Tumgik
#Mont Aigoual
bentectravels · 9 months
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otus-scops · 1 year
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Speyeria aglaja / Le Grand Nacré.
Mont Aigoual, France.
23 juillet 2023.
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bertvephotography · 2 years
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Mont Aigoual (F) - August 2022
On the go
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gay-traveler · 1 month
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Le Mas de Ribard
Le Mas de Ribard: gay friendly guest rooms and gîte between Mont-Aigoual and the Cirque de Navacelles.
🏳️‍🌈🛎 Book now: www.gayvoyageur.com/etablissement/le-mas-de-ribard
Located in the heart of the Cévennes Nature, south of Cévennes in the Gard, is the gay friendly guest house Mas de Ribard. This accommodation enjoys an exceptional natural environment with a forest 🌳 with multiple tree species.
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abbyew20 · 7 months
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12-edition · 10 months
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Epilogue : My dear old friend.. The End
[Publication originale : 12 mars 2023]
Ce texte je ne te l’enverrai pas, il faudra que tu le trouves, ce qu’il ne risque pas d’arriver puisque je suis quasiment inexistant à tes yeux.
« On écrit toujours à quelqu’un. On écrit à quelqu’un parce qu’il est loin, parce qu’on est plus là, parce qu’on a fui, et que l’espace est le temps nous sépare. On écrit à quelqu’un pour lui rendre ce qu’il nous a donné. La chaleur du jour sur la peau, le bonheur d’avoir un corps et de le sentir vibrer, la joie de se sentir exister, enfin, sous son regard. On écrit à quelqu’un pour qu’il sache, on écrit à quelqu’un pour essayer de le rendre présent à nouveau, présent à nous, mais aussi, présent à lui-même, présent à la vie, même si ça ne marche pas toujours. Mais au moins, il faut essayer, encore, et encore… Et encore. »
C’est décidé. J’arrête ces textes d’une criante inutilité, dans mon dernier je parlais du lien qui nous unissait, c’était sûrement un mirage de l’esprit, je n’ai plus aucun impact sur toi, si tant est que j’en ai déjà eu un, ce dont je doute de plus en plus. Où alors c’est le fait qu’au moment où il existait tu as choisis le connard et que tu m’as laissé sur le bord de la route comme un sale clébard sur une aire d’autoroute début juillet, et que maintenant j’essaye de recoller des morceaux impossible à assembler, pourtant je suis pas mauvais en puzzle. On est pas amis, on partage rien, on se parle même pas, je suis plutôt ton conseiller solitude, je mérite certainement pas mieux, je prends cette place même si c'est pas celle que je voulais, je t'enverrai mes honoraires.
Je ne sais même pas pourquoi j’ai pu croire qu’ont allez devenir des amis, je n’ai pas d’impact sur les gens, je les laisse indifférents, je pensais que ce n’était pas le cas avec toi, mais visiblement si, c’est pareil avec toi. Et puis à quoi bon vouloir aider quelqu’un qui ne veut pas l’être. Je ne sais pas pourquoi tu ne m'as pas encore envoyé balader, certainement que tu n’as plus le temps pour ça non plus.
C’est injuste, parce que sans prendre le moindre risque je peux dire que je n’ai jamais aimé comme toi, c’est vraiment de l’amour, je le sais aujourd’hui. Tu sais, depuis que l'on se connaît, tu n’as jamais quitté mes pensées, que ce soit du sommet du mont Aigoual aux rives du territoire espagnol. Que je ne fasse rien de mes journées ou que je travaille du matin au soir, tu as toujours était là avec moi. Depuis toi, tout a une autre saveur, dès que je vois un bon film, avec une histoire sincère et vraie, je pense à toi, car tu es sincère, tu l’as toujours été. Depuis toi, je comprends toutes les chansons par juste les paroles, mais le sens des phrases, toutes les citations de Lancelot ont une autre résonance. Des choses sont liées à toi, certaines je ne sais même pas pourquoi, mais c’est comme ça. Je me demande vraiment parfois, pourquoi je tolère encore ta présence.
Je pense que ça prend, quoi, deux secondes de faire un message nan ? Si effectivement tu n’as même pas deux secondes pour me faire un message, et bien oui, je suis insignifiant à tes yeux, et je n'ai pas plus d’importance pour toi que les éboueurs qui viennent vider tes poubelles. Je ne demandais pas grand-chose pourtant, un peu de place dans tes pensées et une amitié, mais apparemment, même ça c’est trop demandé.
Tu dis que tu sais pas ce que tu veux, moi je crois que si. Tu veux plus en fait, tu veux plus prendre de risques, tu dis que tu travailles trop, mais tu aimes ça, tu veux plus avoir le temps, et du coup tu ne vivras plus rien. Tu ne veux plus te retrouver seule avec toi-même. Tu renonces. Tu ne veux plus prendre le temps. Apparemment tu n’arrives pas à te faire d’amis ou même d’amants, c’est certainement de ta faute, tu sais, si tu te comportes avec tout le monde comme tu t’es comportés avec moi, c’est sûr que les gens ne restent pas très longtemps. Je dis pas ça que pour moi, je serais là quoi qu’il arrive, mais c’est pas comme ça que tu vas rencontrer quelqu’un.
Je n’ai pas plus de nouvelles de toi, tu sais quand tu es venu reprendre des nouvelles de moi y a quelques temps quand j’ai fermé mon compte Twitter, tu aurais pu me dire que tu en avais rien à faire, en réalité. Depuis ce moment, c'est toujours moi qui suis venu prendre des nouvelles, depuis que je ne viens plus, nous ne nous parlons plus, ce dont je me doutais, évidemment. Voilà ce qui se passe quand je t’offre mon amitié, tu m’ignores, très digne de t’as part. Merci, encore une fois, de me faire paraître inutile et impuissant.
J’ai connu deux versions de toi, le version avant la période Kroquants et celle d’après, il n’y a pas photo je préféré celle d’avant, celle qui laissait parler ses sentiments et qui les suivait, elle était bien plus humaine et plus chaleureuse. Je sais que ça t’as joué des tours et qu’un connard t’as brisé le cœur et la vie, mais ce n’est pas une raison pour faire tout le monde payé à sa place. La toi d’avant ressentait des choses.
J’espère que tu dors toujours aussi mal, tu le mérites sûrement, quand j’ai essayé de t’aider encore une fois, tu as déclinée l’offre, donc tu dois te retrouver dans ce sentiment. J’imagine que tu vis encore pour ton travail, tu sais, le travail c’est pas la vie, pas toute la vie.
Si t’en a rien à faire ou que je suis juste un poids dit le carrément, par le passé ça te déranger pas de me balancer comme une vieille merde.
Merci de m’avoir fait encore espéré pour rien, qu’est ce que je peux être lent et stupide.
Tchao Auré.
The Cure - Boys don’t cry
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zehub · 11 months
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Climatographe : 3 raisons de visiter le centre français d'interprétation du changement climatique
Devant un panorama somptueux au sommet du Mont Aigoual (Cévennes) se dresse un observatoire du 19e siècle qui accueille aujourd'hui le Climatographe, une exposition à l
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alexlacquemanne · 2 years
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Epilogue : My dear old friend.. The End
Avant-propos : j'ai écrit ce texte sous le coup de la colère, après la non réponse de l’envoi de mon dernier texte, mais je pense que je ne l’aurais jamais publié, la seule raison pour laquelle je le fais, c’est parce que tu me l'as demandé. Ne prends pas au pied de la lettre tout ce qui est écrit. Il fallait juste que ça sorte, je n'en suis pas très fière.
Ce texte je ne te l’enverrai pas, il faudra que tu le trouves, ce qu’il ne risque pas d’arriver puisque je suis quasiment inexistant à tes yeux.
« On écrit toujours à quelqu’un. On écrit à quelqu’un parce qu’il est loin, parce qu’on est plus là, parce qu’on a fui, et que l’espace est le temps nous sépare. On écrit à quelqu’un pour lui rendre ce qu’il nous a donné. La chaleur du jour sur la peau, le bonheur d’avoir un corps et de le sentir vibrer, la joie de se sentir exister, enfin, sous son regard. On écrit à quelqu’un pour qu’il sache, on écrit à quelqu’un pour essayer de le rendre présent à nouveau, présent à nous, mais aussi, présent à lui-même, présent à la vie, même si ça ne marche pas toujours. Mais au moins, il faut essayer, encore, et encore… Et encore. »
C’est décidé. J’arrête ces textes d’une criante inutilité, dans mon dernier je parlais du lien qui nous unissait, c’était sûrement un mirage de l’esprit, je n’ai plus aucun impact sur toi, si tant est que j’en ai déjà eu un, ce dont je doute de plus en plus. Où alors c’est le fait qu’au moment où il existait tu as choisis le connard et que tu m’as laissé sur le bord de la route comme un sale clébard sur une aire d’autoroute début juillet, et que maintenant j’essaye de recoller des morceaux impossible à assembler, pourtant je suis pas mauvais en puzzle. On est pas amis, on partage rien, on se parle même pas, je suis plutôt ton conseiller solitude, je mérite certainement pas mieux, je prends cette place même si c'est pas celle que je voulais, je t'enverrai mes honoraires. 
Je ne sais même pas pourquoi j’ai pu croire qu’on allez devenir des amis, je n’ai pas d’impact sur les gens, je les laisse indifférent, je pensé que ce n’était pas le cas avec toi, mais visiblement si, c’est pareil avec toi. Et puis à quoi bon vouloir aider quelqu’un qui ne veut pas l’être. Je sais pas pourquoi tu m’as pas encore envoyé baladé, certainement que tu n’as plus le temps pour ça non plus.
C’est injuste, parce que sans prendre le moindre risques je peux dire que je n’ai jamais aimé comme toi, c’est vraiment de l’amour, je le sais aujourd’hui. Tu sais, depuis que l’on se connais, tu n’as jamais quitté mes pensées, que ce soit du sommet du mont Aigoual aux rives du territoire espagnole. Que je ne fasse rien de mes journées ou que je travaille du matin au soir, tu as toujours était là avec moi. Depuis toi, tout a une autre saveur, dès que je vois un bon film, avec une histoire sincère et vrai, je pense à toi, car tu es sincère, tu l’as toujours été. Depuis toi, je comprends toutes les chansons par juste les paroles, mais le sens des phrases, toutes les citations de Lancelot ont une autre résonance. Des choses sont liées à toi, certaines je ne sais même pas pourquoi, mais c’est comme ça. Je me demande vraiment par fois, pourquoi je tolère encore ta présence.
Je pense que ça prend, quoi, deux secondes de faire un messages nan ? Si effectivement tu n’as même pas deux secondes pour me faire un message, et bien oui, je suis insignifiant à tes yeux, et je n’est pas plus d’importance pour toi que les éboueurs qui viennent vider tes poubelles. Je ne demandais pas grand-chose pourtant, un peu de place dans tes pensées et une amitié, mais apparent, même ça c’est trop demandé.
Tu dis que tu sais pas ce que tu veux, moi je crois que si. Tu veux plus en fait, tu veux plus prendre de risques, tu dis que tu travailles trop, mais tu aimes ça, tu veux plus avoir le temps, et du coup tu ne vivras plus rien. Tu ne veux plus te retrouver seule avec toi même. Tu renonces. Tu ne veux plus prendre le temps. Apparemment tu n’arrives pas à te faire d’amis ou même d’amants, c’est certainement de ta faute, tu sais, si tu te comportes avec tout le monde comme tu t’es comportés avec moi, c’est sûr que les gens ne reste pas très longtemps. Je dis pas ça que pour moi, je serais là quoi qu’il arrive, mais c’est pas comme ça que tu vas rencontrer quelqu’un.
Je n’ai pas plus de nouvelles de toi, tu sais quand tu es venu reprendre des nouvelles de moi y a quelques temps quand j’ai fermé mon compte Twitter, tu aurais pu me dire que tu en avais rien à faire, en réalité. Depuis ce moment c’est toujours moi qui suis venu prendre des nouvelles, depuis que je ne viens plus, nous ne nous parlons plus, ce dont je me doutais, évidement. Voilà ce qui se passe quand je t’offre mon amitié, tu m’ignores, très digne de t’as part. Merci, encore une fois, de me faire paraître inutile et impuissant.
J’ai connu deux versions de toi, le version avant la période Kroquants et celle d’après, il n’y a pas photo je préféré celle d’avant, celle qui laissé parlé ses sentiments et qui les suivait, elle était bien plus humaine et plus chaleureuse. Je sais que ça t’as joué des tours et qu’un connard t’as brisé le cœur et la vie, mais ce n’est pas une raison pour faire tout le monde payé à sa place. La toi d’avant ressentée des choses.
J’espère que tu dors toujours aussi mal, tu le mérites sûrement, quand j’ai essayé de t’aider encore une fois, tu as déclinée l’offre, donc tu dois te retrouver dans ce sentiment. J’imagine que tu vis encore pour ton travail, tu sais, le travail c’est pas la vie, pas toute la vie.
Si t’en a rien à faire ou que je suis juste un poids dit le carrément, par le passé ça te déranger pas de me balancer comme une vieille merde.
Merci de m’avoir fait encore espéré pour rien, qu’est ce que je peux être lent et stupide.
Tchao Auré.
The Cure - Boys don’t cry
The Doors - The End
Après-propos : Laisse-moi un peu le temps de cogiter pour le prochain chapitre, je ne pensais vraiment pas que tu en voulais plus, j'ai deux trois idées mais il me faut les formuler.
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barroude · 2 years
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Mont Aigoual, Causse Méjean
Deux îles siamoises !
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inrng · 4 years
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eopederson · 4 years
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Vue vers le nord-ouest depuis près du sommet de Mont Aigoual, Parc National des Cévennes, Gard, 1984.
If COVID-19 had not emerged, we would have spent this month not far from the Cevennes and most likely have made another visit to Mont Aigoual and Parc National des Cévennes. On fine summer days, the views from the summit  are ethereal.
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stealthisnick · 4 years
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zdelbard · 4 years
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Le Mont Aigoual au temps du COVID
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zehub · 1 year
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Gard : 20,8 °C en octobre, un nouveau record de température battu au Mont-Aigoual
Déjà, cet été, un record absolu avait été battu dans cette station historique
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dimensionsvelo · 4 years
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Alexey Lutsenko, le plus fort au Mont Aigoual !
Alexey Lutsenko, le plus fort au Mont Aigoual !
La victoire sourit aux audacieux pour la 6ème étape. Alexey Lutsenko l’emporte au sommet du Mont Aigoual après une longue échappée.
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L’échappée a mené tambour battant la course de bout en bout ou presque. Crédit ASO Pauline Ballet
Malgré la fin de parcours exigeante, les baroudeurs étaient de sortie sur la sixième étape de ce Tour 2020. Partis peu de temps après le baissé de drapeau, les…
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plumedepoete · 5 years
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⇓ Sur les nuages, plonge l'évanescence sommes-nous promeneurs plaisant à l'aube de ces pas hésitants contant gente ode rassurant l'allonge de ne chuter pente l'horizon semblant perdu de l'innocence Sur les nuages, flotte une présence Nous frissonnant l'esprit d'ombres absentes existant insidieusement de l'attente d'un aperçu rassurant l'existence fuyant Nosferatu de sa complaisance Sur les nuages se perçoit un manoir de formes diffuses rappelant un soir d'un vieux film, noir et blanc déshabillé de ses contours contant la grise histoire à l'ombre brumeuse d'un cottage igné Sur les nuages mains tendues au brouillard comme tirés vers l'autre au gris miroir avançons, tâtonnant de pas fragiles vers ce halo tremblotant du "vacille" brûlant blanches veines, froid en balançoire Sur les nuages, formes s'imaginent d'une brise automnale paresseuse s'essoufflant d'une danse sinueuse comme tournoyant de senteurs tangerines grisant l'esprit quelques ombres, figurines Sur les nuages, sommes-nous bien présents flottant de quelques frissons  indécents sur une lente marche silencieuse ignorant l'espace à fumée grieuse somnolant le vent de mots opalescents  Sur les nuages loin du choeur d'ailés un bruissement  Nous parvient épuisé à l'approche du manoir chinoisé épaules rentrées d'allure engrêlée com' rassurés de ce mur ardoisé  Poussant la porte bout de doigts invisibles s'écoute mélodie taisant l'amertume un monde nuageux aux formes subtiles Nous vivifie du silence à fortune d'un Mont Aigoual com' perché sur une île Pensant à reprendre chemin du jour Aigoual déshabillé de sa toge  Nous offrit l'instant gracieux d'une éloge d'un café chaud et de photos contre-jour brisant l'émotion d'un délicat bonjour  Laissant les nuages vivre en la vallée du cotonneux enveloppant l'horizon de retour au chemin face au blanc gazon l'impression de flotter sur terre esseulée Nous vînt comme éblouis à la floraison . ©…Sur les Nuages ©(P)-07/07/98 -19  .... YouC ⇑
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