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#achats livres
mutinelle · 1 year
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Ce que Muti a dans le collimateur #132
Comme tous les mois, quand je commence à “prospecter” sur mes prochaines acquisitions, je me dis : ” tiens, y’a moins de livres qui m’intéressent ce mois-ci !” Et quand je termine cet article, il déborde toujours de partout ! Les suites   Les nouveautés
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90sb-tch · 11 days
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Matinée shopping entre filles.
Achat de bagues licorne, livre musical sur le rock, barrettes arc-en-ciel, élastiques à petits noeuds, vernis qui part à l'eau, boîte à goûter, puzzle caserne des pompiers.
C'est si cool d'avoir deux ans et demi !
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abridurif · 3 months
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Dès le début, sans doute depuis toujours, il n’y a que des résistances. Qu’est-ce que la résistance ? La résistance est un matériau. Le cerveau a besoin de résistances. Tant qu’il peut accumuler les contestations, il dispose de matériau. Résistance ? Résistance déjà lorsque l’on regarde par la fenêtre, résistance lorsqu’il faut écrire une lettre –, on n’en aucune envie, on reçoit une lettre, encore une résistance. Pourtant, on finit par répondre. On descend dans la rue, on va faire ses achats, on boit une bière, mais tout cela pèse, c’est une résistance. On devient malade, on échoue dans un hôpital, le mal se complique – résistance une fois de plus. Des maladies dangereuses apparaissent tout à coup, on en guérit, mais elles vous restent néanmoins collées au corps. Résistance, naturellement. On parcourt des livres, résistance. On ne veut pas de livres, on ne veut pas d’idées, on ne veut ni paroles ni phrases, on ne veut plus d’histoire – on ne veut rien. Malgré tout, on s’endort et puis on se réveille. Se réveiller résulte de ce que l’on a dormi et se lever est la conséquence du réveil. Il faut se lever, malgré soi, sans envie. Il faut quitter sa chambre et le papier apparaît aussitôt, avec les phrases, au fond toujours les mêmes phrases, … on ne sait d’où elles viennent… Uniformité, n’est-ce pas ? De là, parce que l’on s’en rend compte, nouvelles résistances. Au fond, on préférerait dormir et ignorer tout cela. Puis soudain, retour du désir… Thomas Bernhard, « Trois jours »; publiée dans Der Italiener (1971), cette « auto-interview » se déroulait en 1970 sur un banc, dans un parc de la banlieue de Hambourg où Thomas Bernhard monologuait face à la caméra de Ferry Radax.
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duchesspeggy · 1 year
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Prince Eric ???? Vous êtes une femme (?) de goût également !
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Littéralement, mon premier achat de livres pour mon nouvel appartement (j'attends toujours qu'ils éditent le 5 et le 6 dans cet édition, surtout qu'Eric le Magnifique est un de mes préférés de la série ;__;)
Entre mon père et mes soeurs, on a tellement lu les premiers tomes dans leur vieille édition que les pages sont complètement décollées de la tranche x)
JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE DE RENCONTRER QUELQU'UN D'AUTRE QUI CONNAISSE !!! Ces livres sont toute ma vie, je les ai lus pour la première fois à 8 ans et je ne m'en lasse pas. (Et je suis toujours aussi amoureuse de Jef) Mais comme ils ne sont connus que dans les cercles scouts français, c'est un peu compliqué de trouver des fans sur internet
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adri-atique · 6 months
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LES CONTES INTERDITS - Auteurs variés
Les contes urbains sont de retour! Un collectif d’auteur québécois mené par Simon Rousseau à commencer, en 2017, à récrire les contes et légendes de notre enfance en contes trash, violents et purement urbains. En plus, ils sont toujours situés dans notre belle province adorée!
J’ai commencé l’expérience durant la pandémie de 2020. J’ai toujours détesté l’incertitude, et le mois de mars 2020 nous en a donné à ras bord. J’avais besoin d’évacuer ces frustrations, mais je ne pouvais pas sortir! La musique de gros déchainés ne faisait plus l’affaire non plus. Je me suis donc retourné vers la bonne vielle littérature. À l’époque je n’avais de la collection que Peter Pan, écrit par Simon Rousseau lui-même. Les romans policiers n’étanchant pas ma soif de violence, je décidai de tenter ma chance avec ce conte non recommandé au moins de 18 ans. J’avais 16 ans et rien ne pouvait m’arrêter.
À noter que j’ai lui ce livre en deux heures top chrono. Je suis immédiatement tombé en amour avec le concept. J’ai immédiatement supplié ma mère de venir avec moi au magasin de livre ouvert le plus proche pour en acheter d’autres. Utile de mentionner que ma mère m’a initiée à la lecture d’horreur dès le jeune âge de 13 ans grâce à Ça de Stephen King, donc elle n’était aucunement surprise de me voir émerger du sous-sol avec un bouquin sanglant, même qu’elle l’a ajouté à sa PAL. Bref, elle accepta de venir avec moi au magasin pour m’acheter d’autres livres. « Au moins c’est pas de la drogue » qu’elle ne cessait de se répéter à chaque livre que je lui rajoutais dans les bras.
Je suis revenue chez moi heureuse de mes achats. Tout les contes écrit à l'époque ajoutés à ma bibliothèque, je me replongeai dans ces univers glauques et écœurants. Ma mère, pauvre elle, tentait en vain de me faire monter pour manger. J’étais en transe. Jamais je n’avais lu autant de violence non censurée de cette manière. J’en voulais plus, plus, toujours plus.
Ironiquement, je n’ai jamais fait de plus beau rêve depuis mon binge des contes interdits.
Les contes interdits ont accompagné mon entrée au cégep à l’hiver 2021. Je lisais Raiponce en attendant mon cours de formation auditive. Ce fut le premier livre que j’ai du physiquement fermer pour cause d’haut le cœur.
Les contes interdits furent également les livres qui m’ont initiée aux auteurs québécois. J’en lisais déjà quelques-uns (veut, veut pas, on est fort sur le genre policier au Québec), mais je ne m’étais jamais arrêter plus loin que cela. Depuis, j’ai fait les salons du livres, les caravanes littéraires et autres événements littéraires pour rencontrer ces auteurs de chez moi. Bien franchement, que du bon monde.
Depuis ma découverte, je lis ces contes urbains pour me défouler. Aussitôt que je ressens de fortes émotions, je sais que je peux compter sur ces livres pour m’aider à les traiter.
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bookinette · 8 months
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Moi, qui suis-je ?
Bonjour à tous,
Me voilà enfin ! Eh oui, j’ai pris la décision de me lancer dans cette belle aventure. Étant une perfectionniste (un côté assumé, mais non accepté), j’ai mis du temps à me décider. Vous le remarquerez sans doute, mais je ne suis pas la meilleure pour m’exprimer, car je cherche souvent mes mots, mais je me suis dit : « pourquoi pas ». Pourquoi ne pas me lancer et voir ce que ça peut donner ? Après tout, je le fais pour moi et si vous embarquez dans mon aventure alors c’est encore mieux !
Avant d’aller plus loin, je devrais vous expliquer quel genre de blogue je vais lancer doucement. Vous êtes curieux ? Non ? Pas grave, je vais quand même vous en parler à travers une brève description de moi-même et la raison d’être de « Bookinette ». Je me prénomme Valérie, j’ai présentement dans la trentaine et je suis technicienne en documentation dans une école secondaire. Qu’est-ce que ça mange en hiver, me direz-vous ? Eh bien, cela ressemble un peut à être bibliothécaire, mais sans le titre et le BAC qui va avec. Cependant, j’ai la charge d’une bibliothèque scolaire. Je fais les achats, la préparation matérielle, mais surtout, la promotion et l’animation de la lecture. Ces deux tâches reviennent à conseiller des livres aux élèves, mais aussi mettre l’accent sur certains. Cela m’a pris du temps avant de savoir quoi faire de ma vie, mais étant une passionnée de lecture, j’ai finalement décidé d’aller faire mes études pour pouvoir un jour travailler avec les livres. MISSION ACCOMPLIE ! Maintenant, je peux partager ma passion des livres et faire de nouvelles découvertes.
La raison derrière le nom « Bookinette » est assez simple. Comme dit plus haut, étant une passionnée de lecture, j'ai souvent le nez dans les bouquins (Book) et comme je porte des lunettes et bien je me suis dit que ça serait un joli surnom. Bon, j'avoue c'est assez enfantin, mais ça m'est égale. Je suis une personne jeune de cœur et d'esprit, alors voilà une autre raison d'être de se petit surnom
Avant, je lisais beaucoup, voire un ou deux livres par semaine. Avec les études, j’ai perdu un peu de ce feu sacré, mais en écrivant ce blogue, j’aimerais retrouver la passion qui m’animait et recommencer à lire autant qu’avant. L’emploi que j’occupe me permet de découvrir de nouveaux romans et si je veux pouvoir les conseiller aux élèves, je dois les avoir lus. Voilà une bonne raison de m’installer confortablement dans mon divan, sous une couverture avec un bon livre dans les mains.
Dans tous les cas, j’espère que ce blogue vous apportera autant de plaisir à lire que moi ! J’espère vous faire découvrir de petites perles !
Au plaisir ♥
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comment aimer les livres et la planète ? - partie 1 : achat et lecture
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⏱️ 3 min
1) l'impact de la fabrication du livre sur la planète
Pour mesurer l’impact du livre sur l’environnement on peut faire une Analyse du Cycle de Vie (ACV) du livre, de l’extraction des ressources au recyclage (l’analyse de l’empreinte carbone est moins intéressante car unidimensionnelle). Dans cet article je me base sur la seule ACV du livre en France, réalisée par les éditions Terre Vivante sur « 1 tirage de 5000 exemplaires d'un livre de 310 g broché cousu de 160 pages en format 15x21 cm sur papier couché de 115 g/m2 PEFC »
a) papier
Plus de 70 % des impacts du livre sur l'environnement sont dus à la fabrication du papier. Il faut 2 à 3 tonnes de bois pour fabriquer une tonne de papier classique [1] Selon la Commission européenne, l'industrie du papier est la deuxième plus consommatrice d’eau douce. Elle serait avec l’imprimerie à l'origine de plus d’1 % des émissions globales de gaz à effet de serre. 70% du CO2 produit lors de la fabrication d’un livre vient de la fabrication du papier [2]. La production d’un seul livre émet environ 4 kilos de gaz à effet de serre. [3]
Elle utilise aussi des produits chimiques qui peuvent être toxiques et génère des déchets qui seront incinérés. Avant, on utilisait des gaz chlorés très polluants pour blanchir le papier mais aujourd’hui on peut le remplacer par un mélange de bioxyde de chlore avec du péroxyde d'hydrogène (eau oxygénée) ou par du péroxyde d'hydrogène avec de l'ozone.
Le remplacement des forêts anciennes par des monocultures d'eucalyptus engendre une perte de biodiversité et l'érosion des sols.
La fabrication de papier génère également des déchets (effluents issus du lessiveur) qui seront incinérés.
b) papier recyclé
La fabrication de papier recyclé est plus économe en eau et en énergie que la fabrication de papier à partir de bois car il est plus facile de faire de la pâte à papier à partir du papier qu'à partir du bois, la phase d'élimination de la lignine n'étant pas nécessaire. D'après Ecofolio, l'éco-organisme chargé du traitement des papiers, « la production de papier recyclé, par rapport à celle de papier non recyclé, consomme jusqu'à trois fois moins d'énergie, trois fois moins d'eau ».
Attention, les fibres ne se recyclent pas à l’infini, au bout d’environ cinq fois les fibres sont trop courtes (puisque redécoupés à chaque fois) et doivent être remplacées par des fibres de bois.
c) livre numérique
Le livre numérique ne représente aujourd’hui que 8,2% du marché. (2017).
Jean-François Ménard, analyste principal au Centre international de référence sur le cycle de vie des produits, procédés et services (CIRAIG) a réalisé une analyse comparée du cycle de vie d’un livre papier et d’un livre numérique et estime que l’empreinte environnementale du livre numérique est environ 1/10 de celle du livre papier, calculé comme si les deux tiers des lecteurs utilisaient un iPad et le tiers restant un Kindle. [4]
D’après une étude Ifop réalisée en 2016, il faut quatre ans pour les gros lecteurs, et soixante pour les lecteurs occasionnels, pour amortir l’impact environnemental d’une liseuse électronique (pour ces derniers il est plus écolo de lire des livres papier). [5]
2) lire d’occasion et emprunter en bibliothèque/à des amis
Plus il y a de personne qui lisent un même livre, plus son impact environnemental est faible. En plus, les bibliothécaires vous veulent du bien ! Iels sont là pour vous faire passer le meilleur moment possible avec un livre et iels n’attendent qu’une demande !
Là il y a évidemment une conversation à avoir sur la rémunération des auteur-ice-s, libraires et acteur-ice-s du livre en général. Je suis personnellement d’avis que la chaîne du livre a beaucoup de problèmes et que les auteur-ice-s sont si peu rémunéré-e-s qu’il serait plus efficace pour les lecteur-ice-s de les soutenir directement, en les rémunérant directement par exemple (si l’auteur-ice a un Tipeee par exemple, même si malheureusement la plupart n’en ont pas). Mais c’est une conversation pour plus tard.
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3) Solutions/conclusion
- choisir des livres imprimés sur papier recyclé (éditions Alto, Héliotrope, Mémoire d’encrier et Annika Parance, notamment impriment systématiquement sur papier recyclé),
- choisir des ouvrages imprimés avec du papier provenant d’arbres issus de forêts contrôlées (logo FSC en début ou en fin de livre, PEFC, Imprim’Vert…)
- emprunter / acheter d’occasion (mais soutenir les auteurs d’autres façons)
- beaucoup utiliser sa liseuse, et essayer de prolonger sa durée de vie au maximum (en la faisant réparer si elle a un problème et en s’en occupant bien)
- aller acheter le livre à pied/vélo/transports en communs et apporter son sac en tissu
- choisir un livre imprimé en France (dans votre pays de résidence)
Ressources:
[1] Greenpeace
[2] http://blog.sustainablog.org/eco-libris-how-green-is-the-book-publishing-industry-part-2/
[3] https://www.americanprogress.org/issues/green/news/2009/02/25/5615/its-easy-being-green-how-to-be-a-greener-reader/
[4] https://www.ledevoir.com/lire/589417/pour-la-planete-vaut-il-mieux-lire-sur-papier-ou-en-numerique
[5] https://fondationlitterairefleurdelys.com/2017/12/16/e-book-contre-livre-papier-quel-est-le-plus-ecologique-par-francois-girard-notre-planete-info/
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dykeboi · 9 months
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Suzanne Valadon, La Chambre bleue. 1923, Huile sur toile, Achat de l'État, 1924 Paris, Centre Pompidou. Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle Dépôt, Musée des Beaux-Arts de Limoges.
Cette femme étendue sur un canapé, fumant, détourne les codes habituels de la Vénus allongée et des odalisques orientalisantes. Avec sa forte stature, son bas de pyjama rayé et son air nonchalant, le modèle ne semble pas là pour séduire le regardeur. Son air pensif, sa cigarette ainsi que la pile de livres à ses pieds laissent entrevoir une femme émancipée. La touche de Suzanne Valadon est ici bien visible. Un cerne noir entoure des formes aux couleurs vives et contrastées. Il met en valeur le camaïeu de bleus ainsi qu'une superposition de motifs décoratifs. Tout en s'inscrivant dans la tradition, ce tableau brise les représentations habituelles de la féminité pour inventer un nouveau modèle contemporain.
This woman lies on a couch, smoking, turning away from the usual codes of lounging Venues and orientalist odalisques. With her strong stature, striped pyjama bottoms, and nonchalant air, the model does not seem there to seduce the viewer. Her pensive air, her cigarette, as well as the pile of books at her feet gives a peek at an emancipated woman. The hand of Suzanne Valadon is well seen here. Black lines surround forms of lively and contrasting colors. It adds to the monochrome palette of blues and superposition of decorative motifs. While remaining part of tradition, this painting breaks from habitual representations of femininity to invent a new contemporary model. (Photos and translation my own)
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Au détour d'une librairie - Felix Volturi x reader
Felix Volturi x fem! reader
French fanfiction - not proof read
Je sortais du métro en direction de la librairie quand je l’ai vu pour la première fois. Il suivait son ami en direction de la librairie, avec qui il échangeait en italien. Il était grand, mesurant facilement deux mètres. De là où j’étais, je pouvais distinguer une magnifique chevelure de jais. Je me sentais attiré par lui comme un aimant, comme si nous étions destinés à nous rencontrer. Je me mis à jouer nerveusement avec l’un de mes colliers. C’était la première fois que ça m’arrivait, et je ne savais pas comment réagir. Resserrant ma veste autour de moi, je décidais de continuer à me rendre dans cette librairie qui venait de recevoir le dernier livre illustré de Victoria Frances qui venait de paraître. Ayant adoré les deux premiers volumes, j’avais hâte de découvrir la suite.
En passant à coté des deux hommes, je ne pu m’empêcher de tourner mon regard vers eux. Et ma surprise fut grande quand je vis la beauté surnaturelle de ces deux être. Ils étaient magnifiques, et j’enviai la superbe silhouette androgyne du compagnon du géant. Il était plus grand que moi, et d’une élégance que j’avais longtemps cherché à atteindre sans y parvenir complètement. Quant à son ami, il était la plus sublime personne que je n’avais jamais vu. En croisant son regard, j’y lu une telle intensité que je me mis à rougir, et détournait rapidement mon regard. Intimidé par cet homme qui ressemblait à un dieu descendu sur terre, je me dépêchais de rentrer dans la librairie, en espérant que celle-ci ne soit pas la destination de ces deux beautés surnaturelles.
Je me dirigeais rapidement vers le rayon abritant le livre que je cherchais, m’en saisit et me rendit directement à la caisse afin de procéder à mon achat. 
J’étais embarrassé, et me sentait absolument ridicule. Rangeant mon livre dans mon sac, je me dépêchais de sortir, espérant éviter de me rendre plus ridicule encore.
Je me dirigeait rapidement vers l'arrêt de bus, avec en tête l'idée de me rendre à l'indien boutique afin de découvrir les nouveautés Alchemy England. J'adorais leurs bijoux, et lorsque j'avais un peu d'argent j'avais grand plaisir à en acheter un nouveau à ajouter à ma collection. Perdue dans mes pensées, je ne me rendis compte que l'homme m'avait suivi que lorsqu'il s'adressa a moi.
Sa voix était magnifique, riche et grave, et m'appelait comme le chant d'une sirène. Je me retournais, et levais la tête afin de regarder son visage. Aussi sublime que dans mon souvenir, cela me laissais confuse: pour quelle raison un homme aussi sublime était-il intéressé par moi?
Il s'excusa, et me pria d'écouter ce qu'il avait à dire. Il m'offrit de nous rendre dans un parc à proximité afin de discuter, et j'hésitais. Mais cette irrésistible attraction revint, et je me surpris à accepter sa requête. Je le suivis donc, et nous nous installâmes dans un coin tranquille, à l'abri d'oreilles indiscrètes, ce dernier point semblant important pour l'homme qui se présenta comme Felix. Il avait un accent très agréable, que je supposait italien. Notre conversation confirma mon observation.
Felix résidait en Italie, et était ici en voyage d'affaires avec son ami Demetri. Et... ils étaient des vampires. Je refusait d'y croire au début, mais après de nombreuses explications sur lui, sur sa vie et sur le clan vampirique auquel il appartenait, les Volturi, je finis par être convaincue. Et ce fut la dernière nouvelle qui me surpris le plus: chez les vampires, le concept d'âme sœur était une réalité, et Felix avait cherché la sienne longtemps. Jusqu'à... Moi. Cette attirance qui me ramenait à lui était en fait ce lien que je ressentais. Lorsque je me confiait à lui, il fut surpris, mais un immense sourire apparu sur son visage : apparemment, il était très rare que les humains ressentent ce lien, et cela signifiait que le nôtre était puissant, et un bel avenir se promettait à nous.
Comme il commençait à se faire tard, Felix me raccompagna chez moi, et nous discutâmes tout le long du trajet, échangeant des informations sur nous, pour apprendre à mieux nous connaître. Il me quitta avec mon adresse et mon numéro de téléphone, me faisant la promesse de me recontacter rapidement. J'avais hâte de retrouver mon beau vampire et de découvrir le futur que le destin nous offrait.
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auxgalops · 1 year
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Le voilier qui provenait des étoiles - broché - Alain L'Heureux - Achat Livre | fnac
https://www.fnac.com/a9298533/Alain-L-Heureux-Le-voilier-qui-provenait-des-etoiles
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Au pied du sapin, dix titres, dix auteurs, dix univers poétiques que je suis très heureuse de proposer et accompagner au quotidien.
En attendant de faire découvrir les publications 2023, ce petit florilège en guise de bouquet de fête.
Excellentes fêtes à toutes et tous !
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mutinelle · 2 years
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Ce que Muti a dans le collimateur #131
Les mois se suivent et se ressemblent : trop de livres me tentent, je ne peux malheureusement pas tous me les procurer mais zhom trouve toujours que cela fait trop ! Les suites Nevernight tome 2, Les grands jeux de Jay Kristoff (J’ai lu le 1er) Résumé : Mia Corvere est désormais une Lame de Notre-Dame-du-Saint-Meurtre, autrement dit une assassine, et quoiqu’elle enchaîne les missions pour le…
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marasutopia · 2 years
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Dernier achat : "Apprendre, si par bonheur" de Becky Chambers. Aux éditions nantaises L'Atalante.
Mi amis ĉi tiun libron. Mi rekomendas ĝin.
Cela faisait un moment que je voulais lire ce roman décrit comme étant représentatif du "hopepunk". C'est un petit livre qui nous emmène en voyage pour apprendre. Un voyage doux, paisible et captivant, qui ne met pour autant pas de côté les objectifs scientifiques de l'expédition.
Pas de conquêtes, pas de pillage, pas d'instrumentalisation du monde et de la nature.
En le refermant, je me suis sentie bien.
On a besoin de plus de récits comme celui-ci. En tout cas, c'est mon avis. Je n'ai pas besoin de me miner davantage le moral avec de la SF dystopique au vu de ce qui se passe et du futur qu'on va se taper.
La planète brûle. Ok, j'ai compris. Ricevis ĝin. Je vais pas ouvrir un bouquin pour angoisser encore plus. Un bouquin sans doute écrit par un mec déjà mort ou qui le sera quand le monde s'effondrera.
Je sais pas. J'ai l'impression qu'on nous a menti. Quand on est petit, on croit que la vie ce sera simple. Des études, un travail, consommer, faire du shopping, les cadeaux de Noël commandés sur Amazon, se mettre en couple, acheter un pavillon dans une banlieue, une voiture, partir en vacances au soleil, tout ça. Quand on est petit, on s'imagine que ce sera aussi simple que ça. Que la vie c'est un film. Et en fait non. En fait, tout va s'effondrer et on ne pourra rien y faire.
Enfin bref.
Sinon, rien de neuf. J'essaie toujours d'apprendre l'espéranto (j'ai hésité avec l'interlingua). J'ai abandonné mon idée de blog littéraire car je ne sais pas. Pas la foi.
Je devrais lire un autre livre de Becky Chambers.
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culturevsnews-blog · 7 hours
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Toi & Moi de PACCO
Achat : https://amzn.to/47BFVHL Toi & Moi, la BD qui rend amoureux. Après plusieurs albums sur sa vie de papa solo et sur sa famille recomposée, Pacco nous parle cette fois du couple. Chronique : Avec Toi & Moi, Pacco nous livre une œuvre pleine de tendresse qui célèbre l’amour et la complicité au sein du couple. Après s’être fait connaître à travers des albums marqués par son humour sur la…
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journaldenimportequi · 22 hours
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Mardi 24 septembre 2024
Les disquaires de Clermont-Ferrand
Décidément, on dirait bien que j'ai pris l'habitude de poster une fois par mois, ce qui est regrettable : ce n'est pas à ce rythme que je vais pouvoir pondre un pavé et le faire publier (je refuse de publier moins de 200 pages).
Mais que voulez vous, il ne m'arrive rien de bien passionnant en ce moment.
L'autre jour je suis sorti avec mes potes : Justine, Arthur et Canel. Nous sommes allés manger un burger dans un nouveau restaurant qui remplaçait le restaurant à bagels dans l'avenue des Etats-Unis qui n'aura pas tenu bien longtemps.
Ensuite nous sommes allés faire les disquaires et errer dans une librairie.
La boutique de mon frère a enfin ouverte. Il y avait du monde. Il y a du monde depuis l'ouverture, c'est nouveau, les gens sont curieux, ils viennent voir. Pourvu que ça dure. Justine a trouvé son bonheur et est repartie avec deux disques.
Après quoi nous nous sommes rendus à la librairie « La Librairie » (on aura connu des noms plus originaux) où Justine et Canel on trouvé des bouquins à acheter. Moi, je me suis retenu, parce que ma pile a lire est plus importante que jamais et je dois avoir une bonne vingtaine de livre que j'ai achetés et pas encore entamés.
Ensuite nous sommes allés chez Rolling Rock. Le propriétaire de la boutique, Sylvain, m'a montré le sticker « Vachement Bien » qu'il a collé sur son comptoir. J'ai trouvé ça très sympa comme geste. Il montre par là qu'il n'y a nulle concurrence entre les deux boutiques de disques. Et il a raison, je ne crois pas qu'une boutique ne vole les clients de l'autres. Les deux boutiques sont différentes. J'aime penser que Vachement Bien plaira aux lecteurs des Inrocks tandis que Rolling Rock est l'endroit parfait pour les lecteurs de Rock & Folk. Et je dois avouer que mes goûts penchent plutôt du côté de chez Rolling Rock : que voulez-vous, je resterais éternellement attaché au bon vieux rock à papa et au blues, et c'est chez Rolling Rock que l'on trouve les disques de Dylan, des Beatles, des Stones ou de Bruce Springsteen. Alors que je ne suis pas capable d'identifier la moitié des disques pour hipster de la boutique de mon frère.
Cependant, Justine, elle, n'a pas fait de jaloux, elle est ressortie de chez Rolling Rock avec un disque, elle aura donc été cliente des deux boutiques de disques.
Quant à moi, mon prochain achat sera chez Vachement Bien parce qu'ils vendent encore des cds et que j'ai commandé le dernier Jack White dans ce format là (pour une fois qu'il y a une nouveauté qui m'excite!).
Après cet après-midi consacré au shopping, nous avons atterris sur une terrasse place de la Victoire et j'ai payé ma tournée, puis nous nous sommes séparés.
Le mois d'octobre approche et avec lui mon prochain trip parisien. En effet, si tout va bien, je serai à la capitale entre le 7 et le 9 octobre. J'ai prévu d'y croiser un maximum de monde, j'espère arriver à caser un créneau avec tout le monde (dont mon cousin Jimmy que je tiens à fréquenter, c'est le seul cousin avec qui il me reste un semblant de relation).
Mon père est toujours hospitalisé dans un nouvel établissement hospitalier depuis une dizaine de jours, il paraît qu'il remarche un peu avec un déambulateur. Ils lui font aussi faire des séances de kiné et d'autres exercices, quand il veut bien, mais il trouve les journées très longues et il déprime et ne pense qu'à rentrer à la maison, ce qui ne sera possible que lorsqu'il arrivera à marcher correctement. J'irai probablement le voir bientôt. Penser à tout ça me déprime. Heureusement, il y a mon neveu et ma nièce. Les voir me ravit, ils sont la jeunesse, l'avenir, ils sont la vie !
Avec ma mère nous sommes allés chercher Paul à la sortie de l'école. Il est maintenant en cp. Il parle beaucoup et la richesse de son vocabulaire m'étonne toujours. Ainsi, il nous a fièrement montré son nouveau blouson « réversible ». Est-ce que je connaissais le mot « réversible » moi à son âge ? Je ne suis pas sûr.
En ce moment je dévore l'ouvrage de Stephen King qui parle d'écriture, dans lequel il raconte son travail d'écrivain et sa méthode. Je prend des notes mentales, car l'envie d'écrire ne m'abandonne pas, au contraire. Je voudrais me lancer dans la fiction, c'est l'un de mes rêves, j'ai quelques pistes mais encore faut-il s'y mettre et de ce côté là je suis pas mal handicapé par ma tendance à procrastiner. C'est pour ça que je cherche un atelier d'écriture, je me suis dit que si j'en étais membre, ça me forcerait à écrire.
Sinon, je suis toujours sur Tinder, mais je ne fréquente plus les autres apps de rencontres, car à la longue c'était infernal et déprimant. J'ai eu pas mal de matchs dernièrement, peut être une quinzaine ce dernier mois, ce qui est énorme pour un vilain de mon espèce. La plupart de mes matchs sont des femmes qui vivent en région parisienne, et elles se désintéressent à moi lorsqu'elles apprennent que je vis en fait à Clermont-Ferrand.
Mais, l'autre jour, miracle, je match avec une fille qui vit à Clermont ! Nous discutons un peu et j'apprends qu'elle est finlandaise, ça explique pourquoi nous avons matchés, car les vraies clermontoises, elles, me méprisent complètement. Toujours est il que nous avons discutés, en anglais (elle m'a complimenté sur mon anglais, la pauvre risque de vite déchanter quand elle m'entendra parler anglais avec un accent à couper au couteau). Bref, on est censé se voir bientôt (à son initiative). Je ne m'emballe pas, cela dit, parce qu'en général tout ça ne mène à rien. On verra bien.
Ok, j'ai rempli deux pages, c'est pas mal, je pourrais me coucher satisfait.
A bientôt, tout le monde !
Bande son : Lucky Boy At Night, DJ Mehdi
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sango691-fan-hl · 5 days
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Chapitre 7: L'attaque du Troll - Part 1
“ Je crois qu’on a tout ce qu’il faut. Nous pouvons retrouver Sebastian maintenant. J’espère qu’il a pas trop attendu.” Dit Nolan à sa soeur qui hocha la tête. “Oui, nous pouvons le retrouver. S’il a beaucoup attendu, on pourra lui payer un verre de Bièraubeurre ou quelque chose à manger. Je suis sûr qu’il n’est pas contre qu’on lui offre une boisson gratuite.” suggéra Helena. “Ou tu peux lui offrir un bisou ? Il y a plein de garçons qui sont prêts à payer … Aie aie pardon Hele ! S’il te plait c'était pour rire.” supplia le serpentard qui se faisait pincer les joues par sa sœur mécontente. Elle le prenait pas mal venant de son frère qui le taquina. “J’offre un bisou pas à n’importe qui Nono. Mais …
- Je t’offre une tarte au citron. - Ok. “ Elle donna un bisou sur la joue endolorie de son frère avant que les deux ne riaient ensemble malgré les regards.
Les deux jeunes sorciers continuent leur chemin en direction de la place centrale du village où attendait le serpentard brun qui lisait un livre en attendant avant de le ranger lorsqu’il aperçu ces deux camarades.
“Nous revoilà ! Nous avons officiellement tout ce qu’il nous faut. Pardon pour l’attente, j’espère que tu n’as pas trop attendu.” s’excusa le jeune Drake au serpentard.
“Très bien. Non, ne vous inquiétez pas, je n’ai pas attendu si longtemps que j’ai à peine lu une page de mon livre. “ Sebastian faisait preuve de modestie pour ne pas gêner la fratrie.
“Je crois qu’on a trop tardé à la librairie à la recherche de livres en plus des achats scolaires.
- Ah oui ? Et qu’avez pris comme livre.
- J’ai trouvé un livre avec des contes pour enfants mais je trouvais les illustrations très jolies donc je l’ai acheté. Et Helena a pris deux romances “La rose et le serpent” de Enoimard et “La chanson de la lune” de Grango.” Dit Nolan avec un sourire innocent alors que Helena rougissait.
“Je vois. Je crois bien que ma soeur à lu aussi quelques romances de Enoimard.” Dit Sebastian qui voyait Helena rougir, en tant normal il l’aurait taquiner mais il ne voulait pas faire mauvaise impression même si la taquinerie était gentille. En voyant que la fille sourit, soulagée qu’elle n’était pas seule à acheter de tel romance, de quoi rendre Seb fière d’avoir su bien réagir. De plus, son fond intérieur criait comme quoi Helena était mignonne à rougir. Il se demandait bien ce que les livres de sa camarade pouvaient bien raconter, peut-être qu’il demandera à sa sœur à sa prochaine visite. “Oh! Donc le roman est populaire. Je devrais aussi le lire …outch !” Helena donna un petit coup coude dans les côtes de son frère pour qu’il se taise afin de changer de conversation, l’action à de quoi amuser Seb. La serdaigle aurait bien voulu questionner sur l’avis de sa sœur sur les romans mais ça serait dangereux pour elle.
“Hmm! Aussi pour nous faire pardonner de l’attente et te remercie d’être notre guide à Pré-au-lard, nous t’offrons un verre de Bièraubeurre ou quelque chose à manger si tu préfères après la visite.” proposa Helena qui tenta de reprendre son calme face à son camarade.
“C’est sympa, merci ! Je ne dirai pas non à une Bièraubeurre offerte.” s’exclama joyeusement Seb.
“Et toi tu as trouvé ce que tu cherchais pour ta soeur ?” demanda Helena.
“Oui. Bon je suppose qu’on est libres comme l’air, maintenant. Allons voir ce qu’on peut trouver d’intéressant.” suggéra le brun, il pensa à plusieurs boutiques intéressantes à faire comme Zonko et Honeyduke. Mais le cours de ces pensés fut très vite coupé par un bruit assourdissant de casse de bâtiment puis des cris de sorciers qui s’affolèrent. De quoi surprendre les trois étudiants de Poudlard qui se retournèrent en direction du bruit qui s’approchait rapidement vers la place où ils étaient. 
Part 2 -> ici
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