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#anti-gauchisme
helshades · 7 months
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Ce qui me fascine, au fond, dans le déni du délire antijudaïque conjoints des extrêmes-droites complotistes tant christo-franco-natiochauvines qu'islamistes repris quasiment tel quel par la Gauche béni-oui-oui américanisée de ces dernières années, c'est moins le cynisme électoraliste évident chez certains que la sincérité toute aussi évidente chez d'autres.
Il y a une espèce de voile magique sur les yeux d'une partie du gauchisme post-moderne qui glapit son « antisionisme » à tout bout de champ en essentialisant tellement ce fameux sionisme qu'il ne fait aucun doute qu'il s'agit de juiverie et pas de positionnement politique. Je repense souvent au titre du plus célèbre brûlot de la papesse de l'indigénisme francophone, ce Les Blancs, les Juifs et nous fiévreux de bêtise satisfaite où l'on entend tinter la machine à sous entre chaque ligne — parce que le racisme anti-tout-sauf-arabe-et-musulman rapporte, depuis une paire d'années, quand même.
Bref, j'ai l'impression que pour les petits blancs qui composent le gros de l'électorat éléfiste, le Juif est une sorte d'Überweißer qui bénéficie de tous les privilèges censément accordés à la naissance de toute personne de la race et qui de surcroît jouit de ce don suprême du statut de victime ultime et éternelle en raison de son histoire récente comme objet du pire massacre de l'Humanité. Il ne faut pas perdre de vue la logique post-moderne de l'identitarisme qui hiérarchise les groupes humains en fonction du nombre de cases à cocher dans le bingo intersectionnel. Le Juif est une figure intensément problématique parce qu'il est à la fois « blanc » (dans la tête de ses ennemis, ethno-nationalistes européens notoirement exceptés) et victime de racisme systémique à travers l'histoire mondiale. Or, il s'opère une véritable jalousie de la victimité, un ressentiment marqué pour qui appartiendrait à un groupe aux souffrances indéniables, ou tout au moins qui requièrent un plus grand effort pour les minimiser voire les nier.
Il y a un refus généralisé à gauche en Occident à l'heure présente de reconnaître la part de racisme féroce qui sous-tend le grand mouvement international de « soutien à la Palestine » — en prônant l'annihilation pure et simple d'Israël et généralement de tous les juifs — alors même que des drapeaux de l'État islamique ont endeuillé les mêmes cortèges londoniens d'où l'on a chassé des militants gays, et que la foule massée à Sidney scandait « Gas the Jews! ». Une chose que l'on m'a répétée toute mon enfance me revient aussi en tête ces derniers temps : comme on fait son lit, on se couche. Les anglophones ont une expression similaire à propos des gens avec lesquels on choisit d'aller se coucher.
Les Israéliens ont rassemblé un vaste panel de journalistes étrangers pour leur montrer des images et vidéos issues de caméras de surveillance qui ont capturé une partie des massacres du 7 octobre. Ils ont quelque peu tardé à le faire ; ils ont choisi de ne pas publier ailleurs ces éléments, par respect disent-ils pour les familles. En réalité, on sait que des clips iront alimenter en boucle la propagande jihadesque, la tuerie géante du 7 octobre ayant donné lieu à de grandes manifestations de liesse dans le monde. Les journalistes, occidentaux surtout, sont chargés d'aller répéter dans leurs pays respectifs la réalité du pogrom, d'ores et déjà niée par pléthore de bonnes âmes qui se persuadent avec application que d'éventrer des femmes enceintes ou arracher les yeux et couper des doigts à des parents devant leurs enfants, de décapiter des vieillards à coups de bêche ou de filmer le viol de petits garçons pour en envoyer la vidéo à leurs pères — que tout ceci constitue un acte de résistance à l'oppression.
Je ne publierai pas de photos ni de vidéos démontrant l'horreur d'une boucherie délibérée dirigée contre les seuls civils. L'image est une arme de guerre. Il ne fait aucun doute que Tsahal ne se prive pas de s'en servir. La seule attitude digne et sage pour la population occidentale si éloignée de ce conflit devrait être de ne pas prendre parti et de pleurer tous les morts en frères, de quelque côté qu'ils mourussent. Je ne pense pas avoir besoin de contempler le cadavre d'un nourrisson étêté et vidé comme un poisson, ni le corps tordu d'un père pleurant prostré sur le corps de ses enfants, pas plus que des ruines ou des bâtiments en flammes, pour honnir la guerre et ce qu'elle fait à ceux qui l'ont parfois peut-être appelée de leurs vœux par ignorance mais qui ne l'ont jamais décidée.
Je suis révulsée, plus que tout, par le soin méticuleux que mettent tant de progressistes autoproclamés à se coller des œillères quand il s'agit d'islam. J'y vois un profond mépris, en réalité, pour l'objet professé de leurs attendrissements : il est là, le plus veule et feutré des racismes, dans le refus constant de reconnaître un libre-arbitre et la même capacité au mal chez le musulman que chez un autre. Ces aveugles-là n'hésiteront d'aucun royaume, et leur lâcheté perdra tous ceux qui voient encore quelque chose. Pourquoi faut-il toujours qu'ils ne voient dans l'islam que ce qu'en clament ses plus sinistres chantres ? Pourquoi ne veulent-ils comme porte-parole que les plus extrémistes idéologues, qui ne s'embarrassent même plus de taqîyya pour séduire ces cuistres masochistes ?
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lepartidelamort · 5 months
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Comme nous l’avons expliqué ici depuis longtemps déjà, la fière Pologne soumise à ZOG, fer de lance de l’OTAN contre la Russie, devait finir par suivre le modèle de la démocratie de marché multiculturelle en vigueur à l’ouest.
C’est désormais assumé par le nouveau gouvernement homo-atlantiste au pouvoir à Varsovie.
Le système judéo-capitaliste met les femmes à l’école, puis au travail. Elles s’émancipent de leur rôle de mères pour devenir des consommatrices. L’effondrement de la natalité suit inévitablement.
Le profit étant le principe qui organise les sociétés capitalistes, l’expansion de la production se heurte à la réduction de la consommation qui résulte de la dénatalité. Pour dépasser cette contradiction interne, le système importe de nouveaux estomacs.
Le juif étant par ailleurs férocement anti aryen, il voit dans l’immigration de remplacement et la bâtardisation des sociétés blanches le moyen d’établir sa domination définitive sur elles. C’est pour cela que le gauchisme « woke », communautaire, est promu avec agressivité par la finance juive, ses médias et partis en même temps que l’immigration de remplacement.
Avec les migrants, les consommatrices blanches, reconfigurées par le féminisme, sont le pilier de cette ingénierie sociale et raciale.
Seuls les idiots croient que la démocratie puisse être autre chose qu’une escroquerie juive. Une fois une élection perdue, elle n’est jamais défaite.
Quand les partis juifs parviennent au pouvoir, ils créent les conditions structurelles pour assurer leur contrôle définitif en bouleversant la base anthropologique du pays. Que ce soit par l’avortement ou l’immigration.
Avoir le droit de changer les élus fantoches ne modifie par la structure de ce système. Il est un et indivisible, contrairement à ce que les Polonais, Hongrois et autres affirment. Ces gens, en adhérant à l’UE et à l’OTAN, pour accéder au capital juif, finissent inévitablement par voir leur classe politique achetée. Une fois dans la poche du grand capitalisme financier, ils passent toutes les lois nécessaires à la rupture anthropologique.
C’est la raison pour laquelle ici nous avons toujours été pro-russes et résolument hostile à la droite juive pro-OTAN. Nous vivons sous un même système, ce système est unique et cohérent, et tôt ou tard il normalise ses périphéries. Il n’y a qu’une attitude à adopter face à lui, c’est de le détruire. Si ce n’est de l’intérieur, alors de l’extérieur en exploitant les failles qui s’ouvrent alors.
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charlottalaregion · 2 months
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mon compte rendu subjectif du conseil régional du 27 mars 2024
Plan des mobilités 2030, jeux olympiques, soutien à l'Ukraine 
V. Pécresse nous attaque direct en disant qu’elle va porter plainte pour harcèlement contre des élus écolos, car trop de procédures judiciaires. Elle va nous faire pleurer. 
Le PS, le PC et LFI posent la question de la vétusté des lycées et pointent la priorité aux lycées privés et le malaise de l’école. La droite fait une question parfaitement amalgamante entre islamisme et gauchisme… Et Pécresse répond “manipulation de l’extrême gauche” et nous livre encore un satisfecit sur sa politique lycées. Le déni quoi.
LREM pose la question de la cyberattaque de l’ENT. Réponse un peu vague, qui insiste sur le fait que ce n’est pas qu’en Ile de France.
Nous pointons la dégradation générale des services publics régionaux, des lycées aux transports et nous dénonçons la hausse des tarifs de cantine.
On salue l’arrivée de la nouvelle présidente du CESER, Valérie Muller. Le CESER, c’est le conseil économique, social et environnemental régional et ses avis sont toujours précieux.
Une chouette mobilisation se déroule devant le conseil régional, avec le collectif pour le triangle de Gonesse. Paille et chevaux (ceux de la police) : la campagne de Gonesse à St Ouen, pour dire non au projet de cité scolaire en plein champ et à la gare inutile. 
Vient ensuite le vote du PRIC 2024 - 2027 (c’est le plan sur la formation professionnelle et sur l’insertion). Nous regrettons la vision trop dirigée vers les besoins des entreprises, et défendons les formations sanitaires et sociales, ainsi que vers les métiers de la transition, à peine évoquées.
Une expo sur l’hiver 54 de la fondation Abbé Pierre est dans les locaux du conseil régional. Franchement gonflé quand on sait la politique “anti-ghetto” qui est surtout anti logement social de V. Pécresse.
On accueille l’Ambassadeur d’Ukraine, pour une motion de solidarité de la région IDF et pour une aide d’urgence de 500 000 €, que nous votons évidemment. On regrette cependant qu’il n’y ait pas plus d’aides directes aux associations.
Le plan de mobilité 2030 est présenté par Stéphane Beaudet, le vice-président transport, qui était absent pendant la commission transport préalable…. car il était au ski (post instagram à l’appui). C’est donc avec un beau bronzage qu’il nous présente ce plan, préparé et déjà voté par IDF mobilités. On a appris très tardivement qu’on pourrait faire des amendements, et c’est ce qu’on a fait, pour défendre des objectifs plus ambitieux, des rues aux écoles, les ZTL, le choc de l’offre, le tramway T11 etc.
L’UDI parle d’un vrai plan “centriste” (c’est peut être ça le problème en fait !) et veut des objectifs “réalistes” (mais moins 55% c’est l’objectif neutralité carbone de la loi européenne sur le climat). La droite vante la vidéo protection, et trouve que sa politique est bonne sur la qualité de l’air dans le métro. Elle parle du nouveau super parc vélo de la Gare du Nord (mais c’est l’arbre qui cache la forêt car l’équipement des gares franciliennes est particulièrement mauvais). Même LREM pense que la mise en concurrence des bus en grande couronne n’a pas été une réussite ! Le PC dénonce la privatisation du réseau et demande fort justement la lutte contre les VSS dans les transports et la féminisation des noms des stations. Le RN parle évidemment de l’insécurité, mais sans rien proposer, et porte un discours très très pro-bagnole. En réponse aux interventions, S. Beaudet parle de dogmatisme et posture. 
Sur les amendements, on demande un scrutin public sur les rues aux écoles. Rejeté (UDI et LR votent Contre, Gauche et ecolo votent Pour ; LREM vote Abstention), la droite vote contre sans trop se fouler pour l’expliquer. En fait, S. Beaudet ne répond à aucun des amendements écolos, sauf ceux présentés par Jean-Baptiste. Mépris total.
On vote contre, à cause des projets routiers de ce plan. 
Un point est fait sur les JO, en présence du directeur du COJOP. V. Pécresse fait le pari de “la gagne collective” et “veut épater le monde”. Certes il y aura quelques “désagréments” pour les Franciliens. Le Directeur annonce qu’on est dans les temps. V. Pécresse parle de l’accélération des chantiers transports (métro 14, RER E) “grâce aux Jeux” mais oublie de mentionner que ces chantiers ont tous été initiés par P. Serne (ancien VP transport écolo), il y a plus de 10 ans et auraient vu le jour de toute façon. Nous dénonçons “le revers de la médaille” (du nom du collectif du même nom), l’envers du décors, à base d’exclusion sociale. 
La chambre régionale des comptes a fait un rapport sur l’Agence des Espaces Verts (renommée IDF Nature), le rapport prône son absorption dans les services de la région et ne voit pas trop à quoi sert cette agence indépendante. Mais ses missions sont trop restreintes et l’agence manque de moyens.
On vote la création d’une mission d’information et d’évaluation sur la formation professionnelle. 
Un vœu de l’UDI demande la fermeté pour les petites peines de prison, donc le tout-carcéral, en réponse aux émeutes de l’été dernier. Comme si la surpopulation carcérale n’existait pas. Hélas l’enfermement ne résout pas du tout la petite délinquance.
Le voeu de LFI porte sur la crise du logement. Rejeté évidemment.
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gauchedecombat · 5 years
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  Ne manquant jamais de suivre quand je le peux l’évolution des affaires  de pédophilie (l’un des crimes les plus monstrueux à mes yeux)  dans l’Eglise, surtout française, j ‘ai été comme beaucoup je pense satisfait de l’annonce de la condamnation du cardinal Barbarin,  dont beaucoup de victimes et d’associations, comme “la Parole Libérée“, dénonçaient depuis longtemps le coupable silence…
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Cette fois, enfin, la justice reconnait la lourde responsabilité du prélat, pourtant incontestable, mais couvert par tant et trop de catholiques, dont des responsables de premier plan, ce qui a fortement contribué à l’impunité si étrangement et trop longuement durable de ce crime  :
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Il semblerait que le (si peu) saint homme aille remettre sa démission à celui que l’on nomme le saint père dans cette fable là. L’acceptera-t-il, comme on sait qu’il l’a si honteusement refusée auparavant ? Qu’importe. En fait, je m’en fous, même s’il m’apparait plutôt souhaitable pour les cathos qu’il le fasse effectivement, et lui propose une place qui l’empêche de continuer à se taire sur des crimes si évidents…. perpétuant ainsi leur faute (je reprends leur terminologie) collective.
Mais ce qui m’amène à m’exprimer ici, en restant fidèle à la vocation et à la ligne éditoriale de ce blog, c’est qu’il se trouve que, malgré l’évidence, et tout ce que l’on sait de cette histoire, j’ai surpris sur twitter un individu médiatique de premier plan (qui n’est pas un inconnu vu son pedigree), soutenir publiquement le prélat coupable :
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C’est vraiment touchant, cette foi et cette charité chrétienne chevillée au corps, Yves Marie Denis André Audren de Kerdrel. Comme on aimerait qu’elle s’illustre davantage à propos de valeurs un peu plus nobles que le silence de l’Eglise sur les crimes commis sur des enfants et des adolescents… Et comme on respecterait davantage cette religion si elle s’ incarnait un tantinet davantage chez vous par l’amour de son prochain, ce qui ne m’est pas apparu très clairement dans un certain hebdomadaire que vous avez dirigé..
Un hebdomadaire plusieurs fois condamné pour provocation à la haine raciale et religieuse… comme pour seul exemple ici :
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… et un torchon raciste qui a profondément choqué l’antifasciste que je me revendique d’être par la couverture médiatique qu’il a pu avoir du procès Méric. Une honte absolue.  Mais cela ne nous étonnera pas quand cela vient de quelqu’un qui nous a tant habitués à une ligne de conduite, sinon éditoriale, marquée par un positionnement si extrêmement droitier, qu’on trouve décidément un peu trop souvent chez les catholiques… Mais… Pas d’amalgame, n’est-ce pas ? 😉
  On informera simplement nos lecteurs.trices sur le fait que la fiche wiki de Valeurs Actuelles, dont il a été jusqu’en 2018 directeur de publication, nous dit que “L’hebdomadaire aux valeurs nauséabondes” (titre de l’Huma)  “suit une ligne éditoriale libérale-conservatrice, qui se radicalise en 2012 avec l’arrivée d’Yves de Kerdrel” (source) Je confirme. Rarement vu un titre de presse si souvent condamné pour ces unes racistes et xénophobes… hormis Minute, peut-être (qui n’existe plus, ou si peu…) ?
Je découvre qu’il  (de Kerdrel) officie également sur Sud radio. (Et dire que moi, je galère pour trouver un job digne, qui me permette de vivre simplement décemment…).  Mais comme je ne suis pas étonné : le même fond de commerce les lie : celui de la haine raciste. Une industrie florissante, aujourd’hui… Ils propagent le même registre de fake news, de propos anti-migrants et xénophobes, et de complotisme, le même anti-gauchisme primaire, avec aussi peu de préoccupations déontologiques. Jusqu’à mettre en danger, pour Valeurs Actuelles,   la vie même d’au moins un informateur dans une affaire de terrorisme, à la manière d’un Jean Poney...  Rien ne les arrête pour satisfaire leur idéologie raciste. Et les intérêts sonnants et trébuchants de leur petite entreprise aux murs repeints en brun.
Et dire que ces gens là se sont prévalu, sur un autre registre, des intérêts supérieurs de l’enfant… Que la honte les étouffe, au jour de leur jugement dernier auquel je ne crois pas, étant fort heureusement athée, quant à moi, ce que je n’ai pas toujours été… Je sais de quoi je parle, pour avoir été confronté aussi dans ma jeunesse à cet univers catholique de l’intérieur… Et je sais fort bien ce qui caractérise en général ce milieu là (il y a des exceptions, bien sûr… Gardons nous du danger de l’essentialisation propre au racisme) : le non-dit et l’hypocrisie. Christianophobie (encore un mot inventé par l’extrême-droite, un marqueur…) chez moi ? NON. Pas plus que d’islamophobie ou d’antisémitisme. Bien qu’athée, je tolère toutes les religions bien qu’elles soient à mes yeux de simples légendes dont les effets m’apparaissent si éminemment toxiques dans les actes…  et si peu respectueuses pour la plupart des droits des femmes, notamment, comme l’est indéniablement l’église catholique. Qui persiste à renier aux femmes le droit de disposer de leur corps alors que sa hiérarchie est exclusivement composée d’hommes… Cherchez l’erreur. Qui, comme les autres religions d’ailleurs,  fait de la sexualité au mieux un tabou, au pire, un terrain de chasse à courre et sa seule propriété sur lequel elle a droit de critique et de cuissage absolu… Comme l’histoire est si clairement et cruellement en train de le démontrer en ce moment… Mais chacun.e croit bien ce qu’il veut. Par contre, la liberté des un.es s’arrêtant où commencent les droits des autres, ce que je ne tolère pas, par contre, c’est la pédophilie, le sexisme, la domination masculine, le racisme, les LGBTQ phobies (belle hypocrisie, quand on sait ce que l’on sait..), la xénophobie, l’islamophobie (si présente dans les tenants de cette religion, comme autrefois l’antisémitisme, d’ailleurs… Normal : une religion concurrentielle, que voulez-vous…), le mépris et/ou la condescendance envers les pauvres, l’anti-gauchisme (très) primaire… etc etc etc. Tout ce que je combats ici, quoi. Qu’il soit présent là ou ailleurs. N’en déplaise à Monsieur de Kerdrel et à ses semblables.
  Rubrique “c’est à vomir” : Où @ydekerdrel de @Valeurs et @SudRadio soutient #Barbarin (dans l’intérêt supérieur de l’enfant ?) #pedophilie Ne manquant jamais de suivre quand je le peux l'évolution des affaires  de pédophilie (l'un des crimes les plus monstrueux à mes yeux)  dans… 973 more words
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claudehenrion · 2 years
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‘’L'islamisme : une histoire globale’’
  Ce mois-ci, le monde catholique a célébré la canonisation de Charles de Foucault qui avait déjà perçu ''la terrible crise d'apostasie qui risque d'engloutir l'Occident'', cet abandon (conscient ou pas) de ce que nous sommes, qui ne peut déboucher que sur une série de drames plus ou moins inévitables, sauf prise de conscience --ce que la récente élection présidentielle ne permet pas d'espérer... Et, ''en face, l'imperméabilité séculaire de l'islam, hostile envers tout ce qui n'est pas lui-même'' (en gros : le reste du monde !). En ces moments où la viande hallal, la burka et le burkini, les minarets, la violence raciale et le racisme ''anti-blanc'', l'anti-culture dite ''woke'', l'islamo-gauchisme, et le vote ''islamo-confessionnel'' envahissent  la Cité, l'Université, la Presse et la Une des ‘’JT’’, il est vital de mieux connaître l'islam.
Vouloir ''raconter l'Islam'' peut sembler une gageure : on a l'impression que tout a déjà été dit cent fois, mille fois ! ‘’Et en même temps’’ (sic !), dans l’anti-culture abyssale actuelle, la persistance de clichés complètement faux, les idées toutes faites (toutes fausses), la récitation automatique de contre-vérités énormes et de lieux communs pourtant les plus démontrés faux jour après jour... sont à peu près les seules choses que l'on entend et que l'on lit sur l'islam, les musulmans, leurs relations avec ''ce qui n'est pas eux'', ce qu'ils seraient (qu’ils  ne sont généralement pas !). Et pourtant, c'est ce que vient de réussir John Tolan, qui n’est ni musulman ni théologien, mais un historien de... talent, si j'ose cette très mauvaise assonance !
Pour John Tolan, le Prophète est en réalité soit Mahomet, soit Muhammad. Cette différence ténue est pourtant décisive : ces deux façons de parler de lui établissent une différence marquée entre une figure historique et une figure soit  onirique, soit fantasmée, généralement déformée dans un sens favorable par les ''élites'' (?) européennes, boursouflées par leur non-savoir, qui nous assènent des ''vérités qui n'en sont pas'' sur un supposé caractère essentiel de l'islam, religion qu'ils sont parfois contraints de décrire comme violente mais qu'ils préfèrent lorsqu'ils la déguisent en une ''religion de paix'', sorte d'iso-christianisme qu'ils disent fondée ''tantôt sur le savoir, tantôt sur la Loi normative’’ (l’atroce charia'a). Et il tente de distinguer les faits historiques incontestables des récits élaborés au fil des siècles.
Revenant sur les écrits d'un voyageur marocain du XIV è siècle, Ibn Battuta (dont les récits ont bercé mon enfance), John Tolan fait revivre un monde oublié : parti de Tanger, Ibn Battuta avait atteint le port chinois de Qwanzhou, et avait constaté que ''toutes les villes traversées ont un quartier musulman avec une ou plusieurs mosquées''... ce que j'ai pu vérifier, 750 ans plus tard, particulièrement à Xi'An (ville dont j'ai l'honneur d'être ‘’YangZao’’ --quelque chose comme ''Citoyen d'Honneur'') où existent encore un quartier ''Musilin'' (sic !) et une mosquée-pagode de 12 000 m² érigée en 742, d'une beauté et d'une richesse à peine croyables. La ''chevauchée'' des cavaliers d'Allah ne les a pas conduits uniquement jusqu'à Poitiers, mais aussi très loin en Orient. Charles de Foucault l'avait compris. Lui.
Et puisque nous avons mentionné Poitiers, un petit arrêt dans le gros mythe ''Al Andalus'' s'impose : une ''propaganda'' activement poursuivie, a fait de ce royaume, au yeux de certains, une sorte de paradis de la tolérance et de l'intelligence (ce qu'il fut, par certains côtés : c'est de là qu'est venue la ''Zaïrja'', le premier ancêtre des ordinateurs, décrite par le grand Ibn Khaldoun comme ''la machine à penser les événements''). Mais en ce qui concerne la ''tolérance''...  l'ouverture à l'autre et la rigueur de la soumission n'ont jamais été autre chose que... ce qu'elles doivent être en terre d'islam : totales,  effroyables, insupportables, et soumis à la ''dhimmitude'', c’est-à-dire à l'opposé absolu de notre définition de ces mots, le vocable-même de ''tolérance'', outre qu'il ne s'applique pas un seul instant aux royaumes grenadins, étant un anachronisme ‘’XXL’’ dans une société du moyen-âge, quelle qu'elle soit.
Ce qui fait défaut à la plupart des descriptions de l'islam, en Occident, c'est le manque de prise en compte de leur ''logiciel'' idéologique, qui est particulier à en être pratiquement non-miscible avec toute autre référence idéologique, religieuse, politique, historique ou même économique : c'est un monde à part, qui n'admet que lui-même, ''l'autre'' étant ennemi de l'Islam, par définition... ce qui est difficile à ''avaler'' pour un esprit occidental qui, qu'il soit croyant ou athée, est imbibé de  références chrétiennes (admises ou pas !). La thèse la plus fréquente, dans les milieux qui se croient ''intellectuels'' actuels, est que l'islamisme, depuis le milieu du XX ème siècle, se présenterait comme une réponse identitaire à une affirmation hégémonique de l'Occident... ce qui est une erreur, comme le sont toutes les anti-références ''politiquement correctes'' : les diverses mobilisations constatées après les indépendances des pays islamisés ou --plus tard-- leurs ''printemps arabes'',  ont été légalistes, démocratiques (très peu), autoritaires, militaires, révolutionnaires ou théocratiques... mais où on a toujours affirmé ‘’parler et agir au nom de l'islam'' !
Plus récemment, ce que l'on désigne par ''le djihadisme'', néologisme qui ne correspond à rien de précis en arabe et souvent employé comme un synonyme de ‘’terrorisme’’, est devenu un phénomène global qui se confond, dans l'esprit des occidentaux, avec une radicalisation des individus d'abord, et des esprits, ensuite...  Un éclaircissement vient d'être donnée à ce point trop confus par un autre livre, excellent aussi, de Marie-Thérèse Urvoy, ''Islam et islamisme : frères ennemis ou frères siamois'' (Ed Artège), qui vient de paraître et dont nous parlerons demain : la compréhension du ''duo'' islam / islamisme étant devenue l’un des critères incontournables si l'on veut comprendre notre temps, il faut donc ''pousser'' plus loin notre connaissance de cette civilisation si hostile à la nôtre...
On pourrait résumer la situation et la problématique actuelles de la manière suivante  : le slogan de l'islam (et j'insiste : pas ''des islamistes'', mais ''de l'islam'') pourrait être, inspiré par l'épitaphe  ''Prolétaires de tous les pays, unissez-vous'' qui est gravée sur la tombe de Karl Marx à Highgate, ''Musulmans du monde entier, unissez-vous !'' : le principal but de tout musulman, c'est en effet  l'unification de l'humanité sous un gouvernement mondial mais musulman, ''le Khalifat''. Mais  avant-même la réalisation de ce vœu unanimement partagé,  les musulmans du monde entier sont d'abord les membres d'une même communauté – l’Oumma – qui transcende les différences nationales, et un ''bon'' musulman appartient d’abord à l’Oumma, avant d’être marocain, turc ou, bien évidemment, français --ce qui est interdit sauf... à mentir au nom de la protection de la foi, la ''Taqqiya''. Pour un musulman, l’Oumma divise le monde entre les musulmans et ceux qui ne le sont pas, les nations ayant vocation à se dissoudre à terme dans le califat mondial.
C'est un des points qui empêchent un occidental de ''pénétrer dans le logiciel'' d'un ''croyant'' : même athées, agnostiques ou anti-religieux, chacun de nous est profondément marqué par la vision chrétienne du monde, qui ne subordonne à rien l'appartenance à une nation. Un chrétien, est effectivement un membre d’une communauté de foi, son Église, qui ne prétend jamais se substituer aux nations.  Pour un catholique, un orthodoxe, un protestant, il n’y a pas concurrence entre son appartenance à son Église et son appartenance à la nation dont il est issu. Inutile de préciser que cette version du monde, inhérente et intégrante à l'islam, est un danger mortel pour un pays... dont la France au tout premier chef : taraudée par des idées perverses (du latin per-vertor = retourner contre soi-même), elle est plus vulnérable que d'autres à cette menace qu'elle refuse de voir. Et même d'admettre.
H-Cl.
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albad · 3 years
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Mais bon sang de bois...
Quand De Gaulle condamnait à juste titre la guerre des 6 jours en 67 était il antisémite ?
Quand nous appelions au boycott des vacances en Espagne ou en Grèce sous les régimes facho de ces pays étions-nous anti je ne sais quoi ?
Quand Mitterrand ou Chirac recevaient, à juste titre, le représentant de l'OLP Yasser Arafat étaient ils antisémites ?
Quand nous appelions au boycott des produits Chiliens sous Pinochet ou des produits et manifestations argentines sous la dictature étions-nous anti latinos?
Quand nous appelions au boycott des produits sud africains pendant l'apartheid étions-nous anti blancs ?
Alors qu'on nous f.... la paix avec cet argument à la noix....
Il y a une vérité, une seule.
Un pays s'attribue le droit depuis 1948 de s'étendre sur les terres d'un peuple dont il pique les maisons, la production, la culture...Un gouvernement d'extrême-droite qui a favorisé l'installation du Hamas pour mieux le combattre et surtout éliminer le Fatah s'attribue la totalité de la ville de Jérusalem en violant l'esplanade des Mosquées et ce seraient les Palestiniens martyrs qui seraient les méchants ?
Un peu faciles est surtout scandaleuses les accusations d'antisémitisme qui rejoignent quelque part celles d'islamo-gauchisme.
Je suis aux côtés des Palestiniens comme toute ma vie j'ai été aux côtés de ceux qui souffrent, comme toute ma vie j'ai été aux côtés des peuples opprimés et je combat le gouvernement d'extrême droite d'Israel comme je combat cette engeance inacceptable partout où elle se trouve.
Vous pouvez me traiter de tous les noms, je ne changerai pas sur ce point...
Michel Tissier
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thebusylilbee · 3 years
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Ils se sont retrouvés avec une cible collée dans le dos, désignés «complices de l’islam radical». Pourquoi ? Avoir signé une simple pétition appelant à la démission de Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur qui avait déclaré mi-février que «l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et l’université n’est pas imperméable». «Islamo-gauchisme» : le mot était lâché, déclenchant une série de polémiques et livrant les partisans présumés de cette notion aussi éthérée que fantasmée à la vindicte. Et notamment à celle de l’extrême droite.
Lancée, dans la foulée des déclarations de Vidal, par des membres du personnel de l’enseignement supérieur et de la recherche, la pétition a très vite recueilli des milliers de soutiens et en comptait 23 000 lors de sa remise à Matignon, le 25 mars. Tous dénoncent «l’intention dévastatrice» de leur ministre accusée de «diffamer une profession et, au-delà, toute une communauté». Mais l’affaire dépasse vite le champ des idées avec la (re) publication, le 21 février sur un blog, de la «liste des 600 gauchistes complices de l’islam radicale (sic) qui pourrissent l’université et la France». Si ce site obscur n’est pas particulièrement politisé, le texte qui accompagne la fameuse «liste», toujours en ligne, comporte tous les stigmates de l’extrême droite. «Cette liste contient les noms des personnes, toutes payées par l’Etat donc par l’impôt des Français, souvent fonctionnaires, pour effectuer d’hypothétiques recherches qui n’intéressent qu’eux-mêmes et la sphère gauchiste plus ou moins radicale, s’épanche l’auteur. Ces recherches […] servent à développer les théories qui ont pour unique but de faire avancer l’islam et par conséquent le radicalisme islamique à l’université en particulier et en France en général.» L’homme, qui a visiblement agi sous son vrai nom, a également pris soin de mettre des liens comportant CV et contacts de certains signataires.
«Fausses informations»
L’affaire a été immédiatement prise «très au sérieux» par le CNRS, qui a saisi le procureur de la République. Contacté par Libé, il indique n’avoir pas eu de remontées de menaces supplémentaires à ce stade. Des universités, comme celle de Toulouse, se sont décidées à offrir la protection fonctionnelle aux chercheurs visés et à porter plainte. «L’extrême droite utilise les réseaux sociaux, Internet, pour faire circuler des fausses informations, accoler à des personnes bien réelles des opinions qui ne sont pas les leurs et, in fine, en faire des gens supposément dangereux qu’il faudrait presque attaquer…» dénonce Christophe Voilliot, cosecrétaire général du Snesup-FSU, contacté par Libé. Le syndicaliste regrette que Frédérique Vidal n’ait pas soutenu les chercheurs en question plus vigoureusement.
Le sociologue Eric Fassin, également signataire de la pétition, a pour sa part dénoncé une «chasse aux sorcières» lancée par la ministre Vidal et «relayée par la fachosphère». Le chercheur a lui-même été menacé de mort récemment par Didier Magnien, une ancienne figure de la mouvance néonazie, comme l’a révélé Mediapart. «Je vous ai mis sur ma liste des connards à décapiter le jour où ça pétera», avait lancé Magnien sur Twitter en réponse à un billet de blog publié par le sociologue dans la foulée de l’assassinat de Samuel Paty, où il expliquait notamment que «si les terroristes cherchent à provoquer un «conflit des civilisations», nous devons à tout prix éviter de tomber dans leur piège». Magnien a été condamné en décembre à quatre mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende pour «menace de mort».
Mécanique bien huilée
Le schéma est simple, et presque toujours le même : une prise de position en lien de près ou de loin (parfois même de très loin) avec l’islam, les musulmans ou l’immigration dont la fachosphère s’empare et c’est la shitstorm («tempête de merde») dans le langage fleuri du Web. Grâce à des milliers de messages véhéments diffusés par des bataillons de militants ou des faux comptes, la fachosphère se joue des algorithmes et pousse ses sujets en tête des tendances, ce qui en démultiplie la portée. Et la violence pour les victimes de ce harcèlement.
Mais les réseaux radicaux s’en servent aussi pour gonfler ou créer de toutes pièces des polémiques par lesquelles ils parviennent à jouer sur l’agenda médiatique, ou politique. Outre le monde de la recherche, des personnalités comme Mennel, l’ancienne candidate de The Voice, l’animateur Yassine Belattar, les rappeurs Black M et Médine, la syndicaliste étudiante de l’Unef Maryam Pougetoux, attaquée pour s’être présentée voilée à une commission parlementaire de l’assemblée, et tant d’autres ont été ciblées par la fachosphère. Et les plateaux télé d’enchaîner les débats sur l’immigration, les études de genre, les questions identitaires, le «racisme anti-blancs» théorisé par Jean-Marie Le Pen, ou plus récemment la «non-mixité» des réunions syndicales à l’Unef.
Tempête d’insultes… puis de menaces
L’extrême droite en ligne maîtrise parfaitement la recette : relayer, s’indigner, faire réagir. Elle a encore fait preuve de ses capacités à agiter les réseaux sociaux et à décupler l’écho médiatique de certaines polémiques lors de la récente affaire liée à l’affichage − condamné par tous les acteurs − du nom de deux enseignants qualifiés de «fascistes» et taxés d’islamophobie, fin février à Sciences-Po Grenoble. Le monde politique a réagi, ainsi que la ministre Frédérique Vidal pour fustiger la mise en cause publique de ces deux enseignants placés sous protection policière. Face au tollé national, difficile d’entendre que l’un d’entre eux, Klaus Kinzler, avait auparavant rudement mis en cause le travail d’une enseignante. Sa «faute», selon lui ? Diriger un groupe de travail contre les discriminations employant le terme «islamophobie», terme qui serait une «arme idéologique [de la] guerre mondiale menée par des “fous de Dieu”», selon des échanges révélés par Mediapart. Kinzler s’était d’ailleurs fait recadrer par la direction de Pacte, le labo de recherche en sciences sociales CNRS /Sciences-Po Grenoble /UGA, comme l’a écrit Libé. L’affaire rebondit, mi-mars, lorsque l’animateur de CNews Pascal Praud, goguenard, donne à l’antenne le nom de la directrice du labo Pacte, coupable selon lui d’avoir défendu en interne sa collègue prise pour cible par Kinzler. Conséquence immédiate de l’outing de CNews : une tempête d’insultes et de menaces contre cette femme, qui doit désormais elle aussi vivre sous protection policière.
Cette intervention d’un leader d’opinion influent à la droite de la droite est un autre élément crucial de la mécanique fanatique de la fachosphère. Ce sont aussi les Eric Zemmour, Jean Messiha, Damien Rieu mais aussi le site Fdesouche, le «média de mobilisation» Damoclès, fondé par un collaborateur parlementaire LR, ou encore les néonazis anonymes du site interdit (mais qui reste accessible et a même un forum très fréquenté) «Démocratie participative» : une intervention de ces influenceurs, qu’elle soit sibylline ou carrément ordurière, peut transformer un épiphénomène en tempête.
Le phénomène ne concerne bien sûr pas que les chercheurs. Militants, journalistes, ou même anonymes en ont fait les frais ces dernières années. Si de plus en plus d’affaires finissent devant les tribunaux, la majorité reste impunie. Les raids numériques coordonnés et les tweets injurieux sont plus sévèrement réprimés depuis une loi de 2018. Et si un amendement a été inséré dans le projet de loi «confortant les principes de la République», pour contraindre (un peu) les réseaux sociaux à améliorer leur modération, la majorité compte surtout sur l’échelon européen. Le «Digital Services Act» devrait ainsi mettre fin à l’irresponsabilité juridique des géants du numérique. Il pourrait être adopté, au mieux, d’ici 2022.
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ekman · 3 years
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Bonjour à toi, l'Oppresseur ! Si toi aussi tu veux cesser de marginaliser les racisés que tu croises sur ton campus de Sciences-Po, soutiens le module obligatoire de formation anti-raciste. ... Où quand Evergreen s'installe définitivement chez les fils-à-papa et les discriminés positifs. Un trait remarquable de notre temps, qui montre l'incohérence, l'indigence et le caractère pathogène du gauchisme ambiant. The best : si ce sont eux les racisés, qui sommes-nous, nous les Blancs ? Des pommes ? Des coccinelles ? Des scoubidous ? Vraiment remarquable. J.-M. M.
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cabiba · 3 years
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Following ISIS’s demise, Islamists around the world have been forced to radically reassess their strategy against the West. Dashing the utopian hopes of its sympathisers, the fall of the Caliphate has set back the Islamist cause for decades. Just as when many Communists became disillusioned once their ideology had been implemented in the Soviet Union, ISIS’s barbarity can no longer be ignored.
True, even in 2021, some groups such as the resurgent Taliban and Boko Haram — to say nothing of the Iranian regime — remain committed to a type of Islamist militancy that includes an emphasis on violence, with all the human suffering that entails. But for the most part, jihadist militancy has proved unpopular among Muslims, often inviting a violent counter-reaction. Its promise of an Islamist dream state has lost its appeal.
Yet Islamists in the West appear to have found a possible solution that sidesteps, at least for now, the use of explicit violence. The core of this alternative strategy is to focus as much as possible on dawa.
Nearly 20 years after 9/11, Westerners still remain unfamiliar with dawa. In theory, the term simply refers to the call to Islam, a kind of invitation; Westerners would recognise it as part of a proselytising mission. In practice, however, Islamists rely on dawa as a comprehensive propaganda, PR and brainwashing system designed to make all Muslims embrace an Islamist programme while converting as many non-Muslims as possible.
Among Western analysts, dawa — which became a tool of the Muslim Brotherhood in the 20th century — has traditionally received far less attention than militant jihad, though observers have emphasised its importance in the “humanitarian” activities of Hamas.
In Unveiled, the ex-Muslim Yasmine Mohammed compellingly describes her difficult marriage to the Egyptian jihadist Essam Marzouk. Yasmine commented on the rivalry that exists between jihadists (such as her ex-husband) and ostensibly “non-violent” Islamists:
“The truth is that Essam hated the [Muslim] Brotherhood: he thought Islamists were a bunch of pansies. He was actually aligned with a more militant group in Egypt called Al Jihad, who were the Egyptian wing of Al Qaeda. Both Islamists and jihadis have the same goal — to spread Islam — but they have different methods. Islamists want to do this through passive means such as politics, immigration and childbirth.”
This important point is often lost on politicians in Western countries. For no matter what misguided retired CIA officials may claim, groups such as the Muslim Brotherhood are neither moderate organisations nor pluralist partners in civil society. Islamist groups are certainly not likely to prevent the radicalisation of young Muslims. Instead, as one observer noted more than a decade ago, “the history of the Brotherhood movement shows, in fact, that it has operated by and large not as a firewall against jihadism, but as a fertile incubator of radical ideas in a variety of locales”.
In a cynical way, Islamists achieve far more through dawa than when they confine themselves to simply blowing things up and stabbing people to death. The threat is not as obvious. Jihad and the use of violence tend to provoke an immediate response. With dawa, on the other hand, it is possible to talk about charity, spirituality and religion — and then compare it to normal religious proselytising missions. In a free society, what reasonable person would take issue with that?
But dawa is also about building networks: local, regional and international. In The Call, Krithika Varagur revealed both the enormous global scale and opaque nature of these efforts. Saudi Arabia, in particular, has channelled billions of dollars into dawa — with much of it directed into the US.
In the West, these regimes are not given much thought, nor is the Islamist infrastructure in the United States. Nonetheless, Islamism is spreading within Western institutions, and it’s largely thanks to an unlikely alliance: dawa has recognised the alluring power of “woke”, and has started to adopt the language of civil rights and multiculturalism.
Of course, this is not an entirely American phenomenon, but the energy in our progressive movement has taken this cooperation one step further. In France, by contrast, “Islamo-gauchisme” (Islamo-Leftism) is much more likely to be correctly identified as a threat to the model of universal, secular and republican citizenship. In Britain, it remains less prominent, confined to fringe politicians such as George Galloway, who believes that “the progressive movement around the world and the Muslims have the same enemies”.
Yet as historian Daniel Pipes has noted, the relationship between Islamism and extreme Leftism is nothing new. In 2007, Oskar Lafontaine, former chairman of Germany’s Social Democratic party, noted: “Islam depends on community, which places it in opposition to extreme individualism, which threatens to fail in the West. [In addition,] the devout Muslim is required to share his wealth with others. The Leftist also wants to see the strong help the weak.”
But the internal tension between “wokeism” and Islamism is never far away. Just look at Al Jazeera, which uploads documentaries about transgender rights on to its social media channel, while broadcasting sermons suggesting husbands should beat their wives on its Arabic station.
Nevertheless, the two movements do share objectives. Both are anti-West and anti-American. Both have a critical attitude towards “capitalism” based on individualism. True, the Islamists have been around for much longer. But Islamist ideologues are willing to co-operate with non-Muslim Leftists as long as it serves their purposes.
To their credit, some on the Left refuse to countenance Islamism, as they become increasingly aware of the contradiction between supporting universal human rights (including women’s rights) and the demands of Islamists. In France, for example, the centre-Left former Prime Minister Manuel Valls courageously denounced Islamo-Leftism without the least hesitation.
In the United States, however, such vocal opposition from the Left is increasingly rare. Indeed, at the 2019 Netroots Nation conference — America’s “largest annual conference for progressives” — multiple panel discussions and training sessions reflected the Islamist agenda, frequently coalescing around a critique of Israel while neglecting the toxic role played by Hamas in perpetuating the conflict. Meanwhile, Linda Sarsour, a feminist organiser and co-chair of the “Women’s March”, has made her support for Islamism more explicit: “You’ll know when you’re living under Shariah law if suddenly all your loans and credit cards become interest-free. Sounds nice, doesn’t it?”
In government, too, Islamism’s capture of progressivism has become increasingly clear. Turkey’s Islamist President Erdogan might lead one of the world’s most brutal and repressive regimes, but that hasn’t stopped Ilhan Omar, the Democratic congresswoman from Minnesota, from expressing support for him. No doubt she was inspired by Erdogan last year when he proclaimed that “social justice is in our book”, and that “Turkey is the biggest opportunity for western countries in the fight against xenophobia, Islamophobia, cultural racism and extremism”.
Erdogan, in effect, was explicitly using progressive rhetoric. It’s a move that’s since been mirrored in Iran. The Tehran Times ­— which describes itself as “a loud voice of the Islamic Revolution” — recently attacked former US Secretary of State Mike Pompeo for his “deep-rooted Islamophobia”. And in March, Iranian Foreign Minister Zarif “lauded the determination of Islamic countries to address Islamophobia as one of the main challenges facing the Islamic Ummah [community in the West]”. Islamists, in other words, are becoming skilled at wrapping themselves in a mantle of woke words, while engaging in systematic brutality and repression within their own countries.
To this new alliance between Islamism and progressive rhetoric, there is no simple response. Dawa, by its very nature, is inherently more difficult to fight than jihad. But those who believe, as I do, in a free, open, pluralist society need to be aware of the nature and magnitude of this new challenge. After two decades of fighting Islamist terrorism, we have a new and more subtle foe to contend with. Wokeism has long been regarded as a dangerous phenomenon — but only now are we starting to see why.
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Quelques points de repère afin de se pouvoir situer dans la lutte contre l’enfumage idéologique de ce début de vingt-et-unième siècle
De quoi cette foutaise d’invention journalistique appelée "islamo-gauchisme" est-elle le nom, si ce n’est du véritable fascisme qui se présente sous le masque de l’antifascisme, tel que l’avait annoncé Pasolini dans ses lettres luthériennes en 1976?
Après cinquante années d’idéologie libérale-libertaire, la courtoisie discrète qui savait détourner le regard pour respecter les goûts d’autrui a laissé place à la tolérance obligatoire envers le mauvais goût. La terreur rose a remplacé le matérialisme dialectique par l'endoctrinement au Bien, et en substituant à la lutte des classes la dictature de l'égalitarisme et de la tolérance forcenée, la "société du spectacle" s’est vouée à la promotion d’une censure préventivement imposée.
N’apparaît-il pas dès lors instructif de se pencher d’un peu plus près sur ce "fachogauchisme" que l’idéologie libérale-libertaire (qui sous-tend le Discouts Capitaliste) a installé "progressivement", à partir de la position des "anti-" caractéristique des automatismes signifiants de l’empire du Bien: Racisme, Climatisme, Terrorisme, Sexisme?
— Pourquoi à la télé nous vend-on si souvent du "racisme", du "sexisme", du "terrorisme", du "climatisme" (ou encore "écologisme"...)? Qu’en penses-tu?
— Pour comprendre il s’agit de pouvoir se situer sur un plan dialectique, c’est à dire être capable d’opérer un renversement. À qui penses-tu que le discours dominant s’adresse en premier lieu?
— Ben, à moi, le fameux "mâle blanc de cinquante ans" qui est honni, présenté comme la cause de tous nos malheurs collectifs...
— C’est là que tu te trompes, et c’est là qu’il te faut opérer un renversement, si tu penses que ce message s’adresse à toi, c’est à tes frais que tu t’en seras fait l’adresse, car le message s’adresse en tout premier lieu à tous ceux en souffrance d’identité "collective" afin qu’ils puissent se "conforter" dans une position de victime, dûment estampillée, qu’ils croient qu’il y a un grand Autre qui non seulement existe, mais encore est tout-puissant: ce n’est plus "Big Brother is watching you", c’est Big Mother is taking care of you ...mais à la condition que vous brandissiez votre carte de victime!
Dans nos sociétés, peu importe que les gens croient à quelque chose, ils sont même encouragés à toutes sortes de croyances, jusqu’aux plus stupides (le port de la muselière pour "freiner la propagation du virus" est un magnifique exemple...) du moment qu'ils ne manifestent pas publiquement leur incroyance dans les systèmes de représentation et les institutions en place, auquel cas ils sont considérés comme asociaux, marginaux, voire terroristes.
Si l'on peut parler de conspiration (ou de complot), c'est seulement dans la mesure où la plupart des sujets du discours dominant sur-réagissent aux mots comme si c’était des choses, comme s’ils étaient victimes de forces irrationnelles absurdes, dans un monde devenu fou, dépourvu de sens et dangereux...
Tous victimes! voilà le jeu et l’enjeu du discours dominant.
«Car pour nous la lutte n’est pas contre le sang et la chair mais contre les principautés, contre les pouvoirs, contre les cosmocrates - Kosmokratoras - de ce monde de ténèbres et contre les esprits mauvais qui sont dans les cieux.» (Paul de Tarse)
Si nous traduisons en langage lacanien les "principautés", les "pouvoirs", les "cosmocrates", les "esprits mauvais qu’il y a dans les cieux", ne sont rien d’autre que le discours qui subjugue le sujet et l’assujettit sans qu’il ne veuille rien en savoir, les métastases du discours dominant, le discours des dominants et des médias en tant qu’il est impossible d’y échapper...
L’action dès lors ne consiste pas à prendre les armes et à descendre dans la rue, c'est trop tôt ou trop tard.
Car toute activité s'inscrit à l'intérieur d'un horizon de signification qui seul la rend possible.
L’efficace de la lutte de nos jours, c’est d'abord refuser la langue du spectacle, ce qui réclame au préalable de reconnaître que le diktat de l’opinion, le psittacisme qu’il induit, les énoncés médiatiques, le laxisme lexical, les approximations syntaxiques... sont les ennemis de l’esprit critique, ils contaminent les actions en surdéterminant l'horizon de leur sens.Il s’agit donc de ne pas renoncer à vouloir nommer la complexité, renouer avec la dialectique que le spectacle voudrait éclipser.
C'est seulement en cherchant le mot juste par rapport à sa propre position d'énonciation, en prononçant "la parole vraie", que le sujet introduit une rupture dans la chaîne signifiante où s'inscrivent ses actions, il ne peut donc plus dès lors continuer à agir de la même façon car il ne peut plus dès lors "penser" (être pensé) de la même façon.
Le véritable combat politique aujourd’hui c'est de faire passer des textes de main en main, pour raviver le style, affûter le goût, développer la sensibilité, affiner le jugement, (se) donner les moyens de nommer avec précision les assauts, les contournements, les frappes, les retraites, les conquêtes, les victoires, les défaites...
Nous ne savons plus parler, nos lèvres sont sèches et les mots sont déjà morts avant de passer la barrière de nos dents.
Apprendre à parler c'est apprendre à lire, apprendre à écrire, à dessiner, composer comme on aiguise une lame, comme on répète des enchaînements pieds-poings, apprendre à parler c'est apprendre à se battre.
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charlesmartel732 · 4 years
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Mort du traître Hervé Bourges, précurseur de l’islamo-collaborationnisme
Hervé Bourges n’a pas attendu l’islamo-gauchisme des années 2000 pour se ranger dans le camp anti-français. En 1960, il est secrétaire de rédaction de Témoignage Chrétien qui, faisant une croix – si l’on peut dire – sur son patriotisme de la Résistance, soutient à fond le FLN algérien qu’Edmond Michelet comparait en 1956 au nazisme […]
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paoloxl · 5 years
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L’Estate italiana tour non procede nel migliore dei modi per Matteo Salvini: la Sicilia orientale ha ieri riservato un’accoglienza tutt’altro che festosa all’attuale ministro dell’Interno.
Una granita di traverso. Note a caldo dalla piazza catanese
Letojanni, Taormina, Catania, Siracusa: una giornata campale che ovunque ha riservato alla Lega nient’altro che fischi, insulti e contestazioni. A Catania centinaia di persone, radunatesi spontaneamente, hanno costretto il ministro dapprima ad entrare frettolosamente in Comune da un ingresso secondario e poi ad annullare frettolosamente la prevista passeggiata in centro con tanto di selfie e granita. La precipitosa fuga in auto del capitano era stata preceduta da quella dell’esigua claque che avrebbe dovuto accoglierlo trionfalmente: la rabbia di tutte e tutti ha sfidato al grido di “Fuori i leghisti da Catania” i cordoni della polizia, costringendoli più volte ad arretrare. Circondati da tutti i lati e letteralmente braccati da una piazza coraggiosa e determinata, i pochi razzisti presenti sono stati cacciati da piazza Duomo, rifugiandosi in una via poco distante. Dalla piazza di ieri emergono alcune considerazioni a nostro avviso fondamentali.
Al di là del lessico stantio della sinistra, ieri non abbiamo assistito ad una giornata di resistenza, anzi. La piazza ha assunto con naturalezza un assetto offensivo, ha rifuggito la passività mettendo a più riprese in crisi il dispositivo fisico di controllo: un’attivazione spontanea che ha messo in campo per ore una pratica continua e ostinata dell’attacco. È questo forse il dato più interessante: il protagonismo dirompente di un soggetto politico trasversale e delle sue condotte conflittuali, la cui emersione non sempre è scontata, ma la cui esistenza è più di una convinzione dai risvolti quasi metafisici. Dopo il venticinque agosto scorso, quando una piazza determinata aveva affrontato le cariche della polizia all’ombra della Diciotti, Catania si riconferma terra ostica per il capitano, lanciando uno strale che ha colpito nel segno. Il silenzio rumoroso del solitamente strombazzante apparato social di Salvini ne è la miglior conferma.
Una considerazione cruciale che emerge dalla piazza di ieri riguarda la sua composizione: da un lato una ventina di leghisti spauriti, tra i quali si potevano notare senza sforzo le facce di qualche noto fascista e dei fuoriclasse del trasformismo appartenenti al peggior ceto politico cittadino, dall’altro centinaia di persone compatte e determinate, particolarmente eterogenee per età, genere, classe sociale. Una composizione trasversale e spuria, dunque, che non solo neutralizza sul nascere le ormai trite frecciate su centri a-sociali et similia, ma mette radicalmente in crisi la narrazione del consenso universale e compatto di cui Salvini godrebbe nei quartieri popolari e tra le fasce meno abbienti e ne rivela la vera natura, quella, appunto, di mera narrazione semplificatrice. Come testimoniano gli insulti che ieri serpeggiavano fra le vie attorno piazza Duomo, i famigerati figli di papà tanto invocati dalla compagine leghista ieri erano quelli ben nascosti dietro i cordoni della celere. Il Moloch semi-onnipotente del salvinismo è granitico solo se guardato con superficialità e letto attraverso le lenti deformate della sua stessa propaganda o di un certa mise sconfittista: sottovalutarne le radici profonde è errato tanto quanto ignorarne la fragilità. L’incessante campagna elettorale del capitano spara sempre più spesso a salve, tra fughe precipitose e scivoloni quali il neanche troppo velato riferimento di ieri al ponte sullo Stretto: anche la definitiva rottura del governo del cambiamento potrebbe non rivelarsi la mossa più azzeccata, soprattutto al Sud. L’impressione che emerge da ieri è che il grido “traditori” non si riferisse soltanto ai decenni di razzismo anti-meridionale, ma anche, e soprattutto, ai più recenti avvenimenti politici.
Se ieri si è affrontato (e sconfitto) un dispositivo fisico di controllo, dev’essere ora nel mirino il dispositivo ideologico e propagandistico dello schieramento sovranista. Crepe che si aprono, si allargano scricchiolando, si fanno voragine: senza trincerarsi nel purismo ideologico ed evitando come la peste le armi spuntate del gauchisme, è tempo di tornare ad osare, con il coraggio che questo tempo ci richiede e con tutta l'intelligenza strategica che possiamo mettere in campo. Sarebbe un errore fatale continuare a fissare l’oceano dalla spiaggia, scambiando l’assenza apparente di moto della superficie per assoluta immobilità. Le correnti si muovono instancabili, vorticosamente si intensificano e si rimestano, qui sobbollendo sotterranee, qui emergendo dagli abissi: a noi sta leggerne le traiettorie ed approfondirle. Ieri le acque si sono increspate: chissà che un uragano non sia di là da venire.
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saveriopaletta1971 · 3 years
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Lo scrittore piemontese fu il campione di un certo “gauchisme” in cui l’antifascismo era il pretesto per manifestare idee e concetti anti italiani. Lo conferma l’esame approfondito del suo libro “Italiani brava gente”? Il giornalista e scrittore Angelo Del Boca è noto soprattutto per la sua pubblicistica di argomento coloniale, ma si è cimentato pure […]
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claudehenrion · 3 years
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L'Islamo-gauchisme - ( II ) : les idiots utiles du djihad...
  Le gauchisme ''à la papa'' a bien changé : de peuple, de cible, de recrutement (j'allais écrire : de victimes). Ayant perdu ''le vrai peuple'' (qu'il n'a jamais eu. Mais il croyait l'avoir !) par sa bêtise, ses errements et ses dévoiements, par la vacuité de ses analyses et la perversité des solutions qu'il ne proposait pas, par son déni du réel et de l'évolution du monde, il s'est ''rattrapé aux branches'' en catastrophe, en racontant qu'il avait trouvé dans l'islam un prolétariat de substitution qui, espéraient les idéologues de cette erreur qui se rêve Terreur, allait voter pour lui et lui assurer la continuité de son pouvoir et la continuation de ses prébendes. Ah ! les cons !…
Il n'y a pas besoin d'être ''voyant  extra-lucide'' pour constater qu'une religion, quelle qu'elle soit, n'est ni un lieu de compromis, ni un terrain d'entente idéal, ni une variable d'ajustement éventuelle, mais qu'elle est une force qui peut soulever tout un peuple, contre son souverain et sa police, contre un régime, un mode de vie, un monde. Les djihadistes sont donc prêts à tolérer un temps des compagnons de route et même à leur faire croire qu'une alliance est envisageable, pour et avec eux. Cet (anti)raisonnement a, par exemple, amené le syndicat étudiant Unef à se rapprocher des Étudiants musulmans de France qualifié de bras armé des Frères musulmans par Mohamed Louizi (Pourquoi j'ai quitté les frères musulmans -Ed. Michalon). En croyant sauver quelques  meubles lors des élections, elle se fait bouffer par plus vicieux qu'elle ! Résultat : l'Unef n'est plus écoutée sur les sujets sérieux, comme la précarité étudiante en temps de covid. Et... c’est bien fait !
Cette énorme faute de jugement, presque un crime contre la pensée, ne date pas d'hier : on se souvient de ces militants de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), devenue le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) qui faisaient alliance avec des islamistes radicaux obnubilés par ''l’américano-sionisme'' et prônaient, au nom de la ''lutte contre l’impérialisme'', l'élimination de l'État d'Israël. J'ai en mémoire le Forum social européen accueillant en grande pompe le faux prédicateur-vrai violeur Tarik Ramadan à Saint-Denis, invité (on croit rêver !) comme ''leader religieux, représentatif d’une partie du prolétariat'' ! Même le Nouvel Obs avait titré une Une digne du Figaro : ''Confusion au Forum social européen : Les gauchistes d’Allah''.
Des bribes de vérité apparaissent dans les feuilles de chou les plus contaminées, même si, dans Libération, une Clémentine Autain revendique le titre d'islamo-gauchiste... que ce quotidien classe dans les ''insultes policées et intellectuelles'' (NDLR - ce qui n'a aucun sens !). Elle précise même, comme pour s'assurer que personne ne peut savoir de quoi elle parle : ''Je ne comprends pas exactement ce que veut dire le mot, mais si ça désigne l’intersectionnalité des luttes, alors oui, c’est ça qui me préoccupe. Je suis de gauche, et je me bats contre le rejet des musulmans en France'' (sic !)... Mais a l’opposé, on lit sous la plume de Pierre-André Taguieff, que ‘‘entre les islamo-gauchistes du Parti des indigènes de la république (en lutte contre la domination blanche et le peuple blanc) et les islamo-fascistes qui massacrent des infidèles au nom du Djihad, la différence est mince''. 
De son côté, Franz-Olivier Giesberg évoque la ''décomposition intellectuelle d'une certaine gauche française''. Et même Bernard-Henri Lévy (qui ne fait pas partie des gens que je lis ni ne respecte mais dont je sais citer un court extrait lorsqu'il a une brève crise d'intelligence) écrit : ''il suffit de lire Foucault pour prendre la mesure de la tentation identitaire, racialiste et, au fond, darwinienne qui n’a jamais cessé de hanter la gauche française, et de la longue généalogie de cette façon d’assigner les opprimés à leur origine, de les enfermer dans leur couleur de peau et leur ethnie''.
La Presse française sortirait-elle de son rituel aveuglement coupable ? Dans une enquête du Figaro Magazine sur ''les agents d’influence de l’islam'', les journalistes Judith Weintraub et Vincent Nouzille dénoncent ''les relais intellectuels de l'islamo-gauchisme, responsables politiques ou acteurs associatifs'’ qui, écrivent-ils, ''investissent l'espace médiatique''. Dans cette enquête, on croise, sous des formes et à des degrés divers, les sociologues Edgar Morin, Geoffroy de Lagasnerie et Raphaël Liogier, l'islamologue (?) Tarik Ramadan, l'historien Jean Baubérot, le démographe Emmanuel Todd, le géopolitologue Pascal Boniface, les journalistes Alain Gresch et  Edwy Plénel (qu'on est certain de retrouver dans tous les ''mauvais plans’’), les politiques  Jean-Louis Bianco, Caroline de Haas, Clémentine Autain, Benoît Hamon et Danièle Obono  ou encore des personnalités associatives telles que Marwan Muhammad, Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo. Il ne manque à leur liste que Benjamin Stora, qui a entrepris d’inventer une nouvelle histoire réécrite de l'Algérie, de lecture très macronienne, c'est tout dire ! On en reparle bientôt, promis.
Mais s'il n'y avait que les islamistes comme groupe organisé coupable de volonté de conquête ! Ce serait oublier le climat de complicité intellectuelle et morale dans lequel les soldats d'Allah poussent leur avantage dans la sphère médiatique, intellectuelle et universitaire, qui se résume en deux mots : domination, d'un côté et pour les uns, et trahison de l'autre, pour les autres... sur tout ce qui touche au capitalisme, au christianisme, à l'Occident et à son histoire, et à Israël... (qui est intrinsèquement coupable, et son adversaire, même agressif, même radical, même terroriste, bénéficie donc de la bienveillance que l'on doit aux damnés de la terre). Il faut trouver une soif de justice dans la violence, la trace d'une faute dans celui qui la subit. En fin de compte, la question à 10 balles est : qui, du gauchisme ou de l'islamisme a pollué l'autre, et lequel sortira vainqueur de ce mano a mano ?
Mais quand, soi-disant au nom d'une minorité, d'une cause ou d'un mensonge historique, de beaux esprits très vilains veulent déboulonner les plus belles figures du patrimoine artistique, musical, littéraire, historique et militaire ou à arracher les plaques de rues au nom de grands hommes... on n'a même plus besoin de talibans pour dynamiter les statues ! Pourquoi donc les fous d'Allah s'épuiseraient-ils à faire taire nos cloches quand ils peuvent compter sur nos élus, en guerre contre le ''séparatisme catholique'' ? Et quand un Florent Boudié, rapporteur général du texte de loi sur ce qui aurait dû être ''Séparatisme'' et qui n'est plus que... rien du tout, établit un parallèle entre les enfants qui font leur première communion  et un viol incestueux, ou quand le pitoyable Eric Coquerel (LFI) affirme que le voile d’une mariée est le symbole de la soumission de la femme à son époux, que faut-il penser, sinon qu'ils sont idiots ? Ce sont des maniaques de la diversité qui traquent toute infraction à leur code d'effroyable ''bonne conduite'' et qui terrorisent ceux dont la plume, le dessin ou le verbe défendent la liberté d'expression. Tendez l'oreille ! Pour les ''idiots utiles du djihad'', la seule vraie menace qui pèserait sur nos institutions, ce serait la première communion des petites filles... alors qu'ils donnent la main à ceux qui rêvent d'abattre la République.  Mon Dieu, qu'ils sont cons !
Un dernier point doit inquiéter ceux qui ne sont pas encore contaminés ou ''porteurs malsains'' : l'accès de courage de notre ministre inconnue a vite été réorienté vers des terrains contrôlés par la bien-pensance : charger le CNRS d'une enquête, c'est assurer une fois de plus le parfait suivi de l'intenable et mortel ''et en même temps'' macronien : un coup à droite (’’Tremblez, canailles ! On lance une enquête...’’), et un coup à gauche (’’... mais on l'oriente vers un  organe qui va la classer’’). ''Je suis oiseau, voyez mes ailes... Je suis souris, vive le chats''. On sait dans quel état d'esprit sera abordée la demande de Frédérique Vidal : le CNRS est à la pointe des faux travaux de fausse recherche sur la prétendue écriture dite inclusive, sur la ''race'' en tant qu'arme de guerre, ou sur ''Sexualités, identités & corps colonisés''  (sic !), dans Ed CNRS-2019. C’est tout un programme !). Il faut tendre encore l'oreille... ‘’Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines....’’ ?
H-Cl.
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skideizer · 3 years
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Au cours de ces deux dernières décennies, ce phénomène autour de l'Islamophobie s’est notamment propagé depuis les attaques terroristes de septembre 2001, n’étant désormais qu’une idéologie des partis et organisations de la droite extrémiste, pronant cette haine de l’Islam ainsi que de ses croyants à des fins politiques. Avec la multiplications des actes de terrorismes auxquels les Musulmans ont été relationnés, les efforts au sein des débats propagés dans les radios, les journaux ou encore les émissions télévisés, visent systématiquement à distordre l’image de l’Islam, dans le but de transformer ce phénomène à un état culturel en constante évolution, allant jusqu’à s’intégrer dans les lois et les réglements sous prétexte de la lutte contre le terrorisme. La laïcité ne serait-elle pas dans ce cas qu’un prétexte afin de cacher l’anti-sémitisme des Etats, et en particulier celui de la France?
De ce fait, nous allons nous questionner, en raison du caractère complexe et de la diversité des dimensions juridiques, légales, politiques, culturelles, sociales et médiatiques, si la France et l’Europe deviennent-elles islamophobe. Le plan de cette thèse se caractérisera dans un premi er temps par une approche de ce problème, ses racines, et à la position de ces croyances dans la commission nationale des droits de l’homme, et dans un second temps, nous nous baserons sur une antithèse sur l’Islam et sa dimension sociale, en France et en Europe.
L’islamophobie est un phénomène qui existe, se développe, et qui constitue avant tout une violation des droits de l’homme. Ce phénomène trouve son origine dans une multitude de causes qui se dispatchent entre des causes historiques, religieuses, politiques, idéologiques, et comportementales. Tout d’abord, sur le plan historique, c’est toute une construction du rapport du monde occidental avec l’Islam et les Musulmans. Cette attitude de haine répétitive entre ces deux idéologies est au cœur des débats depuis maintenant plusieurs siècles; une fausse image s’est formée, et a généré la suspicion ainsi qu’une crainte bilatérale. Elle s’est particulièrement propagée durant les croisades, quand les hommes d’église jouaient un rôle majeur dans la mobilisation des masses. Les musulmans étaient diabolisés, leur religion et leurs symboles déformés. Comme par exemple, dans le discours inaugural de la croisade de 1095, le Pape Urbain II a qualifié les Musulmans de “Race maudite et méprisable qui adore Satan”.
Cependant, ce discours, qui a porté atteinte à l’Islam et aux Musulmans, n’a fait que de se reproduire maintes et maintes fois à des époques historiques différentes, se poursuivant même après le recul de l’Eglise, l’entrée de l’Europe dans la Renaissance, et le Siècle des lumières, particulièrement lorsque le philosophe français François-Marie Arouet, dit Voltaire, a publié une pièce de théatre intitulé “Mohammed”, dans laquelle il décrit le Prophète comme un homme “hypocrite, tombeur, lubrique et oppresseur”. Or, cette image stéréotypée et corrompu, a continué d’influencer certains Européens, comme le prouve les caricatures portant atteinte au Prophète: Le mercredi 2 septembre 2020, alors que s’ouvre le procès historique des attentats de janvier 2015, Charlie Hebdo n’ont pas louper une seule seconde afin de republier les caricatures du prophète Mahomet qui avaient fait de l’hebdomadaire satirique une cible des djihadistes, a annoncé le journal Le Monde. En effet, c’est de cette manière que s’est forgée une mentalité collective dont il est difficile de s’en défaire, et qu’on hésite pas à interpeller dans toute situation conflictuelle un des antagonistes Musulman.
Sur le plan du comportement, et du rôle qu’il joue dans le renforcement de la haine de l’Islam, nous pouvons constater des critiques de certains politiciens, tel que Eric Zemmour, dans l’émission Face à l’info sur CNews, ou cette islamophobie prend tellement d'ampleur que les « limites à la liberté de communication et la liberté éditoriale des médias audiovisuels » ont été franchies. Il estimait que les mineurs isolés étrangers n’avaient “rien à faire ici”, « Ils sont voleurs, ils sont assassins, ils sont violeurs, c’est tout ce qu’ils sont. Il faut les renvoyer », avait déclaré le polémiste, sans que son assertion soit critiquée ou combattue de manière significative. Il est, à mon avis, inacceptable de voir des émissions télévisées qui se permettent de tels absurdités: Nous ne devons même plus nous attendre à ce que le grand public, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des communautés européenes, fasse la part entre l’Islam véridique et le comportement de ces groupes, surtout lorsque les médias sont à l’affut de tout mauvais comportement susceptibles d’attirer l’intéret du public à des fins de commercialisation et de diffusion.
Bien que la haine envers l’Islam et les Musulmans soit devenue chronique au sein des communautés occidentales, nous pouvons également constater qu’elle prend une tout autre dimension de nos jours, notamment en France, avec la loi du séparatisme au Sénat: Les sénateurs républicains ont fait le choix d’interdire tout signe religieux lors des sorties scolaires, en dépit du gouvernement de gauche qui contestait fondamentalement ces lois. Ils ont adopté plusieurs amendements pour interdire le voile aux mineures dans l’espace public, le burkini et les signes religieux lors des sorties scolaires. Effectivement, sur ces sujets, la balle est désormais dans le camp de la majorité à l’Assemblée nationale. En Europe, nous pouvons notamment constater que dans des pays, comme en Suisse, voir des habitants se prononcer, par référendum, en faveur de l’interdiction de se dissimuler le visage: un vote qui était à l’initiative de l'extrême droite et visait les rares femmes qui portent le niqab dans le pays. Le texte, initialement proposé par le parti populiste de droite UDC, a été soutenu par les féministes et une partie des électeurs de la gauche laïque. Il a obtenu 51,21% des voix et une majorité de cantons, selon les résultats officiels publiés par le gouvernement fédéral. Concernant les discriminations qui se font encore plus grandes aujourd’hui, on en arrive jusqu’à appeler une personne qui lutte contre ces attaques envers la communauté de faire de l’Islamo-Clientélisme: Un mot très discriminant, négatif, et absurde, car on ne viendrait pas à considérer la personne en question de défendre l’égalité des droits (qui est d’ailleurs un principe républicain), on le dénoncerait amplement à faire du clientélisme. Cela porte à confusion, car on n’attaque jamais ceux qui font de la surenchère dans les attaques contre les Musulmans souhaitant interdire les femmes voilées de faire des sorties scolaires, alors que dans ce genre situation nous faisons véritablement affaire à du clientélisme. Les musulmans doivent certes s’adapter à la société, mais la France aussi. Et puis, tous ces messages hostiles envers ces croyants, ne serait-ce pas eux qui importent le conflit du proche-orient?
Toutefois, il est “légitime”, d’un point de vue juridique et social, de se défendre contre cet “islamo-gauchisme”, et de considérer qu’il n’y a pas forcément une "Islamophobie d’Etat”.
Si nous nous penchons plus précisément au propos, ce termes signifierait tout simplement la phobie de l’Islam et des Musulmans, c’est-à-dire la détestation, l’exécration, et la haine. Pour l’Etat, cela devrait déduire que cette exécration de l’Islam et des Musulmans est entièrement un projet politique, murement intrinsèque de son être républicain, et que c’est un racisme potentiellement institutionnalisé. Cependant, si nous comparons la situation actuelle à celles de d’autres époques, et particulièrement autour des années 1940 et des suivantes, où un véritable racisme d’Etat, qui se coïncide à un anti-sémitisme d’Etat, avait été institutionnalisé avec une mécanique implacables mise en service du projet d’extermination nazi, nous pouvons constater qu’il y a une certaine juxtaposition de ces deux affirmations, ainsi qu’une perte de sens commun de son auteur. Cette Islamophobie déclarée en France et en Europe est en réalité incomparable à ce que subissent les ouïghours en Chine comme par exemple, subissant jusqu’à aujourd’hui de terribles châtiments physiques et mentaux.
Également, cette polémique limiterait les valeurs de notre pays dont la “Liberté d’expression”, entraînant de nos jours des actes de violences cruellement intolérables. Nous pouvons facilement voir cela avec l’assassinat de Samuel Paty, aussi désigné comme l’attentat de Confians-Sainte-Honorine. Cette attaque terroriste s’est déroulée le 16 octobre 2020 dans la commune française d’Eragny: Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, a été assassiné par arme blanche et décapité peu après être sorti de son collège. On avait déclaré que dix jours auparavant, il avait montré deux caricatures de Mahomet issues du journal satirique Charlie Hebdo lors d’un cours d’enseignement moral et civique sur la liberté d’expression. Il est triste de constater que cette liberté est menacée par une minorité, jusqu’au point où les professeurs de chaque établissement, situés en France, ou en Europe, se sentent en danger: Ils ne savent même pas comment aborder le sujet avec leurs élèves, dans l’espoir de ne pas se faire attaquer à leur tour. En effet, cette situation est compréhensible lorsque nous voyons ce qui s’est passé récemment à Science Po Grenoble: Lors de débats qui ont fait polémique durant des cours qui concernaient “l’Islam et les musulmans dans la France contemporaine”, des étudiants ont placardé des affichettes indiquant “Des fascistes dans nos amphis, l’islamophobie tue” avec les noms des deux professeurs. Le premier, comme par exemple, était un maître de sciences politiques qui remettait en cause la place de ces minorités, la laïcité, l’identité nationale, la question des femmes, le rôle de l’état, la violence ainsi que le terrorisme. Il est inquiétant de voir comment cette cancel-culture s'agrandit, et de voir cette possibilité que tout le monde s’octroie de ce qui est bien ou pas. Les profs sont libres de faire leurs programmes, sans oublier que le professeur Pati a perdu la vie pour des raisons similaires.
Pour conclure, l’islamophobie est un terme qui reste encore à débattre: bien évidemment, elle se développe, existe et trouve son origine dans une multitude de causes. Des discours oppressant n’ont fait que de se reproduire maintes et maintes fois à des époques historiques différentes, accentuant cette haine devenue chronique envers l’Islam et les Musulmans. En effet, nous ne pouvons même plus nous attendre à ce que les communautés européenne ou extérieur fasse la part entre l’Islam véridique et le comportement de ces groupes terroristes. Nous pouvons également constater qu'ils souhaitent leur retirer leurs droits.
Cependant, il est tout à fait contestable de dire que ces discriminations ne s’apparentent pas à ce que subissait les juifs autour des années 1940, comme par exemple, et qu’il n’y aurait pas forcément une “Islamophobie d’Etat”, sans oublier que cette polémique limiterait les valeurs de notre pays, dont la “Liberté d’expression”.
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Audrey Pulvar said white people should be silent and listen during anti-racism meetings (there was apparently some controversy over one student union excluding white people altogether from their meetings...) so of course French Twitter is replying with the worst takes imaginable, screaming reverse racism and “islamo-gauchisme” at the top of their lungs like the brain-dead asshats that they are.
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