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#Technologies d'Information et de Communication ( TIC )
academypediafr · 2 years
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Découvrez la Démo du LMS ATutor et Maîtrisez son Installation sur Ubuntu avec Webmin
  Qu'est-ce qu'ATutor LMS ?   Les écoles, les organisations à but non lucratif et les entreprises peuvent bénéficier d'un système de gestion de l'apprentissage qui peut aider à encadrer les membres du personnel, guider les [...] https://is.gd/Pzz7Cp
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#business #communication #data #education #ict #information #intelligence #technology - Created by David Donisa from Academypedia.info
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tosante · 5 months
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Plus de 300 éditeurs visent le référencement au catalogue de Mon espace santé (DNS)
PARIS (TICsanté) - Exactement 303 éditeurs sont "inscrits dans la démarche et engagés à rejoindre le catalogue de services de Mon espace santé", a fait savoir la délégation au numérique en santé (DNS) par communiqué à la mi-mars.
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emilieteparle · 3 years
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SÉANCE #14 - Le numérique pour tous au 21e siècle : un mythe ?
Les médias numériques peuvent sembler accessibles et exploitables pour tous. Pourtant, on remarque que certains groupes de la société sont exclus en ce qui concerne les technologies de l'information et des communications.
On peut parler de fracture numérique pour certains groupes de la société vivant de l'exclusion par rapport aux médias numériques. Entre autres, les personnes âgées représentent un des groupes qui rencontre ce problème par rapport à l'environnement numérique. En effet, les aînés peuvent se sentir dépassés par les appareils qui sont en place. De plus, les motifs d'utilisation des TICs sont différents pour cette génération. Par exemple, leur besoin de s'exposer sur les réseaux n'est pas présent comparativement à la génération actuelle. Ainsi, des incompréhensions font surface par ce groupe exclu quant aux activités faites sur ces plateformes. Il est donc difficile pour ce dernier d'utiliser les médias numériques sans faire face à des problèmes techniques et de participer socialement sans avoir à aller contre ses propres valeurs. Un autre groupe qui se trouve discriminé par les médias numériques concerne les personnes en situation d'handicap physique. Entre autres, l'accessibilité est désuète pour ce groupe. La manipulation des appareils peut être plus complexe et peu de formations spécialisées pour améliorer l'utilisation des technologies sont offertes et admissibles. La consommation d'information et le pouvoir de communiquer ne sont pas adéquats. L'inégalité est présente à ce sujet.
Des recherches effectuées en 2010 ont prouvé que, pour contrer l'exclusion sociale des personnes en situation d'handicap physique, l'utilisation des TICs est un moyen envisageable. En effet, utiliser Internet leur permettrait d'entrer plus facilement en contact avec les personnes ayant des intérêts communs. Pourtant, il est ironique que la solution proposée représente, en grande partie, le problème lui-même. En peu d'années seulement, l'univers médiatique a fait preuve de plusieurs progrès et d'innovation. Toutefois, il est difficile de parler de progrès numérique tandis que certains appareils restent inutilisables pour certains groupes. Étant donné que l'information est aujourd'hui grandement accessible grâce aux TICs, il est nécessaire que tous puissent accéder à ce bien.
En bref, l'accès aux TICs ne devrait pas être limité à qui que ce soit, compte tenu de l'évolution rapide et constante de ces plateformes. De ce fait, il serait aussi pertinent de s'intéresser aux groupes privilégiés qui peuvent utiliser les TICs dès leur plus jeune âge, à savoir quels sont les bénéfices et les conséquences de cette activité.
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wikimemoires · 4 years
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Les NTIC et la gestion des ressources humaines GRH
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Faculté des sciences Juridiques Économiques et Sociales Sciences Economiques et gestion Mémoire de la Licence en Sciences Economiques et gestion Sous le thème
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NTIC et GRH Nouvelles technologies de l’information et de la communication et la gestion des ressources humaines Encadré par : Mr. le chef de département des sciences économiques: Mohamed Zouhri Préparé par : B. najoua  &   B. abdelhafid  &  E. karim Annee universitaire: 2005/2006 SOMMAIRE Les nouvelles technologies d'information et de communication et gestion des ressources humaines . Partie I: NTIC dans la GRH CHAPITRE I: NTIC S1: L'explosion des possibilités de communication médiatisé dans le monde contemporain. §1: La numérisation des informations et multimédia et l'interactivités §2: Les Réseaux:   Les réseaux Numérés Le Réseau Internet. S2: Le monde communicationnel des technologies de la communication §1: Le monde vertuel §2: Le dialogue à l'aide des machine à communique. A- Dialogue avec l'ordinateur S3: Problématique liée aux nouvelles technologies de loi de communication §1:L'imaginaire des technologies de la communication §2: Le mediologie S4:NTIC et le Développement. §1: une innovation fondamentale §2: la fracture numérique §3: une opportunité pour PED §4: de nombreuses initiatives internationales pour réduire la fracture    §1:  formation à distance universitaire: une initiative anglo-saxonne? §2: le choc des modèles pédagogiques §3: A l'heur des technologies S2: sur le terrain de la formation en ligne §1: Le soutien aux apprenants §2: Le soutien aux tuteurs S3: Le contenu du numéro spécial CHAPITRE II : Nouvelles technologies de recrutement Introduction S1: Les entreprises doivent-elles réapprendre à recruter? S2: Nouvelles stratégies de GRH des entreprises S3: Les nouveaux critères de recrutement Partie III: L'impact des nouvelles technologies sur la gestion des ressources humaines. Introduction 1-Le système d'information Ressources Humaines 1-1-Les caractéristiques du SIRH 1-2-Les attentes part apport au SIRH 2-Qulles NTIC pour quelle GRH? 2-1 - Les nouvelles technologies dont dispose la fonction RH 2-2-Comment les entreprises utilisent les NTIC intègrent- elles ces technologies dans leurs pratiques de GRH? Conclusion Introduction générale : Les technologies d'information et communication "TIC" ou les Nouvelles technologies d'information et communication "NTIC" désignent généralement ce qui est relative à l'informatique connecté à l'Internet. La notion de NTIC présente deux caractéristiques typiques des notions nouvellement formulées, elle est , d'une part , fréquemment utilisée  au sein des débats contemporaines; elle nage, d'autre part, dans un flou sémantique exemplaire. Il semble donc nécessaire de relier la notion à un ensemble de structure matérielles, de localiser l'origine de la diffusion de ces structures dans le temps et dans l'espace géographique  et de délimiter  le phénomène de l'espace virtuel que ces structures rendent possibles. Les technologies de l'information et de la communication et la gestion des ressources humaines entretiennent des relations ambiguës. Les nouvelles technologies informatiques rendent possible un management des ressources humaines anticipateur, flexible qualitatif et personnalisé dont les acteurs sont non seulement le DRH mais tout la hiérarchie, voire chaque salaire.   Sommaire : L’explosion des possibilités de communication médiatisée NTIC – Réseaux Le monde Communicationnel des technologies de communication Problématique liées aux nouvelles technologie de l’information et communication Les NTIC et le Développement Introduction sur NTIC et GRH, NTIC dans GRH Une reformulation du lien entre TIC, GRH et création de valeur L’impact des NTIC sur la maitrise des finalités stratégiques de la GRH Technologies et formation universitaire à distance Nouvelles technologies de formation: Le soutien aux apprenants et tuteurs Nouvelles technologies de recrutement: l’e-recrutement Les stratégies de gestion des RH des entreprises Les nouveaux critères de recrutement L’impact de NTIC sur la GRH: Le système d’Information RH Quelles NTIC pour quelle GRH? Les NTIC et la GRH   Read the full article
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azveille · 6 years
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Santé et numérique: un marché "en plein essor" au sein du pôle Cap Digital
Dans une interview accordée à TICpharma en amont du festival Futur.e.s, qui se tient du 21 au 23 juin à la grande halle de la Villette à Paris, Christelle Ayache, responsable santé/bien-être du pôle de compétitivité francilien Cap Digital, revient sur les évolutions d'un marché de l'e-santé "en plein essor" au sein du pôle, malgré un modèle économique encore instable.
TICpharma.com: Comment le pôle de compétitivité Cap Digital suit-il le développement des entreprises du numérique dans le secteur de la santé?
Christelle Ayache: Cap Digital réunit aujourd'hui plus de 1.000 membres, principalement TPE/PME et start-up, mais aussi plusieurs grands groupes et laboratoires de recherche, auxquels nous apportons un soutien à l'innovation et aux projets de R&D, un accompagnement à l'accélération pour concevoir un produit et pénétrer de nouveaux marchés, et un appui dans la transformation numérique. Fin 2009, nous avons contribué au lancement du groupe "TIC & Santé", en lien avec les pôles de compétitivité Systematic et Medicen Paris Region. Aujourd'hui, le secteur santé rassemble environ 200 entreprises adhérentes de Cap Digital, dont plus de 75% de start-up et PME. C'est un marché en plein essor avec actuellement près d'un nouvel adhérent sur quatre qui se positionne sur ce segment.
Quels sont les domaines dans lesquels ces entreprises développent de nouveaux produits et services?
C.A.: On peut distinguer quatre "sous-marchés", qui regroupent la plupart de nos membres actifs dans le secteur de la santé: le développement d'applications web et mobiles et d'objets connectés de santé, la réalité virtuelle et la simulation numérique pour l'éducation et la formation des professionnels de santé, le secteur de la robotique de service avec l'arrivée des robots compagnons, et les entreprises spécialisées dans le traitement des données de santé. Parmi ces dernières, on peut faire la distinction entre les acteurs qui assurent la collecte et l'analyse de données, comme OpenHealth, et ceux qui développent des algorithmes à partir de ces données, comme la start-up Dreem, qui a conçu un outil d'analyse des électro-encéphalogrammes (EEG) faisant appel à l'intelligence artificielle (IA) pour aider à améliorer la qualité du sommeil. Au total, ce marché de la collecte et de l'analyse des données de santé est celui qui rassemble le plus d'acteurs, avec environ 90 entreprises adhérentes de Cap Digital concernées.
"Le marché de l'e-santé se cherche encore"
Cap Digital a publié au mois de mai une nouvelle "cartographie de tendances" du numérique pour l'année 2018/2019. Quelles évolutions avez-vous constaté sur le secteur de la santé?
C.A.: Les grands enjeux actuels autour de la transformation numérique de la santé portent sur l'amélioration du parcours de soin du patient, avec une communication facilitée entre différents professionnels impliqués dans la prise en charge, et sur la prévention des maladies et l'éducation à la santé. Si les initiatives sont de plus en plus nombreuses sur ces thèmes, on constate que le marché de l'e-santé se cherche encore et peine à se structurer. Beaucoup d'acteurs n'ont pas encore trouvé de modèle économique viable, avec toujours les mêmes freins qui reviennent, notamment du point de vue réglementaire.
Comment le modèle économique de l'e-santé s'est-il construit depuis 10 ans?
C.A.: Au départ, les acteurs misaient sur la sécurité sociale et sur le remboursement de leurs produits, mais ils ont rapidement compris que cela prendrait du temps. Les premiers produits de la santé connectée relevaient davantage du bien-être et s'adressaient directement au grand public. On a d'ailleurs pu connaître à cette période une forme de "buzz négatif", avec des objets connectés dans tous les sens, de la fourchette à la brosse à dent, dont la fiabilité et l'utilité médicale n'étaient pas encore démontrées dans le cadre d'études cliniques. Aujourd'hui, le marché a mûri, les technologies se sont améliorées, et les acteurs s'appuient principalement sur un modèle B2B2C, passant par des mutuelles ou des structures de santé pour faire parvenir leurs innovations aux patients. On voit aussi que la réglementation évolue et qu'elle rend davantage possible de trouver un modèle économique. On peut notamment citer le financement de droit commun de certains actes de télémédecine acté dans la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2018.
Quels sont les freins à surmonter pour structurer la filière du numérique en santé?
C.A.: Un des principaux défis réside dans la multiplicité d'acteurs impliqués et dans la diversité des systèmes d'information de santé existants, qui rend nécessaire l'adoption de standards dans les échanges de données. L'une des clés de réussite réside donc dans la capacité à rassembler tous les acteurs concernés autour du développement d'un outil, pour s'assurer que les usages suivent et que le service réponde à un besoin. En tant que pôle de compétitivité, nous pensons que Cap Digital a un rôle à jouer en tant que tiers de confiance pour faire le lien entre différents acteurs publics et privés, du domaine des technologies ou de la médecine. Nous fonctionnons beaucoup en réseau, et c'est un bon moyen d'évaluer rapidement l'intérêt de certaines innovations et de voir si d'autres initiatives du même type existent pour mieux inscrire un projet dans un écosystème.
Comment analysez-vous la stratégie des grands groupes de santé qui déploient des partenariats avec les start-up et entreprises innovantes?
C.A: Les grands groupes ont un rôle très important à jouer pour repérer et diffuser les innovations. C'est vrai qu'il y a eu une certaine mode de "l'open innovation", où chaque semaine un grand groupe de santé annonçait la création de son propre lab, accélérateur ou incubateur de start-up. C'est utile pour fédérer et apporter une dynamique à la filière, mais il faut faire attention à ce que ces initiatives ne relèvent pas uniquement de la communication. Les programmes d'open innovation ont un rôle à jouer si les grands groupes créent réellement les conditions de leur réussite, à savoir la mise en place de financements, l'adoption d'un langage, d'une culture commune de l'innovation et d'un calendrier qui colle avec les temporalités des start-up, ainsi que la mise à disposition de terrains d'expérimentation pour ne pas développer d'outils hors sol. Dans la santé, il est particulièrement important d'associer des professionnels de santé et des patients, pour tester l'efficacité d'une innovation, voir si les usages prennent et corriger au besoin.
"Les start-up qui se tournent vers des investisseurs privés font face à une certaine frilosité"
Quid des capacités de financement des jeunes entreprises de la santé connectée en France?
C.A.: Au bout de huit ans en tant que responsable du pôle santé/bien-être de Cap Digital, j'ai observé à peu près partout les mêmes problématiques, aussi bien sur le plan du financement public que privé. Au départ, c'est un peu l'Eldorado, avec beaucoup de programmes de financement publics consacrés aux jeunes structures, mais au bout de trois à quatre ans, lorsqu'il s'agit de pré-industrialiser ou d'industrialiser l'activité, il n'y a quasiment plus d'aides publiques. Les acteurs qui se tournent vers des investisseurs privés font alors face à une certaine frilosité, d'autant plus forte que le marché ne s'est pas encore trouvé un modèle stable.
Faut-il craindre une fuite des start-up françaises de l'e-santé à l'étranger, du fait d'un marché français trop étroit ou trop réglementé?
C.A.:Peu d'entreprises françaises du secteur ont réussi à prendre leur envol à l'international. Sur les 160 jeunes pousses qui adhèrent à l'association France eHealth Tech, seulement deux ont des locaux à l'étranger. Tout comme il faut démystifier l'idée que les grands groupes sont forcément des prédateurs pour les start-up, je pense qu'il faut arrêter de penser qu'un départ pour l'international est synonyme d'échec pour la France. Il peut s'avérer intéressant de se développer dans d'autres pays avant d'attaquer le marché français, et peut-être que l'e-santé pourrait être plus dynamique en France si nos start-up étaient aussi présentes à l'international. C'est pour cette raison que Cap Digital travaille à la visibilité des acteurs français par-delà nos frontières.
Votre "cartographie des tendances" cite parmi les technologies en vogue l'IA, la réalité virtuelle et augmentée, et les assistants conversationnels ("chatbots"). Quelle a été selon vous la plus grande révélation technologique cette année pour la santé?
C.A: Incontestablement, l'ensemble des technologies d'IA ont marqué cette année, avec un potentiel très fort dans le domaine de la santé. On s'inscrit de plus en plus dans une approche d'IA "as a service", c’est-à-dire dans la mise à disposition d'outils d'IA "sur étagère", ce qui permet leur démocratisation. Il n'y a plus besoin d'avoir les meilleurs ingénieurs ou data scientist du monde pour construire un outil faisant appel à l'IA. Par exemple, il y a 15 ans, on ne savait pas proposer de dispositif clé en main pour faire du traitement automatique du langage, comme c'est le cas aujourd'hui.
Le festival Futur.e.s (ex-Futur en Seine) a ouvert ses portes dans un format renouvelé le 21 juin à la grande halle de la Villette: quelle place occupe la santé dans cet évènement?
C.A: Vendredi 22 juin à partir de 15 heures, les visiteurs de Futur.e.s pourront assister aux pitchs de six entreprises de la santé connectée, à qui nous avons demandé de présenter leur vision du marché à horizon 2028. Nous avons également organisé un parcours spécifique sur la thématique "Réécrire le vivant", avec des démonstrations d'innovations comme MyReve, un dispositif médical en réalité virtuelle pour lutter contre les phobies, ou le chatbotMemoquest de Calmedica pour le suivi des patients opérés. La santé sera aussi présente au sein des conférences, des masterclasses et des labs organisés pendant les trois jours du festival. Elle sera représentée parmi les 16 prototypes d'innovation de rupture exposés à Futur.e.s dans le domaine de l'IA et de la robotique et développés par des jeunes pousses accompagnées par Cap Digital dans le cadre d'un programme financé par la région Ile-de-France (voir encadré ci-dessous).
Trois innovations de rupture dans le domaine de la santé à découvrir au festival Futur.e.s.
Fin 2017, la région Ile-de-France, en association avec Cap Digital, a dévoilé les 16 lauréats de son appel à projets "Innov'u proto" (1,4 million d'euros), destiné à aider des entreprises franciliennes à élaborer des prototypes technologiques. Trois des lauréats, actifs dans le domaine de la santé, seront présents au festival Futur.e.s. Il s'agit de:
Curve Control, un prototype de cathéter intelligent, évolutif et modulable développé par la start-up BaseCamp Vascular. Il entend répondre à la problématique de l'installation des cathéters par un dispositif innovant améliorant la navigation vasculaire quelle que soit la complexité des anatomies.
Le projet Makia, développé par la start-up Iktos, qui vise à accélérer les processus de recherche pharmaceutique grâce à un algorithme de deep learning (apprentissage profond) scannant une base de données de plus de 86 millions de molécules pour trouver la structure moléculaire idéale afin de déclencher un mécanisme biologique.
Le logiciel VisioCyt, conçu par la start-up VitaDX International, qui analyse des échantillons numériques de tissus par fluorescence et fait appel à l'intelligence artificielle (IA) pour une détection précoce des cellules tumorales impliquées dans le cancer de la vessie.
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cgcunilever · 8 years
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ACTUALITES SYNDICALES UNILEVER MARS 2017
La CGC est toujours là pour vous informer (sinon qui le ferait ?) et vous défendre.
QUELLE EST L'ACTUALITE SYNDICALE ?
 En attendant de vous parler des négociations en cours et des élections professionnelles, une fois n’est pas coutume, ce n’est pas d’Unilever que l’on va vous parler mais de l’impact de certaines mesures liées à la loi travail et la position de la CFE/CGC au niveau national.
  Droit à la déconnexion, forfait-jours, Compte personnel d’activité, médecine du travail, accords d’entreprise, licenciements économiques, garantie jeunes, bulletin de paie dématérialisé… Focus sur quelques-uns des nouveaux dispositifs de la loi Travail entrés en vigueur. 
Adoptée en force l'été dernier au Parlement, la loi Travail, rejetée par une majorité de Français et d’organisations syndicales dont la CFE-CGC, entre progressivement en application au gré de la publication des décrets (plus d'une centaine).
 Droit à la déconnexion
Entré en vigueur le 1er janvier, le droit à la déconnexion garantit aux salariés le respect de leurs temps de repos durant lesquels ils n’ont pas à être contactés dans un cadre professionnel.
L’idée est d’empêcher que les technologies de l’information et de la communication (TIC) ne permettent à l’activité professionnelle d’empiéter sur le temps de repos des salariés. C’est ainsi protéger la santé des salariés de plus en plus sollicités en dehors de leur temps et lieu de travail.
C’est lors de la négociation annuelle sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et la qualité de vie au travail (loi Rebsamen d’août 2015) que seront négociées les modalités d'exercice du droit à déconnexion dans l’entreprise. Faute d’accord, l’employeur doit élaborer une charte.
Rappelons que le phénomène insidieux d’hyper connexion (inflation d’e-mails le soir et le week-end, appels sur les téléphones professionnels pendant les vacances...) touche particulièrement les cadres. La CFE-CGC prône un partage équilibré entre les temps de vie personnelle et professionnelle, et défend la nécessité de former les salariés, l’encadrement et les membres de la direction à un usage pertinent des smartphones, ordinateurs, tablettes etc.
Rappelons également qu’un salarié qui décide de se déconnecter complètement de ses outils professionnels durant son temps de repos ne peut être sanctionné ou licencié.
 Forfait-jours
La CFE-CGC milite depuis des années pour que le l��gislateur comble les lacunes et sécurise (santé et sécurité au travail, conciliation des temps de vie, rémunération minimum, représentation du personnel…) un dispositif créé dans les années 2000 et qui concerne aujourd’hui 1,5 million de salariés dont près de 50 % des cadres. Force est de constater que la loi Travail (qui n’a pas modifié la définition des salariés éligibles au forfait-jour, dont la mise en œuvre nécessite l’existence d’un accord collectif), n’offre toujours pas les garanties nécessaires...  En matière de santé et sécurité, l’unique garantie nouvelle est l’obligation pour l’employeur de s’assurer régulièrement que la charge de travail est raisonnable et permet une bonne répartition dans le temps du travail. S’agissant de la rémunération des salariés en forfait-jours, la loi s’est contentée de maintenir la possibilité pour les salariés de saisir le juge pour contester un salaire sans rapport avec les sujétions imposées.
La CFE-CGC réaffirme notamment la nécessité :
- d’une maîtrise de la charge de travail des salariés en forfait-jours pour permettre notamment le respect de leur temps de repos et de leur vie personnelle ;
- d’une charge de travail adaptée au temps de travail des salariés à temps partiel ;
 Compte personnel d’activité
Applicable depuis le 12 janvier, le CPA, portefeuille de comptes individuels (formation, prévention de la pénibilité et engagement citoyen), doit permettre de sécuriser les parcours professionnels et se veut un outil au service de la formation des personnes. Trop peu ambitieux pour la CFE-CGC, le dispositif a toutefois vocation à s’enrichir progressivement. La CFE-CGC préconise notamment la création d’un compte épargne-temps inclus dans le Compte personnel d’activité.
 Médecine du travail
Depuis le 1er janvier, la visite médicale d'embauche est remplacée par une "visite d'information et de prévention" et ne sera plus forcément menée par un médecin du travail, celle-ci pouvant dorénavant être réalisée par un infirmier ou un interne... La CFE-CGC dénonce vivement cette réforme, arguant du fait que les salariés en risque de burn-out sont en déni de leur situation. Si un médecin ne tire pas pour eux la sonnette d'alarme, ils courent le risque de tomber en épuisement professionnel. Pour la CFE-CGC, qui se bat inlassablement pour que le burn-out soit reconnu comme maladie professionnelle, seul un médecin peut faire ce diagnostic !
 Licenciements économiques 
Parmi les dispositifs les plus contestés de la loi Travail, l'article 67 entré en vigueur le 1er décembre dernier a modifié la définition du licenciement économique, intégrant désormais la réorganisation nécessaire à la sauvegarde de la compétitivité de l’entreprise comme un élément justifiant des suppressions d’emploi. Idem pour les entreprises qui enregistrent une baisse de leurs ventes ou de leurs commandes pendant une certaine période définie selon leur taille :  1 trimestre pour les entreprises de moins de 11 salariés, 2 trimestres consécutifs pour celles de moins de 50 salariés, 3 trimestres consécutifs pour les entreprises de moins de 300 salariés et 4 trimestres consécutifs pour celles de plus de 300 salariés.
 Accords d’entreprise
L'article 21 a modifié les conditions de validité des accords d’entreprise et prépare la généralisation de l’accord collectif majoritaire. Jusqu’alors, un accord devait, pour être validé, être signé par une ou plusieurs organisations syndicales représentatives ayant recueilli 30 % aux élections professionnelles sans opposition majoritaire (50 %). Dorénavant, la validité d’un accord va exiger une majorité (plus de 50 %) des voix obtenues par les organisations syndicales représentatives assises à la table de négociation. Pour prévenir tout risque de blocage de la négociation collective, le législateur prévoit qu’en cas d’absence de majorité, les organisations syndicales signataires de l’accord, si elles représentent 30 % d’engagement, peuvent recourir à une consultation/référendum des salariés pour obtenir une majorité absolue. Pour la CFE-CGC, le risque de banalisation du référendum est dangereux. En effet, comment croire en l’efficacité d’un système qui permet à des syndicats représentant plus de 50 % des voix aux élections et refusant de signer un accord, d’être contournés par un référendum sollicité par les syndicats minoritaires ? L’entrée en application de l’accord majoritaire, effective depuis le 1er janvier, va se faire par étape selon le thème de l’accord (temps de travail, repos, congés…). De fait, plusieurs règles de validité des accords collectifs vont donc cohabiter d’ici la généralisation prévue au 1er septembre 2019. Notons que les accords de maintien dans l’emploi sont exclus du système et gardent leurs règles spécifiques de validité (au moins 50 %, sans consultation des salariés).
 Garantie jeunes
Dédié aux 16-25 ans en situation de précarité, le dispositif, expérimenté depuis 2013 et désormais généralisé, permet un accompagnement renforcé des jeune vers l'emploi pendant un an, avec une allocation mensuelle pouvant aller jusqu'à 471 euros.
 Bulletin de paie dématérialisé 
Depuis le 1er janvier, les employeurs peuvent communiquer les fiches de paie par voie électronique, sauf si le salarié s'y oppose.
    Vous êtes employé, agent de maîtrise ou cadre et vous souhaitez vous impliquer dans la vie de l’entreprise et la défense des salariés, rejoigniez nous et n’hésitez pas à contacter le délégué syndical central CFE/CGC, Stéphane Vittecoq.
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tosante · 10 months
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tosante · 11 months
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tosante · 11 months
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Aésio Santé étend son dispositif de télémédecine en Ehpad à la cardiologie
Les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) du groupe mutualiste Aésio Santé étendent l'utilisation de leur dispositif de télémédecine à la cardiologie pour "permettre aux personnes âgées de bénéficier d'une expertise en cardiologie tout en évitant de se déplacer", ont-ils expliqué dans un communiqué diffusé fin septembre.
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tosante · 1 year
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Les modalités d’application de la prescription électronique précisées (projet de décret)
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tosante · 1 year
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L'outil de datavisualisation Visuchir pourrait se décliner en médecine ou en cancérologie
PARIS (TICsanté) - L'outil de datavisualisation Visuchir, développé par la Caisse nationale de l'assurance maladie (Cnam) et l'Agence technique de l'information sur l'hospitalisation (ATIH), pourrait se décliner dans les activités de médecine ou de cancérologie, a rapporté le Dr Gilles Bontemps, directeur de mission à la Cnam, le 24 mai, lors d'une présentation au salon Santexpo.
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tosante · 1 year
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Le Dr Jacques Lucas démissionne de la présidence de l'ANS sur fond de "divergences" avec la DNS
PARIS (TICsanté) - Le Dr Jacques Lucas, nommé président de l'Agence du numérique en santé (ANS) à l'automne 2019, a présenté sa démission mi-mai, invoquant des "divergences d'appréciations sur la fonction de président de l'agence" avec la délégation au numérique en santé (DNS) qui pilote l'ANS, a-t-il expliqué le 23 mai, interrogé par TICsanté.
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tosante · 2 years
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academypediafr · 3 years
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23 Plugins WordPress Incontournables Pour Mieux Gérer Vos Publicités
Combien d’heures , de jours , de mois avez-vous passé sur votre blog , dans l’espoir d’en augmenter le trafic ? Combien de forums avez-vous visité ? combien d’articles avez-vous lu ? combien de conseils avez-vous écouté , dans l’espoir d’optimiser votre blog WordPress ? Le tem [...] https://is.gd/Uh4zjC
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tosante · 2 years
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Un programme complet de télémédecine, comprenant plusieurs volets (téléconsultations, outils d'aide à l'autocontrôle, nutrition, médicaments et prévention de la dépression) s'est montré plus efficace pour réduire le taux d'hémoglobine glyquée, qu'un suivi classique de télémédecine, dans un essai randomisé dont les résultats ont été rapportés dans JAMA Internal Medicine publié fin juillet.
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tosante · 2 years
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PARIS (TICsanté) - Alors que l'entrée en vigueur du remboursement de droit commun des actes de télésurveillance n'a pas pu avoir lieu comme prévu au 1er juillet faute de parution des textes d'application, une "prise en charge de transition" entre le programme de financement expérimental Etapes et le droit commun "sera assurée", a affirmé la direction générale de l'offre de soins (DGOS) à TICsanté le 27 juillet.
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