Tumgik
#Maison du Soir
mote-historie · 1 year
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George Barbier, Le Départ pour le Casino (Departure for the Casino). Manteau du soir, de Worth (Evening coat by House of Worth), La Gazette du Bon Ton, September 1923.
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praline1968 · 9 months
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Mon beau Charly,
Mon petit bouchon,
Ma beauté suprême,
Ma petite merveille,
Il y a 1 an aujourd’hui, tu prenais ton envol à 3h40 alors que tu étais dans mes bras.
Tu étais agité, j’ai essayé de t’apaiser mais je n’y suis pas arrivée à mon plus grand désespoir.
Malgré des signes d’affaiblissement que j’avais mis sur le compte d’un début de vieillesse,
Je n’ai pas vu, senti, compris, qu’une tumeur grandissait dans ton ventre depuis des mois.
Le poids des regrets et de la culpabilité me ronge un peu plus chaque jour.
Ton départ est le plus grand malheur de ma vie terrestre, nous étions si fusionnels.
Tu étais ma boussole, tu étais ma lumière, aujourd’hui, sans toi, je suis perdue dans le noir.
J’ai perdu le goût de vivre, plus rien n’a d’intérêt ni de sens dorénavant.
J’attends juste la fin au plus vite en espérant que je pourrai enfin te retrouver.
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🎤 Michel Pépé ~ Le coeur des anges 🎧
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(Petit poème que j’ai écrit pour toi le 24 décembre 2022)
🩵 Mon Charly 🩵
Il y a 9 ans, tu apparaissais et venais combler ma vie,
Tél un don venu du ciel, tu rallumais mes jours et mes nuits,
Pour moi, revenait alors le goût de vivre, l’énergie,
Un vrai bonheur, un éclair de temps et de vie qui déjà s’enfuit,
Et me laisse dans un silence, une solitude et une détresse infinie.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Petit chien de caractère, petit être d’exception,
Tes grands yeux noirs respiraient l’intelligence,
Coquin, joueur, espiègle, bavard et râleur,
Tu t’exprimais toujours avec ferveur,
Florilège d’intonations sonores,
Tu t’affirmais avec assurance, énergie et passion,
T’avoir dans mon existence fut une extraordinaire chance.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Tes mimiques, ta joie de vivre, tes discours, ta drôlerie,
Emplissait la maison de joie, de rires et de fantaisie,
Ta démarche aérienne si gracieuse, telle une élégante danseuse,
Ton majestueux panachon exprimait ton humeur toujours joyeuse,
Ta présence nous inondait d’amour et rayonnait d’une manière inouïe.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
Ce si triste et douloureux dernier soir,
Malgré ton hospitalisation, je t’ai ramené dans ta maison, près des tiens,
Je ne voulais pas que tu restes à la clinique sans personne ni rien,
Seul dans cette cage, dans la peur, l’angoisse, le froid et le noir,
Je ne sais pas si ma décision fût la bonne,
J’espère juste que ce choix aurait aussi été le tien.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
La nuit de ce 22 décembre qui a vu s’éteindre ta lumière,
Quand ton souffle s’est subitement arrêté,
Et que ton petit corps dans mes bras a soudain cessé de s’agiter,
J’ai senti ton esprit s’envoler, tu étais enfin libéré.
J’ai alors ressenti cet indescriptible vide abyssal où s’arrête l’univers,
Incommensurable et insupportable déchirure qu’à jamais j’aurai du mal à porter.
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A présent, il me reste les médicaments pour ne pas sombrer,
Pour parvenir à trouver le sommeil et ne plus penser,
Malheureusement, chaque jour, il faut bien se réveiller,
Retrouver et affronter cette terrible réalité,
Cette douleur immense, il faudra beaucoup de temps pour l’effacer 💔
Mon petit bichon,
Mon adorable Charly,
Aides moi à vivre sans toi 🙏🏻
A jamais, pour toujours, je t’aime mon Charly 💕 💞
J’espère te retrouver bientôt pour l’éternité dans l’amour infini 🙏🏻
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olympic-paris · 12 days
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saga: Soumission & Domination 269
Emma, juillet 2013
Comme Ernesto est arrivé en France, nous passons voir ma " mère ". Elle adore quand nous lui faisons l'amour tous les trois, ensembles.
Nous débarquons chez elle, moi en moto et PH avec Ernesto dans la SL. Elle nous dit avoir annulé tous ses rendez vous pour les jours à venir et nous invite à rester un peu de temps avec elle. Marc et Hervé sont à l'étranger, il n'y a donc pas d'impératifs pour nous faire rentrer à la maison.
Le premier jour, nous ne pouvons attendre le soir pour jouir de nos corps. A peine arrivés, elle nous entraine dans une nouvelle chambre. Un immense lit à baldaquin trône au milieu. Je lui demande les dimensions. Il fait 4m x 3 ! Un éclairage doux provient du ciel de lit avec un modulateur de puissance caché dans un des montants. Le fond de la pièce est consacré à la salle d'eau, derrière un grand panneau vitré transparent. Emma me dit que les installations du Blockhaus l'avaient inspirée.  On peut y voir un espace douche avec 4 diffuseurs Italiens et flexibles, séparé des lavabos, 4 aussi dans une seule vasque étirée sur le mur, par un autre panneau vitré.
Nous l'attrapons et la lançons direct sur le lit. Nous la rejoignons et l'épluchons de ses quelques vêtements. Autour d'elle, nous faisons un strip-tease en limite de déséquilibre, le matelas assez souple ne nous aidant pas. Quand nous sommes enfin à poil, elle peut admirer nos corps parfaits (n'ayons pas peur des mots, ha ha) et nos sexes raides d'excitation. Nous passons les deux heures qui suivent à nous faire du bien. Emma est l'axe sur lequel nous sommes arrimés tous les trois. Ça n'empêche pas de nous pénétrer aussi entre nous après ou même pendant que nous l'honorons. Bien sur, nous passons par l'inévitable " un dans chaque trou ", ce qui a toujours l'effet de la faire jouir un maximum surtout si c'est Ernesto qui lui rempli le vagin !  Ce qui est sympa du lit, c'est une grille, composée de gros barreaux métallique assez espacés, qui pet descendre à la hauteur désiré. Nous nous y accrochons tous à un moment ou un autre. Soit pour se retenir alors qu'on se fait labourer le cul, soit pour se tenir debout alors qu'un autre des participants vous suce la bite. Positionnée assez bas, elle me soutient le torse à l'horizontal, alors que je me fais enculer par Ernesto (miam que ses 24cm sont bon !) et que PH et Emma me pompe la bite et les boules en alternance. Y'aura encore à faire pour épuiser le potentiel de l'accessoire. Ernesto qui est aussi " clean " que nous (analyses et comportements), fait qu'on baise tous sans kpote et que nous profitons de son sperme comme du notre. C'est plus pratique lors des touzes comme celle-ci ! Et il n'y a plus de retenue lors de nos jouissances à tous. Après avoir mené Emma à la quasi-inconscience à la suite d'orgasmes multiples et rapprochés, nous explosons à notre tour, recouvrant de sperme blanc nos corps luisants de sueur. Exténués, nous restons 1/2 heure allongés, amorphes.
Alors que nous prenons nos douches ensembles, PH remarque que la pièce manque de miroir et suggère d'en faire recouvrir les murs et le plafond afin que l'on puisse s'admirer en train de faire l'amour. Emma trouve ça un peu " violent " mais Ernesto rebondi sur l'idée et affirme que ça pourrait être assez excitant. Je propose à Emma de m'en occuper ou de donner le taf à faire à Pablo. Après tout il est déjà plus qu'un simple cuisinier et soulagerait aussi le majordome de feu son mari qui commence, comme sa cuisinière, à prendre de l'âge.
Nous sortons de la chambre en maillots de bain pour quelques minutes de détente dans sa piscine. Nous y retrouvons Pablo qui nage à contre courant. Il ne nous aperçoit que quand l'eau explose autour de lui sous l'effet combiné de nos trois entrées façon " bombe ". S'ensuit une bagarre et comme nous sommes trois contre un, nous arrivons à le coincer contre le rebord. Après quelques bisous, il nous repousse sentant derrière nous Emma rentrer dans l'eau à son tour. Il s'apprête à sortir mais Emma lui demande de rester quelques instants. Il s'assoit sur la margelle de la piscine et je n'ai d'yeux que pour son paquet moulé par son slip de bains comme par une deuxième peau. Dans le lointain j'entends Emma discuter de lui donner plus de responsabilité dans la maison, avec notamment la gestion des travaux divers. Je n'entends pas la réponse mais j'annonce aux autres que je raccompagne Pablo à son appart pour le convaincre. Je sors de l'eau, l'aide à se relever et le pousse dehors. Derrière nous j'entends des " obsédé ", " faites vite, on a faim "...
C'est vrai que j'ai une envie folle de me faire baiser par lui. C'est limite si j'arrive à me contenir jusque chez lui. Et là, je le viole carrément. Bon il était d'accord puisqu'il bandait. Sa bite dure comme de l'acier m'a défoncé la rondelle sans ménagement. Premièrement, lui aussi était excité (mon cul l'a toujours satisfait) et deuxièmement, il était très énervé de se trouver si excité ! Heureusement que ma rondelle avait le souvenir de la queue de son frère (copie conforme) et que j'étais chaud comme la braise car il m'a arraché le maillot et enfilé direct (avec kpote quand même), moi plié en deux sur le dossier de son canapé. J'adore me faire dominer grave de temps en temps. Accroché, ses mains enserrant ma taille, il m'encule avec la sauvagerie qui va de paire avec son excitation. Ses coups de gland dans ma prostate me font bander à mort moi aussi. Mais seul le frottement du mien sur le cuir du canapé me soulage un peu.
Il accélère sans se soucier de mon confort, je lui suis juste un réceptacle aux pulsions que j'ai déclenchées. Je le sens monter en pression et accélère le phénomène en faisant pulser mon anneau sur sa grosse tige. Cela provoque des saccades dans ses va et vient qui l'achèvent rapidement. Son dernier coup de rein le fait me pénétrer jusqu'à l'os.  Le dernier passage de son gros gland me fait jouir et je laisse de grosses trainées de sperme sur le cuir noir alors que je sens en moi les secousses inhérentes aux éjaculations de Pablo.
Je reste quelques instants encore plié sur le canapé alors que Pablo se retire. J'ai une brève impression de vide et de " frais ", le temps que ma rondelle se referme. Je m'éclipse quand j'entends l'eau couler dans la douche. Je vais directement à la chambre pour me doucher et m'habiller avant de rejoindre les autres qui m'attendaient pour dîner.
Nous passons un bon moment. Emma nous fait parler de notre année, de nos examens et de ce que l'on va faire cet été. Elle-même a prévu de se rendre en Grèce au soleil et de profiter des " pâtres " locaux. Ernesto lui assure qu'elle n'aura que l'embarras du choix. Un de ses clients Espagnol y a passé une quinzaine et lui a dit que le plus difficile c'avait été de choisir. Avec plus de 50% des jeunes au chômage, il y avait un vivier de " putes " impressionnant.
Rôles inversés, c'est moi qui lui dis de bien faire attention. Il ne faut pas qu'elle prenne de risques. On a beau être pd, on l'aime bien mon Emma ! Elle se récrie que dans les hôtels où elle descend, les risques sont faibles. Ernesto est d'accord avec moi et il insiste lui aussi. C'est PH qui trouve la solution en disant que nous allions lui enseigner quelques parades et ripostes de Krav Maga. Après tout elle n'est pas si vieille et sa pratique journalière de sport fait une bonne base de départ.
Les deux jours qui suivent voient passer l'alternance de baises et de combats. Et plus de l'autre que de l'un. J'appelle même Jona à la rescousse pour vérifier que les bases que nous lui avons enseignées sont bonnes. Il arrive avec François, après un bon café, ils passent à l'évaluation. Quelques corrections et ils nous rassurent quant à ses capacité à repousser un à deux protagonistes qui auraient l'impudence d'insister alors qu'elle ne le désire pas ou plus ! Je commence à bien connaitre ma " mère ". Du coup je pousse mes deux mecs (PH et Ernesto) à partir. J'ai bien compris que mes deux Escorts, eux, vont rester sur place.
Alors que nous leur disons au revoir, François me parait un peu gêné. Je l'embrasse et lui glisse qu'il ne doit pas l'être, il n'y a pas de malaise. Qu'ils lui fassent plaisir et qu'ils en prennent aussi au passage, cela leur fera un bonus avant leur stage.
Ils sont trop honnêtes ! Quand ils appellent deux jours plus tard, ils me disent qu'elle leur a donné à chacun une prime en liquide. Je leur dis que les " pourboires " n'entrent pas dans la comptabilité de la boite. Faut que j'insiste pour qu'ils l'acceptent. J'aime bien mes p'tits mecs. Ils sont efficaces et honnêtes. Je leur laisse même une des RCZ pour leurs déplacements de l'été.
Alors que nous préparons notre voyage pour l'Espagne comme depuis deux ans, le client qui m'avait pris Jona et François me fait défaut. Alors que je leur dis que c'est sans conséquence pour eux, le paiement étant fait à la réservation, Jona me propose d'accompagner ma mère si cela nous arrange. Moi, cela va me rassurer c'est certain !
J'appelle aussitôt Emma qui est ravie de ce désistement. Elle s'occupe de réserver deux places de plus dans l'avion et rappelle l'hôtel pour prendre une suite à deux chambres afin de ne pas se gêner. Elle m'avoue que ça la rassure elle aussi. Je lui dis de s'appuyer sur eux deux et même de les charger des contacts avec les mecs qu'elle aura repérés. Elle me dit qu'elle se débrouillera. Je rappelle mes deux Escort et leur confirme leur engagement pour les 15 jours à venir et les conditions (protection rapprochée de ma mère). Ils m'assurent que ce n'était même pas la peine de le préciser. Ils allaient faire comme si c'était la leur sauf pour le sexe bien entendu !
Nous partons pour l'Espagne avec un arrêt d'une petite semaine à Bordeaux pour revoir les 4 " médecins " que nous avions connu au Grand Prix de France au Mans.
PH et moi sommes en moto. Ernesto prends la SL et nos quelques bagages. Marc nous rejoindra directement en Espagne avec Hervé.
PH s'est occupé de réserver une villa pour une semaine, sur le bassin d'Arcachon. Nous y recevrons nos amis et la leur laisserons le dernier WE.
Nous roulons ensembles. Ernesto accompagne nos pauses détente et seulement détente ! Enfin essence et déjeuner aussi. La circulation est fluide puisque nous avons décalé notre départ au dimanche matin. Nous nous faisons quand même poursuivre et arrêter avant l'arrivée. Deux motards sans bagages et pas de la région, cela intrigue la maréchaussée. Du coup, les motards de la gendarmerie ne comprennent pas quand La SL s'arrête au près de nous. Explications, les deux motards sont aussi des passionnés de moto et nous nous les mettons dans la poche, surtout quand on leur explique que nous allons retrouver des potes rencontrés au GP de France. Eux même y étaient, coté forces de l'ordre bien sur ! Ils se font une pause sur notre dos. Les mecs sont jeunes encore (dans les 30-35 ans) bien foutus, leurs jodhpurs moulent des cuisses plutôt musclées et des paquets proéminents. Un des deux me grille alors que je mate le paquet plutôt bien enveloppé de son pote. Alors que je m'attendais à une réflexion désagréable, il me fait un clin d'oeil complice ! Du coup je lui renvoi mon sourire qui tue. Quand il passe à mes cotés, je sens une de ses mains se poser un bref instant sur mon cul.
On comprend mieux la longueur du contrôle quand l'un regarde sa montre et nous dit qu'ils ont fini leur service. Je n'hésite pas et sans même regarder PH ou Ernesto je les invite à passer nous voir. Je leur donne l'adresse de notre location et mon n° de portable. Ils nous promettent de venir prendre l'apéritif, le temps de rendre les motos officielles et de se changer. En attendant nous faisons la fin de l'autoroute, précédés par nos deux nouveaux amis. Ils s'amusent même à nous ouvrir la route à fond la caisse gyrophares et sirènes hurlantes. Bon moment d'ivresse à rouler sans risque aux limites de nos engins ! Ils nous font même passer le péage gratuitement !
Nous filons sur Arcachon alors qu'ils rejoignent leur base.
Jardinier
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ekadouble · 4 months
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Here is his story / Voici son histoire : 1: Ryan était un homme sportif et son corps le montrait. Il faisait du sport tous les jours et cela depuis son adolescence. Mais un jour, après avoir gagner une grande course de marathon, il décida de fêter cela en mangeant la bouffe qu'il s'interdisait mais qu'il aimait tant, la malbouffe. Il se mit dans une tenue confortable et commença son festin. /Ryan was an athletic man and his body showed it. He was doing sports every day since he was a teenager. But one day, after winning a big marathon race, he decides to celebrate by eating the food he forbade but loved so much, junk food. He changed into comfortable clothing and began his feast.
2: Cependant, le lendemain, il se sentit quelque peu plus paresseux et décida de prendre du repos et de ne pas faire du sport ce jour-là. C'est ce qu'il continua de faire les deux semaines suivantes. Il perdit de sa masse musculaire et devint plus gras ; mais il ne s'en rendait pas compte. Il préférait se prélasser devant la télé, et critiquer les différents sportifs sur leur niveau qui était selon lui déplorable. / However, the next day he felt somewhat lazier and decided to take some rest and not exercise that day. This is what he continued to do for the next two weeks. And he became softer ; but he didn't realize his body changed. He preferred to relax in front of the TV, and criticize the various athletes on their level which was, according to him, deplorable.
3: Cela faisait cinq mois qu'il avait pris sa "pause". Et il avait continué de grossir. Il continuait à dévorer une quantité toujours plus importante de malbouffe ; il passait ses journées sur son canapé à se prélasser dans son corps désormais bien gras, à regarder la télé et à jouer à des jeux vidéos. Pour lui, sa vie était devenu paradis. Et quand le matin, il se levait et qu'il passait devant le miroir dans le couloir de sa maison ; et qu'il constatait ce ventre bien gras qui tremblait à chacun de ses pas, ces poignées d'amour, ces jambes plus potelées et ses fesses plus énormes que jamais et qui dévoilaient, avec grâce, toute leur grasse splendeur lorsqu'il s'abaissait. Il se rendit compte que tout cela était sien et il caressait alors son corps graisseux et se disait qu'il était devenu plus beau gosse que jamais. / It had been five months since he took some “rest”. And he continued to gain weight. He continued to devour an ever-increasing amount of junk food; he spent his days on his couch lounging in his now chubby body, watching TV and playing video games. For him, his life had become paradise. And when, in the morning, he got up and walked past the mirror in the hallway of his house; and that he noticed this very fat belly which trembled with each of his steps, these love handles, these legs chubbier and his buttocks more enormous than ever and which revealed all their fatty splendor when he was lowering. He realized that it was all his and he then caressed his fat body and said to himself that he had become more handsome than ever.
4: Les semaines et les mois passèrent, et il n'en finissait de s'engraisser, il dut même refaire sa garde-robes pour l'adapter à sa nouvelle grosseur. Il devenait pour lui de plus en plus pénible de se déplacer ; même changer de position sur le canapé et prendre sa sainte nourriture sur la table lui semblaient pénibles. Pourtant, il aimait tout de même cela, sentir son gras rouler et toucher les autres partir de son corps l'exciter. Il aimait par ailleurs jouer avec son ventre et ses pectoraux semblables désormais à des seins, sentir son gras se mouvoir sur lui était d'une véritable extase. Il admirait son ventre, ses poignées d'amour, ses bras et ses jambes devenir toujours plus gras alors qu'il se goinfrait. Certains soirs, il s'endormait sur son canapé, gras comme un porc et entouré d'emballages de pizzas ; le matin lorsqu'il se réveillait, son ventre débordant de ses vêtements, il ne pensait qu'à une chose, manger. Alors, il caressait son corps bien en forme, se demandant s'il voulait vraiment ; mais l'appel de la faim et du gras finissait toujours par l'emporter, et il devenait toujours plus gros. Et d'autres soirs encore, alors qu'il dormait, c'était l'appel d'une fringale nocturne qui le réveillait ; ainsi il se levait, et marcher faisant bouger son corps de toute sa grosseur vers le frigo, et il prit tout ce qu'il trouvait ; pots XXL de nutella, donuts, beignet, gâteau à la crème, caramel ou encore au chocolat rien ne lui résistait. Il devenait encore plus gros que jamais, son gras débordait de partout et ses vêtement devenaient trop serrés à nouveau. Il se sentait perdre le contrôle. / The weeks and months passed, and he continued to gain weight, he even had to redo his wardrobe to adapt it to his new size. It was becoming more and more difficult for him to move around; even changing positions on the sofa and taking his holy food from the table seemed painful to him. Yet he still loved it, feeling his fat rolling and touching others from his body excited him. He also loved playing with his stomach and his pectorals, which were now like breasts; feeling his fat moving on him was truly ecstatic. He admired his belly, his love handles, his arms and legs growing ever fatter as he stuffed himself. Some evenings, he fell asleep on his couch, as fat as a pig and surrounded by pizza wrappers; In the morning when he woke up, his stomach overflowing with his clothes, he only thought of one thing, eating. So he stroked her fit body, wondering if he really wanted to; but the call of hunger and fat always won out in the end, and he always got fatter. And still other evenings, while he was sleeping, it was the call of a nocturnal craving that woke him up; so he got up, and walked, moving his whole body towards the fridge, and he took everything he found; XXL pots of nutella, donuts, donuts, cream cake, caramel or even chocolate nothing could resist him. He was getting even bigger than ever, his fat was overflowing everywhere and his clothes were becoming too tight again. He felt himself losing control.
5: Plus de neufs mois avaient passé depuis son changement de vie. Il rigolait en pensant que son bébé ne devrait plus tarder. Thanksgiving, et le mois de décembre étaient passés et cela se remarqué sur son corps toujours plus gras. Lors des fêtes, il avait ignorer tous les commentaires désobligeants que ses proches lui eussent faites sur son nouveau physique ; il s'en contrefichait, il se sentait bien dans son corps c'était ce qui comptait le plus. Il savait qu'il pouvait avoir des complications de santé, mais il préférait s'y croire immuniser, et se concentrer sur le buffet. Maintenant, les soirs il n'allait plus se coucher dans son lit, il préfère le canapé, cela lui demandait moins d'effort. Maintenant, lorsqu'il devait se lever c'était pour aller chercher la nourriture qu'il venait de commander. Ce qu'il mangeait au début de son nouveau régime en une journée, est maintenant ce qu'il consomme en un repas, l'un de ses neuf repas de la journée. Toujours plus énorme, il sentait ses vêtements le serrer de nouveau, mais il avait la flemme d'en commander de nouveaux. Ce n'est que quand ses joggings se déchirèrent laissant apparent l'énormité de ses jambes et que ses hauts trop petits et trop moulants, laissaient visible son ventre si gras et rond qu'il rivaliserait avec la grosseur des plus gros sumos ; qu'il décida finalement à se commander de nouveaux vêtements en même que cinq gâteaux à cinq étages. / More than nine months had passed since his change of life. He laughed, thinking that his baby shouldn't be long. Thanksgiving and December had passed and it was noticeable on his ever fatter body. During the parties, he had ignored all the derogatory comments that those close to him had made to him about his new physique; he didn't care, he felt good in his body that was what mattered the most. He knew he could have health complications, but he preferred to believe he was immune to them, and concentrate on the buffet. Now, in the evenings he no longer goes to bed in his bed, he prefers the sofa, it required less effort. Now, when he had to get up it was to go get the food he had just ordered. What he ate at the start of his new diet in a day is now what he consumes in a meal, one of his nine meals a day. Ever more enormous, he felt his clothes tightening again, but he was too lazy to order new ones. It was only when his jogging pants were torn, revealing the enormity of his legs and his tops, which were too small and too tight, left visible his belly, so fat and round that it would rival the size of the largest sumo wrestlers; that he finally decided to order new clothes as well as five five-tier cakes.
6: Ryan était vraiment obèse, il ne savait s'il voulait en venir là. Tout lui semblait plus compliquer et il ne savait plus trop s'il aimait son corps qui était devenu vraiment énorme. Ce qu'il savait néanmoins, ce qu'il n'arriverait pas à faire machine arrière, il n'en aurait pas la force. Il se condamnait ainsi à devnir toujours plus gros, et à se goinfrer, mais ça il aimait se goinfrer. / Ryan was really obese, he didn't know if he wanted to come to that. Everything seemed more complicated to him and he no longer really knew if he liked his body which had become truly enormous. What he knew, however, was that he would not be able to turn back, he would not have the strength. He thus condemned himself to becoming ever fatter, and to stuffing himself, but he liked to stuff himself.
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ernestinee · 20 days
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T'façons c'est pas compliqué les bases pour améliorer sa santé c'est bien dormir, manger équilibré et bouger. Au moins s'étirer.
Ça fait deux variables sur lesquelles j'ai la possibilité d'agir. Le sommeil j'ai abandonné.
Puis il reste le côté chiant de la santé. Quand il faut agir sur le plan médical. J'ai aussi abandonné l'idée de retourner un jour en gynécologie et en cardiologie. J'ai une sorte de dérèglement depuis deux mois, je ne sais pas d'où il vient mais je sens que mon fonctionnement a changé. C'est difficile à définir. Ça n'a pas l'air "grave", c'est juste différent.
Puis la santé mentale. Ça fait des mois que je n'ai plus écrit dans mon carnet, simplement parce que je ne suis jamais seule dans cette maison. Il y a eu les congés scolaires et autant ça me fait du bien d'avoir + de temps le matin, autant nerveusement ça m'épuise. Il faut penser aux repas plusieurs fois par jour, aux loisirs, conduire l'ado à gauche et à droite, dépenser des sous pendant que je n'en gagne pas, profiter du temps libre pour faire des trucs et bosser, parce que les congés scolaires c'est pour l'ado, pas pour moi. Ça me manque d'écrire, écrire sur les plantes, les saisons, les observations, les couleurs, décrire des lumières, des moments, les liens que je tisse entre le hasard et le voulu, des souvenirs. Il y avait une jolie brume qui montait hier soir, la première brume de septembre, et la lune était très fine, le ciel encore un peu coloré, et ce ne sera pas écrit dans mon carnet. Écrire est à peu près le seul truc qui m'aide à ne pas devenir cinglée entre ces murs. Avec la musique. Là je me nécrose. C'est chouette cette idée de cocher des cases mais il me faudrait une matinée sans case à cocher, à un moment où je suis seule.
Bon j'ai commencé en disant que c'est pas compliqué et en fait c'est compliqué.
Allez. Étirements, marche, écriture et arrêter le sucre rapide.
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sabinerondissime · 20 days
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Journal
Il y a 20 ans, tout commençait entre nous. Nous nous sommes connus sur un site de discussion, comme il y en avait beaucoup au début des années 2000. J'étais en vacances dans le sud et nous avons dialogué jusqu'à mon retour en Normandie. Mon divorce venait tout juste d'être prononcé. Nous nous sommes rencontrés au début du mois d'aout et cela a tout de suite fonctionné entre nous. Mais ce mois ci, il y avait les jeux olympiques et ta passion pour le sport est passé avant ton envie de me voir. Vexée, je t'ai dis que je préférais qu'on en reste là. Le 29 aout, tu m'as envoyé un message pour me souhaiter ma fête et le dialogue a reprit. Tu es venu me voir le 6 septembre et nous ne nous sommes plus jamais quitté. Les premiers mois ont été superbes. Nous sortions beaucoup, tu m'emmenais faire des choses que je n'avais jamais faites comme voir un concert d'artiste que je ne connaissais pas (Mes souliers sont rouges) aller à La nuit du Zapping au Zenith de Caen, ou voir des matchs de Hockey sur glace. Nous aimons les choses simples alors nous faisions des pique niques en bord de mer, avec juste du pain et du camembert. Nous allions aussi dans pas mal de restaurant découvrir la cuisine du monde. Et comme je vivais toujours sous le même toit que mon ex-mari, nous allions dormir à l'hotel régulièrement. Tu prévoyais toujours une surprise. Un soir, je suis arrivée après toi et tu avais pavé le couloir de l'hotel de pétales de roses, jusqu'à la chambre ou je devais te retrouver. Quelques mois plus tard, j'ai emménagé dans ta ville, dans la même rue. Mais comme mes 3 enfants vivaient avec moi et que toi, tu n'avais jamais eu d'enfant, nous avons préféré garder chacun notre appartement au cas où. En 2007, nous avons eu notre fils mais nous avons tout de même conserver nos appartements. La naissance de notre fils a changé beaucoup de chose dans notre couple et 3 ans plus tard, afin d'éviter la rupture, nous avons pris la décision de nous laisser la liberté de vivre d'autres choses. Nous avons vécu ainsi quelques années. En 2020, mes 3 premiers enfants étant partis de la maison et le confinement arrivant, tu es venu t'installer chez moi. Nous avons continuer à faire chambre à part. De toute façon, il y avait déjà quelques années qu'il n'y avait plus de relation sexuelles entre nous. Nous sommes des amis, des parents mais plus des amants et probablement plus des amoureux. Nous aimons la façon de vivre de l'autre, le calme, la tranquillité et l'âge venant, nous avons décidé de nous marier, pour mettre à l'abri celui de nous deux qui restera en vie le plus longtemps. Demain, je porterai ton nom. Même si nous sommes très différents dans nos gouts et nos passions, nous en avons une qui nous lie depuis près de 18 ans, notre fils ! Je sais, parce que tu me l'a prouvé, qu'en cas de coup dur, mes enfants et moi nous pouvons compter sur toi. Désormais, nous avons un petit-fils qui, même s'il est le fils de mon fils t'appelle Papi et se moque bien qu'il n'y ait pas de lien du sang entre vous. Alors oui, il me manque la tendresse, la passion, l'amour, les mots doux, les compliments, les câlins, la sensualité, le sexe, la séduction, les projets, les voyages à deux et tout ce qui se rattache au sentiment amoureux. Mais je sais à quel point les sentiments sont éphémères. On dit "Marriage plus vieux (et non pas pluvieux) mariage heureux" parce que justement, on a souvent fait une croix sur la folie de la passion que recherche encore les plus jeunes. Ce qui est important désormais, c'est la stabilité et la confiance et cela, tu me l'apporte jour après jour depuis 20 ans. Merci d'avoir pris soins de moi et de mes enfants. Merci d'être l'homme que tu es, avec tes qualités et tes défauts. Demain, ce sera OUI, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la mort nous sépare.
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soeurdelune · 8 months
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quelques sons d'ambiance que j'écoute non stop en ce moment pour écrire (et que je vous partage parce que vous le valez bien ♡ et vive l'immersion toussa)
la maison d'une sorcière en pleine forêt un soir d'orage 🔮 by asmr weekly
soir du nouvel an 1958, un morceau jazz résonne dans une cité sous la mer (bioshock) ⚓️ by ambient gamescapes
dans la salle d'attente des backrooms 🚪 by mad cherry!
sous la pluie d'un cimetière japonais (ghost of tsushima) 🎏 by rpg ambient sounds
le refuge d'une vieille serre abandonnée un soir d'hiver 🍂 by asmr weekly
près du feu au 221B baker street 🎻 by asmr rooms
à l'ombre d'un jardin ottoman au 18ème siècle 🪻 by ambience of yesteryear
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peutetreplusblog · 3 months
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J’ai honte!
Ce matin, dans mon lit, je crois que j’ai poussé un petit cri en me réveillant, une drôle de sensation entre les jambes, et surtout, une petite flaque sur mes cuisses et sur les draps. Ce n’est pas du pipi, c’est un peu collant. Mon zizi est encore un peu dur. J’espère que maman ne va pas voir la tâche sur mes draps.
Je me lève, il y a école aujourd’hui. Depuis la rentrée, je suis au collège, tout neuf, plusieurs bâtiments tout rectangulaires de trois étages, bleu et blanc.
Maman a acheté du Nesquik pour mon petit déjeuner, avant c’était toujours du Van Houten, je crois que je préférais avant. Trois tartines beurrées et de la confiture de fraises. Un coup de brosse à dents rapide, car j’aime pas trop ça et direction le garage pour sortir le mini-vélo que papa a rafistolé après l’avoir récupéré chez ma grand mère.
Dans mon sac à dos en cuir, il y a mes cahiers, livres et trousses. Au collège, on fait des mathématiques modernes, je n’aime pas du tout ça, alors que j’aime bien le calcul mental, mais ça n’a rien à voir. Je crois que je n’aime pas l’école, car je n’attends qu’une chose, la récréation.
Là je sors mon tac-tac, un nouveau jeu où il faut taper deux boules, mais on se détruit les poignets avec. C’est aussi la première année où je suis en classe avec des filles. Devant moi, il y a Véronique, elle est heureuse, ça fait une semaine qu’elle met un soutien-gorge, comme mes sœurs.
À midi, je repars manger à la maison. Il reste du poulet du dimanche.
Puis retour à l’école. Sport cet après-midi. Course sur le stade et grimper à la corde. Je suis nul à ça.
Papa a acheté une nouvelle voiture, une Simca 1100. Maman râle parce qu’il ne fait que de rouler avec et l’essence coûte cher. Moi ça me fait rire. La R8, c’est l’abruti qui traîne avec ma sœur qui l’a achetée.
Le soir après le supplice des devoirs, on va faire les fous avec Patrick et Thierry en vélo dans les chemins de la forêt. Évidemment, je rentre sale comme un cochon, il va falloir passer du temps à se débarbouiller dans l’évier de la cuisine, et subir les moqueries des frangines. On a le droit de prendre un bain que le samedi.
Après le dîner, j’ai pas le droit de regarder la télé, à part le samedi. A 9 heures, direction la chambre que je partage avec ma sœur la plus jeune, mais qui a le droit de se coucher plus tard.
J’entends PopCorn à la télé, c’est chouette cette musique. Je sors le catalogue de la redoute que j’ai caché dans mon armoire pour regarder les femmes en soutien-gorge et culotte. Ça me fait durcir le zizi. C’est drôle, parce que quand je vois maman en soutien-gorge, ça fait pas pareil.
La tâche sur les draps à séché, c’est tout raide maintenant, on dirait une carte. Maman a rien dit, elle a pas dû la voir en faisant le lit. Mais j’aimais bien la sensation que ça m’a fait, j’aimerais bien que ça recommence demain matin ou même ce soir... Peut-être que je deviens grand! On est quand même en 1972.
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mote-historie · 1 year
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George Barbier, Dogareffe (Reliable), Robe du Soir de Jenny (Jeanne Adele Bernard, Jeanne Sacerdote), La Guirlande, November 1919.
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clhook · 7 months
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en ce moment une de nos 3 poules fait un remake de prison break elle se sauve de l'enclos tous les jours, un peu relou mais bon elle reste dans le jardin donc ça va on la rentre le soir, mais hier soir on devait sortir avec des potes en partant direct du travail, je dis à mon keum "tu veux pas que je passe à la maison pour vérifier que les poules se sont pas enfuies ?" il dit "oh mais non elles vont pas s'enfuir tkt" moi "mais t sûr ???" lui "oui oui" mais j'étais pas sereine parce que si la fugueuse est en dehors de l'enclos elle sera enfermée dehors quand la porte automatique du poulailler se fermera, bref on fait notre soirée, on rentre à la maison, mon mec va voir le poulailler il ressort il dit "euh il manque une poule" BAH TU M'ÉTONNES JOHN donc nous voilà à faire le tour du jardin à 1h du mat avec nos lampes de téléphones pour retrouver l'évadée qui était finalement bien installée dans la haie
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gogmstuff · 6 months
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1908 (June issue) Les Modes - Robe du soir par la Maison Agnès - photo by Chéri-Rousseau & Glauth. From gallica.bnf.fr; fixed flaws & spots w Pshop 1336X2147.
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olympic-paris · 9 days
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saga: Soumission & Domination 272
Arcachon 3
Dans les 18ans (j'espère), châtain clair ébouriffé, imberbe et déjà bien bronzé avec un shorty très court. Dans les 1,75m plutôt fin mais avec des muscles bine dessiné quand même. Je tombe à genou à coté de lui et sort mon plus beau sourire. Il se pousse pour me faire une place sur sa serviette. Je m'assois dessus et en profite pour poser ma main sur son ventre. Il ne la repousse pas, du coup je la laisse et commence même à caresser lentement son torse, le maintenant au sol. Il me dit s'appeler Jules et m'avoue avoir remarqués notre groupe hier après midi déjà.
Je lui demande s'il n'est pas déçu que ce soit moi et pas un autre qui soit venu le voir ? Il ferme un oeil et, après avoir tourné le visage vers les autres occupés à jouer à une 15aine de mètre, me dis que non bien que le grand bronzé et baraqué avec qui je suis venu lui plaisait bien aussi. Je lui fais préciser et il me montre Ernesto. Je ris et lui dis qu'il a, non seulement bon goût, mais aussi un gros appétit. Comme il n'a pas l'air de comprendre, je lui dis que mon ami est très, très bien équipé.
C'est lui qui me demande si nous sommes là pour un moment. Il semble déçu quand je l'informe que nous seront repartis avant la fin de la semaine. Je lui propose alors de ne pas perdre de temps et de m'accompagner derrière le premier rideau d'arbre. Il hésite et me dis qu'il y a pas mal de vieux qui y trainent. Je lui fais part de mon étonnement vu que sur la plage il n'y a que des jeunes. Il m'explique alors qu'il connait bien le coin et qu'ils arrivent par une autre route et rodent en attendant les jeunes mecs qui vont se soulager. Je me penche alors et pose mes lèvres sur les siennes. Et j'attends qu'il fasse le premier pas. Rapidement je sens sa langue glisser sur mes lèvres, s'insinuer entre elle et taper mes dents comme pour me demander l'autorisation d'entrer. J'entrouvre et c'est une véritable furie qui s'empare de ma bouche. Son bras est venu autour de mon cou pour me maintenir serré contre lui alors que sa langue virevolte dans ma bouche, cherchant la mienne et faisant bataille avec elle. Bien que cela fasse un bon moment déjà que nous sommes sur la plage, sa langue est fraîche et je prends du plaisir à lui rouler ce patin. Après un temps qui m'a paru court mais qui, selon la position du soleil, serait plutôt de pas loin d'une heure, je lui demande ce qu'il fait, tout seul.
Il me raconte : il vient de fêter ses 18ans, des parents au travail qui, l'été, s'installent dans la station où nous avons loué et qui font les trajets tous les jours à Bordeaux et un frère plus âgé qui bosse comme saisonnier dans un restaurant un peu plus loin sur la cote.
Je conclue qu'il est donc relativement libre de son temps. Il me le confirme et me dis que ses parents acceptent qu'il rentre tard où plutôt tôt le matin, après tout c'est les vacances. Je lui demande s'il serait intéressé par une invitation à une soirée privée chez nous ce soir même. Il accepte avec empressement et me demande s'il pouvait intégrer notre " groupe " dès maintenant.
Je n'en vois pas d'impossibilité mais avant de rejoindre tous les autres je passe un petit moment à lui préciser qui est qui : le groupe des parisiens et le mien sans lui dire que les deux Ducatistes sont gendarmes.
Quand je le ramène, il se fait siffler et chahuter par nos parisiens alors que mon groupe l'intègre sans chichis. Je vois qu'il a de la suite dans les idées car c'est auprès d'Ernesto qu'il cherche la sécurité !
Quand nous nous séparons, avant de nous retrouver plus tard, nous emmenons Jules avec nous. Amusant, il s'aperçoit que nous avons loués à 3 maisons de chez lui. Ernesto me glisse que le p'tit mec que j'ai trouvé n'était vraiment pas farouche et qu'il avait fait les quelques km du retour avec sa main (à Jules) sur sa bite (à lui). Je lui dis alors qu'il (lui) avait tapé dans l'oeil de Jules. Tout content, Ernesto me dit que lui c'est plutôt dans sa rondelle qu'il ira lui taper.
Le portail refermé et nous nous mettons à poil le temps de traverser la maison. Jules hésite mais quand il voit que certains ont leurs culs touts blancs, et bandent déjà, il baisse son maillot et nous fait découvrir son outillage. Comme il est tout raide, j'estime une bite de 18cm par 4/5, circoncise, avec un beau gland plutôt ovale avec deux petites couilles rasées. Quand Ernesto se retourne, il reste quand même bloqué, le regard fixé sur les attributs de notre espagnol. C'est sur que tâtés par-dessus le tissu du maillot de bain ou les voir dans toute leur nudité, c'est pas pareil !
Nos gendarmes l'attrape, un de chaque coté et le portent jusqu'à la piscine dans laquelle ils le projettent. Alors qu'il remonte à la surface, il est éclaboussé par tous les autres qui tombent autour de lui. Nous jouons, nous nous pourchassons, caressons. Il veut nous montrer qu'il n'est pas une " oie blanche " et pour cela entreprend de sucer Ernesto sous l'eau ! Nous le sauvons de la noyade alors qu'il s'étrangle avec son gland ! PH lui glisse à l'oreille qu'il n'a rien à prouver avec nous. En attendant, nous préparons la réception du soir. Jules m'aide et comme il me fait bander grave, je l'attrape et le pousse dans le bureau du ré de chaussée.
Il a compris tout de suite et se colle à moi tout bandant lui aussi. Je suis penché et lui sur la pointe des pieds. Il fini par me sauter dans les bras ceinturant ma taille de ses cuisses. Ma queue se dresse sous ses fesses. Il se trémousse alors que nous nous roulons toujours un patin, jusqu'à ce que mon gland tape sa rondelle. Il ondule du bassin et comme je le sens s'ouvrir, je le pose sur le bureau et me kpote rapidement avant de le reprendre dans les bras. Ma bite trouve aussitôt le bon chemin et je me sens m'enfoncer dans son cul. J'adore ! Rondelle ferme sans être fermée, Jules appui pour bien s'enfoncer ma bite en lui. Il relâche mes lèvres et halète un peu sous l'effort. J'ai droit à son superbe sourire quand nos os se collent.
Je m'adosse au bureau (les fesses contre le plateau). Jules en profite pour poser ses pieds dessus et des bras autour de mon cou, il se lime tout seul sur mon pieu. C'est trop bon ! Il est vraiment très chaud et j'apprécie sa façon de baiser. Son sexe se frotte à mes abdos et son gland devient violacé. Je le laisse faire quelques minute et reprend la main. Je le porte sur ma bite jusqu'au canapé et accompagne sa chute dessus. Je lui relève les jambes jusqu'à les passer sur mes épaules avant de me mettre à labourer sa rondelle. Il apprécie mes longs coups de rein et quand je fais des sorties complètes avant de me renfourner au chaud. Il attire ma tête et me roule un nouveau patin. Sa langue m'excite un peu plus et j'ai du mal à me retenir quand je sens, projeté sur mes abdos, son sperme. Je lâche les vannes et callé tout au fond de son cul, je me vide dans ma kpote. Je m'écroule sur lui. Il est encore plein d'energie et me lèche le cou, les oreilles tout en serrant son anneau. Je me retire avant de débander. Notre entrée dans la cuisine n'est pas resté discrète. Faut dire que la kpote pleine dans la main, j'aurais eu du mal a contredire le fait que nous venions de baiser. PH me la retire et passe un Sopalin entre les fesses de Jules avant de jeter le tout à la poubelle. Revenant vers nous PH lui demande si son mec, en l'occurrence moi, l'avait bien baisé. Jules me regarde, effaré, puis bredouille à PH qu'il ne savait pas pour lui et moi. Il comprend que c'est sans importance quand nous nous mettons à rire tous les deux. PH s'approche de lui et se penche pour lui rouler un patin, histoire de bien lui faire comprendre notre façon de fonctionner. Les deux gendarmes nous rejoignent à ce moment là. Ils encadrent Jules, le soulèvent et profitant de la situation, le font redescendre mais en le plantant sur G22 (Gendarme 22cm). Heureusement que j'étais passé avant, comme ça Jules a pu bien profiter, sans douleur, de la fougue militaire. PH et moi sommes restés au spectacle. Dès que Jules a été bien calé sur G22, G21 (Gendarme 21cm) l'a penché en avant jusqu'à enfoncer ses 21cm dans sa bouche et sa gorge.
Après la triple prise de plaisir, j'ai demandé à Jules si le programme était à son goût. Il me saute au cou et me dit qu'il ne lui était encore jamais arrivé un plan pareil. Ça le changeait des locaux de son âge. Je lui dis de garder des forces pour ce soir et nos invités. Je l'envoi se doucher. Il nous revient tout frais.
Vers 20h30 nos invités arrivent. Les bras pleins de bouteilles. Les bouchons sautent et les bulles coulent à flot. Ernesto surveille Jules et compte bien se le garder ce soir. Le BBQ chauffe et les grillades roussissent. Le diner est entrecoupé de séances de baises selon les affinités de chacun et le degré d'excitation du moment. Contrairement à la veille chez eux, pas de mêlée commune, mais des actions par petits groupes. Quand Ernesto est " violé " par un parisien en manque de grosse bite dans son cul, il nous confie, à nous ou à nos gendarme la garde de Jules. Ce dernier est d'accord pour se garder pour Ernesto.
J'ai deux fois profité des invités en recto comme en verso, tout comme PH. La deuxième fois, j'ai enculé le mec qui le sodomisait et quand le mec en question s'en est offusqué, arguant qu'il était plutôt actif, je lui ai répondu que c'était le prix à payer pour baiser mon mec ! Il a bien fallu qu'il s'en satisfasse coincé entre nous deux.
Finalement je crois que tout le monde a été content qu'ils partent. Il sont beaux, jeunes et bons baiseurs mais ne peuvent s'affranchir d'une certaine condescendance qui revenait souvent soit dans leurs comportements soit dans leurs propos. Je ne me suis même pas abaissé à leur mettre dans la vue nos relations dans la capitale !
Comme prévu, Ernesto s'est isolé pour le reste de la nuit avec Jules et à en croire les bruits venant de leur chambre, ils ont veillé jusqu'à très tôt. PH et moi avons fini la nuit dans les bras de la maréchaussée.
Arcachon 4
Je me réveille en même temps que G22. Nous laissons nos mecs respectifs dormir ensemble et descendons. Nous sommes les premiers. Je décide d'aller faire quelques courses. G22 m'accompagne. Je lui laisse le volant de la SL, il en mourait d'envie. Malgré les risque de tomber sur quelqu'un de sa connaissance, il roule jusqu'à Bordeaux rien que pour le plaisir de piloter l'engin. On refait les pleins (essence, champagne, viennoiseries et barbaque) et rentrons le pied dedans. Nous arrivons alors que le reste de la maison s'éveille. Ils nous aident à décharger les courses. G21 et G22 nous quitterons ce soir ! Du coup nous restons à la villa pour profiter d'eux jusqu'au bout et réciproquement.
Sans savoir ce qu'ils font dans la vie, Jules leur dis qu'il sera content de les revoir sur la plage. G22 qui se rappelle la douceur de son petit trou lui dit qu'ils reviendront dès qu'ils pourront. En attendant, G21 lui fait connaitre son coup de rein et Jules y semble aussi sensible qu'à ceux de son collègue.
Nous touzons tranquillement toute l'après midi. Ils nous quittent vers les 21h, non sans que nous ayons échangés nos n° de portables et la promesse qu'ils passent nous voir dans le " nord ".
Nous partons le lendemain pour Barcelone avant de rejoindre Sitges. Déjeuner à la frontière et nous arrivons tranquillement en début de soirée à l'appart d'Ernesto.
Marc et Hervé nous rejoignent, enfin en vacances. C'est génial.
Jardinier
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perduedansmatete · 7 months
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limiñanas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
clemence violence
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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ernestinee · 17 days
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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from-derry · 7 months
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Voici enfin la tant attendue annexe de la vie quotidienne. C’est en réalité la première partie de l’annexe concernant Derry et de ce fait l’une des plus importantes. Elle pose vraiment les bases du lore.
Quelques petites précisions importantes avant d’entamer votre lecture :
- c’est un premier jet ! Compte tenu du nombres de questions qui trouvent leur réponse dans cette annexe, nous la publions maintenant.
- Elle sera sujette à changements, réorganisation, ajouts jusqu’à l’ouverture du forum.
Vie quotidienne
La vie à Derry est résolument tournée vers la survie de la communauté. On organise le quotidien autour de tâches utiles, voire essentielles au bon fonctionnement général. Il est attendu que tout le monde participe à l’effort collectif.
Technologie :
L’eau courante et l'électricité sont présentes à Derry, sans que personne n’en connaisse l’origine. 
Il n’existe aucun moyen de communiquer avec le reste du monde. Internet, le réseau téléphonique, la radio, rien ne semble fonctionner à Derry. Parfois, si on joue avec les stations de radios, il peut vous sembler entendre des voix ou de la musique, mais c’est bien souvent très fugace. 
A l’intérieur de Derry, les communications par talkie-walkies fonctionnent, pour peu d’avoir du matériel fonctionnel. Chaque leader de groupe de la communauté en possède un qui permet de communiquer entre la ville et la maison en cas d’urgence. 
Il arrive que certains objets électroniques s’animent seuls sans que personne n’y touche. Les lumières s’allument aussi parfois seules... ou s’éteignent. Les habitants ont pris l’habitude de l’ignorer. 
À Derry, l’utilisation des appareils électriques modernes est assez aléatoire. Parfois cela fonctionne, parfois pas du tout, sans qu’aucune logique ne se démarque. Il n’est pas toujours possible de recharger ces derniers. 
Nourriture et repas : 
Les habitants de Derry vivent en autonomie complète et ne peuvent consommer que ce qu’ils trouvent ou produisent. Les épices se font rares, de même que les sucreries, le café ou tous vivres de la sorte. Les habitants produisent par contre de l’alcool artisanal, pas toujours très bon, mais efficace. Il est fait souvent à partir de pomme de terre ou de maïs. On y distille aussi de l’excellente eau de vie à partir de la production de fruits. 
Au centre bourg, les repas sont traditionnellement servis au diner et il est de coutume d’aller manger le matin afin de partager avec le reste de la communauté. En journée, le diner est ouvert à tout le monde pour un café ou une collation. Il est possible, pour les habitant·es du centre bourg de venir le soir prendre à manger à emporter pour celles et ceux qui ne cuisinent pas. 
A la maison commune, les repas sont pris en commun et préparés à tour de rôle par les résident·es selon un calendrier pré-établi. Il n’est pas obligé de manger ensemble, mais les repas sont souvent partagés entre la cuisine, la salle à manger et le salon en fonction des conversations. 
Locomotion :
S’il y a des voitures à Derry, on ne trouve pas d’essence autre que celui provenant des véhicules échoués dans la ville. On s’y déplace principalement à pied ou à vélo. Les véhicules fonctionnels sont réservés aux urgences. 
Santé et hygiène :
L’accès aux médicaments est aussi strictement régulé. Ces derniers sont une denrée particulièrement rare. Il arrive parfois à un habitant chanceux de découvrir au hasard de ses promenades une trousse de secours. Pour la majorité des soins, il faut compter sur le savoir collectif qui se transmet au fil des générations et de la formation des nouveaux soignants. Les produits d’hygiène et de soin sont principalement produits par les herboristes. 
Saison et rythme de vie :
La vie de Derry est principalement dictée par les saisons et l’heure à laquelle le soleil tombe. Ainsi, la période hivernale est plus morne que l’été. Les sociabilités se font et se défont au fur et à mesure des saisons. 
Le temps d’activité ne s’organise pas en horaire de bureau, mais en fonction des besoins ou de la demande. Certains rôles sont plus demandeurs que d’autres. A quelques exceptions comme le travail d'élevage, il est rare qu’on occupe toute la journée son poste, c’est plus souvent en demi journée qu’on s'organise. 
Moeurs générales :
Derry vit coupée du monde et de son évolution générale. L’arrivée de nouveaux habitants dans la ville donne toujours la mesure du temps qui est passé, plus que n’importe quelle technologie devenue obsolète. On peut évaluer le temps vécu à Derry à la mentalité de chacun·e. 
Talisman :
Il est de coutume d’accrocher près de l’entrée principale un talisman. Celui-ci est gravé dans le bois, la pierre ou dans un bout de poterie. On y reproduit des symboles dont personne ne connaît le sens exact. La croyance est qu’il empêchent les créatures de passer par l’entrée protégée. On ignore s’ils ont un véritable effet. Personne à Derry ne sait qui a trouvé ou inventé les talismans, mais ils sont en place depuis toujours, semble-t-il. Personne ne s’est risqué à sortir avec un talisman autour du cou la nuit pour s’assurer qu’ils étaient réellement efficaces. Difficiles à reproduire, ils s'abîment rapidement, se brisent assez souvent lorsqu’on fait cuire la poterie et trouver des pierres suffisamment grosses et non friables pour les graver est souvent compliqué. Ils sont donc rares et considérés comme précieux. 
Sanctions :
Il n’existe pas de lois à proprement parler à Derry, outre la convention du partage des biens. Les shérifs des années passées ont néanmoins instauré deux sanctions. 
Construite devant l’ancienne poste, il y a une boite où l’on enferme les habitants durant une nuit pour les punir d’un petit délit. Ceux-ci sont laissés à l’appréciation du shérif en place. De mémoire actuelle, la boite n’a pas été utilisée. Les crimes (comme le meurtre) sont punis par le bannissement - cela équivaut à une peine de mort puisque sans talisman, personne ne survit longtemps dans les bois entourant Derry.  
Cachettes :
Dans les rares cas où l’on se retrouve dehors à la nuit tombée, il existe quelques cachettes connues des habitants. D’un confort rudimentaire, elles ne sont à investir qu’en cas d’extrême urgence et ne garantissent pas une aussi bonne protection que les habitations.  
Confort de vie :
De nombreux objets du quotidien en dehors de Derry manquent ou se font rares. Le plus souvent, c’est le système débrouille qui prime. On recycle beaucoup, on reprise énormément et on tire les machines jusqu'à ce qu'elles rendent l'âme.
Armement :
Les armes à feu sont interdites à Derry, du moins en principe. Il y en a quelques unes à dispositions chez le Shérif et sous contrôle d’Isidro à la maison commune, mais il est admis que sauf raisons particulières il n’est pas autorisé d’en posséder. Bien sûr, il est toujours possible de contourner la règle et d’en dissimuler mais si on découvre la vérité, gare aux conséquences. 
Relations centre-bourg / maison commune :
Les relations entre la maison commune et le Centre-bourg sont dans l’ensemble plutôt bonnes. L’ouverture de la maison commune a laissé néanmoins des traces dans la mémoire de Derry que l’on peut retrouver aujourd’hui. Les habitant·es de la maison commune ont tendance à rester ensemble, si bien que lorsqu’ils descendent en ville dans les lieux communs, on peut ressentir une sorte de réserve mâtinée de méfiance. Les habitant·es du Centre-bourg ont toujours l’impression artificielle qu’on vient piquer dans leur garde-manger. C’est notamment grâce au chassé-croisé des activités dans les différentes communautés que l’ambiance reste agréable malgré tout.
Éducation :  
La ville compte très peu d'enfants, l'école ne possède donc qu'une classe unique. On y apprend à lire, écrire, compter ainsi que les connaissances pratiques pour survivre au quotidien à Derry, comme faire son savon, planter des graines, raccommoder ses vêtements, etc. 
Animaux :
On trouve quelques animaux à Derry et plusieurs cas de figure. Certains sont arrivés avec leur propriétaire dans la ville. Certains apparaissent de façon inconnue. Il est possible de les attraper et de tenter de les domestiquer. Le bétail est assez limité : quelques vaches, quelques chèvres, quelques cochons, quelques poules. 
 Concernant le gibier, on trouve principalement de petits animaux sauvages : lapins, oiseaux, lièvre, faisan, etc. Le grand gibier existe mais se fait plus rare. Il faut souvent s’enfoncer loin dans les bois pour le débusquer et cela n’est pas sans risque. 
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alexar60 · 1 year
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La lumière sous la porte
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Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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