de chômage COVIDal, j’ai repoussé, et repoussé, sans jamais coucher chacune de mes pensées qui s’écoulaient telles de l’eau sortie d’un robinet. Alors que je SAIS que ça me fait du bien, à défaut d’aller claquer le pognon que j’n’ai pas dans des consultations psychologiques ou d’aller embêter mes camarades avec mes longs pavés, comme si je cherchais à m’inventer des problèmes. Alors que si je prends du recul, je n’ai pas à me plaindre : la santé, les amours, la famille, globalement tout va bien. Le seul truc qui me chafouine un peu (mon dieu... j’ai vraiment utilisé le verbe “chafouiner” ?) c’est le fait de ne pas trouver d’emploi à la sortie de 9 années d’études. C’est un peu emmerdant, oui. Et d’un côté j’ai peur. J’ai peur à la fois de trouver un emploi qui ne me permette pas de m’épanouir professionnellement, de décevoir mes collègues et supérieurs, j’ai peur d’être moquée, prise pour une idiote. Et de l’autre côté, plus le temps passe, plus je crains retrouver un emploi parce qu’à mesure que je reste inactive professionnellement, et plus je doute de mes capacités. J’ai tellement peur de décevoir. Et si j’ai peur de décevoir, c’est surement que j’appréhende que les autres me renvoient une image négative de moi-même, comme si celle que je me porte ne suffisait pas. Eh bien voilà, on y vient, tout doucement mais surement. Il est là, ton souci. Enfin, du moins, un de tes “soucis”. Tout part du fait que tu n’aies pas confiance en toi. La question maintenant, c’est pourquoi. 
J’imagine que les réseaux sociaux ont un certain impact sur la façon dont je me perçois. On a beau savoir que des trucs c’est du bullshit, que tout est faux, retouché, embelli, que les influenceurs sont là pour “vendre du rêve”. L’image du corps parfait de la femme, déjà, m’empêche de vraiment m’apprécier. Et quand je me regarde dans le miroir, je le fais non pas par narcissisme (du moins, je l’estime !) mais parce que j’essaye de trouver de quoi me rassurer. Parce que qu’on se le dise ; on m’a quand même déjà confirmé que je n’avais pas un physique comme tout le monde. Mais je ne sais pas comment recevoir cette critique, honnêtement. Moi qui cherche toujours à suivre le mouvement, rentrer dans le mouv’, être “invisible” (j’imagine que ce terme est erroné puisque la suite va démontrer que j’ai besoin de me démarquer tout de même) enfin, d’être comme tout le monde, dans une certaine mesure.
Rev’nons-en à nous moutons. J’en étais où déjà, avant mon éternelle digression ?
Au lieu de tout bêtement m’accepter, je parviens à trouver en ma personne (que je considère pourtant comme étant un bisounours) des tares, dont j’aimerais pouvoir trouver l’origine afin de pouvoir me considérer comme étant tout à fait normale.
Est-ce que je me considère-je comme anormale ? Je n’irais pas jusque là.
Mais il y a des évènements dans la vie qui me font passer par des émotions et besoins que je ne peux m’empêcher d’interroger. 
Aujourd’hui, je me suis mise à faire des recherches sur le syndrome du sauveur. Il y a quelques mois, je partais du principe (après recherches) que je “souffrais” de “dépendance affective”. J’ai l’impression de vouloir à tout pris rentrer dans des cases. Mais on est plein de choses. On n’est pas qu’une seule chose. Bah oui, bécasse, tu viens de dire que t’étais un bisounours, dépendant affectif et souffrant du syndrome de l’imposteur. Ça fait déjà trois choses alors c’est quoi l’problème ?
Bah le souci c’est que les deux points dernièrement cités, je ne trouve pas que cela soit saint. J’vais d’abord en venir au Syndrome du sauveur parce que c’est le point sur lequel je me suis penchée aujourd’hui, tu sais, ma nouvelle “tare”. Ce qui me fait penser ça, c’est qu’encore une fois, j’ai ressenti le besoin d’aider à ma manière, une personne qui était triste. Pas n’importe laquelle, mon copain, mais aussi son coloc, qui sont touchés par le deuil d’un ami décédé il y a deux jours. Je suis passée par là à deux reprises (d’ailleurs je ferais bien de fermer ma gueule et ne pas le dire à qui veut bien l’entendre parce que techniquement, présentement ce n’est pas moi qui suis à plaindre. Au moment T, je ne vis pas de deuil (Inchallah)). Jusque là, rien d’anormal, me diras-tu. 
Ce qui me met la puce à l’oreille, c’est la définition qui est faite du syndrome du sauveur. En gros, ça dit que l’envie de sauver quelqu’un qui va mal, c’est parce que toi même, t’as un souci, et qu’en étant utile à la personne, tu cherches à ce qu’en la satisfaisant, elle te renvoie une belle image de toi. C’est pas saint ça, erf !
J’ai l’impression de systématiquement vouloir tout rapporter à moi, comme si j’avais constamment besoin d’attention. En fait, derrière ma bienveillance, j’ai l’impression de ne pas être une personne aussi “belle” intérieurement, que ce que je pensais. J’ai l’impression, comme mon professeur de philosophie disait, qu’il n’y a pas d’acte désintéressé. Même d’une mère à son enfant : elle veut rendre son gamin heureux, parce que ça la rend heureuse, elle. C’est ça, qu’il expliquait, ce bon Monsieur. 
Bon, après réflexion, j’me dis encore une fois que tout part de mon manque de confiance. Je suis une personne gentille et correcte, par définition.
Mais je crois que j’ai besoin d’être appréciée par les autres, pour être satisfaite de la personne que je suis. C’est pas “grave”, en soi. Mais il faudrait que je parvienne à me détacher complètement du regard des autres. Pourtant j’pense pas avoir besoin de faire ça pour être appréciée, je suis plutôt simple, souriante, agréable et gentille. J’aime être gentille, apporter un peu de lumière autour de moi. Clément et son entourage m’ont qualifiée de “solaire”, et c’est le plus beau des compliments qu’on pouvait me faire. J’avais d’ailleurs hésité à me faire tatouer un soleil sous le bras, à un moment, mais vu mon expérience avec les tatouages, on va s’abstenir, hein !
Mais du coup j’me demande si mes démarches bienveillantes sont sincères. est-ce que je suis vraiment gentille dans le fond ou est-ce que c’est uniquement intéressé ? Peut-��tre qu’il y a des deux. 
Avec du recul, j’me dis que quiconque lirait un torchon pareil se dirait que je suis une personne laide. En fait, il faut que j’arrête, inconsciemment, d’être en recherche de la perfection : on ne peut pas être parfait. Il faut juste que je fasse les choses sans réfléchir. Facile à dire, pfff, j’t’en foutrai, moi. Avec des “si”, on pourrait refaire le monde. Non mais j’dis ça comme si c’était impossible alors qu’encore une fois, y’a pas mort d’homme.
Heeee c’est impressionnant comme j’peux me parler à moi même pendant des lignes et des lignes et des liiiiignes. Si avec ça on m’dit que j’ai pas un souci...
Mon cerveau réfléchit beaucoup, TROP souvent, et pour des choses qui n’en valent pas la peine. Parfois, j’voudrais bien être un mec. J’dis ça comme si leur genre les empêchait de réfléchir pour de la merde alors que c’est complètement faux, mais disons que globalement, j’ai quand même l’impression qu’ils se prennent beaucoup moins la tête que les gonzesses. 
J’me perds dans cet océan de mots, je ne sais même plus où je voulais en venir, punaise. Ah oui ! La confiance en moi. C’est sur ça qu’il faut que je travaille. Ouah, première nouvelle, tu veux une médaille pour avoir pondu un pavé juste pour en sortir cette conclusion ?
Ah puis, j’ai aussi le syndrome de l’imposteur par dessus le marché, je pense. On ne va pas s’en sortir ! quoi que remarque, y’a un point commun à ces trois pathologies (?), et c’est encore une fois un souci d’image, de confiance en soi. 
Alors, pourquoi j’ai l’impression d’avoir moins de confiance que la moyenne des gens ? D’ailleurs, sur quoi j’me base pour penser un truc pareil... on est qu’un petit grain de sable sur Terre... je ne suis pas dans la tête des gens.
Concentre-toi sur toi et pas sur les autres, petite luciole (luciole = anagramme de “couille”, bah oui, j’aime bien me flageller, pour la déconne ! Mais même pour déconner, peut-être que je pourrais plutôt m’encourager. Plutôt que de me déprécier. Je sais très bien que j’le ferai pas. Bref, c’est plus mignon, le mot “luciole”.)
De toute façon, c’est simple, je préfère voir noir plutôt que blanc. C’est pour me protéger. Ça a de fortes chances de venir de ma mère, elle anticipe toujours le négatif ; c’est même très chiant. Encore une chose que j’aurais hérité d’elle, sans le vouloir. Je dis ça comme si tout était à jeter chez elle mais pas du tout, évidemment. C’est juste une angoissée et veut tout faire pour que ses enfants aillent le mieux possible. Elle préfère prévenir, que guérir. Et c’est bien normal, d’ailleurs.
Bon, du coup. J’en étais où dans tout ce merdier ? La confiance en soi. Est-ce que j’ai déjà eu confiance en moi ?
Maman disait que quand j’étais petite, je n’étais pas timide. J’allais vers les gens, je leur donnais mon nom, mon prénom, limite mon adresse. Aujourd’hui, à 27 ans passés, on peut dire que cela a bien changé. J’ai l’impression que les gens me surestiment. Qu’ils me pensent intelligente alors que pas du tout. oh wait, à chaque fois je fais l’amalgame, donc je me rectifie : qu’ils me pensent cultivée. Il y a plusieurs formes d’intelligence, donc je pense pouvoir dire que je suis intelligente d’une manière ou d’une autre. Ma sensibilité et le fait que je sois capable d’introspection, font que je suis au moins intelligente sur cet aspect. Mais je ne suis pas cultivée. Je me suis intéressée au monde qui m’entoure, trop tard. J’ai surement mis du temps à murir. De toute façon, j’ai du mal à retenir des informations culturelles, quand bien même je cherche à me cultiver. C’est un peu tard pour commencer à emmagasiner des connaissances même si mieux vaut tard que jamais. Mon frère m’avait dit déjà il y a quelques années, que c’était important d’être cultivé, pour savoir quoi dire en soirée, pour avoir des débats et ne pas rester comme un con à contempler, sans savoir quoi dire. Bah il avait pas tort.
C’est surement aussi pour cette raison que c’est important pour moi, de faire rire les gens. C’est ma façon à moi d’exister à leurs yeux. Tout le monde peut rire, mais tout le monde n’arrive pas à faire rire. Je pense que je suis plutôt drôle. J’ai toujours aimé faire rire les gens. Même au lycée, quand j’apprenais des sketch d’Elie Semoun et Florence Forestie pour pouvoir les réciter devant les copains/copines. 
De même que j’ai remarqué que les critiques, aussi bien que les compliments, ne me laissent jamais indifférente. Je les stocke dans un coin de mon cerveau. Mais la critique me marque plus durement. 
D’ailleurs, j’ai déjà été séduite par des mecs principalement parce qu’ils me portaient de l’intérêt et me complimentaient. Alors que d’emblée, ils ne m’auraient pas intéressée. Ouais j’ai vraiment un souci d’image, j’confirme, même si encore une fois ça n’est pas nouveau.
Y’a qu’à repenser à mon ancien patron, par exemple. Il me prenait tellement pour un boulet, que combien de fois j’me suis imaginée accomplir des choses classes/cool devant lui, hors boulot, qui feraient qu’il reconsidérerait le jugement qu’il avait de moi. 
Mais ça vient d’où, ce besoin, ce manque ?
J’me souviens juste que ma mère (qui m’a élevée quasiment seule hein, je le rappelle, puisque mon père était juste spectateur de mon éducation, et encooore.) et qu’elle a eu des mots durs envers moi, mais simplement parce que les mots rabaissants avaient motivé mon frère : pour montrer qu’il n’était pas nul à l’école, lui, il s’est battu, accroché. Moi, j’ai vite compris le petit stratagème de ma mère et j’ai finalement fait tout l’inverse de ce qu’elle attendait. J’me suis rebellée. Je pense que j’ai été plus difficile que mon frère. Ça vient surement du fait que j’ai été plus écoutée parce que j’étais plus jeune et qu’en plus, j’étais une fille. Mais malgré le fait que je sois une tête de mule avec mes parents, les mots ont quand même eu un impact et je pense qu’à force de me dire “pauvre pomme” “pauvre conne”, “grosse vache”, “t’es la honte de la famille”, bah j’ai surement fini par penser que cela me définissait. 
Et à me faire à l’idée. Si bien qu’en première, ma prof principale m’a convoquée en fin d’heure pour me dire qu’elle avait remarqué que je ne finissais jamais mes phrases alors que je levais la main pour tenter de répondre. Et elle a à peine évoqué un blocage psychologique lié à mon enfance, que j’ai fini par pleurer sans pouvoir contrôler mes larmes. Clairement, j’étais dépassée et ne comprenais pas pourquoi je pleurais. D’ailleurs, je le lui ai dit : “je pleure, mais je ne sais pas pourquoi !”. Le fait est qu’elle avait mis le doigt sur quelque chose, elle avait touché une corde sensible et elle l’a compris, en voyant ma réaction. Je me souviendrai longtemps de ce moment et pourtant c’était en 2010.
Tout de suite quand elle a parlé de ça, j’ai pensé aux mots de ma mère. Ma mère, qui fait pourtant tout pour ses enfants. Je ne peux pas lui en vouloir, être parent, ça doit être le métier le plus difficile au monde. Je ne sais pas comment je serai quand je serai mère. Même si sur certains points, j’ai envie de dire que je ne serai pas comme elle, je sais pertinemment que je vais hériter de certains de ses traits de caractère qui m’exaspèrent, ça fait partie de la transmission...
Et, si je remonte à plus loin, j’imagine que les nombreux râteaux que j’ai essuyés à cause de mon physique ingrat au collège et en primaire ne m’auront pas aidée. J’ai quand même pas mal été moquée. Quand j’ai demandé à ce type pourquoi lui et ses camarades de classe (en primaire) m’appelaient “caniche”, et pourquoi je n’étais pas assimilée à un labrador, à la place, ils m’ont répondu que c’était parce qu’ “un labrador, c’est bien trop beau pour toi”. Bon, aujourd’hui, je me suis rattrapée, on ne m’appelle plus comme ça dieu merci, et globalement les mecs qui se seront moqués de moi me trouvent plutôt mignonne ou du moins pas vilaine, aujourd’hui. Je n’arrive pour autant pas à me trouver “jolie”, comme je disais plus haut, quand je me regarde dans la glace, c’est pour essayer de trouver des choses positives. Mais je sais qu’on est (beaucoup trop) nombreux.ses à se trouver de nombreux défauts physiques. Je n’ai rien inventé. 
Est-ce que ce sont entre autres, ces deux moments “clés”, qui font de moi la personne en manque d’assurance et d’amour propre que je suis ?
J’ai assez creusé le sujet pour ce soir. J’y reviendrai plus tard.
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ahphilgood · 6 years
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Les p’tits trips #1 - Paris
Petits voyages dans l’hexagone, le nez au vent, Minolta XE-1 en bandoulière.
Ahhh, Paris, que j’aime de plus en plus découvrir au fur et à mesure de mes passages. Il m’a fallu du temps pour apprécier Paris. Au début j’en disai, pour résumer, « c’est gris, c’est moche ». Un peu hâtif comme jugement, je vous l’accorde. Même si j’avais tout de suite accroché avec Montmartre (le syndrome « Amélie Poulain » sans doute), le Père Lachaise (Jim Morrison, ma jeunesse, tout ça…) et les ponts (j’ai un truc avec les ponts…) Puis à force d’y retourner, de m’y balader au hasard en écoutant Emilie Simon chanter son amour pour elle, je suis tomber amoureux aussi, de la capitale.
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Quand “je monte à Paris”, je suis dans le 11ème, dans une rue très animée, d’un quartier très animé. Et ce qui m’a fait aimé Paris, c’est que cette ville est d’une richesse inouïe pour qui prend simplement le temps de regarder. Et prendre le temps, ça tombe bien, j’adore ça. Les passages, les immeubles parisiens typiques, le Canal St Martin, la gare du Nord. Et le Pavillon Carré de Baudouin où j’ai pu (re)découvrir une rétrospective sur le travail de Willy Ronis et, en ce moment, une très belle exposition de William Daniels.
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Même si je ne suis pas un adepte des sentiers battus, je suis aussi passé par quelques endroits bien connus que j’ai beaucoup apprécié. Et notamment une balade sous la pluie à la BNF, puis le long des quais de Seine pour remonter vers le Marais. Je suis revenu là le lendemain pour le centre Pompidou, les Halles et les alentours que j’aime beaucoup aussi pour le côté graphique.
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Et c’est tout ? Certains quartiers déjà visités en numérique (la Butte-aux-Cailles, le parc Montsouris, la petite ceinture) méritent une nouvelle visite. 
à suivre…
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25ruemarceau · 6 years
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2019
Le yakuza photographié et encadré domine la pièce, il tourne le dos aux habitants d'un appartement parfois animé souvent éteint par une amertume latente vieille de plusieurs années. Quand on entre, on sait que la cigarette est le parfum préféré des locataires. Le maquillage jonche le sol près du miroir, en fait, tout est à propos de ça, maquiller, il s'agit de camoufler les blessures sans les panser, de déplacer la gêne et d'ignorer les frustrations, comme on balaye les moutons de poussière sous un tapis. Les vêtements récemment passés traînent négligemment sur le canapé du fond. C'est un tableau en noir et blanc, un appartement cossu du troisième étage, par conséquent, lumineux mais gris, spacieux mais chargé d'un passif douloureux, jamais ordonné, comme l'esprit de ceux qui l'habitent. Ils commencent tout, ne terminent jamais rien, doutent de tout, ont peur l'un de l'autre, ont les yeux ouverts mais ne voient rien. Ils sont là sans être présents, entendent mais n'écoutent pas. Leurs cris étouffés se lisent dans leurs yeux, elle les maquille chaque matin soigneusement, pour qu'il ne s'inquiète pas. Leur masques sont tenaces, ils ne les retirent plus, la diplomatie avant le reste, la langue de bois sinon rien. Depuis toujours, on mange de l'amour coloré, de l'amour passionnel, sans compromis, sans condition. On rêve d'une vie qui n'existe que pour les autres, on pleure nos fantômes sur lesquels on tire la chasse d'eau après avoir passé la journée à l'hôpital, on hyperventile sur la partie de soi à laquelle on a dit au revoir il y a trop longtemps. Ils donnent de la soupe à la télévision, une soupe qui ne reflètera jamais leur réalité. Ils avalent chaque goutte du vomi divertissant qu'on leur sert pour éviter de regarder l'autre vraiment, enfin, comme ils le faisaient avant, comme ils l'ont pourtant toujours fait. Jeunes adultes, ils cohabitent comme un vieux couple, enfermés dans un amour terne mais encore présent, attachés l'un à l'autre comme peuvent l'être des siamois, ils ont besoin de la peine de l'autre pour exister, se nourrissent de leurs toxicité, du calme de l'un, du volcan de l'autre. Ils ont bien grandis, l'enfant turbulent est devenu un homme calme, passif, la petite fille modèle renferme aujourd'hui tant de colère que son corps ne l'écoute plus, habité par un monstre qui pourrait sortir et déverser sa rage, faire fuir, faire détester chaque parcelle d'elle-même aux autres. Au fond, c'est ce qu'elle voudrait, les faire tous partir, être face à elle-même casser son miroir, perdre la vue, ne plus sortir, ne plus faire d'effort, ne plus être la "séductrice sociale" qu'on lui demande d'être. Exploser au lieu d'imploser. Laisser cette vieille rage endémique se propager et voir le reste brûler. Mais elle sourit, elle rit, elle fait rire, elle s'habille, se coiffe, se prépare, séduit parce qu'elle n'existe que dans le regard des autres. Il ne sourit plus vraiment, mais il s'habille, il a besoin de la reconnaissance des autres, mais ne la quémande pas, la pudeur comme maître-mot, il aime avec mesure, il se maîtrise, il n'abuse de rien. Elle marche, ou cesse de marcher selon ses émotions, il ne voit que par le prisme de la raison. Une fissure profonde, une incompatibilité indélébile qui leur a coûté beaucoup trop, qui leur coûtera encore. Malheureusement enfermés dans des rôles, ils ont signé un pacte diabolique, celui du déguisement, de la malfaçon, il y avait depuis déjà quatre ans, un vice caché qu'ils n'ont jamais réparés. L'hiver est froid, donc c'est habituel, ils sont affalés dans le canapé troué par leurs cigarettes, tâché par ses larmes. Ce soir, elle ne pleure pas, en fait, elle a constamment l'oeil larmoyant, elle attribue ça à sa santé, souvent, elle pense que c'est parce qu'elle devrait porter des lunettes. Elle se rassure sur Doctissimo, mais oui, c'est ça, elle va prendre rendez-vous chez l'ophtalmo, sur son téléphone, peu de notifications, elle n'est appréciée que par les très proches. Sa mère, son meilleur ami. Elle est parfois convoitée sur Instagram, elle s'amuse à se prendre en photo, en sachant que ça l'agace, lui qui est si pudique, si renfermé, inexistant en ligne. Il voit ses yeux rouges, ses pupilles émues, mais il ne les regarde jamais. Elle marche parfois d'un pas décidé, peu vêtue, dans l'espoir d'attirer son attention, lui qui est si souvent absorbé par les tréfonds de son esprit, dans le doute. Elle n'attire l'intérêt des autres qu'en ligne, elle a de l'esprit, elle aborde facilement les étrangers, c'est gratuit, c'est gratifiant, c'est jouissif. Elle ne le fait jamais dans le but de s'aventurer dans une relation hasardeuse de laquelle elle ne saurait s'extirper. Elle a donné dans la passion. Elle a donné dans l'abandon d'elle-même. Elle prend rendez-vous en ligne pour ses lunettes, six mois, toujours, six putains de mois d'attente. Elle pleure tout le temps, son mascara coule dans sa première ride, celle qui lui donne l'air épuisé, le creux sous l'oeil, elle n'a pas le temps pour les 6 mois. Il est sur son téléphone aussi, il a mal à la tête, elle avait des ordonnances tellement intéressantes avant, c'était facile, de prendre un Tramadol et de regarder la douleur partir. Elle marche à nouveau, c'est vraiment bien, mais le Tramadol, c'était bien aussi. Il essaye de regarder, comme d'habitude, d'un oeil, son téléphone à elle, c'est comme une bombe à retardement, il sait qu'elle y cache des choses, c'est devenu un as en la matière, il repère ses mimiques quand elle écrit, il voit son nez bouger quand elle ment. Il est devenu paranoïaque, il ne supporte plus de douter. Il le vit mal, mais il l'aime quand même, c'est sa chose. Il ne la touche presque plus en fait, il doute aussi de lui-même. Il espère qu'elle n'aille pas trouver un mec qui la touchera là où il faut. Qu'il ne s'inquiète pas, elle est discrète et persuadée de ne pas être attirante. Il fait mine d'être concentré sur les résultats du foot d'hier, alors qu'en fait, il est indéniablement blessé par leur incapacité à communiquer, à se comprendre. Ce soir, elle ne parle pas beaucoup, elle n'a pas envie. Ils mettent donc comme toujours, une série. C'est bien ça, ils en auront pour plusieurs semaine ; du temps tué et des conversations toutes trouvées. C'est tellement simple. Elle mangera un burger, il mangera des légumes, elle perdra 500 grammes, il en prendra 800. Leurs corps aux antipodes, leurs esprits à des kilomètres l'un de l'autre. Elle abordera une réflexion lue sur un article débile sur Facebook, il ne rira pas, il ne réagira que peu, ça ne l'intéresse pas en fait. Pourtant ils partageaient tout. Vraiment tout. Plus jamais ça n'arrivera. Le couple est fané, comme si la date de fin de leur couple avait expirée et qu'ils persistaient à consommer les cendres de leurs richesses partagées autrefois. Pourtant ils se demandent, comment ont fait leurs parents pour se trouver et se garder ? Ils se demandent comment on fait pour être heureux et sur la même longueur d'onde pendant si longtemps. Âmes soeurs, non, ça n'existe pas ça. Elle a eu son heure de gloire, plus jeune, elle était bien, un peu plus en forme, plus jolie, plus désirable, plus souriante, tellement fougueuse. Elle a passé son tour, la loterie, c'était plus tôt, c'était presque gagné, elle n'a pas su gérer la rancune. Il a tout fait pour elle quand elle était malade, ça a duré si longtemps, presque cinq ans, sur à peine six ans de relation. Il ne s'est posé aucune question, elle ne pouvait plus marcher, il allait l'aider, il l'a aidée. Elle est reconnaissante, elle a peur qu'il fasse une syndrome de l'infirmière, enfermé dans un rôle d'accompagnant. Elle est reconnaissante et c'est ce qui les sauve, temporairement. C'est une grande amoureuse, elle ne pourra jamais lui apporter la stabilité dont il rêve, tant elle est constamment à la recherche de la passion, qu'il ne peut lui offrir. C'est une impasse, une situation immuable. Le tableau en niveaux de gris est statique. Ils n'avancent pas car le mouvement pourrait être inversé. Ils ne font pas de vagues parce que le vent pourrait tourner. Ils ne se parlent pas parce que les pensées dépassent leur courage. Le vent ne se lèvera pas pour eux, c'est comme ça depuis des années, leur appartement leur a ouvert les portes d'un cocon figé dans le temps. Sans désespoir aucun, leurs yeux se ferment sur ce qu'ils auraient dû être. Ils veulent se lever, marcher et aller, mais est-ce possible de le faire chacun de leur côté ?
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cecinestpasunponey · 2 years
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Peur n. f.
Depuis toujours, j'entends très, trop souvent, dans les conversations que j'ai avec des personnes diverses et variées, proches ou qui me sont quasi inconnues, revenir le mot "Peur". J'y mets une majuscule tant ce mot a de l'impact sur leur vie, leurs décisions, leurs choix, en termes de relations sociales, amoureuses, professionnelles. L'Humain est beaucoup (trop souvent) guidé par ses peurs.
Je donne cette impression de n'avoir peur de rien. J'ai été maltraitée, malmenée, mal aimée. Injuriée, battue, rabaissée au point de toucher le sol de multiples fois. Enfermée, ou laissée pour compte. Abandonnée. Et pourtant, aujourd'hui, je suis là, je me tiens debout devant vous, devant toi, je t'affronte, chère Vie, et je n'ai pas peur.
Je me suis relevée tant de fois de tant de situations douloureuses, inconfortables, malaisantes. J'ai fait face à des situations les plus rocambolesques les unes que les autres, si je puis m'exprimer ainsi pour éviter de tomber dans le pathos. Le but n'étant pas ici de m'apitoyer sur mon sort. Loin de moi cette idée, je n'ai plus le temps pour ça. Je me rends compte, à travers tous ces échanges, que mes expériences passées m'ont rendue invincible. Je n'ai plus peur. Je sais que je me relèverai de tout, toujours, que j'avancerai, encore, constamment, jusqu'au souffle final. Mon esprit est un conquérant qui tente de s'adapter à chaque parcelle de cette terre, et de ses habitants. Alors, pour ne plus avoir peur, faut il tout vivre ? Doux paradoxe, n'est-ce-pas... Et si, depuis toujours, je n'avais jamais eu peur ? Serais je aussi fière de moi, aujourd'hui, d'avoir surmonté toutes ces épreuves, et d'y croire encore ? Selon certaines morales, je ne fais que continuer de me jeter en pâture. Et pourtant, pourtant, qu'elle est belle cette pâture, verdoyante, luxuriante, accueillante. Pourquoi s'y jeter devrait être péjoratif ?
En relisant mes textes qui datent d'il y a quelques années, je me suis rendue compte, encore plus, du chemin parcouru. S'il était possible d'être encore plus lucide que je ne l'étais déjà. L'inconnu fait peur, oui, mais vivre sans profiter de chaque souffle que la vie me donne, cela m'effraie plus que quoi que ce soit sur cette Planète. L'adage le dit mieux que moi "La peur n'évite pas le danger, le courage non plus. Mais la peur rend faible, et le courage rend fort." Je ne me sens pas plus courageuse qu'une autre. Je me suis souvent sentie plus faible. Et pourtant, j'y suis allée, droit devant. Je me suis juste retrouvée seule dans des espaces temps emplis d'embûches et de bâtons dans mes roues. C'est une façon polie de dire "quelle vie de merde quand même" ! J'aimerais simplement que certaines peurs arrêtent de nous figer dans le temps. Qu'elles arrêtent de nous faire louper des amours perdus à tout jamais. Le syndrome de Roméo & Juliette n'est sexy que dans les films. Des non dits, des regrets, des effluves de sentiments envolées. Englouties. Par peur. Des dimanche avec mamie, peur de la voir mourir, alors on limite les interactions. Des gestes tendres et autres mots doux non énoncés, de peur que l'autre ne les interprète pas à la hauteur de l'expéditeur. Peur de s'exposer, parce que se montrer tels que nous sommes, bien sûr, c'est effrayant. Mais croyez moi, lorsque vous êtes aimés pour qui vous êtes réellement, l'exposition n'en devient que plus savoureuse. Ce n'est pas de votre faute si des personnes abusent de cette oeuvre d'art.
Par pitié, ayez peur, mais avec modération.
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christophe76460 · 2 years
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Beaucoup de fois, nous parlons dans notre petitesse. Nous pensons qu’avec notre cerveau bien fait nous sommes intelligents, mais tellement de choses nous échappent. Je ris souvent en disant que le roi Salomon avait tort sur une chose — l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre. Cher Salomon, tu n’as pas passé beaucoup de temps avec tes femmes. J’ai déjà été avec des femmes tellement bavardes que je ne voulais plus écouter, et, quand je travaille toute la journée sur l’ordinateur, mes yeux me laissent très clairement savoir qu’ils n’ont envie que d’une seule chose, aller se coucher (rires).
Platon savait tellement de choses sur l’univers sans avoir même 15% de ce que nous avons aujourd’hui, et l’Homme ne peut toujours pas dire comment arrive la vie, comment l’enfant se forme dans le ventre de sa mère.
En revanche, on sait très bien redoubler d’ingéniosité pour exterminer des populations par des gaz, par l’Anthrax ou des bombes nucléaires. On recense aujourd’hui plus de 30 000 objets de plus de dix centimètres gravitant dans l’espace. Appelés « débris spatiaux », ils encombrent essentiellement notre orbite basse, où se trouvent les satellites servant à l’observation de la Terre ou les réseaux Internet, mais aussi en orbite géostationnaire ce qui est plus haut à 36 000 kilomètres au-dessus de la Terre, où il y a les satellites utilisés par la télévision, les communications et l’observation de la météo. On résume tout cela sous le « syndrome de Kessler ».
Joyce Meyer raconte qu’un matin, alors qu’elle méditait seule avec Dieu, elle lui dit : « Dieu, comment peux-tu supporter de voir toute cette souffrance dans le monde — les enfants affamés, le trafic humain, les génocides, l’injustice, la pollution, la pauvreté — sans rien faire ? ». Elle ne posait pas la question pour se lamenter ou remettre en question l’intégrité de Dieu. Elle ne s’attendait pas vraiment à une réponse, mais elle posa simplement la question. Il lui répondit immédiatement : « J’agis au travers des hommes. J’attends que mon peuple se lève et agisse. » Elle continua son exhortation en disant que nous faisions partie de l’armée du corps de Christ, dans laquelle chacun de nous doit faire sa part pour changer les choses. Joyce explique que Dieu veut agir au travers de nous et qu’Il nous appelle à nous revêtir de son Amour et à travailler selon Lui.
Dans 2 Corinthiens 8, continua-t-elle « Paul parle des chrétiens de Macédoine qui ont donné leur argent et dit que quoique qu’immensément éprouvés par des tribulations, leur joie débordait et même pauvre ils ont produisent avec abondance de riches libéralités, selon leurs possibilités, et même au-delà de leurs possibilités, de leur plein gré » ; Elle conclut en nous demandant avec la grâce de participer à ce service en faveur des saints, mais je rajouterai que soit en argent, certes, mais aussi en acte. Elle termine en affirmant que Dieu nous appelle à faire comme eux et qu’une personne qui travaille pour Le Seigneur a la capacité de faire une différence. Que Dieu alors nous donne le pouvoir de Lui obéir.
Extraits du livre: La Véritable Marche Chrétienne
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claudehenrion · 6 years
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Au secours...
  Alerte ! Tous aux abris ! Les français envahissent la France, Paris est assiégé, le “Black Friday”, ce machin innommable (la preuve ! On ne lui a même pas trouvé un nom !) est menacé, l'Elysée est aux abois (et aux abonnés absents, sauf à l'étranger, d'où sa voix se fait entendre comme celle d'un fantôme, toujours pour dire ce qu'il faudrait ne pas dire et jamais ce qui doit impérativement être dit ! Ça en devient comique, poussé à ce degré de déni du réel ! Le syndrome ’‘Un Président ne devrait pas dire ça’’, la voix de son maître, le poursuit à travers le temps et l'espace ! Le brave Castaner (on devrait le “panthéoniser vivant’' : un ’'coup de langue sur les bottes du chef” de cette qualité, ça existe une fois par siècle !) voit la France basculer dans une extrême droite composée de gauchistes déchaînés…    En plus, ces bonshommes sont “bonhommes”, ils chantent “la Marseillaise” et ils brandissent un drapeau tricolore, ce qui n'est pas digne d'envahisseurs jaunes… 
  Vêtus de leur armure couleur de feuilles très très mortes pour passer inaperçus et tromper l'ennemi, (c'est-à-dire nous, c'est-à-dire… eux, si j'ai bien suivi le raisonnement de nos gouvernants sans gouvernail), comme autrefois “les Teutons abhorrés” se camouflaient en “Feldgrau” (= grisâtre comme la campagne -qui est verte, mais c'est trop tard pour le leur dire !), leurs cohortes, surarmées de saucissons et de café chaud avancent méthodiquement, inventant des ruses de sioux pour tromper nos braves CRS si doux, si sympas, si mal protégés contre la soldatesque jaune… On comprend pourquoi le “Péril jaune” a été invoqué sans cesse depuis Napoléon : c'est une pandémie d'ictères qui déferle sur nous.                  En 1918, il y avait eu la grippe espagnole, mais aujourd'hui, notre brave général Castagnetas (pardon ! Castaner, té !) a bien raison de mettre la France en garde contre la “fièvre jaune” insidieuse : ces affreux essaient, en plus, de nous faire croire que pas loin de 80 % des français se sentent proches de leur mouvement, pourtant populiste, homophobe, raciste, ségrégationniste, pétainiste et ‘‘judéo-islamo-fémino-etc-phobe’’. Mais qu'avons nous “pas fait” pour mériter ça ?
  Car à l'inverse de ce que prétendent ces factieux d'extrême droite (dixit notre ministre de l'intérieur et des cultes réunis qui n'a jamais menti, même un peu !), ce quinquennat jupitérien est celui de l'union désunie, une des rares réussites du quinquennat Hollande, qui avait inventé le con cept d'une “union en plusieurs parties rendues incompatibles par des lois scélérates”. Or, seul un gouvernement de gens de gauche peut réparer ce qu'un autre gouvernement de gauche a détruit.     Ce qu'a fait, dès le premier jour, le Président-à-moi-que-j'aime de Castaner (en disciple du “Principe de Peter”, Macron est vraiment le seul au monde à imaginer que ce nul avait les qualités voulues pour être Ministre de l'Intérieur). Ils ont remplacé l'ancienne opposition droite/gauche par un antagonisme gauche/droite, plus moderne, plus progressiste, et en même temps “ni de droite, ni de droite’' !           Mais un destin farceur a joué les trouble-fête : le jour-même de la manifestation, Madame le maire de Paris, jamais en retard d’une stupidité contre-performante, a commis un tweet qui invitait ‘’tous les français à venir admirer les illuminations des Champs-Elysées’’ (ça ne s'invente pas !). Nos braves provinciaux n’ont donc pas compris l'entêtement puéril du Ministre à leur interdire d'y aller : l'affrontement devenait obligatoire, et le responsable des dégradations, des bagarres et des violences est donc le dit Ministre, et lui seul. Il mérite un bonnet de Castaner !
  Revenons sur ce week-end qui ne fut que mouvementé, si on en croit les chaînes du ’'Sévice public” et leurs mensonges méticuleusement contrôlés par les “Communicants” de l'Elysée. D'abord sur le nombre des manifestants, qui était donné toutes les 3 heures, à l'unité près : 160 301 ! Pas 300, pas 302… Se rendent-ils compte à quel point ils sont ridicules ? Si “non”, c'est grave ! Et si “oui’’… aussi ! Et les 8000 méchants, en chiffre rond, ceux-là, qui ont tout cassé sur les Champs n'étaient là que sur ordre de Marine le Pen. Pour casser. Tous les 8000 !       Prendre les gens pour des cons, c'est déjà un aveu de problèmes personnels, mais à ce point-là, ça devient un cas d'école ! A aucun moment (comme chaque jour depuis une semaine) les chiffres donnés officiellement n'ont été… dans l'ordre de grandeur ! Et sa fausse précision en forme d'attrape-nigauds supplémentaire est là pour ’'faire sérieux”. Personne, évidemment, n'a été dupe une seconde !
  Ensuite sur le déroulement de ce samedi, un vrai “black saturday” : les 200 casseurs professionnels d'extrême gauche que tout le monde attendait sans les espérer ont été libres de venir (alors qu'on les connaît) et libres de tout casser, sous l’œil complaisant des caméras qui ont passé sous silence les autres centaines d'opérations qui se sont déroulées dans un calme uniformément qualifié de “bon enfant” par tous les observateurs impartiaux ou étrangers (ce sont les mêmes).           Mais par un miracle jupitérien, ces “Black Bocs à la française” sont devenus “d'extrême droite”… mensonge repris en chœur par tous les commentateurs, trop heureux de cet amalgame. On se demande bien ce qu'il peut y avoir “de Droite” dans leur comportement ou dans leur tête creuse : leur amour pour le travail, la famille, la patrie ? Le désir de transmission, de respect de l'ordre et la loi, l'amour de notre histoire et de notre culture ? Rien de tout ça, bien sûr. En revanche, on ne peut pas ne pas voir un mélange d'influences bakounino-trotskistes, “grosbras-cégétistes”, voire islamo-daeshiennes … Mais de droite ? Même avec beaucoup d'imagination… Comme presque tout depuis 18 mois, c'est “du n'importe quoi’' !
  Et enfin sur le ’'non-dit’' : les élections européennes approchent, et le clan macronien sent une défaite méritée se profiler à l'horizon. ’'L'occasion est trop belle”, a pensé l'hyper-stratège de la Place Beauvau, dans son immense culture, dans sa sagesse réputée et dans sa probité indiscutable. “On va rendre les ’'Gilets jaunes” antipathiques à tout le monde, on va inquiéter ceux (apparemment les plus nombreux!) qui allaient voter le Pen, et on va montrer (par l'absurde) combien le gouvernement en place est le seul à se soucier de la transition déconologique’’. Et le fait qu'il se foute de leur gueule en permanence n'est pas le sujet : aussitôt élus, on reprendra les bonnes habitudes “socialo-ni… ni…” : on les plumera sans pitié…
  En ce dimanche soir, nous en sommes là. Il est à prévoir que le mouvement ne va pas s'arrêter là, que les 75 % de français qui ont un jugement non-pollué vont continuer à le soutenir, et que les mesures déconnectées que le président concocte n'y changeront rien, bien entendu. La France des villes et des campagnes n'attend qu'une seule décision : une vraie diminution des impôts, visible sans “pédagogie”, et l'abolition sincère des taxes soi-disant écologiques (pas leur gel pour quelques semaines, ni le bricolage d'un discours pseudo-scientificoïde sur “la France ‘’rebelle’’ qui précipite la planète tout entière dans l'écolo-néant” !)… 
  Faute d'avoir le courage et l'intelligence de faire machine arrière, l'entêtement du Président Macron portera, et lui seul, la responsabilité réelle (hors des  bobards castanériques) du méga-bordel qui risque de s'installer dans tout le pays : bien sûr, personne n'a envie de mourir de misère pour le seul plaisir d'entendre Jupiter raconter qu'il a sauvé notre planète… qui est malade d'autre chose : en dehors des ''experts'' du GIEC qui vivent de ce raccourci impressionnant, l'opinion se répand enfin que les événements, souvent dramatiques, qui ont été à déplorer récemment sont de nature météorologique et non climatique et que, à ce jour, ni la montée des océans ni les désertifications massives annoncées n’ont eu lieu...
H-Cl.
PS : Postambule en forme de verbatim …                                                                   Le Monde (pour une fois honnête) :“Ces chiffres sont à prendre avec des pincettes, tant il est difficile d'évaluer la participation à un mouvement si peu traditionnel”.   Marine lePen : “Qu’est-ce qui justifie que le peuple français ne puisse pas manifester sur les Champs-Elysées, où ont lieu beaucoup d'autres rassemblements (Coupe du Monde, Nouvel An…)’'                                                                               N Dupont-Aignan : ’'Assez de cette manipulation scandaleuse. Le #gouvernement  cherche à décrédibiliser le mouvement à cause de quelques casseurs”.                   JL Mélenchon : “Castaner voudrait que la manifestation des GiletsJaunes soit d'extrême droite et peu nombreuse. C'est le peuple français qui manifeste”. 
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