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#Marine allemande
carbone14 · 6 months
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Poupe du cuirassé Tirpitz – 1940-1941
©Naval History and Heritage Command - NH 59672
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defenderoftheearth · 7 months
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L'héritage de Neuschwabenland
Bases externes dans le Neuschwabenland Une carte d’origine d’après archives. La plupart de mes lecteurs  connaissent essentiellement la région antarctique allemande du Neuschwabenland et son histoire, ce qui n’est ni un secret ni une information particulièrement nouvelle. Nous en avons déjà parlé dans CN II et, à notre connaissance, rien n’a changé depuis, c’est-à-dire qu’il ne peut probablement…
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female-buckets · 2 years
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Lyon girls
(Gabby is still on vacation lol)
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“Le divin est partout, même dans le grain de sable” - Caspar David Friedrich
“Le divin est partout, même dans le grain de sable” - Caspar David Friedrich
Caspar David Friedrich (1774-1840) est un peintre romantique allemand, considéré comme l’une des figures les plus importantes dans le développement du genre. Il est né à Greifswald, en Suède, mais sa famille s’est installée à Hambourg, en Allemagne, alors qu’il n’avait que 5 ans. Friedrich a reçu sa première formation artistique sous la direction du peintre danois Johann Gottfried Quenéen, puis à…
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Never forget.
En ce jour le plus long, plus de 200'000 hommes se trouvaient face à face, sur les plages de Normandie.
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Les forces alliées débarquaient sur les plages de Normandie, le 6 juin 1944
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Au nom de code Neptune, a été le plus important de l’histoire en termes de navires engagés.
Alliés
Effectifs: 156'177 hommes 5 divisions d’infanterie et 3 divisions aéroportées sont débarqués le jour J, dont 10'470 seront tués, blessés ou disparus, selon les chiffres du Mémorial de Caen, dans l’ouest de la France. Par mer, environ 133'000 hommes: soit 58'000 Américains sur les plages Utah et Omaha, 54'000 Britanniques sur Gold et Sword et 21'000 Canadiens sur Juno 177 Français débarquent aussi sur Sword.
Par air, 23'000 hommes: 13'000 parachutistes américains sont largués sur l’ouest de la France, dans le Cotentin et 10'000 Britanniques entre l’Orne et la Dives.
Aviation: pendant la seule journée du 6 juin, 11'500 appareils dont 3500 planeurs de transport, 5000 chasseurs et 3000 bombardiers survolent les plages normandes et déversent 11'912 tonnes de bombes sur les défenses côtières allemandes. Les pertes seront faibles: 127 avions perdus et 63 endommagés.
Marine: l’opération Neptune engage 6939 navires et la force de débarquement proprement dite comprend 4126 navires et barges constitués en 47 convois. Une partie des transports les LCA, Landing craft assault accompliront la traversée à bord de bateaux plus puissants pour n’être mis à la mer qu’au large de l’une de leurs cinq plages de débarquement. Les autres types de péniches traverseront la Manche par leurs propres moyens, notamment: les LCI (Landing craft infantry), petits transports de troupes, les LCT (Landing craft tanks) qui transportent des chars et des véhicules, les LCVP (Landing craft vehicle personal), les LST (Landing ship tanks), ainsi que les fameux «ducks» (canards), engins amphibies propulsés par une hélice. 20'000 véhicules et un millier de chars ont ainsi été transportés. La flotte logistique compte 736 navires auxiliaires et 864 navires marchands pour le transport de vivres, munitions et les hôpitaux flottants. Parmi les navires marchands, 54 blockships seront coulés pour former des rades artificielles.
L’escadre de combat totalise 137 navires de guerre dont sept cuirassés, une vingtaine de croiseurs, 221 destroyers, frégates, corvettes, 495 vedettes, 58 chasseurs de sous-marins, 287 dragueurs de mines, quatre poseurs de mines, deux sous-marins.
Forces allemandes
Effectifs: ~ 148'000 hommes de la 7ème armée sont stationnés en Normandie et environ 50'000 dans la zone de débarquement. A proximité des plages, une seule division blindée, la 21ème, au sud-est de Caen, et six divisions d’infanterie. Deux autres divisions blindées, la 12e SS (Hitler-Jugend) et la division Panzer-Lehr, sont respectivement près d’Evreux et vers Alençon-Le Mans. Trois autres divisions 1ère SS, 2ème et 16ème se tiennent au nord de la Seine, aux environs de Mons, Péronne et Senlis.
Aviation: une bonne partie des appareils vient d’être envoyée sur le front est. Restent quelques dizaines de bombardiers et chasseurs.
Marine: 30 vedettes, quatre destroyers, neuf torpilleurs, 35 sous-marins.
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alexar60 · 1 year
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Le musicien fantôme
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L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
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lepartidelamort · 3 months
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Le président serbe prédit une grande guerre en Europe « dans 3 ou 4 mois »
Je ne crois pas que Macron a dissout l’assemblée par « réflexe narcissique » comme le disent certains. Macron est l’homme le mieux informé de France et il sait quelque chose que les autres ne savent pas, y compris ses ministres.
Pourquoi céder la majorité et la gestion des affaires courantes maintenant ? La guerre en Ukraine est la clef de l’explication.
Le président serbe Vucic a accordé un entretien à un média allemand avant-hier dans lequel il a fait part de son évaluation de la situation en Ukraine. Durant tout l’entretien, Vucic est apparu déprimé et résigné, évoquant la perspective de « millions de morts ».
Selon Vucic, nous sommes à « 3 ou 4 mois » d’une grande confrontation entre l’OTAN et la Russie en Ukraine, « il y a le danger que cela arrive bien avant » a-t-il ajouté avant de dire que Xi Jinping, qu’il a reçu à Belgrade récemment, partage son opinion.
À 19:38′ :
youtube
Vucic n’a aucun intérêt à faire ce genre de déclarations, la Serbie n’est pas directement impliquée dans la guerre. D’ailleurs, il a déclaré dans le même entretien que la Serbie serait neutre, mais que d’autres états auraient des choix très difficiles à faire.
Pour en revenir à Macron, il allait de toute façon faire face à une crise politique majeure en automne avec le budget de l’année 2025.
La dette française est dans un tel état que cela implique des hausses massives d’impôts et une inflation hors de contrôle, ce qu’il n’aurait pas pu imposer à l’Assemblée sans troubles majeurs.
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Abandonner le chaos de la politique intérieure au RN est un moyen d’éviter l’obstacle et de laisser Marine Le Pen se noyer dans le désastre financier qui couve. Si elle n’est pas à Matignon, elle sera à l’Assemblée et votera donc des mesures impopulaires.
La finance internationale va très certainement aider Macron en faisant monter fortement les taux d’intérêts de la dette française, donc les montants à rembourser annuellement.
La France s’acheminerait vers le défaut partiel d’ici 2025 et Macron s’en lavera les mains.
Les premiers signaux arrivent.
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En s’engageant en Ukraine, Macron pourrait se concentrer sur la guerre et la diplomatie en tant que chef des armées.
Ensuite, c’est l’inconnu. Au milieu d’une guerre générale, les paramètres changeraient totalement. L’état d’esprit des masses évoluerait rapidement et la tambouille politicienne interne n’aurait plus grande importance.
Dans le chaos, Macron pourrait tenter un putsch constitutionnel, d’une manière ou d’une autre, avec l’aide implicite de l’armée et de la banque juive, pour se reconduire.
Démocratie Participative
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Fenerbahçe is one of the wealthiest women basket club in Europe, the proprietary is one of the welthiest man in Turkey, and probably it pays really well her athletes (Meeserman, Allemand and Tina Charles). I think that financially they must have made Gabby a very succulent offer. Marine signed later for another Turkish team, I think to stay in the same league. Marine wants to play 35 minutes and Fenerbahçe probably didn't guarantee her a starting spot or Mersin (like Fenerbahçe for Gabby) made her an offer that she couldn't refuse. Often many couples play in different teams, but in the end they reunite in the same team. Gabby for example signed with the Storm only this end of the season, to be free next year (I think they want to find a team where they can play together in WNBA).
get that bag 💲💰
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carolemm · 3 months
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Funeste anniversaire : Jean Moulin
Le 8 juillet 1943, Jean Moulin qui avait alors 43 ans, meurt dans un wagon en partance pour l'Allemagne. Il a été torturé par Klaus Barbie, sans jamais avoir parlé.
Sa sœur Laure dira de lui lors du transfert de ses cendres au Panthéon : « Il a atteint les limites de la souffrance humaine sans jamais trahir un seul secret, lui qui les savait tous. »
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Voici la copie d'une dissertation que le jeune Jean Moulin alors âgé de 16 ans avait rédigé pour un cours de philosophie.
On notera la maturité de l'écriture et, plus émouvant, la précoce envie de résister face à l'ennemi mais aussi de résister à la barbarie que l'on pourrait générer face à celle que l'on doit subir.
Et, enfin, cette phrase qui résonne comme une prémonition : "Ils ont préféré la mort à la trahison."
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« Certaines gens prétendent que pour assurer le triomphe de la patrie tous les moyens sont bons. Tout est permis affirment-ils, lorsque le sort du pays est en Jeu. Cette théorie qui parait tout d’abord très juste est, nous allons le voir entièrement contraire aux principes de loyalisme et d’humanité.
C’est d’ailleurs la théorie même des Allemands. Nous aurons toujours présent à l’esprit la déclaration de M. de Bethmann-Hollweg : « L’homme d’Etat qui hésiterait à employer tous les moyens de combat contre des ennemis tels que les nôtres devrait être pendu ». Et c’est en vertu de ces principes qu’ils commettent les pires cruautés. Qui de nous ne se souvient de l’ignoble conduite des Allemands lors de l’invasion ? C’est par milliers qu’ils massacrèrent prêtres, femmes, et enfants. Tous les jours leurs sous-marins pirates envoient au fond de l’eau d’innocentes créatures, tandis que leurs super zeppelins vont semer la mort sur des cités sans défense. Et la mauvaise excuse qu’ils donnent pour voiler ces crimes est celle-ci : Toutes les armes sont permises lorsqu’il s’agit de sauver notre pays.
            Nous voyons donc maintenant ce qu’il y a de cruel dans cette maxime. Aussi loin d’imiter les méthodes de guerre des Barbares, nous devons combattre loyalement et n’user de représailles que si cela ne contrarie en rien le droit des gens. Nous n’avons pas le droit, devant notre conscience de tuer des femmes et des enfants sous prétexte que les Boches en font autant chez nous. Il ne faut à aucun prix que nos fils aient un reproche à nous adresser. Il ne faut pas que les générations à venir aient à rougir de notre conduite. Nous devons agir avec droiture pour qu’ils puissent dire de nos chefs et de nos soldats : « Ils ont préféré la mort à la trahison ! … »
            Ceci nous prouve qu’il ne faut pas mettre en pratique la théorie de ces gens-là. Ceux qui déclarent que tous les moyens sont bons pour assurer le succès de la patrie ne font pas d’acte d’humanité. Nous devons cependant les excuser car beaucoup ont parlé sans réfléchir. Ils n’ont pas vu toutes les conséquences qu’impliqueraient de tels actes et croyaient fermement agir en bons Français. Nous devons nous efforcer à leur faire comprendre leurs sorts. Disons leur bien que nous devons continuer loyalement la guerre que nous avons entreprise pour la cause de la Justice. Nous ne serions plus les champions de la liberté et de la civilisation opprimées si nous nous abaissions à commettre de telles atrocités. D’ailleurs nous pouvons être tranquilles le soldat Français a trop de grandeur d’âme pour porter la moindre atteinte au droit des gens. »
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johnwarsen · 3 months
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  “le projet de tri sélectif de Marine le Pen”.
je remets ici ce dessin d'un caricaturiste allemand de 2022 qui ne fait plus rire grand monde.
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carbone14 · 1 year
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Norvège - Die Wehrmacht 1943
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defenderoftheearth · 2 years
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Mystères de l'histoire:"Insubmersible Sam",le chat héroïque de la Deuxième Guerre Mondiale
Insubmersible Sam,le héros!   Les chats de bateau sont des incontournables pour la vie en mer…depuis une époque lointaine. Saviez-vous que pendant la 2e GUERRE MONDIALE les troupes alliées ont coulé le navire allemand Bismarck avec 2200 soldats à bord. Parmi les survivants, il n’y avait que 115 personnes et un animal, les Anglais ont trouvé un chat flottant qui voyageait sur le Bismarck. Ils…
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female-buckets · 4 months
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Okay, so I've got an idea.
Australia can't beat USA. China can't beat USA. Canada, France, Japan - no one can beat USA right now, and we haven't been able to since the early 2000s.
But, what if you had a USA vs the rest of the world game? If you did, who would be on your "rest of the world" roster? Current players only, but can be anyone that cannot play for USA.
PG Natasha Cloud and Julie Allemand
SG Marine Johannes and Li Meng and Julie Vanloo
SF Gabby Williams and Bec Allen
PF Ezi Magbegor and Satou Sabally
C JJ and Li Yueru and Han Xu
I think this team could beat USA if they had motivation and chemistry
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reyolivier · 2 years
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Construit à Sandefjord en Norvège en 1937, le Christian Radich est un trois mâts carré de 73 mètres. Il fût conçu pour servir de navire-école à la marine marchande. Livré le 17 juin 1937, il est basé à Oslo. Saisit par les Allemands, il sera transformé en navire d’assistance aux sous marins.
Il sera retrouvé chaviré et démâté en 1945 et ne retrouvera ses fonctions qu’en 1947.
Souvent utilisé pour des tournages de films, le Christian Radich ne doit sa survie qu’à un reclassement dans la navigation de croisières. . . #norway #norway🇳🇴 #norwaytravel #city #naturerey #norwaynature #norvege #norvège🇳🇴 #travel #travelphotography #travelblogger #travelgram #travels #voyage #voyageursdumonde #viaje #naturerey #scandinavia #oslo #oslonorway #seascape #sea #city #cityphotography #boat #voilier #bateau #port (à Oslo, Norway) https://www.instagram.com/p/Ckagz-IswpX/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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jloisse · 1 year
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«Hé, Zelensky, l’OTAN te déteste, mec. Elle t’utilise» et «massacre ton peuple»—Scott Ritter
«Dans quel monde imaginaire vit-il ? Zelensky délire», a constaté l'ex-officier de renseignement de l'US Marine Corps.
«Tu veux savoir pourquoi l’OTAN te déteste ? Parce qu’elle te laisse massacrer ton peuple.»
Tant que le régime de Kiev pourra encore trouver des soldats à sacrifier à l'Empire:
«Le problème de Kiev n'est pas tant celui des armes, mais que l’Ukraine va manquer d'hommes», rappelle de son côté le politologue allemand Wolfgang Merkel.
«Nous allons voir que la Russie est maintenant plus forte que jamais. Ils ont les armes les plus puissantes et plus de personnes en réserve que toute la population ukrainienne.»
Le régime de Kiev a pour mission «d’étendre le conflit», quitte à disparaître, avait déjà analysé Ritter.
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capitaine-du-terror · 9 months
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Revue de presse : le voyage de l'Erèbe et de la Terreur
Je vous présente ici les résultats de mes recherches concernant la presse française et francophone contemporaine de l'expédition de 1845.
Les français se sentaient-ils concernés par cette expédition scientifique britannique, dans un contexte géopolitique qui reste tendu, si peu de temps après les guerres napoléoniennes (1803-1815) ?
Pour y répondre, j'ai utilisé la base de données Gallica et Google Books afin de créer un corpus le plus exhaustif possible. Il est donc important de considérer les limites de ces ressources, notamment car les journaux des années 1840 et 1850 n'étaient généralement pas disponibles.
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1 – L'EREBE OU L'EREBUS ?
Tout d'abord, parlons des navires : les contemporains les appellent souvent « L'Erèbe et la Terreur ». Cette orthographe est utilisée dans plusieurs dictionnaires et encyclopédies :
-Dictionnaire des noms propres, ou Encyclopédie illustrée de biographie, de géographie, d'histoire et de mythologie, par Dupiney de Vorepierre, Jean-Franc̜ois-Marie Bertet, 1876-1879
-Le Pôle et l'équateur: études sur les dernières explorations du globe, par Lucien Dubois, 1863
-Etudes sur les dernières Explorations du Pôle-Nord in L'Echo du cabinet de lecture paroissial de Montréal, Volumes 5-6, 1863
-Le Correspondant : revue mensuelle : religion, philosophie, politique, 1861
-Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique.... T. 13, par M. Pierre Larousse, 1866-1877
>Le Larousse gagne le prix de la cohérence pour avoir utilisé, dans le même volume, à la fois les noms anglais et les noms français !
Mais on parle aussi de « l'Erebus » et du « Terror », même si certaines de ces occurrences concernent les volcans ainsi nommés.
-Au pôle nord : nouveaux voyages au pays des glaces par H. Manceaux (Mons), 1890
L'auteur choisit les noms anglais, mais l'ouvrage contient un nombre important de coquilles telles que « Francis Richard Crozier » et de « J.R.M. Crozier », ce qui permet de douter du sérieux de l'éditeur. D'autant plus qu'il ajoute, en parlant des conserves, un peu d'antisémitisme :
« il avait fallu jeter par-dessus bord l'énorme quantité de viande conservée sur laquelle on avait tant compté; elle avait été livrée par un misérable trafiquant, juif allemand, appelé Goldner, à qui ce fait coupable et bien d'autres encore, découverts dans la marine anglaise, valurent un juste châtiment. »
Alors, Erèbe ou Erebus ? Faut-il traduire les noms propres ? Voilà une question de traductologie fort intéressante mais qui nous éloigne du sujet. L'ouvrage de Mathieu Guidère (Introduction à la traductologie. Penser la traduction: hier, aujourd'hui, demain) est une bonne synthèse des différentes théories, mais je le conseille à un public familier de la linguistique.
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2 – LE JOUR J
Les journaux de presse : recherche sur la semaine du 19 au 25 mai 1845 dans les quotidiens disponibles, à savoir :
-Journal des débats politiques et littéraires (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k446928x)
-La Presse (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k429944f)
-Le Siècle (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32868136g)
Malgré plusieurs colonnes dédiées à la politique britannique, rien sur l'expédition. On notera tout de même que le sujet de l'Irlande est fortement présent, notamment en lien avec les déclarations de Daniel O'Connell sur l'éducation académique et l'Acte d'Union.
Les grands quotidiens de l'époque ne semblent pas prêter attention au départ de l'expédition, mais le manque de journaux disponibles en version numérisée pour l'année 1845 est à prendre en compte et pourrait expliquer ces résultats.
3 – LES RECHERCHES
-24 août 1845
L'Echo du monde savant : journal analytique des nouvelles et des cours scientifiques
Dans « faits divers »
« Le bâtiment de transport le Baretto-Junior, qui avait accompagné les navires l'Erebus et le Terror en mission scientifique dans les mers arctiques, vient de revenir en Angleterre, où il apporte des nouvelles de l'expédition. Il a quitté les deux navires à l'île Disco, dans la mer de Baffin, après leur avoir remis des provisions pour un voyage de trois ans. Ils avaient été assaillis par les glaces sur la côte occidentale du Groenland; mais poussés par un bon vent,(ils sont parvenus facilement à se dégager, et ont pu, à l'aide d'un temps favorable, poursuivre leur route. Voici, au surplus, l'extrait d'une lettre, datée du bord de l'Erebus, le 8 juillet, et qui donne sur cette expédition quelques détails intéressants : « Nous sommes en ce moment fort occupés à décharger le bâtiment de transport, car la saison est assez avancée, et nous sommes pressés de voir du pays en profitant du beau temps qui semble devoir se maintenir. Nous pensons que notre absence durera deux ans et demi au plus, à moins que nous ne puissions pas gagner l'Océan-Pacifique; car alors notre voyage se prolongera près de quatre ans. Nous nous portons tous très-bien, et nous sommes très heureux. Les naturels sont assez civilisés, et, dans leurs marchés, ils sont aussi adroits que nos commerçants de la métropole. Le département de la marine des Etats-Unis a publié un ordre recommandant aux capitaines et officiers de la marine américaine de donner tous les secours qui seraient en leur pouvoir aux deux bâtiment composant l'expédition, chaque fois que l'occasion s'en présentera. »
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327622829 )
-22 décembre 1849
La Province : journal des départements du Centre
Dans la rubrique faits divers, envoi d'une nouvelle expédition de recherche qui passera par la mer Pacifique et le Behring.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32845269k )
-31 janvier 1850
Le Constitutionnel : journal politique, littéraire, universel
En première page, l'amirauté anglaise vient de publier les instructions qu'elle a données au capitaine Collinson, chargé de diriger une nouvelle expédition à la recherche de sir John Franklin.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p )
-11 janvier 1854
Le Mémorial bordelais : feuille politique et littéraire
Deuxième page, article consacré à sir John Franklin, revient sur la chronologie des expéditions de recherche, beaucoup de détails et une meilleure rédaction que dans les autres articles. Plusieurs parallèles sont faits avec les explorateurs français.
«  […] alors une anxiété pareille à celle qui avait ému la France au temps de la disparition de Lapeyrouse, concentra sur Franklin et ses compagnons les vœux du monde civilisé. »
«  […] et celui du jeune Français Bellot*, qui vient de périr glorieusement au milieu d'eux. »
(*voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph-Ren%C3%A9_Bellot)
« Celui qui se sacrifie pour son pays emporte justement les regrets de ses concitoyens; mais celui qui succombe martyr de l'humanité et de la science, a droit aux sympathies du monde entier. »
> Une belle explication de l'intérêt que pouvaient porter les français à l'expédition une fois que celle-ci avait été déclarée en danger.
« Si donc de l’expédition de Franklin rien de vivant ou d’inanimé n’est apparu ou n’a laissé de trace, n’est-on pas conduit à cette conclusion déplorable, que les montagnes de glace qui ont écrasé les navires ont tout scellé dans leurs flancs ? Cette sinistre conjecture inspire un rapprochement involontaire. Pendant que sir John Franklin était gouverneur de la terre de Van-Diémen, les deux vaisseaux commandés par Dumont d'Urville relâchèrent deux fois dans cette colonie. Les équipages français, épuisés par une longue navigation sur les côtes pestilentielles de la Malaisie et dans les glaces du pôle sud, reçurent du marin anglais l’accueil le plus empressé et l’hospitalité la plus bienveillante. Lorsque, à ces antipodes de l’Europe, d’Urville et Franklin, les deux plus illustres représentants de la science navale de leur époque, se séparèrent pour ne plus se revoir, quel pressentiment eût pu leur révéler qu’à quelques années de là, et après qu’ils auraient sillonné toutes les mers du globe, leurs patries redemanderaient en vain leurs restes disparus, ceux du premier dans les tourbillons de feu d’un chemin de fer de la banlieue de Paris*, ceux du second dans les abîmes de l’océan Arctique. »
(*Joseph Dumont d'Urville périt avec sa femme et son fils dans la catastrophe ferroviaire de Meudon en 1842)
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328137853 )
-30 septembre 1869
Journal officiel de l'Empire français
Section Amérique, découverte de la note de Victory Point.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32802031s )
-2 octobre 1869
Le Messager du Midi : journal du soir
Dans nouvelles diverses, reprend l'article du Journal officiel du 30 septembre concernant la note de Victory Point.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34407648z )
Tumblr media
-14 août 1875
Le Mercure d'Orthez et des Basses-Pyrénées
Première page, dans « nouvelles et faits », inauguration dans l'abbaye de Westminster du monument érigé par lady Franklin à la mémoire de son époux.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344239007 )
-29 septembre 1880
Journal officiel de la République française
Dans « informations et faits », seule mention de cannibalisme dans le corpus étudié.
« Une seconde dépêche adressée de New-Bedford au New York Herald contient de nouveaux détails sur l'expédition américaine commandée par le lieutenant Schwatka, qui revient des mers polaires où elle a retrouvé quelques objets ayant appartenu à sir John Franklin ou à ses compagnons. Le lieutenant Schwatka et son équipage ont horriblement souffert pendant leur voyage à travers les glaces. Sur la terre du Roi-Guillaume et sur le continent voisin qu'ils ont explorés en suivant la même route que les vaisseaux anglais l'Erebus et le Terror, ils ont recueilli de la bouche des Esquimaux des détails sur sir John Franklin 'et les marins qui l'accompagnaient.
D'après le récit des indigènes, toute l'expédition anglaise est morte de faim et de froid, sans qu'il leur fût possible de la recourir. Ils assurent avoir vu les derniers survivants; ils étaient atteints du scorbut, réduits à l'état de squelette, et avaient la face toute noire; ils poussaient un bateau à travers la glace. On les perdit bientôt de vue. Quelques jours après, les Esquimaux trouvaient leurs cadavres sous le bateau et dans une tente. Des traces indiquaient d'une manière évidente que quelques-uns de ces infortunés avaient été mangés par leurs camarades. »
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328020909 )
-29 octobre 1892
La Liberté
Dans « guerre, marine et colonies »
« La Pall Mail rapporte une histoire bien étrange relative à un événement qui passionna le monde il y a de longues années déjà : l'expédition Franklin au pôle Nord, et les efforts tentés pour retrouver ses deux navires l'Erebe et la Terreur. Aucune trace de ces navires n'avait jamais été. découverte; or, le Révérend Young qui, depuis vingt-huit ans est missionnaire dans les régions arctiques, vient de faire savoir qu'un indigène mourant venait de lui confesser qu'ayant fait partie de l'expédition de secours envoyée à la recherche de Franklin, il avait un jour reçu l'ordre d'aller avec un camarade explorer un certain point d'une direction donnée. Il aurait aperçu dans le lointain les mâts d'un navire, mais il se serait bien gardé de faire part de ce qu'il avait vu, parce que les vivres de l'expédition de secours touchaient à leur fin et qu'il avait hate de voir l'expédition de secours quitter ces parages inhospitaliers. M. Young a la conviction que les mâts ainsi aperçus étaient ceux de l'Erèbe ou de la Terreur. »
-26 novembre 1907
La Croix
Dans « Lettre d'Angleterre », la mort de l'amiral sir Léopold Mac-Clintock, revient sur les expéditions de recherche et ses découvertes.
(http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418 )
CONCLUSION
Face à un corpus aussi réduit, est-il seulement possible de tirer quelque conclusion ? Je vais donc poursuivre mes recherches en me déplaçant directement à la BNF et en continuant sur les pistes des ouvrages d'histoire et de géographie publiés au XIXe siècle, car certains traitaient spécifiquement de l'expédition Franklin.
Mais, je vous dois au moins un semblant de conclusion... Comme l'écrit de Lanoye, l'expédition Franklin dépasse les frontières et les nationalités, il s'agit d'une histoire tragique et héroïque dans une période en plein romantisme et, dans le cas de la France, passionnée par les récits de Jules Verne. L'intérêt des Français semble présent, mais ne touche pas non plus des foules entières...
PS : N'oubliez pas de citer mon travail, merci !
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