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#accoutumance
villefrancois · 2 years
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Blanc comme neige Il n'était pas blanc comme neige Ce n'étaient pas des drogues douces La dépendance est un tel piège C'est comme avoir la mort aux trousses #drogue #dependance #cocaine #accident #humoriste #Palmade #accoutumance #TPMP #Quotidien #kohlanta #TheVoice #nouvelleStar #PekinExpress #citation #proverbe #poeme #poesie #slam #litterature #poete https://www.instagram.com/p/Co8IvsiLlde/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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rumi-k · 1 year
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Healing || Tokyo revengers
"fix it, please" "fix what ?" "me"
• — comfort, angst
tw : various injuries, abuse.
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He's trembling. His hands are sweating and he's hesitant to touch you. He feel like he might break you, even more, if he touch you in the wrong way. It happened before, and it will probably happen again, but he swear he will never get used to seeing you trembling, barefoots, drenched due to the pouring rain. Not daring to look at him in the eyes, you choose to look somewhere else, trying to keep your composure. His teeth clench when his eyes dart around your body. He grew accoutumed to that view, so much that he can't seem to remember the colour of your skin before it was strewn with wounds and bruises.
He sighs in defeat, laying the alcohol-soaked cotton ball on the nearest surface he find.
"Can we talk...?" He's hesitant, scared to break the silent, afraid he'd scare you away.
You shook your head, not trusting the sound of your voice, knowing your words will only end up in sobs.
There's so much he want to say to you, so much he want to do. He want to hug you, cry with you, fight everyone who dared to hurt you.
But he just stays there, watching your empty eyes avoid his concerned one.
He's as scared as you are, if not more, you think. And the thought would amuse you if your mind wasn't plagued with shame and guilt from bothering him with your little problems again.
But it's fine. You're fine. As long as you're breathing, you're fine.
So why does it hurt so much ?
You don't flinch when he approaches you, and your body subconsciously lean into him when he wraps his arms around your trembling figure. You cry. You always do when he touch you like that, like you're the most fragile thing ever.
But it's fine, he thinks. You can break down in front of him as much as you want.
Because he will gather all the pieces and will rebuild you over and over again with his bare hands if he have to.
Takemichi, Chifuyu, Inui, MITSUYA, Hakkai, Angry ( Souya), Kakucho, Taiju ( hear me out ), Baji, Rindou, Draken, Shinichiro, your favs
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English isn't my first language so I apologize for the mistakes I made ! It's the first time I actually write something on Tumblr and since wanted to cry you will too ⁠♡
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aisakalegacy · 21 days
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Traits : Crasseux, courageux, instable, amoureux de la nature, hypersensible.
Souhait à long terme : Grand explorateur (échec).
Jules Le Bris est né le 28 décembre 1873 sur l'île ontarienne d'Hylewood, au Canada. Benjamin d'une famille de cinq enfants, fils d'un éleveur de chevaux et d'une écrivaine anarchiste, élevé par une bonne mexicaine qui lui apprend l'espagnol dès l'enfance, il fait sa scolarité à la petite école publique de l'île. Bon élève, il révèle cependant un comportement brutal, changeant, bararreur et colérique, et, à partir de ses dix ans, il multiplie les fugues.
En 1884, après six jours de fugue, il est retrouvé inconscient et intoxiqué dans une fumerie d'opium à Kingston. Dès lors, des médecins lui diagnostiquent des "états-limites". Il est hospitalisé cinq mois. Pendant sa convalescence, son père l'introduit aux romans d'aventure et fait naître chez lui la passion de l'exploration et lui redonne un intérêt pour les études malgré ses difficultés d'apprentissage et son manque de mémoire, causés par le traitement qui lui a été remis à sa sortie de l'hôpital : un médicament à base de hachisch, pour lequel il développera une forte accoutumance et qu'il consommera jusqu'à sa mort. Malgré cela, il persévère dans l'étude de la géographie et de la linguistique arabe, avec le rêve de se rendre un jour en Egypte.
À l'âge de dix-neuf ans, en 1893, il épouse Eugénie Bernard, une jeune femme de l'île issue d'une famille pauvre et pieuse, dont il est amoureux depuis qu'il a treize ans et qu'il ne tarde pas à mettre enceinte. Mais pourtant, la même année, il saisit l'opportunité de partir travailler à Deir el-Bahari, en Egypte, sur un chantier de fouilles aux côtés d'une équipe suisse, anglaise et allemande et où il apprend la langue de Goethe. C'est le premier d'une série de quatre voyaes en Egypte : entre 1883 et 1897, entre 1898 et 1900, entre 1910 et 1914, puis entre 1918 et 1921.
Ses envies d'aventure le conduisent également à faire une expédition d'un an entre 1905 et 1906 au Nunavut, dans les terres sauvages polaires au Nord du Canada, dont il revient avec une cicatrice au visage suite à un affrontement avec une ourse polaire.
Ses voyages l'éloignent de sa famille plusieurs années consécutives à chaque fois, et marquent un fossé grandissant entre son épouse et lui-même. Chaque fois qu'il revient, le même cycle s'installe : voyant que sa femme lui en veut de l'avoir abandonnée avec leurs enfants, il intensifie ses efforts et son implication dans leur relation, puis quand Eugénie se réchauffe et que les chose s'améliorent entre eux, son égyptomanie le reprend et il repart en laissant sa femme éplorée et enceinte, ou avec un nouvel enfant en bas-âge.
En 1914, la Première Guerre mondiale éclate. Il s'engage volontairement dans le 22e Bataillon franco-canadien aux côtés d'une poignée d'autres hommes de l'île. Il s'embarque pour l'Angleterre le 20 mai 1915 à bord du Saxonia à l’âge de 41 ans, alors qu’il est marié avec 4 enfants - ce qui, normalement, devrait le dispenser de servir. Il est envoyé dans les tranchées pour la première fois le 20 septembre au sein de la 5e Brigade de la 2e Division canadienne près d'Ypres en Flandre en Belgique, où il est grièvement blessé par des éclats d’obus et où il perd une de ses jambes.
Il revient de la guerre changé, particulièrement nerveux et irritable, plus dépendant encore au hachisch, et agité par de nombreux cauchemars. Après trois ans de convalescence, il repart finalement en Egypte pour son quatrième et dernier voyage, qui ne se passe pas du tout comme prévu puisqu'il est rattrapé par la guerre civile égyptienne d'indépendance. Elle le contraint à se terrer deux ans dans le désert jusqu'à ce qu'il puisse fuir l'Egypte. Ce dernier voyage lui passe l'envie de l'exploration.
Quand il rentre, il a la désagréable surprise de voir que sa maîtresse égyptienne Layan, accompagnée de leur fille bâtarde Layla, a fait tout le chemin jusqu'au Canada pour le trouver et le forcer à remplir une fausse promesse qu'il lui avait fait, et a rencontré sa femme à la place... Comprenant que son époux a abusé de la naïveté d'une femme sans instruction, Eugénie s'est liée d'amitié à sa maîtresse et lui a offert un emploi ainsi qu'une éducation pour sa fille, qu'elle propose d'élever en tant que pupile aux côtés de leurs quatre enfants. Au lieu de s'opposer, les deux femmes font donc désormais front contre lui... Cela porte un ultime coup à son mariage.
La liste des griefs d'Eugénie, qui supporte sans broncher la défection de son mari, est d'autant plus longue que Jules part systématiquement dans les moments où elle a le plus besoin de lui. Par exemple, au moment de son départ en 1918, leur fille aînée Louise est portée disparue à la suite de la désertioin de son fiancée et de l'annulation brutale de ses noces. Pour essayer de sauver son mariage, Jules entreprend d'adopter - sans l'assentiment de sa femme - une petite orpheline de guerre. Par ailleurs, Eugénie ignore que Jules a également un fils aîné caché de sensiblement le même âge que Louise, élevée par une de ses anciennes maîtresses et reconnu par le mari de celle-ci... Malheureusement, le divorce est illégal en Ontario, et le couple désuni est coincé ensemble.
Dans le même temps, les voyages successifs de Jules ont mis un coup dur à la famille Le Bris sur le plan économique, d'autant plus que leur seul entrée d'argent, les élevages Le Bris, ont été vendus pour financer le dernier voyage de Jules. La famille est donc contrainte à de nombreuses restructions budgétaires, notamment en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants, et Jules se montre de plus en plus anxieux et irritable à ce sujet. Si l'avenir de son fils aîné Lucien semble garanti malgré le manque de maturité de ce dernier, ce n'est pas le cas de son cadet Agathon, qui n'ose avouer à son père qu'il se destine à une carrière musicale...
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nemosisworld · 1 year
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... notre bonheur est un vin que tout le monde n’a pas bu Le bonheur je n’ai jamais pu me faire à son accoutumance Je tremble pour lui tous les jours à cette heure où le jour commence Ce jour sans toi jusqu’à présent qu’on ne peut dire commencé Ce jour désert d’avant le jour comme un rêve avant la pensée Et que ce soit le jour suivant ce n’est après tout qu’un détail Si l’amour chaque jour grandit c’est au côté comme une entaille Et qu’est-ce que c’est que l’amour qui n’en est qu’au commencement Quand on a tout le temps de voir tes yeux s’ouvrir immensément
Louis Aragon
Ph. William Carter
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oviri7 · 8 months
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Il y a certainement une accoutumance au malheur, un endurcissement, ou mieux : l'habitude du retrait, certaine faculté de repliement, par quoi les natures non épanouies n'offrent aux coups du sort presque plus de surface sensible.
André Gide - Journal
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les-portes-du-sud · 1 year
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Démolition
09.08.2023
Je me souviens de l'émotion comme les sourds se souviennent d'une mélodie.
J'ai toujours l'idée,
mais même cela sera bientôt parti. Les chants sont d'abord étouffés,
Mais les notes restent.
Je peux encore être immergé dans la joie et la douleur musicales.
Mais comme une copie d'une copie d'une copie,
Les notes sont perdues et égarées, le tout devient bâclé, un chef-d'œuvre défiguré. Enfin, la fin de l'incendie
Les dernières notes meurent dans un gel laissant le profond malaise que quelque chose de beau s'est perdu.
Mort est le sentiment que j'avais autrefois.
Laissé dans une salle de concert muette, je me demande comment ça peut faire si mal,
De ne rien ressentir du tout. Il fut un temps où mon cœur battait de joie quand, par exemple, mon art recevait des éloges, et je serais inconsolablement écrasé pendant des semaines après la mort d'un être cher. Maintenant, les deux extrêmes de l'émotion sont presque complètement engourdis. Ce poème parle du paradoxe de se sentir déprimé par l'amortissement des émotions, comparant l'expérience à une personne nouvellement sourde oubliant lentement à quoi ressemblait la musique.
Je pense que cet affaiblissement des émotions avec l'âge pourrait être une forme normale d' accoutumance , qui fait référence à une diminution de la réponse à un stimulus après des présentations répétées.
Les-portes-du-sud
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innuit59 · 1 year
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Nouveau départ , transfuge de skyblog, je vais essayer de m' accoutumer à ce nouvel espace; bonne journée à tous et toutes
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claudehenrion · 10 months
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Addiction et drogues dures..
Le drame de la drogue ne se définit normalement pas seulement par la prise d'un produit interdit (ou plus... si affinités !), mais par un phénomène annexe, plus dramatique que le premier, qui se nomme ''l'addiction''. Ce mot anglais est passé dans le franglais actuel, préféré au mot français ''dépendance'' qui désigne pourtant ''une envie irrépressible et répétée de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire''. Etrangement, cette définition fait l'amalgame entre, par exemple, le sport ou la lecture... et le cannabis ou la cocaïne...
Mais comme rien n'est jamais simple, les champs d'application de la dépendance sont multiples, et on peut en trouver des manifestations là où, normalement, on devrait les attendre le moins. J'ai d'ailleurs découvert, récemment, un nouveau ''variant'' de cette nouvelle pandémie qui vous, qui nous concerne, tous ! (''Pandémie'' ? Pourquoi se gêner ? Nos gouvernants, du haut de leur immense ''perspica-cécité'', attribuent ce qualificatif à n'importe quel virus qui fait son métier de virus et n'est en rien responsable des folies commises en son nom sans la moindre raison objective. Je ne vois pas pourquoi moi, je devrais me montrer plus sage qu'eux !),
Nouveau virus, donc, et nouvelle ''pandémie'' (sic !), entraînant une nouvelle ''dépendance''... le sujet méritait bien un ''édito'', non ? Je ne vais donc pas vous laisser sur le gril plus longtemps, chers Amis-lecteurs, et je vais vous révéler le nom de la nouvelle coqueluche –addictive, elle-- de notre microcosme politique dont les membres sont soit pour soit contre, ou s'en foutent, ''comme d'hab''. Cette pandémie terrifiante a, comme les autres ou comme les ouragans, ces temps derniers, reçu un nom : elle s'appelle ''le 49-3'' et, comme disait la Fontaine dans ''Les animaux malades de la peste'', ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés... en tout cas tous ceux qui font partie de la phalange macronienne qui n'ont pas encore compris qu'ils n'avaient pas compris qu'ils n'avaient rien compris ! Je vous avais promis de vous en reparler, de ce 49-3 ? Promesse tenue.
Car où que l'on pose les yeux sur notre ''représentation nationale'', qui est de moins en moins l'une et plus du tout l'autre, on est sûr de croiser un ''49-3'' qui se cherche une piste d'atterrissage. ''Tiens, disent les anciens habitués de ce qui fut une démocratie... encore un 49-3 qui passe''... si vite qu'on l'aperçoit à peine ! Après tout, dit Théodecte (NB : c'est ''le Bavard'', dans les Caractères de la Bruyère), ce n'est que le 17 ème depuis qu'Elisabeth borne les ébats et les débats, mais tous les espoirs nous sont permis. Elle ne juge même plus utile de se déplacer (elle a d'ailleurs raté le dernier épisode, le 13 novembre dernier : elle avait un truc plus important à faire !). Et au fond, le précédent ne datait que de la semaine d'avant, et il ne faut pas abuser des bonnes choses (cette maîtrise dans l'exercice de son addiction sera portée à son crédit, le jour du jugement dernier, c'est sûr !).
Addiction, accoutumance... cette ''vapoteuse'' (donc ex-dépendante du tabac) devrait savoir de quoi elle parle : elle est ''accro'' à ne pas pouvoir se passer de son vice, même dans ''l'Hémicycle'', au point de se faire ''tancer'' comme une sale gosse qui met ses doigts dans son nez ! Il faut dire que, en plein milieu du ''mois sans tabac'', ça fait désordre ! Mais bon... on ne va pas en faire tout un plat : elle ne fume pas, vous a-t-on dit, puisqu'elle elle vapote. Et même, elle me manque pas de souffle : une bouffée... un 49-3... une bouffée... un 49-3... une bouffée... En la voyant tellement à son aise dans ses addictions, il m'arrive de regretter parfois de n'avoir jamais eu ce problème, n'ayant jamais réussi à fumer une seule cigarette... que dis-je !... à ''tirer une seule bouiffe'', malgré l'envie qui me taraudait souvent.
C'est que ''in illo tempore'' (je le dis en latin, parce que ça remonte à ''y a très longtemps'' !) en ce temps-là, donc, cette addiction (au tabac, bien sûr ! Pas au 49-3 –qui est une prérogative macronienne, à ce degré), était synonyme de vraie virilité. Dès la cinquième, les ''redoublants'', qui avaient déjà embrassé une fille, nous écrasaient de leur mépris hautain en tirant sur leur Camel ou leur Philip Morris... en adoptant la gestuelle de James Dean ou de Marlon Brando (c'était un temps où on osait être ce qu'on était, et où on n'intervertissait pas encore les rôles respectifs de la chevelure et du menton).
Question (à ce jour non résolue) : une goulée de 49-3 procurerait-elle la même impression de toute-puissance et d'invincibilité qu'une bouiffe de Gauloise dans les années '50 ? C'est en pensant à ça que j'ai été amené à me demander si le phénomène ''vote bloqué'' ne procurait pas, comme les autres moyens susceptibles de générer une ou des addictions, une impression de sécurité, de cylindrée virile, de toute puissance occulte... créant ainsi, insidieusement et odieusement, un besoin irré-quelque-chose-able-ou-ible d'addiction à cette addiction, une sorte de ''syndrome d'Obélix''. Car si tel était le cas, il serait peut être sage d'envisager la création d'un ''mois sans 49-3'' ?
En somme, ''cigarette, cannabis, ou 49-3,... même combat'' ! En cas de crise, de doute, de crainte... une aspiration de 49-3, et Hop ! on se sent comme Astérix lorsqu'il s'est tapé une gourde (mais non, je ne parle pas de Mme Borne ! Mais qu'alliez vous penser ? Vous devez être complotiste !) de potion magique. Le seul ennui, c'est que l'excès appelant la surenchère, on sait où ça commence, mais on ne sait pas où on finit... Imaginez que l'évolution de cette dépendance soit similaire à celle des autres addictions connues : Madame notre Premier Ministre aurait alors un besoin irrépressible de sa dose de 49-3 quotidienne, et elle sauterait allègrement par dessus tout vote ''normal'' dans l'Hémicycle transformé en ''lieu de deal'', avec des députés LFI dans le rôle des ''choufs''. Déjà qu'on vient de découvrir que, au Sénat, on ''deale'' l'extasy quand on veut entraîner une députée... à la chambre... Tous les désespoirs sont donc permis : ''Buvez donc ce breuvage, chère amie : j'y ai versé en douce une rasade de 49-3 !''
Allons ! Comme en toute chose, la solution n'est évidemment pas dans l'excès. Le plus sage, pour Mme Borne, aurait été de ne jamais commencer, mais maintenant qu'elle les a dépassées (les bornes, bien entendu !), le mal est fait, il ne reste plus qu'à appointer grassement un bon addictologue à l'Assemblée nationale et un autre à Matignon : dans les flots de la gabegie du ''quoi qu'il en coûte'', ça ne se verra même pas ! Et puis, mieux vaut ça, paraît-il, que l'addiction à d'autres drogues encore plus dures… qui durent. A quelque chose, notre malheur serait bon !
Cependant, vous allez voir les cataractes de 49-3 qui vont nous tomber sur la cafetière, avec le vote de l'inutile loi, néfaste et –ou ''parce que''?-- dite Darmanin, prétendument contre l'immigration... qu'elle va, de fait, mieux ''con-trô-ler'' –ce qui n'a jamais voulu dire ni ''ralentir''... ni ''arrêter'', comme il le faudrait. Nos nuls (je veux dire : les députés des partis qui se coalisent pour garder le pouvoir ''quoi qu'il nous en coûte'') appellent action leur inaction et croient que le salut de la Nation dépend du seul ''contrôle'' : plus il sera tatillon, plus les problèmes se résoudront d'eux-mêmes ! Ah ! Les cons ! Leur seule ambition est de défaire tout l'excellent travail qu'ont fait, sur ce texte, nos Sénateurs... On va comprendre notre douleur un peu plus tard, lorsqu'on constatera que l'immensité de l'addiction-dépendance de nos ''élus du peuple'' (lequel ? J'ai beau chercher...) à ce ''49-3'' de malheur nous a définitivement mis ''dans la gueule du loup'', avec ce loupé !
H-Cl.
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csabarex · 2 years
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Des appareils technologiques, des données personnelles et des algorithmes. Le piège moderne.
« La vie privée n'existe plus » - Edward Snowden
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Photo de Markus Spiske
Les appareils technologiques modernes contribuent à rendre plus faciles nos vies. Mais cette facilité a un prix. Ces appareils recueillent constamment des données sur nous, qui sont reprises par des tiers, souvent à notre insu. De puissants algorithmes traitent ces données et les résultats qui en découlent servent à catégoriser, à étiqueter, des individus et des groupes d'individus selon leur niveau de richesse, leurs habitudes, leurs origines, leurs croyances, etc. Bien qu'on laisse miroiter les soi-disant bienfaits des algorithmes, dans de nombreuses situations, ils sont employés à notre détriment.
Notre vie sous détecteur
Les moniteurs d'activité physique, les montres et téléphones intelligents, pour ne nommer que ceux-là, sont des appareils technologiques munis d'une panoplie de détecteurs de toute sorte. Non seulement les entreprises capitalisent les données recueillies par ces détecteurs, mais « les États interceptent en temps réel des millions de courriels, de conversations téléphoniques et de transactions financières partout dans le monde. » (Fortier, 2014) De nos jours, il n'est pas rare qu'on possède plus d'un de ces appareils. Ainsi de nombreux aspects de nos vies sont enregistrés : nos déplacements, nos intérêts, nos préférences, nos habitudes, notre état de santé même. Presque rien n'échappe à ces détecteurs.
Accueillir les espions à bras ouverts
L'accessibilité de ces appareils technologiques et leur utilisation répandue ont en quelque sorte banalisé les menaces inhérentes d'intrusion dans notre vie privée. En effet, si tout le monde a un téléphone intelligent, pourquoi m'en méfierais-je? Le danger réside dans le fait qu'on devient moins vigilant par accoutumance. Le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada donne des recommandations pour diminuer les risques d'intrusion dans notre vie privée. Faire fi de ces mesures préventives, c'est accueillir les espions à bras ouverts.
Une mine d'or
Grâce à tous ses détecteurs, un appareil technologique enregistre une grande quantité de données. Et les millions d'appareils captent des milliards d'informations sur leurs utilisateurs. Toutes les données amassées sont colligées par les fournisseurs de service, puis elles sont vendues à d'autres entreprises. Ces banques de données s'échangent contre de véritables petites fortunes sur le marché. À tel point, certaines entreprises tirent davantage de profits de la vente de données que du service qu'elle rend ou des biens qu'elle produit. C'est une vraie mine d'or pour ces entreprises. Comme l'extraction du minerai dans certaines régions du monde, le collectage de données personnelles se fait non seulement à l'encontre de la loi, mais au détriment de leurs propriétaires.
La main invisible
Ces mines d'information sont analysées et interprétées par les services de marketing des entreprises, et par les gouvernements même. Pour ce faire, ces organismes utilisent de puissants algorithmes qui traitent nos données personnelles. Ensuite, les décideurs ne font qu'appliquer les solutions des algorithmes. C'est comme la main invisible qui régularise le marché. Les algorithmes nous assujettissent dans des catégories de consommateurs et choisissent pour nous les biens et services qui correspondent à notre profil.
Le piège
C'est un marketing discriminatoire, car il cible des consommateurs en particulier tout en en écartant d'autres. Une personne pourrait ne pas se faire offrir tel bien ou tel service, car l'algorithme ne conclue pas à la pertinence de lui adresser l'offre dudit bien ou dudit service. Priver une personne d'un service qui pourrait améliorer sa qualité de vie est un préjudice. Puisque les outils technologiques sont partout, tant à la maison qu'au bureau, la cueillette de données se fait partout. Ainsi les algorithmes sont de plus en plus utilisés, dans plus en plus de sphères de nos vies. Déjà, certaines organisations utilisent les algorithmes pour embaucher du personnel, leur attribuer une promotion, pour justifier leur congédiement, etc.
Si le respect de la vie privée vous préoccupe, si l'équité et la justice sociale sont importantes pour vous, inscrivez-vous à ce blogue.
Bibliographie
VINCENT, Sébastien, 2019, « Algorithmes : la bombe à retardement » : le côté obscur du Big Data, Le Devoir.
FORTIER, Marco, 2014, « Requiem pour la vie privée », Le Devoir.
« Infographie : Les accessoires intelligents et votre vie privée », Commissariat à la protection de la vie privée au Canada, 2019.
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L'automne est là, les températures baissent, le gaz, le bois , l'électricité sont hors de prix... Il suffit de se souvenir qu'on a déjà connu çà..! mais ... :
ils vont admirer par milliers l'dernier modèle de chez Peugeot, qu'il pourront jamais se payer. La bagnole, la télé, l'tiercé, c'est l'opium du peuple de France, lui supprimer c'est le tuer, c'est une drogue à accoutumance.
En décembre, c'est l'apothéose, la grande bouffe et les les p'tits cadeaux, ils sont toujours aussi moroses, mais y'a d'la joie dans les ghettos. La Terre peut s'arrêter d'tourner, ils rat'ront pas leur réveillon, moi j'voudrais tous les voir crever, étouffés de dinde aux marrons.
Être né sous l'signe de l'hexagone, c'est vraiment pas une sinécure, et le roi des cons, sur son trône, il est français, ça j'en suis sûr.
(Paroles de Renaud Sechan-Hexagone)
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gaboninfoslive · 19 days
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"Maganga Moussavou ou l'hôpital qui se moque de la charité" dixit Flavien Franck Rogombe
Les récentes déclarations de Pierre-Claver Maganga Moussavou contre les positions claires et sans ambiguïté d’Alexandre Barro chambrier, face au CTRI témoignent d’une accoutumance de l’emporte-pièce qui caractérise un homme politique sans repères, d’une girouette dont le vent n’en veut pas, d’un buzzmatique qui veut survivre politiquement en tapant sur tout ce qui bouge, y compris contre lui même…
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penny-2 · 1 month
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At this point, I have become so accoutumed to seeing myself and people around me as animal or mythological creatures that it's almost weird when I met people who are not into that shit...
I have been wondering if I'm therian for months now and it's embarrassing because how am I supposed to determine a yes or a no to this
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ondessiderales · 4 months
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Heinrich Brüning, ou l'histoire de l'idiot utile d'Hitler
« Au printemps 1930, Brüning devint chancelier. Autant que nous puissions nous souvenir, c’était la première fois que l’Allemagne était dirigée d’une main ferme. De 1914 à 1923, tous les gouvernements avaient été faibles. Stresemann avait pris des mesures habiles et radicales, mais tout en souplesse, sans blesser personne. Brüning n’arrêtait pas de blesser tout le monde, c’était son style, il mettait un point d’honneur à être “impopulaire”. Un homme dur, osseux, l’œil étréci et sévère derrière des lunettes sans monture. Il répugnait par nature au liant, à la rondeur. Ses succès – il en connut quelques-uns, c’est incontestable – avaient toujours le schéma “opération réussie, patient mort”, ou “position maintenue, garnison massacrée”. Pour poursuivre jusqu’à l’absurde le paiement des réparations, il mit l’économie allemande au bord de la faillite ; les banques fermèrent, le nombre des chômeurs atteignit six millions. Pour sauver le budget malgré tout, il appliquait avec une farouche rigueur la recette du père de famille sévère : “se serrer la ceinture”. À intervalles réguliers, tous les six mois environ, sortait un décret-loi qui réduisait et réduisait encore les traitements, les retraites, les prestations sociales, et finit par réduire jusqu’aux salaires privés et aux intérêts. L’un entraînait l’autre, et Brüning, les dents serrées, en tirait chaque fois la douloureuse conséquence. Plusieurs des instruments de torture les plus efficaces de Hitler furent inaugurés par Brüning : c’est à lui que l’on doit la “gestion des devises”, qui empêchait les voyages à l’étranger, l’“impôt sur la désertion”, qui rendait l’exil impossible ; c’est lui aussi qui commença à limiter la liberté de la presse et à museler le Parlement. Et pourtant, étrange paradoxe, il faisait tout cela pour défendre la république. Mais les républicains commençaient peu à peu à se demander, et on les comprend, ce qui leur restait encore à défendre.
À ma connaissance, le régime de Brüning a été la première esquisse et pour ainsi dire la maquette d’une forme de gouvernement qui a été imitée depuis dans de nombreux pays d’Europe : une semi-dictature au nom de la démocratie et pour empêcher une dictature véritable. Quiconque se donnerait la peine d’étudier à fond le système de Brüning y trouverait tous les éléments qui font en fin de compte de ce mode de gouvernement, de façon presque inéluctable, le modèle de ce qu’il est censé combattre : c’est un système qui décourage ses propres adeptes, sape ses propres positions, accoutume à la privation de liberté, se montre incapable d’opposer à la propagande ennemie une défense fondée sur des idées, abandonne l’initiative à ses adversaires et finalement renonce au moment où la situation aboutit à une épreuve de force.
Brüning n’était pas vraiment suivi. Il était toléré. Il était le moindre mal : le maître sévère qui corrige ses élèves en affirmant “Cela me fait plus mal qu’à vous”, face au bourreau sadique. On couvrait Brüning, parce qu’il semblait la seule protection possible contre Hitler. Il le savait, bien entendu. Et comme son existence politique était directement liée à sa lutte contre Hitler, et donc à l’existence de celui-ci, il ne devait en aucun cas l’anéantir. Il devait combattre Hitler, mais en même temps le conserver. Il ne fallait pas que Hitler parvienne au pouvoir, mais il devait rester dangereux. Difficile équilibre que Brüning, les dents serrées, impassible comme un joueur de poker, maintint pendant deux ans, et c’était déjà une performance. Il était inévitable que l’équilibre se rompît un jour. Qu’arriverait-il alors ? Question sous-jacente à toute la période Brüning : et après ? Ce fut une époque où seule la perspective d’un avenir d’épouvante tempérait la tristesse du présent.
Brüning lui-même n’avait rien d’autre à offrir au pays que la misère, la morosité, la limitation de la liberté et l’assurance qu’on ne pouvait rien obtenir de mieux. Tout au plus pouvait-il exhorter au stoïcisme. Mais il était trop austère de nature pour que même cette exhortation fût convaincante. Il ne lança à la nation ni une grande idée, ni un appel. Il ne faisait que la recouvrir d’une ombre chagrine.
Cependant que les énergies restées si longtemps en jachère se rassemblaient à grand bruit.
Le 14 septembre 1930 eurent lieu ces élections législatives qui propulsèrent à la deuxième place un petit parti ridicule : les nazis passèrent de douze mandats à cent sept. De ce jour, la figure phare de l’époque Brüning cessa d’être Brüning pour devenir Hitler. La question n’était plus : Brüning restera-t-il ? mais : Hitler viendra-t-il ? Les discussions politiques âpres et torturantes ne mettaient plus aux prises partisans et adversaires de Brüning, mais partisans et adversaires de Hitler. Et dans les faubourgs, où les fusillades avaient repris, on ne s’entre-tuait pas au nom de Brüning, mais au nom de Hitler. »
Extrait d'Histoire d'un Allemand, souvenirs, 1914-1933, de Sebastian Haffner
Errare humanum est, perseverare diabolicum L'erreur est humaine, persévérer est diabolique
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omagazineparis · 6 months
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Est-ce que la mélatonine est bonne pour la santé ?
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La mélatonine, souvent surnommée l'hormone du sommeil, est au cœur des discussions sur les troubles du sommeil et les méthodes pour les surmonter. Produite naturellement par le cerveau pendant les périodes d'obscurité, elle régule le cycle veille-sommeil et influence divers processus biologiques. Avec l'augmentation des cas d'insomnie et d'autres troubles du sommeil, l'utilisation de suppléments de mélatonine a explosé. Mais est-ce vraiment une solution miracle pour la santé ? Cet article examine les bienfaits et les éventuels effets secondaires de la mélatonine pour déterminer si elle est bénéfique pour la santé. Rôles et bienfaits de la mélatonine La mélatonine joue un rôle crucial dans la régulation du cycle circadien, favorisant un sommeil naturel et réparateur. Elle aide à s'endormir plus rapidement et à améliorer la qualité du sommeil sans les effets accoutumants de certains somnifères prescrits. De plus, la mélatonine possède des propriétés antioxydantes significatives, protégeant les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres. Soutien contre les troubles du sommeil Les troubles du sommeil, tels que l'insomnie, affectent la qualité de vie de millions de personnes. La supplémentation en mélatonine s'est révélée efficace pour aider certaines personnes à réduire le temps nécessaire pour s'endormir et à augmenter la durée totale du sommeil. Elle est particulièrement bénéfique pour les personnes souffrant de retard de phase de sommeil et pour celles qui vivent des changements d'horaires fréquents, comme les travailleurs postés et les voyageurs souffrant de jet lag. A lire : Pourquoi la vitamine C est votre meilleure défense contre le rhume Effets antioxydants et protection cellulaire Les propriétés antioxydantes de la mélatonine contribuent à sa popularité. En neutralisant les radicaux libres, elle joue un rôle dans la prévention des maladies chroniques et le ralentissement du processus de vieillissement. Ces effets antioxydants peuvent également renforcer le système immunitaire, offrant une protection supplémentaire contre diverses infections. Régulation des fonctions métaboliques En outre, la mélatonine influence les fonctions métaboliques, contribuant à la gestion du poids et à la régulation de la glycémie. Cela pourrait être particulièrement avantageux pour les personnes atteintes de diabète de type 2 ou celles qui sont à risque de développer cette condition. Précautions et effets secondaires Bien que la mélatonine offre de nombreux avantages, son utilisation doit être abordée avec prudence. La supplémentation en mélatonine peut entraîner des effets secondaires chez certaines personnes, notamment des maux de tête, des nausées, des étourdissements, ou de la somnolence diurne. De plus, l'interaction de la mélatonine avec certains médicaments peut être préoccupante, nécessitant une consultation préalable avec un professionnel de santé. https://www.youtube.com/watch?v=_KiBoa5I460&pp=ygUTbcOpbGF0b25pbmUgc29tbWVpbA Dosage et administration Le dosage de la mélatonine est crucial pour minimiser les risques d'effets secondaires. Une dose excessive peut perturber le cycle veille-sommeil naturel et aggraver les troubles du sommeil. Il est recommandé de commencer par la plus faible dose possible et d'ajuster en fonction des besoins et des réactions individuelles. Considérations pour les populations spécifiques Certaines populations, comme les enfants et les femmes enceintes ou allaitantes, doivent faire preuve de prudence quant à l'utilisation de suppléments de mélatonine. L'impact sur ces groupes n'étant pas entièrement compris, il est préférable de consulter un médecin avant de commencer la supplémentation. La mélatonine, en tant qu'aide au sommeil et antioxydant, présente des avantages indéniables pour la santé. Elle peut améliorer la qualité du sommeil, protéger contre le stress oxydatif et soutenir les fonctions métaboliques. Cependant, son utilisation doit être judicieuse, en tenant compte des dosages appropriés et des éventuelles interactions médicamenteuses. Comme pour tout supplément, une approche équilibrée et une consultation médicale préalable sont essentielles pour maximiser les bienfaits tout en minimisant les risques. En fin de compte, la mélatonine peut être un allié précieux pour la santé, à condition qu'elle soit utilisée de manière responsable et informée. Read the full article
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jimdtait · 7 months
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oviri7 · 1 year
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« L'idée même de l'« égalité » de l'homme et de la femme... est une stupidité. Le mâle et la femelle d'une même espèce vivante, dotés par la Nature d'aptitudes complémentaires pour l'accomplissement de destins complémentaires, ne peuvent jamais être « égaux ». Ils sont différents, et ne peuvent être autre chose que différents, même si on tente par tous les moyens de leur donner la même formation et de leur faire accomplir le même travail... La seule manière, non pas de rendre l'homme et la femme « égaux » - c'est impossible - mais de les faire entrer, bon gré, mal gré, dans le même moule artificiel, de les accoutumer au même type de vie, est de dépouiller la femme de sa féminité et l'homme de ses qualités viriles. »
Savitri Devi
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