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#Muammar Kadhafi
adelali1988-blog · 11 months
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jloisse · 1 year
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«Spoliation de l’Afrique»: pour détruire le dinar or, la France et l’OTAN ont détruit la Libye et Kadhafi
Le projet de dinar or de Kadhafi était une menace pour la France et les Etats-Unis, rappelle Moussa Ibrahim.
Et l'ex-porte-parole du dirigeant libyen de détailler:
«Quand Kadhafi a dit aux Français:"Mêlez-vous de vos affaires, c’est notre continent, c’est notre pétrole, nos banques, notre monnaie, nous voulons l'indépendance", c’était nuisible aux intérêts impérialistes de la France. »
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briceemry · 1 year
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L’assassinat de Kadhafi, un crime contre l'Unité Africaine !
L’actualité récente en Libye a mis en lumière l’un des secrets les mieux gardés de la politique internationale: l’assassinat en 2011 du leader libyen Mouammar Kadhafi (Muammar Muhammad Abu Minyar al-Gaddafi ( Juin 1942 – 20 Octobre 2011)). La chute du régime de Kadhafi, présentée à l’époque comme une victoire de la démocratie, cachait en réalité un objectif bien plus sinistre: empêcher la…
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ka9oukeuktakal · 1 year
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La mort de l'ancien président du Ghana, Jerry John Rawllings, continue de susciter des réactions. Tour d'horizons des premières autorités qui ont rendu hommage au défunt Les dirigeants africains envoient des messages de compassion à la famille du défunt président Rawllings et au peuple du Ghana. La mort de l'ancien président du Ghana, Jerry John Rawllings, continue de susciter des réactions. Tour d'horizons des premières autorités qui ont rendu hommage au défunt. Rawllings plonge toute l'Afrique pleures Le président sénégalais Macky Sall sur son compte Tweeter, signale avoir appris avec émotion le décès de l’ancien Président du Ghana, Jerry John Rawlings. Il salue la mémoire de l’illustre disparu et présente ses condoléances attristées au Président @NakufoAddo ainsi qu'au peuple ghanéen frère. -Le président du Nigeria Muhammadu Buhari qui pour sa part a exprimé ses condoléances au gouvernement et au peuple ghanéen, a souligné le rôle unique que l'ancien président Rawlings a joué dans le renforcement des institutions politiques de son pays et de l'Afrique. "L'Afrique a perdu un pilier du panafricanisme et un charismatique homme d'État", a réagi sur Twitter le président de la commission de l'Union Africaine Moussa Faki Mahamat. Qui était Jerry John Rawlings, l'ancien président du Ghana décédé A lire aussi  Qui était Jerry John Rawlings, l'ancien président du Ghana décédé Du côté des autorités ghanéennes, le président Akufo-Addo dans un communiqué a déclaré qu'"un monument s'est éteint,''. Pour lui la mort de Rawlings ''est une immense perte pour le Ghana". Les drapeaux seront mis en berne dans tout le pays, pour un deuil national qui débutera vendredi et durera sept jours. La campagne pour l'élection présidentielle qui doit se tenir en décembre est également suspendue, a précisé le chef de l'Etat. Des funérailles nationales seront organisées pour le défunt président. "J'annonce la suspension de notre campagne politique après la nouvelle de la mort du fondateur de notre parti et ancien président du Ghana, Jerry John Rawlings" a également affirmé John Mahama, principal candidat de l'opposition du National Democratic Congress à cette élection. Qui était Jerry John Rawlings, l'ancien président du Ghana décédéL'Afrique pleure Jerry John RawllingsLa reine Elizabeth et Jerry Rawlings lors de la visite d'État de la reine dans l'ancienne colonie britannique en 1999Jerry Rawlings avec l'ancien guide libyen Muammar Kadhafi in 1987Jerry John Rawlings, ex-président du Ghana, est décédé à l'âge de 73 ansGene Deitch, l’un des réalisateurs de « Tom et Jerry », est mort
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riadhbenaissa · 4 years
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SNC-Lavalin Group Inc., through subsidiaries, is active in the engineering, construction, and manufacturing sectors. The Company provides engineering, procurement, project management, and project financing services in the power, industrial, transport, infrastructure, buildings, telecommunications, defense, and environment sectors.
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claudehenrion · 3 years
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Pourquoi il faut parler de l'islam... ( II ) : la conquête de l'Europe
 Certains, plus ‘’sympa’’ que moi, admettent difficilement que le monde soit aussi bourré de mauvaises intentions que ce que je décris parfois. Sans vouloir les convertir à mes idées, je leur transmets, à titre d'information, quelques textes (disponibles sur internet), que devraient lire (je suggère : ''et apprendre par cœur'') ceux de nos contemporains qui rejettent, contre toute intelligence, jusqu'à l'idée d'un ''grand remplacement''…  Chacun, bien sûr, est libre d’y choisir ce qu’il veut, mais au moins faut-il les avoir lus, avant d'en parler ! “Demandez le programme !”
On aura beau tourner le dos à ce qui est, et refuser de voir le jour en plein midi, le projet des islamistes (et donc de l'islam, en filigrane --nous en parlions hier) est clair et officiel : “Détruire l’Occident de l’intérieur, le coloniser et rétablir le califat’’. Il est exposé sans fards dans une multitude de documents qui peuvent être consultés facilement sur ‘’la Toile”.  L'origine de cette idéologie qui est “tout sauf de paix et d'amour” remonte très loin dans l'histoire : Ibn Khaldoun, le grand philosophe et historien musulman, écrivait en 1377 dans al Muqqadima (Prolégomènes) : “Pour l'islam, la guerre contre les infidèles est obligation divine, puisque cette religion s’adresse à tous les hommes. Ils doivent donc l’embrasser, de gré ou de force”.
Ce texte du grand Ibn Khaldoun, dont la cohérence est... obscure --''puisqu'elle s'adresse à tous les hommes (?), ils doivent l'embrasser (re-?)''-- a été repris par les Frères Musulmans : “Le travail d’implantation des Frères Musulmans (...) doit viser à éliminer, en la détruisant de l’intérieur, la civilisation occidentale afin que la religion d’Allah soit victorieuse sur toutes les autres religions. (…) Tout musulman, où qu'il se trouve, doit mener ce grand djihad jusqu’à son dernier souffle”. Quant aux modalités, c'est le tyran turc Recep Tayyip Erdogan qui les a précisées : “Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats”… repris par feu le Raïs libyen Muammar Kadhafi (feu... et illuminé !) pour qui “Les cinquante millions de musulmans qui vivent en Europe vont en faire un continent musulman en quelques décennies”. On se demande où nos politicards, nos candidats à la Présidence, nos journaleux et les autres semeurs de mensonges vont chercher leurs arguments quand ils rejettent la réalité de la menace du fameux ''Grand Remplacement'' ! Il faut vraiment avoir envie de garder les yeux ''grand fermés"!
Mais le véritable “grand bond en avant” dans le déroulement de ce programme diabolique de soumission a été le livre écrit par l'islamiste Abou Bakr Naji (diffusé pour la première fois sur Internet en 2004, et sans interruption depuis) : Idārat at-Tawaḥḥuš (= la Gestion de la barbarie), dont le sous-titre, explicite, “L'étape par laquelle l'islam devra passer pour restaurer le califat”, fait penser au monstrueux  “Mein Kampf” de Hitler. Ce ''programme'' détaille, à l'intention des croyants (tentés ou pas par l'extrémisme), une stratégie obligatoire pour établir en Europe, et d'abord en France, un califat islamique (= royaume théocratique soumis à Allah) : un bain de violence et de ressentiment religieux (d'où l'importance des ''hijab'' et des ridicules ''burkinis'') pour créer un climat propice au recrutement de djihadistes et à la “fabrication” de martyrs. Ensuite, une situation de guerre permanente révélera sur le long terme les faiblesses, face au djihad, des super-puissances qui se croient à l'abri derrière leurs inutiles sous-marins nucléaires…  Si ce qui précède n’est pas un vrai ‘’projet de remplacement’’, je me re-confine !
A l'opposé de cette réalité (qui est le ''quotidien'' de tant de français déjà exilés chez eux), une majorité de journalistes de gauche et de politicards incultes et sans bon sens (ce sont les mêmes !) colportent le bruit que le djihad, cette guerre sainte qui est présentée aux musulmans comme un devoir sacré, ne serait qu’une riposte aux croisades. C’est ne rien savoir ou avoir tout oublié.  Pour l'atteindre leur “cible” ces ''soldats d'Allah'' doivent impérativement nous faire oublier le long passé guerrier de l'Islam, et nous persuader que le terrorisme ne répond à aucun plan d’ensemble, le plus incroyable étant que certains ''marchent'' et avalent ce monstrueux mensonge ! Le livre, “la Gestion de la barbarie”, prend le contre-pied de tous ces myopes-par-système qui croient qu’aucune volonté ne peut songer à établir en France une République (?) islamique… Lyautey disait, à propos de Mein Kampf, autre brûlot criminel mais annonciateur, aussi, de jours noirs pour la France, l'Europe et le monde : ‘'Français, vous devez lire ce livre !“.  Lire Gestion de la barbarie s'impose avec la même urgence et pour les mêmes raisons. ‘’Eux’’ l'ont tous lu. Nous, non. 
Ce qui est grave aujourd’hui, ce n’est pas tant le face à face entre deux religions dont l’une dénie à l’autre tout droit à l’existence : cela fait partie des souvenirs de l’humanité, ”mon totem va manger ton totem”… ou, plus récemment, et tout près de nous : ”mon aigle va plumer ton coq”… Notre mémoire est remplie de souvenirs proches de celui-là, qu'on appelle parfois l’Histoire !  Ce qui rend notre situation pratiquement insoluble, c’est qu’une ”caste” --de loin pas la meilleure ni la mieux ''équipée intellectuellement pour ça''-- s’est arrogé le droit de décider de quels sujets les peuples ont le droit de parler, et en quels termes ! Et pour notre plus grand malheur, cette camarilla d’ayatollahs-laïcs (les pires, de loin !) de la bien-pensance est peuplée, en France surtout, de cuistres dont l’inculture est absolue dans les matières sur lesquelles ils prétendent pontifier et pérorer (dans le cas présent : une non-connaissance caricaturale du fait religieux, qu’ils nient jusque dans son essence, mais dont ils parlent et déparlent en tout sens, donc sans aucun sens). 
Nous nous retrouvons condamnés, devant nos petits écrans qu’ils ont colonisés, à écouter des gens qui n’ont pas la moindre idée de ce dont ils discutent, déclarer et répéter, jusqu’à satiété et avec des airs componctueux : ''L’islam, c’est pas ça''...  ''Il n'y a pas de continuum (sic !) entre l'islamisme et l'islam''... ou (phrase qui est plus dommageable encore) : ''je ne crois pas au Grand Remplacement, qui n'est qu'un fantasme de l'extrême droite’’...  On devrait pousser plus loin et leur demander sur quels arguments, quels documents, quels faits ils se fondent... mais ces questions ne font pas partie de leur logiciel. Pour la réponse, il faudra attendre une mise à jour… qui ne viendra jamais, et pour cause : elle n’est pas à leur programme ! Vous ne croyez pas au ‘’Grand Remplacement’’, dites-vous ? C’est un peu court, jeune homme, disait Cyrano avec talent (lui !). Vous seriez plus crédibles si vous aviez un argument --un seul, tout petit-- pour soutenir votre absence de pensée ! Mais non...
La vérité est simple : tous les islamistes se recommandent de l’Islam. Ils ont le Coran en bandoulière, la charia’a dans leurs fontes, et des citations du Prophète comme seule référence. Qui êtes-vous, ô censeurs du ”20 heures”, pour leur dénier le titre de ''vrais musulmans'' auquel ils prétendent et tiennent ? Et avez-vous remarqué que les ”croyants”, même les plus ''intégrés, ne s’exposent que très rarement à vos contre-vérités ? Si vous pensez, ô cuistres péremptoires, que ne sont ''de vrais musulmans'' que ceux qui pensent de traviole, comme vous qui osez clamer que l’Islam -dont vous ignorez tout- ce n’est pas un ”ça” que vous seriez bien en peine de définir, il faut aller le leur dire (sur place, pour gagner du temps), comme je vous y ai invités il y a peu. Je serai là, à votre retour, pour entendre le récit de vos échanges : je ne doute pas que vous les convaincrez. Le monde et la paix --et Allah !-- ont besoin de vous, ô belles âmes ! Vous ne pouvez vous dérober !
 A votre place, cependant, je m’inquiéterais : les vrais musulmans sont, tous, très éloignés les uns des autres sur ce qu’est le vrai Islam, et ils sont divisés en plusieurs rameaux ou sectes, les firqâs, qui croient chacune être ou détenir la dîn-al-haqq, la vraie foi.  Et c’est vous, armés de votre seule inculture encyclopédique en matière religieuse, qui allez leur expliquer ce dont vous êtes bien incapables de comprendre la première nuance, et ce que, en plus, ils ne veulent pas entendre ? 
Vos représentations farfelues du monde tel qu’il n'est pas ne vont pas s’y retrouver facilement : entre ce que vous êtes prêts à comprendre et ce qui vous attend, vous allez devoir en laisser, des plumes ! Le plus simple --si j'ose vous donner un conseil utile-- ce serait que vous ouvriez enfin les yeux sur le monde tel qu'il est... et sur le Grand Remplacement, qui est en marche, et qui va vous néantiser... (à suivre)
H-Cl. 
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wtiennest · 7 years
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voxrepulsori · 7 years
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worldnewsbr-blog · 8 years
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Guerra esquecida na Líbia 'não desapareceu e pode reiniciar a qualquer momento'
#Guerra esquecida na #Líbia 'não desapareceu e pode reiniciar a qualquer momento' #Brasil, #Trump #news #noticias #fatos #bomdia #top
Guerra esquecida na Líbia ‘não desapareceu e pode reiniciar a qualquer momento’ A guerra na Líbia, ou seja, o confronto entre os grupos armados que derrubaram Muammar Kadhafi em 2011 e que desde então se opõem ao poder, foi “esquecida”, mas pode estourar novamente a qualquer momento, acredita o portal russo Lenta.ru. Depois de vários anos de conflito, nas últimas semanas de 2016, graças ao…
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riadhbenaissa · 4 years
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snap221me · 4 years
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Voici pourquoi Nelson Mandela aimait Fidel Castro et Muammar Kadhafi, deux hommes détestés par l’Occident
Voici pourquoi Nelson Mandela aimait Fidel Castro et Muammar Kadhafi, deux hommes détestés par l’Occident
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De nombreux critiques de l’Occident ont souligné une certaine pauvreté de l’imagination lorsque les intellectuels occidentaux sont contraints de conceptualiser un monde où ils ne font pas les règles et ne fixent pas les paramètres.
La critique part du principe qu’il existe une idéologique que les intellectuels occidentaux ne peuvent pas substituer à autre chose. C’est peut-être parce qu’ils sont…
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orgulhomoz · 4 years
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ÁFRICA | Nasceu Mais Um Muammar Kadhafi e Chama-se Kagame _ Tal como imaginávamos anos após a morte do maior Líder Africanista, Paul Kagame caí na idéia de Muammar Kadafi. _ Desde o fim do genocídio que Paul Kagame tem sido elogiado pelo seu estilo de liderança visionário e pela forma como conseguiu estabilizar o país. Hoje, o Ruanda é considerado um modelo de boa governação em África com uma economia estável e uma sociedade progressista. _ Uma das razões que levaram a matar Kadafi, foi a tentativa do líder líbio querer criar uma moeda única africana e unir o continente tornando-o em uma espécie de "Estados Unidos da África. _ O Ocidente acreditava que esse governo iria fechar o acesso às riquezas africanas, o que contraria os interesses dos países ocidentais. Eles viram Muammar Khaddafi como uma ameaça, já que ele chefiava essa União Africana _ Ficaram felizes por matar um dos revolucionários africano, o que eles não esperavam é que passado 9 anos, nasceria em África concretamente em Ruanda, um Presidente com ideiais de Kadafi, alguém que nega e é contra a escravidão Moderna. Que Deus salve Paul Kagame e Ruanda. (Orgulho Moz🇲🇿, 20 de Abril de 2020) _ SIGA-NOS Facebook: Orgulho Moz YouTube: Orgulho Moz Instagram: @orgulhomoz Twitter: @orgulhomoz Tumblr: orgulhomoz _ Orgulho Moz ©️ 2020 _ #OrgulhoMoz #Africa #PaulKagame #MuammarKhaddafi #LideresAfricanos https://www.instagram.com/p/B_NX7pNHMbc/?igshid=1lpbhhi7kwiwg
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jamariyanews · 7 years
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Memorandum sulla Libia: disinformazione contro Stato, Guida ed Esercito
di Saïf al-Islam Kadhafi
Mentre la NATO ha deliberatamente falsificato il dossier libico per arrogarsi il diritto di distruggere la Libia e assassinarne la Guida per gettarla nel caos, Sayf al-Islam Gheddafi rimane l’unica personalità capace di unire rapidamente le diverse tribù. Liberato di recente, ha scritto questo memorandum per esaminare la situazione giuridica del suo Paese.
Rete Voltaire| Tripoli (Libia) | 30 ottobre 2017 
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  Questo memorandum mira ad identificare ciò che il popolo libico ha subito negli ultimi sei anni. Questi crimini sono stati commessi in nome dell’interventismo umanitario, della protezione dei civili, dell’introduzione della democrazia e della prosperità. Le forze della NATO, con l’aiuto di certi Stati arabi e di certi libici, attaccarono la Libia con tutti i mezzi a disposizione. Le giustificazioni avanzate erano false quanto quelle per l’invasione dell’Iraq nel 2003. Fu la distruzione sistematica di un Paese sovrano e di una nazione pacifica. Questa nota tenta di presentare tali crimini alla comunità internazionale, alle organizzazioni per i diritti umani e alle ONG, al fine di sostenere la Libia e il suo popolo negli innumerevoli sforzi per ricostruire questo piccolo Paese.
Libia al crocevia: l’inizio
L’agonia della Libia iniziava il 15 febbraio 2011, quando alcuni cittadini si riunirono per protestare in modo pacifico contro l’incidente nella prigione di Abu Salim. La dimostrazione divenne rapidamente ostaggio dei gruppi jihadisti come il Gruppo Combattente Islamico Libico (LIFG). Questi elementi attaccarono le stazioni di polizia e le caserme di Derna, Bengasi, Misurata e Zuiya per rubare le armi e utilizzarle nella guerra pianificata contro il popolo libico e il suo governo legittimo. Tali azioni furono accompagnate dalla propaganda di al-Jazeera, al-Arabiya, BBC, France24 e altri che incoraggiarono i libici ad affrontare la polizia che cercava di proteggere edifici pubblici e proprietà private da attacchi e saccheggi. Scene di orrore si videro per le strade, i ponti e contro le indifese forze di sicurezza su cui i manifestanti commisero crimini contro l’umanità. Membri delle forze di sicurezza, militari e di polizia furono massacrati, i loro cuori furono strappati dai corpi e fatti a pezzi; uno spettacolo di brutalità selvaggia. Ad esempio, il primo giorno dei disordini, il 16 febbraio 2011, nella città di Misurata i cosiddetti manifestanti pacifici uccisero e bruciarono un uomo, Musa al-Ahdab. Lo stesso giorno a Bengasi, un agente di polizia fu ucciso e smembrato [1]. Questa barbarie fu commessa da elementi che usavano carri armati, mitragliatrici e cannoni antiaerei a Misurata, Bengasi e Zuiyah [2]. Queste scene sono ben documentate e possono essere viste su YouTube [3] e Internet. Così, si ebbero dozzine di vittime contrariamente a quanto riportato dai media menzogneri. Secondo al-Jazeera, al-Arabiya e gruppi di opposizione libici, alla fine del 2011 il numero di persone uccise era di 50000. Tuttavia nel 2012 il governo di Abdarahim al-Qib annunciò che il numero di vittime registrate tra il 17 febbraio 2011 e la fine della guerra nell’ottobre 2011, era di 4700, incluse le morti naturali [4]. Nonostante il numero elevato di vittime menzionate dalle statistiche, i loro nomi ed identità non vengono riportati e nessuna famiglia ha chiesto di essere compensata dal governo. La propaganda e le bugie che accompagnarono le accuse contro i militari non si fermarono all’inflazione del numero di vittime, ma affermarono che il regime usò aerei militari per attaccare i civili, ordinò massacri all’esercito e alle forze di sicurezza [5], col Viagra trovato nei carri armati [6], e fece ricorso a mercenari africani e algerini e subendo la diserzione dei piloti a Malta [7]. Alcuna di tali accuse è stata dimostrata finora e non corrispondono a verità. Le indagini di Nazioni Unite, Amnesty International e Human Rights Watch [8] non hanno confermato alcuno degli 8000 rapimenti segnalati dall’opposizione libica. In realtà, tali accuse furono fabbricate e non hanno credibilità. Allo stesso modo, l’accusa di utilizzare i Mirage della base aerea di al-Withy, nell’estremo ovest della Libia, per attaccare i civili di Bengasi ignoravano il fatto che questi aerei non potevano rientrare considerando il consumo di carburante. È impossibile per questo tipo di aereo attaccare obiettivi a 1500 km e rientrare senza rifornimento ed esistono basi aeree presso Bengasi che potevano essere utilizzate dal governo libico, se necessario. Allo stesso modo, il presunto Viagra trovato nei carri armati esce dallo stesso cilindro: la Libia aveva un esercito giovane, professionista e morale, che non pensava a commettere tali crimini e non aveva bisogno del Viagra per badare ai propri desideri sessuali. Queste storie sono semplicemente disinformazione come i sette minuti necessari alle armi di distruzione di massa irachene per attaccare l’occidente. Oggi, la questione irachena e libica fanno ridere i popoli di Iraq, Libia, Stati Uniti ed Europa. (Relazione di Amnesty International [9]).
La Corte Internazionale di Giustizia (ICC)
L’ICC [10] emise un mandato d’arresto nel 2011 contro Muammar Gheddafi, Sayf al-Islam Gheddafi [11] e Abdallah Senussi, accusati di reati contro l’umanità. Nonostante la gravità del crimine, l’ICC non svolse alcuna indagine sul campo e tracciò le conclusioni ed individuò i responsabili a due settimane dalla sessione del Consiglio di sicurezza delle Nazioni Unite. Il calendario dato al procuratore non fu presentato e comunque non ebbe il tempo per specificare le accuse. A tal fine, Ahmad al-Jahani, coordinatore del CNT nel CPI-Libia dichiarò che "il caso dell’ICC contro la Libia è puramente politico perché la NATO chiese al Consiglio nazionale di transizione (NTC) di elaborare l’elenco dei funzionari da accusare di crimini contro l’umanità". Il CNT nominò al-Jahani per la preparazione di tale elenco con circa dieci nomi, tuttavia l’ICC ne perseguì solo tre. Al-Jahani inoltre aggiunse che tutte le accuse erano fabbricate. Ribadì il suo punto di vista durante l’incontro con Sayf al-Islam e l’assicurò che la giustizia libica non poteva condannarlo. Al-Jahani aggiunse che con la sua squadra l’aveva fatto perché sapeva che era persa in anticipo e che l’aveva perseguita per implicare Sayf al-Islam in casi finanziari e di corruzione. Al-Jahani giustificò le sue fabbricazioni e menzogne affermando che sono (legalmente) legittime in guerra (dichiarazione di al-Jahani documentata il 1° gennaio 2012 e al tribunale di Zintan). L’ICC adottò il doppiopesismo nella guerra alla Libia e nell’intervento della NATO. Accusò figure politiche libiche di crimini inventati ignorando il massacro barbaro di Muammar Gheddafi [12] e suo figlio Muatasim da parte delle milizie sostenute dalla NATO [13]. L’unica reazione dell’ICC fu far cadere le accuse contro Muammar Gheddafi dopo la morte. Tuttavia, l’ICC persisteva, dato che i media documentarono l’omicidio, non c’era bisogno di ulteriori prove per processare i responsabili. L’ICC poteva facilmente arrestare i responsabili politici e diplomatici nelle varie capitali europee. Una posizione simile fu presa dall’ICC contro Abdallah Senussi dopo che fu rapito in Mauritania dal governo libico [14]. La Corte semplicemente smise di chiederne l’estradizione. Nemmeno ne seguì la violazione dei suoi diritti, né il trattamento inumano subito nella prigione della milizia, anche se era detenuto da noti jihadisti del Gruppo combattente islamico libico (LIFG). Il direttore della prigione non era altri che il capo del LIFG Abdalhaqim Bilhadj. Bilhadj è noto a CIA e governi occidentali. La CIA l’arrestò dopo la fuga da Kandahar, interrogato ed estradato in Libia nel 2002 con l’accusa di terrorismo [15]. Nel 2009, lui e membri del LIFG furono liberati dalla prigione in base alla legge di amnistia generale. [16] Il passato terroristico di Bilhadj parla da sé. Nel 1994-1997 ordinò la strage di 225 persone. Nel 1997 ordinò l’omicidio dei turisti tedeschi Steven Baker e Manuela Spiatzier. Tuttavia, assunse un’alta carica in Libia. Fu ministro della Difesa e Sicurezza a Tripoli, direttore generale delle prigioni libiche e come tale direttamente responsabile della detenzione di Abdallah Senussi. Informato dei crimini di Bilhadj, l’ICC espresse la certezza che al-Senussi fosse in buone mani e ne sostenne il processo in Libia. La NATO e i paesetti del Golfo ignorarono le attività terroristiche di Bilhadj e lo riconobbero capo politico e militare e affarista. Ha il maggiore canale televisivo nel Nord Africa, la più grande compagnia aerea della Libia, un cementificio, proprietà in Spagna e Turchia e un aeroporto privato a Tripoli. Questo aeroporto però viene usato per trasportare terroristi dalla Libia alla Siria. Questi terroristi ricebvettero160 miliardi di dollari nel 2010. Bilhadj e altri sono responsabili dell’uso improprio dei beni della Libia e della fine del piano di sviluppo della Libia da 200 miliardi di dollari, secondo la Banca mondiale. Bilhadj è un esempio della vita sontuosa dei signori della guerra quando i comuni cittadini libici sprofondano nella povertà estrema.
Violazioni dei diritti umani da parte delle milizie
I capi militari e i signori della guerra hanno commesso crimini spregevoli contro l’umanità, distruggendo città e infrastrutture vitali negli ultimi sei anni, tra cui:  persone bruciate vive o sottoposte alle forme più terribili di tortura.  prigionieri politici, agenti di sicurezza e soldati bruciati vivi a Misurata.  soprattutto, le milizie organizzano il traffico di organi umani prelevati dai prigionieri.  nel contesto della complessa scena politica libica, Daish ha aggiunto altre atrocità massacrando, crocifiggendo e schiacciando persone. Una pulizia razziale ed etnica senza precedenti, un genocidio commesso contro cinque città libiche e la loro popolazione. Il 55% dei libici è stato costretto a fuggire dal proprio Paese negli Stati vicini. Inoltre, a Bani Walid furono bruciate centinaia di case [17] come altre nella città di Warshafana [18], la città di Sirte fu rasa al suolo [19], le aree residenziali di Bengasi [20] e Derna furono bombardate. Persino Tripoli, città cosmopolita, subì la pulizia etnica e razziale, in particolare nelle zone leali a Muammar Gheddafi. Oltre alle violazioni sistematiche dei diritti umani, le milizie e i loro capi distrussero infrastrutture cruciali [21]. Nel luglio 2014 incendiarono l’aeroporto di Tripoli e la flotta aerea nonché i serbatoi di petrolio [22] [23] [24] [25]. Nonostante le azioni distrutte e le torture brutali delle milizie, la comunità internazionale e gli organi delle Nazioni Unite ignorarono tali crimini e non processarono tali signori della guerra [26].
Le atrocità delle milizie della NATO e libiche contro civili e figure pubbliche
Gli aerei della NATO colpirono i civili in varie città, come Zlitan, Sirte, Surman, Tripoli e Bani Walid. A sud di Zlitan e precisamente a Majir [27], 84 famiglie, in gran parte donne e bambini, furono uccise a sangue freddo dagli attacchi aerei della NATO di notte. [28] I media mostrarono corpi di bambini e di una donna, Minsyah Qalefa Hablu, tagliata a metà, estratti dalle macerie. Altri morirono in questo scenario inquietante. In un altro caso, la famiglia di Qalid Q. al-Hamadi fu colpita dagli attacchi aerei della NATO in casa, uccidendo i figli. [29] Inoltre, la famiglia al-Jafarah fu uccisa a Bani Walid [30], quando la NATO ne bombardò la casa durante il mese santo del Ramadan. Per non parlare del bombardamento ben documentato del convoglio di Muammar Gheddafi a Sirte e dell’assassinio del figlio Sayf al-Arab nella casa di Tripoli [31]. Le violazioni dei diritti umani, gli omicidi sistematici e la tortura contro i civili libici continuano dopo che le milizie presero il controllo della Libia. Le vittime erano civili che non avevano partecipato alla guerra. La maggioranza era anziana e non poteva portare armi. Il comico popolare Yusif al-Gharyani fu arrestato e torturato dalla milizia di al-Zuiyah. La milizia di Misurata arrestò e torturò l’ex-muftì 80enne Shayq Madani al-Sharif [32] perché non approvò e sostenne l’intervento della NATO [33]. Il famoso cantante Muhamad Hasan fu brutalizzato e messo agli arresti domiciliari [34]. Altri, come l’economista Abdalhafid Mahmud al-Zulaytini, furono processati e condannati a lunghi periodi di carcere. Allo stesso modo, il presidente del Soccorso Islamico, Dr. Muhamad al-Sharif, fu condannato a un lungo periodo di carcere. Il direttore delle dogane e il responsabile dell’addestramento del Ministero degli Interni furono condannati a lunghi periodi di reclusione con altri condannato a morte o a vari periodi di carcere. Sembra assurdo che queste personalità siano accusate di traffico di stupefacenti, tratta di esseri umani, stupro, oltre a 17 altri capi di accusa [35]. La domanda è, come avrebbero potuto riunirsi per commettere tali crimini per nove mesi? Dopo che la Nato misero tali milizie al governo, altri crimini terroristici furono commessi contro i cittadini libici e stranieri. Un copto fu ucciso dal battaglione di Misurata [36], altri a Sirte [37], molti operai cristiani etiopi furono uccisi [38], l’insegnante anglo-statunitense Roni Smith fu assassinato a Bengasi nel 2014 [39], il personale della Croce Rossa di Misurata fu ucciso [40], fu commesso un attentato contro l’ambasciata francese a Tripoli [41], e in particolare l’ambasciatore statunitense fu ucciso a Bengasi nel 2012 [42]. Tutte le suddette vittime furono segnalate da Human Rights Watch e, in alcuni casi, la NATO ne ammise la responsabilità. Tuttavia, l’ICC chiuse un occhio e non indagò su tali crimini malgrado i vari organi nazionali e internazionali chiedessero l’apertura di un’indagine trasparente. L’ICC ha fallito sulla guerra in Libia. Non produsse un unico mandato di arresto contro i capi delle milizie e delle forze della NATO. Sembra che la politica deliberata dell’ICC sia ignorare questi crimini comprovati e concentrarsi solo su accusa e processo di Sayf al-Islam. Per quanto riguarda la famiglia di Muammar Gheddafi, l’ICC non è seria, come nel caso delle torture di Saadi Gheddafi, di cui il procuratore dell’ICC sostenne la prosecuzione dell’inchiesta. Tuttavia, un video mostrò che veniva picchiato durante l’interrogatorio. La stessa procedura si applica al caso Abdallah Senussi, dove il procuratore della ICC disse che deve ancora deliberare sulla sua condanna a morte (pronunziata in Libia). Una dichiarazione simile fu fatta dal predecessore riguardo il bombardamento e l’assassinio di Muammar Gheddafi e di centinaia di persone nel suo convoglio. L’ICC non è mai stato serio verso i crimini commessi dalle milizie contro migliaia di libici. Il suo unico interesse è silenziare la voce di Sayf al-Islam ed eliminare ogni possibile leadership. Gli Stati membri della NATO e gli staterelli del Golfo dovrebbero essere considerati responsabili del caos creato in Libia dal 2011. Intervennero in Libia col pretesto che Muammar Gheddafi massacrasse il popolo. La scena di un leader che uccide il proprio popolo ricorda Tony Blair sull’Iraq. Disse nel 2016 che era "la cosa giusta da fare e che se Saddam fosse rimasto al potere durante la primavera araba avrebbe massacrato i ribelli" [43]. Di conseguenza, dei Paesi sono stati distrutti, migliaia di persone sfollate e proprietà nazionali derubate. Come risultato dell’intervento militare della NATO in Libia, Muammar Gheddafi, i suoi figli e migliaia di libici sono stati uccisi e milioni di persone sfollate. Sei anni dopo, la stabilizzazione della Libia è ben lungi dall’essere raggiunta. In breve, le milizie libiche si combattono e le forze militari dei Paesi occidentali affiancano le varie milizie. La Francia rimane militarmente implicata e perse tre soldati a Bengasi nel luglio 2016 uccisi dai gruppi che sostenne nella rivolta del 2011. Parigi aveva allora chiamato la rivolta "rivoluzione" da sostenere. Se questo credo era vero, perché continua la guerra oggi? E perché 700 persone sono state uccise? Perché il personale del consolato statunitense è stato ucciso a Bengasi? Perché l’occidente ignora la barbarie del Daish, che sgozza a Sirte, Misurata e Derna? La risposta a quest’ultima domanda è chiara, questi criminali furono sostenuti dall’occidente nel 2011 perché combattessero il governo, apostata secondo le loro dichiarazioni. Perché il Daish indossava la stessa uniforme dei soldati libici, e chi gliel’ha data? Perché i membri del Daish ricevono uno stipendio dal ministero della Difesa Libico? La risposta a queste domande va trovata preso il vero capo del Paese, Bilhadj, Sharif, il Gruppo di combattimento islamico libico e i loro sodali del Congresso Nazionale. Chi governa oggi la Libia è ben noto al popolo libico e a certe ONG internazionali. Finora la Libia è ancora controllata dai gruppi jihadisti e l’occidente li appoggia nonostante i crimini commessi contro la Libia e il suo popolo. Non è strano che i Paesi occidentali, dalla Norvegia al Canada a Nord, da Malta all’Italia a Sud, per non parlare di Qatar, Emirati Arabi Uniti, Giordania, Sudan e Marocco, si siano associati all’aggressione militare contro i civili che non gli erano ostili, contro Sayf al-Arabi, Muammar Gheddafi e la famiglia Quaylidi e le 84 vittime innocenti di Majir? Mentre questi stessi Stati sono pazienti e tolleranti col Daish a Sirte, Misurata e Bengasi, sopportano gli attentati nelle città francesi e belghe. Tuttavia, gli Stati membri della NATO e i loro alleati dovrebbero attaccarli e bombardarli come fecero in Libia nel 2011. Infine, oltre a tale serie di crimini, gli Stati occidentali scelsero come leader libico il criminale di guerra responsabile della distruzione di Bani Walid e dell’uccisione dei suoi figli, Abdarahman Suihli. Nominò primo ministro il nipote Ahmad Mitig [44], direttrice generale agli Esteri la nipote Nihad Mitig [45] e il cognato Fayaz al-Saraj nuovo primo ministro. Inoltre, Abdarahman Suihli si accordò con Abdalhaqim Bilhadj, capo del Gruppo combattente islamico libico (LIFG), per partecipare con gli islamisti alle elezioni presidenziali. Tuttavia, in Libia è ben noto che se le elezioni dovessero essere tenute oggi, tali persone non avrebbero garantito il voto, neanche dalle proprie famiglie. La popolarità di Bilhadj apparve nelle elezioni generali quando ottenne solo 50 voti nel quartiere Suq al-Jumah, che ha 250000 abitanti. Durante questo tempo e durante la stesura di queste pagine, la popolazione delle città della Libia, inclusa la capitale Tripoli dove abita un terzo della popolazione, soffre di carenza di acqua, vive nel buio a causa dei blackout, ed è priva di strutture mediche e mezzi per soddisfare le esigenze umane di base. Secondo l’ONU, il 65% degli ospedali ha smesso di funzionare [46]. Mentre il dinaro libico è crollato e la produzione di petrolio sceso da 1,9 milioni di barili al giorno a 250000 barili. [47] Acuendo le sofferenze del popolo libico, le strade principali sono interrotte dalle operazioni militari e dal banditismo, oltre ai bombardamenti da Derna ad est di Sirte, da ovest di Bengasi ad Aghedabia. Le notizie quotidiane più comuni sono sequestri di persona e traffico di armi vendute su Internet. In conclusione, dobbiamo ringraziare i nostri fratelli di Qatar, Emirati Arabi Uniti, Sudan, Tunisia, Lega araba, NATO, Unione europea e tutti coloro che hanno trasformato la Libia in uno Stato fallito. Dopo la liberazione dei prigionieri islamici e altri, la Libia è diventata un’area che ospita le più grandi prigioni private. Un Paese che attirava investitori da tutto il mondo è diventato uno Stato esportatore di migranti, inclusi propri cittadini. Il 55% della popolazione è migrata e rifugiata all’estero. Uno Stato che riuniva i migliori esperti legali e costituzionali del mondo, che poté forgiare una costituzione nuova e moderna, è ora divenuta un’area governata da 1500 milizie. E infine uno Stato in cui il furto era considerato strano e insolito è divenuto luogo in cui corpi umani mutilati e decomposti vengono scaricati quotidianamente per le strade, evento divenuto banale in tutto il Paese.
Commento al rapporto Herland: Sayf al-Islam Gheddafi e l’ICC
Prima della rivolta, Saiy al-Islam era l’architetto della nuova Libia. Presentò la sua nuova visione della Libia libera dalle carceri politiche, legata alla Carta dei Diritti Umani, alla distribuzione di ricchezza e prosperità e alla democrazia [48]. Intraprese riforme politiche ed economiche con cui i prigionieri islamisti acquisirono la libertà, venendo riabilitati e integrati nella società libica. Dopo la violenta rivolta in alcune città, le fonti locali confermano di aver aiutato gli sfollati in tutto il Paese, liberando i prigionieri della rivolta e protetto la popolazione di Misurata dai combattimenti, o di Bengasi fuggiti dalle zone dei combattimenti. Invocò e sostenne gli sforzi di pace per risolvere la guerra. Secondo le fonti locali, chiese all’amministrazione dell’Università di Sirte di stampare 5000 volantini e distribuirli col convoglio pacifico partito per Bengasi, osservando i diritti umani. Invitò l’esercito a rispettare le regole d’ingaggio, proibendo l’uso della forza contro i manifestanti, secondo il capo della centro operativo dell’esercito nel marzo 2011, Maresciallo Hadi Ambarish, fatto prigioniero dai miliziani di Zintan, che lo torturarono e gli negarono la cure mediche fino a morire di cancro in carcere nel 2014 [49]. Nonostante gli sforzi inesorabili per la pace di Sayf al-Islam Gheddafi, gli aerei della NATO cercarono di assassinarlo, uccidendo o ferendo 29 suoi compagni. [50] Inoltre, perse delle dita e subì diverse ferite. Tuttavia, l’ICC non indagò su tale attacco aereo e non ne supervisionò i cinque anni d’isolamento. [51] Inoltre, l’ICC persisteva nel chiederne l’arresto e il processo dopo che fu condannato a morte da un tribunale libico nella prigione di al-Hadaba, guidato da Qalid al-Sharif, uomo di Bilhaj. Perciò l’istruzione è ingiusta, l’archiviazione del caso è l’unico passo che va approvato. Si potrebbe sostenere che il caso nella sua interezza dovrebbe essere abbandonato, soprattutto dopo l’assassinio del procuratore generale a Bengasi e la fuga della maggior parte dei pubblici ministeri, mentre subivano enormi pressioni dalla milizia. In queste circostanze, gli argomenti dell’ICC sono che la sua condanna a morte non fu applicata e che pertanto dovrebbe essere arrestato e imprigionato nella prigione di al-Hadaba. Tuttavia, il ministero della Giustizia libica si appellò contro la condanna a morte per via del processo sleale, in un tribunale nel carcere controllato da al-Sharif, che ha il potere su giudici e magistrati. Tuttavia, l’ICC continuò a chiedere un nuovo processo e ignorò il fatto che Sayf al-Islam era detenuto presso la prigione di Zintan e che il tribunale di Tripoli lo processò per teleconferenza. L’ICC dovrebbe rispettare la legge libica ed essere consapevole che una persona non va processata due volte per il presunto stesso reato. Ma scopo dell’occidente e dell’ICC è sbarazzarsi di Sayf al-Islam Gheddafi come fecero col padre Muammar Gheddafi e i fratelli. È giunto il momento che l’ICC abbandono il doppiopesismo e aiuti il popolo libico nello scopo di salvare il proprio Paese da tali milizie e costruire una nuova Libia dove vigano diritti umani, prosperità, lo sviluppo e stato di diritto. Chiediamo anche all’ICC di abbandonare la pretesa che Sayf al-Islam sia estradato e processato a L’Aja. L’ICC dovrebbe riconoscere e rispettare la legge di amnistia generale del ministero della Giustizia libico. Sayf al-Islam Gheddafi dovrebbe poter assumere il proprio ruolo nella lotta per una nuova Libia democratica. A tal proposito, e dopo che gli Stati occidentali comprenderanno i propri errori, dovrebbero collaborare coi libici e le ONG sincere per processare le milizie e i loro capi per il bene della pace e della riconciliazione.
Saïf al-Islam Kadhafi
Traduzione Alessandro Lattanzio (Sito Aurora)  
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zannekinbond · 5 years
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50 jaar Al Fateh-revolutie – omtrent wijlen Muammar Kadhaffi en het huidige Libië…
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Naar aanleiding van de 50ste verjaardag van de Al Fateh-revolutie in Libië, is het misschien het moment om eens een ander licht over de Libische kolonel Kadhaffi en zijn visie te laten schijnen. Ook de opinievorming in Vlaanderen is, net als in de rest van West-Europa, vooral gekleurd door wat de Westerse tegenstanders ervan hebben gemaakt. Wie zonder vooroordelen zijn of haar mening wil vormen, raden we alvast het kritisch lezen van het ‘Groene Boekje’ aan, het bekende politieke werk dat Muammar Kadhaffi ooit zelf schreef. Geen zware filosofische turf, louter een historisch document dat her en der nog aan te schaffen is via internet. Op 1 september 1969, 50 jaar geleden dus, greep kolonel Kadhaffi als leider van de beweging van Vrije Officieren de macht in Libië via een bloedeloze staatsgreep tegen het corrupte regime van koning Idris I. Kadhaffi kende een snelle opkomst als nationalist, begeesterd door het idee om zijn land en haar soevereiniteit te beschermen en zijn volk te laten profiteren van de rijkdom die de aanwezige olie- en gasbronnen tot voorheen aan de oliemaatschappijen schonken. Hij verwierp alle imperialismen, zowel het Amerikaanse imperialisme als het Sovjet-imperialisme, wiens atheïstische kant zijn geweten schokte als een gematigde gelovige. Hij nationaliseerde de belangrijkste sectoren van het Libische economische leven, met mededogen (vergoedingen) voor de eigenaren. In de oliesector verliepen de onderhandelingen moeilijk, maar in 1971 slaagde Kadhaffi in wat geen ander olieland eerder was gelukt: een verhoging van de prijs van ruwe olie opleggen aan de oliemaatschappijen. De beweging zou navolging kennen binnen de OPEC. Het Libische jaarinkomen van $ 2,2 miljard in 1973 steeg tot $ 6 miljard in 1974, tot $ 8,87 miljard in 1977. Honderdduizenden Libische gezinnen hebben hun levensomstandigheden aanzienlijk zien verbeteren. Onder koning Idriss behoorde Libië tot de armste landen ter wereld. Ongeveer 80% van de bevolking was analfabeet, kindersterfte liep op tot 40%. Het nieuwe beleid heeft ook de ontwikkeling van infrastructuur en van een lokale petrochemische industrie mogelijk gemaakt en heeft de Libische landbouw reuzesprongen laten maken via irrigatieprojecten (de grote kunstmatige rivier) die woestijnvorming terugdrong. De olie-inkomsten werden ook geïnvesteerd in onderwijs, de alfabetisering steeg van ongeveer 20% vóór 1969 tot meer dan 85%. Dankzij gratis gezondheidszorg is onder andere de gemiddelde levensverwachting in dezelfde periode gestegen van 44 tot 70 jaar. Bedenk ook dat het BBP per hoofd van de bevolking ongeveer 11.000 dollar werd, een van de hoogste in de Arabische en zeker de Afrikaanse wereld. Libië had geen buitenlandse schulden, het land beschikte over een financiële reserve van zo’n 150 miljard dollar, waarvan het grootste deel bevroren werd door de Westerse regimes. Vanuit het oogpunt van modernisering zijn de veranderingen op het gebied van de status van vrouwen misschien wel het meest verregaand. Merk in dit verband de wet op het huwelijk en de echtscheiding van 1984 op, die belangrijke verbeteringen in de status van vrouwen introduceerde: gemakkelijker toegang tot de arbeidsmarkt, bijna-verbod op polygamie, vrije toestemming voor het huwelijk, mogelijkheid tot echtscheiding, accommodatie te hebben in geval van scheiding en te kunnen genieten van eigen bezit. Deze veranderingen zijn doorgevoerd ondanks tegenstand van islamisten en conservatieve kringen. In tegenstelling tot andere Afrikaanse landen, waar het politieke discours over ontwikkeling eerder een technocratische en wetenschappelijke basis had, baseerde het discours in Libië in verband met de verbetering van de omstandigheden van vrouwen zich op een steeds herhalende inspanning om de islamitische tradities kritisch te herinterpreteren. Kadhaffi legde vanaf 1975 de nadruk op de noodzaak om de islamitische doctrine te scheiden van de moraal van de koran, evenals kritiek op de plaats van de 'ulamâ' (islamitische geleerden die in islamitische landen invloed uitoefenen met kennis over de sharia, de Haddith,…) in het politieke systeem. Daarmee maakte hij een begin van secularisatie van de staat. De houding van Kadhaffi maakte meestal deel uit van een lang proces van scheiding van politieke macht van religieuze macht. Onder het oude monarchale regime waren politieke partijen verboden en bestond het recht op meningsuiting niet. Nadat Kadhaffi aan de macht kwam, werd dit keurslijf steeds losser gemaakt en kwam er een een vorm van politieke liberalisering tot aan de "culturele revolutie" van april 1973, toen Kadhaffi brak met de ontluikende republiek, de Libische burgerij en dat deel van de middenklasse die geloofde dat de Libische leider een regime zou vestigen naar Westers model. De culturele revolutie betekende de start van een proces van breken met republikeinse, Westerse waarden. In de plaats werd het Jamahiriya-model gelanceerd, dat zeker de deelname van Libiërs aan het bestuur van het land verzekert, maar zonder invloed vanuit het Westen en haar politiek model. Het Libische politieke systeem is relatief gesloten gebleven en de Libische samenleving werd gecontroleerd. Net zoals elders in de wereld was de pers was niet onafhankelijk. Kritiek leveren op de regering of de macht van de president kon op gevangenisstraf uitlopen. Niettemin kon het Jamahiriya bestuur een aanzienlijke mate van inspraak verzekeren en terzelfdertijd lokale traditionele gezagsstructuren (stammen) respecteren. Voorts kon zich een civiele maatschappij ontwikkelen met een aanzienlijke diversiteit aan organisaties en sociale groepen. Tijdens de laatste jaren van Kadhaffi zijn bestuur, was er een opkomst van sociale en politieke krachten die elk hun programma en hun politieke oriëntatie voorstelden. Onder deze krachten waren gematigde islamisten, republikeinse nationalisten en zelfs monarchisten. Deze verslapping van de Al Fateh- revolutie en het Jamahiriya model, zou uiteindelijk een katalysator vormen voor een zich ontwikkelende burgeroorlog. De transformatie die Kadhaffi in gang zette zou uiteindelijk niet enkel Libië en haar bevolking omvatten, Libisch oliegeld zou verschillende doelen over de hele wereld financieren, waaronder de bevrijdingsstrijd van het Palestijnse volk en de strijd van zwarten in Zuid-Afrika, maar ook de Ierse republikeinse strijd. In dat internationale kader hebben drie terroristische aanslagen ertoe geleid dat Kadhaffi werd en wordt afgeschilderd als een symbolisch figuur van “internationaal terrorisme”: de bomaanslag in de La Belle nachtclub in Berlijn in 1986, de bomaanslag tegen een Pan Am-vliegtuig boven het Schotse dorp Lockerbie in 1988 en de aanval op de UTA DC-10 boven Niger in 1989. Geen van de drie aanslagen werd opgeëist en na onderzoek wezen de meeste sporen in de richting van een Syrisch-Iraanse achtergrond. Er zijn voldoende redenen om aan te nemen dat de schuld onterecht bij de Libische staat werd gelegd. De bomaanslag in Berlijn is de eerste van de serie. Het kostte Kadhaffi bijna zijn leven na de reactie van de Amerikaanse president Ronald Reagan. Deze laatste had, zodra hij in 1981 in het Witte Huis aankwam, het idee geopperd om de Libische leider te elimineren die hij tijdens de Koude Oorlog als een "Moskou-agent", "de gevaarlijkste man ter wereld" of "de dolle hond van het Midden-Oosten" beschreef. De bomaanslag tegen het Pan Am vliegtuig, die niet opgeëist, werd in de Westerse pers voorgesteld als een vergelding voor de Amerikaanse bombardementen op Benghazi en Tripoli, in de nacht van 15 april 1986. Kadhaffi kwam er ongeschonden uit, maar een van zijn dochters werd gedood terwijl zijn vrouw en zeven kinderen gewond raakten. Hoe dan ook, het in Duitsland geopende proces leidde tot het oordeel dat er geen bewijs was om de verantwoordelijkheid van Kadhafi voor de aanslag tegen de Berlijnse nachtclub vast te stellen. Ondanks voldoende bewijs dat Libië ten onrechte van beide aanvallen werd beschuldigd, moest het land schadevergoedingen betalen vanwege de internationale gemeenschap. Ook het onderzoek naar de aanslag tegen de UTA DC-10 boven de woestijn van Niger eindigde opnieuw met het Syrisch-Iraanse spoor . Het verlaten van het Syrisch-Iraanse spoor kan toegeschreven worden aan een samenvallen van omstandigheden tussen de Westerse mogendheden en Syrië tijdens de Golfoorlog en de wil om geen bondgenoten te onthullen die betrokken zijn bij dossiers van gijzelingen in Libanon. Door 2,7 miljard dollar te betalen en zijn plaats in het “concert van naties” te hervatten, maakte Tripoli deel uit van de koude logica van realpolitik: eerst de eigen belangen verdedigen. Door dit gebaar kon Libië een genormaliseerde staat worden in een tijd waarin het beter was niet op de lijst te staan van wat het Westen als “schurkenstaten” omschreef. Tegelijkertijd slaagde Libië via deze stap erin om een groot aantal buitenlandse investeerders voor zijn oliesector binnen te halen en toenadering te zoeken tot het Westen. Het beeld dat de publieke opinie in Europa kreeg, was niet alleen bepaald door de aanslagen in de tweede helft van de jaren ’80, maar ook door jarenlange steun aan gewapende groeperingen die voor de bevrijding van hun land streden. Dat was zo voor de Palestijnse kwestie, maar ook voor de Ierse. In 1972 maakte de toen 29-jarige Libische leider contact met de toonaangevende Ierse republikein Joe Cahill via de Bretoense kunstenaar Yann Goulet, oudgediende van de Bretoense bevrijdingsbeweging en het verzet tijdens de Tweede Wereldoorlog. Kadhaffi had een grote sympathie voor de Ierse bevrijdingsstrijd in de zes bezette graafschappen. Hij had tot doel het IRA materiële hulp aan te bieden in de strijd tegen Britse imperialisme op een moment dat The Troubles in alle hevigheid woedden. Toenmalig IRA-leider Joe Cahill trok met enkele andere Ierse nationalisten naar Tripoli, hij was onder de indruk van Kadhaffi zijn kennis van Ierse zaken en de situatie in Ulster. Kadhaffi zei dat hij niet begreep waarom de IRA-delegatie in het Engels sprak, de taal van de staat waar ze tegen vochten. Hij stemde in met de doelstelling van een verenigd Ierland en bood aan het IRA te helpen, zonder tegenverplichtingen. Hoewel de eerste beperkte levering onderschept werd door de Ierse marine, zouden nadien vele scheepstransporten met tonnen aan wapens en explosieven de Ierse kusten bereiken. De contacten met Libië zouden vooral door Thomas Murphy, een opvolger van Cahill aan het hoofd van het IRA, verder uitgediept worden. De vrijheidsstrijd van het IRA werd door de reguliere pers in Europa weggezet als “terrorisme”.   Het Libië van Kadhaffi stond niet bepaald bekend om een “open grenzen”-politiek. Het was een solide schild tegen migratiegolven, omdat met name veel migranten afkomstig uit de Sahara en de Sahel ervoor kozen zich in Libië te vestigen in plaats van de Middellandse Zee over te steken. Kadhaffi vormde ook een schild tegen de beweging van islamistische terroristen die hij reeds lang vóór de aanslagen van 11 september 2001 bestreed. Libië was het eerste land is dat in 1998 een internationaal arrestatiebevel tegen Bin Laden heeft uitgevaardigd, dit voor een dubbele moord in 1994 tegen twee Duitse ambtenaren op Libische bodem. De Arabische Lente luidde het einde in van het bestuur door Kadhaffi. De eisen van de internationale omgeving, evenals de leeftijd van Muammar Gaddafi, verergerden het conflict tussen "hard" en "gematigd" binnen de politieke elite. Het was in zekere zin een strijd binnen de machtselite, een strijd tussen de hervormers die het politieke systeem willen transformeren en de oude revolutionairen die elke verandering weigerden. Deze strijd lijkt tot vandaag ook betrekking te hebben op één van de zonen van Khadaffi, Seif al-Islam, die het politieke leven probeerde te hervormen en veel weerstanden tegenkwam. Van de chaos in Noord-Afrika en de toenemende liberaliseringen in Libië zelf, werd gebruik gemaakt om de positie van de Libische leider verder te verzwakken. De spreekwoordelijke druppel was de financiering van de verkiezingscampagne van Nicolas Sarkozy in 2007 door de Libische president en de vermoedelijke poging van president Sarkozy om dit toe te dekken door Kadhaffi definitief uit te schakelen. Het einde is gekend: burgeroorlog, NAVO-bombardementen ende onderschepping van Kadhaffi’s konvooi bij de eindstrijd in zijn geboortestreek rond Sirte. Kort na zijn gevangenneming door rebellen met de steun van NAVO-troepen, werd Muammar Kadhaffi vermoord. Een Frans-Libanese zakenman deed jaren later een boekje open over de geldstromen vanuit Libië naar Sarkozy. Het onderzoek van de Franse justitie richtte zich ook op zo'n 50 miljoen euro die Kadhaffi zou hebben gedoneerd aan Sarkozy's verkiezingscampagne. Daarmee heeft de Franse oud-president niet alleen het verbod op buitenlandse financiering genegeerd maar ook het maximumbedrag dat destijds aan een campagne mocht worden gespendeerd. Libië is nu een volledig verwoest land. Drie regeringen en een groot aantal terroristische groeperingen vechten voor controle over het land. De ontvoering van premier Ali Zeidan in Tripoli op 10 oktober 2013 is een triest voorbeeld van het chaotische klimaat in het land. De leiders van het eerste uur van de Nationale Overgangsraad (CNT) ontvluchtten het land om hun toevlucht te zoeken naar het buitenland. Moorden en aanslagen zijn gemeengoed geworden, waardoor honderdduizenden Libiërs hun toevlucht moeten zoeken in andere steden of buurlanden. De aanvallen en de escalatie van gevechten volgden elkaar op in het hele land. Zelfs het Amerikaanse consulaat in Benghazi was het doelwit van een zware wapenaanval waarbij ambassadeur Christopher Stevens werd gemarteld en gedood. Geweld en aanhoudende onveiligheid hebben de meeste Westerse landen ertoe aangezet hun onderdanen te evacueren en hun diplomatieke vertegenwoordigingen te sluiten. De inspanningen van Kadhaffi om Afrika uit de extreme afhankelijkheid van het Westen te halen, vormden een bedreiging voor machten die gedijen op Afrikaanse onderontwikkeling en neokoloniale roofbouw op de bodemschatten. Een economische onafhankelijkheid van Afrika is iets onaanvaardbaar, zoals professor Maximilian Forte herinnert: "De interventie in Libië is ook een manier om een bericht te sturen naar andere Afrikaanse natiestaten (...) dat er grenzen zijn waarbinnen zij moeten opereren ". Als ze kiezen voor een beleid van nationale soevereiniteit en een anti-imperialistisch wantrouwen of verzet beginnen, kunnen er niet langer hypothetische gevolgen zijn… De grootste uitdaging voor de politieke elites in Libië is die van een politieke transitie die de resultaten van de revolutie van september 1969 zou waarborgen en verdiepen. De huidige chaotische situatie is vooral in het voordeel van de georganiseerde misdaad (drugs- en mensensmokkel richting Europa). Het hangt af van het vermogen van de huidige leiders om een proces van geleidelijke en gecoördineerde overdracht van macht op gang te brengen en te initiëren om een opeenvolging van stabiliteit te waarborgen. De hypothese van een "republikeinse dynastie" van macht in Libië, waarbij Seif al-Islam Kadhaffi zowel de basis van de Al Fateh- revolutie behoudt als politieke verandering belichaamt, is aannemelijk en heeft gelet op stijgende populariteit enige relevantie. Het idee van een alliantie van progressieve krachten en republikeinse krachten rond een project om de sociale modernisering en democratisering van het politieke leven te versterken, met erkenning van de rol van het maatschappelijk middenveld, is een hernieuwd Jamahiriya-project waar Seif al-Islam Kadhaffi al geruime tijd succesvol mee bezig is. Zowel de regering in Tripoli die beheerst wordt door het conservatieve Moslimbroederschap als de schaduwregering in Benghazi, die de steun krijgt van onder andere Saoedi-Arabië en van krijgsheer Khalifa Haftar die een groot deel van het Libische grondgebied controleert, staan een heropbouw van het land in de weg. Het hoeft geen betoog dat het slagen van een stabiel, zich heropbouwend Libië in de geest van de hedendaagse Jamahiriya-beweging van het allergrootste belang is voor Europa. Read the full article
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africa-refugiados · 5 years
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Conflitos antigos e recentes intensificam o caos na Líbia 
 A Líbia está novamente mergulhada numa situação de caos político, com duas forças a disputar o poder e uma profusão de milícias locais, tribais e islamitas a ameaçar um regresso da guerra civil ao país.
Refúgio de extremistas e um importante canal de passagem de migrantes, a Líbia passou de país rico em petróleo para região dilacerada e em permanente conflito, após a queda do presidente Muammar Kadhafi, um ditador que governou a Líbia durante 42 anos.
Fonte: Mundo ao Minuto
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