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#Peuples Autochtones
grandboute · 4 months
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buzznolimit · 1 year
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Les peuples autochtones à Mexico à découvrir sur Buzz No Limit
Plongez dans l’univers captivant de Buzz No Limit et téléchargez une vidéo qui vous fait découvrir la commémoration animée des peuples autochtones à Mexico. Ce site offre une manière simple de rester informé sur les festivals mondialement célèbres à tout moment. En vous inscrivant sur Buzz No Limit, vous ouvrez les portes de son répertoire, vous permettant de profiter à votre gré des contenus…
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Carte des tribus autochtones d’Amérique
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Les ancêtres des Amérindiens actuels sont arrivés en Amérique du Nord il y a environ 15 000 ans. En conséquence, une grande diversité de communautés, de sociétés et de cultures s’est finalement développée sur le continent au fil des millénaires. La population des peuples autochtones des Amériques avant le voyage de Christophe Colomb en 1492 était de 70 millions 562 tribus habitaient le territoire contigu des États-Unis. Les dix plus grandes tribus indiennes d’Amérique du Nord : les Arikara, les Cherokee, les Iroquois, les Pawnee, les Sioux, les Apache, les Esquimaux, les Comanches, les Choctaw, les Cris, les Ojibwa, les Mohawk, les Cheyenne, les Navajo, les Seminole, les Hope, les Shoshone, les Mohican, les Shawnee, les Mi’kmaq, les Paiute, les Wampanoag, les Ho-Chunk, les Chumash, les Haida. La carte donne une perspective des jours heureux les Mayas et des Aztèques ont pris fin bien avant les tribus de l'intérieur des terres d'autres régions, certaines d'entre elles résistant encore presque jusqu'au 20e siècle. À une époque, les peuples autochtones, qui comptaient des millions de personnes, parlaient près de 4 000 langues. La conquête européenne des Amériques, qui a commencé en 1492, s'est terminée par une forte baisse de la population amérindienne à cause des épidémies, des hostilités, du nettoyage ethnique et de l'esclavage. Lors de la fondation des États-Unis, les tribus amérindiennes établies étaient considérées comme des nations semi-indépendantes, car elles vivaient généralement dans des communautés séparées des immigrants blancs.
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culpture de 4,5 m dans le Dakota du Sud Dignité à été réalisée par l'artiste Dale Lamphere pour honorer les femmes de la nation sioux
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ekman · 4 months
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Mais quelle marrade ! La gauche ne s’est pas aussi joliment embrenée depuis longtemps ! Les voyous Kanaks, plus ultra-violents encore que nos vaillants Tchétchènes, nos indomptables Blédars ou nos Blackos machetteurs, bordélisent leur bout de jungle insulaire au nom du pillage consumériste, du crétinisme endémique et de leur incapacité notoire à sauvegarder une identité minée par l’alcool et le RSA. Et pourtant c’est bien au nom de “l’identité des peuples autochtones” que les plus zélés imbéciles de gauche métropolitaine klaxonnent ça et là, d’éditos en plateaux. Au nom de la justice républicaine, le poids du nombre de sales Blancs en Nouvelle-Calédonie ne saurait supplanter la légitime prévalence indigène, fut-elle irrémédiablement minoritaire, fut-elle donc condamnée à être défaite lors de n’importe quel scrutin. Que l’on vienne leur faire remarquer que leur raisonnement s’applique au cas d’une France submergée par le tsunami africain que non, alors là pas du tout, mais non, vous jouez avec les mots, vous comparez l’incomparable. Ah bon ?  Dix poids, cent mesures, voilà leur universalisme de branquignole, pourriture intellectuelle qui chasse sans qu’ils le voient leur sacro-sainte croyance égalitaire, leur rousseauisme de fond de cuvette ! Fatals crétins qu’ils sont ! Oser dire que “les Blancs” – pas des Français, mais des Blancs – ont organisé l’étouffement numéraire des Kanaks par le choix d’un collège électoral favorable ! Mais faut-il être bête pour ne pas immédiatement comprendre qu’ils vendent ici-même la preuve du Grand Remplacement, concept qu’ils vômissent, réalité dénoncée sans cesse et encore par le diable camusien ! La pensée racialiste de la gauche issue de la Révolution, renforcée par un colonialisme civilisateur revendiqué Blanc, assumé raciste cette fois, a toujours été porté par la fleur des grands esprits humanistes – nos grands amis du Triangle magique ! On voit maintenant leurs héritiers patauger dans une mélasse confuse, une posture indéfendable, le preuve de facto de leur incapacité à comprendre le monde et à considérer l’humain dans ses vérités premières. Les pieds pris dans leur propre tapis sale, décoré de vieilles lunes, chamaré de conneries absurdes autant qu’indéfendables, les chantres (mous) du “décolonialisme” et de l’indigénisme tentent de faire oublier leur vieux slogan anti-afrikaaner : “un homme, un vote” ! Ce que c’est drôle, quand on a soi-même, en des temps reculés, défendu contre vents et marées le droit des Africains blancs d’Afrique du Sud à vivre et à cultiver leur identité sur une terre que personne d’autre qu’eux ne pouvait revendiquer !
J.-M. M.
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aurevoirmonty · 4 months
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"Pendant des siècles ils ont presque littéralement bu notre sang. Toute leur activité se tournait vers ce but : asservir la population autochtone, la placer dans un cruel état de dépendance, tout en observant la lettre des lois du pays. Ils savaient toujours être en bons termes avec ceux qui avaient entre leurs mains le sort du peuple et ce n’est pas à eux de se plaindre du peu de droits qu’ils ont s’ils comparent leur situation a celle des populations autochtones. — Même en France, le status in statu n’a pas été inoffensif. Certes, là-bas, ce n’est pas par la faute seule des juifs que le christianisme est tombé si bas : les habitants ont leur forte part de responsabilité ; en tout cas, dans ce pays comme dans d’autres ; la juiverie a remplacé beaucoup des idées naturelles au milieu par des idées juives."
Fiodor Dostoïevski, Journal d'un écrivain (1873-1881)
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STAR WARS ÉPISODE 1 : LA MENACE FANTÔME (1999)
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Le chancelier suprême Valorum envoie le Jedi Qui-Gon Jinn et son apprenti Obi-Wan Kenobi sur le vaisseau de la Fédération qui commande le blocus de la planète Naboo. Ils ont ordre de résoudre rapidement le litige et d'entamer des négociations. Ce qu'ils ne savent pas c'est que Nute Gunray et Sidious ont un autre objectif que la suppression de la taxe commerciale. Des droïdes de combat essaient alors d'éliminer les Jedi, mais sans succès. Les deux chevaliers prennent donc la route du centre de commandement du vaisseau et tentent de mettre la main sur Gunray. Mais les Jedi, dépassés par les forces de l'ennemi, décident de fuir et se cachent dans des transports de troupes. Ils découvrent alors que la Fédération veut en réalité conquérir Naboo.
Une fois sur la planète, Qui-Gon et Obi-Wan font la connaissance d'un autochtone, le Gungan Jar Jar Binks qui a été banni par les siens. Il propose alors à Qui-Gon et Obi-Wan de les mener à Otoh Gunga, la ville subaquatique capitale de son peuple. Là-bas, les Jedi négocient un moyen de transport avec le dirigeant d'Otoh Gunga, Boss Nass. Qui-Gon utilise une manipulation mentale afin de convaincre le dirigeant, qui finit par accepter en leur donnant un vaisseau sous-marin Gungan. Et, en espérant se débarrasser à jamais de Binks, Boss Nass accepte de le laisser partir comme guide aux Jedi.
Le trio s'en va en passant par le noyau de la planète vers Theed, la capitale des humains de Naboo. Arrivés à bon port, les deux Jedi parviennent à libérer la reine des Naboos Padmé Amidala. Ils la convainquent de quitter sa planète envahie pour aider le sénateur Palpatine à plaider sa cause au Sénat galactique sur Coruscant.
Lors de la fuite, leur vaisseau est endommagé et doit se poser d'urgence sur la planète voisine de Tatooine. Alors qu'il est à la recherche de pièces de rechange dans la ville de Mos Espa, Qui-Gon rencontre un jeune humain du nom d'Anakin Skywalker. Il découvre que ce dernier est l'esclave de Watto, le principal ferrailleur de la ville, mais aussi que le garçon est peut-être l'élu d'une ancienne prophétie. Anakin conseille à Qui-Gon de parier avec Watto sur la prochaine course de module qu'il va courir. Watto et le Jedi arrivent à un accord : si Anakin gagne, Qui-Gon remporte les pièces de rechange et Watto garde les gains de la victoire. En cas de défaite, Watto gardera le vaisseau de Qui-Gon. Le matin de la course, le Jedi fait un nouveau pari avec le ferrailleur. Si le jeune coureur gagne, il retrouve sa liberté, s'il perd, son module de course deviendra la propriété de Watto. Après une course acharnée et très disputée, Anakin parvient à remporter la victoire.
Qui-Gon quitte alors Mos Espa avec ses pièces en compagnie d'Anakin dont il veut faire un Jedi. Mais en arrivant au vaisseau, Qui-Gon est attaqué par l'apprenti de Sidious, le Sith Dark Maul. Le Jedi parvient à le repousser pour l’empêcher d'entrer dans le vaisseau. Arrivé sur Coruscant, Qui-Gon fait part au conseil des maîtres Jedi de son agression sur Tatooine. Il leur indique que son opposant pourrait être un Sith. Le maître Jedi Ki-Adi-Mundi a du mal à y croire car les Sith ont disparu depuis fort longtemps. Qui-Gon présente ensuite le jeune Anakin au Conseil, indiquant qu'il semble être l'élu. Ki-Adi-Mundi remarque que le lien d'Anakin avec la Force est titanesque, mais les maîtres Windu et Yoda refusent de le former, pensant qu'il est trop âgé pour se lancer dans une formation de Jedi.
Désormais à l'abri sur Coruscant, la reine Amidala plaide la cause de sa planète au Sénat galactique sans grand succès. Frustrée par la corruption et l'incapacité du Sénat à résoudre le conflit, elle propose une motion de censure à l'encontre du chancelier suprême Valorum. Ce dernier est alors destitué et les sénateurs nomment à sa place Palpatine, qui a profité de la sympathie engendrée par la situation dans laquelle se trouve Naboo. Malgré cette victoire, la reine, qui n'en peut plus d'attendre l'aide du Sénat, décide de repartir sur sa planète accompagnée par Qui-Gon, Obi-Wan et Anakin. Sur place, elle conclut une alliance avec les Gungans de Boss Nass. Elle dévoile alors à ses alliés son plan : les Gungans devront se battre contre toute l'armée de la Fédération pour faire diversion pendant que les pilotes Naboos tenteront de détruire le vaisseau amiral de la Fédération et que la reine essayera de capturer Nute Gunray.
Alors que le plan de la reine Amidala se déroule comme prévu, le seigneur Sith Dark Maul entre à nouveau en scène. Les Jedi Obi-Wan et Qui-Gon décident de l'affronter au sabre laser pour laisser le champ libre à la reine. Quant à Anakin, il se retrouve involontairement aux commandes d'un vaisseau spatial et participe donc à l'attaque contre la flotte de la Fédération. La reine réussit à s'emparer de Nute Gunray tandis qu'Anakin détruit le vaisseau amiral. Tous les droïdes qui s'opposaient aux Gungans se retrouvent alors déconnectés. Mais Obi-Wan et Qui-Gon continuent quant à eux de se battre contre Maul. Après plusieurs minutes de lutte, Obi-Wan se retrouve coincé derrière une barrière énergétique et, impuissant, voit son maître défait et mortellement blessé. La barrière désactivée, Obi-Wan se bat avec rage et finit par vaincre Maul en le tranchant en deux.
Quelque temps plus tard, les maîtres Jedi arrivent sur Naboo pour assister aux funérailles de Qui-Gon, et en profitent pour nommer Obi-Wan au rang de Chevalier Jedi. Pour satisfaire les dernières volontés de Qui-Gon, ils acceptent que le jeune Anakin devienne son apprenti, malgré les mises en garde de Yoda, qui craint un danger dans l'initiation du jeune garçon. Windu confirme ensuite à Yoda que l'assassin de Qui-Gon était bien un Sith. Yoda rappelle alors que les Sith sont toujours deux : un maître et un apprenti. L'un a été tué, mais le survivant reste un danger pour les Jedi et la République.
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editionskelach · 6 months
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La geste d'un tisserand. Une nouvelle édition corrigée et avec deux nouvelles illustrations de Romane Gobillot.
L'épopée d'un continent en proie à la révolte des autochtones contre les colons. Des forces anciennes éveillées qui ont leur propre agenda. Un conseil qui se soucie plus de sa position que de son peuple. Deux jeunes hommes dans la tourmente.
#éditionskelach #Réédition #héroïcfantasy #aventure #roman #magie #démons #révolte #colonisation #Natifs #Orobolan
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a-room-of-my-own · 5 months
Note
Question, pourquoi la France a dit qu’elle n’est pas multiculturelle? Je sais qu’elle est différent que les états-unis mais selon moi elle est multiculturelle aussi. On peut voir, par exemple, les restos kebab et les boucheries halal
Parce que l’immigration extra européenne en France est très récente, elle a commencé au milieu des années 1960, avec une nette accélération ces 25-30 dernières années. Et les divers gouvernements qui se sont succédé ont toujours nié que l’immigration de masse allait provoquer un changement dans la population suffisamment important pour qu’il transforme profondément la société et la rende multiculturelle.
Ce que la population française - qui est un peuple autochtone, souverain, avec sa langue, sa culture, son histoire et ses valeurs - ne souhaitait pas, mais nier la réalité permettait de traiter une majeure partie de la population de paranos xénophobes.
Il n’y a jamais eu de projet de société derrière l’immigration massive, juste un projet économique. Admettre aujourd’hui que la société est devenue multiculturelle revient à admettre que les gouvernements ont tous mentis. Que leur priorité court-termiste était de faire tourner l’économie et qu’ils n’ont jamais mesuré l’impact de leurs propres mesures.
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whencyclopedfr · 10 months
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Guerres Anglo-Powhatans
Les guerres anglo-powhatans furent une série de conflits entre les colons anglais de Virginie et les peuples autochtones de la confédération Powhatan entre 1610 et 1646. La Confédération Powhatan (composée de plus de 30 tribus) était dirigée par le chef Wahunsenacah (c. 1547 - c. 1618) lorsque la colonie de Jamestown en Virginie fut établie par les Anglais en 1607.
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blogapart3bis · 6 months
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Sol-13
Aujourd'hui sur Blog à part – Sol-13 Sur Sol-13, d’anciens terriens se retrouvent esclaves d’un peuple autochtone à la technologie avancée. La Confrérie des Étoiles se retrouve impliquée. #ScienceFiction #BandeDessinee
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lesoreillesouvertes · 6 months
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Dimanche 17 mars, c'est enfin le jour de la St Patrick !
Bon, demain, on n'en parle plus. Mais aujourd'hui à Cincinnati, OH les gens sont habillés en vert, boivent des coups non stop et écoutent de la musique trop fort. Je traverse la foule verte pour ma destination : The Underground Railroad Museum qui par chance était gratuit ce jour.
A part le fait que Nantes soit à peine bien localisé sur la carte, le musée est immense et très intéressant avec aussi un galerie sur l'esclavage moderne et les différentes populations qui le subissent dans le monde. On a encore 23 millions d'esclaves dans le monde si le chiffre a bien été actualisé. Ca fait froid dans le dos. Les sujets sur lesquels je peux porter mon attention en France sont exacerbés ici : la fast fashion avec des travailleurs exploités à l'autre bout du monde pour chaque nouvelle fringue, la quantité de déchets qu'on produit et qui se retrouve à être trié par les plus pauvres, l'alimentation produite en quantité astronomique et par des gens exploités pour revenir peu cher (nourriture qui finira pour une partie à la poubelle)... Ici, c'est indécent et en voyageant, je vois plutôt les endroits et les gens qui font marcher ce système plutôt que ceux qui essaient de le changer. Peut être que le couchsurfing et donc les gens qui le pratiquent ici sont la seule alternative concrète que j'arrive à effleurer.
J'en ai appris plus sur les différents pays européens et comment ils ont profité du trafic d'esclaves. Et aussi, qu'1/3 des esclaves arrivés par bateaux d'Afrique a été emmené au Caraïbes, 1/3 au Brésil et l'autre 1/3 dans tout le reste des amériques. On parle beaucoup de l'esclavage aux USA mais c'est bien tous les peuples autochtones de toutes les Amériques qui ont été décimé et tous ces territoires qui ont été exploités par les européens avec des esclaves africains. Bonus, c'est le Brésil qui a aboli l'esclavage en dernier. J'ai encore beaucoup de sujets à creuser !
Je crois que Cincinnati est une ville sportive puisqu'il y avait 3 stades cote à cote. J'ai traversé l'Ohio River et je me suis retrouvée au Kentucky !!! Alors c'est le milieu du voyage, j'ai une chambre d'hotel pour 2 nuits. Autant vous dire que j'hiberne ! Le lit est tellement marque que seules mes mains dépassent quand je m'allonge dans la largeur et que je tend les bras au dessus de de ma tête ;-)
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heroslitteraires · 1 year
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Une histoire importante.
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Michel Jean.
Kukum. 222 pages.
Libre expression.
Ce roman raconte l’histoire d’Almanda Siméon, une orpheline amoureuse qui va partager la vie des Innus de Pekuakami. Elle apprendra l’existence nomade et la langue, et brisera les barrières imposées aux femmes autochtones. Relaté sur un ton intimiste, le parcours de cette femme exprime l’attachement aux valeurs ancestrales des Innus et le besoin de liberté qu’éprouvent les peuples nomades encore aujourd’hui.
Mon avis :
J’ai aimé ma lecture et de suivre cette femme forte qui apprend beaucoup de chose au courant de sa vie. Elle fait face devant plusieurs épreuves. Un des plus gros est la colonisation, plutôt l’imposition que le gouvernement fait. Imposer aux enfants d’aller dans un pensionnat et être déraciner de leur famille pendant des mois ou voir années. L’imposition de barrage qui les empêche dorénavant d’aller et venir comme ils le veulent sur l’eau. L’imposition de chemin de fer qui passe sur leur terrain lorsqu’elle avait enfin une maison. Courage est un des mots qui me vient en pensant à cette femme du livre. Basé sur des faits réels, ce livre est émouvant.
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basilepesso · 1 year
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Wishful Thinking...
J'ai lu une réponse faite il y a quelques jours chez un ami Fb qui me disait qu'il était "indécent" d'oser parler de calvaire en ce qui concerne les massacres, agressions de masse, viols de masse, etc, que nous vivons depuis dix ans et même depuis avant, car "en Arménie, ils vivent un vrai calvaire".
Je n'ai jamais rien lu de cet ami sur notre calvaire, alors même qu'il est sous pseudo et donc non reconnaissable.
Cet ami ajoutait que nous vivions juste une "transition douloureuse".
Mickaël, ce que tu dis ici ressemble à son concept pourri.
Nous ne sommes pas Madame Irma.
Le peuple français est un peuple aveuli sauf exception.
L'invasion ne s'arrête pas et Manu Mac risque de faire plusieurs mandats supplémentaires. La France, en fait, l'adore.
Les mamies trempent littéralement leur slop devant ce gendre idéal gérontophile. Elles voudraient être Brigitte, fellant le squatteur de l'Elysée, se faisant démonter le cul pendant que des migrants font de même sur des innocentes dans la rue et que leur maître organise cela.
Basile Pesso, 30 septembre 2 023 (Fb)
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"Il y aura remigration
Il y aura rehausse de la natalité autochtone
Il y aura libéralisation de l'économie
Tout le sang versé et les frustrations accumulées vont forger les générations européennes de demain."
(Mickaël Coillot)
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Le Peuple Dinka du Soudan du Sud sont connus comme les légendaires éleveurs de bétail de race Abigar et chasseurs de tigres. Dans leur culture, les jeunes hommes sont intronisés à l'âge adulte, au cours de cette cérémonie, après une épreuve d'initiation, un deuxième nom leur est attribué, puis marqué sur leur front avec un objet pointu. Plusieurs études comparatives de données historiques sur la taille et la nutrition ont placé les Dinkas comme le peuple le plus grand du monde et un peuple d'agriculteurs-pasteurs du Soudan du Sud, vivant dans les régions de Bahr al-Ghazal (bassin du Nil), Jonglei, ainsi qu'au sud du Kordofan et du Nil Supérieur. Les traditions religieuses, ainsi que le style de vie des Dinkas, étaient en opposition avec la campagne d'islamisation des populations autochtones du Sud voulue par le pouvoir central de Khartoum. Tout comme leurs voisins Nuers, les Dinkas entrèrent en rébellion armée avec le régime en 1983. Cette seconde guerre civile soudanaise qui dura 21 ans, fit des milliers de morts. D'autres ont fui et se sont retrouvés par milliers dans des camps de réfugiés au Soudan, ou dans les pays voisins comme le Kenya ou l'Éthiopie.
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Dinka people of South Sudan: the legendary cattle herders race Abigar (and tiger hunters). In Dinka culture, young men are inducted as adults. During this ceremony, after an initiation test, they are given a second name, then marked on their forehead with a sharp object. Several comparative studies of historical data on height and nutrition have placed the Dinkas as the tallest people in the world. The Dinka are an agricultural-pastoralist people of South Sudan, living in the regions of Bahr al-Ghazal (Nile Basin), Jonglei, as well as southern Kordofan and the Upper Nile. The religious traditions, as well as the lifestyle of the Dinkas, were in opposition to the campaign of Islamization of the indigenous populations of the South desired by the central power in Khartoum. Like their Nuer neighbors, the Dinkas entered into armed rebellion with the regime in 1983. This second Sudanese civil war, which lasted 21 years, left thousands of Dinkas dead. Others fled and found themselves by the thousands in refugee camps in Sudan, or in neighboring countries such as Kenya or Ethiopia.
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ekman · 4 months
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La solution est pourtant là, devant leurs yeux, mais la question reste pendante : la Nouvelle-Calédonie française peut-elle redevenir la Kanakie d’il y a trois cents ans, ouverte aux appétits chinois, aux promesses azerbaïdjanaises et aux visées anglo-saxonnes ? Doit-on laisser cet espace et le domaine maritime qui lui est attaché aux mains de prédateurs forts d’arguments et de moyens sérieux pour séduire les bougres alcoolisés, les délinquants armés et autres criminels descendants du peuple premier ? “Non !”, crie-t-on à l’Élysée, même si le marché du nickel s’est esquinté le profil ces derniers temps et que la dernière fiesta son et lumière des autochtones coûtera, une fois encore, quelques centaines de millions aux Français – qui s’en foutent, comme à l’accoutumée.
Comment parvenir à convaincre pacifiquement les Kanaks que les Blancs sont leurs amis de toujours et pour toujours, que la République – mère nourricière autant que bonne fille – leur a apporté l’hygiène, la santé, l’instruction, le développement ou, à défaut, le RSA ? Le problème, nous le savons bien, c’est que ces fausses promesses n’ont produit que des désillusions. D’abord parce qu’il y a une question de logiciel racial contigu aux idées de développement et de civilisation, ensuite parce que les Européens présents sur l’île, qu’ils aient fait souche depuis longtemps ou qu’ils y séjournent depuis peu, captent fort justement la plupart des moyens de développement insulaires et métropolitains. Au final, le tableau local est identique à celui présenté dans l’Hexagone, dès lors que l’on compare les abrutis pullulant en banlieue au reste de la population française ou assimilée. D’un côté, l’illettrisme, l’ultra-violence, la haine du Blanc et de l’autre, une vie organisée, structurée et globalement légaliste. La différence – et Dieu sait qu’elle est considérable – tient à ce que les Caldoches et la plupart des Zoreilles sont armés jusqu’aux dents, du moins le sont-ils autant que les hyènes ivres de colère qui leur font face.
Alors, cette solution si évidente ? Si l’on part du principe que la cohabitation entre les communautés n’est plus possible dans le cadre constitutionnel français, que les Kanaks souhaitent voir disparaître de leur horizon la leucocratie locale et que les Blancs comptent bien rester sur le Caillou, cette solution s’appelle “Gaza”.
Bon sang, mais c’est bien sûr ! Organisons le débarquement de forces armées suffisantes pour nettoyer la partie sud de l’île dans un premier temps, puis ratissons tranquillement le territoire en remontant vers le nord, ce qui provoquera l’exil apocalyptique de l’indigénat. Arrivés à la pointe septentrionnale, les effectifs armés de la métropole compteront les survivants et les inviteront à se regrouper sur l’île d’Ouvéa où ils pourront avantageusement retourner à l’âge de pierre tout en célébrant le culte de la grotte éponyme, haut lieu de la résistance kanaque.
J’en entends qui disent que la France aurait dès lors sur le dos une bonne partie de l’opinion publique mondiale, qui la taxerait de puissance coloniale tyrannique, de dictature anti-humanitaire, d’État racialo-raciste, etc. Certes. Il faudrait alors brandir le joker ultime : la conversion au judaïsme de l’ensemble de l’exécutif, acte volontaire et éclairé qui permettrait dès lors de revendiquer bien des souffrances passées, condition requise pour brandir à la face des détracteurs le spectre de l’antisémitisme. Les médias, même les plus ouvertement hostiles, reprendraient deux fois du gâteau et tout rentrerait dans l’ordre. On ne parlerait plus de “crimes contre l’humanité”, mais tout au plus de “maltraitance animale”. L’ensemble de la classe politique française convertie se réjouirait et la question néo-calédonienne serait résolue sans plus d’atermoiement ni d’à-peu-près.
Shalom, les Kanaks !
J.-M. M.
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aurevoirmonty · 3 months
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« Les vaincus, les damnés de la terre n’intéresseront jamais la gauche, les « républicains » bon teint et autoproclamés, les gens bien comme il faut, s’ils ont le malheur d’être français ou européens de souche. La dépossession des autochtones, l’insécurité qu’ils subissent au quotidien sont des acquis sacrés de la République et des valeurs républicaines proclamées par ces guignols. Les gauchistes préfèrent les capitalistes à la régulation de l’immigration et à la lutte contre l’insécurité. Les macronistes préfèrent l’insurrection antiparlementaire, une imposition folle, la proximité avec des réseaux islamistes, au sursaut du peuple français. J’attends juste de voir la réaction de Bruno le Maire devant sa fiche d’impôts, le jour où il sera mis en tranche. »
Jean Montalte
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