#Patrick ridremont

[haveyouseenthisseries-poll]

[2ndaryprotocol]

#NowWatching The Advent Calendar (aka ‘Le Calendrier’) (2021) 🎁👩‍🦽☠️

“𝙵𝚘𝚕𝚕𝚘𝚠 𝚝𝚑𝚎 𝚛𝚞𝚕𝚎𝚜 𝚞𝚗𝚝𝚒𝚕 𝚢𝚘𝚞 𝚘𝚙𝚎𝚗 𝚝𝚑𝚎 𝚕𝚊𝚜𝚝 𝚍𝚘𝚘𝚛… 𝚘𝚛 𝚎𝚕𝚜𝚎 𝙸’𝚕𝚕 𝚔𝚒𝚕𝚕 𝚢𝚘𝚞.”

[stumachher]

24 DAYS OF HORROR-MAS ( 22 / 24 )

The Advent Calendar (2021) dir. Patrick Ridremont

[heartbreakfeelsgoodinablog]

Will you live until Christmas this year?

[omagazineparis]

Virginie Efira, l’actrice qui a le plus marqué l’année 2021

Vous voulez en savoir plus sur Virginie Efira, l’actrice qui a joué dans Benedetta ? Eh bien, dans cet article, vous aurez toutes les informations que vous recherchez concernant cette talentueuse comédienne. A 44 ans, l'actrice Virginie Efira n'est vraiment pas prête de prendre sa retraire. En 2021, on l'a vu jouer dans plusieurs films comme Benedetta, Lui, Adieu les cons, et plus récemment Madeleine Collins. Mais qui est vraiment Virginie Efira ? Et comment l'actrice est-elle arrivée à se retrouver à l'affiche d'autant de films en 2021 ? De ses origines à sa carrière en tant qu'actrice, en passant par ses nombreuses récompenses, nous vous dévoilons tout sur Virginie Efira. Biographie Virginie Efira est une actrice belge qui est née le 5 mai 1977 à Bruxelles. Elle est la fille de André Efira, professeur en oncologie et de Carine Verelst, restauratrice et esthéticienne. Ses parents ont divorcé alors qu'elle n'avait encore que 9 ans. Elle a deux frères et une sœur. Virginie Efira a suivi des cours de sciences sociales, de psychologie, de mathématiques et de latin. Passionnée par le théâtre, elle a aussi suivi des études d’arts du spectacle à l’Institut National Supérieur du Spectacle. Elle est ensuite entrée au conservatoire dans l’idée d’apprendre la comédie et de jouer sur scène. Coté privée, elle s’est mariée en 2002 avec le comédien et producteur Patrick Ridremont. Malheureusement, ils se sont séparés en 2009. Elle a ensuite retrouvé l’amour au bras de Mabrouk El Mechri avec qui elle a eu une petite fille née en 2013. Carrière de Virginie Efira Ses débuts en tant que présentatrice TV Après son passage à l’Institut national supérieur des arts du spectacle, Virginie Efira devient animatrice de télévision. En 1998, elle démarre sa carrière en tant que présentatrice TV sur Club RTL auprès de Lidia Gervasi. En 2003, elle vient travailler en France, où elle anime des émissions de divertissement et de télé-réalité. Remarquée par la chaîne de télévision M6 lors d’un casting pour devenir miss météo, elle devient rapidement la nouvelle présentatrice vedette de la chaîne. Elle a présenté Le Grand Zap, Le Grand Piège, Follement Gay et a animé l’Opération séduction. Toujours sur M6, Virginie Efira présente en 2005 Classé confidentiel. Elle remplace ensuite Benjamin Castaldi en 2006 pour présenter La Nouvelle Star en prime time. Sa vie de comédienne Sa carrière de comédienne débute avec le doublage de Jennifer Love Hewitt dans Garfield en 2004, et Garfield 2 en 2006. En 2005, elle joue dans le film d’animation Robots, en tant que doublage de Piper. En 2006, elle joue son propre rôle aux côtés d’Amanda Lear et de Bruno Putzulu dans Un amour de fantôme. Virginie Efira incarne aussi l’épouse de Bohort dans les deux épisodes de la série Kaamelott. En 2007, elle joue dans Off Prime de Bruno Solo et Stéphane Kopecky auprès de Simon Astier et Alban Lenoir. En 2008, cette belle comédienne est à l’affiche de Max&Co de Frédéric Guillaume et de Samuel. De 2010 en 2015, elle enchaîne les rôles. On l'a par exemple retrouvé dans Le Siffleur, Mon pire cauchemar, En solitaire, Dead Man Talking, Le monde, etc... De la comédie au drame Après avoir joué la comédie pendant plusieurs années, Virginie Efira décidera ensuite de basculer vers le dramatique. En 2016, elle tient le rôle principal dans Victoria de Justine Triel où elle incarne une avocate divorcée. Ce rôle lui a permis d’obtenir le Magritte de la meilleure actrice. Cette même prestation lui vaut également une nomination au César de la meilleure actrice. La même année, elle co-préside le Festival du film francophone d’Angoulême aux côtés de Gilles Jacob. En 2017, elle apparaît dans la série Dix pour cent et les films d’animation Le Chat botté et Croc-blanc. Elle continue ensuite dans Un Amour Impossible (2018), Police et Adieu les cons (2020) et Benedetta (2021). Crédit : Pathé Filmographie C'est en 2005 que Virginie Efira a obtenu son premier rôle dans le film Africains poids-moyens de Daniel Cattier. Elle commence alors à se faire connaître... Et en 2010, on lui demande de jouer le rôle d’Angèle dans L’amour c’est mieux à deux, un film d’Arnaud Lemort et de Dominique Farrugia où elle joue aux côtés de Clovis Cornillac et de Manu Payet. Elle décroche ensuite le rôle d’une designer prometteuse en 2010 dans La chance de ma vie de Nicolas Cuche, un film franco-belge où elle joue aux côtés de François-Xavier Demaison. En 2013, elle joue son premier grand rôle dans 20 ans d’écart de David Moreau aux côtés de Pierre Niney. Il s’agit d’une comédie romantique française où elle incarne le rôle d’Alice Lantins, la rédactrice en chef du magazine Rebelle. Virginie Efira décroche ensuite en 2015 le rôle de Violette dans Une famille à louer de Jean Pierre Améris où elle aura l'occasion de donner la réplique à Benoît Poelvoorde. En 2016, elle joue au côté de Jean Dujardin dans Un homme à la hauteur de Laurent Tirard. Dans ce film, elle incarne une brillante avocate qui est tombée sous le charme d’un petit homme de 1,36 m. Elle a également joué le rôle de Rachel dans Un amour impossible de Catherine Corsini en 2018. Récompenses Tout au long de sa carrière, Virginie Efira a remporté de nombreuses distinctions. En 2010, elle a par exemple reçu le prix de la meilleure actrice grâce à La Chance de ma vie. Elle a également reçu le prix du public lors de la cérémonie du Magritte du cinéma en 2012. En 2016, le prix de la meilleure actrice lui revient encore grâce à Victoria. Et en 2020, elle a remporté le Bayard de la meilleure interprétation lors du festival international du film francophone. 2021, une année très chargée pour Virginie Efira Virginie Efira est sans doute l’actrice française qui a le plus marqué l’année 2021. En tout cas, ce qui est sûr c'est qu'elle a eu un planning très chargé ! En juillet, on l’a retrouvé aux côtés de Charlotte Rampling et Daphne Patakia dans Benedetta de Paul Verhoeven. Elle y a joué le rôle "diabolique" d'une nonne lesbienne. Elle jouait également dans le film Lui de Guillaume Canet. En décembre 2021, Virginie Efira était aussi à l’affiche du Film Madeleine Collins d’Antoine Barraud. Et visiblement, la machine "Virginie Efira" n'est vraiment pas prête de s'arrêter car on l'annonce déjà dans le film En attendant Bojangles en 2022 et l'Empire en 2023. A lire également : Tout savoir sur l’actrice Camille Razat Read the full article

[norirosewrites]

Horror Film Review: The Advent Calendar

“Digesting natural and artificial joy requires the courage to swallow it.” – Charles Baudelaire (quote from opening of the film)

Subgenre: Supernatural horror

Gore Level: Moderate

Like a lot of people, I have a list of holiday movies that I faithfully watch every December. (Yes, The Nightmare Before Christmas is number one on the list. However did you guess? 😂)

Perhaps unlike some people, I like my holiday stories to have a bit of a dark edge. But this year I wanted to do a special horror review for the holidays and decided to seek out something new. Out of my Shudder recommendations popped The Advent Calendar, a 2021 French-Belgian film written and directed by Patrick Ridremont and starring Eugénie Derouan. It was a pleasant little surprise not unlike the delightful holiday tradition from which it draws its name – but with a much more sinister twist.

In a Nutshell (Spoilers): Eva Roussel has been a paraplegic for three years. Her disability is the result of a car accident inadvertently caused by her friend Sophie, which ended her career as a professional ballet dancer. Her only family is her father who suffers from Alzheimer’s disease and is under the “care” of his cold and greedy wife Agnés, who despises Eva and will not let her see her father.

For Eva’s birthday, Sophie visits and brings her a beautiful antique wooden Advent calendar from a Christmas market in Germany with an ominous message carved onto the back: “Dump it, and I’ll kill you,” signed off only as “Ich” (“I” in German.) The calendar comes with a set of three rules: if the owner eats one candy, they must eat them all; they must obey all rules until the last door of the calendar is opened at midnight of December 24; and if they dump the calendar, “Ich” will kill them. Eva finds a piece of her father’s favorite chocolate inside the third door along with a message: “To cure hurt, destroy what hurt you.” Later that night, she receives a phone call from her father on a disconnected phone.

Every night at midnight over the following days, a wooden carving of a priest with “Ich” carved on the back pops up from the calendar and instructs Eva to open the corresponding door. Each candy Eva consumes causes a different outcome to manifest in her life, some welcome, others disturbing: a man who tried to assault her is killed in a car crash; she downloads an online stock trading app and begins earning some good extra money; she earns the affections of an attractive man named William; she experiences a strange time skip of four days and loses her job, only for her former ableist and sexist boss to turn up dead. She confides in William, who urges her to stop eating the candy for the sake of her mental health. She temporarily regains the ability to walk, which lands her in the hospital where Willaim works as a nurse; she gives one of the candies to a psychotic woman there, which kills her. She visits her father and gives him one of the candies; he becomes lucid and tells her that the calendar will demand additional sacrifices from her and that strangers, friends, and loved ones will have to die (“If you want to walk, you have to kill”)  and tells her not to hesitate when it’s his turn. She eats another candy in the presence of William and regains sensation in her lower body. When William discovers that she used one of the candies to attract his attention, he attempts to dispose of the calendar, only for “Ich” themself – a deformed humanoid figure resembling the wooden priest inside the calendar – to appear and drown him.

Eva’s behavior becomes more erratic; she even follows through on the calendar’s orders to kill her dog Martin, causing Sophie and her new boyfriend to take her on a weekend trip to clear her head. She repeatedly tells the calendar that she doesn’t blame Sophie for the accident and doesn’t want her hurt, but Sophie tells her to eat the candy if it means getting her legs back. (Though neither of them eat the candy, Sophie still ends up dead.) Eva discovers a disturbing painting of a slaughtered mother and son in the calendar, which leads her to the previous owner – a former painter who is now blind – who has no memory of the painting or the calendar, and whose wife and son are alive and well. Eva realizes the truth about the Advent calendar: it gives the owner a chance to see what their ultimate happiness would look like (in Eva’s case, being able to walk again; in the painter’s case, to have his sight back), but shows what extreme sacrifices would have to be made to achieve it.

Eva continues to follow the rules of the calendar up until December 24, during which time she kills her former boss’s mistress who replaced her at work, as well as her father and stepmother (though she admits the latter was “for fun”). She realizes that once she eats the last candy, time will reset and she will awaken in her old life on December 1 with no memory of the calendar, with the events that transpired never having happened. On December 23, she checks into a hotel and has sex with a man she met at the community pool, then records a video message for the next owner of the calendar outlining the rules with a warning that if they fail to obey and are killed by “Ich,” all deaths will be final, followed by a short dance sequence.

As she prepares to eat the final candy, the man from the pool reminds her that the second rule of the calendar is to obey all rules until the last door is opened, revealing that she has a choice: she can eat the final candy and everything will revert back to the way it was, or she can throw it away and retain the ability to walk at the expense of all of the lives sacrificed to the calendar. He then throws the calendar over the roof of the hotel while Eva screams at the candy.

The final scene of the film takes place one year later, with a bleeding, desperate man with a baby girl at Eva’s door pleading to be let in, her video message playing on the phone in his hand. The door opens and he steps inside.

The WOW:

– I was very impressed with the acting, especially the lead Eugénie Derouan. She really brought Eva to life and made my empathize with her character right from the beginning, but not in a “I feel sorry for her” sort of way; rather in the sense that her emotions and feelings of loneliness and estrangement from the world around her, as well as her conflicted feelings about the calendar (more on that in a moment) made her feel multidimensional and very relatable. – Eva’s conflicted feelings about the sacrifices demanded of the calendar was one of the strongest points of her character arc. She is afraid of the demands of the calendar, but also understandably thrilled with the gains she makes (namely, regaining the use of her legs). While she is gleeful for the vengeance enacted against her assailant, her terrible boss and his mistress, and her cruel stepmother, she mourns the loss of William, seems unwilling to believe in the loss of her dog, begs the calendar not to harm Sophie, and is wracked with pain and guilt for killing her father (even though he was willing to accept the sacrifice). The moment at the end where she screams in conflict over whether or not to choose her ability to walk over the lives of others – even those who hurt her – made her feel all the more like a real person (one with a conscience, at least). I appreciated that the writers didn’t make her out to be a schemer who took unmitigated delight in the sacrifices with no conflicted feelings, or a helpless victim of the calendar; they allowed her to experience the range of human emotion and gave her the agency to make her own choice in the end. This made her character all the more relatable and sympathetic. – I enjoyed the open ending. That’s something that I appreciate about a lot of foreign films; the conclusions aren’t always wrapped up nicely in a bow with a concrete resolution like many American films, which are largely driven by Hollywood formulas. That being said, there is an art to pulling off an open ending that feels satisfying as opposed to leaving the story on a cliffhanger, and I feel like The Advent Calendar does this well: we see Sophie’s moment of anguish when faced with the choice she must make, followed by the next owner of the calendar seeking her out just as she sought out the blind painter. It’s enough of an open door for the viewer to draw their own conclusions about her choice, but concrete enough to give the audience enough material to make that conclusion in the first place. – I thought the film did a good job of making Eva’s disability a challenge and showing her grief over losing her abled body and dance career without making her out to be “pitiful.” I liked that it showed her being active in her wheelchair and doing things like swimming at a public pool, going out, working, etc. and also showed that she didn’t appreciate being called “brave” for simply existing as a paraplegic. I have a few friends with disabilities that impact their mobility, and I have heard them share that one of the most frustrating parts of their day to day lives is the way able bodied folks treat them as “inspirations” instead of normal human beings who live normal lives and just so happen to use mobility aids to get around. Sadly, many films and other media also follow the trope of disabled people “overcoming the odds” with their “bravery,” and I appreciated that Eva was portrayed as a regular person just doing her best to live her life, as we all do in our own way.

The Meh:

– I would have liked some kind of explanation or brief backstory about who “Ich” was or the history/purpose of the Advent calendar. It might just be my love of folklore and creepy history, but I think it would have added more depth to the story if we knew something about the calendar beyond “it’s a scary old antique that can grant your deepest wish for a steep price.” – Sophie makes a comment that Eva takes “anti-hallucination” pills, which I assume to be antipsychotics or something to treat PTSD, as we do see her have a few frightening flashbacks of the car crash that disabled her. However, this is never brought up again at any point in the film. I don’t think the Advent calendar is some kind of hallucination considering that people actually die as a result of it, and the ending of the film makes it clear that it has gone on to haunt another person. I’m not really sure what the purpose of this statement was. It felt like something that was tacked on to add an air of mystery that didn’t really fit into the plot and slightly pulled me out of the story. – Though I do enjoy character-driven horror and love a good slow burn, the pacing dragged at times. Granted, the story does take place over the course of 21 days and it makes sense that a lot would happen plot-wise during that time. Still, there were a few scenes that I felt could have been condensed or cut altogether.

Final Thoughts:

The Advent Calendar is ultimately a story about how far we’re willing to go – and what sacrifices we’re willing to make – to achieve our own happiness. It made me think about how we sometimes “sacrifice” the people or things closest to us in order to achieve our goals or move on to the necessary next chapter of our lives: the family members we move away from (either physically or by going no-contact for self-preservation), the friendships we let slip away, the jobs or careers we leave, the partners we say goodbye to, even the pets we might rehome. While The Advent Calendar obviously takes this idea to the extreme, it also invites the viewer to consider the sacrifices they’ve made or could make that may drastically alter the course of their own life – for better or worse. It fits the profile for a classic “be careful what you wish for” cautionary tale in many ways, but also shows that sometimes those sacrifices can lead to desirable, if bittersweet, outcomes as well – and that it’s often a gamble.

But I think there’s a deeper message here as well. The calendar also gives the owner a choice to eat the candy or not: they have the option to abstain, but if they choose to consume the sweetness, it becomes all or nothing. It’s also interesting that the inside of the calendar also says “the miracle of Christmas” – maybe the real miracle is that, like Eva discovers in the end, we always have the power to make our own choices about the direction we want our lives to go in, even if we can’t control the external factors that might influence our decisions. It is a little scary to acknowledge our own agency at times, but accepting that our choices are ours alone to make is also liberating. While it may feel easier and more comfortable to point the finger at anyone other than ourselves for the things we’re dissatisfied with, recognizing our power to shape our own destinies is what will ultimately bring us happiness and fulfillment in the long run.

While I don’t think that The Advent Calendar will make it onto my list of Annual Must-Watch Holiday Flicks that I’ll return to year after year, it’s a creative and well-made holiday horror film that made me think while also being entertaining. It’s definitely worth a watch if you enjoy the more sinister side of the season. (Bonus points if enjoyed with some chocolate! 🍫)

[gbhbl]

Horror Movie Review: The Advent Calendar (2021)

A disappointing experience overall that barely feels festive and promised way more than it could actually deliver.

Written and directed by Patrick Ridremont, The Advent Calendar is a ‘festive’ horror movie that starts off strongly, but slowly loses its way across its unnecessarily long 101-minute runtime. It’s a real shame because there’s so much to like about it. Eva (Eugénie Derouand) is a paraplegic. Having been a successful dancer before, a car accident resulted in permanent spinal injuries. She has…

[twittercomfrnklin2001-blog]

The Advent Calendar

Who is Patrick Ridremont, and where has he been all my viewing life? The Belgian comic-turned-director’s Shudder Original THE ADVENT CALENDAR (2021) is a fiendishly engrossing Christmas tale maudit. Former ballet dancer Eva (Eugenie Derouand) has been left in a wheelchair after a car accident caused by her best friend, Sophie (Honorine Magnier). For her birthday, Magnier gives her an unusual advent calendar with specific rules: if you don’t use all the gifts, you die; if you try to destroy the calendar, you die; if you don’t follow the rules, you die. But, hey, the thing’s German, and you know what they’re like. Then a man tries to rape her, and the calendar produces a toy car identical to his. When Derouand’s dog chews on it, the car implodes, killing the would-be rapist. The calendar also produces candies that will make Derouand walk again, but there are sacrifices (aren’t there always, and yes, the dog dies), leading to the rare open ending that works. The score by Thomas Couznier and Frederic Cooshmanian has echoes of Bernard Herrmann, Derouand has great expressive eyes, and some of the guys she encounters are pretty darned fine (hey, I don’t just watch these things for aesthetic jollies). I’ve kissed so many cinematic toads on Shudder, it’s nice to finally have one turn into a prince.

[gebo4482]

The Advent Calendar - Official Trailer [HD] | A Shudder Original

Dir: Patrick Ridremont Star: Eugénie Derouand / Honorine Magnier / Clément Olivieri

[fabioemme78]

[screen1ne]

Shudder Exclusive The Advent Calendar Premieres December 2nd

Shudder Exclusive The Advent Calendar Premieres December 2nd Watch the trailer here #Shudder #AdventCalendar #PatrickRidremont #EugénieDerouand @ridremont @Shudder_UK

Shudder, AMC Networks’ streamer for horror, thrillers and the supernatural will premiere writer/director Patrick Ridremont’s ornate and elegant French horror fantasy The Advent Calendar exclusively on Thursday, December 2nd. Combining Faustian themes and allusions with European folklore and tense, chilling terror, the Shudder Original film provides some highly original holiday season horror. Eva…

[cultfaction]

The Advent Calendar trailer released

The Advent Calendar trailer released

Written and directed by Patrick Ridremont, The Advent Calendar follows Eva, who has been paraplegic for the past three years. When her birthday arrives, she receives a strange advent calendar as a gift. But instead of the traditional sweets, every day reveals something different; sometimes pleasant but often terrifying, and increasingly bloody. It’s going to be a very deadly Christmas this…

[yekuana]

🎞️🏞️🎬 #ElBosque (Miniserie de TV) (2017) Sinopsis Miniserie de TV (2017). 6 episodios. En la escuela de Montfaucon, un tranquilo pueblo de la región de las Ardenas, la profesora Eve Mendel nota que algunos adolescentes están nerviosos y tienen un comportamiento extraño, sobre todo tres de sus estudiantes: Jennifer, Ocean y Maya, hija de la teniente Musso. Parece que una joven ha desaparecido en el bosque, el mismo en el que la profesora Eve fue encontrada hace 20 años, sin recuerdos de qué le había ocurrido. En el camino por encontrar la verdad, se irán desvelando todos los secretos que esconde este pequeño pueblo plagado de misterios. (FILMAFFINITY) Dirección Delinda Jacobs (Creador) Julius Berg Reparto Suzanne Clément Samuel Labarthe Alexia Barlier Maxime Rennaux Gilles Vandeweerd Jade Boulanger Damien Marchal Adonis Danieletto Frédéric Diefenthal Nicolas Marié Patrick Ridremont Año / País: 2017 / 🇨🇵 Francia Título original: #LaForêt Género #SerieDeTV #Intriga #Thriller #MiniserieDeTV #Secuestros #Desapariciones (en Isla de la Cuarentena) https://www.instagram.com/p/CgDe11sslhc/?igshid=NGJjMDIxMWI=

[omagazineparis]

Virginie Efira, l’actrice qui a le plus marqué l’année 2021

Vous voulez en savoir plus sur Virginie Efira, l’actrice qui a joué dans Benedetta ? Eh bien, dans cet article, vous aurez toutes les informations que vous recherchez concernant cette talentueuse comédienne. A 44 ans, l'actrice Virginie Efira n'est vraiment pas prête de prendre sa retraire. En 2021, on l'a vu jouer dans plusieurs films comme Benedetta, Lui, Adieu les cons, et plus récemment Madeleine Collins. Mais qui est vraiment Virginie Efira ? Et comment l'actrice est-elle arrivée à se retrouver à l'affiche d'autant de films en 2021 ? De ses origines à sa carrière en tant qu'actrice, en passant par ses nombreuses récompenses, nous vous dévoilons tout sur Virginie Efira. Biographie Virginie Efira est une actrice belge qui est née le 5 mai 1977 à Bruxelles. Elle est la fille de André Efira, professeur en oncologie et de Carine Verelst, restauratrice et esthéticienne. Ses parents ont divorcé alors qu'elle n'avait encore que 9 ans. Elle a deux frères et une sœur. Virginie Efira a suivi des cours de sciences sociales, de psychologie, de mathématiques et de latin. Passionnée par le théâtre, elle a aussi suivi des études d’arts du spectacle à l’Institut National Supérieur du Spectacle. Elle est ensuite entrée au conservatoire dans l’idée d’apprendre la comédie et de jouer sur scène. Coté privée, elle s’est mariée en 2002 avec le comédien et producteur Patrick Ridremont. Malheureusement, ils se sont séparés en 2009. Elle a ensuite retrouvé l’amour au bras de Mabrouk El Mechri avec qui elle a eu une petite fille née en 2013. Carrière de Virginie Efira Ses débuts en tant que présentatrice TV Après son passage à l’Institut national supérieur des arts du spectacle, Virginie Efira devient animatrice de télévision. En 1998, elle démarre sa carrière en tant que présentatrice TV sur Club RTL auprès de Lidia Gervasi. En 2003, elle vient travailler en France, où elle anime des émissions de divertissement et de télé-réalité. Remarquée par la chaîne de télévision M6 lors d’un casting pour devenir miss météo, elle devient rapidement la nouvelle présentatrice vedette de la chaîne. Elle a présenté Le Grand Zap, Le Grand Piège, Follement Gay et a animé l’Opération séduction. Toujours sur M6, Virginie Efira présente en 2005 Classé confidentiel. Elle remplace ensuite Benjamin Castaldi en 2006 pour présenter La Nouvelle Star en prime time. Sa vie de comédienne Sa carrière de comédienne débute avec le doublage de Jennifer Love Hewitt dans Garfield en 2004, et Garfield 2 en 2006. En 2005, elle joue dans le film d’animation Robots, en tant que doublage de Piper. En 2006, elle joue son propre rôle aux côtés d’Amanda Lear et de Bruno Putzulu dans Un amour de fantôme. Virginie Efira incarne aussi l’épouse de Bohort dans les deux épisodes de la série Kaamelott. En 2007, elle joue dans Off Prime de Bruno Solo et Stéphane Kopecky auprès de Simon Astier et Alban Lenoir. En 2008, cette belle comédienne est à l’affiche de Max&Co de Frédéric Guillaume et de Samuel. De 2010 en 2015, elle enchaîne les rôles. On l'a par exemple retrouvé dans Le Siffleur, Mon pire cauchemar, En solitaire, Dead Man Talking, Le monde, etc... De la comédie au drame Après avoir joué la comédie pendant plusieurs années, Virginie Efira décidera ensuite de basculer vers le dramatique. En 2016, elle tient le rôle principal dans Victoria de Justine Triel où elle incarne une avocate divorcée. Ce rôle lui a permis d’obtenir le Magritte de la meilleure actrice. Cette même prestation lui vaut également une nomination au César de la meilleure actrice. La même année, elle co-préside le Festival du film francophone d’Angoulême aux côtés de Gilles Jacob. En 2017, elle apparaît dans la série Dix pour cent et les films d’animation Le Chat botté et Croc-blanc. Elle continue ensuite dans Un Amour Impossible (2018), Police et Adieu les cons (2020) et Benedetta (2021). Crédit : Pathé Filmographie C'est en 2005 que Virginie Efira a obtenu son premier rôle dans le film Africains poids-moyens de Daniel Cattier. Elle commence alors à se faire connaître... Et en 2010, on lui demande de jouer le rôle d’Angèle dans L’amour c’est mieux à deux, un film d’Arnaud Lemort et de Dominique Farrugia où elle joue aux côtés de Clovis Cornillac et de Manu Payet. Elle décroche ensuite le rôle d’une designer prometteuse en 2010 dans La chance de ma vie de Nicolas Cuche, un film franco-belge où elle joue aux côtés de François-Xavier Demaison. En 2013, elle joue son premier grand rôle dans 20 ans d’écart de David Moreau aux côtés de Pierre Niney. Il s’agit d’une comédie romantique française où elle incarne le rôle d’Alice Lantins, la rédactrice en chef du magazine Rebelle. Virginie Efira décroche ensuite en 2015 le rôle de Violette dans Une famille à louer de Jean Pierre Améris où elle aura l'occasion de donner la réplique à Benoît Poelvoorde. En 2016, elle joue au côté de Jean Dujardin dans Un homme à la hauteur de Laurent Tirard. Dans ce film, elle incarne une brillante avocate qui est tombée sous le charme d’un petit homme de 1,36 m. Elle a également joué le rôle de Rachel dans Un amour impossible de Catherine Corsini en 2018. Récompenses Tout au long de sa carrière, Virginie Efira a remporté de nombreuses distinctions. En 2010, elle a par exemple reçu le prix de la meilleure actrice grâce à La Chance de ma vie. Elle a également reçu le prix du public lors de la cérémonie du Magritte du cinéma en 2012. En 2016, le prix de la meilleure actrice lui revient encore grâce à Victoria. Et en 2020, elle a remporté le Bayard de la meilleure interprétation lors du festival international du film francophone. 2021, une année très chargée pour Virginie Efira Virginie Efira est sans doute l’actrice française qui a le plus marqué l’année 2021. En tout cas, ce qui est sûr c'est qu'elle a eu un planning très chargé ! En juillet, on l’a retrouvé aux côtés de Charlotte Rampling et Daphne Patakia dans Benedetta de Paul Verhoeven. Elle y a joué le rôle "diabolique" d'une nonne lesbienne. Elle jouait également dans le film Lui de Guillaume Canet. En décembre 2021, Virginie Efira était aussi à l’affiche du Film Madeleine Collins d’Antoine Barraud. Et visiblement, la machine "Virginie Efira" n'est vraiment pas prête de s'arrêter car on l'annonce déjà dans le film En attendant Bojangles en 2022 et l'Empire en 2023. A lire également : Tout savoir sur l’actrice Camille Razat Read the full article

[shanahazuki]

CINÉPOLIS SALA DE ARTE PRESENTA LA EXITOSA COMEDIA FRANCESA “¡QUÉ TACAÑO!”

¡Que tacaño!, una #comedia #francesa divertida y entretenida :3 Gracias @saladeartecine

Cinépolis, la cadena cinematográfica líder en la industria del entretenimiento en México y Latinoamérica, siempre llevando contenidos diferentes para sus audiencias, presenta este 14 de julio en su Sala de Arte la película francesa “¡Qué tacaño!”, dirigida por Fred Cavayé.

@shana_hazuki

La comedia de origen francés, trata sobre la vida de un personaje llamado Francois Gautier, quien es un tacaño.…