Tumgik
#Peur d'être heureuse
uneessencesensible · 6 months
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Toi, rien que toi.
Malgré mes pensées envahissantes, malgré mon toc récemment décelé, je t'aime comme jamais. D'une force apaisante. Je me vois loin avec toi, même si on me dit de ne pas me projeter a tes côtés. Nous sommes ensemble depuis cinq ans, et j'ai la sensation que c'était hier. Pourtant, nous en avons vécu des choses. Mais nous tenons bon. Je culpabilise vite, mais ça le fera. Je me battrai, car j'y crois. Car je sais ce que je ressens et pourquoi mes pensées sont envahissantes. Je dois accepter d'avoir un toc obsessionnel. Je dois accepter que mon cerveau vrille. Je dois l'accepter pour aller mieux. Déjà, j'en ressens les bienfaits aujourd'hui. J'ai envie de te prendre dans ma bras, maintenant, mais je ne peux le faire devant tout le monde. Je sais que mes angoisses viennent du fait d'avoir peur de te perdre, d'être heureuse avec toi. D'être heureuse tout court. Je sais que ce sont mes attentes qui deviennent pressantes, alors que je sais pertinemment, qu'avec le temps, tout s'améliorera. Je dois être patiente. Je le suis, mais pas tout le temps. Ça va le faire. Je le sais. J'ai compris que ce ne sont que des peurs, et que rien de tout ça n'est réel. Ce n'est pas la première fois que je vis ça. J'ai toujours réussi à tenir tête et à m'en sortir.
Je t'aime, joyeux Noël N'amour.
25.12.23
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clhook · 3 months
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Post très perso je sais pas si je vais le poster ou s'il va rester longtemps parce que je suis gênée de parler de ça mdr mais j'ai besoin de vider mon sac
j'avais un stérilet au cuivre pendant plusieurs années ça a été graduellement de plus en plus affreux au moment des règles pertes super abondantes douleurs insupportables etc mais je voulais pas l'enlever parce que je veux pas prendre d'hormones donc je serrais juste les dents une semaine et demie par mois mais à un moment j'ai commencé aussi à avoir mal en dehors des règles et surtout mal pendant les rapports je suis allée voir le médecin qui a dit que c'était parce qu'il y avait une mycose donc ok je soigne ça mais j'avais toujours mal je suis allée voir un autre médecin pour avoir un deuxième avis j'ai demandé si ça pouvait pas être de l'endométriose je me suis fait remballer ptdr j'ai fini par retourner voir mon médecin traitant qui a vu que mon stérilet était tombé et que c'était ça qui me provoquait les mycoses donc elle l'a enlevé carrément, elle m'en a prescrit un autre mais j'y suis jamais retournée parce que ça m'a un peu traumatisée et je voulais laisser mon corps trkl pendant un moment mais le fait est plusieurs mois plus tard que rien n'a changé, je suis toujours en pls pendant mes règles et je laisse plus mon mec me toucher parce qu'invariablement à chaque fois qu'on essaye je finis en larmes, pas seulement parce que j'ai mal mais parce que je suis déçue et triste et je culpabilise, impossible de mettre un tampon parce que ça me fait souffrir le martyr, et cerise sur le gâteau j'ai hyper envie d'être enceinte et d'avoir un bébé en ce moment et les gens m'en parlent systématiquement quand je parle du mariage c'est hyper dur de dire "haha on verra plus tard" alors que oui je rêve d'un bb mais je suis en combat constant avec mon corps et je suis fatiguée je pleure tout le temps l'autre jour ma collègue était hyper heureuse de me raconter que son fils va avoir un bébé j'ai tenu la conversation mais après je suis allée pleurer dans les toilettes comme une fragile j'ai pris rdv chez le médecin mais j'ai hyper peur d'y aller parce que j'ai peur d'avoir mal pendant l'examen et j'ai peur qu'elle me dise que j'ai rien et que c'est dans ma tête et que je passe le reste de ma vie comme ça ouin ouin ouin
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perduedansmatete · 4 months
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j'arrive plus trop à coucher mes maux à l'écrit, je préfère dire à tout le monde en rigolant que ça n'a jamais été aussi mal mais que ça va quand même, je crois que je prends pas le temps non plus, je suis trop occupée à sortir, voir des gens, faire l'inverse de ce que je devrais faire, boire (trop), m'éteindre le cerveau de toutes les manières possibles et finalement ça marche plutôt bien, j'ai en arrière-fond tout ce dont j'essaie de m'éloigner et toutes les choses auxquelles je ne veux pas penser mais qui s'expriment autrement par crises ou juste dans mes habitudes de vie déplorables de ces derniers mois, j'ai des avertissements qui tournent un peu dans ma tête: tu ne manges pas assez, tu ne bois pas beaucoup tout en buvant trop à la fois, tu ne prends plus trop soin de ton corps, si tu peux éviter une douche tu le fais, tu retombes dans tes tocs de merde quand tu es trop stressée, tu ne dors pas suffisamment, tu prends un peu trop tes médicaments comme doudou pour t'anesthésier et essayer de dormir, ta voix qui te dit que tu ne mérites pas ci ou ça parle un peu trop au lieu de fermer sa gueule et tu l'écoutes trop, tu vis dans une porcherie (quoique, j'ai rangé cette semaine) et pourtant une de mes meilleures amies m'a dit que ça lui faisait plaisir de me voir comme ça, que j'étais bien entourée et que j'avais l'air heureuse, ça me fera toujours rire car ce n'est pas la première fois qu'on me dit ce genre de choses quand j'ai juste l'impression que je suis dans le pire des états possibles, et étonnamment c'est vrai que de ne plus être capable d'être seule me pousse à faire plus de trucs, à revoir des gens que j'aime et à vivre de belles choses mais je sais que ce n'est pas suffisant et que ça ne veut pas dire que je dois continuer d'ignorer tous les trucs auxquels je ne veux pas penser puisque de toute manière bien qu'en arrière-fond j'y pense quand même quand je m'endors seule, qu'on parle de ces sujets là et que je fais comme si tout allait bien ou quand mon corps se paralyse de peur et que j'aimerais me sortir ces merdes de la tête pour pouvoir profiter comme tout le monde de moments qui sont censés me faire du bien et non pas me pourrir l'esprit ad vitam æternam
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theoppositeofadults · 5 months
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il y a 3 semaines, je devais appeler mon grand-père pour lui raconter mes premiers jours dans mon nouveau travail mais je suis sortie le soir et je me suis dit que j'appellerais le lendemain au soir
il est mort le lendemain matin.
c'était mon 3ème jour au travail, dans un nouvel environnement où l'accueil avait été moyen et où j'avais du mal à comprendre mon rôle et trouver ma place, et j'étais à peine arrivée que je préparais déjà mon retour.
je devais me mordre la langue et pincer la main pour éviter de fondre en larmes devant chaque personne qui me parlait (heureusement, peu de monde me parlait!), mais j'ai pu rentrer plusieurs jours (avec 10h de trajet pour revenir en france)
l'enterrement était beau, et j'ai passé 4 jours à pleurer, mais aussi à rire et à partager des souvenirs en famille.
sauf que je suis maintenant rentrée et j'ai encore l'impression d'être à contre-courant.
j'ai ce nouveau boulot où j'avais peur d'être incompétente mais c'est presque pire : je n'ai RIEN à faire. je demande dix fois par jour aux gens s'ils veulent que je les aide parce que le boulot sur ma fiche de poste peut être fait en 5h par semaine
et c'est toujours un environnement un peu bizarre : il y a 50 cliques et les gens sont tous plus âgés que moi. même les stagiaires (certains sont à peine plus âgés). ce qui était déjà le cas dans mon ancien boulot mais là-bas, j'étais relativement junior. maintenant, je suis manager - ce qui fait une dynamique intéressante ( = peu de vie sociale)
donc j'ai tout ce temps libre, que j'essaie de meubler comme je peux - je cuisine beaucoup, je deviens une habituée de ma salle de sport, j'ai tout réorganisé mon appartement,....
mais je m'ENNUIE tellement. et je déteste m'ennuyer parce que c'est du temps où je n'ai rien d'autre à faire que de penser ce qui fait que je pleure 2 fois par jour
bref. j'en suis à un point où je me dis : vite, février.
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VIRTUELLEMENT SENSIBLE...
Le virtuel peut ronger de l’intérieur. Il peut tuer à petit feu...
Sur la toile, on aime, on se « like » mutuellement, on se découvre... On s'aime et on se tue petit à petit... On exprime nos rêves, nos envies, nos angoisses, nos peurs... Mais isolés dans notre sphère réelle, on se retrouve seul !
Pas de réconfort, pas de regard tendre, ni de caresses. Il n'y a que les mots et leurs immenses pouvoirs. Les mots et les maux...
Face à nous mêmes, il n'y a que notre propre reflet dans ce miroir. Usés, fatigués par tant d'épreuves. Je suis las de tant de combats, les cernes se dessinent sur mon visage.
'' Je voudrais, j'aurais aimé '', ce sont des mots que nous écrivons tous. Sur cette toile, nous vidons ce que nous avons sur le cœur. Mais en déversant sur le web nos surplus de sentiments, nous oublions que nous éclaboussons les autres de nos ondes positives, négatives, de notre énergie.
Ces autres, ces « amis » si virtuels qu'ils soient que l'on voudrait rencontrer ou réconforter... Ils n'existent pas dans nos vies, mais ont une place dans nos cœurs... Ils sont là, on ne les réconforte pas comme on le voudrait, mais par la magie de nos échanges, on arrive un petit peu à améliorer leurs quotidiens !
Le désir d'établir des contacts est ancré dans la nature humaine. L'attirance est le fruit de notre chimie interne. Nous produisons des hormones qui créent l'intimité. Nous créons des ponts neuronaux qui relient, d'un cerveau à l'autre, d'un cœur à l'autre. Une fois formés, ces liens ne peuvent être rompus.
Nos cerveaux, nos systèmes nerveux tout entier sont conçus pour que nous tissions des liens profonds et durables... Briser ces connexions peut avoir de terribles conséquences...
Chaque jour, par nos partages, on arrive à dire à l'autre, qu'il soit proche ou qu'il soit loin : « Je suis là ! Et je pense à toi ! » « Ne lâche pas ! Tiens bon, courage, Je t'aime ! »
Mais le virtuel, possède également le pouvoir d'éloigner les cœurs... Un mot de plus, ou peut-être un mot de trop et c'est toute une phrase qui peut être lue dans un autre sens que celui que le cœur voulait exprimer, quiproquos, amalgames...
Tout s'enchaîne, tout doit aller vite, de plus en plus vite, nous ne prenons même plus le temps de vivre, à l'image de cette société aux profonds abîmes, aux valeurs oubliées. Et qui nous a conditionnés à ne plus penser par nous mêmes, qui nous a enseigné à privilégier le fast food émotionnel, l'avoir ayant pris le pas sur l'être, la surconsommation n'ayant d'égale que le paraître...
Alors le cœur triste et gros, le lien même par l'intangibilité du virtuel se brise. On clique sur le fatidique « supprimer » ! Mais même si virtuel qu'il soit, un lien du cœur reste égale à lui-même.
Le cœur n'arrive pas à faire la différence entre le réel et ce qu'il n'est pas. C'est l'aspect basique de l'humain...
Parfois, je sais que je suis perchée haut, que je peux sembler si solitaire ou provenir d'une autre planète. Je suis comme je suis, pragmatique, entière, authentique, unique et sincère.
Quand j'écris, je n'ai pas cette censure qui provient très souvent de la peur de ce que peuvent penser les autres. Mes mots sont « brut de cœur », sans artifice... Sans arrière pensée.
Mes mots ne sont que des mots qui proviennent du fond du cœur, avec une authenticité et une entièreté sans égales. Je sais que nous sommes loin, que peut-être, nous ne nous connaîtrons jamais.
Cependant si tu lis ces quelques mots amis Tumblr..MeWe..Facebook ou ami « liker »... Sache que je pense à toi... Que j'essaye à chaque instant d'avoir le cœur comme une jolie fleur, de m'ouvrir à ce monde si froid et à la fois si envoûtant mais il y a des moments qui me rappellent que je ne suis qu'une femme faite de chair et de sang, aussi imparfaite soit-elle.
Je ne suis pas parfaite, je n'aspire pas à le devenir, loin de là... Et heureusement !!!
Le virtuel ne dispense pas d'être vrai et authentique. Du virtuel... Au réel, Quand les mots touchent, au delà des touches...  
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valentine1994 · 4 months
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Je suis du genre à tout garder en moi jusqu'à ce que ça explose, mais quand ça explose ça peut être n'importe où, comme hier dans le métro. Je me suis mise à pleurer de désespoir sans vraiment savoir pourquoi, mon corps tout entier a eu besoin de tout lâcher, là comme comme ça à 11h30. Heureusement que j'avais volé 30 serviettes en papier en m'achetant un sandwich plus tôt au café de la fac, j'essayais de sécher les larmes dès qu'elles sortaient mais c'était sans compter les petit sanglots, comme si toute la douleur du monde sortait de moi, là, sur la ligne rouge du métro. Et puis il y avait une maman qui faisait des petits câlins à son bébé à côté de moi et ça a pas rendu les choses plus facile. Ça fait 3 ans maintenant et je me demande parfois comment ça se serait passé pour moi. Au début j'ai eu peur d'être en train de faire quelque chose de mal, il faut être un minimum pudique dans le métro. Mais en Suède les gens se calculent pas, ou c'est peut-être le fait de vivre dans une capitale.
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les-portes-du-sud · 5 months
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Je n'ai pas besoin de tarder, je peux me préparer rapidement...
Tout est sur la même liste - voici un pull, des billets, un sac à dos...
La vie est trop courte pour la gâcher en vain
Et avoir peur de rêver... mieux vaut tomber dans les abysses d'un rêve que de rien...
Je n'ai plus peur des trahisons, des mensonges ou des tunnels,
Ceux qui n'ont jamais su aimer s'effondrent en eux...
Je crois aux neiges qui ont fondu au coeur d'avril
Et ils ont pu donner de l'eau au sol gelé...
Je n'ai pas un seul gramme de pièces contrefaites à mon nom,
Seulement la foi, l'amour et l'espoir d'une fin heureuse...
Les arbres du destin ont des kilomètres de branches cassées
Et les vents du printemps, et la gare privée enfumée...
Pardonne-moi d'être pressée... Je ne veux pas être en retard et rester
Au-delà du seuil de l'amour, maudissant les routes du retour...
Je n'ai pas besoin de tarder, je peux me préparer rapidement...
Tout est sur la même liste - voici un pull, des billets, un sac à dos...
Elena G.
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aurevoirmonty · 3 months
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Ils sont épuisants ceux qui, pour justifier ou encourager l'envoi de troupes françaises, européennes ou occidentales sur le front ukrainien pour s'y battre contre l'armée russe, traitent de lâches ceux qui s'en inquiètent en leur répondant : «Heureusement que les Américains n'ont pas été lâches comme vous pendant la Seconde guerre mondiale et qu'ils sont venus nous aider», comme si cette comparaison avait la moindre valeur.
Quand les Américains entrent en guerre contre l'Allemagne, l'Allemagne n'a pas 6 000 ogives nucléaires dans son arsenal. Point, fin de la démonstration.
L'introduction de l'arme nucléaire dans l'équation change la donne par définition et c'est même principalement à cela qu'elle sert : elle change la donne, elle modifie la façon de faire de la guerre, elle modifie notre approche de la guerre, en somme elle change tout.
Il est ridicule d'essayer de calquer des modèles qui avaient leur validité avant l'introduction de l'arme nucléaire sur des situations où les deux puissances qui se regardent en chien de faïence disposent chacune d'un armement capable de pulvériser la planète et la rendre inhabitable pendant 1 million d'années.
Personnellement, je ne suis pas d'accord pour miser aussi gros seulement pour donner satisfaction à quelques tocards macronistes, journalistes et influenceurs qui se prennent pour de grands historiens alors qu'ils ont passé plus de temps à jouer à Call of Duty sur console qu'à faire du sport ou apprendre à tenir un fusil à plomb.
En réalité, ceux qui veulent cette guerre suicidaire ou qui acceptent de prendre des risques déments susceptibles de nous y pousser doivent représenter objectivement 0.001% de la population. Les autres, ceux qui n'osent pas trop sortir la tête du trou, sont surtout paralysés par la peur sociale de passer pour des «pro-Poutine» à cause de l'exceptionnelle et délirante campagne médiatique d'intimidation menée par les 0.001% en question.
Ce qui vient d'être dit ne retire rien au courage et à la bravoure des soldats américains tombés sur le front européen pendant la Seconde guerre mondiale, et ne prétend pas que le peuple ukrainien mérite ce qui lui arrive ni que Poutine a raison.
Nous autres, Français, avons désormais le président le plus cinglé de la coalition occidentale, celui qui manifeste les pulsions guerrières les plus violentes et les plus agressives, celui qui, par ses excès, permet le plus efficacement d'entrevoir de dangereuses perspectives d'escalade. Et nous savons qu'il ne le fait pas dans l'intérêt de la France mais pour satisfaire son besoin pathologique d'être au centre des attentions.
Chose étonnante : au début de la guerre russo-ukrainienne il était le moins cinglé de la bande, celui qui voulait continuer à parler avec Poutine et qui multipliait les initiatives diplomatiques. Que s'est-il passé dans la coulisse pour que l'agneau se transforme en ogre ?
Jonathan Sturel
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reveusedelanuit · 1 year
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Mon amour,
Pour cette nouvelle année, je te fais lire une de mes lettres.
T'avoir dans ma vie ces derniers mois a fait de moi la femme la plus heureuse et comblée au monde. Tu me rends meilleure chaque jour. Tu m'apprends ce que c'est d'être aimé et tu m'apprends à t'aimer. Et les dieux savent bien que ce n'est pas toujours chose facile pour moi. J'ai tellement d'amour à te donner que parfois ça me fait mal de ne pas pouvoir tout te céder d'un coup. Alors à tes côtés, j'apprends doucement à te cajoler, à t'épauler, à te soutenir, à te donner mon amour de jour en jour, lentement mais sûrement. Du premier jour où nos lèvres se sont touchées à aujourd'hui je t'ai aimé de plus en plus, te découvrant au fil des heures. En ta compagnie tout va bien. Je peux être moi même sans crainte de me faire juger. Je peux te montrer mes faiblesses sans avoir peur que tu t'en serviras contre moi. Je te fais entièrement confiance et s'est effrayant par moment de me dire que je me donne corps et âme à toi.
Jamais je n'ai aimé quelqu'un comme je t'aime toi. Et j'aurais beau le répéter 1000 fois, il ne voudras jamais dire autant que ce que je ressens pour toi. Ce qu'on a est exceptionnel et je remercierai tous les jours la vie de t'avoir mis sur ma route. Je mourais de te chercher et je revis de t'avoir trouvé.
Mon amour, la vie à tes côtés est douce. Et je sais ce que je veux pour 2023 et les nombreuses années à venir. Je souhaite partager ma vie avec toi aussi longtemps qu'on nous le permet. Pour toujours mon amour.
Je suis éperdument et follement amoureuse de toi.
Je t'aime,
Ta douce.
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chifourmi · 1 year
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Je vais faire un énorme coup de gueule parce que ça a besoin de sortir.
C'est du foutage de gueule mes potes qui me reprochent de ne pas faire assez de choses avec elles puis quand je propose elles disent non et ne prennent pas la peine de trouver une autre date qui pourrait toutes nous arranger. En plus après je les vois sortir partout et tout le temps. Je veux bien que j'ai pas été ultra présente mais ça me saoule qu'elles ne se demandent pas pourquoi. Je sais qu'être mal n'excuse pas tout mais parfois t'as juste plus la force de te battre pour quoi que ce soit et j'ai l'impression qu'elles ne s'en rendent pas compte parce qu'elles ne l'ont pas vécu ou en tout cas pas de la même manière. J'essaye de me racheter mais c'est impossible si elles ne font pas d'efforts de leur côté non plus. Tout me prend tellement d'énergie depuis 3 ans et j'ai pas envie que ça aussi ça m'en prenne.
Peut-être que les gens en ont marre que je sois pas bien et je comprends parce que je suis la première à en avoir ras le cul. Plus le temps passe, plus ça empire. Le truc c'est que tant que je n'aurai pas fini mes fichues études, je n'arriverai pas à être bien. Parce que là-bas je me sens importante pour personne, je me sens super seule. Au début, je ne me rendais pas compte que ça me pesait autant mais le fait de ne pas avoir de potes me fait me sentir comme une vraie merde. J'arrête pas de me remettre en question et au final ça me rend encore plus insupportable parce que j'ai plus aucune confiance en moi, je doute tout le temps, j'ai encore plus peur de mal faire les choses et de blesser. C'est vraiment un cercle vicieux parce que ce comportement fait fuir tout le monde.
Puis mon frère n'arrête pas de me dire "mais on s'en fout de se faire des potes, c'est pas si important, tu peux faire tes études sans en avoir". Sauf que moi j'arrive pas à faire ça. Mon rêve c'était de vivre la vie typique d'étudiants, de sortir, d'étudier avec mes potes, que quelqu'un m'envoie un message pour me demander si je suis déjà là et où on se retrouve, que quelqu'un me garde une place en auditoire,... Fin des trucs normaux quoi. Et j'ai même pas réussi à construire ça. D'ailleurs au début c'était ma grosse peur, le fait que j'arrive plus tard que tout le monde, et une pote du lycée m'avait dit "mais t'inquiète tu te feras des potes naturellement". Cette phrase tourne en boucle dans ma tête parce que c'est pas ce qui s'est passé mdr.
Et j'arrête pas de dire que les gens sont insupportables mais au fond j'ai juste la haine parce que j'ai l'impression que tout le monde s'en fout de moi. Avant le covid, j'étais tellement l'opposée de ce que je suis. J'adorais les gens et je leur faisais savoir. Je leur donnais d'ailleurs beaucoup plus d'amour que je n'en recevais. Mais j'étais tellement heureuse, je prenais tellement soin de moi, (carrément je refaisais mes ongles dès que le vernis s'enlevait un peu, oui oui ça veut tout dire parce que maintenant j'ai même plus l'énergie de juste faire ça), j'arrêtais pas de rire, j'étais tellement reconnaissante pour tout ce que j'avais. Cette fille là me manque tellement. Mais ce qui me donne un peu espoir c'est que je sais que je l'ai toujours en moi, quelque part.
Par contre ce qui me fait peur c'est que j'attends beaucoup trop impatiemment la fin de mes études mais une fois que ce sera enfin fini, qu'est ce que je vais faire? J'ai beaucoup trop d'attentes par rapport à ce nouveau commencement. J'ai trop peur d'être déçue.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas fait de post de ce genre. J'ai bien chialé, ça soulage tellement.
(06/05/2023)
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auda-isarn · 1 year
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Parfois quelques femmes ressentent ces choses là :
- " C'est très fatiguant émotionnellement, c'est éreintant vraiment, autant pour soi que pour les autres. Ce sentir exclue, une torture emotionelle, l'impression de ne pas être comprise et que l'on m'invalide, le vide, être parano, avoir peur quand on répond pas à mes messages, c'est que l'on m'aime pas. Naviguer entre trop d'émotions au point de me noyer, et le vide complet. Extrêmement fatiguant car je suis incapable de gérer mes émotions et mes crises. Très compliqué dans les relations amoureuses, l'autre doit être très compréhensif. "
- " Ça risque d'être un peu long. Parfois j'ai l'impression d'être sur un fil entre deux immeubles, l'un avec des gens normaux, et l'autre avec des gens dis fous, et d'être coincée au milieu des deux, d'avoir une place nul part et de ne jamais être stable sur le fil, toujours à marcher d'un côté ou de l'autre, et en particulier quand je sent que je vais péter un câble sans raison pour les gens dis normaux. "
- " Ne pas s'attacher par peur de l'abandon, mais ne pas pouvoir vivre seul par peur d'être soit même. C'est très difficile. Instabilité, auto agressivité, obsession, auto destruction. La solitude constante, ce faire oublier pour n'être qu'invisible, épuisant, difficile de vivre avec et d'expliquer que les émotions ne sont pas des caprices. "
- " Le sentiment d'incompréhension, l'impression d'évoluer puis régresser lors d'une émotion très intense. De mon point de vu imprévisibilité, contradiction et dépendance affective. L'impression d'un vide permanent, une peur de l'abandon qui déclenche des crises de larmes. "
- " Vivre en ayant l'impression de ne pas avoir de peaux et être à vif tout le temps. Avoir un rapport de détestation de soi très critique, développer de la dépendance affective, mauvaise perception des choses incompris de moi même, en constant changement, ce sentir déphasé de la réalité, ne pas ce reconnaître, ne pas avoir l'impression d'exister. Être borderline c'est compliqué, on ressent parfois des sentiments extrêmes sans vraiment comprendre. Un simple compromis pour des gens peut-être une véritable trahison pour moi, je remets tout en cause, j'ai peur. "
- " C'est très dur de construire une amitié stable, je dépends beaucoup de mes amis perso, et encore plus de mon mec, je lui demande souvent si il va pas m'abandonner. Heureusement il est compréhensif. "
- " L'impression que tout nous échappe constamment et que seul la colère et la possessivité nous permettent de le garder près de nous. C'est ressentir une fatigue émotionnelle constante parce que l'on ressent tout trop fort. Une vie faite de montagnes russes emotionelles, à la limite du changement de personnalité parfois ".
- " Un ennuie chronique et des périodes de dépressions régulières avec des pensées et idées noires. Avoir l'impression que tout ce que l'on ressent est illégitime. D'un autre côté sa rend notre vie émotionnelle riche et intense. "
- " J'ai l'impression d'être la marionnette de mes émotions, trouver le juste milieu est impossible. C'est difficile à vivre pour nos proches. Mais je pense que nous sommes des personnes émotionellement fortes. On est à la merci de ce qui ce passe dans nos têtes, et on a aucun contrôle dessus. Extrême, excès, opposés, prisonnière de moi même, j'ai du mal à poser des mots sur ce que je ressens tellement les émotions sont fortes. Et j'ai l'impression que les mots ne suffisent pas pour décrire ce que je ressens. Le blanc et le noire. Le blanc ou le noir. Envies suicidaires, auto mutilation.
- " L'impression d'être une personne toxique, toutes mes relations sociales sont biens trop compliquées. Souffrances, douleurs, c'est marcher continuellement sur une corde qui risque à tout moment de craquer. Des émotions tellement prenantes, l'impression que personne ne nous mérite. Être dans le mal, puis joyeuse, puis dans le mal. Épuisant . C'est une sorte de combats quotidien entre deux âmes, une qui veut que l'on ce dépasse, et l'autre qui veut te tirer vers le bas. La peur que l'on nous aime pas, difficile de rester dans le neutre. Mais c'est aussi voir la beauté dans tous. "
- " Culpabiliser d'être comme on est, avoir peur d'être vu comme une personne toxique. Le vide, cette phase que l'abandon a cré�� et que personne n'arrivent à remplir. Si il ce passe un petit truc ça prend des proportions énormes. Je ressens vraiment les choses comme ça et personne ne le comprends. "
- " J'ai peur de moi même, je me déteste, j'ai peur de prendre de mauvaises décisions. C'est compliqué tout nous dépasse. "
Voici différents témoignages de personnes qui connaissent des difficultés familiales, des comportements bordeline, ou des dépressions.
En cette journée de la femme, il ne faut pas oublier les femmes atteintes par celà. Et j'ai juste un petit message pour vous : Vous êtes magnifiques. Naturelles et sincères.
Vous n'êtes pas folles, toxiques, fades, vous êtes attirantes, et vous n'êtes pas particulières.
Croyez en vous, vous êtes fortes.
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uneessencesensible · 8 months
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N°1889 – Vendredi 15 juillet 2022
Bae,
En ce jour spéciale, je voulais te souhaiter un joyeux anniversaire, mais pas que. Je tenais à te dire à quel point je suis heureuse d'être à tes côtés et de pouvoir partager un bout de chemin, aussi loin soit-il. J'ai conscience que mes craintes, qui n'appartiennent qu'à moi, ne sont pas fondées et que je peux avoir une totale confiance en toi. Je suis navrée si cela te cause du tort, ce n'est pas le but. Ce n'est pas toujours contrôlable, mais avec ma dernière séance de thérapie, j'ai compris beaucoup de choses. Je ferai les efforts qu'il faut pour que cela ne se reproduise plus. Je tenais aussi à te dire que je suis fière de l'homme que tu deviens. Je doute que tu t'en rendes compte, mais tu arrives à t'ouvrir, notamment envers moi et à te faire confiance dans notre couple. Puis, il y a tant de choses qui se sont transformées en toi. En bien évidemment. Tu comptes beaucoup pour moi et je ferai toujours en sorte que notre couple tienne aussi longtemps qu'il n'a déjà tenu, de te rendre heureux. J'espère que c'est toujours le cas. Je te remercie d'être toujours présent, dans la mesure du possible, d'être comme tu es. Tu ne le sais pas, mais ton caractère m'apporte beaucoup pour me forger et essayer de casser ses peurs qui m'empêchent, parfois, d'être complètement libre.
Ne prends pas la grosse tête quand même, tu as quand même un caractère d'un ours dans sa tanière par moment.
Sache que je t'aime comme tu es.
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perduedansmatete · 8 days
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beaucoup de choses à dire mais je ne sais pas comment les écrire, ça fait longtemps que je n'ai pas été si bien même si ce n'est qu'une passade elle est si agréable que j'ai l'impression d'être à strasbourg à défaut d'y avoir été avec toute ma famille ce week-end (strasbourg = impression que rien n'est réel et que je suis la plus heureuse) je me sens vide et remplie après avoir passée la semaine avec Y, on a fait un pacte en crachant dans nos mains avant de les serrer et j'ai promis de ne plus jamais lui mentir, il m'a dit qu'il me comprenait mieux et qu'il fallait qu'on essaie de faire plus de choses ensemble, ce qu'on a fait ce week-end notamment quand je l’ai ramené chez mes copains de montreuil puis même avant quand ça n'allait pas avec la tonne de concerts auxquels on est allés ensemble en un temps si réduit mais avant ça j'ai cru qu'on ne se parlerait plus jamais, on s'était beaucoup eu au téléphone pour essayer de se comprendre mais on ne se comprenait pas peut-être car moi-même je n'y arrivais pas, ça m'avait mis dans tous mes états pendant bien quinze jours et lui aussi de son côté, c’était tellement la crise que la semaine dernière chez la psy je n’ai pas dit je ne sais pas de quoi parler comme les autres séances j’ai directement embrayé sur ça puis on a parlé de ma peur du conflit, de celle de blesser et quand la séance s’est finie elle m’a dit qu’elle était frustrée car c’était passé super vite et qu’elle voulait en savoir plus, en tout cas je vais continuer mes efforts qui n’en sont pas tant que ça quand on aime quelqu’un puis continuer d’essayer de mieux comprendre puis d’abandonner mes comportements d’adaptation qui ne m’aident plus du tout dans la vie la vraie la vie d’adulte… bref je suis toute seule dans mon lit ça fait longtemps et je préférerais être avec lui
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pensees-noires · 9 months
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09/10/23
Coucou tumblr.
Encore un week-end où je n'ai fait que manger. Au moment où je t'écris je suis entourée de tous les déchets de ce que j'ai mangé aujourd'hui.
En fait j'ai compris, je ne serai jamais cette fille qui est "naturellement belle". Je ne serai jamais cette fille qu'on prend en photo sans prévenir et qui sera belle. Je ne ressemblerai pas à ces filles d'Instagram qui ont l'air irréelles mais qui existent pourtant bel et bien. Moi aussi j'aimerais qu'on pense de moi que je suis irréelle tellement je suis belle. Mais je ne suis qu'une fille perdue entre ses 16 et 21 ans qui combat toujours les mêmes choses. Je déteste voir des vidéos et photos de moi d'avant. Je déteste voir comment j'étais et je me déteste de ne pas avoir vu que j'étais fine parce que maintenant je suis vraiment grosse et je me déteste tous les jours. Je me sens tellement pas à l'aise dans ce corps. Je veux même pas en parler I. parce que je sais que c'est pas simple pour lui et que ça doit être impossible de gérer ça. J'ai eu tellement honte quand il m'a montré le beurre parce qu'il pensait que c'était mes colocs qui l'avaient mangé mais non, c'était moi. Quand il est parti l'autre jour je me suis goinfrée sur tout ce que je voyais. Des tranches de salami, chips, miel et ce fameux beurre. Evidemment je ne le lui ai pas dit parce que j'ai trop honte. Et je sais que ces discours sont bienveillants et ils me font généralement du bien mais ça fait mal d'entendre un "il faut diminuer tes doses, tu manges peut-être encore un peu trop" (et je sais de quoi ça peut avoir l'air mais il le dit avec toute la bienveillance du monde). Pourtant j'ai l'impression de pas manger beaucoup quand je fais pas de bêtises. Peut-être que si j'avais pas arrêté de me faire vomir depuis aout, je serais fine maintenant.
J'ai passé mon week-end à manger et à chercher des médicaments forts pour maigrir mais ils coutaient tous si chers. J'en ai marre d'avoir mal au ventre à cause de mon pantalon. J'en ai marre tumblr. Je fais que pleurer parce que ce combat me consomme trop d'énergie. Parfois j'ai l'impression que je vais enfin guérir de ce trouble de merde mais la seconde d'après je me retrouve à dévaliser le placard. Je souffre tellement de tout ça. Je le réalise moi-même pas. J'ai tellement peur de prendre encore plus de poids, de devoir encore acheter un pantalon une taille au dessus. Ca fait un an que j'essaye de perdre du poids sainement et j'ai eu des rechutes, j'ai perdu un peu puis encore des rechutes et finalement, même si j'ai perdu un peu de poids depuis 2 mois, j'en ai quand même repris depuis 1 an donc au final ça revient à 0 voir même -5.
Pourquoi je peux pas être comme toutes ces filles fines? Je demande juste ça. Pourquoi je galère autant. Même les vidéos des filles qui ont perdu plein de poids en 1 an ne me motive plus. Je les admire mais je me sens si mal parce que les vidéos que j'avais faite de moi pour ensuite montrer mon évolution sont tellement ridicules parce que tout ce que j'ai fait c'est prendre du poids. J'étais plus fine sur ces putains de vidéo alors que j'étais censée faire une suite où j'étais plus fine!!!!! Si je finissais ces vidéos je passerai juste de fine à grosse et c'est honteux. Je l'ai jamais dit à personne mais c'est tellement de honte ça. Et je voudrais pouvoir accepter ce poids en plus et me sentir belle et m'assumer mais je me DEGOUTE.
Je suis tellement fatiguée d'être ce que je suis. J'en peux plus de voir ce ventre rond. Je veux plus le voir. Je veux retomber dans cette spirale à me faire du mal, à me faire vomir, à rien manger et c'est tout. J'étais pas heureuse mais j'étais mince. Je veux de nouveau avoir cet écart entre mes cuisses, rentrer mon ventre et voir mes côtes.
Je veux plus de ce corps.
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Franchement, j'ai peur de le perdre un jour.. c'est dur d'être là depuis des années avec quelqu'un qui a une maladie mentale.. je resterai une fidèle amie à tout jamais. Mais c'est dur. Oui c'est dur. Je m'inquiète sans cesse. J'analyse tout. Même son bonheur, c'est compliqué d'être heureuse pour lui car c'est trop haut, ce n'est pas la réalité. J'ai peur sans cesse. Peur quand il est triste qu'il fasse une connerie et encore plus quand il est invincible.. et comment lui dire que j'ai peur ? Comment le retenir sur tout ça ? Comment dire à quelqu'un fais attention tu es trop heureux ? Merde, ce n'est pas normal de dire ça a un ami. Pourtant ce n'est que la réalité. Être trop heureux, trop puissant provoque trop de mise en danger. J'ai peur qu'il tombe sur des mauvaises personnes, peur de ces conduites à risque et de comment ça peut se finir. Alors oui, il est heureux. J'en suis contente car c'est dur de le voir pleurer et en même temps je sais qu'à tout moment, tout partira en live.. je l'aime et je tiens à lui. Et j'aurai peur pour lui pour toujours.
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justeunlama · 10 months
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J'ai envie d'espace
De grands espaces
De respirer a plein poumons
De vivre, de vivre pour moi
Pas pour les autres ni a travers les autres juste pour moi . Arrêter de faire plaisir aux autres pour que eux soient bien et se sentent bien et dans leur confort... Parceque moi je ne le suis pas.
Jamais a ma place, toujours une impression de devoir gratter pour tout, de ne pas être légitime, légitime de rien par moment je me demande sur ma légitimité de vie... ça c'est plus quand tout va mal ou que tout semble sans issue.. (heureusement)
De me reconnecter à moi, mon être, ma version de moi que j'ai laissé erré longtemps, beaucoup trop longtemps.
J'ai envie de m'écouter, de continuer a m'écouter et de faire ce dont j'ai envie, d'arrêter de me limiter, de m'auto saboter par peur du nouveau, de l'inconnu, du changement...
Arrêter d'être ce lion en cage, qui continue a s'enfermer et ne vit pas entièrement pour lui. Je veux pouvoir prendre mes décisions bonnes ou moins bonne pour moi.
J'ai envie de vivre mes émotions, de la plus simple a la plus décuplé, complexe, et de toutes les vivre, pas uniquement l'angoisse,le stress,la peur... J'en ai marre de vivre ces émotions
Je veux vivre avec plus de joie,de bonheur, de paix, je veux rire encore plus, être détendu arrêter de me soucier de problèmes qui m'encombre l'esprit, qui me retiennent dans mes carcans sombres et sans oxygène.
J'aimerais pouvoir dire ce que je ressens aux gens et ne pas avoir peur d'une quelconque réponse négative, ou réaction négative de leur part.
J'ai envie d'être un peu plus moi même d'oser plus, de dire plus, d'avoir moins peur :du monde,des gens, de mes proches, de moi.
Certes y a un beau chemin qui a déjà été fait à beaucoup de point de vu mais je sens que je peux et que parfois je retrouve mes anciens partenaires de route beaucoup trop facilement, ou qu'ils le guettent et sont prêt à resurgir a n'importe quel moment.
Malgré le fait que je sois quelqu'un de plutôt posé, calme, zen ... Beaucoup de choses me font peur, beaucoup. Derrière ce sourire se cache très souvent une personne perdue qui avance dans l'obscurité a taton, ne sachant ou aller.. sensible voir trop sensible, a fleur de peau, écorché mais en cours de cicatrisation.
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