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#Vincent Girardin
winenoodle · 4 months
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Domaine Vincent Girardin, Pommard Les Rugiens 1er Cru 1999
Ruby. It’s a bouquet of scale, where iodine, forest floor, beef stock, and an inky blackberry fruit set the bouquet in motion. The palate is solid, grounded, lasts fully, and has a thread of Rugiens iron along its path. The finish is dusted in sage and cobalt. Now – 2030.
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chateau-aemkei · 2 years
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Rising star ,PVG.Price jump as well.
Ppl I know said "But vincent girardin prob. won't rise."
But I guess it's rising as well.
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helshades · 3 years
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Merci Hel ! Ça me rassure d'avoir ton analyse linguistique. Parfois (de plus en plus souvent), je suis assez soucieuse de la teneur et du vocabulaire des articles de presse (et assimilés) présents dans nos médias nationaux !
Je suis bien contente de t’avoir assistée dans ta Quête linguistique et toute prête à commisérer sur l’air de « c’était mieux avant ». D’accord, la presse de masse n’a pas toujours fait dans la dentelle (!!) et ce depuis ses débuts, mais je suis sincèrement perturbée de voir tant d’articles publiés dans de grands titres réputés écrits comme une rédaction de lycéen sous hakik (pensée émue pour Marcel Colucci)...
Je te copie in extenso, vu qu’il est court mais réservé aux abonnés, l’article du Diplo de ce mois consacré, justement, aux mutations récentes de la presse écrite, c’est saisissant autant que démoralisant :
Vendre de la discorde plutôt qu’informer
Un journalisme de guerres culturelles
(par Serge Halimi & Pierre Rimbert)
Le juste milieu ne rapporte plus. Hier assise sur la manne publicitaire, la presse modérée recherchait une audience de masse et la cajolait en simulant l’objectivité. La recette change. Désormais, les médias prospèrent en alimentant les guerres culturelles auprès de publics polarisés et mobilisés. Pour le meilleur ou pour le pire. Et sous le regard vigilant, parfois sectaire, de leur propre lectorat.
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Il rachète à tour de bras médias et éditeurs (Vivendi, Editis, Prisma), convoite Europe 1, taille dans les effectifs et les dépenses, encourage un journalisme de racolage destiné à l’extrême droite (CNews), fait régner la terreur dans les rédactions — et menace de poursuivre en justice Le Monde diplomatique, qui enquête sur ses activités en Afrique : s’il fallait personnifier les nuisances du capitalisme médiatique, le nom de Vincent Bolloré s’imposerait d’emblée.
Abondamment commentée dans la presse, la brutalité du milliardaire breton ne fournit pourtant pas le meilleur indicateur du mouvement qui bouscule le paysage journalistique des années 2020. Car la force montante ne se trouve ni dans l’infographie des propriétaires (1), ni dans le Bottin des annonceurs. Elle se devine dans l’empressement des directions éditoriales à s’excuser quand un article déplaît à leurs lecteurs. Ce nouveau pilier de l’économie de la presse fut longtemps considéré comme la cinquième roue du carrosse médiatique : les abonnés. Leur influence croissante fait résonner au cœur des rédactions les clameurs et les clivages de nos sociétés. Cette irruption ne concerne pour le moment qu’une poignée de titres. Mais elle traduit un mouvement de fond.
Certes, l’appropriation privée rebat toujours les cartes du grand Monopoly de la communication. Mais elle a cessé de bouleverser un secteur depuis longtemps soumis à sa logique marchande. Et à son corset managérial : alors que les écrans dévorent toujours plus avidement le temps et les conversations, les forces qui produisent l’information se raréfient. En France, le nombre de journalistes s’effrite à un rythme modéré (— 6 % entre 2008 et 2019), mais l’effectif a chuté de près d’un quart aux États-Unis. Cette moyenne masque une disparité : les rédactions américaines ont supprimé 36 000 emplois dans la presse écrite tandis qu’elles créaient 10 000 postes dans les médias non imprimés (2).
Longtemps prophétisé, le régime d’information à deux vitesses — riche pour les riches, pauvre pour les pauvres — s’installe sous nos yeux. Il réverbère la géographie des inégalités éducatives et culturelles. Moins agile à se déployer en ligne compte tenu de l’âge et des habitudes de son lectorat, la presse locale s’appauvrit, se concentre ou, comme aux États-Unis, s’éteint : plus de 2 100 quotidiens et hebdomadaires y ont disparu depuis 2004, soit un quart du total, bien souvent remplacés par un réseau de sites partisans dont l’allure journalistique, la maquette classique et la couverture territoriale servent de paravent à la diffusion d’articles de complaisance financés par des intérêts liés aux partis politiques (3). La survie de la presse locale reposait sur la publicité et les petites annonces, deux ressources englouties par Facebook et Google, qui, eux, ne produisent pas d’informations mais pillent celles des journaux qu’ils ont préalablement privés d’annonceurs.
Proportionnel au nombre de paires d’yeux tombées sur la réclame imprimée, le prix de la publicité obéit à une tout autre règle sur Internet, où la qualité du ciblage remplace la quantité de public touché. Or, dans ce domaine, nul ne surclasse les prédateurs de la Silicon Valley. Leur concurrence force la presse généraliste à vendre ses espaces numériques à prix sacrifiés : de l’an 2000 (quand Google crée sa régie) à 2018, ses recettes publicitaires ont été divisées par trois (4). La pandémie leur porte le coup de grâce. Au deuxième trimestre 2020, la mise à l’arrêt de l’économie a sabré 20 % des revenus procurés par les annonceurs du Monde (5) — et 44 % au New York Times (6 août 2020).
Ci-gît le modèle du « double marché » inventé en 1836 par Émile de Girardin qui, d’un côté, alléchait le chaland par un faible prix de vente et, de l’autre, vendait le lectorat aux marchands souhaitant placer leur réclame. Cette économie impliquait une double dépendance : aux annonceurs quand tout allait bien ; aux actionnaires, sollicités pour remettre au pot, en période de vaches maigres. Elle connaît son âge d’or dans les années 1960 et 1970, puis, sur un mode plus frénétique, lors de la « bulle Internet » qui éclata en 2000 : dans les couloirs de Libération, un quotidien alors gavé de publicité, les dirigeants éditoriaux gloussaient qu’ils pourraient désormais se dispenser des ventes. Les journaux dits « gratuits » concrétiseront en 2002 cette stratégie de génie — avant de disparaître dans le trou noir de l’économie numérique.
Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, la prééminence de la ressource publicitaire avait transformé la vision du monde social renvoyée aux lecteurs : « La couverture du monde du travail a diminué et changé d’orientation, passant de la puissance des syndicats en tant qu’institutions aux désagréments que les grèves imposaient aux consommateurs », observe Nicholas Lemann, professeur de journalisme à l’université de Columbia (6). L’ère de la réclame avait coïncidé avec une élévation sensible du salaire, du statut et du niveau de diplôme des salariés de la presse. Elle se clôt dans un climat de précarité des producteurs d’information, de discrédit des médias, de défiance radicale entre les classes populaires et les couches intellectuelles. « Pour la toute première fois, moins de la moitié des Américains font confiance aux médias traditionnels », s’épouvante en janvier dernier une société de conseil (7). L’élection surprise de M. Donald Trump en 2016 aura dissipé aux yeux des lecteurs du New York Times le mirage d’une société de marché pacifiée par les vertus de l’éducation et de la communication. Un nouveau modèle émerge, mieux ajusté à l’anémie publicitaire et aux réalités d’une société fracturée : celui de médias hyperpartisans, de masse ou de niche, financés lorsqu’ils relèvent de l’écrit par une solide base d’abonnés.
L’abonné : « Temps futurs ! Vision sublime ! » Les médias sont hors de l’abîme… Hier jugé hors d’atteinte et hors du coup par les génies d’Internet, convaincus que l’information en ligne serait gratuite ou ne serait pas, ce souscripteur fidèle fait quinze ans plus tard l’objet de toutes les convoitises. Des chaînes payantes, plates-formes de diffusion vidéo et audio ont démontré que, à l’époque de la gratuité et du piratage généralisés, les utilisateurs restent disposés à payer un service spécifique pourvu qu’on ne le trouve pas ailleurs.
Au jeu de la conversion de l’audience gratuite en lecteurs payants, seuls les journaux les plus puissants et les plus spécialisés triomphent. Pour ceux nés à l’époque de l’imprimerie, la réussite économique passe par le sacrifice progressif du papier et de ses coûts d’impression et de distribution. Le Monde compte 360 000 abonnés numériques au début de cette année et vise le million en 2025, pour seulement 100 000 abonnés papier. De son côté, après une décennie de numérisation à marche forcée, le New York Times a plastronné : « Pour la première fois, les recettes des abonnés au numérique dépassent celles des abonnés au papier » (5 novembre 2020). À cette date, 4,7 millions de souscripteurs sur écrans rapportaient à peine plus que les 831 000 abonnés à l’édition imprimée : le salut économique impose donc un recrutement numérique tous azimuts. Dans un raccourci saisissant de notre époque, des fabricants de papier journal, comme Norske Skog, reconvertissent leurs machines afin de produire du carton d’emballage pour Amazon (8)…
« Avant Internet, le New York Times, comme tous les journaux, se contentait de servir ses maîtres publicitaires. Aujourd’hui, en l’absence d’autres formes de revenus — subventions gouvernementales, fondations à but non lucratif —, c’est le lecteur qui décide si une publication vit ou meurt, résume Ross Barkan, journaliste et militant de l’aile gauche du Parti démocrate. Et cela confère au public un pouvoir nouveau (9). » À première vue, la bascule marque un bond vers l’indépendance : les abonnés ne réclament-ils pas la meilleure information possible là où les annonceurs n’exigent qu’un temps de cerveau disponible ? Naguère perçu comme hétérogène et dépourvu de moyen de pression, le lectorat a rarement disposé d’une influence sur la ligne éditoriale. En se fixant une identité, politique (en France) ou locale (aux États-Unis), chaque publication naissante sélectionnait d’emblée une audience correspondant à sa vision du monde. De leur côté, les responsables de la presse « de qualité » se faisaient de leur clientèle l’image reflétée par le courrier des lecteurs : libérale éclairée, allergique au sectarisme, intéressée à la chose commune et à la marche du monde, ne formant son jugement qu’à partir de faits liés par des raisonnements ; la figure de l’« honnête homme », en somme, pour qui la lecture du quotidien représentait, selon la fameuse formule de Friedrich Hegel, « une sorte de prière du matin réaliste ». Le journalisme s’inventait un peuple de croyants dont il serait le dieu.
Ce mirage s’est dissipé. Toute source de financement comporte un risque d’influence éditoriale, et le modèle de l’abonnement ne fait pas exception. Les années 1990 et 2000 avaient été marquées par une discordance entre la polarisation sociale croissante des populations et l’homogénéité relative des médias dominants. Les parts de marché, estimaient les comptables de la presse, se gagnent au centre, comme les élections. De l’ère Brexit-Trump, l’élite du journalisme aura retenu cette leçon : l’exacerbation des divisions politiques — et surtout culturelles — alimente l’audience, mobilise les lecteurs et génère du profit. « Les entreprises cherchaient auparavant à attirer un public le plus large possible ; elles s’emploient désormais à capter et à retenir de multiples fractions de lectorat, a résumé le journaliste américain Matt Taibbi. Fondamentalement, cela signifie que la presse, qui commercialisait naguère une vision de la réalité supposée acceptable aux yeux d’un large éventail, vend à présent de la division (10) » (lire « Comment Donald Trump et les médias ont ravagé la vie publique »). Plutôt que ses « vieux » lecteurs, qui considèrent encore le journal comme une entité éditoriale à part entière, le New York Times s’emploie à séduire des « communautés » qui reçoivent sur les réseaux sociaux les liens d’articles isolés, détachés du reste de l’édition du jour, mais correspondant étroitement à leurs attentes. Sur chacun des sujets qui les mobilisent, ces petits groupes accueilleront tout faux pas par une tempête de tweets indignés.
Du consensus sédatif au dissensus lucratif, le virage épouse opportunément le fonctionnement des réseaux sociaux. Hier propre à Facebook et à Twitter, le modèle de la chambre d’écho qui renvoie inlassablement aux utilisateurs ce qu’ils veulent lire et entendre s’étend désormais aux médias traditionnels, à cette différence que les lecteurs paient cash pour recevoir les informations qui les caressent dans le sens du poil. D’autant plus persuadés que Twitter arbitre la vie publique qu’ils y passent eux-mêmes une partie significative de leur temps d’éveil, les journalistes confondent volontiers l’activisme polémique alimenté au quotidien par quelques centaines de « twittos » blanchis sous le clavier avec les attentes de leurs centaines de milliers d’abonnés. Échaudés par quelques orages d’indignation numérique, bien des dirigeants éditoriaux évitent de prendre à rebrousse-poil les militants du clic. « Le journalisme en ligne financé par les lecteurs favorise un contenu éditorial plus idéologique : des articles qui réaffirment ce que pense déjà son public, plutôt que de le contredire, écrit Lemann. Ainsi fonctionnent les chaînes d’information câblées (11). »
Selon une enquête réalisée fin 2019 par le Pew Reseach Center, 93 % des personnes qui utilisent Fox News comme source principale d’information politique se déclarent républicaines. Symétriquement, 95 % de celles qui choisissent MSNBC se disent démocrates ; tout comme, dans la presse écrite, 91 % des lecteurs du New York Times (12). Divisés de part et d’autre d’une barricade culturelle, deux publics enfermés dans leurs chambres d’écho respectives arment leurs convictions, les répercutent en ligne et, au moindre écart, somment leurs médias favoris de rectifier le tir ou de purger les déviants.
Mais les rafales de tweets qui charpentent les polémiques en ligne influencent-elles vraiment la production d’information ? Dans une large mesure, explique une enquête en cours de publication (13). Partant d’une série de plusieurs milliers d’« événements » lancés sur les réseaux sociaux et repris dans les médias traditionnels, les chercheurs établissent que la popularité d’un sujet apparu sur Twitter — mesurée au nombre de tweets, de retweets et de citations qu’il génère — détermine la couverture que lui consacre la presse : « Une augmentation de 1 % du nombre de tweets correspond à une augmentation de 8,9 % du nombre d’articles. » Et le phénomène est encore plus prononcé dans les journaux où les rédacteurs s’activent le plus ardemment sur la messagerie en 280 signes.
Car les journalistes ont trouvé dans ce réseau social souvent narcissique, péremptoire et moutonnier un monde qui leur ressemble. « Twitter est une fenêtre sur l’actualité du monde, c’est pourquoi certains des comptes les plus actifs appartiennent à des journalistes », claironne une page consacrée aux « bonnes pratiques » du groupe fondé par M. Jack Dorsey (14). C’est la définition même de l’effet Larsen : les journalistes les plus bouillonnants sur un réseau social où piaffent nombre de leurs collègues répercutent dans leurs colonnes l’écho de cet environnement électronique. Issus de plus en plus exclusivement de la bourgeoisie cultivée, au point que plus de la moitié des rédacteurs du New York Times et du Wall Street Journal sortent des universités d’élites américaines (15), les gens de presse oublient que Twitter lui-même attire une clientèle plus diplômée, aisée, urbaine, jeune et de gauche que la population au milieu de laquelle elle vit. Et que la « fenêtre » est elle-même distordue, puisque les 10 % de « twittos » les plus prolixes produisent 80 % des tweets (16). « Il faut souligner que les utilisateurs de Twitter ne sont pas représentatifs de la population générale des lecteurs de presse », insistent les auteurs de l’enquête précitée.
Mais il est si doux et, pour un temps, si payant de prendre son reflet pour le miroir du monde…
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(1) Lire « Médias français : qui possède quoi ? ».
(2) Elizabeth Grieco, « 10 charts about America’s newsrooms », Pew Research Center, 28 avril 2020, www.pewresearch.org
(3) The New York Times, 19 octobre 2020.
(4) Séries longues de la presse éditeur de 1985 à 2018 — presse d’information générale et politique française, nationale et locale, ministère de la culture, www.culture.gouv.fr
(5) La Lettre A, 30 juillet 2020.
(6) Nicholas Lemann, « Can journalism be saved ? », The New York Review of Books, 27 février 2020.
(7) www.axios.com, 21 janvier 2021.
(8) L’Usine nouvelle, Antony, 17 juin 2020 ;  Les Affaires, Québec, 30 juin 2018.
(9) Ross Barkan, « The gray zone lady », The Baffler, mars-avril 2020, https://thebaffler.com
(10) Matt Taibbi, « The post-objectivity era », TK News, substack.com, 19 septembre 2020.
(11) Nicholas Lemann, « Can journalism be saved ? », op. cit.
(12) Elizabeth Grieco, « Americans’ main sources for political news vary by party and age », Pew Research Center, 1er avril 2020.
(13) Julia Cagé, Nicolas Hervé et Béatrice Mazoyer, « Social media and newsroom production decisions », Social Science Research Network, 20 octobre 2020 (prépublication).
(14) Jennifer Hollett, « How journalists can best engage with their audience », Twitter.
(15) Proportion plus élevée au sein de la Chambre des représentants, du Sénat, des juges fédéraux ou… des patrons du Fortune 500. Cf. Zaid Jilani, « Graduates of elite universities dominate the New York Times and Wall Street Journal, study finds », The Intercept, 6 mai 2018, https://theintercept.com
(16) Stefan Wojcik et Adam Hughes, « Sizing up Twitter users », Pew Research Center,  24 avril 2019.
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paworn · 2 years
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Vincent Girardin - Meursault Premier Cru « Les Perrières » 2013 https://www.instagram.com/p/CeOMZVCLomq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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dugglesse · 2 years
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Marquis d’angerville les champans 2019
I am debating getting my first bottle of the marquis d’angerville and I am wondering if it is worth the price at 215$ cad.
I am usely really happy drinking domaine de l’arlot cote de nuit village or vincent girardin santeney 1er cru.
The other high end burg I have but not have tasted are:
Taupenot merme mayzoyere chambertin 2017
Gouges clos des porrets 2018
Anne gros vosne romane les barreaux 2019
Domaine des croix corton greve 2017
Daniel Rion vosne romane les beaux monts 2018
How would the marquis d’angerville compare to these?
submitted by /u/Bitinvestor1 [link] [comments] from wine: red or white, the stuff you drink https://ift.tt/bJlUKVP
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style-yesnews · 6 years
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【中環 IFC】國金軒|譽滿香江.傳奇蛇羹及秋冬菜式
過去一週極有口福,西式的有 意寧谷「四手」盛宴,中式的則有中環 國金軒 充滿傳奇的太史五蛇羹,以及更多秋冬時令菜式,美味之處,每每令人「衣帶漸緊終不悔」!
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兩位型廚 Jayson 及 Edwin 師傅前後掌舵尖沙咀 國金軒,近年是多到尖沙咀那邊用餐,但擁有更久歷史、被譽為名人飯堂的中環 國金軒,高雅而具空間感的環境更見氣派,盡收眼簾維港景致非常醉人,其傳統精品粵菜也極其出色,上週就去了飽嚐李煜霖及仇健恩師傅的名菜。
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中環 國金軒 的入口與 The French Window 並列,門口帶一絲神秘感,許多年初訪時,走進深又深的走廊,久久未見盡頭的懸念感,至今還歷歷在目呢!
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再次進到用餐環境後,除了雙目被優美環境及醉人景觀怔服,嘴色也很快被美酒佳餚所收服。一來到就有脆香可口的 鴻運乳豬肝醬鍋巴 Suckling Pig with Foie Gras and Crispy Rice,配上泡沫豐盈細膩的巴黎之花香檳,幫忙打開胃口,之後正式入座後,更是驚喜連連。
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晚宴正式開始,首先以清爽易入口的 Cloudy Bay Sauvignon Blanc 2018,配搭 鮮蟹肉焗牛油果 Baked Avocado with Fresh Crab Meat in Cream Sauce。
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牛油果本來就其貌不揚,焗完後更不好看,但醜醜的外表下,除有營養豐富、能降膽固醇兼美顏的優點,完熟的果肉配搭超足料的蟹肉,又香又滑的滋味太迷人了!很快就一扒兩撥吃個清光,還意猶未盡呢~
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接著是最為期待的 太史五蛇羹 Traditional Braised Five-Snake Soup ($1280/四位):論到這蛇羹,不能不提江孔殷 (1864 -1952年);江氏是晚清最後一屆科舉進士,曾進翰林院,故又被稱為江太史,他精研飲食,對粵菜的發展有深遠的影響。早前在文華廳品嚐的 太史戈渣,正是江氏名菜,而太史五蛇羹也是另一道幾近失傳的傳奇粵菜。
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「太史五蛇羹」由江府最後一位家廚李才師傅帶到香港,而中環國金軒李煜霖師傅,就傳承了李才師傅的絕學,由選材、熬煮、調味均遵循江府食譜,包括選用五種鮮蛇:金腳帶、過樹榕、飯鏟頭、三索線及白花蛇的骨頭熬製,蛇肉則撕成細絲,佐以白菊花、檸檬葉及薄脆。相比坊間用上2-3款蛇、粗枝大葉的出品,此羹口感順滑、味道極盡鮮美,一吃難忘啊!
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吃完行氣活血的蛇羹,通身溫暖,此時可以進一點帶寒的蟹肉菜式了!與之相配的是 Vincent Girardin Puligny-Montrachet Vietilles Vignes 2015,味道豐富細膩的名酒,大家口福果然不淺。
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特別一提,中環國金軒的大廚仇健恩師傅,追隨李煜霖師傅多年,掌握國金軒菜式的精要風格,更擅長運用創新食材,配合中華廚藝三十六式,烹調出精品粵菜新滋味。
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仇師傅炮製的 踏雪尋梅 Braised White Fungus topped with Crab Meat,以上湯煨煮過的雪耳,口感滑溜中見微爽,加上鮮美誘人的膏蟹蟹粉,恰如白雪、紅梅配,好一個浪漫唯美又鮮香曼妙的菜式!
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近年越發流行清酒配中菜,這晚也有 千歲鶴藏吟釀 Chitosetsuru Kura Ginjo,來配襯接下來的 陳皮醬油鴨 Stewed Duck with Dried Mandarin Peels and Homemade Soy Sauce。
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全鴨先以薑蔥汆水去除鴨羶味,加入秘製醬油及正廣靚陳皮燜煮至收汁入味,鴨肉肉質彈滑並滲出淡淡陳皮香氣,不羶不膩,又是吃得一乾二淨的!
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蛇羹與糯米飯似是分不開的組合,這晚單尾也是 生炒臘味糯米飯 Stir-fried Glutinous Rice with Assorted Preserved Meat。吃了下午茶再來的我本想棄戰,但多得極品膶腸的提香,軟糯甘白的糯米飯實在太好吃,最終又吃了大半才收手!
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來到甜品環節,還有 八海山貴釀酒 Hakkaisan Kijoshu 作陪襯,愛煞了那高雅甜味!當晚糖水是 桂圓湯圓 Sesame Rice Dumplings with Longan,香甜熱暖又有滋潤之效,又有我愛的芝麻湯圓,身心都滿足不得了~
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最後的 桂花糕 Osmanthus Pudding 及 芝麻煎堆仔 Deep-fried Sesame Ball filled with Lotus Seed Puree 也非常好吃,結果當然是棒著又圓又滿的肚腩回家~
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啊,不!除了肚腩,每人還帶了十分足料的極品 XO 醬回家,又食又拎太幸福。最後貼上我們一眾食友,與李煜霖師傅及仇健恩師傅的合照,祝願大家都要身體健康、生活愉快!
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國金軒 Cuisine Cuisine 地址:中環港景街1號國際金融中心3樓3101-3107號舖
** 想得知最新飲食情報,可追蹤 甜魔媽媽;欲得知甜魔一家消息,就追蹤 Matthew and Chloe 吧~
飲食資訊由熱新聞提供 原文連結: 中環 IFC|國金軒 Cuisine Cuisine |譽滿香江.傳奇蛇羹及秋冬菜式 更多相關內容
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W Hong Kong | WOOBAR x BoConcept | 甜心北歐下午茶
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Yan Lo 甜魔媽媽的新天地,在這裡與大家分享美食、育兒,以及旅遊資訊~~~24小時為你介紹不同的餐廳,各國美食精選等!
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bellaphon · 3 years
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Sunday zzzzzz.
Bike ride to Hackney Wick and Sunday roast in N19.
Hackney Half Marathon.
Roast rump of beef, roast potatoes and Yorkshire. (That plate of Sunday roast was a sight to behold because there’s nothing green on it!)
Santenay, Les Gravières, Vincent Girardin, 1er CRU Burgundy 2017.
Chocolate doughnut and raspberries.
Music on the move.
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#sundayroast #roastbeef #pubgrub
#winepairing #wine #instawine #vin #vinho #wein #vino #vindebordeaux #Frenchwine #vindefrance #finewine #santenay #bourgogne #grandvin #vindebourgogne #pinotnoir
#mybrompton #brompton #bromptonbicycle #bromptonbike #orangebrompton #londoncycling #bromptonlondon
#eeeeeats #instafood #londonfood #londoneats
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adonisd1956 · 3 years
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Celebrating 17 years with Monica, Vincent Girardin Chassange-Montrachet 2018 #whiteburgundy #chardonnay #vincentgirardin #burgundy (at El Gaucho Bellevue) https://www.instagram.com/p/CURUaSeroki/?utm_medium=tumblr
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yamanori124 · 3 years
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Pierre Girardin Bourgogne Rouge Eclat de Calcaire2018 This is Pierre Vincent's first vintage and I gotta say--this kid really hit one out of the park. This is simply outsanding Red Burgundy, easily mistaken for well made Volnay: bound with complex flavors of stony minerals and quintessential Pinot spice embeded in a complex fabric of red fruit: cranberries, tart cherries--layer after layer. #南青山 #鮨 #海味 #umi #sushi #小布施ワイナリー #PierreGirardin (海味) https://www.instagram.com/p/CJYon3NLVnU/?igshid=1f13c0o9bssc6
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burde · 5 years
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Vincent Girardin Vielles Vignes 2010 Mersault 🍋🍯🥜 • • • • • .” ammaliante dorato appena zenzero canditi agrumi zolfo leggero, grinta ed energia , lytchees e pompelmo rosa , grande lunghezza ed energia su gnocchi zucca e porcini di @kiainga #andreagori #wine #vino #andreagorisommelier #vin #winelover #tasting #degustazione #assaggimemorabili #burgundy #borgogna #chardonnay #vincentgirardin (presso Galluzzo, Toscana, Italy) https://www.instagram.com/p/B5_dOWyIsmW/?igshid=11lf6lfopuip0
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joshwinelist · 5 years
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Can we just drink white Burgundy all day long? During a day off in December, LA & I went down to one of the last bastions of Old Soho: Andrew Edmund. The food there is incredible, and presented on a handwritten menu. To match they've got a fantastic wine list including - a really good selection of half-bottles. Perfect for lunchtime. Peach and crispy minerality sang through this glass with a rich but not overpowering butteriness that warms the heart. It's wines like this that personify Galileo's infamous "Wine is sunlight, held together by water" Winemaker: Vincent Girardin Region: Saint Aubin, Beaune, Burgundy Drank at: @andrewedmundsrestaurant #whiteburgundy #premiercru #saintaubin #vincentgirardin #beaune #burgundy #burgundywine #saintaubinwine #wineporn #winecellar #winemaking #wineenthusiast #wineblogger #winegrame #wineart #winetrip #winepassion #winespectator #winebarrel #winetour #winetasting🍷 #wineroom #wineexperience #winecountryliving #winecorks #wineworld #wineforlife http://bit.ly/2QVC27x I've got a weekly email @ http://bit.ly/2T1xWMz - let me know what you think
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winenoodle · 7 years
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Domaine Vincent Girardin, Santenay 'Clos de la Confrerie' (monopole) 1999
Domaine Vincent Girardin, Santenay ‘Clos de la Confrerie’ (monopole) 1999
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Imported by Vineyard Brands, Birmingham AL. From a 1.4 ha clos at the heart of Santenay-le-Haut. Crimson.  Material density now charged with the serenity of eighteen years in bottle.  Maiitake, caramel, new leather and the deep plum flavors intermingle with cherry confiture.  Lovage and carnations and the finish is an echo-chamber of Santenay.  Now.
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bellaphon · 3 years
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Cycled to one of the highest points in London with me orange S3L.
Went past one of the best pubs in London.
And lunch at another stonking establishment.
Alfresco at 17°C (ate quickly!)-
½ rack of lamb, courgette & broad beans, anchovy mayo
Santenay, Les Gravières, Vincent Girardin, 1er CRU Burgundy (Pinot Noir) 2017
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#rackoflamb #lamb #pubgeub
#winepairing #wine #instawine #vin #vinho #wein #vino #vindebordeaux #Frenchwine #vindefrance #finewine #santenay #bourgogne #grandvin #vindebourgogne #pinotnoir
#mybrompton #brompton #bromptonbicycle #bromptonbike #orangebrompton #londoncycling #bromptonlondon
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winewriter · 6 years
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2009 vincent girardin charmes chambertin - drinking great #redwine #wine #wine-spectator #winetasting #Sommchat #wine_advocate #wineenthusiast @winespectator @knightsbridgeWS @wineenthusiast @davidbowlerwine @grapestwc @flickwines @viasWine #hudsonvalleyfood #foodie @thewinebowgroup @frederickwildman @EasternLiquors @SouthernGlazers @TheWinebowGroup #tuscany #merlot #winelover #vino #pinot #pinotnoir #grapes #italianwines #winetasting (at Vincent Girardin)
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twelvebyseventyfive · 7 years
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Nine BA lounge whites, a bit of a mixed bunch, but some surprises
There are quite a few bottles open in the BA lounge (I’m off travelling again…), so I did a tasting. I’m following the example of one of my wine heroes, Oz Clarke. Whenever he’s in an airport, or on a plane, he makes a point of trying all the wines. I admire his dedication, and the fact that he clearly loves to taste all the wines. I liked some of them, while others were a bit less impressive. There were only five reds and none of them looked interesting, so I stuck with whites.
Vincent Girardin Pernand Vergelesses Vieilles Vignes 2014 Burgundy, France Wild ferment, 15% new oak, mix of 500 and 228 litre barrels. This is crisp and decisive, with a good concentration of bright, clean citrus fruit and a hint of cedar, vanilla and toast from the oak. But the oak is well integrated, and there���s lots of linear fruit here to balance it out. This is direct and focused, just as white Burgundy should be. Give it a year or two to start developing a bit more complexity, and it will be lovely. Nice lemony acidity. 91/100
Bouchard Pere et Fils Pouilly-Fuissé Vignes Romanes 2015 Burgundy, France This has a rich pear and apple edge to the citrus fruit palate. It’s ripe and generous, and there’s even a bit of table grape sweetness here. Nicely rounded in the mouth with a seductive depth to it, and some canteloup melon on the finish. Much riper than I was expecting, but with balancing freshness. 89/100
Domaine Louis Moreau Chablis 2009 Burgundy, France This has a distinct dairy/creamy richness on the palate which dominates the citrus and pear fruit. I think it’s a distraction, and this wine is past its best, from a warmer vintage. There’s an appealing mineral character, too, if you can get past the cheese and cream. 85/100
Yalumba Viognier 2015 Eden Valley, Australia There’s a lovely density to this wine, with rich apricot and melon fruit, and a peach stone bitterness adding an interesting edge. It’s a varietally true wine, showing the richer side of Viognier, yet capturing its personality fully. Some subtle pithy notes on the finish, giving an added contrast to the ripe yet restrained fruit. 92/100
Domaine de Fontenille Pouilly-Fumé 2014 Loire, France There’s cabbage and mushroom here, with some citrus and pear fruit. Quite lively, but there’s a bit of cork taint here. Would have been OK I reckon.
Seifried Chardonnay 2014 Nelson, New Zealand Powerful and lively with some grapefruit and lemon characters, as well as a bit of peach and citrus pith. Lots of flavour here. Rich and fruit driven with a wide range of flavours, from keen and citrussy to rich and peachy. Slightly bitter on the finish. 89/100
Inama Soave Classico 2015 Italy This is really fresh with a citrus core, but also some lively ripe apple, melon and tangerine notes. Lots of flavour here, with a bit of fruit sweetness and a lively, fresh, lemony finish. It’s a little bit edgy, but in the best way. 90/100
Elk Cove Pinot Gris 2015 Willamette Valley, Oregon Ripe, sweet and grapey with a slightly bitter, pithy edge to the rich pear and apple fruit. Broad and generous with nice weight to the fruit. 88/100
Wakefield St Andrews Riesling 2012 Clare Valley, Australia Intense and limey with a touch of creamy, dairy character. There’s some pithiness here, and just a hint of petrol character. Juicy and lively with some bright focus, but it’s not really working for me: the petrol and dairy characters just don’t mesh. 87/100
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winenoodle · 6 years
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Domaine Vincent Girardin, Meursault Les Narvaux 2010 Imported by Vineyard Brands, Birmingham AL. Emerald.  Shows neon brilliance, glossy nectarine, silk and salt; sappy and savory and for all the underlying richness the wine is still invigoratingly dry.  Conveys a strong sense of Narvaux's altitude. Now - 2020+.
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