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#Lucia Franchi
Players and their families of Italy NT for EURO 2024
GOALKEPPERS
Alex Meret - girlfriend, Debora Romano > Daniel
Gianluigi Donnarumma - girlfriend, Alessia Elefante
Guglielmo Vicario - single
DEFENDERS
Alessandro Bastoni - wife, Camilla Bresciani > Azzurra
Alessandro Buongiorno - girlfriend, Margherita Ceruzzi
Andrea Cambiasso - single
Federico Dimarco - wife, Giulia Mazzocato > Chloe & Nicholas
Federico Gatti - girlfriend, Greta Barde
Gianluca Mancini - wife, Elisa Baggiani > Ginevra, Lavinia & Bianca
Giovanni Di Lorenzo - wife, Clarissa Franchi > Azzurra & Carolina
Matteo Darmian - wife, Francesca Eleonora Cormanni > Achille & Gregorio
Raoul Bellanova - girlfriend, Paola Di Benedetto
Riccardo Calafiori - girlfriend, Benedetta
MIDFIELDERS
Bryan Cristante - girlfriend, Selene Cito > Aurora, Victoria & Liam
Davide Frattesi - girlfriend, Eleonora Piredda
Jorginho - fiancée, Catherine Harding > Victor, Alicia, Ada & Jax
Lorenzo Pellegrini - wife, Veronica Martinelli > Camilla, Thomas & Nicolò
Nicolò Barella - wife, Federica Schievenin > Rebecca, Lavinia, Matilde & Romeo
Nicolò Fagioli - girlfriend, Giulia Bernacci
Michael Folorunsho - single
FOWARDS
Federico Chiesa - fiancée, Lucia Bramani
Giacomo Raspadori - girlfriend, Elisa Graziani > Camilla
Gianluca Scamacca - girlfriend, Flaminia Apolloni
Mateo Retegui - single
Mattia Zaccagni - wife, Chiara Nasti > Thiago
Stephan El Shaarawy - fidanzata, Ludovica Pagani
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b0ringasfuck · 10 months
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Poi si lamentano che a scuola la gente non impari più a far di conto...
Ma come... non ci sono elementi per la revoca?
A questo punto metteteci un criceto al suo posto. Ci costa anche meno e magari non lo trovano a far saluti romani. Affidate il commissariato per il dissesto idrogeologico a un terrapiattista e la sanità a un omeopata.
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therunwayarchive · 4 years
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Lucia Lopez at Elisabetta Franchi, Spring 2020
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ladygarfunkel · 7 years
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alexar60 · 5 years
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Un nid douillet
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Lorsque nous emménageâmes dans le hameau, l’accueil ne fut pas agréable du tout. Pourtant le nom était joli : « Le bois de Roses ».  Toutefois, personne n’adressa la parole à ma famille, ni à moi ni à mon fils et encore moins à Lucia mon épouse. Je surpris même quelques habitants cracher dans la rue sur son passage, cherchant ainsi à la maudire ou conjurer un sort inconnu. Je compris en écoutant une discussion que notre impopularité venait du fait qu’elle soit enceinte. Pourquoi ? A ce moment, je n’en savais rien. Quand elle accoucha d’une petite fille, je fus le plus heureux des hommes mais tristement horrifié par la chouette clouée contre la porte de notre maison. Ils voulaient vraiment qu’on parte !
Au cours de la première nuit de Clara notre fille, je fus pris de cauchemars. En effet, j’avais la certitude qu’une présence néfaste surveillait ma famille. Je fus réveillé par ma fille qui réclamait son repas. J’abandonnai Lucia dans son sommeil et partis péniblement donner le biberon. Cependant, en entrant, j’entendis une étrange respiration. Persuadé, qu’elle n’était pas seule dans sa chambre, j’allumai rapidement. Toutefois, il n’y avait personne d’autre qu’elle. Clara criait jusqu’à réveiller son grand frère dans la chambre voisine. Alors, je la pris dans mes bras et me dirigeai dans la cuisine afin de lui préparer son repas. Elle but goulument et s’endormit aussi vite. Je retournai ensuite dans sa chambre pour la déposer dans le berceau. Mais à peine ai-je franchi le seuil de la porte que je remarquai une surprenante paréidolie dans le coin de la pièce : Deux gros yeux étincelants dans une énorme tache noire formant un petit personnage, semblaient m’observer. En allumant, la tache disparut. Clara dormait toujours quand je la remis dans son lit. Mais en éteignant la lumière, je remarquai de nouveau cette forme hideuse se présentant sur le mur. Je regardai cette forme presqu’humaine immobile. Et sans savoir pourquoi, peut-être par instinct, je décidai de m’endormir dans le fauteuil Voltaire près du berceau. Il n’était pas agréable mais suffisant dans cette situation qui pressentait un malaise.
Je commençai à m’endormir le coude posé sur l’appui-bras, la joue collée à ma main quand j’entendis soudainement respirer. Le bruit provenait de cette forme aux yeux devenus étincelants. J’observai cette chose sans broncher, j’attendais le bon moment pour la surprendre. Toutefois, il ne se passa rien durant plusieurs secondes, jusqu’à ce que je cligne des paupières. Dès lors, la forme venait de glisser. Je me levais tout à coup pour allumer : Une fois de plus, la chose disparut avec la lumière. Je décidai alors d’emmener ma fille dans ma chambre malgré les vociférations de Lucia qui ne comprenait pas pourquoi je déplaçais le berceau.
La nuit fut agitée, ni moi ni Lucia ne purent dormir. Nous étions réveillés par une respiration venant d’un coin de notre chambre. Comme si quelqu’un nous surveillait. Lucia remarqua une ombre bizarre qui se dessinait sur le mur près du lit de Clara. L’inquiétude grandit au point de laisser les lampes allumer. A ce moment, il ne se passa plus rien. Nous fûmes tout de même réveillés par les exigences de notre fille concernant ses besoins. Le lendemain, Lucia resta à la maison profitant de son congé parental pendant que je travaillai. J’oubliai cette ambiance de cauchemar éveillé mais le soir, je ne fus pas rassuré en découvrant dans le couloir près de la porte de la chambre de Clara, une silhouette dessinée sur le papier-peint. La paréidolie était remarquable, d’autant que d’habitude, il n’y en avait jamais. De plus, après avoir éclairé le couloir, rien n’expliquait cette tache. Toutefois, je posai Clara dans son lit et profitant du fait que mon fils était dans sa chambre, je le rejoignis afin de savoir s’il allait bien. Il jouait tranquillement avec ses playmobils, le château fort subissait un assaut. Il ne remarqua pas ma présence puis il sursauta brusquement. «A c’est toi !»dit-il. Il reprit le siège du château, manipulant les figurines tout en imitant des chocs d’épées. Je le regardai jouer tranquillement, me rappelant que je faisais de même à son âge. Alors, je lui posai des questions sur qui combattaient qui. Lilian expliqua avec agacement le siège provoqué par les méchants sur ordre d’une sorcière appelée la Guêpière. Elle était représentée par une figurine femme dont il avait peint le visage au feutre noir, et posée à l’écart de la bataille sur le bureau.  Comme je le faisais, elle semblait admirer l’attaque du fort. « Et que veut-elle ? » demandai-je. Sa réponse me glaça : «Pondre son bébé dans celui du roi et de la reine ! ». J’approchai pour mieux voir le fort, effectivement, dans le palais, un enfant dormait près de ses parents qui le surveillaient. «Comment as-tu eu cette idée ? » Il ne répondit pas de suite, s’arrêtant de jouer tel un gamin attendant de se faire gronder. Pour ses six ans, je le savais intelligent, presque mature, seulement ce genre d’histoire ne s’invente pas. Je reposai ma question en fronçant gentiment les sourcils. Il baissa la tête et expliqua l’avoir entendu des grands de l’école qui sont venus lui dire que la guêpière pond ses œufs dans les bébés afin qu’ils grandissent en dévorant le bébé. Je restai muet à ces sornettes quand il demanda : « c’est vrai qu’elle va venir pour Clara ? Ils disent qu’à cause d’elle, on a réveillé la Guêpière ». Après l’avoir tranquillisé, je sortis rapidement de la chambre pour me précipiter vers Clara.
Elle ne bougeait pas, dormant profondément, la bouche ouverte et serrant les poings, La porte entrebâillée laissait passer un filet de lumière mais pas assez pour éclairer sa chambre. Elle ne fut pas réveillée par la chose qui s’approchait. Jusqu’à maintenant, elle se contentait de se confondre au mur, restant dans la pénombre. Mais assurée par notre absence, elle décida de se lancer. Bien que plus petite, sa forme était humaine et ressemblait à une vieille femme en apparence. Mais pour la première fois, je pus voir son visage, il n’avait rien d’humain ! De gros yeux blanc lumineux semblables à des ampoules, une tête noire sans bouche mais contenant un tube telle une petite trompe. La chose, sur les deux pattes arrière, venait de déposer quelque chose au bord du lit, près de la tête de Clara. Je ne vis pas de quoi il s’agissait. J’allumais immédiatement, faisant disparaitre cette monstruosité. J’avançai vers le lit et sortis de suite ma fille de son berceau. Elle se mit à pleurer. J’eus le temps d’arracher une espèce de chenille blanche qui commençait à se faufiler le long de ses lèvres et qui cherchait à pénétrer dans sa bouche. La larve éclata avec la pression de mes doigts. A ce moment, je crus entendre un hurlement sombre et glauque provenir de l’extérieur. Je calmai mon bébé tout en appelant Lucia. En entrant dans la chambre, elle ne comprenait pas ma panique. Je ne répondis pas à ses questions, continuant à rassurer Clara. Puis, Lucia s’écria en découvrant l’état du berceau… ou plutôt son contenu… il était rempli de larves à la recherche d’un nid et de nourriture.
Je sortis le lit de Clara dans le jardin que je brûlai le lendemain matin. Clara dormit avec nous les nuits suivantes, jusqu’à ses trois ans. En fait, jusqu’au jour où les vieux du village nous dirent bonjour. A ce moment, je compris qu’elle était trop vieille pour les petits de la guêpière.
Alex@r60 – décembre 2019
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persinsala · 4 years
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Kilowatt Festival 2020
Torna a Sansepolcro e giunge alla sua diciottesima edizione, quella della maturità, la manifestazione ideata da Luca Ricci e Lucia Franchi, con una prova di tenacia e determinazione, in un anno davvero difficile. Segno della voglia di vincere la paura, di ritrovarsi insieme di persona – in sicurezza, sì, ma finalmente dal vivo.  (more…)
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papierscolles · 3 years
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Ce jour, le 20 mai 1936, le premier numéro du périodique « Mujeres Libres » (les femmes libres) est publié en Espagne, par un collectif du même nom. Cette publication anarcha-féministe visait à lever « l’esclavage des femmes par l’ignorance, le capital et les hommes ». Une des fondatrices, Lucia Sanchez Saornil, autrice, poétesse et lesbienne, était active dans le syndicat anarchiste de la CNT. Elle avait décrit la majorité de ces collègues masculins comme suit : « même s’ils s’insurgent contre la propriété, la propriété fait partie d’eux comme une maladie. Même s’ils se positionnent radicalement contre l’esclavage, ils sont les plus cruels des « maîtres »… Le plus petit esclave, une fois qu’il a franchi le seuil de sa maison, devient seigneur et maître. Son caprice le plus petit devient un ordre clair pour les femmes de son logement. Lui qui, 10 minutes plus tôt, devait avaler la pilule amère de l’humiliation bourgeoise, devient un tyran et fait que ces créatures doivent avaler les pilules de leur infériorité supposée ». Le collectif a joué un rôle important pendant la révolution espagnole qui a suivi. Plus particulièrement, les Mujeres Libres avaient établi une grande campagne d’éducation pour remédier à la problématique de l’illettrisme des femmes et des filles, organisant une garde d’enfants dans les entreprises et au sein des communautés. Le groupe a travaillé avec la CNT pour entraîner des femmes à avoir des rôles d’importance dans la force de travail salariée, et a combattu pour un salaire équitable. Un grand nombre des personnes membresses des Mujeres Libres ont également fait parti des femmes se portant volontaires pour aller combattre sur le front, contre les forces nationalistes, pendant la guerre civile. Note : Si vous cherchez des objets siglés « Mujeres Libres », CNT ou de la documentation, vous en trouverez pas mal sur le site Internet de working class history : https://shop.workingclasshistory.com/
Mujeres libres. Des femmes libérées. Les femmes libres.
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maddalenafragnito · 4 years
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Dalla città creativa alla città della cura, proposte per nuovi paradigmi relazionali 
(coordinato da Pietro Gaglianò e Institute of Radical Imagination rappresentato da Marco Baravalle ed Emanuele Braga)
Tavolo 1 
Chiamata alle Arti 2020  
Forum di Arte Contemporanea
La crisi del Covid19 è una precipitazione di una crisi più vasta, quella del neoliberismo estrattivo e del suo modello di globalizzazione. Gli effetti di questa crisi sulle economie dell’immateriale e dei paradigmi relazionali, sono in realtà molto materiali ed evidenti. L’urgenza  dunque quella di ripensare tali economie, paradigmi e la loro cornice istituzionale.
Aree di discussione:
Dalla creative city alla caring city. Sganciare l’arte dalle logiche del consumo e dalla rendita immobiliare per connetterla alla cura, alla pratica e all’immaginazione di nuove forme di vita in comune. Superare in tal modo l’economia dell’evento e il paradigma della crescita per una decrescita che non si riduca al localismo. Questo implica un passaggio dalla mobilità auto-imprenditoriale alla permanenza: urge una critica del modello di mobilità (socialmente e ecologicamente insostenibile) del mondo dell’arte neoliberale.
Il reddito. Centralità del reddito e delle lotte sul reddito di base universale per pensare economie e relazioni dell’arte. Rompere la divisione del lavoro (tecnici VS creativi) e adottare forme mutualistiche e auto organizzate di disciplina del lavoro.
Trasversale a tutti i temi del tavolo è la pedagogia che, anche mediata digitalmente, deve rimanere luogo di incontro e di costruzione del comune.
Partecipanti:
A cielo aperto, AWI, Manuel Borja Villel, Leonardo Caffo, Ilenia Caleo, Nicola Capone, Annalisa Cattani, Luigi Coppola, Gregorio de Luca Comandini – None collective, Simona Dimeo, Dimore – Padova, Alessandra Ferlito, Nina Ferrante, Alessandra Ferrini, Maddalena Fragnito, Lucia Franchi/Luca Ricci – Kilowatt Festival, Emiliano Gandolfi, Pino Giampà – Giuseppefraugallery, Guilmi Art Project, Salvatore Iaconesi/Oriana Persico – HER, Ilaria Lupo, Nicolas Martino, Andrea Masu – Alterazioni Video, Ferdinando Mazzitelli, Massimo Mazzone, Enrico Casagrande/Daniela Nicolò – Motus, Chiara Mu, Eva Neklyaeva, Alessandra Pomarico, Anna Raimondo, Susanna Ravelli, Nuvola Ravera, Leonardo Ruvolo – RISA, Annalisa Sacchi, Gabi Scardi, Marco Scotini, Caterina Serra, Maria Rosa Sossai, Salvo Torre, Elvira Vannini, Massimo Carozzi – Zimmerfrei, Anna Rispoli e altri lavoratori della cultura, dell’arte, dello spettacolo.
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therunwayarchive · 5 years
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Lucia Lopez at Elisabetta Franchi, Fall 2019
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redazionecultura · 5 years
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markusmensch · 5 years
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Mon Chéri Barbara Tag 2019
Stars verschenken Glück für das kommende Jahr
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©BrauerPhotos / G.Nitschke Kirschzweige und viele Stars! Am Mittwoch kamen wieder zahlreiche Prominente beim Mon Chéri Barbara Tag 2019 in München zusammen, um anderen Glück für das kommende Jahr zu wünschen. Mon Chéri ließ auch in diesem Jahr den Zauber dieses alten Brauchs aufleben. Und VIPs wie Hollywood-Schauspielerin Kate Beckinsale, Musiker und Musikproduzent Peter Maffay, Damian Hurley, der Sohn von Schauspielerin Elizabeth Hurley, Boris Becker-Tochter Anna Ermakova, die Schauspielerinnen Marie Bäumer und Anja und Gerit Kling, das Moderatoren-Duo Wayne und Annemarie Carpendale, Top-Model Franziska Knuppe, Moderatorin Frauke Ludowig, Fashion-Expertin und Influencerin Cathy Hummels, Model und Moderatorin Rebecca Mir und Prinzessin Lilly zu Sayn-Wittgenstein waren in die „Isarpost“ gekommen, um Glück weiterzugeben. Kirschzweige für den guten Zweck der Mon Chéri Barbara Tag 2019 Nach einer alten Tradition werden am Gedenktag der Heiligen Barbara Kirschzweige verschenkt und ins Wasser gestellt. Blühen diese Zweige am Weihnachtstag, verheißt dies dem Beschenkten Glück und Freude im nächsten Jahr. Gefeiert wurde der Barbara Tag wie jedes Jahr mit zahlreichen VIPs und mit einer wunderbaren Charity-Aktion. Der Erlös ging in diesem Jahr an die Peter Maffay Stiftung. Peter Maffay war eigens gekommen, um den Spendenscheck für die von ihm gegründete Stiftung von Kate Beckinsale entgegen zu nehmen
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©BrauerPhotos / G.Nitschke Schauspielerin Kate Beckinsale („Pearl Harbor“, „Underworld“) war die diesjährige Glückspatin und eigens dafür nach München gekommen. Sie war bestens gelaunt und strahlte in einer Traumrobe in die Kameras.: „Ich feiere den Barbara Tag zum ersten Mal und kannte diesen Brauch bislang nicht. Es ist eine wunderschöne Tradition, gerade zu dieser Zeit des Jahres. Denn ich liebe Weihnachten! Und wenn ich zurück nach Hause komme, werde ich zuerst einen Baum kaufen und Plätzchen backen. Ich liebe Schoko-Plätzchen“, schwärmt sie. Wie feiert sie Weihnachten? „Ich lebe in Los Angeles, aber wir feiern Weihnachten sehr britisch. Zu essen gibt es Truthahn.“ Peter Maffay nahm Scheck in Höhe von 60. 000 Euro von Kate Beckinsale für seine Peter Maffay Stiftung entgegen Gemeinsam mit Carlo Vassallo, dem Geschäftsführer von Ferrero Deutschland, übergab Kate Beckinsale auf der Bühne den Spendenscheck in Höhe von 60.000 Euro an die Peter Maffay Stiftung. Peter Maffay nahm den Scheck freudig entgegen. Ziel der Stiftung ist es, Schutzräume für benachteiligte und traumatisierte Kinder und Jugendliche zu schaffen. Die Einrichtungen der Stiftung, die „Tabalugahäuser“, bieten den dafür notwendigen Raum. „Mit Zuwendungen dieser Art können wir eine Menge erreichen“, freute sich Maffay. „Ich bin heute ja nur der Vermittler. Für die Kinder ist das wie ein schönes
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©BrauerPhotos / G.Nitschke Weihnachtsgeschenk. Das hier gesammelte Geld wird in den Kreislauf der Aktivitäten der Stiftung einfließen.“ Er freute sich bei der Veranstaltung dabei zu sein und kam trotz randvollem Terminkalender: „Ich kannte den Barbara Tag bisher noch nicht, aber es fühlt sich gut an.“ Für Weihnachtsvorbereitungen hatte er noch keine Zeit, wie er erzählte: „Ich bin noch nicht dazu gekommen. Wir haben derzeit noch viele TV-Auftritte, vor allem im Bereich Charity. Und dann ist auch schon Weihnachten. Es war ein sehr gutes Jahr für mich, ich kann wirklich nicht meckern. Meine kleine Tochter ist natürlich der Mittelpunkt. Es wird das erste Weihnachten sein, das sie bewusst miterlebt. Letztes Jahr war sie noch zu klein. Das zweite Highlight in diesem Jahr war unser Album, das wir im Sommer herausgebracht haben:  Unser 19. Nummer 1 Album. Und im Februar nächsten Jahres geht es dann auf Tournee.“ Hollywood-Glamour und viele Prominente
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©BrauerPhotos / G.Nitschke Anna Ermakova kam ohne ihre Mutter Angela Ermakova. Dafür aber in einem Kleid von ihr: „Es ist von Dior und ich habe immer zu ihr gesagt: Wenn ich einmal groß bin, dann möchte ich dieses Kleid einmal tragen‘.“ Anna war erstmals mit dabei. Kannte sie den Brauch des Barbara Tages von ihrem deutschen Vater Boris? „Ich habe vom Brauch des Barbara Tags schon gehört. Eine schöne Idee, denn es soll Glück bringen. Und ich bin durchaus abergläubisch.“ Weihnachten feiert sie mit ihrer Mutter in London: „Ich studiere in London und wir verbringen Weihnachten bei mir zu Hause. Wir stellen einen Weihnachtsbaum auf und nach dem Dinner gibt es Geschenke und wir hören Weihnachtslieder.“ Erstmals auf dem Red Carpet und im Blitzlichtgewitter mit dabei: Damian Hurley, der 17-jährige Sohn von Elizabeth Hurley, der in London lebt. Er trat somit in die Fußstapfen seiner Mutter, denn diese war schon mehrmals beim Mon Chéri Barbara Tag zu Gast gewesen, zuletzt vor zwei Jahren. „Meine Mutter hat mir von dieser Veranstaltung und vom Brauch des Barbara Tags erzählt. Ich bin zum ersten Mal in München.“ Weihnachten verbringt er in seiner britischen Heimat: „Wir feiern alle zusammen auf dem Land und sitzen gemütlich um den Kamin zusammen.“ Auch beruflich wandelt Damian auf Mamas Wegen: er gab kürzlich sein Model-Debüt für eine Beauty-Firma. „Im Moment hat die Schule für mich Priorität“, erzählte er. Die „Next Generation“ war zahlreich vertreten. Neben Damian Hurley und Anna Ermakova auch Lili Paul Roncalli, die Tochter von Roncalli-Chef Bernhard Paul, sowie Lucia Strunz (Kleid: dresscoded), die mit ihrer Claudia Effenberg (in „Julia K.“) kam. „Lucia sieht entzückend aus und ich bin wahnsinnig stolz auf sie. Ich freue mich, heute mit ihr hier in München zu sein. Ich lebe mittlerweile in Düsseldorf und fühle mich sehr wohl dort“, so Claudia Effenberg. „Aber meine Kinder vermisse ich natürlich. Umso schöner ist es, dass wir heute zusammen hier sein können. Wir waren gerade alle gemeinsam in Florida, da Stefans Tochter Ann-Kathrin dort geheiratet hat. Weihnachten feiern wir dieses Jahr alle zusammen in Düsseldorf.“
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©BrauerPhotos / G.Nitschke Wayne und Annemarie Carpendale (In „Maison Esthere Maryline“) feiern Weihnachten zu Hause in München: „Mit der ganzen Familie, mit Howard undDonnice, Wayne’s Mutter Claudia und natürlich mit meinen Eltern und meinem Bruder“, erzählte sie. „Am Heiligabend gibt es Raclette und am ersten Weihnachtsfeiertag nachmittags Waffeln mit Vanilleeis. Danach sind alle so satt, dass es am Abend nur noch eine Kleinigkeit gibt. Und unser 18 Monate alter Sohn ist natürlich mittendrin. Nachdem er heute in seinem Adventskalender ein Feuerwehrauto entdeckt hat, wollte er alle Türchen sofort aufmachen.“ Moderatorin Frauke Ludowig (in „Jasmin Erbas“) führte wie in den Vorjahren charmant durch den Abend: „Das ist mein elfter Barbara Tag und ich liebe es. Es ist immer wie ein Familientreffen und zugleich der Beginn der vorweihnachtlichen Zeit“, so die Moderatorin. Moderatorin und Instagram-Star Cathy Hummels (Kleid: „Nanushka“) hatte sich für den Event wieder gerne Zeit genommen. Für die Mutter eines Sohnes ist es immer ein besonderer Abend: „Der Barbara Tag hat mir wohl schon viel Glück gebracht, denn ich habe ein gesundes Kind und einen tollen Ehemann.“ Wo feiert die Familie Hummels Weihnachten? „Heiligabend sind wir mit der Familie in München. Am 26. Dezember geht es dann in die Sonne nach Dubai.“
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Gerit Kling mit Schwester Anja Kling Mon Cheri Barbara Tag in der Isarpost München am 04.12.2019 Foto: BrauerPhotos / G.Nitschke Schauspielerin Marie Bäumer (in „Talbot Runhof“) feiert Weihnachten in ihrer südfranzösischen Wahlheimat: „Das Besondere bei uns sind die „13 Desserts“, die auf einen Teller gestellt werden. Damit futtert man sich Weihnachten dann durch“, meinte sie schmunzelnd. Auch der Barbara Tag ist für sie eine schöne Tradition: „Ein wunderbares Ritual. Ich habe einmal aus München einen Kirschbaum zu mir nach Südfrankreich gebracht, der immer im Winter blüht.“ Lilly Prinzessin zu Sayn-Wittgenstein (in „Elisabetta Franchi“) nahm sich in der hektischen Vorweihnachtszeit gerne Zeit für den Event. „Als Mutter liegt mir vor allem der gute Zweck am Herzen. Und es ist eine schöne Einstimmung auf Weihnachten. Wir feiern mit der Familie in diesem Jahr erstmals nicht auf Schloss Bückeburg, sondern mit meinem Ex-Mann Lambros und mit meinen beiden Kindern entweder in London oder in der Schweiz.“ Im Namen der Robe... Der Dresscode lautete „Be Glamorous“! Die Ladies führten traumhafte Abendkleider aus. Franziska Knuppe strahlte in Traumrobe von Eva Poleschinski in die Kameras. Sie ist Stammgast bei der Veranstaltung: „Ich habe für meinen Mann und meine Tochter daheim schon alles schön weihnachtlich geschmückt. Weihachten feiern wir zu Hause bei uns. An Heiligabend gibt es traditionell Würstchen mit Kartoffelsalat und am Feiertag dann die Gans.“ Auch die Schauspiel-Schwestern Anja und Gerit Kling waren mit dabei: „Anja ist zum ersten Mal hier“, erzählte Gerit. „Ich hingegen war schon mehrmals dabei. Ich habe gesagt, dass sie dieses Mal endlich einmal mitkommen muss. Weihnachten feiern wir natürlich zusammen. Erst sind wir bei mir, dann bei Anja, dann bei unserer Mutter und dann noch bei Verwandten.“
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©BrauerPhotos / G.Nitschke Barbara Tag und gleichzeitig ihren Hochzeitstag mit Ehemann Jens Tiedemann feierte Moderatorin Kathi Wörndl. „Mein Mann und ich haben heute unseren neunten Hochzeitstag. Das passt perfekt, denn der Barbara Tag hat, wie eine Ehe, mit Glück und Liebe zu tun.“ Zahlreiche weitere VIPs feierten den Mon Chéri Barbara Tag in München Außerdem unter den Gästen: DJane Giulia Siegel (In Traumrobe mit XL-Schleppe von „Maison Esthere Maryline“; „Weihnachten verbringe ich mit meinem Freund Ludwig und meinen Kindern auf Mauritius, an Silvester sind wir dann auf den Seychellen, da ich auf der Aida auflege“) Model und ©BrauerPhotos / G.Nitschke Moderatorin Rebecca Mir (in „Jasmin Erbas“, ihr Ehemann Massimo musste arbeiten), Model Monica Ivancan (in „Talbot Runhof“), Model und Schauspielerin Larissa Marolt, Bachelorette Gerda Lewis, die erstmals mit ihrer Mutter Jolanta zu einem Red Carpet-Event kam. Schauspielerin Gesine Cukrowski, Schauspielerin Yasmina Filali, Schauspielerin Natalia Avelon (in „Jasmin Erbas“), Moderatorin und Schauspielerin Minh-Khai Phan-Thi, Moderatorin Bella Lesnik, Moderatorin Nina Moghaddam, Horst und Hella Janson mit Tochter Laura, GNTM-Gewinnerin Toni Dreher, Schauspier Jo Weil, Schauspielerin Julia Dahmen (in „Escada“), Verena Ofarim, Simone Ballack, Verena Kerth (im Jumpsuit von dresscoded), Gesundheitsexpertin Monika Drexel, Vanessa Birkenstock (in Giambattista Valli“), Schauspielerin Nicole Brühl uvm. Lesen Sie den ganzen Artikel
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persinsala · 5 years
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Piccola Patria
Con Piccola Patria di Capotrave si scava sotto l’apparenza della politica. È davvero questa la politica oggi? Ed è quella che vogliamo per il futuro? (more…)
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La modernità di Pirandello
Certo non poteva bastare un solo blog per celebrare i 150 anni dalla nascita (28 giugno 1867) di Luigi Pirandello (premio Nobel nel 1934), e subito rimediamo.
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Che sia sempre attuale (in realtà non solo era in anticipo con i tempi in narrativa, ma vero creatore di un nuovo tipo di teatro) è quasi scontato dirlo. Ma possiamo anche dimostrarlo: Andrea Camilleri, amante di Pirandello certo non solo per motivi di pura corregionalità, lo ricorda quasi in ogni suo romanzo e ha pubblicato su di lui la Biografia del figlio cambiato. Nell’ultimo giallo con protagonista il commissario Montalbano, La rete di protezione, l’autore cita un racconto di Pirandello, Lontano, come spunto per la trama della fiction in corso di produzione proprio a Vigàta.
Le novelle le consigliamo proprio di cuore. Il titolo è Novelle per un anno, ma purtroppo l’autore si è fermato a 256. Sono sempre originali, la scrittura è scorrevole, accattivante, in ognuna c’è almeno un neologismo, un aforisma, una lezione di vita, da molte sono stati tratti film (Il viaggio, di Vittorio De Sica, con Sophia Loren e Richard Burton; dei fratelli Paolo e Vittorio Taviani Kaos, con Franco Franchi e Ciccio Ingrassia in veste inedita, e Tu ridi, con Sabrina Ferilli, Antonio Albanese e Luca Zingaretti; il bellissimo La balia di Marco Bellocchio) o episodi (come La patente con Totò, e Marsina stretta con Aldo Fabrizi dal film di Luigi Zampa Questa è la vita).
Una curiosità: proprio da una novella di Pirandello, In silenzio, è stato tratto il primo film sonoro italiano, La canzone dell’amore, del 1930, famoso anche per la colonna sonora di Cesare Andrea Bixio, Solo per te Lucia.
È molto più facile fare il male che il bene, non solo perché il male si può fare a tutti e il bene solo a quelli che ne hanno bisogno; ma anche, anzi sopra tutto, perché questo bisogno d’aver fatto il bene rende spesso così acerbi e irti gli animi di coloro che si vorrebbero beneficare, che il beneficio diventa difficilissimo. (dalla novella “Bene e male”)
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Per il teatro, infinite sono le produzioni e i film, citiamo solo una delle poche pièce del Nostro a lieto fine, Ma non è una cosa seria nella magnifica interpretazione di Tullio Solenghi ed Ernesto Calindri per la regia di Edmo Fenoglio, ma ricordiamo anche quella con Lauretta Masiero, quella con Alberto Lionello e il delizioso film di Mario Camerini con Vittorio de Sica. 
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Freud in una famosa lettera scrisse a Schnitzler di avere per lungo tempo cercato di evitare di incontrarlo, nel timore di vedere in lui il proprio sosia. Con questo egli intendeva sottolineare la grande abilità dello scrittore nello scrutare a fondo l'animo umano. Che dire allora di Pirandello, se non che è stato, in ogni sua opera, uno dei precursori della psicanalisi? Paradossalmente però (ma il paradosso non è una delle più appuntite armi pirandelliane?), la grande carica innovativa che ne fa uno scrittore sempre attuale, si scontra con la sua personale avversione per la modernità e soprattutto per la meccanizzazione (ne Il fu Mattia Pascal critica persino l’introduzione del tram a Milano). Questo tema è evidente ne I quaderni di Serafino Gubbio operatore, in cui il protagonista, ridotto a una mano che gira una manovella, arriverà a tal punto di disumanizzazione da assistere impassibile alla morte dell’attrice continuando a girare la manovella e a riprendere la scena. Il luddismo ha trovato la sua interpretazione filosofica? E che ne è della sensibilità umana nel mondo di oggi? Uno scrittore (romanziere e saggista), un drammaturgo, un filosofo, un poeta, un pittore, uno psicologo che ha sempre qualcosa da dirci e sa spiegarci chi siamo: Luigi Pirandello.
L’uomo che prima, poeta, deificava i suoi sentimenti e li adorava, buttati via i sentimenti, ingombro non solo inutile ma anche dannoso, e divenuto saggio e industre, s’è messo a fabbricar di ferro, d’acciajo le sue nuove divinità ed è diventato servo e schiavo di esse. Viva la macchina che meccanizza la vita!
Non dubito però, che col tempo – sissignore – si arriverà a sopprimermi. La macchinetta – anche questa macchinetta, come altre macchinette, girerà da sé. Ma che cosa farà poi l’uomo quando tutte le macchinette gireranno da sé, questo, caro signore, resta ancora da vedere.
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megmighty1 · 7 years
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Bronze Halters by omega1 featuring a gold pendant necklace
Maria Lucia Hohan halter neck dress, 12 360 ZAR / Halston Heritage gold cocktail dress, 7 285 ZAR / Elisabetta Franchi short sleeve blazer, 3 845 ZAR / Tom Ford ankle wrap sandals, 20 535 ZAR / Aquazzura ankle wrap sandals, 8 470 ZAR / Oscar de la Renta chain purse, 20 065 ZAR / Miss Selfridge glitter purse, 460 ZAR / Gemma Redux preowned jewelry, 1 685 ZAR / Nadri cuff bangle, 540 ZAR / Rebecca Minkoff gold pendant necklace, 255 ZAR / Smashbox lipstick, 200 ZAR
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salentipico-blog · 7 years
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Da oggi, giovedì 26 e fino a domenica 29 ottobre, circa 200 relatori tra giornalisti, imprenditori, attivisti, blogger, ricercatori, musicisti, docenti universitari, scrittori, amministratori pubblici, scienziati, artisti, registi, hacker, maker, esperti, giuristi, economisti, architetti, paesaggisti, linguisti, social media manager, designer, innovatori racconteranno le proprie storie durante la quinta edizione del festival “Conversazioni sul futuro”, diretta da Gabriella Morelli. 
Oltre 90 appuntamenti disseminati in 20 location (teatri, centri culturali, librerie, luoghi pubblici, parchi e scuole) su economia, impresa, diritti, inclusione sociale, migrazione, attivismo digitale, lavoro, satira, comunicazione, politica estera, scienza, arte, giornalismo, rigenerazione urbana, editoria, food, education, cambiamenti climatici, sostenibilità, odio on line, bullismo, bibliopatologia, moda e molto altro.
Il Festival accoglierà, inoltre, il Climathon, organizzato da Centro Euro-Mediterraneo sui Cambiamenti Climatici e Comune di Lecce, Omofobi del mio stivale, una manifestazione contro l’omofobia e per i diritti civili, Cinema sul Futuro, in collaborazione con Cineclub Universitario, Fondazione Apulia Film Commission e Corso di Laurea DAMS dell’Università del Salento, una serie di incontri dedicati al mondo dell’impresa al Sellalab, l’Officina dei bambini e delle bambine a cura diBoboto, un’intera sezione riservata all’Enogastronomia del futuro, una presentazione della Maker Faire di Roma, un omaggio a Pino Daniele e un dj set di Max Casacci.
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Giovedì 26 ottobre alle 17,30, dopo una breve introduzione, il Festival prenderà il via al Teatro Paisiello con “La verità vi prego sui migranti: il muro sul mediterraneo” con Marco Bertotto (Medici senza frontiere), Marta Serafini (Corriere della Sera), Marina Petrillo (Open Migration), Chris Richmond Nzi (Mygrants), Giacomo Zandonini (Giornalista FreeLance) e Antonio Iovane (Radio Capital). Di fronte a un’Europa inerte, il governo italiano firma un patto con la Guardia costiera libica e il numero di migranti sbarcati in Italia crolla. Ma a quale prezzo? E quali sono le altre rotte battute dai migranti per raggiungere il Continente? A seguire, l’incredibile storia del ballerino siriano palestinese Ahmad Joudeh. La sua voglia di danzare e il suo sogno di diventare un professionista sono stati più forti di tutto, soprattutto delle minacce dei terroristi dell’Isis. Dietro la nuca ha un tatuaggio con la scritta “Dance or die”. Dal 2016, vive, studia e lavora al Dutch National Ballet di Amsterdam. Nel 2017 è riuscito a coronare il suo sogno: incontrare Roberto Bolle e ballare con lui. Dalle 20.30 un incontro ideato e moderato dalla giornalista de Il Fatto Quotidiano Wanda Marra. Si discuterà delle Nuove frontiere del giornalismo. In questi anni si è passati rapidamente dalla carta ai blog, dagli opinionisti agli influencer, dai sondaggi ai sentiment, dall’ironia alle bufale. La prima serata si concluderà dalle 22 con Lirio Abbate e il suo spettacolo su “Carminati e il Caveau dei misteri d’Italia”. In mattinata nel parco della TraxRoad si terrà invece il workshop “Co-progettare soluzioni per lo spazio pubblico e la comunità: una nuova biblioteca sociale all’aperto“ a cura di Paolo Venturi (direttore AICCON), Francesca Battistoni e Guglielmo Apolloni (Social seed) con Antonella Agnoli (assessore alla Cultura del Comune di Lecce).
Grazie alla preziosa collaborazione con Amnesty International Italia e in particolare con Riccardo Noury e Tina Marinari, il festival accoglierà le testimonianze di Paola Deffendi e Claudio Regeni (genitori di Giulio, il ricercatore italiano ucciso a Il Cairo nel gennaio 2016 che saranno a Lecce dopo il collegamento dello scorso anno), Lucia e Rino Rocchelli (sorella e padre del fotografo Andy morto nel 2014 a Sloviansk in Ucraina), Ahmed Said (medico e attivista egiziano), Claudio Guarnieri(hacker, ricercatore di sicurezza informatica, artista, ed attivista per i diritti digitali).
Nei quattro giorni a Lecce ci saranno anche Ilaria Cucchi, il trapiantologo Daniele Antonio  Pinna, il presidente dell’Associazione Nazionale Magristrati Eugenio Albamonte, il designer Riccardo Falcinelli, l’art director Francesco Franchi, l’architetto Marco Rainò, l’attore e regista Daniele Gattano, l’attore e scrittore Fabio Canino, gli scrittori Enrico Remmert, Christian Raimo, Leonardo Colombati e Flavia Piccinni, il bibliopatologo Guido Vitiello, i giornalisti Giuseppe Giulietti, Lirio Abbate, Carlo Bonini, Marco Damilano, Antonio Sofi, Fabio Chiusi, Giampaolo Colletti, Giuliano Foschini, Tiziana Prezzo, Wanda Marra, Francesca Magni, Paul Rose, gli autori Stefano Andreoli (Spinoza) e Adelmo Monachese (Lercio), i registi Alessio Cremonini, Davide Barletti e Alessandro Valenti, il monaco di Plum Village Phap Ban, l’ingegnere elettronico e direttore tecnico di Macnil – Gruppo Zucchetti Mariarita Costanza, l’avvocato Alessandra Ballerini, il produttore discografico Claudio Poggi, il cantante Daniele Sanzone, l’esperto di resilienza e di politiche di adattamento ai cambiamenti climatici Piero Pelizzaro, lo street artist NemO’s, il medico e saggista Silvia Bencivelli, il direttore IIT – CNR e Registro.it Domenico Laforenza, il blogger Hamilton Santià, il vice presidente Italia StartUp Antonio Perdichizzi, il giurista e scrittore Giovanni Ziccardi, il sociologo Giovanni Boccia Artieri, i linguisti Massimo Arcangeli e Vera Gheno, la presidente Associazione italiana malattia di Alzheimer Patrizia Spadin, l’ideatore e direttore scientifico di Rural Hack Alex Giordano, il cuoco contadino Peppe Zullo, il food performer Nick Difino e il gastrofilosofo Donpasta solo per fare qualche nome. Preziosa la collaborazione con docenti e ricercatori dell’Università del Salento e con giornalisti e opinionisti di molte testate e blog pugliesi che modereranno e parteciperanno agli incontri.
«Il Festival è il frutto di un anno di studio, appunti, letture, contatti, suggestioni, scoperte. Dentro ci sono le varie anime del nostro gruppo di lavoro che è composto da molti professionisti, tanti amici sparsi in tutta Italia, ma soprattutto da una squadra di ragazzi e ragazze senza i quali non potremmo organizzare nulla», sottolinea Gabriella Morelli. Nelle prime quattro edizioni, Conversazioni sul futuro (sino al 2014 con il nome di Xoff) ha coinvolto oltre 500 relatori e ha ospitato (sino al 2016) anche la conferenza TedxLecce, che quest’anno, invece, non si terrà. La rassegna si trasforma dunque in Festival, cresce, si amplia e si sviluppa, proponendo sempre più appuntamenti e coinvolgendo sempre più luoghi e scuole della città. «Dopo le cinque edizioni di TedxLecce abbiamo pensato a un nuovo inizio. Quest’anno abbiamo deciso di continuare solo con “Conversazioni sul Futuro”, pensando e costruendo non più una rassegna “collaterale” ma un vero e proprio Festival» prosegue l’organizzatrice. «Negli oltre novanta incontri proveremo a interrogarci su quei temi che riguardano da vicino tutto quello che per noi è racchiuso nella parola futuro. Sono molto orgogliosa di poter ospitare, grazie alla preziosa collaborazione con Amnesty International e con l’avvocato Alessandra Ballerini, le famiglie di Giulio Regeni ed Andy Rocchelli. Le altre storie incredibili sono quelle del medico e attivista egiziano Ahmed Said e del danzatore siriano palestinese Ahmad Joudeh che ha sfidato anche l’Isis pur di ballare. Siamo molto grati al trapiantologo Daniele Antonio Pinna che ha accettato il nostro invito prima di lasciare l’Italia per andare a lavorare all’estero. E poi sono sorpresa dal grande affetto dei relatori che hanno accettato di partecipare al nostro festival proponendo temi, incontri, invitando altri ospiti e costruendo percorsi insieme a noi». Molto proficua la collaborazione con l’Università del Salento (che ospiterà anche i genitori di Giulio Regeni per un incontro con docenti, ricercatori, dottorandi e studenti) e con il Comune di Lecce. «Il Festival quest’anno sarà sempre più nella città, per la città, sulla città, con la città. Discuteremo di biblioteche, partecipazione e resilienza, impatto economico della cultura sul territorio, diritti di cittadinanza, erosione delle coste, agricoltura sostenibile e molto altro. Parteciperanno esperti, cittadini, giornalisti e amministratori pubblici. Proveremo a ragionare anche di soluzioni concrete», conclude Gabriella Morelli.
«Questo festival per me è un motivo di orgoglio, perché dà vita a una qualificata riflessione pubblica nella nostra città», ha sottolineato il sindaco di Lecce Carlo Salvemini durante la conferenza stampa di presentazione. «Inoltre si tratta di un festival organizzato senza chiedere un euro al Comune, che ha messo a disposizione solo alcuni luoghi dover poter svolgere alcune delle iniziative che coinvolgeranno anche spazi privati, scuole e aule universitarie. Un approccio diverso dal solito che traccia una linea verso un nuovo modo di organizzare le cose a Lecce, ponendosi l’obiettivo principale di dare qualcosa alla città in cui si vive e lavora. è molto interessante la mescolanza di temi, linguaggi, toni. Sono felice perché vedo lo sforzo enorme che gli organizzatori e volontari ci mettono. Un vero e proprio cantiere di energie. Un lavoro che credo abbia già fertilizzato il terreno in città e che sicuramente darà altri buoni frutti nei prossimi anni».
Conversazioni sul futuro è organizzato dall’Associazione Diffondere Idee di Valore con la direzione di Gabriella Morelli, in collaborazione con PazLab, Coolclub, Virulentia Film, Officine Cantelmo, ShotAlive, Boboto, Fablab Lecce, Sellalab, Zemove e Amnesty International – Italia  con il patrocinio di Comune di Lecce e Università del Salento e con il sostegno di Banca Popolare Pugliese e Meltin’Pot. Partner Libreria Liberrima, All’Ombra del Barocco, Vestas Hotels & Resorts, Palazzo Rollo, Spinelli Caffè, Maker Faire Roma, Registro. it, Cineclub Universitario, Apulia Film Commission, Cmcc, Rural Hack, Fondo Verri, Officine Culturali Ergot, Dajs, Città del Gusto – Lecce, Slow Food Lecce, FotoScuola Lecce, UpsideMedia, NonInLinea. Un ringraziamento ai produttori di vino Cantele, Candido, Claudio Quarta Vignaiolo, Hiso Telaray – Libera Terra di Puglia, Cantine San Donaci ai birrifici Old476, Malatesta, B94, ai ristoranti La Succursale, Tabisca, La Scarpetta, Il Bacaro, all’Hotel Santa Chiara e ai b&b Fanfulla, Casa dei Mercanti, White Suite, Le due musce, Le campanelle di Isabella, Volevo, Giardino delle Margherite, Palazzo Belli
GLI APPUNTAMENTI SONO TUTTI A INGRESSO LIBERO E GRATUITO MA SOPRATTUTTO INIZIERANNO PUNTUALI. Info e contatti www.conversazionisulfuturo.it
  Al via a Lecce il Festival Conversazioni sul Futuro Da oggi, giovedì 26 e fino a domenica 29 ottobre, circa 200 relatori tra giornalisti, imprenditori, attivisti, blogger, ricercatori, musicisti, docenti universitari, scrittori, amministratori pubblici, scienziati, artisti, registi, hacker, maker, esperti, giuristi, economisti, architetti, paesaggisti, linguisti, social media manager, designer, innovatori racconteranno le proprie storie durante la quinta edizione del festival “Conversazioni sul futuro”, diretta da Gabriella Morelli. 
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televaltiberina · 4 years
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